ZOE
Brigitte tournait les oeufs dans la poêle lorsque sa fille Zoé, dix-neuf ans, nue comme le jour de sa naissance, entra dans la cuisine et saisit sa mère par les seins, collant son ventre contre le derrière maternel proéminent. Elle eût le temps de lui planter un baiser dans le cou avant que Brigitte ne tourne la tête et lembrasse sur la bouche.
Toutes deux avaient fait la grasse matinée et le soleil était déjà haut lorsque Zoé avait entendu sa mère préparer le repas. Même si elle
navait pas faim, elle se leva, attirée par larôme de café frais moulu.
- Où est Grégory ?
Grégory était le beau-père de Zoé, le deuxième mari de Brigitte quelle avait épousé pour son fric, certainement pas pour ses performances sexuelles.
- Parti faire de largent !
- Un samedi ?
- Oui, des clients japonais de passage. Il en a pour la journée et une partie de la nuit.
À cette perspective, Zoé sourit, écarta les jambes tout en regardant sa mère dans les yeux et mima une masturbation.
- Oh ! Comme cest dommage ! Il na pas de coeur de te laisser seule ainsi.
- Mais tu ne penses quà ça !
- Comme toi ! Mais moi, je nai pas peur de le
dire.
- Ah, on va voir ça ! Viens sous la table et suce-moi pendant que je bouffe.
Agilement, Zoé se laissa glisser en bas de sa chaise et prit position entre les cuisses musclées et bronzées de sa mère. Elle admira un court instant la chatte rasée puis fonça, langue sortie, afin de mettre sa mère en condition. Brigitte se hâta davaler les oeufs et se concentra sur lactivité de sa fille. À quarante-deux ans, elle était au sommet de ses capacités sexuelles et elle nosait pas penser à ce que seraient celles de sa fille lorsquelle aurait son âge. Elle jeta sa fourchette dans lassiette et prit une grosse gorgée de café.
- Tu as soif ?
- Beaucoup, maman.
Brigitte se concentra et se mit à pisser
dans la bouche de Zoé. Cette dernière colla ses lèvres au vagin maternel dans le but évident de ne pas en perdre une goutte, ce quelle réussit très bien. Puis, elle reprit son
cunnilingus, insérant sa langue le plus au fond possible. Elle continua ce manège jusquà ce que sa mère atteigne un premier orgasme libérateur. Brigitte repoussa brutalement sa chaise et se leva.
- Jespère que tu as faim maintenant ?!?
Cétait autant une question quune proposition ferme. Zoé sétendit sur le carrelage entre les jambes de Brigitte qui demeura debout. Brigitte écarta ses fesses rebondies à laide des mains et se mit à chier sur sa fille. Un, deux puis trois étrons de merde molle tombèrent sur le visage et
les seins de Zoé qui se dépêcha de mastiquer celui tombé près de sa bouche. Brigitte enleva son déshabillé et le posa sur le dossier de la chaise puis elle sagenouilla près de sa fille. Avec sa main gauche, elle répandit sa merde sur les seins et le visage de Zoé pendant que trois doigts de sa main droite violaient le con encore serré de Zoé. Quand cette dernière avala la dernière bouchée de merde, Brigitte lui gratta les seins afin den recueillir dautres morceaux et les fourra dans la bouche entrouverte. Puis, elle plaqua sa main sur la bouche et le nez de Zoé, provoquant une asphyxie temporaire. Le manque doxygène fit se cabrer la fille et elle connût la jouissance à son tour. Elle retomba sur le sol, à bout de souffle et
presque satisfaite. Brigitte lui donna la main et laida à se relever. Elles se dirigèrent vers la salle de bain.
Leau chaude coulait sur le dos de Brigitte qui se savonna rapidement puis se rinça. Sans sortir de la baignoire, elle prit place sur le rebord et regarda Zoé qui se lavait. Elle se masturbait lentement, attendant le moment propice pour accélérer le mouvement et atteindre son deuxième orgasme. Tout à coup, Zoé pâlit et Brigitte
sut que le moment arrivait. Sans se pencher, restant bien droite et ouvrant le bouche, Zoé se mit à vomir lentement la merde quelle venait davaler quelques minutes auparavant. Brigitte accéléra sa masturbation, admirant le filet brun dégouliner du menton de sa fille. Elle explosa lorsque Zoé fût prise
de nausées pour la troisième fois. Finalement, Zoé se plaça sous le jet deau et en utilisa un peu pour se rincer la bouche. Les deux femmes sessuyèrent et se dirigèrent vers le grand lit de la fille. Sur la couverture, il y avait un énorme
gode à ceinture qui trônait de façon obscène au milieu du lit.
- Mon cul aussi est affamé, maman.
- Ne ten fais pas, il va déguster à son tour.
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Enfoncé jusquà la garde dans le cul de sa vieille mère de soixante-sept ans, Grégory ne cessait de se plaindre.
- Si tu savais comme Brigitte est prude, maman. Elle ne veut même pas quon baise avec la lumière. Elle ferait certainement une crise cardiaque si elle
nous voyait.
- Pauvre petit ! Défoule-toi sur moi ! Maman va te consoler.
Grégory enfonça violemment les douze centimètres de sa queue dans le cul de sa mère qui le sentit à peine.
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