TRANNIE
Le PowerBook, relié au réseau des réseaux par une connexion BlueTooth, reposait
sur le coin du lavabo de la salle d’eau, le couvercle légèrement dirigé vers le
bas afin que la caméra intégrée cadre la baignoire en contre-plongée. Dans la
baignoire,
Roseline
, une femme mince, la mi-trentaine, agenouillée,
tournait le dos à la camera du portable. Elle portait une mince petite culotte
un peu trop grande et dont un pan semblait pendouiller. Lentement, une bosse
déformait le fond de la culotte pendait tandis que la femme, le visage tourné
vers la camera, grimaçait. La femme cessa ses efforts pour reprendre son
souffle. Puis, elle recommença à pousser. Le gros étron se brisa en deux. Il
fuit suivi par une avalanche de merde plus molle qui, en quelques secondes,
remplit la culotte. La femme urinait simultanément et un flot de pisse jaune lui
coulait le long de la cuisse gauche. La femme avait pris la précaution de mettre
le bouchon de drain. Une flaque jaune se forma autour du bouchon.
La femme continuait de chier et la merde mollasse s’échappait par une faiblesse
de l’élastique autour de l’autre cuisse. Quand la miction et la défécation
furent terminées, la femme posa les mains sur le rebord de la baignoire pour
reprendre son souffle et soulager ses genoux meurtris par l’émail. Au bout de
quelques secondes, elle plaqua ses mains sur les fesses, par-dessus la culotte
et les massa, répandant de façon uniforme la masse merdique sur son petit
derrière. La camera ne manquait rien du manège. Puis, elle plongea sa main
droite à l’intérieur de la culotte et la ressortit avec la plus grosse poignée
de merde que sa petite main pouvait contenir.
Elle en répandit le contenu sur ses petits seins fermes. Quand elle termina son
oeuvre, on ne voyait plus les tétines tellement la merde les recouvrait. Elle
replongea la main pour prendre une deuxième poignée de l’infâme contenu. Cette
fois, elle le répandit sur ses joues, son front et son menton sans oublier le
nez. On ne voyait plus que ses yeux. Elle fixa la camera du regard durant tout
ce temps. Portant ses doigts à sa bouche, elle les suça goulûment. Maintenant
que ses dents étaient aussi brunes que le reste de son visage, elle adressa un
grand sourire au PowerBook.
Elle se redressa dans la baignoire et fit glisser sa culotte vers le bas; elle
leva les pieds un après l’autre pour la retirer. Cette fois, en redescendant,
elle posa son derrière beurré sur le fond de la baignoire. Elle tendit la
culotte vers l’objectif pour que l’on voit bien son contenu. Ensuite, elle amena
la culotte vers son visage et la posa sur sa tête, son visage émergeant par
l’ouverture d’une des cuisses. Elle pesa sur la culotte pour bien faire pénétrer
la merde dans ses cheveux. Un peu de la merde tomba sur son épaule. Elle la
ramassa et, s’allongeant pour faire reposer son dos sur la partie inclinée de la
baignoire, elle plaqua le morceau d’étron sur son vagin et le poussa même à
l’intérieur. Elle souleva une fesse et gratta la merde, la recueillant dans sa
main. Elle l’appliqua sur son clito et entreprit une lente masturbation. De la
main gauche, elle ressortit le morceau d’étron de son vagin et le glissa dans sa
bouche, le laissant dépasser un peu de ses lèvres. Elle ferma les yeux, toute à
son plaisir. Elle croqua dans l’étron et le mâcha. Elle avala et reprit une
autre bouchée tout en continuant sa masturbation. En quatre bouchées, le morceau
d’étron fût ingéré. Elle gratta le fond de la baignoire pour recueillir la merde
plus molle qui avait orné son derrière. Elle en cueillit suffisamment pour se
remplir la bouche qu’elle gardait ouverte afin que la camera ne manque aucune
étape de l’action. Elle accéléra sa masturbation: elle approchait de la
jouissance. Soudain, elle arqua le dos et explosa: des petits jets de pisse
jaillirent de son trou emmerdé. Elle recracha la merde de sa bouche, incapable
d’avaler tout en jouissant. Elle retomba dans la baignoire, incapable de bouger
pendant une minute.
À l’autre bout de la connexion, la femme âgée ferma l’ordinateur. Nue elle
aussi, elle se dirigea vers son lit. Elle ouvrit le tiroir de la table de chevet
et en sortit un buttplug géant et une énorme vibrateur. Elle étendit sa grande
carcasse musclée et bronzée d’un mètre quatre-vingt sur la couette. Ses énormes
seins pendaient chaque côté de son torse. Elle lubrifia le buttplug et, relevant
les genoux jusqu’aux épaules, se l’enfonça dans le derrière. À cause de sa
forme, le muscle anal se referma sur la base de l’engin et le maintint
solidement en place. Puis, sans le lubrifier, elle enfonça le vibrateur dans sa
grotte béante, déjà lubrifiée par son excitation. Elle se pistonna la chatte
longuement avant d’exploser à son tour d’une jouissance libératrice. Elle laissa
tomber le vibrateur par terre et retira le buttplug. Elle le nettoya
soigneusement avec sa langue et le reposa sur la table de chevet. Elle se tourna
sur le côté et murmura, juste avant de sombrer dans le sommeil:
- Brave fille !
***************************
Roseline prenait une douche réparatrice après avoir affronté un torrent de pluie
en revenant des magasins. Un long tuyau de caoutchouc descendait, en partant
d’un sac rempli d’eau claire, faisait une gracieuse courbe et s’enfonçait entre
les fesses maigres de la femme. Elle en était à son deuxième lavement de suite.
Elle tenait à ce qu’elle soit bien propre car elle voulait que son mari l’encule
après le dîner, même avant le dîner, s’il était partant. Le ventre plat de la
blonde gonflait sous la pression de l’eau inquisitrice. Quand le sac fût presque
vide, Roseline retira le tube et tentait de garder le liquide le plus longtemps
possible dans ses entrailles lorsque le téléphone sonna. Pendant une seconde,
elle se demanda si elle aurait la force de garder le liquide tout en répondant.
Elle décida que oui et elle sortit rapidement de la douche et trotta jusqu’au
combiné.
- Allô !
- Allô, c’est moi ! Comment ça va ?
C’était Robert, son mari des dix dernières années.
- Bien, bien.
- Tant mieux car je ramène quelqu’un avec moi.
- Pour dîner ?
- Non, j’ai mangé sur le pouce. Non, c’est quelqu’un que je viens juste de
rencontrer. Il... elle... enfin on arrive. Je crois que tu vas aimer.
- Il ou elle ?
- Les deux ! Enfin... tu verras ! À tout de suite.
Ce n’était pas la première fois que le couple participerait à une séance de
mélangisme mais cette fois, Robert ne ramenait qu’une personne. Ça n’était
jamais arrivé auparavant. Ils avaient toujours fait des rencontres avec des
couples et, si quelques rencontres ne s’étaient pas bien déroulées, pour une
raison ou une autre, la majorité du temps, ils avaient eu beaucoup de plaisir.
Roseline réalisa qu’elle ne pourrait tenir beaucoup plus longtemps et elle se
précipita dans la baignoire. Juste à temps ! Elle se pencha vers l’avant et
appuya ses mains sur les genoux. En penchant la tête, elle vit que le liquide
qui s’échappait de son cul ne contenait plus de matières fécales. La situation
l’excitait. Autant la venue d’un étranger que le lavement lui-même. Elle sentait
son vagin s’humidifier.
- Je suis une salope anale !
Elle se rinça une dernière fois et la baignoire du même coup. Elle se sécha et
enfila une robe très décolletée. Pas de soutien-gorge ni de petite culotte !
Elle portait rarement un soutien-gorge car ses deux seins plats n’en avaient nul
besoin. Elle finissait de peigner ses cheveux courts lorsqu’elle entendit la
porte s’ouvrir et se refermer.
- C’est moi !
- Roseline, je te présente
Trannie
.
- Trannie, voici ma femme Roseline.
Roseline admira la jeune asiatique au teint mat. Elle ne devait faire plus d’un
mètre cinquante, ses cheveux tiraient sur le roux et elle n’affichait pas plus
de poitrine qu’elle. Roseline la trouva charmante mais elle fût quand même un
peu déçue: elle avait tant espéré que Robert ramènerait un homme. Roseline
adorait se faire prendre en sandwich par deux queues vigoureuses. Elle ne
dédaignait pas les femmes mais ce soir, elle avait envie de se faire défoncer la
rondelle brutalement et voilà que Robert lui présentait une fille. Trannie lui
rendit son salut.
- Bonsoir !
Une fille ? Roseline n’en était plus aussi certaine car la voix semblait trop
rauque pour être féminine. Roseline fronça les sourcils. C’est Robert qui prit
la parole.
- Trannie, enlève ta robe !
C’était dit assez sèchement et Roseline fût étonnée du ton employé par son mari.
Cependant, la jeune femme ne protesta pas et, ayant déposé son sac, elle fit
glisser sa robe par-dessus sa tête. À sa grande surprise, Roseline découvrit un
appendice masculin qui pendouillait entre les jolies cuisses filiformes de la
fille. Robert expliqua:
- Trannie est une transsexuelle qui prend des hormones depuis deux ans. Elle est
très soumise et peut encore bander, autant pour une femme que pour un homme. Pas
vrai, Trannie ?
- Oui monsieur Robert.
Roseline nota que la queue de la jeune femme gonflait un peu tout en gardant sa
position pendante. Immédiatement, elle comprit le jeu. Elle saisit un tétin de
la fille , le fit rouler entre le pouce et l’index. La petite queue gagna encore
un peu de volume. Roseline lui demanda:
- Et qu’est-ce qu’il faut faire pour que ton engin retrouve toute sa vigueur ?
Trannie baissa les yeux, incapable de soutenir le regard de la femme. Sa réponse
fût presque chuchotée:
- Il faut abuser de moi !
- User et abuser, c’est notre devise, pas vrai Rosie ?
- Tout à fait, mon chéri ! Si on abusait de cette petite dans notre lit ?
Roseline saisit la petite queue de Trannie et la tira pour qu’elle suive.
Pénétrant dans leur chambre, Roseline prit place sur le bord du grand lit. Elle
tira Trannie jusqu’à ce qu’elle puisse prendre sa queue encore molle dans sa
bouche et elle entreprit de lui faire un pompier. Ce n’était pas tout à fait par
altruisme car Roseline espérait bien que Trannie utiliserait son érection pour
l’enculer comme la salope qu’elle était.
Deux minutes plus tard, Trannie bandait sec, son petit engin filiforme visant le
plafond, vertical. Roseline changea de position et se mit à quatre pattes dans
le lit et implora Trannie de lui défoncer la rondelle. Elle obtempéra ! Robert,
nu lui aussi, vint se placer derrière Trannie et attendit que cette dernière
soit bien à fond dans le cul de sa femme avant de lui rendre la pareille.
Roseline recula de quelques centimètres pour faciliter la tâche de Trannie.
Puis, les coups de reins de Robert servirent non seulement à pénétrer Trannie
mais, par contrecoup, à enculer sa femme via la transsexuelle. Le petit trou de
Trannie semblait très flexible et accueillait facilement les coups de butoir de
l’homme excité. Ils continuèrent ainsi pendant quelques minutes puis Roseline se
mit à râler.
- Vas-y fort, Trannie ! Ma femme va jouir !
Roseline explosa d’une jouissance libératrice pendant que Trannie lui propulsait
jets après jets de sperme dans le cul. Robert explosa avec quelques secondes de
retard sur les deux autres. Il se laissa tomber dans le lit, le corps couvert
d’une mince couche de sueur. Roseline fit de même et Trannie prit place entre
les deux époux. Ils se reposèrent ainsi une bonne quinzaine de minutes.
A sa respiration régulière, Roseline devina que Robert dormait. Elle se leva
doucement et se dirigea vers la salle de bain attenante à la chambre. À son
insu, Trannie la suivit.
- Excusez-moi, je peux utiliser la toilette, je dois faire pipi ?
- Non !
Roseline s’agenouilla devant Trannie.
- Pisse-moi dans la gueule.
- Vous aimez cela vous aussi ?
Le “vous aussi” fit plaisir à Roseline.
- Oui... et bien d’autres choses aussi.
- Des choses plus... solides ?
- Mmmm... oui. Ça te dégoûte ?
L’engin de Trannie reprenait de la vigueur à la seule pensée qu’elle venait de
trouver quelqu’un qui avait des affinités avec ses goûts pervers.
- Au contraire ! J’aime beaucoup, vraiment beaucoup.
- Allez, ne fais pas de chichis, dis-moi tout.
- Je... je rêve de devenir une chiotte, de boire de la pisse et de manger de la
merde toute une soirée. J’avalerais tout et je ne laisserais rien se perdre.
De toute évidence, Trannie ne mentait pas: sa nouvelle érection confirmait la
véracité de ses aveux.
- Tu peux pisser quand tu bandes ?
Trannie hocha la tête.
Roseline prit le gland en bouche et lui fit signe qu’elle pouvait gicler.
Trannie se concentra pendant quelques secondes et un flot de pisse déferla dans
la bouche de la femme qui avala le tout sans en perdre une goutte ni reprendre
sa respiration. Quand la miction fût terminée, Roseline se releva et, constatant
que Trannie ne débandait pas, elle se tourna vers le lavabo sur lequel elle posa
ses mains et plia les genoux.
- Encule-moi encore une fois !
Trannie ajusta sa queue sur le trou dilaté de la femme et l’encula suavement.
Pendant qu’elle se faisait défoncer la rondelle, Roseline prit une décision.
Excitées par la situation, les deux femmes, si l’on peut dire, jouirent
simultanément. Se retirant du petit cul si accueillant, Trannie s’agenouilla
derrière Roseline et lui nettoya le cul avec sa langue, avalant le fruit de ses
recherches linguales. Quand elle se redressa, Roseline la prit dans ses bras et
lui roula une pelle des grands jours.
- Ça te dirait, une petite partie à trois bien crade, deux femmes et toi ?
- Votre mari ne sera pas présent ?
- Non et il ne le saura pas.
- Je suis partante.
Elles échangèrent leur numéro de portable. Trannie, fatiguée, exprima le désir
d’aller rejoindre son lit. Roseline la reconduisit à la porte et lui glissa un
billet dans la main.
- C’est pour le taxi.
- Ce n’est pas nécessaire.
- J’insiste !
Dans le taxi, Trannie tenta d’imaginer ce qui l’attendait lors de cette
partouze. Cela la fit bander de nouveau. Lorsqu’elle débarqua du taxi, le
chauffeur nota la bosse qui déformait la robe. Il encaissa le prix de la course
et le généreux pourboire de Trannie le ramena à des sentiments meilleurs envers
les transsexuelles. Nue dans son lit, Trannie se fourra deux doigts de la main
droite dans le cul pendant qu’elle se masturbait de la gauche. Elle gicla sur
son ventre et ses seins. Elle s’endormit ainsi et le sperme sécha lentement
pendant la nuit.
************************
Le moral de Trannie diminuait de jour en jour: Roseline ne l’avait jamais
rappelé. Après que son jeune frère Tuan, onze ans, et sa jeune soeur Voba, six
ans, eurent quitté pour l’école, Trannie se leva et se dirigea vers la cuisine,
une agréable odeur de café frais moulu lui chatouilla les narine. Il y trouva sa
mère, attablée devant une tasse du breuvage. Elle s’en servit une et tint
compagnie à Bhuti, sa mère.
- Ça ne vas pas bien, ne viens pas me dire le contraire.
- Tu as raison, mère, mais je préfère ne pas en parler.
- Je ne te demande rien. Est-ce que je peux faire quelque chose pour te remonter
le moral ?
- Pas vraiment mais c’est très gentil de ta part. J’apprécie beaucoup.
Trannie termina son café et se leva. Elle se dirigea vers l’évier où
s’entassaient la vaisselle du petit déjeuner. Machinalement, elle emplit l’évier
d’eau savonneuse et se mit à nettoyer les plats. Tout aussi machinalement, Bhuti
prit un linge et sécha les plats que lui passait Trannie. La vaisselle terminée,
Bhuti vint se placer derrière Trannie et posa son menton sur son épaule et lui
murmura:
- Je n’aime pas te voir dans cet état. Tu es certaine que je ne peux rien faire
pour te remonter le moral ?
En disant cela, elle laissa ses mains descendre vers l’entrejambe de sa
fille/garçon et se mit à caresser doucement le sexe au repos. Comme Trannie
n’avait pas joui depuis plusieurs jours, le sexe flasque se réveilla.
- Tu te souviens combien tu aimais téter mes seins quand j’allaitais ta petite
soeur ? Comment j’introduisais ma main dans ta culotte de pyjama pour te
caresser et te faire du bien pendant que tu mordillais mes grosses tétines ? Tu
n’avais que douze ans et déjà tu savais si bien y faire avec mes
trou
s
. Tu pouvais te répandre quatre fois sans mollir. Qu’est-ce que c’était bon !
- C’est toujours aussi bon, mère. Tu es tellement belle que personne ne saurait
te résister.
- Alors... ne résiste pas ! Viens, montre-moi que tu es toujours la meilleure
des filles.
Maintenant en érection complète, Trannie suivit sa mère jusqu’au lit. Bhuti
décida de la faire jaillir sans la toucher. Allongée sur le dos, Trannie vit
Bhuti la chevaucher et placer son derrière au-dessus de son visage. Bhuti
abaissa ses fesses jusqu’à ce qu’elle sente la langue de Trannie lécher sa
rondelle. Trannie força le passage et sa langue pénétra dans l’orifice à merde,
forant et tournoyant, à la recherche d’un trésor. Bhuti admirait la queue de sa
fille maintenant tellement dure que l’on voyait saillir les veines en surface.
Bhuti se pencha vers l’avant et amena sa bouche à un centimètre de la tête de
l’engin. Puis, elle se mit à pousser et une merde molle et jaunâtre se fora un
chemin jusqu’au palais de Trannie qui, excitée à l’extrême, jouit sans autre
stimulation ! Bhuti ne perdit rien, elle avala les jets aussi rapidement qu’ils
fusaient. Satisfaite, elle fût heureuse de constater que Trannie ne faiblissait
pas. Elle recommença à chier, Trannie, la bouche pleine ne pouvant plus
emboucher l’offrande, cette dernière se répandit sur son visage. Quand elle eût
terminé, Bhuti pivota et s’allongea sur sa fille. Elle s’enfonça l’engin encore
rigide dans la chatte et, approchant son visage de celui de Trannie, elle se mit
à l’embrasser à pleine bouche, tentant de voler la merde dans la bouche de
Trannie. De bon coeur, Trannie n’opposa pas trop de résistance et se laissa
dévaliser du précieux bagage par la bouche affamée de sa mère. Bhuti avala le
butin et entama la merde qui ornait les joues et le menton de sa fille. Bouchée
après bouchée, elle nettoya le visage de sa fille. Quand ce fût fait, elle se
concentra sur le mouvement des hanches qui enfonçait la queue de Trannie dans
son antre et après quelques déhanchements violents, elle jouit à son tour.
Bhuti se laissa tomber aux côtés de Trannie, question de prendre une pause cinq
minutes afin de reprendre son souffle. Elle manipulait la queue de Trannie afin
qu’elle ne perde pas son érection.
- À ton tour, ma fille !
Trannie se leva du lit et Bhuti s’agenouilla derrière elle. Trannie se pencha un
peu et, écartant les fesses avec les mains, elle se mit à chier dans la bouche
maternelle. D’abord un étron un peu plus dur trouva preneuse, brun plus foncé,
il fût suivit d’une merde plus molle mais tout aussi brune. Bhuti de dépêchait
de mâcher et d’avaler mais elle dût en recueillir dans ses mains car l’expulsion
était plus rapide que sa capacité à avaler. Elle prenait des bouchées dans ses
mains et les mâchait en fermant les yeux, le visage tourné vers le haut afin que
Trannie puisse profiter du spectacle. Elle venait de compléter sa tâche
lorsqu’un hoquet la secoua. Comprenant ce qui arrivait, Trannie s’allongea sur
le sol et laissa Bhuti le chevaucher de nouveau.
- Je crois que ce ne sera pas très long, ma chérie.
- Je sais, mère.
Bhuti recouvrit les yeux de Trannie avec sa main et les spasmes nauséeux
connurent leur aboutissement: Bhuti se mit à vomir, d’abord sur la poitrine
presque plate de Trannie, puis, sur son visage, visant la bouche grande ouverte
de sa fille. Le contenu immonde de son estomac élisait maintenant domicile dans
l’autre estomac, celui de sa fille. Trannie connût son second orgasme en une
heure, remplissant le vagin maternel de son jus blanchâtre et translucide. Bhuti
continua à vomir longtemps après la fin de la jouissance de Trannie.
************************
Quelques heures plus tard, Tuan et Voba revenait de l’école. Pour gagner du
temps, ils coupaient à travers un immense terrain vague, autrefois occupé par
une usine dont il ne restait que la guérite des gardiens de sécurité.
- Tu crois que mère et Trannie ont...
- Pour sûr ! Mère ne pense qu’à ça !
- Toi aussi, tu ne penses qu’à ça !
- Oui, mais moi, je suis un garçon, c’est normal.
- Tu y penses en ce moment ?
- Oui !
Voba sourit et se dirigea vers la guérite. Elle laissa son frère entrer et
referma la porte en abaissant le loquet. Elle se mit à quatre patte sur la
chaise de bois, seul objet qui avait échappé à la vindicte des vandales. Elle
releva sa robe sur le bas de son dos, dévoilant une petite culotte blanche très
sage. Elle laissa le soin à son frère de la baisser. Tuan baissa sa culotte et
son caleçon d’un même mouvement, dévoilant sa petite pinne imberbe et déjà bien
raide. Il crocheta l’élastique de la culotte de sa soeur et la descendit
jusqu’aux genoux de cette dernière qui les leva un après l’autre pour qu’il
puisse la retirer complètement, dévoilant ainsi les petites fesses maigrichonnes
de sa soeur cadette. Il admira un moment la petite fente rose et se décida. Il
ajusta le bout de sa pinne dans la petite fente et l’enfonça d’un seul coup
jusqu’à la garde. Voba ouvrit la bouche mais n’émit aucun son. Tuan la pistonna
pendant un moment et quelques gouttes de sperme récompensèrent ses efforts. Voba
ne jouit pas mais elle fut heureuse de faire plaisir à son frère. Ce soir,
c’était son tour de coucher dans le lit de sa mère et elle savait que cette
dernière lui ferait tout un tas de choses durant la nuit, d’autant plus qu’il
n’y avait pas d’école le lendemain.
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