MATINEE GRASSE
À soixante-quatre ans, Caroline avait encore un corps jeune: ses seins pendaient un peu mais tout le reste présentait bien. Pas de graisse superflue, quelques rides aux coins des yeux et des cheveux grisonnants que son fils lui enjoignait de ne pas teindre. En ce moment, elle pratiquait son activité préférée après le sexe: la bronzette. Allongée totalement nue sauf une paire de lunettes noires, elle offrait son corps aux rayons de Phoebus lorsque son fils de trente-neuf ans, Roger, vint la rejoindre. Il étendit une couverture sur
la pelouse, enleva son short et, totalement nu lui aussi, sétendit pour une séance de lézardage sous le chaud soleil du midi.
- Que fait ta soeur ?
- Elle passe un coup de fil à ma femme, elle veut une recette de dessert, je crois.
Sa soeur Dorothée, mère de Jocelyne, douze ans et de Gabrielle, dix ans, téléphonait effectivement à sa belle-soeur Agathe. Elle regardait ses deux filles, engagées dans un combat sans merci sur la console Nintendo. Un crayon à la main, elle notait soigneusement les instructions de sa belle-soeur. Elle leva les yeux quand elle entendit un retentissant Merde! provenir du living. Dépitée, Gabrielle venait de subir une cuisante défaite et devait maintenant payer un gage à sa soeur aînée. Elle se mit
à genoux devant sa soeur qui écarta les jambes. Totalement nues elles aussi, Jocelyne pointa sa fente avec lindex et ordonna à sa soeur cadette:
- Sans les doigts, juste la langue !
Gabrielle affichait faussement une mimique dégoûtée, elle savait que cela plaisait à sa soeur davoir limpression de la violer alors que dans les faits, elle aurait volontiers passer sa journée à lécher le con et le cul de sa soeur chérie. La scène émoustilla Dorothée qui se hâta de terminer la communication pour rejoindre ses filles. Elle monta sur le divan, mit un pied sur le dossier et offrit sa chatte à Jocelyne qui sempressa de rendre la réciproque de ce quelle subissait à sa génitrice. La petite langue parcourait les moindres
replis des grandes et petites lèvres de sa mère avant de se fixer sur le bouton déclencheur dorgasmes. Jocelyne y mit toute son ardeur et, à ce combat aussi, elle fût victorieuse. Dorothée jouit la première, inondant le visage de sa fille de sa mouille de mère incestueuse. Quand la jouissance cessa, elle sallongea sur le dos entre les jambes de Gabrielle, agenouillée sur le sol et, la tirant par les hanches, lamena à sasseoir sur son visage pendant quelle continuait de sucer sa soeur. Sa fille mouillait déjà et Dorothée entreprit denfoncer sa langue dans la petite fente rose de la cadette. De plus, elle utilisait un de ses doigts pour titiller lanus de Gabrielle qui explosa à son tour, un orgasme de petite fille qui, bien que discret, la fit trembler
de tout son corps. Jocelyne avait remporté ce combat aussi. Dorothée poussa Gabrielle pour prendre sa place et continua la tâche quelle avait entamé. Son habileté vint à bout de la résistance de Jocelyne qui jouit à son tour en arquant le dos et en soulevant les hanches. Dorothée, le visage barbouillé de la mouille de ses deux filles se dirigea vers la porte dans lintention dexciter son frère. Cependant, quand elle ouvrit la porte donnant sur le jardin, elle constata que sa mère et son frère dormait paisiblement, allongés un contre lautre. Elle décida de les laisser se reposer en paix. Elle retourna rejoindre ses filles qui entamaient un nouveau combat sur la console de jeux.
- Quel est le gage cette fois ?
Ce fût Gabrielle qui fût
la plus rapide à répondre.
- Celle qui perd se fait pisser sur la gueule par lautre.
- Ah la la !!! Cest dommage quil ny ait pas une troisième manette, je jouerais bien moi aussi.
- Mais maman, tu ne vaux rien à ces jeux.
- Justement !
Jocelyne, qui comprenait plus vite que sa soeur, lui donna un petit coup de coude.
- Tu ne comprends pas: maman veut jouer au bidet !
- Oh !
Les deux filles déposèrent les manettes simultanément et éteignirent la console. À quatre pattes, Dorothée proposa à ses filles:
- Vous embarquez ?
Gabrielle prit place sur le dos de sa mère près des épaules et agrippa ses cheveux. Jocelyne prit place derrière sa soeur et, levant les pieds du sol, elle
donna une claque sur le postérieur de sa mère.
- Allez ! Hue cheval !
Dorothée ne bougea pas.
Gabrielle remarqua:
- Je crois que tu ne las pas frappé assez fort.
Jocelyne renouvela la claque avec beaucoup plus de vigueur. Cette fois, la monture sébranla et prit la direction de la salle deau au milieu de laquelle trônait une immense baignoire. En chemin, elles rencontrèrent Caroline qui venait justement se soulager.
- Vous permettez les filles que je passe en premier ?
Les deux gamines regardèrent leur mère sallonger dans la baignoire et leur grand-mère vider sa vessie sur son visage et dans sa bouche, impatientes de limiter. Une fois la vessie vide, Caroline se retira et les filles prirent place dans la baignoire: Jocelyne
au-dessus des genoux de sa mère et Gabrielle au-dessus de son visage. Le jet de Jocelyne fût le premier à venir percuter les seins de sa mère alors que Gabrielle se concentrait encore à pousser. Puis, son jet plus mince sortit sans pression et dégoulina sur le visage de sa mère. Dorothée frictionnait son clitoris à toute vitesse et elle atteignit la jouissance avant que ne cesse le jet de la plus jeune. Elle attira Gabrielle sur son visage et lui léchât le cul et sa petite fente pendant que Jocelyne forçait lentrée du vagin de sa mère avec sa menotte. En faisant tourner sa main dun côté puis de lautre, elle parvint à la faire entrer totalement, jusquau poignet. Elle pistonnait régulièrement le con maternel tandis que Dorothée
tentait dintroduire sa langue dans lanus de Gabrielle. Elle y parvint au moment où le deuxième orgasme la frappa comme un autobus: le corps secoué de spasmes, elle serra les cuisses, enfermant la main de Jocelyne dans une douce prison chaude et humide. Caroline, qui observait toute la scène depuis la porte, se masturbait lentement.
Caroline rejoignit Roger :
- Encule-moi !
Caroline prit le tube de crème solaire et lubrifia la queue raidissante de son fils. Puis, elle sallongea sur le ventre, la serviette lui servant de matelas. Roger vint sur sa mère et enfonça lentement sa queue dans le cul maternel. Il se laissa descendre et porta tout son poids sur Caroline. Il lencula longuement car il avait déjà rendu ce service à sa soeur en séveillant. Caroline
glissa sa main sous son ventre et tritura son clito, elle parvint à synchroniser leurs deux orgasmes. Quand Roger retira son sexe de lanus maternel, Caroline le prit dans sa bouche pour le nettoyer. Quand elle eût terminé, elle lui demanda:
- Quest-ce quon fait cet après-midi ?
- On remet ça !
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