LE CAMPING DE LA MERDE
Chapitre 1
MAMAN VELUE
Linda de Zouza est Portugaise.
Elle habite l’appartement 8, escalier M, de l’H.L.M. de la Merde. Elle passe ses vacances au Camping de la Merde. Elle est belle et sale. Sale et velue. Poilue comme une ourse. Crade, cradoque, cradingue. Obsédée par le sexe et la scatologie. Elle a mangé, hier au soir, des quantités déraisonnables de brandade de morue, plat dont elle raffole et qui lui donne les plus intenses plaisirs intestinaux, c’est-à-dire sexuels. Elle se tâte l’abdomen. Elle a le ventre gonflé d’une délicieuse matière fécale issue de poisson et d’ail, donc horriblement parfumée et excitante. Elle n’arrête pas de péter. De longues vesses sonores, d’une puanteur affreuse, qui promettent une excitante quantité d’excréments.
La femelle se caresse. Elle a envie de chier, là, tout de suite. Elle doit faire ressortir et béer son gros anus. Pousser. Se répandre. Caquer. Elle veut jouir avec ses excréments. Elle bande. Elle mouille : or, pour elle, comme on le verra, ces verbes prennent leur pleine signification.
Elle décide d’aller à la plage en compagnie de sa fille, Luisa, mignonne enfant, encore presque bébé, âgée d’à peine quatre ans, qui dort pour l’instant, toute nue devant la tente, les cuisses grandes ouvertes, en exposant à tous ceux qui passent son étonnant corps d’enfant à la peau douce et très duveteuse, et ses organes génitaux à la conformation bizarre.
La gamine ressemble à sa mère. Comme la plupart des Portugaises, Linda de Zouza et sa fillette sont atteintes d’un sévère hirsutisme congénital, entretenu par des pratiques sexuelles perverses et délicieuses, telles que les bains de sperme et d’urine, et le badigeonnage régulier de la peau avec des onctions de pisse et d’excréments.
Linda de Zouza, la mère indigne, est plus que poilue : velue comme une guenon. Elle est fière de cet excès de laine sur sa peau brune. Elle jouit de son obscénité. Elle est de taille moyenne, la figure jolie, l’œil noir et ironique, le nez long (signe de clitoris hypertrophié) et la bouche large (signe de très vaste vulve). Elle est dotée de cuisses et d’un cul musclés. Sa poitrine est plate, mais avec deux suçoirs énormes. Elle a les cheveux aile-de-corbeau, coiffés en chignon. Ses sourcils épais, touffus, lui font une barre ininterrompue sur le front. Jointifs au-dessus du nez, hérissés, jamais taillés, ils rejoignent la chevelure sur les tempes et descendent vers les joues, elles-mêmes ornées d’une mousse épaisse. La moustache féminine est formée, longue, noire, excitante. Le menton s’enorgueillit d’une douce barbe femelle qui continue sur le cou et, de là, vers le haut de la poitrine et le sternum, où les poils bouclent puis se pressent en direction des aréoles aux pointes hypertrophiées.
Linda de Zouza sait qu’elle est bandante. Elle lâche trois pets infects, au bruit de trombone et qui semblent ne plus finir. Elle regarde, devant la tente, sa gamine nue, qui se pétrit la vulvette en gémissant dans son sommeil. « Putain qu’elle va être velue, cette jolie petite gosse ! pense la mère, qui détaille les gambettes, le cul fendu et le ventre hérissé de longs duvets noirs de la fillette. Pour le moment, ce n’est encore que du duvet, mais avant de fêter ses dix ans, elle sera couverte de poils ! J’ai été comme ça… »
Linda de Zouza sait qu’elle va faire des saletés. Elle ne peut pas s’en empêcher. Elle va en commettre avec sa fille chérie et les amateurs d’anomalies sexuelles qu’elle trouvera parmi les tentes et sur la plage. Elle a repéré, ce matin, un mâle au membre viril gigantesque, accompagné de son petit garçon monté comme un ânon. Elle veut les séduire. Elle n’aura pas de peine. Elle sait qu’ils sont bizarres, sales et pervers. L’homme était dans un monstrueux état d’érection, au supermarché du camping, où il faisait ses courses, nu parmi les hommes, les femmes et les enfants déshabillés. Sa queue colossale lui montait au sternum. Son gamin se masturbait devant une pile de Chocos BN, tandis qu’une vieille femelle velue de gris, le corps constellé de taches de sperme et dotée d’un large cul garni de poils et collant de merde, se tripotait les escalopes sexuelles en pignolant son gros clitoris. Linda de Zouza songe à ces scènes. Elle mouille comme une guenon en chaleur.
Elle vit nue, comme tout le monde, au Camping de le Merde, où chacun apprécie la noirceur bestiale de sa fourrure naturelle. Son corps entier est hirsute. Ses avant-bras exhibent des poils de huit à dix centimètres de longueur, serrés, onduleux comme un peuple d’algues noires. Ses épaules moussent d’un duvet noir bouclé, lequel couvre ses omoplates, puis s’épaissit en échine ténébreuse qui s’étale et s’amplifie au milieu du dos, et devient toison ininterrompue de la taille au cul, aux cuisses, aux mollets et aux orteils. Ses aisselles, que la vicieuse adore montrer à tout le monde (tous les sexes, tous les âges), en levant les bras dans la position des femelles offertes, semblent des copies de sa chevelure : les forêts noires y vont presque du coude au milieu du flanc, avec un incroyable nid de broussaille sauvage, ondulée, longue de vingt centimètres, dégoulinante de sueur, odorante et confuse.
Linda de Zouza regarde son abdomen, son cul et ses jambes, qu’elle n’épile plus depuis ses onze ans, après que son père les lui eut rasés intensivement entre l’âge d’un an et ses premières règles pour (disait-il en lui faisant téter sa pine chevaline), « faire pousser l’herbe noire sur le ventre de la gamine et autour de sa petite usine à pisse et à merde ». L’herbe noire a poussé comme une jungle. Les cuisses, musclées, sont plus touffues que celles d’un torero espagnol, avec des surcroîts de fourrure bouclée et torsadée en arrière et sur leur face intérieure, et des volutes incroyables qui remontent autour de la vulve. Les mollets sont enveloppés d’une laine longue, épaisse, drue et frisée. Les poils, longs de huit à dix centimètres au-dessus des chevilles, moussent en abondance sur les cous-de-pieds et le dessus des orteils.
Linda de Zouza ne met jamais de culotte, même en ville. Elle ne supporte aucun accessoire. Elle se regarde. Elle sourit. Sur sa poitrine plate et poilue comme celle d’un mâle, ses tétons bandent comme deux bites de garçons. Sur son abdomen, les poils sont si denses et longs qu’on a l’impression qu’elle porte une jupe. Elle écarte les cuisses et regarde paraître, balançant entre les cuisses, ses deux nymphes génitales extraordinaires : deux tranches de viande rouge ; deux biftèques écarlates qui suintent ; deux escalopes sexuelles géantes qui pendent depuis la vulve, plus bas que la mi-cuisses, presque jusqu’aux genoux.
Linda de Zouza possède un sexe et un corps hors normes. Elle s’admire et commence à se branler. Tout l’abdomen, depuis l’entre-seins et l’estomac, jusqu’au pubis, aux hanches et aux aines, est intégralement occupé par une toison d’un noir de jais, d’une épaisseur et d’une longueur ahurissantes. Les poils bouclent sur la poitrine plate, autour des longs suçoirs, sur le sternum et l’estomac, à partir duquel le ventre n’est plus qu’une jungle. Ils atteignent ou dépassent partout vingt centimètres, et plus de trente sur le mont-de-Vénus et la moitié supérieure des cuisses. Ils forment une couverture ininterrompue de la taille aux mollets, passent sur les hanches et les reins, s’organisent en volutes sur les fesses, qu’ils garnissent comme un mohair de chèvre. Ils tapissent les reins et le dos, et jaillissent de la raie du cul sur plus de vingt-cinq centimètres, comme une chevelure de Huron.
On pourrait croire que cette surabondance de phanères empêche de voir le sexe et l’anus. Il n’en est rien, tant ceux-ci sont hypertrophiés dans toutes leurs parties. Les grosses lèvres de la vulve, volumineux boudins velus, écartent le haut des cuisses et forment une excitante gueule génitale écarlate et suintante. Elles laissent passer entre elles les nymphes géantes, en escalopes pendantes, d’un rouge violacé, épaisses de deux centimètres et longues de trente, festonnées, crénelées et implantées sur toute la largeur de la vulve, de la fourche à l’anus. Ces pièces de chair, trempées de jus femelle, d’urine et de saletés, entourent un vagin large et musclé, bosselé, gluant, avide de tout ce qui peut y entrer, à l’avant duquel est un orifice urinaire fendu dans une excroissance de chair rose que surmonte un clitoris exceptionnel.
Le clitoris de Linda n’accepte qu’un adjectif : monstrueux. Cette tige à plaisir féminine mérite le nom de « quasi-phallus ». De « clitopine ». De « clitobite ». Au repos, ce qui lui arrive rarement, elle ressemble à une grosse saucisse pour la longueur et la teinte rouge vineux ; elle pend entre les nymphes, en montrant un gros gland toujours décalotté. Lorsqu’elle se met à bander, c’est-à-dire à la moindre pulsion sexuelle, à la plus furtive caresse, la flèche amoureuse se dresse contre la fourrure exubérante du bas-ventre. Elle gonfle et durcit de façon obscène, telle une pine de mâle en rut, longue de vingt centimètres et d’un diamètre de cinq. Bien des hommes aimeraient avoir un membre de ce calibre. Linda de Zouza jouit du sien, avec lequel elle se pignole, enconne et encule à plaisir. Aussi loin que remontent ses souvenirs, elle l’a toujours vu fêté, soit par elle-même (doux délice des masturbations obsessionnelles), soit par un homme (d’abord son papa, ses tontons, son pépé, ses frères et ses cousins), soit par une femme (d’abord sa maman, ses taties, sa mémé, ses sœurs et ses cousines) ; soit, plaisir suprême, par une petite fille ou un petit garçon.
Elle est pédophile. Elle adore donner à téter sa pine femelle, sa vulve et son anus aux gamins et aux gamines. Même aux bébés, qui ont la bouche si baveuse, si chaude et si douce…
Chapitre 2
SALETES SOUS LA TENTE
Au Camping de la Merde, Linda de Zouza se sent sale et vicieuse. Elle n’y tient plus. Elle s’est déjà masturbée trois fois ce matin, mais il lui en faut davantage. A présent, elle désire être ignoble.
Elle est nue. Elle a besoin d’être nue et crade. Pour jouir. Sans cesse… Elle est incestueuse. Folle des lèvres d’en haut et d’en bas de sa fillette, la petite Luisa, si bien éduquée au sexe malgré ses quatre ans, et à qui elle procure en retour d’intenses plaisirs. La tendre gamine a hérité de la clitopine maternelle. Elle la masturbe à pleine main, adore qu’on la lui suce, et préfère à toute autre sensation celle de son clitoris dans la pisse chaude ou la merde tiède.
On va voir qu’en fait de perversions, la bichette de quatre ans est déjà fort avancée.
La mère vicieuse se regarde. Elle est couverte de poils noirs. Excitante. Elle laisse tomber de longs filets de bave gluante sur la fourrure de sa poitrine, afin de faire gonfler les énormes pointes de ses seins plats. Elle lâche une série de pets sonores et foireux, dont plusieurs se terminent en gargouillis gras, qui projettent dans les poils de sa raie culière et de ses cuisses des limaces de matières brunes et puantes. Linda se palpe l’anus en gémissant. Comme la vulve, l’organe de la défécation est, chez elle, hors de proportion. Il compose une sorte de cratère autrefois musclé, désormais totalement défoncé, qui pend dans l’entre-fesses, au milieu d’un fouillis de poils collés d’excréments. De la taille d’une orange, ce sphincter, divisé par de profondes fissures, augmenté de peaux pendantes et de festons brun-rouge, présente un orifice en étoile qui ne se referme plus. Il bée en permanence d’au moins cinq centimètres. Lorsqu’il travaille à expulser les selles, ou qu’il accueille une queue, un gode ou un concombre (mieux encore : une main, voire les deux mains réunies d’une fillette ou d’un garçon), il devient prodigieux. La bouche s’épanouit comme un égout, et sourit au monde sur un diamètre de douze ou quinze centimètres, en révélant les profondeurs brun-rouge, collantes, visqueuses, d’une ampoule rectale d’un volume rare.
Linda de Zouza s’enfonce quatre doigts dans le rectum. Elle ajoute le pouce. Elle fait pénétrer sans peine la main entière dans son intestin. Elle touche et évalue l’énorme paquet mou et tiède de substances fécales qui attend impatiemment de sortir. La merde de brandade de morue est grasse, puante, excitante. La main va et vient, et branle l’anus éclaté qui jute une bave surabondante. Les doigts ressortent collés de matières brenneuses, garnis de glaires ignobles, d’une senteur repoussante, mais qui excitent la femelle et dressent sa clitobite jusqu’au nombril, dans la jungle des poils. Linda de Zouza lèche avec délectation son index et son majeur, puis ses autres doigts souillés. Elle colle une grosse virgule de merde sur les lèvres corail et la délicieuse moustache infantile de sa fillette endormie.
L’odeur du fumier maternel réveille la petite Luisa, qui sourit à l’adulte perverse.
La tendre enfant est merveilleuse à voir. Le vice incarné à l’âge de quatre ans. Un corps fin et délicat de gamine, mais frappé d’hirsutisme précoce. Des cheveux mi-longs, bouclés, épais, couleur aile-de-corbeau. D’énormes sourcils noirs jointifs, des joues duveteuses et déjà cette moustache excitante qui ajoute des ondes de plaisir dans la pine ou la vulve que la petite bouche vient sucer. L’enfant est nue : elle ne supporte aucun vêtement. Elle offre aux regards de sa mère son anatomie bizarre. Elle a les cuisses et les bras potelés, une peau brune et douce de bébé, un joli ventre de grosse chieuse, des fesses dodues, profondément fendues. Avec des floraisons sublimes de duvets épais, hyperprécoces, aux aisselles, sur les avant-bras, autour des pointes érectiles des tétons. De l’estomac aux mollets, la face ventrale de la gamine est un mohair délicieux : une folie de phanères épais, bouclés, divinement bestiaux. Bandants...
La petite Luisa est déjà laineuse comme une oursonne, avec des surcroîts de longs duvets enfantins aux aines, aux reins, aux fesses aux cuisses, aux mollets. Une fillette de l’amour… Elle sait qu’elle excite tous ceux qui la regardent. Elle n’a jamais vu personne ne pas se tripoter la vulve ou la bite en l’apercevant.
Elle est, à présent, tout à fait réveillée. Elle sourit à sa mère et minaude, de sa jolie bouche aux grosses lèvres rouges. Elle zozote d’une petite voix flûtée : « Bonzour, maman ! Z’ai bien dormi. Z’ai rêvé qu’un grand m’sieur sale me mettait sa grosse saucisse dans le trou à caca… Z’ai coulé partout sur mon lit… Hmmm !… C’était tout bon dans mon ventre… Z’ai beaucoup zoui, comme tu dis touzours… Maintenant, z’ai une grosse envie de faire des coçonneries. Z’en ai plein le ventre, ça me fait gonfler la zézette et le trou à crotte. Regarde, maman chérie, comme il est devenu dur, mon gros bout ! »
La fillette montre en le masturbant à pleine main son clitoris rouge, décalotté, long et raide d’excitation, comme une pine d’adolescent qui regarde déféquer sa mémé pleine de poils, puis se couvre de la merde de la vieille en riant comme un fou.
Linda de Zouza est une mère exemplaire. Elle s’inquiète du bien-être de sa gamine. Elle vient à elle, la prend dans ses bras, la soulève, la serre contre son corps hirsute, contre les forêts de poils de ses seins et de son abdomen. Elle lui caresse les cheveux et les joues, lui fait un gros mimi mouillé sur la bouche, que la petite lui rend d’enthousiasme en enfilant la langue et en salivant d’abondance.
La mère embrasse tour à tour les gros mamelons de la gosse, qui durcissent et gonflent. Elle frotte sa figure sur le ventre enfantin garni de duvet noir. Elle ouvre au maximum le compas des petites jambes. Le parfum de cyprine, d’urine et de caca lui envahit le nez et la cervelle. Elle admire, dans le fouillis de la laine enfantine toute gluante, la vulve hypertrophiée, qui a déjà tant joui, tant pris de langues, de clitoris et de bites. Elle songe que sa petite n’est âgée que de quatre ans. Délicieuse honte… Elle adore que son enfant soit si bien éduquée. Elle lèche en grognant les poils duveteux précoces du pubis et du petit cul qui se trémousse. La gamine est graissée de sperme, de pisse et de merde depuis le jour de la naissance…
La petite fille rit et gémit de plaisir, tortille le bas-ventre et le cul sous les baisers maternels. Elle possède, comme sa génitrice, une vulve hypertrophiée. On lui voit un mont-de-Vénus large et bien fendu, d’où pendent deux escalopes sexuelles rouges, frangées et crénelées, qui atteignent la mi-cuisses parce que soumises aux étirements et à la masturbation dix fois par jour. Vers l’avant du sexe, jaillit le fameux clitoris familial. Cette clitobite est en forme de virgule de cinq centimètres de longueur lorsqu’elle est au repos – état exceptionnel. La plupart du temps, elle bande et palpite contre le duvet du petit ventre, telle une queue de garçon de douze ans : un joli membre femelle de dix centimètres sur trois, avec un gland décalotté, conique et tronqué au sommet comme celui d’un chien.
Linda de Zouza embrasse à pleine bouche la vulve de sa gamine qui gémit de bonheur. La clitopine est raide : maman l’embouche et la tète goulûment. Il n’existe pas de meilleure sucette qu’un clitoris de fillette ou un zizi de garçonnet : tous les pédophiles vous le diront ! Maman saisit entre ses lèvres les lèvres sexuelles dégouttantes de jus. Elle les étire, les mord, les fait baver. Elle enfonce sa langue dans le vaginet, au début duquel l’hymen n’est plus qu’un lointain souvenir. Le jour de la naissance, la mère a dépucelé au doigt son nouveau-né, que le père a sexuellement déflorée avec son gros membre à l’âge d’un mois ; avant de l’initier par le cul deux mois plus tard. Maman passe à l’entrefesse, qu’elle écarte et contemple en bavant de plaisir. Les poils duveteux de la raie puérile laissent voir, dans leur fouillis placardé de sperme, de crottes et de sécrétions vaginales, un anus dilaté, en forme de bouche étonnée, rouge et brun, sensible, fissuré et définitivement élargi.
« C’est bon ! C’est bon !… Ze vais zouir !… », grogne la petite Luisa.
Linda de Zouza langote avec d’autant plus de passion le trou sale de sa fille.
« Maman, ze dois faire un gros caca ! » gémit la gamine que cette langue au cul rend folle.
« Oh ! oui, chérie…, mouine la femelle adulte : maman a faim. Fais vite ton gros caca dans ma bouche… Ensuite, on ira dans le camping chercher le m’sieur qui a une pine de cheval, tu te souviens, au supermarché ? Il a juté si fort qu’il y en avait une grande flaque par terre, et que la vieille dame a tout léché en se branlant. Hmmm !… Le m’sieur et son petit garçon… Ils ont une bite énorme, tous les deux, et ils sont sales. Le m’sieur m’a mis ses doigts dans le trou du cul à la caisse. On a rendez-vous… Hein, ma gosse, que tu aimes les grosses pines, la pisse et la merde ?
- Oh ! maman, bien sûr que z’aime les gros maçins rouzes des m’sieurs qui pissent et qui zutent. Z’aime les culs qui proutent et les cacas qui puent…
- Tu es adorable, dit la mère : à quatre ans, tu as appris l’essentiel du vocabulaire qui suffit à une jeune fille pour réussir dans la vie. »
La mère est impatiente. « Chie-moi une saucisse, mon amour, demande-t-elle : il faut que je mange de la merde, je bande trop fort. Après, on partira à la plage.
- Moi aussi, demande la gamine, z’aurai une belle saucisse à manzer ? C’est meilleur que les glaces au çocolat…
- Mais oui, mon coeur : tu en auras une. Une énorme !… Et même plusieurs, parce que, moi aussi, j’ai envie de caquer… Quand maman chie, son gros boyau en fait des tas… »
La petite fille se concentre, le clitoris rouge, luisant, dressé jusqu’au nombril contre son duvet pubien précoce. Elle écarte à deux mains les escalopes sexuelles qui couvrent plus de la moitié de ses cuisses de grenouille bizarre. Elle masturbe sa grosse vulve d’enfant vicieuse, exhale un gémissement de plaisir et pousse, pousse, de toutes ses forces. La pisse jaillit la première, large et chaude, dans la bouche ouverte de la maman urophile, scatophile et pédophile, dont la figure est éclaboussée, mais qui tente de n’en rien perdre et déglutit, déglutit, en pignolant sa clitobite comme un homme.
Lorsque la gosse a vidé sa vessie dans la gorge et l’estomac de la femelle adulte, elle se met à péter. L’odeur est affreusement érotique. L’anus se déploie et se retrousse au-dehors, rouge, déchiré, ourlé, comme un cratère rouge violacé. La tête triomphale d’un gros étron jaune et brun dilate l’orifice fissuré, dans la broussaille laineuse de l’entre-fesses infantile. La merde est cylindrique, mais irrégulière, avec des morceaux mal digérés, des filaments ignobles et de longues traînées de glaires et de vieux sperme. Linda de Zouza, les yeux fous de désir, lèche le cadeau de sa fille, dont le trou culier expulse avec vigueur sa charge coprologique. Le rondin se développe, d’un diamètre de cinq centimètres, et pend de dix, vingt, puis trente centimètres, en se balançant entre les fesses comme un battant de cloche.
Lorsqu’il se rompt, le saucisson fécal tombe droit dans la gueule avide de la maman, qui feule de bonheur. Les lèvres de la femelle adulte se ferment sur l’étron. Les dents hachent le colombin puant et le mâchent. La langue extrait avec avidité le jus brun-jaune. La salope se masturbe comme une démente en avalant avec délice les bouchées amères, qui lui emplissent l’estomac et font couler sa vulve comme une fontaine. Elle gicle. Elle éjacule la cyprine comme un mâle crache le sperme.
Linda de Zouza engloutit les excréments de sa fille chérie en jouissant comme une Messaline. Elle devient folle. Elle se couvre la figure, les nichons, les escalopes sexuelles, la clitobite de matières fécales ignobles. La gamine se pignole, elle aussi, en chiant, les yeux fermés de plaisir. Elle caque, caque, caque… Son clitoris bande et s’arque de plaisir dans sa petite main vicieuse. Elle crie que c’est bon. Elle finit de déféquer dans la bouche maternelle en gémissant de bonheur sexuel et anal. Elle jute, par le vagin, de longues giclées glaireuses. Elle jouit par le trou du cul en pétant comme un trombone.
« Putain, c’est bon ! » conclut Linda de Zouza, dans un grand sourire, les joues, les lèvres, les dents empâtées de résidus de digestion, et le corps maculé de merde. La maman comblée rote bruyamment ; tant il est vrai que les repas de gourmets se concluent de la sorte, par nécessité organique autant que par politesse envers la personne qui invite.
Chapitre 3
LA PLAGE AUX ROMANTIQUES
Linda de Zouza soupire de plaisir. Elle regarde son corps velu, enduit de merde, de plaques puantes, de longues virgules brunes. La femelle est heureuse. Elle aime être sale et bandante… Elle caresse, froisse, hérisse les épais poils noirs de ses jambes, de ses seins et de ses aisselles avec ses mains brenneuses. Son clitoris n’est pas rassasié : l’organe bande comme un phallus au-dessus des lèvres génitales qu’il soulève comme deux drapeaux rouges. Linda de Zouza étire et fait ballotter ses énormes escalopes sexuelles gorgées de sang, dégoulinantes de jus vaginal et d’urine, qui lui pendent plus bas que la mi-cuisses, presque aux genoux. Elle est superbe. Elle lèche le cul et le sexe de sa fillette Luisa, âgée de quatre ans, qui l’embrasse à pleine bouche et recueille entre ses dents et sur sa langue de gros fragments de merde amollie par la salive maternelle.
« J’ai encore envie d’être salope ! lance Linda.
- Oh ! oui, oui, maman, dit la petite Luisa : moi aussi, ze veux faire des grosses coçonneries…
- Brave enfant ! » conclut la génitrice ignoble, en enfilant trois doigts dans le trou du cul de la gamine, qui grogne de plaisir.
La mère et la fille, nues, velues, pisseuses, merdeuses et excitantes, se tiennent par la main et traversent le camping de la plage. Tout le monde les regarde. Les deux femelles anormales excitent mâles et femelles. Un vieux monsieur aux cheveux blancs, nu devant sa tente, détaille le ventre et le cul déjà garnis de longs duvets noirs de la fillette de classe maternelle. Sa tige sexuelle, longue, fine, sale, dégoulinante de salive et de restes de règles et de merde d’adolescente, surmonte deux couilles lourdes dans un vieux sac velu de gris qui pend à mi-cuisses. Le membre génital du senior est tordu à gauche (déformation née de milliers de masturbations depuis la petite enfance, au minimum cinq par jour), avec un volumineux gland violacé, crasseux et turgescent. Le vieux se pignole en râlant de plaisir, les cuisses écartées. Il flatte et palpe son anus défoncé, aux peaux pendantes, ouvert comme un trou de chiottes, et qui pousse de gros paquets de matières fécales sans même que l’individu s’en aperçoive. La main ridée masturbe à toute vitesse la pine qui devient luisante, de plus en plus tordue vers la gauche et incurvée vers le haut. Le vieux mâle supplie la gamine :
« Pisse-moi dessus, pisse, petite fille !… Fais plaisir à pépé !… »
La gosse sourit et vient vers lui. Le vieux se couche sur le dos. Luisa s’accroupit au-dessus de sa figure et écarte les cuisses. La bouche de l’urophile touche la fente de la gosse. Elle appelle la pisse en tripotant son clitoris. Luisa commence d’uriner. Elle pisse jaune, large et beaucoup… La bouche béante, le papy boit avidement, en se secouant l’organe comme un dément. Il se met à juter de longs jets de sperme clairet, comme en produisent les vieillards obsédés, en se tortillant de plaisir et en chiant sous lui de gros paquets verdâtres. Ses éjaculations arrosent son ventre et sa poitrine, et viennent s’écraser jusque sur sa figure ridée. Il lèche son sperme en gémissant de bonheur.
A la tente suivante, un joli garçonnet blond, âgé de sept ans, le corps couvert d’un fin duvet d’or, se tient debout devant son papa vicieux. Ils sont nus, eux aussi, et en état d’érection. Linda de Zouza et sa fillette Luisa les regardent en se masturbant.
Le papa, à genoux devant son rejeton, caresse les joues, le cou, la poitrine, le ventre, les cuisses, les fesses et l’anus du gamin. Il le retourne devant lui, lèche avec passion son ventre plat puis son petit cul en forme de pomme fendue. Il embrasse les couillettes juvéniles. Il s’amuse en grognant avec la quiquette rouge et raide : sa bouche de pédophile incestueux lèche, suce et engloutit l’organe bandé comme un sucre d’orge. Le père ignoble trique comme un cerf en fêtant le membre de son chéri. La pinette enfantine mesure déjà quinze centimètres, et elle est d’un diamètre exceptionnel ; plus de cinq. Les couilles du gamin sont bien pendantes : précocité sexuelle des enfants élevés dans des familles vicieuses, urophiles et scatophiles. Pas un poil sur le corps, mais un air de perversion sur la figure, et un anus d’une sensibilité rare à cet âge…
Le papa se masturbe lentement, pour faire durer le plaisir, en tétant passionnément son garçonnet. Puis il s’allonge sur le tapis de sol de la tente, les cuisses écartées, en offrant son appareil sexuel et anal. La queue lourde et large dépasse le nombril de toute la longueur d’un gros gland violet-rouge, collé de sperme et de matières fécales. Les couilles ridées et velues pendent, tapissées de crotte humaine. L’homme attire son garçonnet chéri sur lui, le dispose accroupi sur sa figure, l’anus bien à la verticale de sa bouche. Il lèche et pompe longuement, amoureusement la quiquette raide, les couilles rondes et l’anus qui se dévagine. Il plonge la langue dans le vase à merde.
« Chie, mon Pierrot ! marmonne le père indigne, excité… Chie ta bonne merde puante dans la bouche de ton papa qui aime… Pousse fort : ce matin, ton papa sale a déjà fait pondre ta maman, ta grande sœur et ta salope de mamie ; les trois femelles pleines de poils de la famille… Papa aime tellement le sexe et la merde de ses enfants, de sa bourgeoise, de sa vieille maman qui l’a initié. Papa adore le caca de tout le monde… Papa est vicieux…
- Oh ! papounet, mon amour…, dit le gamin : c’est si bon de caquer en famille ! Maman aussi aime bien ma merde ; et ma sœur Raphaëlle veut toujours me la manger… »
L’enfant blond, joli comme un cœur, ferme les yeux, tire sa jolie langue rose et contracte son ventre. Il pousse, pousse, les cuisses écartées, accroupi au-dessus du visage de son père infâme, qui ouvre largement la bouche sous l’anus désiré. Le gosse masturbe d’une main sa tige sexuelle rouge et de l’autre l’énorme membre prêt à juter de son père. Il force, il ahane. Son anus brun-rouge se déplisse comme une grosse bouche perverse et bée. Le boyau culier pète longuement, bruyamment, salement, comme on lui a appris à le faire depuis l’âge du berceau.
L’odeur de fumier exacerbe le désir du géniteur. Des ondes de plaisir submergent le gosse au moment où la merde sort de son boyau. La pinette rouge est saisie de spasmes. Elle ne jute pas encore, mais la jouissance qui accompagne la défécation est intense. Le jeune Pierrot râle son bonheur en expulsant sa charge fécale dans la bouche de l’adulte. Son trou du cul dilaté offre un épais cylindre irrégulier de matières digestives brun-jaune, luisantes de mucosités et de sperme (l’enfant s’est fait enculer peu avant par son grand-père, puis par les deux mâles pédophiles de la tente voisine). La merde s’allonge, inégale, grasse, large de quatre centimètres et longue de vingt, puis de trente.
Le papa pervers ne résiste pas. Il lèche, il baise, il mord, il taille dans l’étron à pleine bouche. Il mâche, il avale la substance ignoble arrosée de jute en grognant de plaisir. Il récupère tout ce qui tombe du boyau filial. Il engloutit, il exprime le jus, il déglutit, il ne veut rien perdre. Sa queue lourde et longue, que son fils branle doucement en la serrant au niveau du collet, se contracte et se met à gicler : le méat laisse partir de grands jets opalins, surabondants, qui éclatent sur la bouche, le nez et toute la figure du gosse et retombent comme des crachats, en formant une flaque immonde sur la poitrine, l’estomac et la queue de l’enfant.
Linda de Zouza et sa fillette adorée Luisa, la vulve coulante, observent la conclusion de la scène. Le garçonnet, secoué de spasmes de jouissance, se penche et prend dans sa bouche la queue massive de son père. Il nettoie goulûment le sperme tiède sur le membre qui dégomme encore. Il lèche l’abdomen et les seins gluants de son géniteur. Il se retourne, s’allonge ventre à ventre sur son papounet chéri, dispose sa queue rouge et raide sur la queue toujours raide de l’adulte, et lui propose un gros baiser dans laquelle ils unissent leurs salives, la merde de l’un et la semence de l’autre, en se grognant des mots d’amour.
Linda de Zouza et sa fillette continuent leur chemin dans le village de tentes. A la station suivante, une grosse femme d’une cinquantaine d’années, rousse comme tous les automnes, coiffée en chignon et nue comme c’est la règle absolue dans ce camping du vice, est en train de se masturber. Elle est presque aussi velue que Linda de Zouza. Ses énormes nichons, pendants sur son ventre plissé, ballottants, ont l’air de citrouilles hérissées de poils couleur de flamme, avec des aréoles de quinze centimètres de diamètre et de longs suçoirs épais, en érection. Les poils couvrent le sternum, l’estomac, tout le ventre, les bras et les jambes.
La femelle lisse, caresse, palpe sa fourrure obscène, qui ressemble à celle d’une truie. Elle frotte son gros abdomen à l’évidence chargé de beaucoup de matières digestives. Elle expose son large cul velu et sa vulve obscène, qu’elle offre à qui veut la prendre. Elle pignole d’une main son clitoris phallique, long de quinze centimètres et large de cinq, dont le gland décalotté brille. Elle farfouille, avec son autre main, sa grosse vulve et son vagin rouge, entre les nymphes sexuelles qui lui pendent à mi-cuisses, énormes rideaux rouge sombre, dégoulinants de jus. Elle se met à quatre pattes, le nez à terre, le cul en l’air. Elle écarte ses grosses fesses à deux mains, fouaille entre les épaisseurs de poils roux de sa raie culière, collée et crottée de paquets de vieux fumier. Elle trouve son ouverture anale avec une frénésie qui trahit une longue habitude de la scatologie.
Elle gémit : « Ma merde ! Ma merde !… Elle arrive… Putain, je vais chier gros. Je pète comme une salope. Je vais m’en mettre partout. M’en couvrir le corps… J’ai besoin que ce soit épais. Il faut que ça pue et que ce soit amer. Je suis ignoble. Nom de Dieu, comme je bande !… »
Elle touille de la main droite son trou du cul béant, aux parois déchirées, fissurées, festonnées de peaux, de lobes et de paquets d’hémorroïdes bleuâtres. Elle palpe à trois doigts les excréments accumulés dans son énorme ampoule rectale. Elle enfonce le quatrième doigt dans le vase, puis introduit le pouce en feulant de bonheur. Elle pousse sa main, elle la fait disparaître jusqu’au milieu de l’avant-bras dans son boyau. Elle va et vient en bavant de plaisir. Ses escalopes sexuelles dégoulinent de nectar d’amour, son clitoris bat spasmodiquement la fourrure rousse de son nombril. Elle pète sans discontinuer. Ses énormes lâchers de gaz puants l’excitent. Les matières fécales commencent de sortir en bouillie épaisse, bulleuse et bouillonnante. Elles forment une nappe grasse et ignoble sur son bras et sa main. La femelle en rut scatologique a la chiasse. Les excréments jaillissent avec force et coulent dans sa raie culière, sur ses fesses, sur ses lèvres sexuelles, ses cuisses et ses mollets velus. Le contenu intestinal est jaune verdâtre, avec de longues glaires et des parties noirâtres à l’odeur méphitique.
La femelle se fiste le cul de plus en plus loin. Elle jouit. Elle défèque à toute force. Elle bouse comme une vache. La merde gicle, dégueulasse, horriblement puante. Très liquide, diarrhéique… Les coulées fusent du trou anal béant et déferlent sur l’arrière-train et les organes génitaux. Les giclées et les éclaboussures tapissent les longues lèvres sexuelles, le clitoris monstrueux et le bas-ventre velu de roux. La femelle en chaleur commence de s’enduire le corps avec ses excréments. Elle aime. Elle est secouée d’orgasmes en étalant ses produits intestinaux sur ses cuisses et ses mollets hirsutes, son ventre garni de soies rousses, ses gros nichons mous aux pointes raides, sa figure, ses cheveux de flammes. Elle se vide, elle recueille chaque bouse qu’elle produit pour épaissir la couche de fumier sur sa peau. Elle lèche ses doigts, elle dévore des limaces verdâtres, noirâtres et amères. Elle n’est plus qu’un sac à merde.
« Tiens ! dit une voix dans la tente : le sac à merde est en crise...
- Ne parle pas comme ça à ta mère, gémit la femelle rousse et brenneuse qui se masturbe follement.
- Maman, dit la voix, tu es un sac à merde ! Un vrai sac à foutre, à pisse et à merde. Tu es ignoble.
- Salaud, je jouis… »
Un garçon sort de la tente et rejoint la femelle dont la vulve béante crache la cyprine autant que l’anus dilaté vomit la chiasse. Il est nu, cela va sans dire. Roux comme sa mère, les cheveux courts, la peau blanche presque sans poils, le nez retroussé, la bouche large et baveuse, la pupille emplie de vice, les yeux cernés par l’intensité et l’enchaînement ininterrompu des jouissances. Il est âgé de onze ans. Les fesses rebondies, avec une raie profonde d’où dépasse un anus énorme, lacéré et béant. L’enfant se montre à sa mère. Il lui offre ses organes sexuels : il possède une bite et des couilles disproportionnées. Il palpe ses boules rondes, pendantes et lourdes quoique imberbes. Sa main remonte vers sa tige phallique en érection. Le membre sexuel, épais et très rouge, comme souvent chez les rouquins, mesure déjà vingt centimètres de longueur et cinq de diamètre, avec un prépuce retroussé et un gros gland violacé fendu.
« Regarde ma queue, maman ! dit l’enfant qui s’approche du vaste cul merdeux de la femelle : elle est couverte de merde. Je viens d’enculer mamie, ta salope de mère de soixante-cinq ans. Elle est couchée dans la tente, couverte de chiasse et de jute. Elle est en train de gouiner ta fille, oui : ma petite sœur Julie, qui a trois ans et qui lui chie dans la bouche en étirant son clitoris et ses lèvres d’en bas.
- Tu es immonde, mon chéri. Ta grand-mère est incapable de résister à la bite, à la fente, à la pisse ou à la merde. Elle m’a tout fait faire quand j’étais petite fille. Elle est comme tout le monde, dans la famille : totalement perverse, dingue et incontinente par tous les trous. Chéri, encule vite ta mère qui jouit…
- Maman, je vais te remplir le trou du cul, oui… Papa est à côté, en train de manger le caca de mes deux autres sœurs. Il a enculé Lucille, qui a sept ans. Il a fait jouir bébé Fleur. Il dit qu’il va bientôt la prendre…
- Le salaud… Fleur a à peine un an ! Je me demande comment il réussira à lui mettre sa pine… Elle aura très mal, au début, mais elle sera tellement heureuse, ensuite… Ouverte à vie. Elle ne pourra plus jamais retenir sa merde… De toute façon, je serai là pour aider papa à initier la gosse !
- Papa dit toujours que c’est comme ça qu’il faut éduquer les enfants… Lève ton gros cul poilu, maman je vais t’enculer…»
L’enfant de onze ans, longuement et lourdement membré, bave de désir. Il approche sa mentule de l’anus dilaté de sa génitrice qui s’offre, à quatre pattes, le cul impatient, en continuant de déféquer malgré elle. Le gland rouge du gamin bisouille, puis force et pénètre le sphincter détruit par des décennies de sodomisations et de mains dans le rectum, et d’où débonde encore la chiasse. Le garçon roux s’accroche aux mamelles merdeuses et aux aisselles velues de celle qui l’a pondu et dont la vulve gicle le foutre. Maman se retourne pour embrasser le petit mâle sur la bouche. Il lèche, sur ses lèvres et sa langue, la merde onctueuse et puante. Toute sa queue s’enfonce et disparaît dans le trou culier. Le membre raide, tartiné de chiasse, va et vient avec force dans le boyau obscène. Le gosse recueille à pleine main les excréments qui débondent et s’en couvre la poitrine, la figure, le ventre. Il crie qu’il jouit. Il se crispe. Il gémit. C’est si bon. Il jute… Il lâche la purée… Il décharge, dans l’ampoule de sa maman, des giclées d’un jus épais précoce, qui frappent les parois intimes de la femelle, et qu’elle ressent en râlant de bonheur.
« Bon, dit Linda de Zouza a sa fille : nous aussi on va aller faire nos saletés. J’espère que le m’sieur à grosse queue et son gamin sont sur la plage.
- Z’ai la moulette toute rouze ! »
La gamine excitée lâche une longue giclée de cyprine infantile sur ses gambettes garnies de duvet noir.
Chapitre 4
PAPA ENCULE SON FILS
Linda de Zouza et sa délicieuse gamine Luisa, âgée de quatre ans, vont nues, hirsutes, superbes. Elles s’avancent sur la plage des vacances, au Camping de la Merde, où tout le monde baise, encule, pisse, chie, lèche, mange, vomit et jouit, jouit, jouit, à longueur de jour et de nuit.
Linda de Zouza sourit. Elle marche les jambes très écartées, à cause de l’énormité de sa vulve et de son clitoris, qui lui font des organes sexuels de jument. Ses grandes lèvres velues, épaisses comme des boudins, laissent pendre entre elles deux nymphes hypertrophiées, en forme de drapeaux rouge-violet, qui ballottent entre ses jambes tapissées de fourrure noire et touchent presque ses genoux, telles deux escalopes monstrueuses. Sa flèche féminine, qu’il faut bien appeler « clitobite » plutôt que « clitoris », bande comme une pine d’adolescent : un superbe cylindre de vingt centimètres de longueur et de quatre de diamètre. L’organe possède un gland auquel il ne manque qu’un canal et une fente éjaculatoire pour devenir phallus.
La femelle obsédée se pignole en marchant. Elle palpe son corps couvert d’une prodigieuse toison noire et bouclée, luisante de pisse et collée d’excréments. Elle est si velue qu’on dirait un animal, chèvre ou guenon. Ses seins plats, aux énormes bouts turgescents et aux vastes aréoles grenat, sont couverts de laine obscure, tout comme son ventre, ses cuisses, ses mollets, son dos, son cul musclé. Elle se branle. Elle crache sur sa flèche clitoridienne rouge et merdeuse : celle-ci lui monte au nombril et glorifie la prodigieuse forêt noire qui lui sert de robe.
Sa fillette Luisa, délicieuse enfant de quatre ans, est affublée des mêmes bizarreries génitales et pileuses. Un petit corps délicieux de gamine, avec une poitrine plate, de jolies gambettes enfantines, un petit cul rond très sale, très fendu et précocement hirsute. La puce est couverte de longs duvets fins. Elle urine sur ses cuisses et ses mollets à mesure qu’elle avance. Sa menotte d’enfant va et vient sur son clitoris. Elle a, elle aussi, les « petites » lèvres qui pendent – déjà à mi-cuisses ; travaillées, étirées, améliorées depuis la naissance par maman et toute la famille. Sa clitopinette atteint dix centimètres de longueur et deux de diamètre. La gosse adore se masturber devant tout le monde. A longueur de journée. En suçant une bite, une vulve ou un anus. En avalant du sperme ou de la cyprine, de la morve, de la pisse ou de la merde. Elle aime tout. Elle développe toutes les perversions.
La mère et la fille cheminent sur la plage. Un garçon de douze ans les regarde. Il est joli comme un cœur, châtain clair, les cheveux bouclés, la figure angélique, de grosses lèvres gourmandes et une langue rose tirée. Il bave. Il est nu, bien sûr. (Aucun habit n’est permis au Camping de la Merde. Aucun tabou n’y est toléré…) Le garçonnet pré-ado expose son corps souple et fin, ses deux tétons sensibles, et sa touffe de poils bruns sur le pubis.
Ses organes génitaux sont délicieux : sa bite, en érection, atteint vingt centimètres de longueur et quatre de diamètre, et s’achève par un long gland pointu, bien décalotté. La tige raide surmonte deux amours de couilles rondes, hérissées de poils courts. Ce service trois pièces d’adolescent vicieux orne un bas-ventre crépi d’excréments. Le mâle juvénile écarte les cuisses et les fesses, pète longuement et défèque une longue saucisse de merde jaune et molle, qu’il cueille dans sa main droite, à demi accroupi, en révélant un anus très élargi et béant, d’où pendent des peaux lacérées, épaisses et sales.
Le gamin renifle et lèche comme une offrande le paquet de merde puant et glaireux, ferme les yeux de plaisir, puis applique la charge fécale sur son membre raide, qu’il secoue frénétiquement. La bite jaunie lui monte plus haut que le nombril. Il se masturbe en gémissant. Il a déjà joui plusieurs fois aujourd’hui : son membre sexuel, enduit tour à tour de sperme, de cyprine, d’urine et de matières fécales, lui a donné bien du plaisir.
Un homme mûr sort de la tente. L’ignoble « beauf », tout nu excepté un « marcel » crade sur le haut du corps, est âgé d’environ cinquante ans. Moustachu, chauve, il boit un pastis en se caressant le paquet sexuel. Il est velu, ventru, puant la sueur, rotant et bavant. Il est doté de grosses couilles très pendantes, ridées et velues, et d’un membre génital bizarre, assez long (vingt-cinq centimètres), mais surtout épais de sept, large, tordu sur la gauche et exagérément cambré, avec un gland semblable à un cœur de veau fendu, violacé et couronné d’une épaisse couche d’excréments bruns et glaireux.
« Oh ! papa chéri, dit le garçon nu qui bande en caressant sa queue merdeuse : tu vas encore enculer ton petit garçon plein de caca… Maman a raison de dire que tu es un pervers pédophile et scatophile. Maman est en train de se faire enculer par un petit Arabe, le fils du monsieur qui sodomise tous les jours des petits garçons et des petites filles dans l’épicerie du camping.
- Enculer… Se faire enculer… Tu aimes ça hein, petit salaud !
- Tu me fais plein de saletés, papa chéri ! C’est si bon, avec toi… Regarde comme je suis raide ! »
Le père finit lentement son verre de pastis, rote et bave encore. Il fait mettre l’adolescent à quatre pattes devant lui. L’enfant sait ce qui l’attend. Il se propose, telle une chevrette en chaleur. Papa regarde le corps et le cul délicieux de son gosse. Il lui écarte les fesses, palpe l’anus distendu, en étire les peaux pendantes, vérifie à trois doigts l’ouverture définitive du sphincter, renifle avec volupté les pets que lâche le jeune mâle, et lèche en grognant le jus marron qui sort de l’orifice. Il caresse, par en dessous, les couilles déjà lourdes, puis la tige d’amour tendue par le désir et décorée de merde. Il ouvre la bouche, bisouille, langotte et fête longuement le trou du cul en remuant bien la langue dans le rectum. Il récupère les matières fécales molles et tièdes, très parfumées, qui se pressent vers l’extérieur du boyau et tartinent déjà l’entrefesses du garçon. Il trique dur, les grosses veines de sa bite palpitent, il déguste en grognant de satisfaction les excréments de son fils. Le pré-adolescent, la queue tendue de plaisir sous la caresse paternelle, regarde la fillette Luisa et sa mère hirsute, en disant :
« C’est bon de se faire sucer le cul par papa ! Il va m’enculer maintenant, ce salaud ! Papa, regarde la dame velue qui caresse le cul de sa petite : je trique, papounet chéri ! Enfile-moi vite, j’ai besoin d’une grosse queue dans mon trou sale… »
Le père s’installe derrière son gamin à quatre pattes. Il soupire de bonheur à la pensée de ce qu’il va faire. Sa queue lourde et arquée d’adulte pervers claque sur son gros ventre velu. Il mâche une merde molle et puante, cueillie à même le cratère rectal qu’il va investir. Son gland violet, turgescent, impatient, se pose sur les peaux lacérées et pendantes de la rosette intime de son fils. La tête de la bite écarte, en les repoussant vers l’intérieur, les parois de l’orifice. Elle force. Elle se glisse en chuintant, comme un lézard amoureux, dans le rectum du garçon qui émet de longs pets puants dont les projections garnissent de crépi jaune et brun le pubis et les cuisses paternels.
« Oh ! papa…, gémit le petit enculé : tu es gros mais c’est si bon, ta pine qui entre dans mon trou sale… Je pète, je chie sur toi, papounet, comme quand j’avais trois ans et que tu m’as pris pour la première fois. Tu m’as initié, comme tu disais à maman… Cette salope velue se branlait comme une folle en mangeant le gros caca de ma sœur aînée, déjà toute poilue même si elle était encore petite…
- Je m’en souviens, dit le père : ton mignon trou de balle vierge, pour ma queue de mâle vicieux… Je n’ai jamais giclé aussi fort de ma vie. Nom de Dieu de putain de merde : je t’aime, tu es ma petite pute ! Tu vas encore me faire juter comme un porc… »
La grosse bite du papa pervers va et vient de plus en plus vite, fort et loin dans le boyau d’amour du garçon, lequel n’est maintenant qu’une longue plainte de plaisir. La mentule raide, rouge et maculée de merde du gosse commence de gicler sans avoir besoin qu’on la branle. Le sperme de l’adolescent asperge, débonde et fuse, gras et épais, en longues décharges qui souillent sa poitrine puis dégoulinent à terre et forment une flaque hyaline. Le père cueille avec sa main la jute de l’enfant, la lèche, accélère son enculage et ahane de plaisir. Il commence de décharger à son tour, comme un dément. Le garçon sent, sur ses parois rectales, les éclaboussures tièdes et visqueuses lancées par les couilles et la prostate qui l’ont conçu. En dégommant à gros jets, le père grogne :
« Putain de nom de Dieu de merde, j’encule mon fils, je l’arrose, je mange sa merde, c’est bon ! C’est bon !.… »
Les deux mâles – enfant et adulte – se régalent de leur inceste ignoble et délicieux.
Linda de Zouza et sa fillette Luisa sourient aux deux pervers. Un vieux monsieur contemple la scène en bavant. Il tripote sa longue queue encore flasque et ses couilles qui pendent comme un double sac lourd et ridé, jusqu’à mi-cuisses. Le porc est âgé de plus de soixante-dix ans. Les poils gris de ses jambes, de son ventre, de son cul, de sa poitrine, sont constellés de merde et jaunis d’urine. Il rit avec vice. Il s’approche de l’adolescent et de son père. Il se branle de plus en plus vite. Sa queue commence de prendre de la consistance quand il vient toucher, puis renifler l’anus, les couilles et la pine des deux jouisseurs. Il se met à genoux. Son corps au cuisses maigres, son cul fendu tapissé d’excréments, son anus défoncé, aux peaux pendantes et merdeuses, ses couilles ballottantes, sa tige sexuelle qui devient énorme, avec un gland très décalotté et d’une saleté repoussante, excitent la maman velue et sa gamine hirsute.
Le salaud approche ses lèvres de la queue encore raide et baveuse du père sodomite et incestueux au moment où l’organe sexuel débonde du cul filial. Le vieux s’empare de la pine, la manipule, la soupèse, la bisouille, la lèche, la palpe et l’enfourne dans sa bouche avide. Le gland du père pédophile adore la tétée du vieux verrat. Le membre, encore en érection, est couvert de jute onctueuse et de merde grasse et brune. Le vieux suce et pourlèche passionnément le sexe qui vient d’enculer l’enfant et de dégommer dans son rectum. Pépé vicieux taste et avale le sperme et les matières fécales. Il déglutit en se pignolant. Puis il passe au trou du cul et à la pine de l’adolescent, qu’il fête avec la même perversion.
Papy a la bouche emplie de jute et d’excréments. Sa vieille queue lui monte au-dessus du nombril et commence de perler. Il pète bruyamment, son anus pendant de peaux s’ouvre comme une bouche d’égout. L’ignoble salaud lâche sous lui une chiasse énorme, d’une puanteur affreuse, verdâtre et jaunâtre, avec des glaires et des filaments ignobles. Le vieux cueille ce fumier à pleine main et s’en tartine la figure et le corps en grognant de plaisir. Il en met épais. Il commence de dégommer au moment où l’adolescent dispose son trou du cul au-dessus de sa bouche, contracte son ventre, pousse et lui défèque dans le gosier de longs trouillons d’un mélange baveux brun, formé de sa merde et du sperme paternel. La jute du papy jaillit du gland violet, claire et abondante, en une dizaine de giclées qui arrosent les poils blancs de sa poitrine constellée d’immondices.
« Putain, les salauds ! dit Linda de Zouza, dont le clitoris monstrueux bat les poils du nombril. Maintenant, il va falloir que nous fassions des saletés pour jouir à notre tour…
- Maman, maman, dit la mignonne gamine velue Luisa, en zozotant : z’aime ça ! Regarde ma grosse queue de fille, à moi aussi : elle est toute raide. Elle a besoin d’être sale.
- Tu bandes dur, ma chérie, dit la mère perverse en passant la main sur le clitoris en érection de sa gosse. Tu as la plus belle tige de fille du monde. Tu l’auras énorme quand tu seras grande. Une vraie bite… Encore plus longue et plus grosse que la mienne…
- Maman : tu es zentille, mais c’est pas possible. La tienne est plus grande que celle des m’sieurs sales… Ze te la tousse, maman : elle est douce et dure à la fois. Ohh ! tu me pisses dessus… Arrose-moi, maman chérie : c’est chaud, c’est bon. Z’aime tant les saloperies ! Ze veux en faire sans arrêt, toute ma vie…
- Bois-moi, petite saleté d’enfant ! C’est pas possible, d’aimer autant le cul, l’urine et la merde à ton âge !
- Ze t’aime, maman série ! Ze veux bouffer tout le temps tes gros cacas sales. Tu vas aussi sier sur moi, hein, maman ? Bien me tartiner ta merde dans les poils… Et sucer mon gros clito !
- Je t’aime, ma puce ! »
Chapitre 5
DES VITAMINES POUR LES FILLETTES
Il fait beau. La petite Luisa de Zouza sourit. Un merveilleux sourire de fillette de quatre ans, vicieuse comme on les aime, avec d’excitants restes de merde sur les dents et les lèvres… Elle a déjà joui de nombreuses fois, ce matin. Elle dit « z’ai zoui » avec un adorable zézaiement. Elle se prépare à le faire encore souvent dans la journée. Comme chaque jour.
Avec de si bandantes saletés…
Avec sa maman Linda, elles marchent dans le Camping de la Merde. Elles avancent en se masturbant le clitoris et les lèvres sexuelles, organes génitaux qui, chez elles, sont hypertrophiés, tout comme la pilosité.
Du haut de ses quatre ans, Luisa est superbe. C’est une petite fille excitante, potelée, délicieusement femelle en dépit de son âge tendre. Un amour pour pédophiles amateurs d’anomalies sexuelles extrêmes chez les très jeunes enfants… Un petit nez mutin, des yeux noirs aux longs cils épais, une grosse bouche gourmande... Elle est atteinte (c’est de famille) d’une forme extrême d’hirsutisme. Cheveux aile de corbeau, moustache visible, joues avec des prémices de barbe, énormes sourcils jointifs et foisons de poils enfantins très doux sur les bras, la poitrine, le ventre, les reins, les fesses, les cuisses, les jambes…
Outre l’hirsutisme, elle possède les attributs sexuels typiques des fillettes hyper-précoces et bien éduquées par leurs parents : un clitoris énorme, une vraie clitopine, un membre sexuel en érection quasi constante, d’une longueur de dix centimètres et d’un diamètre de trois. Autour de son petit vagin dégoulinant, où l’hymen n’est qu’un souvenir depuis le jour de la naissance, ses nymphes étirées, travaillées, pendent comme deux drapeaux écarlates entre ses cuissettes tapissées de duvet noir, et dégouttent constamment de cyprine. L’anus, ouvert plusieurs fois par jour par la bite d’un enfant, la grosse queue d’un mâle pédophile ou le mégaclitoris maternel, est béant, rouge, crotté de brun ; couvert de merde, comme le reste du cul. La fillette a été très tôt initiée aux plaisirs sans égaux de l’enconnage et de la sodomie, de la dégustation de pisse, de la scatophilie, bref des perversions les plus dégoûtantes et les plus enivrantes.
Sa mère est une ourse ignoble, incroyablement velue. Plutôt petite, jolie, avec un grand nez (signe d’organes sexuels hypertrophiés), elle a la poitrine plate, à l’exception de deux énormes suçoirs bandés, comme des bites d’adolescents qui se masturbent en regardant leur mère velue chier devant eux, dans le grand pot de chambre familial. Ventre, cul, cuisses, jambes sont tapissés d’une fourrure longue et drue, avec les chevelures de trente centimètres aux aisselles, sur le pubis, les cuisses et l’entrefesses. Le clitoris atteint une longueur de vingt centimètres, pour un diamètre de cinq, et rend jaloux bien des mâles. Les nymphes, en escalopes épaisses, frangées et violacées, ballottent presque jusqu’aux genoux, tandis que l’orifice anal ressemble à une lunette de chiottes, avec des peaux pendantes, déchirées, allongées, d’une saleté et d’une puanteur innommables…
« Tu fais grossir ma grosse tize, maman série ! zozote la petite Luisa, qui se masturbe le clitoris en étirant ses lèvres. Regarde comme ze bande dézà gros !
- Toi aussi, ma belle, tu me donnes la trique... Et tu voudrais que je t’encule !
- Oui, maman série : encule-moi ! Z’ai besoin d’un gros bâton dans mon trou sale !… »
La mère sourit et prend sa fillette dans ses bras. La puce est légère : la maman la soulève, lui baise la bouche, lui crache dedans, lui suce la salive puis lui cure les narines de sa longue langue vicieuse : elle adore la matière qui se forme dans le nez des petits et petites. Elle dispose la gosse sur elle, dans l’attitude de la grenouille (la position favorite des gamines), les cuisses bien écartées et relevées, la fentine offerte, l’anus exactement au-dessus de la tête de son énorme clitoris. La douce enfant se laisse descendre sur le membre maternel. Son sphincter habitué aux sodomies pédophiles se donne, accueille la queue femelle, la gobe, l’engloutit. La fillette s’empale jusqu’au fond du rectum en fermant les yeux et en gémissant que « c’est bon d’être une gamine vicieuse et d’avoir le cul larze ».
La mère avance ainsi, dans le Camping de la Merde, en portant sa gosse embrochée sur sa flèche d’amour. Les pas de l’adulte font entrer et sortir la clitobite du trou culier enfantin, ce qui procure aux deux partenaires des sensations délicieuses.
Devant une tente ouverte, les deux femelles tombent sur une autre scène de pédophilie scatologique honteusement excitante.
Deux papas se masturbent de la main droite. Ils sont nus et portent chacun leur fillette déshabillée sur leur bras gauche. Ils ont une trentaine d’années, leurs gamines à peine cinq. Les papas se sourient. Ils sont excités, la queue raide. Ils ont tous deux une grosse pine (comme tous les amateurs d’enfants), longue et lourde, et des couilles pendantes et bien pleines. L’un est brun, l’autre blond. Les enfants (brune et blonde comme les papas) sont adorables.
Les mâles adultes se roulent une pelle baveuse. Ils se tripotent mutuellement le ventre, le cul, les couilles, la bite et le trou du cul. Les gamines rient en se trémoussant sur leur bras velus. Elles écartent bien leurs petites cuisses. Elles frottent leurs parties génitales et anales sur la peau des papounets chéris. Elles aussi aiment la position de la grenouille, qui expose si largement et si vicieusement l’abricot sexuel et le tunnel à caca.
« Salaud de pédophile ! dit l’homme brun : je suis content de te rencontrer après ce contact Internet !… Je m’appelle Ahmed et voici ma petite Yasmine ; brune, vicieuse, bien éduquée et, comme tu peux le voir, déjà bien poilue.
- On est amateurs d’enfants, et c’est bon ! répond le blond : je suis Léo, et je te présente ma délicieuse Alice. Elle aussi est éduquée depuis longtemps. Et joliment hirsute, pour une puce de cinq ans...
- Il va falloir leur donner leurs vitamines ! sourit Ahmed. J’en fais prendre à Yasmine depuis sa naissance.
- Moi aussi, confirme Léo : Alice en prend plusieurs fois par jour depuis le berceau. Je lui ai d’abord administré ses fortifiants par la bouche, puis par la petite fente. Maintenant, je lui donne le plus souvent par l’anus, directement dans le boyau. C’est plus efficace.
- Et c’est là que c’est le meilleur !... Les gosses ont besoin des bonnes vitamines de leurs papas ! affirme Ahmed, dont la main tripote la fente grasse et le trou à merde de Yasmine, laquelle écarte les cuisses autant qu’elle peut en riant de plaisir.
- Oui, dit Léo : ça leur fait une peau très douce, de gros organes sexuels et ces beaux duvets d’enfant qui nous font tellement bander… Regarde ma petite Alice : elle est déjà hérissée du ventre, des jambes et du cul. Comme ta fille, salaud...
- C’est vrai, reprend Ahmed : sans compter que le bon jus de bite des papas leur donne envie de faire des pipis et des cacas délicieux…
- Putain, sourit Léo : t’es comme moi, gros porc immonde ! Tu aimes les gamines velues, la pisse, la merde ! Pédophile, urophile et scatophile ! Tu mérites qu’on fasse des saletés pendant toutes les vacances avec nos fillettes.
- Et même après, tu sais… Et avec tous les enfants qu’on pourra… J’aime tout ! Les petites filles, les petits garçons, les adolescents, les adultes mâles ou femelles, les vieux : mais je reconnais que je suis un putain de pédophile !
- Moi aussi, comme un fou !… Je me fiche des codes sociaux et des interdits. Je baise tous les âges comme je veux. Je ne compte même plus le nombre d’enfants que j’ai sucés et à qui j’ai fait téter ma queue ; des fillettes que j’ai enconnées ; des garçonnets et des fillettes que j’ai sodomisés jusqu’aux couilles… Et ta femme, elle fait quoi ?
- Cette salope de femelle hirsute cherche sûrement quelqu’un pour l’enculer, à l’heure qu’il est. Elle adore se faire prendre dans sa merde, en suçant des bébés, des adolescents, des gamins, des gamines, des transsexuels, n’importe qui, pourvu que ça sente le sexe, la pisse et la merde… Elle se fait chier dans la bouche à longueur de temps, elle en a besoin pour jouir.
- Elle aime ce qui est bon ! La mienne est avec ma grande fille de douze ans, mon fils de huit et ma petite dernière de six mois. Et avec mes parents… Ils font tout dans la tente à côté. Tu sais, je baise avec mon père, ma mère, mes frères et sœurs, leurs enfants et mes enfants, depuis des années.
- L’inceste, c’est bon… En famille, c’est encore plus bandant… Pour l’instant, j’ai envie de juter dans le boyau de ta belle petite. Tu feras pareil à la mienne. Elle adore ça. »
Ils échangent les gosses. Ils aiment se voir bander si dur pour leurs fillettes sales et vicieuses.
« Montre-toi bien, Yasmine, dit Ahmed, et fais beaucoup de mimis sales sur la grosse queue raide de mon copain Léo. Sur ses couilles et son trou du cul, comme je t’ai appris...
- Sur le trou du cul, c’est bon ! dit Léo. Alice, tu fais tout pareil à Ahmed, hein, ma chérie ! C’est un gros salaud de pédophile, comme moi… »
Les deux mâles adultes se couchent par terre, sur le dos, les jambes écartées, la queue gonflée, rouge et levée sur le ventre ; le gland bien plus haut que le nombril, les couilles offertes, l’anus béant.
Les enfants perverties viennent sur la poitrine velue des mâles, le cul au-dessus de la bouche qui les désire. Elles savent offrir le spectacle de leurs organes pour faire triquer, puis juter les amateurs de fruits verts. Elles ont appris ce qu’elles doivent faire avec leur bouche et leurs mains, leurs culs délicieux, leur corps d’enfants sales…
Yasmine, belle fillette brune, le cul rond, tout tapissé de longs duvets noirs précoces, offre aux regards une vulve travaillée, au très gros abricot d’enfant bien fendu, d’où jaillit un clitoris en forme de quiquette raide et rouge, et d’où pendent deux lèvres vaginales étirées, larges, dégoulinantes de jus d’amour. La raie culière, très velue pour l’âge, laisse voir une rondelle anale dilatée, fissurée, crêtée et violacée, tapissée d’excréments et incapable de se refermer à force d’avoir été forcée.
Chez la blonde Alice, les organes sexuels sont également hypertrophiés et le clitoris phallique, bandé, avec un gros gland décalotté. La motte, garnie de longs poils frisottés d’angelot, offre – très longues et festonnées – ses lèvres sexuelles en oreilles de cocker. L’anus forme le plus sale des orifices : dans l’étoile du sphincter défoncé, on voit poindre la tête jaune et puante d’un volumineux étron.
Les papas se mettent à lécher passionnément le clitoris, la vulve, les lèvres pendantes, le trou brenneux des gamines de cinq ans, qui font beau cul et couinent de plaisir. Les petites éduquées prennent dans leurs mimines expertes le gros phallus rouge sale des pédophiles excités, et commencent de branler l’organe en lui donnant des bisous. Les bouches excitantes des fillettes lèchent, salivent, s’ouvrent et engloutissent sans hésiter le membre sexuel dont elles sont chargées. Rien n’est beau comme une fellation administrée par une petite puce bien élevée… Les petites filles pompent goulûment les manches d’amour tumescents, crades, ignobles. Elles posent des baisers sur les couilles velues des papas, soulèvent le scrotum, reniflent la puissante odeur du cul des mâles et trouvent, dans les poils collés d’excréments de la raie culière, le vaste orifice défoncé par où les papas font leurs gros besoins.
Ahmed et Léo se mettent à péter. Ils larguent de grosses vesses puantes dans le nez délicat des fillettes qui inhalent les gaz et se mettent aussitôt à pisser. Les mâles ouvrent la bouche sous le méat urinaire des enfants, en écartant bien les longues et délicates lèvres internes en drapeaux rouges. L’urine des gamines gicle en large jet jaune dans le gosier des pervers, qui adorent ce jus tiède, ammoniaqué, abondant, qui les fait triquer plus dur encore. Tous les papas adorent le pipi de leurs enfants et le boivent en gargouillant de plaisir. Les deux vicieux râlent que c’est bon, qu’ils veulent de la merde, maintenant...
Les gamines savent ce qui plaît aux adultes scatophiles et pédophiles. Elles sucent les bites avec plus de passion encore et poussent de toute la force de leur joli ventre. Elles contractent leurs muscles et leurs boyaux. Leur anus frisotté de duvets touffus précoces devient large comme une bouche, rouge et violet, béant, fissuré, révulsé. Le résidu intestinal paraît dans des concerts de pets puants, gras, méphitiques, que les mâles inhalent en grognant comme des porcs.
Yasmine commence la première à chier sur la figure et dans la bouche du papa d’Alice. Alice pousse et pond, à son tour, une énorme défécation sur le visage extasié du papa de Yasmine. La merde de la gamine brune est jaune clair et verdâtre, molle, quasi liquide, d’une abondance rare ; cette chiasse fuse du trou infantile, s’abat en trouillons obscènes sur le visage du mâle, coule sur son cou, s’entasse contre ses cheveux et finit par couvrir toute sa tête à la façon d’une lave ignoble et excitante. Le papounet mange, avale ce qu’il peut, se tartine la poitrine puis tout le corps d’excréments, en met épais sur sa queue raide de désir, que la fillette tète avec encore plus de plaisir quand elle y goûte ses propres matières fécales.
La merde d’Alice est plus compacte. Elle s’extrude du boyau comme un gros serpent brun, assez molle mais moulée, lourde, emplie de morceaux mal digérés et de glaires. Le trouillon obscène s’arrondit sur la figure de l’adulte, qui y taille sa pâture, mâche en grommelant de bonheur, exprime le jus, avale et ne manque pas, comme son complice, de s’enduire le corps de matières immondes.
Les papas n’en peuvent plus. Ils sont couverts de fumier, la queue raide de désir. Ils font mettre les fillettes à quatre pattes devant eux.
« Putain de nom de Dieu, que c’est bon, dit l’un, la bouche pleine de merde…
- Maintenant, dit l’autre, qui déglutit en râlant de bonheur les excréments, on va leur donner nos bonnes vitamines par le trou du cul !
- Oh ! oui... Venez, les petites, faites beau cul pour vos salauds de papounets ! »
Les gosses, à quatre pattes, et les cuisses bien écartées comme de petites chiennes, lèvent les fesses et les remuent pour exciter davantage encore les pédophiles. Petits culs délicieux d’enfants offerts, et déjà tout tartinés de merde… Si petits corps, par rapport aux adultes ; si fragiles en apparence… Les lèvres internes des chatounettes pendent très bas entre les cuissettes, en drapeaux rouges et suintants. Les longs et gros clitounets bandent sur les petits ventres mousseux de poils précoces. Les anus, environnés de caca, bâillent de désir dans les raies hirsutes.
Rien n’est plus beau que ce qui se prépare : la sodomie sur enfants innocents… Les queues adultes, lourdes et raides, prêtes à juter, se balancent devant les culs étroits et les rondelles palpitantes des fillettes de cinq ans. Les papas incestueux et pédophiles, viennent faire mimi aux trous à caca de leurs petites puces adorées. Les glands, couverts d’excréments, gonflés de sang vif, avec leurs larges ailes violacées, frottent d’abord les vulvettes coulantes, fente contre fente, en remuant les nymphes qui pendent. Les papas poussent : les énormes têtes phalliques se faufilent dans les vaginets en écartant violemment les chairs. Les gamines ont été depuis longtemps violées et elles aiment la bite par devant. Même si ça rentre en largeur, ça ne va pas bien loin. Les conins des fillettes de cinq ans sont bien courts.
Les adultes sans morale ressortent leur pine des vaginets béants et posent la tête de leur manche d’amour sur l’anus des fillettes. Celles-ci sont habituées. Les excréments qui tapissent leur raie lubrifient le passage. Les glands merdeux poussent, forcent les chairs déchirées, défoncées, sensibles. Les sphincters puérils cèdent, une fois de plus. Les orifices s’écartent, se donnent. Les gros cœurs violacés des phallus s’enfoncent dans les rectums. Les tiges gonflées, veinées, dures et sales, pénètrent lentement, avec volupté, dans les gros intestins enfantins : le diamètre des saucisses d’amour des papas semble énorme, par rapport aux petits culs offerts. Les fillettes gémissent que « c’est bon, c’est bon, c’est bon ! » en se faisant des langues. Les papas, eux aussi, se roulent des pelles baveuses et échangent leurs salives au goût de merde. Chacun caresse la pine de l’autre, qui s’enfonce dans le fion de la gamine qu’il a prêtée au copain. Les queues progressent dans la chaleur des réceptacles enfantins. Tout finit par entrer. Les gosses ont dans le cul les vingt-cinq centimètres sur cinq des adultes fous de désir.
Les papas se retirent doucement en arrière, pour déployer sur leur tige les parois anales des pucettes qu’ils enculent. Les membres dégoulinent de merde tiède et odorante. Lorsque les mâles se réenfoncent, puis commencent de pistonner, on entend les râles des quatre acteurs ; les grognements graves des adultes et les cris aigus des petites. Celles-ci jouissent les premières, en mouinant que c’est bon, la grosse queue des papounets dans le trou sale des enfants. Les papas grommellent qu’ils ne tiennent plus, qu’ils vont gicler leur bonne jute, qu’ils jouissent, qu’ils vont donner les vitamines aux gosses qui en ont bien besoin.
Et ils jutent, en effet, en râlant de plaisir. Les giclées de sperme gras et blanc fusent des bites énormes… Une dizaine de jets tièdes que les fillettes sentent heurter les parois de leur rectum, et qui plongent pères et enfants dans un délire érotique qu’on recommande à tous les salauds qui se branlent en lisant ce texte immoral, mais tellement délicieux…
Chapitre 6
DEUX PAPAS ET LEURS GARCONS
Linda de Zouza caresse son corps de femelle hirsute, belle, simiesque. Elle lèche sa poitrine velue et plate, aux tétines énormes et bandées. Elle a le ventre, le cul, les cuisses, les mollets hérissés de longs poils noirs et drus, mouillés de sperme, baignés d’urine, tapissés de merde.
La salope sourit et manipule lentement, avec volupté, son hyperclitoris long de vingt centimètres, large de cinq, rouge et raide comme une bite. En écartant les jambes, elle pisse de plaisir : de larges jets jaunes fusent entre ses escalopes sexuelles. Les nymphes lui pendent plus bas que la mi-cuisses, presque aux genoux, étirées, monstrueuses, festonnées, dégoulinantes de jus, d’un rouge violacé, couvertes de sperme et de matières fécales. La femelle se palpe le trou du cul. Elle explore son anus béant, où pendent des peaux enduites de merde et de foutre. Elle caresse ses cuisses et ses jambes poilues. Elle aime la jungle noire qui lui couvre le corps. Elle est heureuse de son hirsutisme, qu’elle a transmis à sa fillette de quatre ans, Luisa.
Luisa, merveilleuse gamine aux cheveux aile de corbeau, aide maman à fêter son trou du cul et ses organes sexuels. C’est une superbe puce vicieuse, aux grands yeux noirs, aux lèvres gourmandes, au corps fin et à la peau douce et tiède, couverte de poils précoces bouclés, longs et laineux. Elle a, comme sa génitrice, une excitante hypertrophie sexuelle et anale. Son clitoris bande comme une quiquette d’adolescent sur son ventre tapissé de longs duvets : le membre atteint dix centimètres, avec un gros gland violacé. Les lèvres génitales de l’enfant pendent, ballottent à mi-cuisses et dégouttent de jus d’amour, tandis que son gros anus déjà défoncé pète, incapable de retenir les paquets de merde mêlés de sperme.
La mère et la fille sont définitivement sales. Leur séjour au Camping de la Merde est un bonheur constant. Elles enfilent sans peine chacune trois doigts dans le trou du cul de l’autre, juste pour être bien. Par habitude. Des coulées d’excréments puants, graissés de jute, leur poissent les doigts. Elles chient dans la main de l’autre un étron gras et brun-jaune, en gémissant de satisfaction. Les matières intestinales les excitent. Elles les lèchent, en mangent et s’en barbouillent.
Elles regardent dans la tente suivante.
Deux hommes adultes, pédophiles et incestueux, l’occupent. En compagnie de leurs petits garçons, à peine âgés de cinq ans. Les deux porcs immondes sont nus, excités, sales et en état d’érection. Ils se roulent de grosses pelles baveuses en se pelotant le cul, les couilles et la tige. Les enfants se masturbent avec eux, la quiquette raide, le petit cul déjà offert.
L’un des hommes est grand et maigre, très velu, brun, de type méditerranéen, le cheveu ras, avec un ventre plat de gros mangeur de merde et de chieur jouissif. Les poils noirs de sa poitrine, de son ventre, de son cul et de ses jambes sont décorés de paquets d’excréments et mouillés d’urine et de sperme. Il caresse le cul de son copain et le pignole doucement, vicieusement, avec volupté, comme savent le faire les vrais salauds, bisexuels, scatophiles et amateurs de gamins et de gamines. Il possède de gros organes génitaux, des couilles lourdes et pendantes. Sa tige sexuelle est longue de vingt-huit centimètres pour un diamètre de six, tordue sur la gauche et munie d’un gros gland violacé, fendu large et tapissé de matières fécales. L’homme se caresse le membre, les testicules et l’anus. Il adore être dégueulasse.
L’autre mâle est trapu, ventru, chauve, avec d’épaisses lèvres gourmandes et un air de vice total. Ses poils blond-roux sont drus ; ils forment une toison bouclée sur sa poitrine, son abdomen, son cul, ses cuisses et ses larges mollets. Il est Belge et se vante d’avoir fait partie du réseau pédophile de Marc Dutroux. Il pignole son ami, lui palpe les parties génitales et le canal à étrons. Ses couilles, pendantes et lourdes, sont surmontées d’un membre génital d’une longueur raisonnable (vingt-deux centimètres), mais très épais : sept centimètres de diamètre, huit au niveau du gland. L’homme dit avoir toute sa vie enfilé des mâles et des femelles de tous les âges, mais surtout des enfants – les fillettes au vaginet et au trou du cul, les garçonnets au trou à merde ; et s’être fait sucer par des mineurs en tous genres, y compris des bébés au berceau, auxquels il faut donner chaque jour leur ration de vitamines sous forme de sperme tiède et visqueux.
« Entrez, mes chéries poilues ! dit le brun : je m’appelle Samir et j’aime les petits mâles ; mais aussi les salopes de femelles comme vous, hirsutes, bien membrées et hyper-pendantes de la vulve et du trou du cul... J’adore les gamines velues…
- Vous êtes deux gros salauds, dit Linda de Zouza en masturbant le gros clitoris raide de sa fille : regardez bien ma petite Luisa, elle adore jouer avec les pédophiles. Je l’ai éduquée, elle est complètement obsédée. Folle de jute, d’urine et de merde. Elle prend les bites par tous les trous, c’est une vraie jouisseuse, même si elle n’a que quatre ans.
- Parfait, dit le Belge : je m’appelle Alain. Avec mon copain Samir, on va enculer nos petits garçons, que voici. Ils ont cinq ans. Le joli chéri brun de Samir s’appelle Yacine ; mon blondinet se nomme Fredo. Venez, les gosses : on va contrôler vos ventres, vos quiquettes et vos moulins à caca. Vos papas ont besoin de juter… Et, bien sûr, de manger votre bonne merde chaude et puante ! »
Les deux petits mâles viennent en riant proposer leurs organes à leurs papas pédophiles et incestueux, et à nos deux héroïnes velues. Ils sont beaux. Le jeune Yacine est un Méditerranéen typique, un joli Beur bandant : cheveux noirs et bouclés, yeux de charbon, longs cils, nez morveux, bouche boudeuse, corps trapu, jambes musclées, petit cul ferme. Il tend le ventre en avant pour mettre en valeur sa quiquette dressée et ses jolies boules. Ses couilles rondes et fermes sont surmontées d’une tige sexuelle surdimensionnée pour un chéri de cinq ans ; douze centimètres de longueur, trois de largeur ; un tuyau sexuel à la peau sombre, circoncis, avec une tête fendue épaisse, luisante, d’un rouge violacé... Un membre infantile perpétuellement masturbé, sucé, fêté, toujours invité à explorer les bouches, les vagins ou les anus de la famille et des amis de papa et maman…
L’enfant se retourne et montre ses fesses, qu’il écarte à deux mains. Entre les globes à la peau bronzée, ferme, douce et lisse, la raie culière offre un orifice anal large et totalement défoncé. Délicieux, par sa saleté et son aspect béant. Les peaux sont lacérées et les muscles du sphincter éclatés et dilatés. L’enfant fut ouvert par son papa à l’âge d’un an. Le petit Yacine sourit en voyant les deux complices triquer dur au spectacle de son gros popo merdeux.
Le petit Fredo se présente à son tour. Il est adorable, d’un blond très pâle, les cheveux bouclés longs comme ceux d’une fille, tombant sur les épaules, le corps maigre, l’aspect fragile, de grands yeux bleus cernés de noir, comme le sont ceux des enfants qu’on fait jouir sans relâche ; qui sont réduits à l’état de machines à plaisir par les adultes immoraux et obsédés. Sa poitrine étroite, dont on voit les côtes, se décore de deux tétons sensibles, hypertrophiés. Son petit ventre creux donne sur deux cuisses longues et fines, entre lesquelles pendent des couillettes que le père a beaucoup étirées, sucées, traites, malaxées, afin d’allonger le scrotum et de le faire ressembler à des lèvres hypertrophiées de fillette. L’organe phallique du gamin bande dur. La queue est longue et mince : à cinq ans, l’enfant s’enorgueillit d’une tige de quatorze centimètres, mais épaisse à peine d’un centimètre et demi ; avec un gland décalotté très pointu, qui évoque celui d’un chien. Une adorable baguette sexuelle à sucer et faire jouir, au plaisir du pédophile… La peau de l’enfant est blanche et délicate. Ses petites fesses étroites et nerveuses s’ouvrent sur une raie culière tapissée d’excréments, et creusée d’un vase délicieux, rond et très large, attendri, béant, rouge vif et pendant de peaux. Le père n’appelle cet anus que la « fente à merde » ou les « chiottes de la poupée ». Il traite son enfant comme une petite fille dont le tuyau à excréments serait la vulve…
« Vous êtes d’infects pédophiles qui abusent de leurs gosses ! dit Linda de Zouza, dont la clitopine énorme, rouge et excitée, bat les poils du ventre plus haut que le nombril : vous devriez être punis par la loi. Mais je vous aime !
- Maman, demande la petite Luisa hirsute : ze veux regarder les m’sieurs sales quand ils vont enculer leurs enfants ! Les m’sieurs sales adorent tous mettre leur pine dans le caca des enfants !
- Bien sûr, ma chérie : tu vas regarder et même tu vas toucher et lécher !… Oui, tous les papas adorent enculer leurs gosses, ils le font sans exception. Rien ne les fait mieux bander… Mais ces deux-là sont ignobles. Regarde : ils ont faim. Ils aiment les cacas des petits anges, ils ont envie de manger tout ce que les garçons vont pousser dans leur bouche…
- Putain de salope poilue, dit Samir : tu éduques bien ta gamine ! Tu as raison, on aime la merde des enfants comme des dingues ! Et celle des adultes aussi… On en mange en famille depuis qu’on est gosses nous-mêmes…
- Toutes les merdes sont bonnes à déguster, ajoute Alain ; mais il faut reconnaître que celles des petiotes et des petiots sont les plus bandantes… Hein, ma puce de Fredo, que ton papa te mange la merde au cul plusieurs fois par jour ? »
Le blondinet rit : il a de jolies dents de lait, un peu écartées, mignonnes et brunies d’excréments. Il se masturbe avec une sorte de violence et se met à péter longuement. Le petit Bougnoule l’imite. Les deux gosses viennent se mettre à genoux et se prosternent devant les bites paternelles excitées, raides, rouges, luisantes et merdeuses. Les papas ont décidé d’échanger leurs gosses : Fredo, le blondinet d’Alain, va sucer Samir, lui chier dans la bouche puis se faire sodomiser par lui ; tandis que Yacine, le petit brun de Samir, offrira les mêmes plaisirs au Belge.
Les garçonnets de cinq ans se disposent devant les papas en rut. Les enfants, si tendres, si beaux, en apparence si innocents, sont devant les pères, le visage à la hauteur du membre sexuel adulte qui leur est dévolu. Minois pervertis par d’ignobles jouisseurs… Les queues paternelles, rouge vif et violacées, excitées par la pédophilie, l’inceste et la scatophilie, palpitent et se tendent. Les gosses attrapent dans leurs petites mains et caressent les grosses couilles velues, gonflées de sperme. Ils palpent les cuisses des mâles. Ils remontent vers les fesses, cherchent et trouvent les trous du cul dilatés. Ils plongent les doigts dans les sphincters merdeux. Ils étalent les excréments sur les fesses des papounets. Ils reviennent vers l’avant en excitant le périnée, puis le pubis sensible des deux pédophiles. Ils saisissent les bites raides, gonflées. Ils les caressent sur toute la longueur. Leurs mains d’enfants vont et viennent sur les grosses queues veinées de bleu. Les garçonnets branlent les papas comme ils ont appris à le faire depuis le berceau. Ils masturbent les mâles en cadence, en déposant plein de bisous mouillés sur les glands turgescents. Les bouchettes suçotent les tiges en insistant sur le frein sensible. Les lèvres fêtent les glands violets et les collets garnis de merde. Elles s’ouvrent et bavent. Les têtes excitées des verges adultes s’enfoncent dans l’antre rose corail des angelots bien élevés, dont la langue experte s’agite et dont la gorge tète, suce, aspire la chair des phallus en érection. La scène est délicieuse : tous les pédophiles en conviendront.
Chaque pine disparaît à moitié dans la bouche béante des enfants aux joues gonflées. Les pères, ravis par cette fellation infantile, se roulent des pelles baveuses en mêlant leurs langues et en se manipulant mutuellement le trou du cul. Samir bave, gémit, pète longuement, puamment, contracte son ventre velu et se met à chier dans la main d’Alain, qui pousse à son tour et lui rend son cadeau scatologique. Les étrons mâles, énormes et méphitiques, sortent comme des serpents des anus défoncés et pendouillants. Samir défèque un paquet mou, brunâtre, résultat d’un repas de couscous riche en pois chiches, poivrons et harissa, tandis qu’Alain expulse un volumineux saucisson fécal jaune, collé de glaires, où l’on reconnaît les résidus d’un plat de moules-frites arrosé de bière.
La quantité de matières est importante. Les mains des salauds débordent, ils commencent de s’en tartiner le cul, le ventre, la figure, puis tout le corps. Ils en étalent sur les fesses, les cuisses, les couilles, la queue de leur partenaire, que chaque gamin doit (bien sûr !) ne pas cesser de sucer. Les bites merdeuses vont et viennent dans la bouche des garçonnets, qui ferment les yeux de plaisir : la merde a toujours été associée, pour eux, au plaisir sexuel et anal. Ils déglutissent le mélange de salive, d’urine, de sperme qui goutte au méat et de résidus digestifs.
Linda de Zouza et sa fille Luisa ne restent pas inactives. La mère hirsute se caresse les aisselles, les tétons, le ventre, le cul, le pubis, les lèvres génitales et la tige sexuelle. Elle bande comme un capitaine ; son clitoris rouge et noueux, sa grosse pine raide de femelle anormale, lui monte au nombril en suivant la piste au trésor velue… Elle est devant le petit Yacine. Elle se penche, lui tripote les couillettes et la pinette, engloutit la tige raide de l’enfant et le tète avec amour. Elle sait faire plaisir aux gosses. Elle donne du goût au sucre d’orge du gamin en l’enduisant avec de la merde grasse et ignoble qu’elle cueille au cul de l’un ou de l’autre des mâles adultes.
Près d’elle, la petite Luisa, si anormalement duveteuse, les cuisses béantes, le clitoris dressé, les lèvres ballottantes et coulantes de jus, administre la même fellation merdeuse au blondinet Fredo, dont les couillettes pendantes sont secouées par le plaisir.
Les deux femelles préparent la grosse défécation des anus enfantins. Leur langue gourmande s’enfonce comme un piston rose et gluant dans le vase fécal des garçonnets, qui font beau cul et adorent la pénétration rectale…
« Bon, dit Samir à Alain : j’ai faim ! Il me faut des étrons dans la bouche. Des saletés à gober… Je vais manger la merde au cul de ton Fredo chéri ; après, je le sodomiserai… Nom de Dieu que c’est bon, d’être pédophile… Bordel, je n’y tiens plus, j’ai envie de gicler partout…
- Je vais dévorer le fumier au trou du cul de ton gosse ! répond Alain. Espèce de salaud de jouisseur sans morale… Oui : tu es pédophile ! Et scatophile ! Pervers total !… C’est bon de s’occuper des petits… Dans cinq minutes, j’arrose le rectum de ton Yacine comme un dingue… »
Les mâles s’allongent sur le tapis de sol de la tente – un plastique dégueulasse, glissant, enduit de sperme et de cyprine, avec des crachats, des flaques d’urine et des paquets de merde écrasés, remangés, vomis… Les enfants viennent s’accroupir sur la figure des papas, leur petit cul bien au-dessus de la bouche des adultes. Les papounets lèchent les couillettes, sucent en soupirant les quiquettes rouges et raides, explorent l’anus béant des gosses avec leur langue. Les garçonnets adorent l’épisode. Tous les enfants savent ce qui plaît aux adultes : à cinq ans, on connaît ses devoirs essentiels… Les petits contractent leur ventre. Leur anus, si souvent violé, déchiré et béant, se déploie et pète.
Yacine bégaie : « Caca !… Caca !… Je sens que ça vient… » A quoi Fredo répond : « Oui, oui, ça y est… Moi aussi… Je pousse… Je fais mon pot sale dans la bouche de ton papa ! »
Le trou anal du petit Beur propose un large étron brun sombre, qui pointe le nez, glaireux et dégoulinant de sperme. La charge scatologique grossit, s’allonge, descend comme un serpent irrégulier, puant, amer, dans la bouche ouverte du Belge vicieux, qui plisse les yeux de bonheur, et dont la queue excitée laisse suinter un abondant pré-sperme, que la fillette Luisa lèche avec délectation. Le Belge cueille et mâche la merde qui sort de l’intestin de l’enfant brun. Il bave, râle de plaisir, écrase le caca dans sa bouche, mâche, en extrait les parfums, s’en met partout, s’en tartine la bite, en avale de grosses gorgées avec délices.
Pendant ce temps, le petit enfant blond défèque sur l’autre pédophile. L’anus du gosse s’arrondit, pendouille et bée comme une bouche étonnée, puis pète à quatre ou cinq reprises et lâche, avec des gargouillis intenses, une grosse quantité de chiasse verdâtre, d’une extrême puanteur, chaude et collante, qui fuse et couvre le visage, les cheveux, le cou du mangeur. Samir, la pine énorme et palpitante, avale les matières fécales du blondinet. Il absorbe. Il s’en couvre. Rien n’est meilleur que la merde d’enfant.
« Bon, dit le Belge : maintenant il faut qu’on les encule !
- Allez, mes chéris, à quatre pattes ! renchérit l’Arabe. Pour vous, c’est le moment de faire les filles ou les petites chèvres… »
Les gamins savent… Tandis que les papas se mettent à genoux, le corps souillé de merde, encore en train d’avaler de délicieux excréments, les petits se placent, le cul offert… Les mâles examinent, palpent, écartent les petites fesses. Luisa et Linda de Zouza, obscènes devant les garçonnets, leur offrent à sucer leurs poils, leur énorme clitoris rouge et leurs lèvres génitales pendantes. Elles aident les papas et tiennent ouverts les petits culs promis à la sodomie. L’anus de Fredo palpite devant la bite énorme de Samir, le trou brenneux de Yacine s’arrondit devant la pine large et dégueulasse d’Alain. Les peaux anales des gosses pendouillent, les orifices chient encore. Les sphincters semblent si étroits, si fragiles, comparés aux queues turgescentes des grands pédophiles...
Les papas frottent leur membre énorme sur les couillettes et la tigette des gamins : la bise des queues est un rituel classique, indispensable avant la sodomie homosexuelle sur enfants. Les pinettes innocentes triquent, excitées par le cérémonial et l’odeur de sperme, d’urine et d’excréments. La jouissance rectale devient vite intense chez les garçonnets bien éduqués.
La grosse bite de Samir flaire, de son mufle violacé, la rondelle béante de Fredo, tandis que le gland rouge et hyperlarge d’Alain excite le sphincter sensible de Yacine. Les deux adultes pervers se roulent une pelle baveuse et merdeuse, tandis qu’ils empoignent les gosses aux hanches et commencent de pousser pour les enculer. La mère et la fille velues, le clitoris divinement sucé par les garçonnets, jouissent en pissant et en chiant sans se retenir, tout en guidant à deux mains les pines des adultes pour la pénétration.
Le gland de Samir force avec majesté l’orifice intestinal du blondinet, dont le petit cul à la rondelle éclatée et pendouillante semble bientôt pourvu d’une troisième cuisse. Le phallus hyperlarge d’Alain enfonce les peaux anales du petit Beur et s’insinue dans le rectum. Tels de gros mandrins violet-rouge, les membres investissent les ampoules à résidus des enfants, dont la quiquette agitée de spasmes traduit le plaisir. Les adultes gémissent et enfoncent leur grosse queue jusqu’aux couilles. Vingt-cinq centimètres de viande disparaissent dans l’intestin des gaminots !
Le culetage commence. Les pines se retirent, avancent, ressortent de nouveau brunies de chiasse et recommencent de pistonner. Le mouvement, facilité par l’abondance des matières fécales, excite la prostate des enfants, dont la pinette bat l’abdomen et qui se mettent à pousser de petits cris de plaisir, en léchant le clitoris, la vulve et l’anus merdeux des femelles.
Les papas vont et viennent dans le rectum des chéris. Ils râlent de bonheur, ils se délectent de cette sodomie pédophile, ils bénissent la perversion extrême qui leur donne l’occasion de violer les anus et les lois.
« Putain, écoute jouir nos gosses ! dit Alain, tout haletant : ils adorent se faire prendre ! Ce sont de petites putes à merde, pas des anges !… Bordel de nom de Dieu ! Je ne vais pas tenir longtemps, je vais dégommer comme un salaud de pédophile que je suis… Sainte Vierge enculée, que c’est bon de se taper des petits garçons !
- T’es comme moi, fumier ! répond Samir, la voix hachée par le plaisir. Je peux pas m’empêcher de sodomiser les enfants… J’en ai enculé des centaines… Merde, chiasse, putain de Dieu, je vais partir, je jouis, ça y est, je dégoooomme… »
Alain se met à crier avec Samir, les coups de queue et les saccades de reins s’accélèrent, les couilles se vident en longs jets gras et tièdes dans l’intestin béant et merdeux des gosses. Les organes des six acteurs sont saisis de spasmes. Linda et Luisa se branlent comme des démentes en suçant la queue des garçonnets. Les grosses bites des papas crachent une dizaine d’éjaculats surabondants dans les rectums infantiles. Le choc du sperme sur les parois de l’ampoule détermine, chez les petits, une série d’orgasmes sublimes qui leur tirent des larmes de bonheur, tandis les adultes des jurent et blasphèment en se vidant comme des verrats.
Chapitre 8
JEUX SALES EN NOIR ET BLANC
Au Camping de la Merde…
Linda de Zouza, la mère pédophile, incestueuse, scatophile, hypersexuée et hirsute, tient dans ses bras sa fillette Luisa, âgée de quatre ans. La petite est jolie comme un cœur, avec cette peau douce couverte d’un épais duvet noir précoce qui trahit le vice et fait bander les salopards dans le genre de ceux qui lisent cette histoire (et de celui qui l’écrit). La gamine est vicieuse, hypersexuée, sale ; bref, bien éduquée…
Les deux femelles regardent, en se tripotant mutuellement la vulve et l’anus, les jeux pédo-scato d’un grand Noir à la bite monstrueuse, qui jouit de ses deux enfants chéris – un garçonnet de sept ans, qu’il finit de sodomiser, tandis qu’il avale la merde puante et excitante que sa fillette de huit ans lui chie dans la bouche. La fillette noire, très jolie et très laineuse, la vulve béante et violette de jouissance, finit d’éjaculer : son vagin d’enfant, bordé de deux énormes nymphes pendantes en escalopes rose vif, bave sur ses cuisses et ses fesses. Son clitoris phallique est secoué de spasmes. Le garçonnet, le cul rempli, dilaté, ouvert, défoncé par la bite colossale de son papa, a lui-même la queue en érection. Il ne jute pas encore, bien sûr : il est bien jeune ; mais il jouit intensément. Il s’affale en râlant de plaisir sur la poitrine et la figure conchiées de son père, dont il baise la grosse bouche merdeuse en y mettant la langue. La tige sexuelle hors du commun du papa pédophile – quarante centimètres de longueur, sept de diamètre – finit de dégommer à longs jets dans le rectum filial, puis s’en extirpe lentement, tapissée de sperme et de matières fécales, en retroussant avec elle les peaux de l’anus dévasté.
La petite Luisa de Zouza n’y résiste pas. Elle se précipite vers le trio de Noirs en disant à sa mère :
« Maman, ze suis toute mouillée et mon trou à caca me démanze… Z’ai envie de zouir ! Regarde la grosse queue du papa Noir, elle sort du trou à caca de son petit garçon… Elle est couverte de bonne saleté qui pue et de bon zus de couilles de m’sieur vicieux… Ze vais la touçer, la branler, la léçer, la sucer…
- Oui, mon amour, dit Linda : nettoie bien la pine de ce salopard de Nègre qui aime la merde au cul de ses enfants. C’est comme ça qu’on devrait élever les gosses… Ensuite, ce pédophile me mettra son gros manche dans la chatte ou dans le cul, comme il voudra. J’ai envie de me faire défoncer, putain de bordel de merde de saloperie de pédophiles que vous êtes tous ! »
La fillette Luisa s’empare à deux mains, avec autorité, du membre sexuel ignoble et monstrueux du papa Noir. L’organe, couvert d’excréments jaune-brun et de jute hyaline, est encore en pleine érection et continue de cracher le jus d’amour gluant. La gamine sait ce qu’elle doit faire : elle branle avec vigueur la pine colossale. Elle la masse et palpe les couilles ; elle la flatte ; elle agace le collet et le frein sensibles. Elle approche sa jolie bouche enfantine du gland brun-rose. Elle bisouille et mordille la tête du nœud chargée de semence et de chiasse. Elle lèche le corps de la verge sur toute sa longueur en avalant la mixture d’excréments et de semence. Elle enjambe, avec son petit corps poilu, la tête du papa Noir et place sa vulvette et son trou du cul au-dessus des grosses lèvres gourmandes. Le pédophile adore. Il sent la bouche de la gosse qui, malgré la dimension de l’engin, se referme sur le bout de son membre, donne des coups de langue et le pompe. Il a le nez dans le trou du cul de la fillette et lui lèche la vulve en appréciant la longueur exceptionnelle et le goût salé des deux nymphes. Il fête l’anus de l’enfant avec sa langue. Il y recueille d’épaisses traînées de matières fécales, dont il se délecte. Il grogne que c’est bon, la merde et la pédophilie ; qu’il aime sucer, lécher, baiser, enculer les enfants, mâles, femelles ou hermaphrodites. Pour le récompenser, Luisa se met à pisser large et dru. Le mâle ouvre un large bec et boit l’urine jaune et tiède de la nymphette, qui lui emplit le gosier en gargouillant, et qu’il avale.
Le grand Noir trique à nouveau comme un fou : il n’a pas débandé, il jute encore et il est à nouveau prêt à limer et à jouir… Sa pine de quarante centimètres sur sept ressemble à une matraque de CRS brun sombre, au gland rose vif – parcourue de grosses veines et vibrante de désir, plus grosse que la jambe de l’enfant qui la tète.
« Viens ici, maman çérie, salope que tu es ! lance la petite fille vicieuse à sa génitrice. Et vous, les enfants de ce sale papa qui bande, venez aussi : on va zouer tous ensemble à plein de saletés ! Z’ai la moule rouze et mouillée, et mon zizi de fille est tout raide. Z’ai besoin de zouir ! »
Tout le monde obéit à la jolie nymphette poilue de quatre ans, dont le clitoris rouge et arqué monte au nombril. La fillette arrange le groupe. Elle étend le grand Noir sur le dos. Elle fait monter sa mère à califourchon sur le mâle, jambes ouvertes, dans la position de la femelle qui s’empale. Le ventre, les cuisses, le cul hirsutes de Linda de Zouza se déploient dans leur splendeur, à la vue de tous ceux qui aiment mater en se branlant délicieusement. On voit pendre, dans la fourche vulvaire de la Portugaise, les deux lèvres sexuelles en escalopes phénoménales ; tandis que le clitoris phallique frotte la pine en érection du papa pervers. Rien n’est excitant comme les mimis mouillés de ces deux sexes impatients…
L’enfant Luisa saisit la matraque génitale du mâle Noir, la masturbe contre les poils du ventre de sa mère, la redresse en arrière et en ajuste la tête au vagin maternel. Sitôt que le gland est en place, rose et gros comme un cœur de veau, le bâton d’amour commence d’investir la fissure gluante du vagin. Les amants s’emboîtent en gémissant. La bite remplit la chatte hypertrophiée et la lime doucement, puis de plus en plus vite. Les adultes donnent de grands coups de cul. La vulve bave un jus épais qui se mêle à la merde restée sur le phallus. Le gland frotte le point G de la femelle velue, qui feule de plaisir et commence presque aussitôt de jouir.
L’enfant Luisa saisit le petit garçon Noir par la queue. Elle lui soupèse les couilles. Elle lui excite le trou du cul – tout merdeux et tout défoncé d’avoir été, une fois encore, violé par le père pédophile. Elle branle la verge et la suce. Elle n’a besoin que de quelques coups de poignet et de langue pour redonner au puissant phallus du poulain de sept ans son plein développement : dix-huit centimètres sur quatre. Une adorable matraque brune, au gland incarnat… La gosseline de quatre ans amène le garçonnet surmembré derrière sa maman chérie dont le vagin est déjà rempli par la bite du papa pervers. Elle pose la tête phallique du gamin sur le trou du cul dilaté, abîmé, élargi, défoncé de sa génitrice, qui feule en sentant venir la sodomie, par conséquent la double pénétration. Linda de Zouza aime avoir tous les trous pleins. Elle fait beau cul. Elle pète longuement. Elle lâche de longs trains de gaz, puants à souhait… La pine arquée du jeune Noir explore l’anus dilaté et saccagé. Elle pousse, elle s’enfonce dans le derrière de la femelle adulte avec une facilité déconcertante. Le membre disparaît jusqu’aux couilles dans l’ampoule rectale garnie d’une purée fécale chiasseuse, brun foncé, douce et tiède. Le petit Noir adore enculer les mamans sales. Sa queue tonique va et vient dans le sac à merde. Les parois de l’intestin et du vagin transmettent toutes les vibrations : le père et l’enfant sont vite en phase et culètent avec énergie. Chacun sent la bite de l’autre qui ramone la femelle ; ce mimi de glands à travers les chairs du rectum et du vagin les excite encore davantage.
Linda de Zouza, folle de plaisir, lâche de grandes giclées de jus femelle sur la queue chevaline du papa Noir qui l’enconne, et des paquets de merde grasse et puante sur la pine du fiston qui lui ramone le boyau.
La jolie Luisa désire, à présent, s’occuper de la fillette noire, âgée de huit ans, qui vient de se faire manger la merde au cul par son papa pédophile. Luisa caresse l’enfant à la peau sombre, elle baise ses grosses lèvres et enfile sa langue dans ses larges narines pour y glaner le suc glaireux et les crottes dont elle raffole. La petite Noire répond et suce les trous de nez de Luisa : elle en extrait de longues chandelles visqueuses dont elle se régale. Les langues des fillettes se mêlent et tournent ensemble, les deux enfants se crachent dans la bouche. Elles se caressent les seins, réduits chez l’une comme chez l’autre à de gros suçoirs érectiles et obscènes, dressés sur une poitrine étroite et plate. Elles se regardent les poils : sous ce rapport, les gosselines sont très anormales. Les poils la petite Noire sont crépus, serrés, en laine drue. Ils couvrent les mollets, les cuisses et le cul, s’épaississent sur les aines et le pubis, et remontent en piste au trésor plus haut que l’estomac. Ils forment un duvet serré sur la poitrine, avant de boucler encore, épais et noir d’encre, aux aisselles. Les poils de Luisa sont plus longs, plus doux, plus ondulés, mais tout aussi drus et envahissants. La gamine est fière de son hirsutisme, comme toutes les salopes hypervelues, quel que soit leur âge.
« Tu as le cul, le ventre et la chatte couverts de poils, c’est bizarre, à quatre ans ! dit la petite Noire.
- Ze suis comme maman, répond Luisa. Ze suis Portugaise. Ma mamie aussi est poilue de partout. Elle me fait minette avec papy, qui a une très grosse bite et qui zute très fort…
- J’aime les poils, dit la fillette noire : c’est doux, ça m’excite aussi beaucoup la minette et le trou à caca. Mon papy et ma mamie me font des trucs très sales avec leur bouche et leurs trucs du pipi et du caca. Papy et mamie sont comme papa et maman : ils me mettent du caca, du pipi, du jus de couilles sur le corps pour me faire pousser les poils, la zézette rouge et les lèvres. Ils disent que c’est le bon engrais…
- Oui, dit Luisa en riant : tout comme toi ! Du pipi, du caca et du bon zus de çatte et de couilles partout sur la peau ! Ze m’en couvre, ze m’en mets plein partout ! Maman n’arrête pas de m’en remettre quand ze n’en ai plus… Et plein de m’sieurs dames sales me pissent dessus, me çient dessus, me ziclent dessus…
- Comme moi ! », conclut la petite Noire, qui bande et dont le clitoris énorme fait de gros mimis collants au clitoris hypertrophié de sa jeune partenaire.
Les fillettes se frottent, poitrine plate contre poitrine plate, ventre contre ventre, clitoris contre clitoris, lèvres sexuelles contre lèvres sexuelles. Leurs deux membres rouges sont bandés sur leurs petits ventres poilus – merveilleux clitoris raides, rouges, gonflés, hypertrophiées. Les tiges amoureuses se baisent comme deux jeunes queues mâles en état de rut homosexuel. Les fillettes dotées par la nature d’un clitoris hors normes sont les plus belles et les plus excitantes, surtout (comme ici) lorsque leur vulve, très gonflée, laisse ballotter très bas deux « petites » lèvres qui ne sont pas petites du tout, mais au contraire énormes, rouges, pendantes en tablier d’Hottentote, véritables escalopes de plaisir qui couvrent la moitié des cuissettes…
Les gamines se mettent tête-bêche, cuisses grandes ouvertes, et commencent de se sucer le clitoris, les lèvres et le trou du cul, qu’elles ont très défoncé, béant, sale et hypersensible. Elles parviennent vite à la jouissance. Elles s’enfoncent l’une l’autre deux doigts, trois doigts, quatre doigts, puis la main entière dans la vulvette. Elles passent au le trou à merde, qu’elles ont très élargi. Les menottes disparaissent dans les rectums, les poignets puis les avant-bras suivent. Les fillettes retirent leur main garnie d’excréments. Elles se lèchent la merde sur les paumes et les doigts. Elles grognent de plaisir en se masturbant le clitoris comme des garçons, à toute vitesse. Elles jouissent comme des Messalines, tant il est vrai que, chez les lolitas bien éduquées, la puissance de l’orgasme est extrême.
« Il faut qu’on leur fasse caca dessus pour les faire zouir ! dit Luisa, en montrant le trio des deux adultes et du jeune Noir.
- Oui, dit la petite Noire : ils ont besoin de manger de la merde ! Moi, il m’en reste encore dans le cul, même si mon papa m’en a déjà avalé des gros morceaux tout à l’heure…
- Moi, dit Luisa, ze suis pleine… Ze dois caquer très fort… Ze vais le faire dans la bouçe de ma maman et de ton papa, ils vont zuter très fort…
- Mon petit frère aussi, il adore la merde ! précise la Négresse en manipulant déjà son anus pour venir pondre.
- Il va en avoir, et pas qu’un peu ! » conclut la délicieuse nymphette de quatre ans.
Les deux gamines velues – petit cul brun et petit cul blanc, deux paires de lèvres sexuelles pendantes, deux gros clitoris en érection – se mettent en position, au-dessus des têtes réunies du trio en action. Le petit garçon n’est pas le dernier à demander sa pitance, tandis qu’il encule la maman poilue de Luisa. Le père Noir sent sa queue grossir encore dans le vagin de la Portugaise, tandis que les fillettes pètent longuement sur les visages impatients. Linda feule que c’est bon, de se faire prendre par les deux trous en dévorant des étrons ; qu’elle l’a fait dès l’âge de quatre ans avec son papa et monsieur le curé ; et qu’elle va jouir comme une salope de pute de femelle à merde qu’elle est…
La petite Négresse caque la première : il lui en reste une bonne quantité dans l’ampoule rectale, qui débonde par l’ouverture de son anus défoncé, sous la forme d’une lave molle et pâteuse, informe, jaune verdâtre, puante et gluante. Les bouches avides se jettent sur le cadeau, le baisent, le lèchent, le gobent, en taillent de grosses parts, s’en repaissent, s’en délectent. La merde de la nymphette noire est très acide et amère, donc bandante à souhait.
Vient le tour de Luisa, qui grogne de plaisir en se secouant le clitoris et en s’étirant très fort les nymphes. La gosse pousse, pousse, bée largement de l’anus en pétant comme un soudard, et commence de déféquer. L’étron qu’elle propose à la gourmandise de ses partenaires mesure cinq centimètres de diamètre et s’allonge, s’allonge, sur plus de vingt, trente, avant de s’enrouler, tel un boa fumant, sur les visages des trois scatophiles qui la réclament. Le caca de la gamine est brun-jaune, assez ferme, bosselé, luisant, agrémenté de morceaux mal digérés, de filaments, de sombres traînées de chiasse et de chandelles de sperme laissé là par divers sodomites. Les deux fillettes se saisissent du popo sale, l’écrasent à pleine main sur la bouche et la figure des adultes, qui dévorent le fumier adoré en gémissant, et du petit Noir, lequel mange et jouit en pleurant presque de plaisir, tandis qu’il agite à toute vitesse sa queue saisie de spasmes dans le rectum tiède et garni de merde de la mère indigne.
A présent, tout le monde crie et râle de bonheur en se délectant des matières fécales enfantines que Luisa continue de mouler en gros paquets, avant de s’en enduire elle-même le corps. Les femelles pataugent dans la merde en se frottant la vulve et le cul de pâte ignoble. Les mâles grognent en jutant comme des ânes. Les orgasmes succèdent aux orgasmes. Les spasmes secouent le groupe. Il est, une fois de plus, démontré que le nirvana se trouve dans l’étron. La beauté du monde s’inscrit dans les matières fécales que deux fillettes et un garçonnet partagent, au Camping de la Merde, avec une maman hirsute et un papa Noir pédophiles et scatophiles, dotés de monstrueux organes sexuels, mais d’une morale pas plus grosse qu’une pissette de bébé à peine né.
NB. En aucun cas, les scènes rapportées dans ce récit ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est sévèrement réprimé par la loi. Ce texte relève du fantasme, à échanger uniquement entre adultes. Il n’appartient qu’à la littérature.
Chapitre 9
UN BON PERE ET SES ENFANTS
La petite Luisa de Zouza continue de marcher avec sa mère Linda, à travers le Camping de la Merde. Elles sont heureuses d’accomplir cette revue des perversions incestueuses, urophiles, scatophiles et pédophiles.
La gamine aux cheveux noirs est fière de participer à tant de saletés. Elle n’a que quatre ans, elle est haute comme trois pommes, mais elle est superbe. Elle urine sur ses cuisses et ses jambes, à petits jets jaunes, juste pour se parfumer. Elle caresse avec vice les fesses musclées, couvertes de poils noirs, de sa maman chérie qui avance en bandant, nue, velue comme une guenon.
Le clitoris de la femelle adulte, long de vingt centimètres et épais de cinq, se trouve (comme d’ordinaire) en état d’érection et bat la forêt noire du ventre et du bas-ventre femelles. Linda de Zouza pisse aussi sur elle en marchant : son urine jaune foncé, parfumée d’ammoniaque, dégouline sur ses cuisses hirsutes, ses mollets garnis de fourrure, jusque sur ses pieds longs et larges où les poils bouclent. Le clitoris phallique jaillit entre les lèvres géantes d’une vulve de jument : les nymphes écarlates pendent comme des drapeaux d’amour. Epaisses, festonnées, elles claquent l’une contre l’autre et tombent presque jusqu’aux genoux.
« Maman ! Z’ai plein d’envies sales ! zozote la gamine de quatre ans : prends-moi dans tes bras. Z’ai besoin que tu suces ma zézette de petite fille et ma tize qui fait du bien… Ze bande dur, maman mon amour ! Regarde ma grosse queue de p’tite fille : les m’sieurs sales disent touzours que z’ai une pine de garçon. Et ça leur fait la grosse bite tout de suite… Ils aiment me faire la sucette. Et léçer mes gros machins qui pendent, maman : mes escalopes, comme tu dis ! Mes lèvres d’en bas… Oh ! maman : ça me coule partout entre les cuisses, z’ai envie de faire des saletés…
- Chérie, tu es ravissante ! dit Linda de Zouza en prenant sa fillette dans ses bras et en la levant jusqu’à sa poitrine. Mon Dieu, que tu es poilue, pour une gamine de quatre ans ! Tu possèdes à la fois la grosse clitobite et les lèvres sexuelles de ta maman… Tu as de la chance ! Je t’aime… Tu me fais si souvent juter, ma poulette… On va faire beaucoup de cochonneries ensemble aujourd’hui. On va chercher un m’sieur à la bite d’âne que j’ai vu hier, en train d’enculer une vieille dame qui chiait partout. C’était sûrement sa mère, d’ailleurs… Le porc… Et tu te rappelles le petit garçon qui bandait et se branlait hier au soir en regardant sa mamie qui chiait sur son papy ? J’aime les enfants comme ce petit monstre au membre énorme… Hmmm, toi aussi, hein ? »
La mère soulève sa délicieuse enfant et la pose sur sa poitrine noire de poils, où les deux seins plats exhibent leurs pointes phalliques en érection. La fillette serre entre ses gambettes le torse hirsute de sa mère. Les cuisses et le sexe de l’enfant s’écrasent sur les tétons maternels bandés. Les longues lèvres sexuelles de la Lolita vicieuse s’étalent comme deux escalopes sur la toison du sternum et des nichons de la maman hirsute. Le clitoris de l’enfant bande comme une quiquette de garçon, déjà long de dix centimètres, avec un gland décalotté excité et excitant.
La mère soupire de plaisir sous la caresse du sexe et du trou du cul de sa gosse vicieuse. Elle palpe le petit derrière velu de sa chérie. Dans la forêt de longs duvets enfantins collés de merde et de sperme, elle trouve l’anus dilaté. Elle y enfonce l’index et le majeur, qu’elle remue dans le rectum. Puis trois doigts, puis quatre. L’ampoule intestinale est pleine de matières digestives, tièdes et puantes promesses d’intenses plaisirs scatologiques.
Maman fait descendre sa gamine sur son ventre hérissé de poils noirs. Elle approche sa bouche de la bouche de sa fille et commence à lui donner un long baiser baveux auquel l’enfant répond. Les langues se mélangent, les salives s’échangent, la salive coule sur les mentons et les cous. La mère lèche la fine moustache noire de sa fillette, qui bisouille l’épaisse moustache femelle de sa génitrice. L’enfant sent la grosse langue maternelle quitter sa bouche et venir fouiller ses narines. Elle a toujours eu des crottes de nez épaisses et de belles morves coulantes. Maman (ou quelqu’un d’autre) lui a toujours mangé ces matières avec appétit. La langue s’insinue en alternance dans les deux trous de nez, récupère la glaire et les morceaux solides, qu’elle soutire en entraînant des filaments délicieux. Le clitoris de la fillette palpite sur l’abdomen velu de sa mère, qui avale les productions des fosses nasales infantiles comme des huîtres goûteuses.
La fillette frotte sa clitobite rouge raide sur les poils du ventre maternel.
« Oh ! maman…, dit la gamine : ze bande tellement fort ! Suce ma grosse quiquette de fille ! Z’ai besoin de zouir… »
La petite Luisa relève son bassin vers la bouche de sa maman. Jamais Lolita ne fut plus poilue qu’elle. Ses jolies jambes d’enfant de quatre ans sont hérissées, depuis les pieds jusqu’aux aines, d’un incroyable et doux mohair noir, qui continue en jungle de duvets sur le bas-ventre et le ventre, et remonte en faisceaux vers la poitrine plate.
La mère, excitée, lèche le corps de sa fillette. Elle colle sa bouche à la vulve infantile. Le clitoris de la puce ressemble à une bite de garçon vicieux. Avec ses grosses veines, son collet et son gland arrondi en champignon, il a l’air d’une queue. Il ne lui manque qu’un méat, des couilles et quelques années de plus pour éjaculer. La fillette enfonce sa bite entre les lèvres de sa maman. Son vagin sécrète une grande quantité de jus. Ses « petites » lèvres ressemblent à de longues oreilles rouges, épaisses, festonnées, pendantes à mi-cuisse, trempées de mouille, délicieuses à sucer.
Linda de Zouza enfourne le long clitounet de sa fillette en extase comme un sucre d’orge, puis prend dans sa bouche avide les escalopes sexuelles de la Lolita brune. Elle les mâche, les étire, les assouplit, les agrandit, les langote goulûment. La gamine vicieuse, merveilleusement fêtée, s’ouvre en gémissant et offre son vagin à la langue maternelle. L’enfant se met à jouir en criant :
« Maman ! C’est si bon quand tu me fais des langues !… Suce-moi bien là, oui, lesse-moi, fais-moi zuter très fort… »
La mère grogne que c’est bon de gamahucher sa fille et de lui allonger les escalopes ; que toutes les mamans du monde devraient le faire depuis la naissance de leurs chéries. La gamine râle et ronronne : une longue série d’orgasmes secoue son petit corps. Elle gicle la cyprine dans la bouche de l’adulte, adorable Lolita tordue par le vice.
« On va faire d’autres saletés, ma belle adorée, dit la mère, quand la jouissance de la fillette est un peu calmée. Je vais te manger le cul et tout ce qu’il y a dedans. Tu vas lécher ma pine de femelle et mon trou à merde. Si tu savais comme je suis pleine… Viens !… »
La mère et la fille avancent vers la plage. C’est alors qu’elles entendent des gémissements et des roucoulements. Elles passent derrière une tente et tombent sur un spectacle de choix. Un grand drap de plastique est tendu sur le sable. Un père y trône, nu, en folie génésique, avec ses deux enfants, une fillette de quatre ans et un garçonnet de cinq à peine. Les petits rient de bon cœur en regardant leur père nu qui se pétrit vicieusement les couilles, se palpe, se caresse et se secoue doucement la queue.
« Putain de nom de Dieu de bordel de merde, je suis un père pédophile et je profite de mes enfants ! marmonne le personnage : regardez bien, les gosses, comme je me branle devant vous… Vous avez vu, comme je fais du bien à ma pine ! C’est si bon la pédophilie… Et l’inceste… On voudrait nous les interdire, mais moi je jouis de mes gamins par tous les trous, et ils aiment ça… Mes chéris, vous allez faire beaucoup de bien à ma grosse queue, j’ai envie de gicler très fort ! »
Le père est âgé de quarante ans. Pas très beau, ventripotent comme un beauf’, le crâne dégarni, la barbe négligée, le corps sale et velu. La plus belle partie de son anatomie est représentée par son système génito-anal. Son membre sexuel en érection atteint vingt-cinq centimètres de longueur et cinq et demi de diamètre, avec une forte cambrure et un gros gland violet, en champignon très élargi à la base. Ses couilles ballottent, pleines et lourdes, au-dessus d’un périnée et d’un entrefesses velus, où bée un très large et très pendant orifice anal, effiloché de peaux et dégoulinant de jus fécal brun sombre, preuve d’une intense pratique de la sodomie et du poing d’enfant dans le rectum.
Le père caresse vicieusement sa tige infâme. Il fait venir devant lui ses deux gosses et leur demande de bien écarter les jambes. Il doit les examiner. Ensuite, il va tout leur faire. Les lécher. Leur boire la pisse et leur manger la merde au cul. Les enfiler par la bouche, le vaginet (la petite) et le trou du cul (les deux sexes). Il le leur dit tendrement :
« Vous êtes mes petits trous sales… Papa vous adore et va juter beaucoup de bon lait de couilles avec vos pipis et vos cacas… Vous en beaucoup de pisse et de merde dans le ventre, hein, mes bébés ? »
Les enfants acquiescent et rient fort, sûrs de jouir bientôt avec leur géniteur ignoble, dans les pires pratiques pédophiles, urophiles et scatophiles. La fillette est blonde, les cheveux bouclés mi-longs, le corps délicieux, fin, léger. Un visage d’ange du ciel : petit nez retroussé, bouche aux lèvres épaisses de suceuse précoce, et grands yeux bleus innocents ; ou supposés tels… Elle est excitante comme les gosses de quatre ans qui aiment les saletés avec les adultes comme entre gamins. Une poupée dont la poitrine ne porte que deux boutons de seins (anormalement longs et étirés), et dont le ventre, tout duveteux de blond, se résout en une fourche pubienne délicieuse…
La vulve de l’enfant, hypertrophiée, bombée, énorme pour cet âge, trahit les pratiques sexuelles intenses, précoces et sans tabou : l’abricot rose, gonflé, turgescent, est fendu très haut sur le ventre, que tapisse un mohair de poils blonds. Cette pré-fourrure enfantine s’étale en volutes jusqu’au nombril, aux tétons, aux cuisses et au petit cul rond. Lorsque la fillette écarte les jambes devant son papounet chéri qui la palpe et vient lui sucer la bouche en lui rentrant la langue et en pompant sa salive, on voit la vulvette béer, rouge vif, avec de grosses larmes de cyprine et des régurgitations de sperme. Au sommet de l’abricot, bande un clitoris étonnant, long de six centimètres, épais de deux, cambré raide comme une quiquette. Les nymphes, très tôt étirées en famille, se déploient et pendent entre les jambes comme des drapeaux écarlates.
Le papa pédophile, fou de désir, caresse les fesses roses de la gamine, les écarte, examine le trou du cul et le fête. L’anus de l’enfant est large, souple et déjà très ouvert, dans un entrefesses tapissé d’abondants duvets blonds et frisés, que collent des paquets de matières brunes odorantes. Le père incestueux cueille ces résidus de merde sur ses doigts, qu’il porte à ses narines dilatées, puis suce avec des gémissements de bonheur.
Le père se dispose à genoux sur le tapis de plastique. Il caresse les cheveux blonds de sa poupée d’amour, qui le regarde en souriant et dit : « Papa, ze vais te sucer ! Z’aime bien téter ta grosse bite ! » Le père ignoble dispose l’enfant devant sa queue et invite la fillette à la fellation. Le membre sexuel du mâle est énorme, rouge et violet, tendu par le vice interdit. La petite a appris depuis longtemps à téter la volumineuse sucette chaude de son papa et plus généralement des m’sieurs sales qui le lui demandent. Elle adore faire ces gros mimis mouillés que papa appelle des « pipes ». Elle palpe longuement les couilles velues du mâle, remonte ses petites mains vers la tige d’amour large et veinée de bleu, caresse le gland, excite le frein, tire le prépuce, fait gonfler au maximum l’énorme tête violet-rose. Le phallus est tapissé de sperme et de jus féminin, avec de puissants relents de pisse ; tout bruni d’excréments, le collet garni d’épaisseurs brunes, le champignon zébré de traînées fécales…
La gamine ne s’offusque pas. Elle approche ses jolies lèvres roses de la massue sexuelle raide et gonflée de désir. Elle donne des baisers mouillés sur la fente de la bite, ouvre la bouche, ferme les yeux, lèche la tige de haut en bas, puis enfourne résolument le gland et engloutit plus de la moitié de la colonne avec une gourmandise qui n’est pas feinte. Merveilleux visage d’enfant aux grands yeux clairs et innocents, une grosse bite enfoncée dans la bouche ! La fillette s’en met quinze bons centimètres jusqu’à la gorge (elle est encore trop petite pour avaler les vingt-cinq), puis recrache le membre luisant de salive brunie de caca. Le père soupire de délectation pédophile. C’est tellement bon de se faire sucer la queue par une petite puce blonde !
La fellatrice de quatre ans a bien appris la technique. Elle tourne la langue autour du collet merdeux, mordille le cœur rouge excité, chatouille la boutonnière par où giclera le jus gras et tiède, dont elle apprécie depuis longtemps le goût un peu salé. En même temps, sa main explore l’entrefesses du père, palpe les couilles velues et vient exciter l’anus béant, sale, qui pète comme un trombone. Les petits doigts de l’enfant tirent et écartent les peaux pendantes. L’enfant vicieuse fouille le trou culier et investit le rectum paternel. Trois doigts, puis quatre, puis le pouce s’insinuent dans l’ouverture. La main évase le sphincter, pénètre la caverne, fiste son père. La fillette sent sur sa peau le paquet fécal mou et tiède. Elle va et vient avec l’avant-bras dans l’ampoule. Elle pistonne. Sur sa langue, le pré-sperme de l’adulte commence à gicler. Elle sait que la grosse queue va dégommer beaucoup. Elle aspire de plus en plus fort.
Le père, divinement sucé et ramoné par sa fillette de quatre ans, trique comme un bouc pervers. Il regarde avec amour sa gamine, qui lève les paupières et le contemple de ses merveilleux yeux clairs, en apparence tellement purs, pour lui dire qu’elle l’aime aussi.
« Ma chérie ! soupire le pédophile : tu es si jolie et tu me tètes si bien, avec ta belle bouche… Je vais juter dans ta gorge ! Nom de Dieu que c’est bon ! Putain de bordel de merde, que je bande ! Je n’arrive plus à me retenir… Je vais partir… Ouiii : ça y est, ça vient, je juuuttte, je dégommmmmme… »
Le reste de la phrase se perd dans un râle ponctué de jurons. La bite paternelle crache, crache, crache spasmodiquement de longs jets de semence tiède, épaisse et grasse. Une dizaine d’éjaculats emplissent la bouche enfantine, débordent sur les lèvres et le menton, arrosent le visage angélique et ressortent en partie par le nez, tant leur abondance est grande. La fillette sait qu’elle doit tout avaler : elle déglutit avec un plaisir angélique le sperme de son papounet chéri. Elle adore ce jus d’amour parfumé à la pisse et à la merde. Elle s’emplit le gosier et l’estomac. Son clitoris raide, qu’elle masturbe à pleine main, devient le centre de tous ses plaisirs. Elle se branle à toute vitesse et se met à jouir comme une petite Messaline, en jutant de longs jets de cyprine par la vulve.
Elle n’a que quatre ans, mais elle est transfigurée par la beauté du vice.
NB. En aucun cas, les scènes rapportées dans ce récit ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est sévèrement réprimé par la loi. Ce texte relève du fantasme, à échanger uniquement entre adultes. Il n’appartient qu’à la littérature.
Chapitre 9
LES DELICIEUX CACAS D’ENFANTS
Linda de Zouza et sa fille Luisa, nues et velues au camping de la Merde, contemplent le père pédophile qui décharge à longs jets son sperme gras dans la bouche et sur la figure de sa gamine de quatre ans, laquelle jouit comme une petite Messaline blonde et vicieuse, en se masturbant frénétiquement la vulve et l’anus. Tandis que le frérot de cinq ans, la quiquette levée, arquée, rouge et raide de désir, se caresse voluptueusement le gland, les couilles et le trou du cul. Le petiot ouvre la bouche et tire la langue vers son père en attendant son tour de distribution des vitamines spéciales…
La jolie Luisa (quatre ans, elle aussi ; et toute duveteuse nonobstant son âge tendre) fait aller et venir dans sa main l’énorme clitoris phallique de sa mère. Elle branle avec lenteur cet organe exceptionnel, long de vingt centimètres et large de cinq. De l’autre main, l’enfant caresse le corps de sa génitrice perverse, dont la fourrure noire évoque celle d’une guenon. La petite fille palpe les seins plats de la femelle qui l’a mise au monde. Elle agace les énormes mamelons bandés et les aréoles environnées de poils noirs. Elle lèche les aisselles aux buissons monstrueux. Sa bouche descend vers l’estomac tapissé de mohair noir. Puis vers le ventre et le bas-ventre, les cuisses et les jambes, où moutonnent des surcroîts excitants de toisons obscures, incroyablement épaisses et drues, par endroits faites de poils de vingt-cinq centimètres de longueur.
« Maman, zozote Luisa : z’aime tes poils et ta grosse tize de fille. Ze vais te sucer, maman série… Mmmm… C’est bon, ta queue rouze, surtout quand ze regarde le m’sieur sale qui s’amuse avec ses enfants…
- Suce ta maman, mon amour ! répond la femelle adulte, qui se lèche les lèvres de plaisir. Etire bien mes escalopes d’en bas. Oui, comme ça, chiffonne-les, tire très fort dessus, trais-les comme si j’étais une vache, fais-moi les pendre jusqu’aux genoux… Tu les aimes, hein, mes lèvres d’en bas ? Lèche-les, suce-les… Elles coulent… Pompe mon membre de femelle comme si j’allais juter : tu sens comme je suis raide… Hmmm… Tu le fais bien, petite pute… Maintenant, ouvre-moi le trou à merde, ma divine ! Oui, écarte mes fesses poilues, tripote les peaux de mon fion sale… Nom de Dieu, que c’est bon… Enfile tes doigts, ma chérie… Toute ta main… Oui, pousse ! Fiste ta salope de mère… Ouvre- moi l’usine à caca, écarte-moi l’œil de bronze… N’aie pas peur : enfonce ton bras ! Pistonne-moi !… Plus tu m’élargis, plus j’aime ! Ohhh !… C’est bon la main d’un petit enfant dans le cul de sa maman en chaleur…
- Hmm…, gémit la fillette qui tète le clitoris monstrueux en manuélisant l’anus béant et le rectum brenneux de sa mère : z’aime les saletés ! C’est tout çaud, là-dedans… C’est tout rempli de bon çocolat mou qui pue… Maman va faire un gros caca…
- Tu sens ma merde sur ta main, mon amour ? J’en ai un tas dans les boyaux. On va bien s’amuser avec nos pots sales. »
Linda de Zouza lâche une série de pets puants autour du bras de sa gosse qui la fiste. L’enfant hume le parfum de décomposition excitant qui monte du trou maternel, tout en suçant très fort le membre clitoridien. La gamine ouvre la bouche. La tige sexuelle de Linda, d’un rouge violacé, dégoulinante de salive, s’échappe des lèvres infantiles et vient claquer sur la fourrure noire du ventre maternel.
« Maman, dit la gosse : z’ai besoin que tu m’enfiles ton gros truc dans le vazin, comme tu dis. Et après, que tu m’encules avec ta grosse tize ! Z’aime bien quand tu m’ouvres le pot sale !
- Ma chérie : je t’aime ! Tu as appris comment une fille doit parler à sa mère !… Maman trique. Elle va te prendre par les deux trous avec sa clitobite. Toutes les mamans du monde devraient faire ça plusieurs fois par jour à leurs fillettes adorés… Le monde irait beaucoup mieux !
- Oh ! oui, maman… Allonze-toi sur le dos, ze vais me remplir la fente et le trou à caca avec ta grosse queue sale… »
La fillette se met accroupie, les jambes de part et d’autre du corps couvert de poils de sa mère, à qui elle fait admirer son corps d’enfant bizarre et adorable. Perfection de deux gambettes aux cuisses rondes et joli cul potelé… Bras fins, torse délicat, ventre excitant… Ces mignonnes parties du corps enfantin sont garnies de douce laine noire. Elles étonnent. Elles feraient bander et juter n’importe quel amateur de bizarreries sexuelles. La fillette caresse le duvet de ses joues. Elle lèche sa moustache. Elle expose son torse frêle. Ses pointes de seins triquent sur sa poitrine plate, déjà moussue de duvet. Son abdomen, hérissé d’une adorable fourrure parfumée, répond à ses petites fesses bien fendues, tapissées de poils précoces. Ses cuisses et ses mollets velus contribuent à sa splendeur animale… La belle enfant masturbe à pleine main sa tige clitoridienne, qui ressemble à la quiquette en érection, longue de dix centimètres, d’un garçonnet vicieux, occupé à des jeux pédophiles avec ses parents. Ses lèvres sexuelles pendent à mi-cuisses et bavent un jus hyalin épais.
La gamine écarte les escalopes rouges de sa vulve de quatre ans. Elle empoigne la tige sexuelle de sa mère, branle lentement les vingt centimètres du membre femelle, et ajuste le gland clitoridien violet sur son ouverture vaginale. Il y a belle lurette qu’elle n’est plus vierge. Sa maman en personne lui a tendrement déchiré l’hymen en lui fouillant la fente avec le doigt et la langue, quand elle venait de naître. (Bébé, la fillette adorait que sa mère la lèche, la vidange et la torche avec sa bouche. Depuis sa naissance, elle jouit plusieurs fois par jour en subissant les étirements de lèvres et l’élargissement clitoridien nécessaires aux gamines bien élevées.)
La petite Luisa se soulève, s’ajuste et se laisse descendre sur la clitobite maternelle, qui épanouit son délicieux conin couleur corail. Le vaginet jute. Luisa est large pour son âge. Elle regarde, entre ses jambes, le membre maternel rouge-violet, tendu de désir, qui investit son sexe. Elle s’enfile plus du tiers de la tige dans la moniche. Elle monte et s’abaisse sur l’axe du plaisir. Linda de Zouza gémit. Elle adore baiser sa gosse perverse. Cette dernière râle de plaisir. Sa fentine écartelée déborde de cyprine, ses nymphes enveloppent avec amour la clitopine adulte.
La gamine accélère la cavalcade. Elle est saisie de spasmes et de tremblements de bonheur. Elle jouit. Elle crie. Elle bave. Elle grogne que c’est délicieux, « l’énorme pine de ma maman çérie dans ma petite çatte ». La mère immorale se met à jouir à son tour. Les spasmes de son clitoris turgescent excitent le vagin de l’enfant. Il ne manque à la femelle en rut que de juter pour être entièrement hermaphrodite.
« Hmmm !… C’était bon, dit Luisa, les yeux embués par la satisfaction lubrique… Maman, ta grosse queue me fait du bien ! Maintenant, ze veux zouir du trou du cul… Z’ai le boyau très plein, comme tu aimes…
- Oui, ma belle !… Maman va t’enculer dans ta merde. Maman adore le caca des petites filles sales… »
L’enfant remonte un peu sur le ventre maternel hirsute et luisant des foutres femelles. Elle tient la clitopine raide dans sa main gauche. Elle lui fait, un instant, faire mimi à sa queue féminine à elle. Les deux tiges violet-rouge se bécotent et s’aiment vicieusement. Puis la gamine écarte ses petites fesses avec sa main droite, en révélant, dans sa raie culière, un incroyable fouillis de poils précoces, collés de pisse et d’excréments. Son anus dilaté, béant, ravagé, orné de peaux pendantes, écartelé par les sodomies incessantes (un emploi du temps excitant, quand on a quatre ans !), se met à exhaler de longues vesses puantes. La petite ne peut pas s’empêcher de péter quand on l’encule. Le gland clitoridien de la maman pédophile grossit encore au contact de la merde. La saucisse sexuelle se pose sur l’ouverture culière de la fillette. Elle bisouille la bouche postérieure, elle force les chairs rouge et brun, elle s’enfonce dans l’intestin. La petite fille ferme les yeux de bonheur en s’empalant résolument sur la clitobite de l’adulte. Lentement, régulièrement, les vingt centimètres du mégaclitoris disparaissent dans l’ampoule rectale. Le phallus maternel plonge dans l’intestin enfantin jusqu’aux poils. Puis Luisa se soulève et la clitopine ressort en majesté de son canal à merde, enduite d’une couche épaisse de matières fécales molles, brunes, collantes et puantes.
Montée, descente. Montée, descente : l’enculage va bon train. La mère et la fille soupirent, râlent de bonheur. Elles accélèrent le pistonnage. Elles jouissent de nouveau ensemble, en râlant et en criant. Les vulves crachent des jets de cyprine aussi abondants que des décharges de mâles.
La fille et sa mère, incestueuses, scatologiques, à la fois infâmes, anormales et excitantes, se donnent en spectacle au père pédophile qui caresse ses enfants en se tripotant la queue, après avoir abondamment juté dans la bouche de sa gamine. Le mâle chauve, bien membré (vingt-cinq centimètres de viande rouge, pour un diamètre de cinq et demi, avec un gros gland en champignon violacé), est à présent assis, les jambes écartées. Il a son fils de cinq ans sur la cuisse gauche et sa fille de quatre ans sur la cuisse droite.
Les deux enfants se frottent amoureusement contre le corps de papa qui les aime. Le garçonnet et la fillette caressent la poitrine, les seins, le ventre, la bite, les couilles et l’anus de leur géniteur. Rien ne vaut la sensation de quatre petites mains innocentes sur les organes excités d’un adulte incestueux et pédophile. Le père indigne embrasse tour à tour sur la bouche ses enfants, en leur enfonçant la langue, en suçant leur langue et leur salive. Les petits vicieux crachent leur bave entre les lèvres du géniteur, qui adore ce cadeau.
« Mes chéris, dit le papa, papa vous aime très fort ! Maintenant, toi, mon garçon, tu vas me donner ta quiquette à sucer ; puis je te ferai feuille de rose et tu pourras chier dans ma bouche. Pendant ce temps, toi, ma fillette adorée, tu vas te servir de ma grosse bite dans ta petite fente et dans ton trou du cul chaud. Ensuite, je te mangerai la merde au cul, à toi aussi…
- Ohhh !… papa chéri ! dit le garçonnet : regarde comme je suis raide. Suce-moi vite, et j’ai une grosse envie de caquer. Je dois faire un gros pipi aussi…
- Je vais te boire, petit coquin ! dit le père, dont l’œil pédophile brille au spectacle du joli membre sexuel raide de son gosse.
- C’est trop bon ! dit la fillette adorable, qui écarte les cuisses et masturbe à grands coups de poignet son clitoris de six centimètres. Moi aussi, je suis pleine de pipi et de caca. Ce sera tout pour toi, mon papounet…
- Hmmm ! Mes chéris, mes anges adorés ! balbutie le père… Vous me faites tant jouir depuis votre naissance ! J’ai faim, j’ai soif, je bande ! Regardez ma queue : elle est grosse et belle, hein ? La cochonne a besoin de beaucoup, beaucoup de saletés pour gicler à nouveau… »
La fillette blonde a le visage d’un ange. Les cheveux mi-longs, de merveilleux yeux verts, le corps adorable, le ventre et les cuisses déjà moussus d’un excitant duvet doré… Elle s’occupe de la bite paternelle comme savent le faire les gamines bien éduquées… Elle soupèse et manipule les lourdes couilles poilues, les palpe et les presse, passe sa main dans l’entrefesses velu et merdeux du mâle, tourne autour de l’anus béant qui palpite, s’y enfonce, revient en arrière et remonte vers la queue raide. La douce enfant branle la mentule de son papa tout du long, en insistant sur le frein du gland et la boutonnière, comme on lui a appris à le faire dès l’âge du berceau.
La délicieuse petite puce est heureuse de faire triquer papounet. Elle se place au-dessus du bas-ventre velu du pédophile, écarte les jambes et se laisse descendre sur le pal de viande rouge et raide, au gros gland décalotté. La fente enfantine, avec son gros clitoris sorti comme une quiquette et ses lèvres pendantes, dégorge un jus d’amour délicieusement parfumé. La fillette écarte ses nymphes et saisit le membre paternel, qu’elle dirige vers son trou rouge. Le vaginet est très étroit, mais il s’adapte. La petite est habituée. Le champignon violet touche l’ouverture où l’hymen n’est plus, depuis longtemps, qu’un souvenir. La grosse bite vicieuse s’enfonce, écarte les chairs, ouvre le chenal et l’investit centimètre par centimètre.
La fillette se laisse remplir par la queue de son papa en fermant les yeux de bonheur. Son court vagin ne peut pas engloutir une longue portion du membre ; mais un tiers s’y enfonce. L’enfant se met à culeter. Elle monte et descend sur l’axe du phallus en gémissant, les yeux fermés par le plaisir, le clitoris dressé sur le ventre. Presque aussitôt, elle commence à jouir. Elle part, elle crie que c’est bon, « la grosse bite de papounet dans ma minette », « la queue toute raide de mon papa pédophile dans mon abricot rouge »…
La petite fille blonde, ravie et essoufflée par la chevauchée sexuelle et l’orgasme consécutif, rouvre ses grands yeux verts. Ses paupières sont alourdies par la jouissance. Elle se soulève en poussant sur les cuisses et les mollets. Le gros phallus turgescent sort du vaginet dilaté en faisant « schliiipp » et « floc ». Le jus sexuel fait briller la hampe. La fillette attrape le vit paternel avec sa petite main et commence de le frotter sur son anus, parmi les poils blonds qui envahissent son entrefesses. Son trou du cul palpite d’impatience. La fillette contracte le ventre et pousse comme pour chier : sa bouche de derrière s’ouvre, très souple et très large pour un si jeune âge. Avec des fissures et des peaux pendantes qui prouvent les sodomies les plus précoces et les plus sales…
« Oui…, gémit le pervers : enfile-toi par le trou du cul sur ma grosse queue, ma chérie…
- Je m’assois sur toi et je pousse, salaud de papa adoré ! Je sens ton gros machin sale qui me caresse le cul et qui m’écarte la rondelle… Ohh ! Tu entres ! Tu es gros… Tu me remplis bien le cabinet à caca…
- Ouiiii… Je te force le trou sale ! Je te débouche le fion !… Je dilate ton anneau d’amour, ma puce : tu sens bien mon gros gland ? Tu es large, maintenant : c’est normal, tu es une grande fille, à quatre ans… Je m’enfonce dans ton boyau, ma grosse queue est tellement contente… C’est tiède et délicieux : tu es pleine de merde, mon enfant. Papounet aime tellement le caca des gosses !
- C’est bon, papa, ta queue dans mon boyau ! Je me sens toute ouverte…
- Oui… gémit le père pédophile et sodomite. Et toi, mon fils adoré : viens, que je suce ta pine, que je lèche ton trou sale et que je mange ta merde puante ! »
Tandis que la fillette se laisse descendre sur la queue paternelle, remonte puis redescend, et ainsi de suite, avec une volupté non feinte, et que son rectum gourmand engloutit la verge de l’adulte jusqu’aux couilles (tant le corps des enfants est naturellement conçu pour le vice de Sodome), le garçonnet vient, à genoux, enjamber la poitrine de son père. Il se manipule la bite avec un art consommé de la masturbation. Il est doté d’un paquet sexuel de belle dimension, pour ses cinq ans. Son corps superbe et lisse, ses cuisses et ses fesses galbées, son petit ventre rond feraient bander n’importe quel pédéraste. Ses couillettes, aux petits testicules juste sortis, forment un sac de peau ridée que le papa pervers goûte en premier. Il sait que le gamin aura un jour, comme lui, un gros scrotum velu, pendant entre les cuisses, avec de volumineuses glandes à jute à l’usage des enfants et des plus grands. Pour l’instant, le garçonnet n’a pas de poils, ce qui contraste joliment avec les longs duvets drus qui couvrent le ventre et le cul de sa petite sœur blonde.
Le papa vicieux prend les couillettes en entier dans la bouche et les étire. Puis il lèche la base du jeune membre en érection. Il adore bisouiller la tige sexuelle de son fils. Il est fou des asperges roses des petits garçons. Il en suce beaucoup : il fait partie d’un réseau pédophile qui échange activement du matériel vivant. Il regarde le membre raide. La queue, dure et très arquée vers le haut, comme souvent chez les enfants, mesure déjà douze centimètres de longueur, sur trois de diamètre.
Le père vicieux rit, ouvre ses grosses lèvres gourmandes, bisouille de plus en plus goulûment et engloutit le gland. Sa langue explore et mouille l’organe. Il excite de façon experte la tête sexuelle. Le salopard sait comment bien sucer les gosses. Il a l’art de les exciter. Le gamin se cambre très vite de plaisir. Papa tète et pompe la quiquette en l’enfournant tout entière dans sa bouche chaude. Jusqu’aux couilles… Il est fou des fellations administrées aux enfants. Il fait ressortir le sexe de sa bouche. Il examine le prépuce et le tire bien en arrière. Il lèche le champignon rouge, dégoulinant. Il enfourne et aspire derechef la tige rose et raide, gluante de bave et veinée de bleu. C’est extra, oui !… Il engloutit jusqu’à la racine le membre infantile, et le pompe de la plus vicieuse façon. Pour un adulte, il n’y a pas de meilleur sucre d’orge que le pénis raide d’un gamin.
Le garçonnet ne résiste pas longtemps. Il gémit que « c’est bon, c’est bon, c’est bon papa, suce-moi la queue… » Il remue les fesses en pistonnant la bouche du père, il se contracte, il crie. Sa tige génitale raide est saisie de spasmes de bonheur, que le papa pédophile ressent sur sa langue et son palais. Le petit n’a que cinq ans et, bien sûr, pas encore de jute à faire boire. Mais sa jouissance sèche est intense, et le père incestueux lui administre le plus excitant des mimis sales.
L’adulte retourne l’enfant sur sa poitrine. Il installe le petit cul au-dessus de sa figure. Il dispose le bel anus du gamin sur la bouche. La fillette, enculée et divinement élargie par le gros membre, se penche et saisit la quiquette encore raide de son frère entre ses lèvres. Elle se met à téter, comme font si bien les petites filles. Le frérot s’incline sur le côté et regarde avec excitation la bite paternelle qui monte et descend dans le canal fécal de sa sœur, dont l’anus dilaté se révulse à chaque retrait, et libère de gros paquets d’excréments bruns et collants, qui enduisent le phallus du pédophile.
« Tout à l’heure, dit le garçonnet, je vais sucer la bite de papa. Elle est pleine de merde. Moi, j’aime la merde…
- Brave fiston ! sourit le père, fier d’avoir su si bien éduquer sa progéniture. Maintenant, c'est moi qui ai faim. Pour que je rejute, il me faut beaucoup de saloperies, tu le sais…
- Hmm ! Oui… ! Je sais, papounet… Je pousse, tu sens ? J’ai plein de caca puant dans mon trou… Il est tout pour toi… »
L’anus de l’enfant se révulse, bée, pendouille et s’ouvre largement au-dessus de la bouche gourmande et avide du père. Le petit garçon contracte son ventre lisse et se met à pousser en gémissant. La grosse langue et les lèvres vicieuses de l’adulte touchent son trou fissuré, aux peaux très pendantes. Le pédophile se félicite que le boyau culier de son gosse soit si magnifiquement ouvert. Si souvent pénétré…
Le gamin se met à péter. L’odeur des gaz est forte et excitante. Papa renifle avec passion les vesses de son fils en enculant sa petite puce de plus en plus fort. Celle-ci tète avidement son frérot et sent dans sa bouche que la quiquette fraternelle se met à pisser. Elle adore l’urine. Le membre raide arrose sa langue de liquide tiède et jaune. La fillette boit, boit… Elle essaie de n’en laisser rien perdre, mais la miction est abondante : le pipi dégouline sur son menton et, de là, sur les couillettes du frère.
Le père recueille et avale ce qui coule de pisse chaude sur les organes génitaux et le périnée de son fils. Puis sa langue vicieuse s’enfile résolument dans l’anus enfantin, ouvre, agace et travaille l’orifice, puis gagne l’ampoule rectale. Le pervers sent tout de suite la masse tiède et molle du bol d’excréments prêts à sortir. Une amertume merveilleuse excite ses papilles, avec un zeste de saveur de cacao et des notes organiques à faire bander un congrès d’évêques pédophiles. Papounet goûte la douceur infecte de cette merde issue de la merde, c’est-à-dire composée pour beaucoup d’excréments que l’enfant a mangés, puis redigérés.
Les pets puants se succèdent, l’anus est ouvert au maximum entre les jolies petites fesses rondes, une grosse saucisse excrémentielle commence de sortir, molle, grasse, gluante et glaireuse. Papa la regarde, la hume, la lèche, la baise, lui fait honneur. L’étron sort du trou du cul comme un gros jésus brun-jaune, avec des parties noirâtres et d’autres colorées de vert épinard ou de brun-vert caca d’oie. Les fèces immondes de l’ange blond exhalent une puanteur qui rend l’adulte fou de désir.
Le père soupire de bonheur en accueillant dans sa bouche la production fécale de son enfant. Il se met à sucer, à mâcher, à manger les adorables déchets intestinaux. Il grogne comme un porc. Il taille et écrase le cylindre excrémentiel avec ses dents. Il exprime dans sa bouche le jus marron, qu’il avale avec délices. Il recommence, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de l’étron. Il finit de déguster en fermant les yeux. Il exige la merde suivante. Le petit garçon pousse à nouveau très fort, en gémissant. Une selle arrive, encore plus grosse que la première. Encore plus molle et plus verdâtre. Puante à souhait. Elle descend dans la bouche avide du scatophile, déborde, s’étale sur sa figure…
C’en est trop ! Le père incestueux se met à grogner, à crier. Son bassin s’agite, sa queue encule à toute vitesse sa fillette de quatre ans, qui jouit comme une démente. Le mâle adulte braille qu’il est prêt, qu’il va dégommer dans les intestins de sa petite puce en mangeant la merde de son petit mâle… Et, en effet, il gicle, gicle, gicle comme un verrat dans le rectum défoncé de la gosse. A son tour, la gamine crie et décharge comme une catin florentine. Elle fait trembler de plaisir son frérot, dont la petite bite est secouée d’orgasmes, et dont l’anus chie la morale du monde dans la gueule béante de papa…
NB. En aucun cas, les scènes rapportées dans ce récit ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est sévèrement réprimé par la loi. Ce texte relève du fantasme, à échanger uniquement entre adultes. Il n’appartient qu’à la littérature.
Chapitre 11
LA BEURETTE ET LE JEUNE JUIF
Linda de Zouza et sa fillette Luisa ont trop baisé, trop joui, trop sollicité leur bouche, leur vulve et leur trou du cul. Elles ont trop donné et reçu de salive, de jus de chatte, de pisse et de merde. Elles sont fatiguées. Elles choisissent de se reposer un moment. Elles se couchent sous l’auvent d’une tente, serrées tendrement l’une contre l’autre…
Dans son demi-sommeil, la petite fille de quatre ans manipule encore par réflexe l’énorme clitobite raide de sa maman chérie, et vice versa. La mère, poilue comme une guenon, les cuisses béantes, la vulve coulante, bande en rêvant qu’elle baise. Elle est si fière de son phallus de fille, long de vingt centimètres et large de quatre ! Ses lèvres sexuelles internes, hypertrophiées, pendantes en « tablier d’Hottentote », s’étalent et couvrent plus de la moitié de ses cuisses velues de noir. Elle imagine en songe qu’elle encule un petit garçon de trois ans avec sa grosse queue femelle. La merde gicle du trou du cul du gosse, en même temps que coule le sang de la déchirure… Linda grogne de plaisir. Son vagin dégouline, la mouille inonde les poils de ses jambes, qui descendent en broussaille jusqu’à ses pieds. Son anus, dilaté et défoncé par les enculages subis depuis la prime enfance, lâche des pets graissés de grosses virgules de merde odorante.
Luisa, la fillette, est petite et délicate, très jolie, mais anormalement et précocement velue. Mignonne à faire bander tous les pédophiles de la Terre ; et ils pullulent !… Un corps parfait et potelé de quatre ans : un petit cul rond et bien fendu ; un petit ventre un peu bombé de gamine en bonne santé, bien nourrie de sperme et de merde ; le torse étroit des fillettes dont les seins se résument à deux suçoirs sensibles ; une jolie figure au nez retroussé, aux lèvres pulpeuses, aux belles dents de lait blanches, aux yeux bordés de longs cils noirs et aux énormes sourcils jointifs… Elle est affublée d’un hirsutisme congénital extrême : un mohair lui tapisse la peau. A quatre ans, elle a plus de poils, plus touffus et plus longs, sur le ventre, le pubis, les cuisses et le cul, que la plupart des filles adultes. Elle exhibe, elle aussi, un clitoris de guenon, hypertrophié, en quasi constant état d’érection (dix centimètres de longueur sur trois de diamètre). Ses nymphes sexuelles, en oreilles de cocker pendantes et écarlates, énormes et festonnées, s’étalent et pleurent une mouille abondante sur ses fines et jolies cuissettes. Elle jute autant que sa maman, et son trou du cul défoncé lâche de temps à autre une purée brune mêlée de sperme déposé dans son rectum par la grosse queue d’un mâle.
Un couple de très jeunes adolescents survient. Ils se tiennent la main. Ils ont douze ans. Ils sont nus, comme tout le monde au camping de la Merde. Ils sont beaux, excitants comme l’amour même. A l’évidence, sexuellement très précoces. Pervers comme tous les enfants devraient l’être, à tous les âges…
La jeune femelle, une Arabe, incarne une très jolie Biquette, fine, à peine nubile et déjà hypervelue. Le mâle est un jeune Juif monté comme un bouc, dont la queue longue et mince bande plus haut que l’estomac et offre à qui l’aime un gland circoncis pointu, violet vif.
Le garçon dit à la fille :
« Regarde, Amina, comme elles sont poilues, ces deux guenons ! J’aime bien les petites filles sales qui branlent la vulve et le cul de leur maman… Ces deux-là se ressemblent par les poils et par la chatte. Ma maman Sarah et ma sœur Esther, elles aussi, sont poilues comme des chèvres, et elles se touchent sans arrêt en faisant pipi et caca. Elles adorent…
- Et ça te fait bander, sale petit bouc ! répond Amina, en riant. Moi aussi, je suis pleine de poils : ce n’est pas pour rien que je suis Arabe… Avec ma maman Leila, depuis que je suis toute gamine, je joue à pipi-caca et on se gouine. Mon papa, Ahmed, me fait sucer sa bite énorme ; il m’appelle sa petite bique à merde ; il me met sa grosse queue dans la minette et dans le pot arrière… Oh ! toi, mon Samuel, tu as envie de m’enculer…
- Oui… Je veux t’enculer, et ensuite j’aimerais enculer la maman poilue, et la petite fille pour finir ! Si j’arrive à me retenir jusque-là, mais ça, ça m’étonnerait beaucoup ! J’ai déjà la perle au gland, regarde…
- Tu as une belle queue, tu vas bien juter… Moi aussi, ces deux salopes m’excitent ! J’ai envie de les lécher, de les sucer et de leur bouffer la merde… C’est tellement bon, les saletés qui sortent de la pissette et du trou à caca des mamans, des papas, des enfants…
- Mmmm ! oui… Viens, mon Amina, faisons des cochonneries ! Putain, je bande… »
La jeune Biquette est adorable. A douze ans, elle n’a pas encore de poitrine : juste deux cônes pointus, terminés chacun par une énorme tétine rouge, épaisse et érectile. Son corps fin et souple est une merveille pour amateurs de Lolitas vicieuses. Elle exhibe un petit cul musclé, très cambré. Ses fesses, bien fendues, dominent des cuisses nerveuses et des mollets très fins. Les jambes sont un peu arquées, comme souvent chez les Arabes. Elle a un petit nez busqué, de grosses lèvres gourmandes, des sourcils broussailleux, de très longs cils de gazelle et les yeux noirs. Ses cheveux frisés restent drus sur son cou, où ils se prolongent vers le bas par une large crinière de longs poils doux ; ceux-ci descendent sur l’épine dorsale, jusqu’aux reins où ils rejoignent l’épaisse toison lombaire et fessière.
Amina est, comme elle le dit en riant, aussi poilue qu’une bique… Ses douze ans hirsutes sont un hymne à la pilosité féminine réputée « excessive », mais tellement excitante… La fillette, à peine pubère, possède d’énormes sourcils qui lui barrent le front de noir. Ses joues se décorent d’un long et doux duvet, tandis que sa lèvre supérieure porte une moustache de fille. Ses seins bourgeonnants sont tapissés de laine légère et son sternum boucle d’un duvet charbonneux. Elle a, aux aisselles, deux énormes buissons noirs, dégouttants de sueur, qu’elle montre à tout le monde (y compris en classe ou dans sa cité : les mâles adorent et bandent), et auxquels répond la toison plus légère de ses bras et avant-bras. Une piste au trésor somptueuse démarre sur le sternum de la gamine, passe entre les seins plats, s’élargit et s’épaissit sur l’estomac et le nombril, avant d’exploser en fourrure bestiale sur le ventre, le bas-ventre, les aines, les cuisses, jusqu’aux mollets et aux cous-de-pied…
Le jeune Juif bande raide. Il se masturbe, il se donne du plaisir lentement en contemplant sa copine la Beurette, mais aussi Linda et Luisa de Zouza endormies. Il pelote le cul velu d’Amina, qui écarte aussitôt les jambes pour offrir au jeune étalon son anus et sa vulve. La belle Biquette attrape à pleine main la longue queue excitée de son petit bouc. Elle aime se montrer toute nue, si délicate et si poilue. Elle adore s’exciter en masturbant un garçon ou une fille. Elle possède la vulve typique des femelles arabes, très exagérée, fendue très haut sur le pubis, béante et hypertrophiée dans toutes ses parties. Ses grandes lèvres forment deux épais boudins hérissés de poils exubérants, longs de vingt centimètres. Ses nymphes pendent comme des langues épaisses, festonnées, couleur foie ; elles arrivent presque à mi-cuisses, étirées et travaillées en famille depuis la prime enfance. Son clitoris justifie (comme ses poils) qu’on la traite de chevrette ou de bique. Ce membre femelle fait songer à un phallus. Long et pointu, il atteint douze centimètres sur trois quand (son état le plus ordinaire) il est turgescent. La fillette se tourne, ouvre ses fesses à deux mains et expose son anus. Elle adore le faire voir, toucher, lécher, pénétrer. L’orifice bée en large étoile fistuleuse, dans une broussaille de poils collés de sperme et de matières fécales. Il est vultueux, saccagé, fissuré, défoncé, pendant de peaux et hypersensible aux caresses, aux langotages, aux doigtages, aux fistages et à l’intrusion désirée des clitoris ou des bites.
Samuel, le jeune Juif, est fin, les muscles longs, le visage agréable, les yeux bleus, les hanches étroites. Entre ses fesses très ouvertes, dépasse le cratère en partie extrudé d’un anus défoncé, béant, offert à tous les membres qui le désirent. L’enfant a été sodomisé pour la première fois à la synagogue, tout bébé, le jour de sa circoncision, par son père, son oncle et un rabbin pédophile muni d’une queue énorme, qui s’occupe en personne, depuis des décennies, d’ouvrir le derrière des garçonnets qu’on amène à la cérémonie. Il viole les petites filles par les deux orifices, avec un égal plaisir… Samuel regarde les mains fines et velues d’Amina qui massent, branlent et excitent sa queue. A douze ans, il possède une bite superbe, qui surmonte deux boules pendantes, lourdes et gonflées de jus. La tige sexuelle atteint vingt-cinq centimètres de longueur, pour un diamètre de quatre. Le gland, sans prépuce, totalement dégagé par la circoncision, est long, pointu, bien fendu, avec de larges ailes, un collet gluant et une jolie teinte rouge violacé. Le corps de la verge est sillonné de grosses veines bleues. En érection, le membre prend une cambrure exagérée, mais très utile à la jouissance de ceux ou de celles qu’il encule.
Les deux pré-adolescents s’étreignent et se frottent, clitoris contre bite. Ils gémissent de désir. Ils se roulent de longs baisers baveux. Le petit mâle suce les narines de la femelle et les cure avec délices. La fillette ouvre la bouche pour recevoir un gros crachat visqueux, qu’elle rend à son compagnon.
« Je veux te sucer, dit Samuel, te manger les poils de la chatte et du cul. Je veux te langoter la fente, le clitoris et les lèvres, te ramoner le trou à merde avec ma langue, boire ta pisse et manger ta crotte !
- Moi aussi, mon chéri, répond Amina : je suis excitée. J’ai envie de téter ta queue, de la faire pisser, de lui tirer le jus, et de bouffer ton gros caca puant… »
Les préadolescents se disposent tête-bêche, se caressent mutuellement le ventre, les cuisses et le cul, et commencent à se sucer les organes génitaux et l’anus. On entend les bruits passionnés des lèvres et des langues qui fouaillent le sexe et le fion désirés. Amina bisouille, lèche et pompe le membre du garçon. Elle lui donne des mimis passionnés sur les couilles, lui lape et lui ouvre le trou anal. Samuel écarte et étire les lèvres génitales de la fille, plonge sa figure dans le vagin qui dégouline, tète et mordille le volumineux clitoris raide comme une bite, redescend vers l’anus, ouvre le vase fécal avec la langue, remonte vers l’urètre et quémande :
« Pisse, ma chérie, pisse-moi dans la bouche… Après, tu chieras ta grosse merde !
- Je vais pisser, oui ! Je vais t’arroser… Et je vais caquer sur toi, dans ta bouche… Tu as envie de ma merde puante de fille sale ?
- Hmm ! Oui… Donne-moi tout… J’ai faim !
- Toi aussi, mon amour, tu me chieras dessus, dans la bouche, sur la figure, sur le ventre, sur la chatte, je veux tout de toi… »
Les deux gosses sans morale commencent à pisser en gémissant de désir : tant il est vrai que l’éducation donnée dès le plus jeune âge conditionne la vie entière. Leurs parents les ont initiés : ils sont devenus incestueux, urophiles et scatophiles. Ils aiment le sexe associé à l’urine et aux matières fécales. Ils en sont obsédés. Samuel se met à arroser Amina, qui lâche les bondes et gicle d’abondance sur la figure et entre les lèvres grandes ouvertes de son compagnon. Les jets dorés, odorants, ammoniaqués, remplissent les gosiers, qui avalent et gargouillent de plaisir. Les enfants sales se boivent mutuellement le pipi jusqu’à la dernière goutte, et lèchent longuement les organes du partenaire pour le remercier, comme ils ont appris à faire quand ils étaient encore bébés, au berceau, avec le sexe de leurs parents, grands-parents, oncles, tantes, voisins, voisines, tous aussi pédophiles les uns que les autres…
Les amoureux échangent un long baiser sur la bouche, pisseux et passionné, avant de passer aux choses sérieuses, c’est-à-dire aux matières fécales. Amina se dispose la première pour pondre. Son large trou culier bée de plaisir. Elle a un énorme besoin de chier, et elle ne chie jamais que dans la bouche ou sur le corps de quelqu’un. Aucune de ses merdes ne se perd inutilement dans les chiottes. Les pervers amateurs d’excréments d’enfants de tous âges sont légion ; ceux qui n’ont pas encore essayé feraient bien de s’y mettre : rien n’excite le désir avec plus d’intensité ; rien ne provoque de meilleures décharges.
Les chairs rouge vif et violacées du sphincter anal de la Lolita velue sont distendues, béantes, abîmées, lacérées. La belle a mangé un gros couscous à midi, arrosé de vin d’Algérie épais et lourd. (Donnez du vin aux enfants : leur jouissance n’en sera que meilleure, et la vôtre aussi !) Pour dessert, elle a dévoré la chiasse de sa grande sœur Fatima, que leur père venait d’enculer : le mélange de caca de fille et de sperme de papa est un délice. La merde qui se présente à la porte arrière de la Beurette est énorme ; digne de celles que savent offrir les gamines habituées de longue date aux perversions scatologiques. Les salauds qui se branlent en lisant ce texte, et qui ont déjà mangé des excréments de fillettes ou de garçonnets bien éduqués, en connaissent l’abondance, l’amertume et les vertus pornographiques.
La gamine velue exhibe ses petites lèvres en escalopes, dégoulinantes de jus, et son long clitoris tendu jusqu’au nombril. Elle s’accroupit au-dessus du garçon. Allongé sur le dos, Samuel trique comme un bouc. Amina dispose ses délicieuses petites fesses moussues de noir au-dessus du visage du garçon fasciné. L’anus domine la bouche gourmande qui réclame la becquée. De longs pets foireux partent du rectum de la Beurette, puants à souhait, soulignés de grasses projections brunes. Le garçon inhale les gaz en grognant d’excitation. Il lèche, suce, langote le fion défoncé, sale et sensible de sa jeune copine. Il enfile sa langue dans le pot brenneux. La Lolita contracte son joli ventre velu, lâche une nouvelle giclée de pisse, et pousse un étron colossal. La pièce de merde écarte les peaux brisées et pendouillantes de l’anus. On voit pointer la tête arrondie brun-jaune, gluante, d’un diamètre de cinq à six centimètres. L’étron s’extirpe lentement du boyau. Il est irrégulier, massif, compact, avec des traînées brun-noir et d’autres vert et jaune, qui se mêlent de morceaux mal digérés dans lesquels on reconnaît des pois chiches, des bouts de courgettes ou de viande de couscous ; sans oublier les résidus redigérés de la grandeur sœur, Fatima… Le colombin s’allonge hors de sa niche gluante : dix centimètres, vingt, trente… Un colosse naît de cet adorable petit cul. Il ne se brise pas encore. A trente-cinq centimètres, il atteint la longueur du phallus du papa d’Amina, lequel ramone chaque jour le rectum de sa fifille et a modelé l’ampoule à son volume.
La merde s’effile et casse enfin. Elle tombe dans la bouche béante du jeune Juif en extase. Une partie emplit l’espace disponible entre langue et palais. Le reste s’arrondit et se love comme un gros serpent luisant et gras sur le visage du garçon. Celui-ci, ravi du cadeau, commence de mâcher. Il adore la merde d’Amina, très amère et très douce à la fois. Il l’écrase entre ses dents et sa langue, il en exprime le jus infect et bandant, il en avale de grosses bouchées, il en remâche et avale encore. Il trique comme un fou, à la façon des pervers les plus authentiques – pédophiles, incestueux, boit-la-pisse et mange-la-merde…
Amina continue de chier. Un deuxième étron, un peu moins gros que le premier, mais plus gras et plus liquide, sort de son anus graissé de matières brunes. Elle pond et saisit sa production intestinale dans sa main, qui en est entièrement couverte. Elle s’en barbouille la figure, la bouche, le cou, la poitrine, les poils du ventre, des cuisses, du cul, des jambes. Elle en mange avec appétit. Elle attrape la longue pine du jeune Juif, qu’elle enduit amoureusement de caca tiède. Elle en met épais sur la hampe, elle en garnit le collet, elle en colle des couches sur le gland.
« Suce-moi ! Suce-moi très fort : je vais juter ! », gémit le petit mâle.
La gamine branle la queue couverte de merde, approche ses lèvres gourmandes et enfourne le gland délicieusement immonde. Elle ferme les yeux de bonheur et déguste l’amertume et les parfums de ses résidus digestifs sur le membre du garçon. Elle tète la pine en bavant. Le jeune Juif donne de grands coups de cul, il n’en peut plus, il avale la merde d’Amina à grosses bouchées et râle de bonheur. Sa bite se contracte, saisie de longs spasmes, et elle se met à gicler, à gicler, à gicler dans la bouche de la fillette : les pulsations de jute partent avec force. Une dizaine de contractions de la queue et des couilles envoient dans la bouche de la Beurette des quantités de sperme gras et tiède, que la fellatrice déguste en fermant les yeux de plaisir. Les testicules du garçon roulent dans le scrotum et finissent d’émettre leurs spermatozoïdes fureteurs. La jouissance est extrême. La petite Beurette velue se masturbe à grands coups de main : sa pine de fillette, longue et raide, trique sur son ventre comme un phallus d’adolescent excité par sa maman perverse. La jolie petite Arabe est secouée de spasmes délicieux. Elle râle, elle bave, elle répète que « c’est bon, c’est bon, c’est bon ». Son vaginet éjacule des jets de cyprine. Son anus sensible et totalement dilaté palpite comme une adorable bouche rose, rouge et brun – les trois couleurs du plaisir, à tous les âges de la vie.
Linda de Zouza, notre héroïne hirsute, est à présent tout à fait réveillée. Elle est excitée, elle a envie de jouir. Elle masturbe follement son énorme clitobite rouge, tout en branlant la tige génitale et les nymphes hypertrophiées de sa gamine Luisa, si poilue et si sale, elle aussi… Les deux guenons profitent du spectacle odorant et excitant du jeune Juif en train de manger la merde de la Beurette, et de juter comme un dément, tandis que la chieuse est secouée de frissons de plaisir.
« Oh ! dit Linda : ces deux salopiots me font bander comme une folle. Mon bébé Luisa est toute trempée, elle aussi. Elle me pisse et me chie dans la main pour se faire branler le cul plus fort… On va faire des saletés innommables, tous les quatre. Amina n’a pas encore dégusté beaucoup de merde : or, toutes les filles en ont besoin pour vivre. Je vais lui en donner à manger, j’en ai un énorme tas dans l’intestin, il faut que ça sorte. Luisa va lécher, mâcher et bien avaler les excréments de Samuel : les enfants en bas âge ont besoin de caca dans la bouche et dans l’estomac pour grandir et devenir belles… Venez, mes chéris : sucez-vous, sucez-moi, caressons-nous, baisons, enculons, pissons, chions ! Nom de Dieu de bordel de merde à cul, que je bande pour tous les enfants du monde et pour la merde universelle ! »
N.B.
En aucun cas, les scènes rapportées dans ce récit ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est sévèrement réprimé par la loi. Ce texte relève du fantasme, à échanger uniquement entre adultes. Il n’appartient qu’à la littérature.
Chapitre 12
LE CURE PEDOPHILE
ET LES PETITS N’ENFANTS
Luisa de Zouza et sa maman Linda continuent de se promener dans le camping de la Merde. Elles sont nues, comme tout le monde. Bandantes et belles. Si incroyablement poilues… Si anormales et juteuses…
La mère est une superbe ourse au gros cul musclé, et à la poitrine plate mais dotée d’énormes tétines. Elle possède un clitoris monstrueux qui trique jour et nuit comme une pine, et des lèvres sexuelles en drapeaux violacés, qui lui pendent presque aux genoux. Sa toison noire lui compose une fourrure quasi intégrale. Sur le pubis, sous les bras, entre les fesses et sur les cuisses, les poils dépassent vingt centimètres de longueur, et sont d’une incroyable densité.
La fillette, à peine âgée de quatre ans, ressemble à sa maman chérie : de longs duvets dits « superflus » (mais si bandants) sur le corps, un superclitoris et des lèvres génitales étirées en oreilles de cocker. Les deux femelles ont déjà beaucoup joui, aujourd’hui. Le foutre leur coule sur les cuisses et les jambes. Elles pissent sous elles en marchant. Elles sont luisantes d’urine et souillées de merde. Elles aiment à la folie la jouissance sexuelle, les excréments, les anomalies génitales et anales.
Elles tombent sur une nouvelle scène excitante.
Un curé et six enfants mâles, de petits scouts de quatre à douze ans, nus et adorables…
Le curé traditionaliste est en soutane noire, mais déboutonnée et grande ouverte. Il expose aux gosses fascinés son corps de prêtre pédophile, obsédé et amoral. Large tonsure, yeux vicieux et sourcils broussailleux ; avec ce nez très long et très gros des mâles hypermembrés… Il est maigre et velu. Couvert de poils noirs. Poitrine hérissée, abdomen de bouc, cuisses et jambes hirsutes… Le salaud montre aux jeunes garçons son prodigieux système sexuel. Il écarte les jambes et pète : son ample anus d’enculé pendouille et bée, tel un gant rouge retourné, obscène, puis lâche un paquet de merde brun sombre, crémeuse, puante, que le vicieux prend dans sa main, offre aux gosses et leur fait renifler, en disant :
« Voici l’hostie sacrée du Bon Dieu, mes chéris… Putain de bordel de merde d’enculée de Sainte Vierge poilue que je sodomise tous les jours, ça va être bon avec vous… J’ai dans les couilles de quoi vous remplir tous les six de jute… Au nom du Père qui encule son Fils et du Fils qui sodomise sa Mère, amen… »
Le curé pédophile plaque la merde grasse sur ses organes génitaux, qu’il branle à deux mains et excite avec un art consommé de la masturbation. Ses couilles velues pendent, grosses comme des oranges, presque à mi-cuisses. Sa queue est énorme. Longue de trente centimètres et large de huit. Bosselée de veines bleues, luisante de mucosités, tapissée de sperme et d’excréments, et dotée d’un gland violacé gros comme un cœur et fendu verticalement sur un canal de l’urètre béant, hypersensible aux doux bisous des gosses…
« Venez, mes amours du Bon Dieu, dit le prêtre : je vais vous téter le devant et le derrière… Vous êtes si jolis… Hmm ! Je vais bien juter tout à l’heure, dans un de vos merveilleux culs d’enfants… Mais lequel ? Oh ! oui… le tien, mon petit Fabien ! Tu es le plus jeune, tu as juste quatre ans : c’est le moment de te faire connaître le plaisir du gros jésus d’amour qui crache son jus dans le boyau du Bon Dieu ! »
L’un après l’autre, les enfants nus viennent présenter leurs organes sexuels et leur anus au prêtre, qui les lèche, les suce, les tète. Le pédéraste adore les membres infantiles et les trous sales des petits garçons. Il enfourne d’abord sa langue dans leur bouche. Il avale leur salive, leur cure le nez, déglutit leurs morves. Il les contemple, nus devant lui, cuisses écartées, offerts à tous ses vices. Il leur bisouille les seins et le ventre, leur palpe en tous sens la quiquette et les couillettes, happe leur joli sexe dans sa bouche gourmande, les aspire. Il les fait bien bander. On doit toujours exciter et faire jouir les enfants, même en très bas âge : c’est un devoir d’adulte responsable ; notamment quand on en a la garde en tant qu’instituteur ou prêtre. Il leur enfonce la langue dans le rectum : on doit habituer très tôt les gosses aux plaisirs de l’anus et de la merde.
Le curé pédophile est expert, il sait mettre en chaleur les gamins. Les exciter. Les faire jouir. Il a toujours adoré donner du plaisir aux générations nouvelles. Chaque année, des centaines de gamins passent par ses mains, sa bouche, sa queue, bref son sacerdoce. Il a initié des milliers d’enfants au long de sa carrière de responsable chez les scouts.
Le premier dont il s’occupe aujourd’hui est un petit Beur de huit ans, le corps trapu, les jambes un peu arquées, les fesses musclées. L’enfant, cheveux crépus et longs cils noirs, montre ses organes au prêtre, qui le caresse. La bite du gamin, déjà longue de treize centimètres et épaisse de trois, est un superbe exemple de phallus de jeune Arabe circoncis, avec un gros gland rouge, bien fendu. Un futur bon juteur… Le prêtre enfourne le membre dans sa bouche baveuse et tète avec passion. L’enfant, sucé selon les règles de la pédérastie scoute, gémit de bonheur, les yeux mi-clos. Le curé écarte les fesses brun mat, joliment duveteuses. Il trouve l’anus arrondi, crénelé, bien développé, déjà souvent ouvert, qu’il fouille d’un doigt vicieux, fait béer et écarte. Il enfonce un deuxième doigt, puis un troisième. Le viol anal provoque, chez l’enfant, un surcroît d’érection, suivi d’une série de grognements de plaisir et de spasmes de jouissance. L’enfant ne jute pas encore, mais ses orgasmes sont intenses.
A présent, le curé pédophile dispose à sa guise le petit Beur pour lui déguster la merde au cul. Il s’allonge sur le dos, la soutane béante. Sa queue énorme, tel un jésus rouge et brun, gonflée de désir, est d’une obscénité rare. Elle touche les lèvres du gamin, qui connaît son devoir. La bouche du jeune Arabe s’ouvre, le gland ecclésiastique violet-rouge, maculé de sperme et d’excréments, envahit la caverne mouillée dans laquelle la langue s’agite. La tête phallique est si grosse qu’elle occupe tout l’espace. La saveur merdique est puissante. La mentule du prêtre palpite. L’enfant est habitué : il tète, délicieux petit biquet bougnoule !
Le petit Bicot sent, par ailleurs, que la langue du curé s’enfonce dans son anus, et qu’elle réclame avec insistance la grosse commission. Il se met à pousser. Il pète grassement, de grosses vesses d’enculé qui emplissent les poumons du curé et raidissent encore sa queue. Le trou du cul de l’enfant, défoncé, dilaté, boursouflé, bordé de peaux pendantes, se met à béer comme une caverne brun et rouge. Un gros étron puant, glaireux, pointe et se développe vers l’extérieur, luisant de matières ignobles, grenu de morceaux mal digérés…
La merde brune s’extirpe du boyau en cylindre irrégulier, longue de dix, vingt, puis trente centimètres, et d’un diamètre de cinq. Elle se tord en spirale sur la figure et pénètre dans la bouche de l’ecclésiastique qui la suce, la langote, la bisouille. Le curé coupe avec les dents un gros morceau de boudin ignoble. Il le mâche en grognant. Il aime tant les matières fécales des petits garçons ! Il est aux anges. Il dévore les résidus digestifs amers, puants, délicieux… Il se régale et déglutit. Son sperme est prêt à gicler dans la bouche du jeune Bougnoule, mais il se retient : il veut défoncer l’anus vierge de l’enfant blond Fabien.
Il achève de dévorer l’étron du petit Arabe. Il ne laisse rien perdre. Il a la bouche et les dents brunies de pâte intestinale. Il dit au Beur de se faire sucer par son copain roux, à la grosse queue courte et tordue, qui est âgé de neuf ans et se pignole en bavant de plaisir, trois doigts enfoncés dans le cul.
Le prêtre pervers appelle le plus « grand » du groupe, un fils de paysan au corps malingre, âgé de douze ans, doté d’une touffe de premiers poils châtain sur le pubis. Le jeune salopiot est maigre et malingre, mais affublé d’un membre sexuel d’une force surprenante : vingt-deux centimètres, pour un diamètre de cinq. Il sourit au prêtre vicieux.
« Viens, mon Joseph ! dit l’ecclésiastique : mets ton gros goupillon dans mon bénitier sale ! J’ai besoin d’une grosse queue dans le rectum pour bien réciter mes prières à la Vierge Marie, qui est toute poilue, qui sent la merde et pratique tous les vices pédophiles… Encule-moi, mon Jojo chéri… Mets ta queue dans mon boyau, comme tu le fais à tes petits frères et sœurs, à ton papa, à ta maman sale et poilue… »
Le petit péquenot surmembré vient se placer à genoux entre ses jambes du curé. Il écarte à deux mains les cuisses et les fesses velues du saint homme. Il relève les couilles énormes, palpe l’entre-fesses tapissé d’excréments, et pose son gland sur l’anus difforme, élargi, monstrueux, pendouillant de peaux, et d’une saleté repoussante. Il songe qu’il a été lui-même sodomisé depuis son plus jeune âge par son père, son grand-père, ses oncles et cousins, sans oublier les abbés du pensionnat et quasiment tous les adultes du village. Il bande raide. Il ajuste son champignon décalotté sur l’orifice ignoble. Il pousse, d’un grand coup de cul : le membre pénètre sans effort dans le tunnel excrémentiel du curé pédophile, dont la queue dilatée, énorme, palpite et dont la gorge roucoule. L’enculage s’approfondit. L’homme d’église fait beau cul, relève les genoux sur sa poitrine, se donne comme une pute. Le garçon plonge sa queue jusqu’aux couilles dans le rectum pédophile. Il se retire, s’enfonce encore, entame un vigoureux va-et-vient dans le tunnel intestinal. Sa bite remue une masse pâteuse de fumier tiède et acide. L’enfant halète et culète très vite, gémit qu’il aime enculer m’sieur le curé, qu’il va dégommer, se vider les couilles de tout son bon jus, comme il le fait tous les matins dans le trou du cul de sa maman…
« Je jute, je jute dans ton gros pot de chambre, m’sieur le curé !… Ah ! c’est bon…
- Petit salaud ! murmure l’enculé : je sens tes giclées, tu m’arroses l’intestin… Tu n’as que douze ans, mais du décharges avec une force !… Mhhh !… »
C’est à ce moment que la petite Luisa intervient.
La gamine velue n’y tient plus. Elle dégage avec un grand « floc ! » son trou du cul du clitoris de sa mère, sur lequel elle s’était empalée pour observer le curé et les enfants scouts. La fillette, plus excitante que jamais, défèque en marchant vers le prêtre. Des traînées de merde brune descendent sur ses cuissettes déjà poilues, jusque sur ses mollets hérissés de duvets noirs. Elle masturbe obsessionnellement sa clitobite rouge et ses lèvres pendantes.
« Moi aussi, dit-elle au prêtre vicieux, ze veux zouer aux saletés avec du caca. Ze suis excitée… Regarde, m’sieur le curé à grosse queue, comme ze bande fort, avec ma tize de tite fille… Tu vois comme ça fait bien bander maman et les autres enfants, mon gros bout de fille…
- Putain, tu es belle comme la Vierge Marie quand elle était petite ! dit le curé. Je n’ai jamais vu une fillette si velue… Ecarte les cuisses… Nom de Dieu ! Quelle bite femelle tu trimbales ! Et tu as les escalopes ! Les grandes oreilles rouges ! Tu pends entre les jambes… J’adore ça, chez les petites puces innocentes… J’aime ça autant que le membre et les couilles des gamins du Bon Dieu…
- Ze vais t’aider à enculer Fabien, dit Luisa. Ze vais lui écarter les fesses en lui suçant la quiquette.
- Viens, ma chérie ! dit le curé excité… Pendant ce temps, ta maman va bien faire jouir mes jeunes salopiots de scouts ! »
Luisa de Zouza, quatre ans à peine, haute comme trois pommes, jolie comme un cœur et duveteuse comme un bébé guenon, prend le petit Fabien par la main, puis par la queue. L’enfant est beau. Blond. De longs cheveux bouclés d’ange tombent sur les épaules. Il a la figure douce et ronde, les lèvres pulpeuses, le corps délicat, de petites jambes bien faites, un cul rond et potelé… Sa quiquette raidit quand Luisa le branle, en lui palpant vicieusement les bourses et l’anus. Le membre du garçonnet consiste en une virgule sexuelle longue à peine de quatre centimètres et d’un diamètre de un, en vérité plus petite que le clitoris de la gamine. Le phallus surmonte deux testicules adorables, deux cerises génitales excitantes. Luisa décalotte la mini-queue et y pose de gros bisous baveux.
Elle fait venir Fabien devant le prêtre qui s’est mis à genoux, bavant de désir. Le curé pédophile brandit son membre sexuel gigantesque, tendu, noueux, veiné de bleu, dégouttant de sperme, de pisse et de merde. La gamine vicieuse donne d’abord la quiquette de l’enfant à téter au curé : celui-ci engloutit voracement la pine et les couillettes dans sa bouche. Il aspire la tige du gamin, les yeux clos de bonheur. Puis la petite fille dispose le petit garçon à quatre pattes, la figure sur son pubis et le cul tourné vers le membre de l’ecclésiastique. L’enfant blond, le nez dans les poils noirs du ventre de la gamine excitée, se met à lui sucer le clitoris et les lèvres pendantes.
La fillette offre au désir du prêtre le petit cul adorable de l’angelot. Elle écarte les fesses rondes et douces, lisses et blanches. L’anus du gosse est niché dans la raie, plissé en rosette comme une étoile d’amour, délicieux à voir et bientôt à prendre dans sa vallée étroite, au-dessus des couillettes et de la tige raide que l’excitation sexuelle colore de pourpre et de violet. Le prêtre se penche et lèche le petit postérieur. Sa langue immonde se pose sur le trou à caca délicat et commence de l’assouplir, de le travailler, de le forcer, de l’ouvrir. Le pédéraste prépare la voie. Il enfonce son appendice lingual goûteur de merde dans le trou culier de l’enfant : le sphincter résiste, il est si étroit ! Mais la salive assouplit la rondelle et cet anilingus se termine par un gros pet puant du gosse. Le gaz envahit les narines du prêtre surexcité. Une coulée de caca blond et amer (un délicieux caca de gâteau au chocolat du dimanche) s’extrude de l’orifice et vient souiller la bouche et le nez du prêtre pédophile et scatophile, lequel se pourlèche et avale en grognant cette crème intestinale.
« Chie ! Vide-toi !... Caque sur ma grosse queue : elle aime ça ! grogne l’ignoble personnage, en disposant son membre monstrueux sous le cul de l’enfant… Allez, chie, mon petit Fabien ! Pousse fort !… Donne-moi tout : tu verras, avec ta merde sur ma pine, ça glissera mieux quand je te défoncerai le boyau du Bon Dieu… »
L’enfant, délicieusement branlé et pompé par la petite Luisa, contracte son petit ventre et pousse, pousse en gémissant. Son anus rouge bée, ressort comme pour un bisou d’amour, et expulse une série de gros pets modulés, puis une, deux, trois, une dizaine de longues virgules de merde fine, douce, très molle, quasi liquide, mais très collante. Les étrons s’extirpent du rectum infantile avec des « prouts » sonores et tombent sur le membre génital hypertrophié, tendu de désir, de l’adulte sans scrupules. Le curé enduit sa queue avec les excréments du gosse. Il en met épais, du gland aux couilles : c’est si bon, la merde juvénile ! Il lèche ses doigts brenneux. Il cueille et mange les étrons qui viennent encore. Il adore. Il entend bien continuer ainsi toute sa vie : bouffer du fumier de gamin jour et nuit… Et enculer tous les petits scouts que les parents lui confient !
Il doit en finir, à présent. La jute lui monte dans la tige. Elle déborde du méat de sa queue. Elle va gicler très fort. La voix hachée par le plaisir, le pédophile demande à Luisa de bien tenir ouvertes les fesses du gamin.
« Il n’a que quatre ans, tu sais… Son trou est si petit et mon Jésus d’amour si dur et si gros… Mais il va y passer comme les autres… Je vais l’ouvrir large. Ca ne se refermera plus jamais… Ca va lui faire mal, sur le moment, mais il sera heureux toute sa vie…
- Moi, dit Luisa, ze suis heureuse : z’ai un très larze trou à caca, depuis longtemps ! Z’en suis fière…
- Salaud de curé qui encule les enfants, tu n’as pas honte ? dit en riant Linda, la mère de Luisa, qui assiste au spectacle en suçant et en masturbant tour à tour les autres petits scouts.
- Tiens bien Fabien ! dit le prêtre : j’y vais… »
L’anus souillé de merde du petit garçon mesure à peine deux centimètres de diamètre quand il est ouvert et qu’il caque. La mentule du curé en fait huit en épaisseur. Le membre sexuel adulte est aussi long et gros que le mollet de l’enfant. Comment le petit ange blond ne serait-il pas défoncé ? Le prêtre passe son gland gonflé, son Sacré-Cœur de Jésus violet-rouge, tapissé de matières fécales, dans l’entrefesses du mignon blondinet.
« On croit toujours que ça pourra jamais entrer ! dit Linda de Zouza, la mère ignoble…
- Mais ça finit touzours par passer, rit la petite Luisa, dont le clitoris raide va et vient dans la bouche de Fabien.
- Putain de nom de Dieu de bordel de Vierge enculée dans sa merde par son Fils Jésus, que c’est bon ! » sacre le prêtre.
La petite Luisa tient les fesses de Fabien béantes. Sa mère attrape la bite du prêtre à pleine main et frotte le gland énorme contre l’anus merdeux du blondinet. Le curé contracte les cuisses, le ventre, le corps entier. Il arque les reins, grogne de plaisir et de vice, et pousse de toutes ses forces.
La tête sexuelle monstrueuse écarte violemment les peaux offertes de la rosette anale. On voit que la pénétration sera difficile, et même dévastatrice. La queue du pédophile pousse, pousse. Fabien se met à crier, puis à pleurer. Il gémit qu’il a mal, très mal, que c’est beaucoup trop gros, que son petit cul éclate, et ainsi de suite. Luisa lui lèche les larmes sur les joues et lui masturbe à toute vitesse la pinette, afin qu’il associe définitivement la jouissance et la pénétration, la souffrance de la sodomie et le délice des parfums scatologiques.
Le gland du curé pédophile dérape plusieurs fois vers les reins ou les couillettes de l’enfant, mais finit par dilater suffisamment l’anus rose et brun pour y pointer son énorme nez. Le cœur obscène trace son chemin. Le cône violet force, dilate, écarte les chairs. Il repousse les parois, il ouvre, il évase. Il pénètre. Il s’enfonce de plusieurs centimètres en creusant un cratère à sa dimension. L’anus du gamin devient rose vif, puis rouge, carmin, violacé. La moitié de la tête phallique viole à présent le boyau infantile. Les peaux et les muscles du petit garçon se dilatent, s’affinent, craquent, se lacèrent. Du sang suinte aux fissures, puis gicle, coule rouge et se mélange à la merde. Difficile d’enculer un gosse avec un super-membre sans lui causer de grosses blessures : tous les pédophiles le savent et se branlent rien que d’y penser. C’est si bon !
L’enfant hurle et gémit qu’il ne veut pas, que c’est trop énorme, que ça lui fait trop mal, qu’il va mourir… Il supplie en vain. Le prêtre immoral rit et bave de bonheur. Les trois quarts du gland ont pénétré l’intestin. Les ailes postérieures de la tête phallique finissent d’écarter, d’amincir, d’éclater la rondelle. La déchirure anale s’étend en étoile, désormais irréparable. L’anus saigne comme une bouche enfantine maltraitée, ouverte d’un coup de poing par un père violeur.
Le petit garçon blond hurle sans discontinuer. Son sphincter explose. Les deux étages de l’anneau culier lâchent. Dix centimètres de pine énorme s’enfoncent d’un coup dans le rectum. Fabien sanglote et braille, mais le viol est accompli. La bite du curé pédophile, graissée d’excréments et lubrifiée par le sang juvénile, pénètre le boyau à la façon d’un boa. La disproportion entre l’énormité de la mentule et la petitesse du cul juvénile excite les témoins. Chacun se branle avec passion.
Quinze, vingt centimètres de phallus, puis trente s’introduisent dans l’ampoule intestinale. Il n’y a plus de place. Le rectum et une partie du gros intestin sont envahis, comblés par le sexe de l’homme de religion. Sous la puissance du viol, la quiquette rouge du garçonnet s’arque et palpite : la prostate infantile n’a jamais été à pareille fête. L’angelot de quatre ans est saisi de spasmes génitaux qui lui procurent de longs orgasmes. Les yeux révulsés par la douleur et le plaisir mêlés, il fait beau cul, il se donne comme une fillette obscène à son papa incestueux et scatophile.
Le curé sodomite va et vient encore une dizaine de fois dans l’intestin dilaté à l’extrême du petit garçon. Il grogne et crie qu’il ne tient plus ; que, ça y est, il jute. Décharge, décharge, déchaaaarge… Ses grosses couilles velues et sa prostate se contractent et expédient dans le boyau de longs jets de sperme, d’une incroyable abondance. Le jus du mâle douche les muqueuses du gamin, dont la pine se cabre joliment. Le prêtre éjacule dix fois dans le vase sacrificiel du gosse, puis retombe affalé sur le petit dos, prostré par l’intensité du plaisir.
M’sieur le curé se relève, en souriant, la bave aux lèvres, et commence de retirer son membre. La bite gonflée, toujours raide, monstrueuse, sort de l’anus. Elle est couverte de sang et de caca. Le trou du cul du garçonnet ressemble à une lunette de chiottes. Il bée, lacéré, déchiré, explosé. L’enfant pleure et continue de jouir en se masturbant comme un dément.
Luisa, fillette velue et anormale, n’y tient plus : elle se jette sur la queue sale, sanguinolente, pleine de sang, de sperme et de merde du prêtre. Elle y pose les lèvres, la langue, elle enfourne dans sa bouche vicieuse le membre qui dégomme encore. Elle tète, lèche, suce avec des gémissements d’extase. Elle se pignole le clitoris à toute vitesse, en fêtant avec sa bouche la queue de l’abominable pervers.
Dont celui qui lit ce texte jalouse, en se branlant, les vices inexcusables.
N.B.
En aucun cas les scènes rapportées ici ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est puni par la loi. Ce texte relève du fantasme, à échanger entre adultes, et n’appartient qu’à la littérature. Il doit être tenu pour tel.
Chapitre 13
LE BELLATRE
ET LE MALE A GROSSE PINE
Entre les tentes du Camping de la Merde…
Linda de Zouza, mère de famille velue comme une ourse, les lèvres sexuelles pendantes presque aux genoux, comme chez les Hottentotes, et le clitoris en érection, telle une tige phallique, encule avec délices sa fillette Luisa, âgée de quatre ans à peine.
Les deux femelles sont belles. Si bandantes ! Atteintes d’une forme d’hirsutisme extrême… Velues de noir. Bestiales… Deux objets sexuels. Deux vulves anormales, hypertrophiées dans toutes leurs parties. Deux vagins et deux trous du cul béants. Deux hyènes dominantes au monstrueux clitoris, obsédées par le plaisir génital, les bizarreries excitantes, les plus odieuses perversions, les saletés innommables. La mère porte sa fillette en marchant. Elle la sodomise en masturbant le clitophallus rouge vif de l’enfant, dressé comme une pine de caniche. La petite salope gémit de bonheur.
La maman et sa gosse regardent, près d’elles, un père pédophile et scatophile en action : ce salaud dévore les excréments de son garçonnet blond à la quiquette raide, âgé de cinq ans, qui jouit en chiant de gros étrons puants dans la bouche paternelle. Dans le même temps, l’homme encule sans vergogne sa fillette blonde et toute duveteuse, âgée de quatre ans, et dont la merde enduit la grosse queue, les couilles et le bas-ventre de l’adulte en folie.
« Maman, maman, ze zouis encore ! lance la petite Luisa, dont la clitopine maternelle ramone avec énergie le rectum.
- Moi aussi, je jouis dans ton fumier d’enfant, ma chérie… Putain, que c’est bon !… J’aime enculer les petites filles et les petits garçons… Surtout toi, ma salope… »
La tige clitoridienne de la mère incestueuse et scatophile va et vient de plus en plus vite dans le trou du cul dilaté, rouge d’excitation et brun de merde, de la fillette. La gamine ne retient plus ses selles : les matières fécales déferlent en masses brun-jaune de son anus béant. Elles couvrent la tige sexuelle anormale. Le clitoris de la maman s’enduit d’une pâte puante, épaisse et collante, dégoulinante de glaires verdâtres ou jaune-brun. La merde descend en nappes sur les lèvres génitales hypertrophiées de la femelle adulte. Les deux salopes attrapent à pleines mains les défécations puantes, et s’en couvrent les seins (qu’elles ont plats et velus), le ventre (totalement hirsute), les cuisses et les jambes (hérissées de surcroîts de toisons noires). Mère et fille bavent et jurent en dégustant leurs fèces. Les escalopes qui leur pendent entre les cuisses dégoulinent comme des fontaines, de part et d’autre de leur mégaclitoris raide. Les anus chient et pètent, tant la merde est associée, chez les pervers, à tous les délires pornographiques.
Linda de Zouza décore la jolie figure de sa fille d’une tartine de matières fécales ignobles et glaireuses, que l’enfant velue lèche, hume et gobe avec des soupirs de bonheur. Le caca sort à présent en paquets de l’anus de la fillette. La mère en enduit leurs deux corps qui jouissent dans une succession d’orgasmes sublimes.
« Bon, dit la maman dégueulasse en tartinant encore de merde ses nichons velus et plats, maintenant, il faut retrouver le mâle que nous avons vu hier, avec sa queue monstrueuse, et son fils qui est, lui aussi, membré comme un âne.
- Oh ! oui, maman…, gémit la petite fille : on zouit tellement bien avec le caca !
- Y a rien de meilleur que la pisse et merde, mon enfant ! »
Les deux femelles avancent dans le Camping de la Merde. Elles tournent un coin et tombent sur une autre scène affreusement bandante.
Deux homosexuels scatophiles sont en action. Nus, excités, membres raides, anus béants.
L’un est jeune, à peine vingt ans, grand, large d’épaules, d’une beauté merveilleuse, un visage d’Adonis, le cheveu blond ondulé, un corps sculpté comme celui du « David » de Michel-Ange. A peine quelques poils châtain ornent son pubis, où l’on aperçoit un appareil sexuel dont la petitesse jure avec la carrure de l’athlète. Les couilles sont rondes, ridées et duveteuses. La tige phallique siérait davantage à un enfant de cinq ans qu’à ce puissant mâle. Elle est raide, mais mesure à peine huit centimètres de longueur sur un diamètre de deux. Très décalottée, arquée vers le haut, elle offre à la concupiscence d’autrui l’ovoïde de son gland en forme de cerise rose fendue, et l’incarnat de son cylindre veiné de bleu. Le bellâtre trique dur, mais comme un garçonnet, nonobstant ses pectoraux et ses biceps formidables. Cette mini-bite sur ce corps sculptural a quelque chose d’excitant.
La partie la plus étonnante de l’anatomie du jeune homme se révèle lorsqu’il écarte les cuisses et ouvre à deux mains son entrefesses. Il est muni d’un anus d’une taille incroyable et d’une saleté repoussante, qui ressemble à une vulve de jument enchâssée d’excréments. L’orifice est long d’une douzaine de centimètres au repos, rouge vif et brun caca, bordé de peaux pendantes de plus de dix centimètres, qui lui donnent l’air d’une fente de femelle en chaleur. Les rebords, brisés et ignobles, témoignent de sodomies incessantes depuis le plus jeune âge, et de fistages délicieux (un poing, puis deux) à chaque moment de la vie.
« Je suis ta fente sale, ta femelle, ton trou à bite, ta vulvette ! murmure l’athlète à queue d’enfant à son partenaire.
- Oui, ma salope : tu as une fente de gamine élargie par son tonton pédophile ! Tu vas encore sentir ma grosse bite dans ton boyau sexuel ! »
L’autre pédé est un homme mûr, la cinquantaine. L’exact contraire du beau jeune homme. Son corps velu de gris-roux semble malingre. L’homme n’est pas grand, mince, osseux, avec une poitrine creuse et le ventre arrondi et gourmand des gros mangeurs de merde. Il possède un long nez, il est chauve, avec une barbe grise et courte. Ses mollets sont maigres, ses jambes arquées et ses fesses ouvertes sur une sorte de cuvette de chiottes censée être un anus : le méat merdique bée comme une gueule ourlée d’énormes peaux pendantes, déchirées, fissurées. Mais le trait le plus excitant du pédé d’âge mûr, c’est son système génital. Enorme. Colossal.
« Maman ! dit la petite Luisa de Zouza : regarde le m’sieur qui bande ! Tu as vu sa queue ? Putain de bordel de merde, elle est énorme, sa bite… Maman, tu sais que z’aime les grosses pines des m’sieurs sales…
- Oh ! oui, ma chérie, dit la mère portugaise velue en se masturbant la clitopine : le m’sieur a une bite de cheval...
- Maman : z’aimerais la caresser et la sucer, sa grosse pine…
- Bien sûr, ma belle, mais regarde : il est excité par le trou du cul du jeune balèze… C’est un pédé…
- Il va l’enculer dans son caca ?
- Oui, ma chérie : y a rien de meilleur…
- Ze vais aller les lésser tous les deux ! » décide la gamine.
Le mâle mûr est, en effet, pourvu d’une queue énorme. Les couilles, lourdes et velues, pendent dans leur sac comme une paire d’oranges, presque à mi-cuisses. L’imposant scrotum, velu et ridé, est surmonté par une gloire phallique bandée en arc de cercle et passablement tordue à gauche. Le bâton d’amour a l’air d’une saucisse géante Il dépasse trente centimètres de longueur et sept de diamètre, avec un gland en cœur écarlate très fendu, luisant, lisse et bruni de plaques de merde et de sperme séché. L’homme se pignole doucement, comme savent le faire les vrais vicieux. En se donnant du bonheur au niveau du frein, avec un doigt et le pouce, comme il aime depuis sa plus tendre enfance. Comme il l’a appris à l’âge du berceau, initié par papa, maman, ses tantes, ses oncles, le maire, le curé et tout le voisinage.
La fillette velue et sa mère hirsute l’excitent autant que le beau pédé qu’il se prépare à enculer. Il regarde la gamine en lui montrant l’énormité de sa bite. La gosse adore l’obscénité de ce phallus. Elle écarte les cuisses et expose son corps de fillette anormale, âgée de quatre ans à peine, avec ce gros clitoris en érection qui bande entre les lèvres pendantes de sa vulve. Le mâle adore les gamines (lisses ou velues), comme il aime les quiquettes des petits garçons, les trous et les membres des enfants, des adultes ou des vieillards des deux sexes. Il demande à la petite Luisa de Zouza d’approcher. Il la touche partout. Il adore la trouver si sale, si merdeuse. Il aime les gros suçoirs raides sur l’étroite poitrine plate de l’enfant. Il palpe le ventre et les cuisses aux longs duvets noirs, la flèche clitoridienne, les lèvres d’en bas, l’entrefesses et le cul tapissés d’excréments. Il lui dit qu’il aime la merde des petites vicieuses. Il la branle savamment. Elle se met à ahaner et presque tout de suite à jouir.
Elle caresse à son tour la grosse queue du mâle. Il lui dit de la lécher, de la sucer, de la faire devenir encore plus énorme et dure comme du bois. Tendrement observée par sa mère qui se masturbe, la fillette prend la mentule et les couilles de l’adulte dans ses petites mains. Elle a toujours été fascinée les paquets sexuels monstrueux. Elle regarde le gland violacé, gonflé à l’extrême, avec cette belle fente verticale par où giclera le jus délicieux, la crème des fillettes et des garçonnets, les vitamines des enfants sages… Elle se met à lécher la peau tendue à petits coups de langue. Elle aime l’odeur du sperme, mêlée de senteurs de pisse et de merde. Elle donne des bisous à la bite, elle la suçote, elle prend le gros cœur rouge dans sa bouche qui se distend, elle goûte avec des gémissements de plaisir les plaques de jute et d’excréments qui tapissent la pine. Elle tète comme une chevrette vicieuse.
« Hmmm !… Tu suces bien, petite fille ! gémit l’adulte : ton papa ou ta maman t’ont bien appris. Maintenant, mets ma grosse queue sale dans le cul de ce pédé : j’ai envie d’enfiler un mâle… Tu passeras dessous pour sucer sa petite bite…
- Et moi ? demande la mère de la gamine… Je bande, je me pignole en vous matant ! Regardez ma flèche !
- Maman, tu n’as qu’à enculer le m’sieur à la grosse bite !
- J’aime, oh ! oui… Encule-moi, toi, la femelle velue, avec ta grosse pine rouge !… Ta gamine est si bonne… Tu l’as si bien éduquée ! »
La scène se dispose. La fillette empoigne la bite de l’adulte mûr et la présente devant le trou du cul palpitant du jeune mâle à quatre pattes, qui écarte ses fesses au maximum, à deux mains, en réclamant qu’on le monte comme une femelle. Il dit qu’il est en chaleur, qu’il est ouvert comme une pute, qu’il a besoin de jus dans sa chatte à merde, qu’il voudrait qu’on lui fasse un enfant…
La fillette velue branle la pine énorme de l’enculeur et pose le gland gonflé, violacé, luisant de salive et d’excréments, de sperme et de jus organiques, sur le sphincter anal défoncé, déchiré, pendant, béant, débordant de chiasse. Le bellâtre soupire comme une fille amoureuse dont le papa touche la vulve et le trou du cul. Ses énormes biceps, son thorax de culturiste et ses cuisses d’athlète, excitent la gamine, qui aide l’entrée de la grosse queue dans le rectum. La saucisse sexuelle s’enfonce dans le boyau du pédé, le force, le dilate, l’investit, va loin, envahit l’ampoule ignoble, disparaît jusqu’aux couilles. Puis se retire lentement, avec volupté…
La tige phallique ressort tapissée de merde brun-jaune, de glaires et de sperme. Les matières fécales du jeune balèze sont gluantes, molles, chiasseuses. Elles encollent le membre qui replonge dans le vase, tandis que la gamine sourit en cueillant des paquets de fumier sur ses doigts, qu’elle lèche puis offre au mâle mur, qui lape à son tour en soupirant de plaisir.
La vicieuse petite Luisa exige une queue, elle aussi. Elle se met à quatre pattes sous le bellâtre musclé, tend son mignon petit cul velu de noir, attrape la pinette raide et rouge et se l’enfonce résolument dans le trou à merde. Elle pète de bonheur en se sentant sodomisée. Elle fait aller et venir plusieurs fois le membre dans son boyau, puis libère la queue et se retourne. La quiquette arquée de l’Apollon est enduite d’une épaisse couche d’excréments, que la gamine renifle et commence de lécher. Au même moment, la maman hirsute passe derrière l’enculeur, en agitant le poignet sur son clitoris énorme. La femelle adulte palpe et excite l’anus qui se présente. Elle enfonce sa tige sexuelle bandée, raide, dans l’intestin qui la réclame. Elle perçoit, sur son pseudophallus, la chaleur des matières fécales du mâle hypermembré. Ce dernier encule de plus en plus vite et fort le pédé qui crie de plaisir.
La fillette sent la bite raide de l’enculé se contracter entre ses lèvres et sur son palais. Un long cri de plaisir s’ensuit et marque le début des giclées d’amour. L’athlète possède une pissette minuscule, mais il expulse de gros volumes de sperme tiède et clair. Le jus de couilles remplit la bouche de l’enfant, fuse, ressort par les narines, gicle encore, continue de couler comme une morve délicieuse. La gamine avale, avale, avale ce délice en pignolant sa clitopine, et en jouissant comme une folle. Son vagin de petite fille est inondé par la cyprine : toutes les enfants du monde feraient pareil si elles étaient bien éduquées.
La mère hirsute encule l’enculeur et se met, elle aussi, à jouir. Elle soupire que c’est bon et commence de chier un énorme étron marron sombre, puant, ignoble, qu’elle attrape dans sa main et plaque sur le visage du quinquagénaire en folie. Lequel culète de plus en plus fort. L’anus du bellâtre, béant, dilaté au maximum, tel un trou du cul de vache, expulse de grosses selles molles, quasi liquides, qui ont l’apparence du fumier. La queue énorme du baiseur ressemble à un gourdin brun et luisant, couvert de ces excréments tièdes. Sa grosse tête fendue va jouir. Le mâle dominant branle une dernière fois sa pine énorme. Il dit en haletant à la fillette :
« Mon amour : suce-moi ! Tète-moi le jus ! Bois tout !... Je vais gicler… »
La gosse adorable, la bouche encore pleine du sperme abondant de l’Apollon, attrape à deux mains la tige géante et abouche ses lèvres au gland. Elle astique très vite la mentule merdeuse, suce très fort le « m’sieur sale » en le regardant de ses merveilleux yeux noirs emplis de vice. Le pervers n’en peut plus : il râle qu’il jute, qu’il jouit, qu’il va couvrir la petite fille de semence, qu’il va lui donner ses vitamines, que c’est bon, tellement bon…
La pine gigantesque est saisie de spasmes et dégomme en force dans le gosier de l’enfant velue et vicieuse, dont les yeux brillent de plaisir. Les jets de sperme fusent dans la bouchette, la remplissent, débordent des lèvres, dégoulinent sur les joues et le menton, s’étalent sur le visage, les cheveux, le cou, la poitrine de la petite. Giclée après giclée, bonheur après bonheur… On a l’impression que cet orgasme n’en finira jamais, et que la substance la plus précieuse du monde passe des couilles de l’enculeur dans la gorge d’une petite fille bien élevée, pour que chacun se masturbe en lisant l’histoire, et jute en pensant que c’est dans la gorge d’une fillette de classe maternelle. Ou d’un petit garçon, peu importe à qui éjacule.
A la fin, tout est bien.
N.B.
En aucun cas, les scènes rapportées dans ce récit ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est sévèrement réprimé par la loi. Ce texte relève du fantasme, à échanger uniquement entre adultes. Il n’appartient qu’à la littérature.