Chapitre II
Geneviève s’étira et ouvrit les yeux. La noirceur n’avait pas
encore cédé le pas à la lumière du jour. Elle entendit l’eau de la douche qui
coulait. La forte envie de pisser la fit se glisser dans la salle de bain malgré
le fait que Charles prenait sa douche matinale. Elle releva le couvercle et,
soulevant sa jaquette de nuit, elle s’assit et se mit à pisser abondamment.
Charles ferma le robinet et, sortant de la douche avec une belle érection
matinale, se retrouva face à Geneviève. Celle-ci lui sourit et prenant le membre
à pleine main, le tira vers elle. Elle embrassa le bout turgescent à quelques
reprises puis le fit glisser lentement dans sa bouche tout en recouvrant ses
dents avec ses lèvres. Elle agrippa les fesses de Charles pour le tirer vers
elle et ainsi faire pénétrer le membre bien au fond de sa gorge. Quand son nez
buta sur le ventre poilu, le gland avait dépassé depuis un bon moment la luette
et s’enfonçait dans le gosier si généreusement offert. Charles connaissait les
goûts de sa femme et il ne se fit pas prier pour les satisfaire. Il passa sa
main droite derrière la nuque de Geneviève et, après l’avoir laissé se retirer
presque complètement, il tira la tête de sa femme à la rencontre de son
mouvement avant. Il buta brutalement son gland au fond de la gorge offerte,
écrasant son ventre sur le nez pointu de Geneviève. Parfois, il se demandait
comment elle pouvait faire cela sans subir de nausées. Mais ces questions ne le
préoccupaient pas très longtemps et il entreprit un brutal va-et-vient dans la
bouche offerte. Pilonnant le gosier à gauche, puis à droite, il prenait une
courte pause, question de laisser le temps à sa femme de respirer un peu. Il
baissa son bras gauche et, passant sa main dans l’encolure de la jaquette de
nuit, il attrapa le sein droit et se mit à le malaxer gentiment, triturant la
tétine en la faisant tournoyer entre ses doigts. Malheureusement, le temps
passait et Charles ne voulait pas rater son rendez-vous avec son plus gros
client. Pour amener la jouissance, il fit comme d’habitude: il ferma les yeux et
s’imagina que c’était sa mère qui le suçait ainsi, comme elle l’avait fait
depuis l’âge de douze ans . Le souvenir fonctionna à merveille, comme
d’habitude. Après quelques poussées plus fortes, il se mit à jouir à grands jets
blanchâtres dans l’oesophage de Geneviève. Cinq, six et sept jets plus tard,
l’éjaculation perdit de sa force et les dernières gouttes tombèrent sur la
langue de Geneviève pendant que l’érection de Charles perdait de sa rigidité.
Elle le retint avec sa main et nettoya consciencieusement le gland avec sa
langue afin qu’il ne reste aucune trace de leur activité matinale.
- C’était délicieux !
- Merci ! Allez ! Fais vite ! Tu vas être en retard pour ton rendez-vous.
- Aucun client ne passe avant ma femme.
Le délicat mensonge fit plaisir à Geneviève. Il quitta néanmoins rapidement la
salle de bain pour se vêtir. Dix minutes plus tard, il fonçait à toute allure
sur la route, certain de pouvoir refaire son retard si les flics n’avaient pas
installé de piège radar.
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Après avoir fait déjeuner les enfants et avoir reconduit les deux ainés à
l’école, Geneviève se retrouva seule avec la cadette, assise à la table de la
salle à manger, sirotant son deuxième café de la journée. Elle installa Louise
devant la télé, inséra une cassette de dessins animés dans le magnétoscope et
mit le bidule en marche.
La journée s’annonçait monotone. Elle se dirigea vers l’ordinateur et, après
avoir lancé la mise en marche, elle démarra le programme de chat comme elle le
faisait de temps en temps. Pas beaucoup d’espoirs de rencontres intéressantes de
ce côté mais au moins, elle passerait le temps en attendant le déjeuner. Elle
entra dans une chatroom de lesbienne fétichiste et se mit à examiner les
dossiers des participants. Son propre pseudo laissait peu de place à une
mauvaise interprétation quant à ses intentions: coprolesbie41 ! Il y avait des
pseudos anglophones et elle devina que ces participants étaient soit
britanniques soit américains. Elle ne prit pas la peine d’examiner leurs
dossiers.
Un pseudo retint son attention toutefois: frangines1926. Tiens tiens ! Deux
soeurs ! Elle cliqua pour voir leur dossier mais avant que la page ne s’ouvre,
un fenêtre de dialogue apparut dans le coin de l’écran.
Frangines1926: Salut !
Coprolesbie41: Salut, comment va ?
frangines1926.: Bien et vous ?
Coprolesbie41: moi aussi
frangines1926.: votre pseudo est très intéressant
Coprolesbie41: merci. Ça vous intéresse ?
frangines1926.: oui, ma soeur et moi
Coprolesbie41: vous êtes vraiment des soeurs ? Il y a tellement de fraudeurs en
ligne.
frangines1926.: vous pouvez nous voir si je démarre ma cam ?
Coprolesbie41: oui
frangines1926.: un instant
Une fenêtre additionnelle apparut et Geneviève vit une brunette d’environ
vingt-huit trente ans. La caméra cadrait un peu plus large que son visage. A
l’arrière plan, un lit et une toile murale représentant une femme nue allongée
dans l’herbe. Geneviève démarra sa cam.
Coprolesbie41: Vous me voyez ?
frangines1926.: Oui et vous ?
Coprolesbie41: Moi aussi.
frangines1926.: L’inceste vous choque ?
Coprolesbie41: Non! Il n’y a rien qui me choque ( sourire)
frangines1926.: (sourire) Tant mieux parce que nous sommes deux salopes et ce
n’est pas au goût de tous.
Coprolesbie41: Étant donné mes goûts personnels, je serais mal placée pour juger
(sourire)
frangines1926.: vous parlez de vos goûts merdiques ?
Coprolesbie41: Ça et les autres (sourire)
frangines1926.: Vous êtes mariée ?
Coprolesbie41: Oui et vous deux ?
frangines1926.: non, nous demeurons chez notre mère
Coprolesbie41: ah !
L’intérêt de Geneviève diminua d’un cran; deux fantasmeuses qui venaient
s’encanailler sur le net. Il y en avait des milliers comme elles mais dès que
les choses sérieuses débutaient, elles disparaissaient dans l’éther.
frangines1926.: votre mari participe à vos jeux ?
Coprolesbie41: Non, ce n’est pas son truc
La brunette tourna la tête et Geneviève put la voir de profil. Elle remarqua
qu’elle affichait un nez un peu longuet au dessus de ses lèvres minces.
Autrement, ses traits réguliers laissaient une impression de déjà vu. Le genre
de personne que l’on croise dans la rue et que deux minutes plus tard, on serait
bien en peine de décrire.
frangines1926.: viens ici Dorothée
La brunette venait de s’adresser à quelqu’un hors du champ de la cam. Elle se
tassa légèrement sur le côté et, à la grande surprise de Geneviève, une copie en
plus jeune de la brunette vint s’installer dans le champ. Même cheveux, même
yeux, mêmes lèvres, on aurait dit des soeurs jumelles nées à dix ans
d’intervalle. Elles étaient vraiment soeurs, pas moyen de le nier.
frangines1926.: Dorothée, dis bonjour à ...
Coprolesbie41: Geneviève, et vous ?
frangines1926.: Pardon, je suis Pauline
Coprolesbie41: vous vous ressemblez beaucoup !
frangines1926.: et on a les mêmes goûts !
Coprolesbie41: vous jouez seules ou vous avez des copines ?
Elles se regardèrent afin de chercher l’opinion de l’autre et enfin l’ainée se
décida.
frangines1926.: on aimerait bien rencontrer de nouvelles partenaires mais c’est
très difficile. Quand on explique ce qu’on aime, on se fait traiter de
dégueulasses et de toutes sortes d’épithètes haineuses. Maman jouait souvent
avec nous mais depuis qu’elle a rencontré un homme, elle nous laisse à nous
mêmes.
Très prometteur ! La mère avait dû les introduire d’abord aux jeux lesbiens puis
ensuite, à des jeux de plus en plus pervers. Lassée ou en manque de queue, elle
délaissait les filles au profit d’un mec quelconque. Une occasion à saisir!
Geneviève continua de papoter avec les deux filles pendant une bonne heure.
Puis, les deux filles durent quitter non sans prendre rendez-vous pour le
lendemain dans la même chatroom, vers la même heure. A regret, Geneviève
éteignit la bécane et retourna surveiller Louise, toujours installée devant le
petit écran. Elle vérifia la couche de la gamine, malheureusement vide.
Décidément, la journée serait monotone.
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Le lendemain, à l’heure prévue, Geneviève démarra l’ordi et jeta un oeil sur
Louise qui regardait un autre dessin animé. Un peu à sa surprise, elle vit
frangines1926. dans la liste des participants. Une fenêtre s’ouvrit.
frangines1926.: bonjour
Coprolesbie41: salut les filles
frangines1926.: ça vous dirait de regarder une vidéo ?
Coprolesbie41: oui, certainement
frangines1926.: un instant, ça ne sera pas long
Une fenêtre vidéo s’ouvrit dans le coin supérieur gauche de l’écran. Noire au
début, une image apparut. La qualité était médiocre et l’éclairage un peu faible
mais Geneviève reconnut Pauline en soutien-gorge et petite culotte. Elle se
masturbait lentement par-dessus la culotte. Elle avança un peu vers la camera de
telle façon qu’on ne voyait plus son visage. Elle enleva sa brassière et pinça
ses mamelons, les étira et les tordit. Puis, elle pivota lentement et tourna le
dos à la cam. Elle se pencha et mit les mains sur les genoux. Pendant un
instant, il ne se passa rien puis, Geneviève vit une bosse se former dans la
petite culotte. Pauline chiait. La bosse grossit rapidement et bientôt la merde
se mit à sortir par le bas et menaçait de tomber par terre. Elle vit alors
Dorothée s’avancer à genoux et s’appuyant des deux mains sur les cuisses de sa
soeur ainée, cueillir la merde avec sa bouche et se mettre à mâcher puis à
avaler. Elle répéta l’opération sur l’autre cuisse. Quand Pauline eut fini de
chier, elle passa sa main sur la culotte afin de bien répandre la merde partout
sur son cul. Dorothée souriait en regardant faire sa soeur. Puis, agrippant
l’élastique de la culotte, Pauline la fit glisser vers ses genoux, dévoilant son
cul barbouillé. Dorothée plongea son visage dans la raie culière et se mit à
lécher le résultats des efforts de Pauline.
Après quelques minutes, Pauline se redressa, le derrière presque propre suite
aux efforts de sa cadette, et saisissant Dorothée par les cheveux, elle lui fit
faire face à la camera. Son visage était maculé de merde. Il y en avait sur le
front, les joues, le menton et même sur le bout de son nez. Pauline murmura
quelques mots à l’oreille de Dorothée qui sourit et sortit la langue, exhibant
ses dents brunâtres et sa langue jaunâtre. Elle avait pratiquement tout avalé !
Elle la fit se mettre debout et tourner le dos à la camera. Pauline prit une
assiette en carton et la soutint sous les fesses de Dorothée. Geneviève vit
bientôt un étron apparaître du cul de la cadette et venir se déposer dans
l’assiette. Il devait bien faire trente centimètres. Pauline dut faire tournoyer
lentement l’assiette afin que l’étron se dépose en un rondin uniforme qui ne
dépassait pas les bords. Puis, elle monta lentement l’assiette vers le visage de
Dorothée.
Pauline écrasa doucement l’assiette pleine de merde sur le visage de sa soeur et
la fit tourner afin de bien répandre le contenu infect sur le visage offert sans
résistance. Quand elle retira l’assiette, il était impossible de reconnaître
Dorothée, tellement la merde la recouvrait de la racine des cheveux jusqu’au bas
du menton. Elle vit cette dernière mâchouiller et avaler. Puis elle tira la
langue. Pauline cueillit de la merde avec deux doigts sur le visage de Dorothée
et la déposa sur sa langue. Dorothée mâcha et avala. Pauline répéta l’opération
plusieurs fois jusqu’à ce que le visage fut nettoyé des immondices. Il ne
restait plus qu’une mince couche semi transparente qui ne pouvait être enlevée
qu’avec un bon lavage. Geneviève eut le temps de voir Dorothée pâlir et l’image
coupa.
Coprolesbie41: Fantastique les filles ! Fantastique !
frangines1926.: merci
Coprolesbie41: je dois avouer que je vous prenais pour des frimeuses mais là, je
suis bouche bée. Je peux vous poser une question ?
frangines1926.: certainement
Coprolesbie41: pourquoi l’image coupe si brusquement ?
frangines1926.: Dorothée a vomi par la suite et ce n’est pas tout le monde qui
aime regarder cela.
Coprolesbie41: dommage ! Moi, j’aime bien
frangines1926.: en fait, ce n’est qu’un avant-goût ce petit clip, afin de
prouver que nous sommes bien réelles.
Coprolesbie41: comment vous faites pour diffuser ce clip ?
Pauline lui expliqua la procédure et Geneviève promit qu’elle leur rendrait la
pareille le lendemain. Après avoir quitté les deux filles, elle éteignit l’ordi
et retourna au salon, toute émoustillée par le clip. Louise, toujours à plat
ventre sur la moquette, regardait la fin du dessin animé. Geneviève renifla et
une odeur de caca lui titilla les narines. Chère Louise ! Elle avait fait une
merde dans sa couche. Geneviève s’agenouilla derrière Louise et remonta sa
petite robe jusqu’à la taille. Elle caressa les fesses de la fillette afin de
bien répandre la merde sur le cul de la gamine puis elle défit les deux
courroies en velcro et rabattit le pan arrière de la couche sur le sol. Sans
plus de façons, elle s’allongea aussi sur le ventre, à l’arrière de la gamine,
le visage à la hauteur des fesses et plongea dans le petit derrière merdique
qu’elle entreprit de lécher et de nettoyer à fond tout en avalant la merde
récoltée. Sa langue parcourait les moindres petits recoins, caressant les replis
des fesses et de l’anus de la gamine. Elle tenta même de faire pénétrer sa
langue dans le petit orifice mais il opposait trop de résistance. Elle se
contenta de pousser son index à l’intérieur du minuscule vagin et bientôt les
hanches de la gamine accompagnèrent le va-et-vient de l’index maternel.
Geneviève utilisa son autre main pour pour pénétrer sa moule maintenant bien
baveuse qu’elle tritura d’une main experte. Elle atteignit bientôt l’orgasme
mais cela ne la satisfaisait pas. Elle avait besoin de plus d’émotions. Elle
nettoya rapidement la gamine et passa ensuite dans la chambre conjugale pendant
que Louise regardait un deuxième dessin animé.
Elle monta sa camera sur un trépied, l’installa sur la chambre de bain
attenante, fit le cadrage sur la baignoire et se déshabilla. Elle démarra la cam
et enjamba le rebord de la baignoire. Elle plia les genoux tout en écartant les
jambes et se mit à pousser. Un jet de pisse jaune émergea de sa connasse et
Geneviève continua à pousser. Un étron montra le bout de son nez et bientôt, une
masse de 6 centimètres de diamètre fit son apparition. Tout en continuant de
pousser, elle calcula sa position afin qu’il tombe sur le rebord de la
baignoire. Finalement, l’étron se brisa en deux sous son propre poids et elle en
profita pour prendre position légèrement vers la gauche afin que le deuxième
morceau ne tombe pas sur le premier. Quand elle eut terminé, il y avait deux
grosses merdes bien solides qui décoraient la baignoire. Geneviève se retourna
et s’agenouillant dans la baignoire, elle entreprit de bouffer les deux étrons
sans utiliser ses mains. Elle penchait la tête de côté et prenait une bouchée
dans l’étron puis elle relevait la tête et mâchait ostensiblement, les lèvres
entrouvertes tout en fixant l’oeil imperturbable de la camera. Elle avala et dut
déglutir une deuxième bouchée avant d’entamer ce qui serait le dernier morceau
du premier étron. Puis, elle entama le deuxième étron. Elle décida de prendre
son temps et de s’amuser un peu. Elle prit une très grosse bouchée et se mit à
la faire tourner dans sa bouche. Ouvrant la bouche, la camera enregistra la
sortie de l’étron qui exitait le corps de Geneviève pour une deuxième fois en
quelques minutes. Quand il fut presque totalement à l’extérieur de sa bouche, on
vit les joues de Geneviève se creuser et l’immondice prit le chemin inverse,
réintégrant l’orifice buccal sous une succion intense tout en laissant un suint
de salive et de merde diluée sur les lèvres de cette dernière. L’étron
reconstitué refit plusieurs fois cet aller-retour avant de disparaître dans
l’oesophage pour son avant-dernier périple. La merde barbouillait le pourtour
des lèvres et bientôt il y en eut presque partout sur son visage.
Quand elle eut fini la tâche révoltante, elle fit un quart de tour et prit la
position assise dans la baignoire, le dos appuyé à une extrémité. Elle tendit la
main pour faire pivoter la cam sur son trépied afin de bien cadrer sur son
visage. Tout en souriant, elle enfonça deux doigts dans sa gorge.
Presqu’immédiatement, le réflexe de régurgitation s’enclencha et elle vomit
abondamment une matière brunâtre sur ses seins et son ventre. Deux fois puis
trois fois, son estomac se contracta et les jets de moins en moins puissants se
frayèrent un chemin et atterrirent sur son ventre et sa main enfoncée maintenant
dans sa chatte. Se pistonnant frénétiquement le son, elle se cabra et atteignit
enfin une jouissance immonde et très satisfaisante. Quand la tension
redescendit, elle stoppa la cam et entreprit un nettoyage complet des lieux et
de sa personne. Quand elle eut terminé, elle ouvrit la fenêtre afin d’évacuer
les odeurs et repassa dans la chambre afin de se vêtir. Elle démonta la camera
et mit la batterie sur le chargeur. Les frangines verraient demain qu’elle aussi
n’était pas une frimeuse.