GENEVIEVE
Chapitre I
Mme Geneviève Dupont, femme de M. Charles Dupont, premier
vice-président de la firme Investissements de Risques, revient à la résidence
familiale dans sa Jaguar dernier modèle. Elle conduit elle-même la voiture,
accompagnée de ses trois enfants, Robert, treize ans, blond comme les blés,
mince, nerveux; Denise, onze ans, cheveux noirs, teint mat, longiligne,
intelligente et déjà racée et finalement Louise, six ans, petite, peau très
blanche, cheveux châtains très courts, intelligence en dessous de la moyenne due
à une naissance difficile qui a entraîné un manque d’oxygène au cerveau. La
médecine moderne a sauvé la vie de la gamine mais n’a pu restaurer les cellules
mortes du cerveau.
Assis sur la banquette arrière, Robert fouille sous la robe de Denise qu’il a
relevée jusqu’en haut des cuisses. Cette dernière n’y voit aucune objection et
s’est même légèrement glissée sur la banquette, tout en écartant les jambes,
pour faciliter la manoeuvre de Robert. De temps en temps, la mère jette un oeil
dans le rétroviseur pour suivre les progrès de son fils aîné tout en lui
souriant lorsque leurs regards se rencontrent mais elle doit concentrer son
attention sur la conduite car la noirceur est déjà tombée. Malheureusement, il
n’aura pas le temps d’en faire beaucoup plus car la voiture s’engage dans la
petite route qui mène à la résidence de campagne des Dupont. La voiture tourne
dans une allée et Mme Dupont pèse sur un bouton caché dans le tableau de bord
afin d’ouvrir la grille qui les protège des intrus. La voiture avance lentement
et la grille se referme automatiquement derrière eux. Mme Dupont stoppe la
voiture devant la porte du garage et coupe le moteur. Toute la famille descend
et Denise doit remonter sa petite culotte afin de pouvoir marcher normalement.
Alors que Denise grimpe l’escalier qui mène à l’étage, la mère retient son fils
par le bras tandis que Louise, les bras ballants, attend, le regard vide. Elle
serre son fils qui lui tourne le dos, contre elle. Sa main droite descend vers
l’entrejambe de Robert qui bande depuis un bon moment.
- Va baiser ta soeur ! Tu as ma permission de lui faire tout ce que tu veux.
Mais ne lui fais pas trop mal et gardes-en tout de même un peu pour moi.
- Je peux l’enculer ?
- Oui mais utilise tout de même du lubrifiant.
- Merci maman !
Sans se libérer de l’étreinte maternelle, Robert fait demi-tour et embrasse sa
mère tendrement sur la bouche tout en lui caressant les fesses.
- Tu sais bien qu’il y en aura toujours pour toi.
- Je t’aime, mon chéri.
- Moi aussi, maman.
Robert grimpe l’escalier à son tour. Denise l’attend déjà dans sa chambre,
assise sur le bord du lit. La mère prend la main de Louise et l’entraîne dans
une petite pièce du rez de chaussée.
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- Enlève tes fringues que je te pinne le cul bien à fond !
Denise sourit. Elle a souvent entendu Robert parler ainsi à sa mère. Elle sait
bien que ces paroles n’ont rien de menaçant. Elle relève les jambes et enlève
ses souliers et ses bas puis, elle se lève et, tournant le dos à son frère, elle
passe sa robe par-dessus la tête. Elle ne porte pas de brassière puisque ses
seins n’ont pas encore commencé à pousser. Robert est déjà dans son dos et lui
caresse les tétines enfantines, appuyant son sexe dur dans le bas du dos de sa
sœur plus petite que lui. Elle réussit à pousser sa petite culotte vers le bas
et doit se pencher pour l’enlever complètement. Robert en profite pour lui
passer la main dans la raie du cul. Son index s’arrête sur le petit œillet
plissé mais il n’ose pas forcer l’entrée car elle n’est pas encore lubrifiée.
- Je t’aime, Robert.
- Moi aussi, petite sœur.
Suivant les conseils de leur mère, Robert utilise un gel lubrifiant et, après en
avoir enduit sa queue étroite, en applique aussi sur l’oeillet de sœurette. Il
fait ensuite agenouiller Denise sur le bord du lit, les genoux tout à fait au
bord du matelas. Il doit utiliser sa main pour amener sa pinne à l’entrée du cul
de sa sœur, elle pointe vers le haut, presqu’à la verticale et cela ne facilite
pas la pénétration. Il pousse d’abord doucement puis de plus en plus fermement.
Aidée par la lubrification, la petite queue bien raide se fraie un chemin dans
le petit trou du cul de sa cadette. Il pousse de façon constante et Denise, la
bouche ouverte, ne bouge plus. Enfin, son ventre vient se coller contre les
fesses maigres et il fait un moment de pause. Il sait qu’il doit laisser le
temps au sphincter de s’habituer à la dilatation. Après quelques secondes de
répit, il commence un lent va-et-vient. Il amène le gland jusqu’au bord du
plissé puis il pousse pour l’enfoncer au maximum. Bientôt, il se forme un anneau
autour du trou de Denise, un anneau brunâtre duquel émane une petite odeur de
merde.
- T’avais envi de chier ?
- Non, pas spécialement.
- Tu suintes la merde, Denise. Je parie que tu vas chier quand je vais me
retirer.
- Depuis quand ça te déplaît ?
- Ça ne me déplaît pas du tout, c’est juste que j’aimerais bien que tu puisses
chier en même temps que je te pinne.
- Si tu continues à m’agrandir comme tu le fais, c’est possible que ce soit pour
bientôt !
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A l’étage en dessous, Louise est allongée sur une table à langer. Malgré ses six
ans, elle tient facilement sur la table. Geneviève relève la robe de la fillette
pour mettre à jour une couche culotte. Elle tire la couche vers le bas et fait
passer les pieds de la gamine hors de la culotte. Une odeur de pisse émane de la
couche mais il n’y a rien d’autre. La mère essuie l’entrejambe de la fillette
avec une serviette humide, lui applique un nuage de talc et lui enfile une
couche propre. Elle la prend ensuite sous les bras et la dépose sur le sol.
Elles se dirigent vers le living, la mère tenant la main de la fillette.
Geneviève insère une cassette de dessins animés dans le magnétoscope et pousse
le bouton ”play”. Puis, elle prend place dans un fauteuil et fouille dans une
pile de magazines. Elle en prend un et se met à lire. Ravie, Louise s’installe à
plat ventre à même le sol, le menton appuyé sur les mains et regarde pour la
centième fois son film préféré.
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Robert pistonne l’oeillet de Denise tellement fort qu’on entend le “clac clac”
de son ventre contre les fesses de la fillette. Il sent que la jouissance
approche, bientôt il sera incapable de se retenir. Il accentue maintenant ses
poussées qui deviennent presque brutales. La fillette, les yeux fermés, profite
du moment. Les muscles de Robert se tétanise au moment de la jouissance: de
grands jets de foutre brûlant inondent les entrailles de Denise. Quatre puis
cinq et enfin six puissants jets frappent le gros colon et vont se mêler aux
étrons qui y sommeillent, pour le moment. Robert affiche un large sourire de
satisfaction au moment où il se retire de l’anus malmené. Mais fort de son
expérience, il sait bien que sa sœur n’a pas joui même si elle a bien apprécié
la performance enculatoire de son aîné. Il la guide gentiment sur le lit, la
fait allonger sur le dos et s’installe entre ses cuisses. Il entreprend un
cunilingus d’une rare expertise pour un gamin de son âge. Tout y passe: succion
du clito, pénétration de la langue, léchage du pourtour du minuscule vagin. Il y
met toute sa science et bientôt Denise, arquée sur ses jambes, émet les
gémissements de la jouissance. Épuisée, elle retombe sur le matelas et Robert en
profite pour se hisser à sa hauteur. Bien qu’il rebande déjà, il n’y a plus
urgence. Il préfère se reposer, tout comme sa sœur. Puis la lassitude les gagne
et ils s’endorment.
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Robert sursaute lorsque la voix de sa mère, sortant de l’interphone, le tire de
sa sieste.
- Robert, tu peux descendre ?
Robert étire le bras et rejoint le bouton.
- J’arrive.
L’appel n’a pas réveillé Denise et Robert, toujours totalement nu, sort de la
chambre et descend l’escalier. Il perçoit un mouvement dans la salle à langer.
Étendue à plat ventre sur la petite table, totalement nue, Louise gît de façon
inerte. Sa mère, nue aussi, est penchée vers sa fille et lui tourne le dos.
Lorsqu’elle tourne la tête pour regarder Robert, elle exhibe un visage
barbouillé de merde, surtout autour des lèvres. C’est alors que Robert comprend
que sa cadette a chié dans sa couche et que sa mère n’a pu résister à la
tentation de se payer une petite collation merdique. La pinne de Robert redresse
la tête à la vitesse grand “V”. Voyant cela, sa mère lui sourit, exhibant ses
dents brunâtres, recouvertes de merde. Elle se penche vers l’avant dans le but
évident de reprendre une autre bouchée et simultanément, écarte ses fesses
dodues à l’aide de ses mains. Se méprenant sur le geste qu’il prend pour une
invite, Robert s’avance dans l’intention évidente d’enculer sa mère.
- Neun ! Hahhenh !
- Pardon ? Tu ne veux pas ?
Geneviève redresse la tête, mâchouille quelques instants avant d’avaler et
recommence sa phrase.
- Attend. Je vais chier et tu me barbouilleras avec ma merde. D’accord ? Après,
tu fais ce que tu veux.
Robert bande encore plus, si c’est possible. Il adore voir sa mère chier. Elle
fait toujours de longs étrons d’un diamètre surprenant pour une femme. Il
s’approche et, joignant les mains afin de former un réceptacle digne de
l’offrande volumineuse, fixe son regard sur l’anus maternel. Bientôt, celui-ci
se détend et on voit poindre la tête de ce qui semble à Robert, être la tête
d’un monstre fantastique. Pendant qu’elle pousse, sa mère continue de lécher les
fesses de sa cadette et d’avaler soigneusement les fruits de sa quête. Quand
l’étron daigne enfin émerger de l’antre maternel, son diamètre de sept
centimètres impressionne Robert même si celui-ci appréhendait une telle bête.
Quand une vingtaine de centimètres ont fait leur chemin hors de l’intestin
maternel, Geneviève serre le muscle anal afin de sectionner le morceau. Il tombe
silencieusement dans les mains de Robert. A son tour, ce dernier le sectionne en
deux parties, une pour chaque main.
Il entreprend de répandre le contenu visqueux de sa main gauche sur les seins de
sa mère tandis que de la droite, il peinture le dos de cette dernière d’un brun
foncé. L’odeur infecte remplit la petite pièce. Il pousse l’audace plus loin et
passe ses mains dans le visage de Geneviève, maculant les joues et le front
maternels. Geneviève a les lèvres collées sur le petit anus de sa fille,
fouillant d’une langue agile l’intérieur du pourtour, espérant soutirer un peu
plus de matière fécale. Sa quête se révélera fructueuse. Titillée par une langue
aussi agile, Louise pousse et un dernier petit étron se fraie un passage jusque
dans la bouche maternelle.
Pendant que la mère mâchouille lentement le contenu infect de l’intestin de sa
progéniture, Robert, mettant de côté son égoïsme, décide de varier ses actions
pour la suite. Au lieu de se positionner derrière sa mère et de l’enculer, comme
il en avait d’abord envie, il utilise l’huile de bébé pour enduire sa main
droite et en verse un peu sur le cul maculé de sa mère. Puis, plaçant ses doigts
en cône, il commence une lente rotation de gauche à droite et de droite à gauche
tout en forçant l’anus maternel. Celui-ci cède presqu’immédiatement et bientôt,
ses doigts d’abord, puis sa main entière ensuite, s’enfoncent dans le chaud
conduit maternel. Il continue de pousser lentement et doit bientôt rajouter du
lubrifiant sur son avant-bras tellement il parvient à pénétrer profondément dans
le colon de sa mère. Lorsqu’il atteint le premier coude du gros intestin, Robert
cesse de pousser et de bouger pour laisser le temps aux entrailles de s’habituer
à la présence envahissante. Ensuite, lentement, il retire son bras tout en
maintenant le mouvement tournoyant. Quand il est presque ressorti, vicieusement,
il ferme le poing et reprend sa progression vers l’avant. Il entame ainsi un
mouvement de va-et-vient qui va amener sa mère vers une jouissance totale.
Malgré son jeune âge, il est déjà attentif à la jouissance de sa partenaire. Ce
qui est prometteur pour l’avenir.
Au bout de quelques minutes d’un tel traitement, Geneviève sent le début de la
jouissance monter en elle. Elle ne peut plus se retenir malgré toute sa volonté
et se met à râler, la bouche ouverte et un peu de bave merdeuse lui dégouline
sur le menton. Elle se retient de crier pour ne pas effrayer la petite Louise
qui n’est pas encore tellement habituée à ce genre de jeux. Quand les vagues de
la jouissance perdent de leur puissance, Geneviève se précipite à genoux devant
Robert et, prenant sa petite queue dans sa bouche merdeuse, elle entreprend de
le sucer. Puis, appliquant ses mains sur les fesses du gamin, elle l’encourage à
lui baiser la gueule. Le ventre du gamin vient percuter le nez de sa mère à
chaque coup tellement il la pénètre profondément. Habituée à des fellations plus
féroces, Geneviève accepte facilement la pénétration. Elle encourage Robert en
le tirant vers elle par les fesses. Excité, le gamin ne peut résister bien
longtemps à un tel traitement et bientôt, il lâche de longs jets d’un foutre
clair dans le gosier maternel.
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Geneviève, après avoir torché le cul et les fesses de Louise, a ramené cette
dernière dans sa chambre et la met au lit. Quant à elle, elle se dirige vers la
salle d’eau et fait couler la douche: un sérieux dégommage s’impose. Elle
commence par se laver les cheveux, puis le visage et continue ainsi vers le bas
jusqu’aux pieds. Quand elle a terminé, elle projette un abondant flot de pisse
dans la baignoire et se rince la chatte avant de fermer le robinet. Après s’être
séchée, elle passe une sage robe de nuit et monte à l’étage. Les gamins dorment
tels des anges, dans leurs lits respectifs. Elle pénètre dans sa chambre et,
s’allongeant dans le lit, elle prend un roman déjà entamé et ouvrant le livre au
signet, elle reprend la lecture là où elle l’avait laissée. Au bout d’une
dizaine de minutes et s’allonge après avoir éteint la lampe de chevet. Elle dort
depuis longtemps lorsque M. Dupont revient du bureau.
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Il pourrait s’y ajouter d’autres chapitres s’il y a un intérêt pour une suite.
Commentaires et suggestions bienvenus. Courriers haineux: poubellisés !
le_matou101@yahoo.ca