FANTASMES

 

Voici une traduction disons plutôt libre de la fameuse histoire de Jennifer E Mother's dirty secret. Je me suis servi de la trame eet des personnages.

Catherine Richard rangeait avec minutie la chambre de sa fille et vidait la corbeille de linge sale. Elle laissa échapper un soupire de déception en ne trouvant dans le bac qu’une seule petite culotte sale. Elle ramassa le dessous souillé. Elle enfouit soudain son nez dans l’entrecuisse de la petite culotte et inhala avec passion les odeurs corporelles de sa fille. Elle examina ensuite les traces laissées par la chatte et le cul de celle-ci.

« Merde ! pensa-t-elle. Elle n’est pas tellement sale ! »

Enserrant le dessous dans son poing, elle se dirigea à pas rapides vers sa chambre et s’enferma à double tour. Son minou était tout imprégné de mouille. Alors tout excitée, elle se déshabilla complètement et s’allongea de dos sur le sol de la chambre, près du lit. Elle ouvrit la petite culotte et l’examina plus attentivement.

« Pourquoi a-t-elle besoin de se torcher ? se demanda-t-elle ».

Elle fixa avec avidité le bas de la culotte, ravie d’y trouver une petite trace jaune et une faible zébrure brune tout à côté. Elle inhala doucement les restes de saleté de sa fille, avant de porter la culotte à sa bouche.

« Mmm », gémit-elle doucement au moment où le faible goût d’urine investit sa langue. Sa main descendit sur son sexe brûlant de désir, qu’elle commença à manualiser pendant qu’elle suçait la partie humide de la petite culotte. Pendant qu’elle branlait son clito, sa pensée s’arrêta sur sa jeune fille.

Giselle, seize ans, avait l’apparence d’une vraie poupée vivante, à tel point que Cathy nourrissait de jours en jours des désirs inavouables sur elle. Dès qu’elle était seule avec sa fille, elle devait lutter contre des pensées perverses et lubriques qui la poussaient à franchir l’ultime tabou de l’inceste. Mais chaque fois, elle gardait le contrôle d’elle-même. Ses désirs pervers auraient sans doute effrayé l’adolescente.

Elle ne voulait pas que Giselle sache que sa mère était une lesbienne et surtout qu’elle apprenne ses préférences sexuelles. Elle avait réussi à garder le secret pendant trois ans et elle ne voulait pas que cela s’ébruite. Juliette avait été sa petite amie pendant deux ans dans le plus grand secret. Malheureusement elle avait déménagé l’année dernière, et depuis elle n’avait pas pu rencontrer de lesbiennes qui avaient le même fantasme qu’elle et Juliette. Maintenant elles ne gardaient le contact que par emails, mais pour Cathy ce n’était pas suffisant.

Elle laissa tomber la culotte sur le sol, toujours obnubilée par sa jeune fille. Puis elle reprit le dessous et attira son visage sur la marque brune imprégnant le fond de la culotte. Elle lécha la souillure et attira avec sa langue des morceaux d’excréments collés, qui glissèrent dans sa gorge. Elle lapa la partie merdeuse avec excitation et l’imprégna de salive.

Les doigts de Cathy frottèrent le sexe avec une plus grande cadence, jusqu’à ce qu’elle fut submergée par un puissant orgasme qui la laissa inanimée sur le sol pendant quelques instants, le goût de la merde de l’adolescente imprégnant sa bouche.

Quand elle cessa de lécher la petite culotte, cette dernière était mouillée par la salive. Elle contempla le dessous pour constater qu’il était désormais propre, même dans la partie auparavant souillée. Elle la jeta sur le sol.

Cathy demeura allongée sur le sol aux prises avec sa conscience. Elle était une mangeuse de merde, une buveuse de pisse, une putain vicieuse soumise à toute bizarrerie, même si certains jours elle avait du mal à l’accepter. Mais elle savait qu’elle pouvait à tout moment mettre un terme à ses perversions. Son plus gros problème venait de son attirance pour sa fille et elle ne voyait pas comment se défaire d’une pareille gangrène. Elle avait réussi à substituer ses attentions pour Giselle par l’intérêt porté aux dessous sales de celle-ci. Mais ce fétichisme était très vite devenu obsolète, et elle en voulait plus.

Pendant qu’elle se rhabillait, Cathy essaya de trouver un moyen de convaincre Giselle de déféquer dans un seau ou une assiette, mais ne put déceler aucune raison rationnelle pour demander à sa fille de faire une pareille chose. Puis, une idée lumineuse lui vint à l’esprit. Pourquoi n’y avait-elle pas pensé auparavant ? Elle acheva de s’habiller rapidement et se dirigea vers le garage. Prenant une pince de la boite à outils, elle courut jusqu’à la salle de bain, jouxtant la chambre de sa fille, et souleva le couvercle des toilettes. Elle coupa la chaîne reliée à la chasse d’eau. Elle testa la chasse d’eau et fut tout heureuse de constater que rien ne se produisit. Elle réitéra l’opération dans les toilettes de sa chambre.

Cathy, en bonne mère connaissait les cycles des besoins de sa fille. Elle savait quand ses règles commençaient et se terminaient, les moments où elle déchargeait son anus et ceux où elle se soulageait la vessie. Elle se rappelait le nombre de fois qu’elle avait passé à écouter à travers la porte de la salle de bain le délicieux son de l’étron tombant dans l’eau. Maintenant, il s’agissait juste d’une question de temps avant qu’elle rentre de l’école. Son ventre trembla d’excitation à la pensée que son fantasme allait devenir réalité.

 

  CHAPITRE I : LES CONFESSIONS DE JEUNES CHIEUSES

 

            Nous étions en plein mois de juin, et la chaleur dégagée par le soleil était devenue étouffante. Cathy descendit toute nue de sa chambre et se dirigea vers le salon. Sur une petite table près de la télévision, elle ramassa une revue de confessions de jeunes lectrices lesbiennes, adeptes de bizarreries. Cette revue mensuelle publiait ce mois-ci un dossier sur les pratiques scatophiles accompagné de confessions crues. Cathy s'affala sur le canapé, et avant même de lire le dossier, elle descendit sa main sur son sexe, et le frotta doucement. Elle porta son regard sur la pendule du salon. Il était une heure de l’après-midi. Elle avait donc tout juste deux heures devant elle pour faire passer le temps, avant que sa fille revienne de l’école. Elle feuilleta l’ouvrage et commença à lire une confession d’une jeune lesbienne de dix-neuf ans :

«  Un beau samedi après midi ensoleillé mais néanmoins venteux, Julie et moi nous promenions nos deux gros chiens sur la plage. Nous avions fait un bon et gros gueuleton la nuit dernière et pris un petit déjeuner copieux ce matin. Nous courrions sur le sable, jouant avec les chiens, les poursuivant, leur lançant un bâton pour qu’il nous le ramène. A un moment Julie s’arrêta, plaçant une main sur son ventre.

« Quelque chose ne va pas ? demandai-je.

- A quoi tu penses ? répliqua-t-elle, avec un grand sourire.

- Je pense, commençai-je, m’approchant d’elle et tendant la main pour caresser son ventre, que peut-être tout le dîner que tu as ingurgité la nuit dernière veut se frayer un chemin. »

Julie et moi, nous portions un débardeur assez court avec un petit slip de bain serré. Elle fut prise d’un rire bête. « Je pense à tout ce vin que j’ai bu et que j’ai besoin également d’évacuer ».

Je scrutais les alentours pour être sûre que nous étions complètement seules, avant d’écarter d’une main le maillot de bain et de l’autre d’y glisser ma main sur son entrecuisse. « Je pense aussi.

- Mmmmmmm », répliqua-t-elle, penchant sa tête sur mon épaule et embrassant un côté de mon cou tandis que son pipi chaud trempait sa culotte et mouillait ma main pour gicler à travers mes doigts. Je suffoquais, moulant son minou à travers son maillot pendant qu’elle pissait, ma propre chatte devenant humide. Quand elle eut fini de faire pipi, nous nettoyâmes chacune avec nos langues nos doigts imprégnés des traces de son urine fraîche. Julie se pencha, glissant sa main dans mon slip de bain, caressant mon sexe mouillé. J’écartais un petit peu les jambes et me laissais aller. La combinaison produite par le soleil, le vent, le non équivoque de notre situation, et le soulagement de la pisse chaude s’écoulant de mon maillot et la main de mon amie, me donnèrent le vertige et je fus surprise par un petit orgasme.

« C’était si bon, murmurais-je, mordillant gentiment son oreille.

- Oui, mais maintenant j’ai envie de faire caca. Rentrons à la maison, et conduisons-nous comme de vraies cochonnes ! »

Les trente minutes que nous passâmes dans la voiture semblèrent longues. A la fin Julie grimaça et commença à enclencher la vitesse supérieure. Elle conduisait plus vite pas seulement à cause de son besoin, mais parce que j’avais aussi envie de faire caca. Nous nous précipitâmes à l’étage dès que nous eûmes lâché les chiens dans le jardin. Nous nous déshabillâmes jusqu’à nos maillots de bain pendant que nous courrions, nous entrâmes en coup de vent dans la chambre et nous nous effondrâmes sur le lit. L’entrecuisses de nos maillots était presque sèche, mais on pouvait encore voir où notre pipi s’était écoulé, et l’odeur faible d’urine imprégna la pièce.

« J’ai envie de me conduire mal, Mireille, dit Julie ».

Je couchais ma chérie sur le dos et je m’allongeais sur elle dans la position du 69, écartant ses jambes, de façon à serrer un peu plus sa culotte contre son entrecuisse. Je respirais le doux arôme de son urine, la combinaison me fit tourner la tête de désir. Je caressais les larges fesses de son cul pendant que j’embrassais, léchais et suçais l’intérieur de ses cuisses, mes yeux fixés sur son maillot. « Fais caca pour moi, Julie. Remplis ta culotte, chérie ! ».

Julie saisit mon cul et porta le tissu de la culotte imprégné de mon pipi à son nez, respirant profondément elle péta, un long sifflet lent de gaz directement sur mon visage. Elle fut presque prise de délire causé par son insatiable désire. « Oh, super, chérie, ton maillot pisseux sent si bon, je vais faire caca pour toi bébé, ça vient ! ».

Je sentis son anus se dilater et je perçus un petit crépitement au moment où Julie commençait à décharger ses intestins. Je frottai mon minou contre le nez de Julie et serrai le fin tissu imprégné de ma pisse sur mon clito pendant que je vis apparaître une petite bosse écartant son maillot de bain. L’odeur de la pâte excrémentielle humide agressa immédiatement mes narines. Julie poussait des grognements sourds pendant l’expulsion de la merde, et le souffle chaud de son haleine venait effleurer les parois sensibles de mon sexe. La bosse grossissait à vue d’œil ; le caca investissait les rebords du maillot. Ma tête fut emportée par un torrent de désire. Je ne parvenais plus à me contrôler. Penchant mon visage en avant, j’embrassai le bout du renflement, ouvrant ma bouche pour le sentir entre mes lèvres, promenant ma langue lentement le long de la merde de ma petite amie, laquelle était toujours enroulée par le fin tissu du maillot de bain. Je léchais le coton imprégné de ses excréments. Soudain, Julie poussa encore plus fort et un énorme étron investit sa culotte, écartant pratiquement mon visage de son cul. Je faillit jouir quand je vis le formidable morceau se frayer un chemin et s’étaler sur le derrière de ma copine, inhalant avec passion ses pets et rugissant de plaisir quand j’entendis le gargouillement produit par l’évacuation, pour finir d’une merde semi liquide. Déjà une couleur brune salissait le bas de son maillot.

« Oh ! Julie, gémissais-je en caressant la bosse de son derrière.

·          Oh, mon Dieu Mireille ! C’est si bon, garde ta main pressée contre ma culotte puante et merdeuse, répliqua-t-elle le souffle court ».

Je caressais sa culotte cacateuse, remuant la merde et embrassant le fin tissu. Glissant un doigt dans le maillot, j’imprégnais mon pouce de pâte excrémentielle et reniflais l’arôme des trésors cachés de mon amour. Je glissais mon pouce dans la bouche, savourant le goût spécial. Puis, mon doigt nettoyé, c’est ma main entière qui glissa dans sa culotte pour ramener une pelletée merdeuse que je frottais contre son sexe et son clitoris, jusqu’aux spasmes évocateurs de l’orgasme qui submergèrent mon amie.

« Offre-moi ton caca, Mireille, dit Julie. Je veux te voir chier dans ta culotte ! ».

Ce n’était pas trop tôt ! J’avais le ventre noué par l’envie pressente de déféquer dans ma culotte. Ouvrant ma bouche en grand pour reprendre mon souffle, ma langue titillant la culotte merdeuse de Julie, je me relâchais complètement.

Quand je fais caca, j’aime faire cela très lentement. Comme cela, je peux sentir la masse volumineuse caresser mon rectum et mon anus, comme le fait mon cher godemiché. Julie couvrait mes cuisses de baisers pendant que je faisais dans ma culotte, appréciant l’élasticité du maillot gardant les excréments et poussant la pâte à s’étaler le long de mon cul. Comme Julie, mon caca était très ferme, ce qui provoquait en moi un plaisir extrême de sentir cet énorme étron s’aplatir lentement dans ma culotte et évaser mon anus. Imprégnant à nouveau mon doigt d’une pâte brune, j’agrippais entre mes dents l’offrande que je lapais avec avidité. Je poussai soudain des hauts cris de sentir le goût des excréments de mon amie envahir ma bouche mêlée à la délicieuse sensation de bien être quand le reste de mon étron fusa de mon anus, distendant horriblement le maillot de bain.

Julie gémit de concert et, quand j’eus fini de faire caca, elle glissa sa langue reptilienne à l’intérieur de ma culotte, léchant mon derrière emmerdifié.

« Ton caca est délicieux, mon amour ! ».

Je glissai moi aussi ma langue sous le maillot de Julie, traçant un cercle le long de son pourtour anal souillé, agrippant entre mes dents une pâte épaisse. Elle fit de même, se régalant de mes saletés. Puis nous changeâmes de position, nos corps glissèrent de face l’un contre l’autre et nos bouches se rencontrèrent pour un long baiser merdeux. Nos lèvres collées, nos bouches ouvertes, pendant que nos deux langues n’en firent plus qu’une, partageant la merde que nous avalâmes de concert. Nos langues nettoyèrent toutes les cochonneries accumulées dans le palais.

« Tu es prête à te conduire comme une vraie cochonne, ma chérie, demanda Julie en me fixant amoureusement ? »

Si je l’étais ! Debout sur le lit, Julie et moi glissâmes lentement notre maillot merdeux le long de nos jambes, remuant nos fesses pour être sûres qu’aucun excrément ne resterait collé. Une fois que notre culotte fut abaissée à nos pieds, reposant sur la couverture, nous échangeâmes nos places et lentement nous endossâmes la culotte de l’autre avec la merde pressée contre nos culs. Je jouis quand la merde de Julie toucha mon anus, et je crois que Julie fut prise de la même réaction.

Julie me coucha sur le dos, écartant mes jambes et soulevant mes genoux pour les reposer contre mon buste. Cette position avait pour avantage d’exposer mon cul et ma chatte. Puis, s’agenouillant sur moi, elle baissa son cul jusqu’à ce que ma merde touche mon minou à travers le maillot. Elle commença alors à remuer son cul, remuant son maillot couvert de ma merde le long de ma chatte, me masturbant avec l’énorme étron qu’il y a quelques minutes j’avais expulsé. Cela me fit jouir deux fois, puis nous changeâmes de place et j’écrabouillai le caca de Julie sur la chatte de celle-ci. Je sentis ainsi sa mouille abondante s’échapper de son vagin pendant qu’elle jouit.

Puis, nous nous couchâmes de chaque côté du lit, à l’opposer l’une de l’autre, et nous emmêlâmes nos deux jambes, écartant les cuisses. J’écrasais le caca de Julie dans mon maillot et elle fit de même avec mon caca. Ce qui provoqua une plus grande saleté, la merde ainsi écrasée s’échappa de nos culottes et vint tapisser nos deux cuisses. Les excréments s’étalèrent aussi sur mon sexe poilu, toucha le clito et força l’entrée du vagin. La sensation d’être pénétrée par le cadeau chaud et mou de ma petite amie me fit jouir une nouvelle fois. Nous pressâmes nos culs merdeux l’un contre l’autre, puis nous sombrâmes inconscientes sur le lit.

Le lit était complètement souillé. La chambre puait. Pour beaucoup de personnes, la scène que je viens de décrire est révoltante et dégoûtante. Pour Julie et moi, notre activité sexuelle ne peut que s’accompagner du partage de nos besoins naturels, seuls de tels actes sont capables de provoquer en nous le plus grand extase, et je crois que je ne trouverais rien d’autre dans ma vie qui puisse me procurer autant de plaisir. Fatiguées, nous nous endormîmes l’une contre l’autre, et quand nous nous réveillâmes, nous partageâmes de doux baisers et promenions nos mains sales et merdeuses le long de nos jambes, jouissant de l’odeur merveilleuse que la pièce dégageait, avant de nous rendormir.

Amoureusement votre, Mireille.  »

Cathy fut époustouflée par une telle confession. La jeune femme ne semblait nullement avoir honte de son fantasme. Pire encore, elle revendiquait la saleté comme une philosophie. Cathy avait une envie incommensurable de pisser et chier au lit, salir son lit lui procurait le plus grand plaisir. Elle se revoyait jeune adolescente, essayer d’appliquer ses cochonneries. En ce moment, elle avait vraiment envie d’uriner et de déféquer. Soudain, une passion violente lui fit relâcher son sphincter et la pisse gicla avec force entre ses jambes. Elle décrivit un cercle qui s’éleva au dessous d’elle et retomba sur ses cuisses et sur le canapé en cuir puis sur le sol. Après quelques minutes, le liquide cessa de s’échapper. Portant alors la main à son sexe, son corps entier fut pris de spasmes, et retomba mollement sur le canapé mouillé.

Depuis quelques années, Cathy était constipée. Mais cela ne lui posait aucun problème. Elle appréciait la sensation du gros étron s’échappant de son cul. Aujourd’hui, elle craignait de ne plus pouvoir se retenir. Sa dernière défécation remontait à une semaine tout juste et elle s’était retenue jusque là. Elle remit le nez dans son livre et s’efforça de penser à autre chose. Elle parcouru avec avidité la confession d’une autre jeune lesbienne, qui avouait en plus sa passion pour la pédophilie et sa découverte des plaisirs coprophiles :

«  Bonjour, chers lecteurs. J’avoue que cette revue du club scato était loin de faire partie de mes favorites, jusqu’à l’expérience de la semaine dernière. Je me présente, je m’appelle Melissa. Je suis étudiante en deuxième année de droit à la fac d’Aix et j’ai dix-neuf ans. Je vis avec Irina depuis quatre mois. Irina est bien en substance la lesbienne la plus bizarre que je n’ai jamais rencontrée. De tendance dominatrice, elle aime m’infliger quelques fois de cinglantes fessées. De plus, elle m’a fait découvrir il y a seulement deux mois, les plaisirs de l’ondinisme, et depuis nous en sommes férues toutes les deux. J’avais remarqué d’autres bizarreries dans son comportement, qui étaient restées à l’état de fantasme. Ainsi, elle me confessait souvent qu’elle avait envie de se faire enculer par un chien – ce qui me révulsait – ou de faire l’amour avec une jeune fille adolescente ou encore moins âgée. Ce dernier fantasme me faisait peur, la loi en France est très stricte en ce domaine. Malheureusement mes seules inhibitions étaient d’ordre juridique, et j’avoue que j’avais très envie de participer à une orgie pédophile. Quant à la scatologie dont votre revue est spécialisée, nous en avions souvent parlé et nous disant que peut-être un jour nous franchirions le pas, mais jusqu’à présent le tabou était encore trop fort.

La semaine dernière, Tach (diminutif de mon amie) et moi avions décidé d’aller au cinéma. Tach m’avait avoué qu’elle souhaitait à la fin du film que nous nous promenions sur la corniche, à Marseille. Depuis que nous étions en plein cœur de l’été, de jeunes adolescentes venaient souvent s’y promener et qu’il était maintenant temps de passer à l’acte. Nous étions habillées comme de vraies salopes.

Après le film, nous nous promenâmes le long de la jetée et comme nous nous sentions d’humeur taquine, nous laissions quelques fois tomber nos sacs à main sur le sol, et puis nous penchions afin de les ramasser, ce qui permit aux personnes présentes d’entrevoir nos sexes nus sans culotte et rasés.

Nous aperçûmes soudain, deux jeunes filles plantées devant le quai à regarder la mer. Tach me fixa et me fit un clin d’œil, j’acquiesçais de la tête. Nous nous approchâmes d’elles et Tach fit comme si elle était saoule, tituba et laissa tomber son sac près du banc où étaient assises les deux jeunes filles et quand elles se releva ces dernières regardèrent fixement la chatte de mon amie. Puis, elles se murmurèrent quelque chose à l’oreille et furent prises d’une crise de fou rire incontrôlable. Leur attitude me rassura quant à leurs intentions, je marchais dans leur direction et leur demandais si elles avaient envie d’en voir plus.

Vous auriez du voir les yeux des deux jeunes filles ; ils s’agrandirent sous l’effet de la surprise. La première dont l’expression était encore marquée par la surprise, soupira et fut prise d’un nouveau fou rire, tandis que la seconde me demanda si j’étais sérieuse. Je leur répondis que je ne pouvais pas être plus sérieuse et que si elles voulaient s’en assurer, elles n’avaient qu’à nous suivre et participer à nos ébats.

Elles répondirent qu’elles devaient normalement aller coucher chez une amie, mais qu’elles pouvaient appeler les parents de cette dernière pour annuler. Puis, elles me demandèrent si elles pouvaient rester toute la nuit avec nous, si nos jeux les intéressaient.

Je n’arrivais pas à en croire mes oreilles, je ne savais pas quoi penser de cette proposition. Elles prirent leur portable pour téléphoner à leurs parents, et quand elles raccrochèrent, elles grimpèrent dans la voiture que je conduisis jusqu’à notre appartement en plein cœur de la cité du Roi René. Tout ce que j’espérais, c’est que si c’était un rêve je ne me réveille pas de ci tôt.

Nous pénétrâmes dans l’appartement, et la première chose que nous fîmes ce fut de regarder l’heure sur la pendule de la salle de séjour : il était juste 22 heures. Nous nous assîmes, puis les deux adolescentes nous demandèrent si nous étions lesbiennes. Je répondis par la positive et elles nous confirmèrent en retour qu’elles pensaient l’être aussi, mais n’en étaient pas sûres, c’est pourquoi elles nous avaient suivies. Tach les rassura et leur dit qu’elles sauraient si elles étaient lesbiennes après cette nuit.

Tach qui se montrait parfois si autoritaire leur demanda de s’embrasser. La vue de leur doux baiser me fit sombrer dans un état proche du délire extatique. Elles sucèrent leur langue de concert. Puis, Tach en profita pour leur poser la question cruciale : « Quel âge avez-vous ? ». La réponse ne se fit pas attendre : « Quatorze ans ».

Je pensais que c’était trop beau pour être vrai. Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais jamais imaginé pareille situation. Leur réponse m’avait mise en état de surexcitation. Elles se prénommaient Amanda et Danielle et elles ressemblaient à de petits anges. Leur beauté était parfaite.

Tach commença à se déshabiller (ce ne fut pas très long, vu qu’elle était faiblement vêtue) et nous demanda de faire de même. Nous nous dévêtîmes jusqu’à ce que nous fûmes toutes quatre complètement nues, debout dans le salon.

Tach m’annonça qu’elle avait envie de faire pipi et que nous devrions toutes la suivre dans la salle de bain. Une fois dans la salle de bain, mon amie m’ordonna de me coucher dans la baignoire, et elle se tint debout contre mon corps. Puis, elle se mit à pisser le long de mon corps. Je ne pouvais pas voir les enfants dans cette position, donc je me redressai un peu, pendant que Tach me pissait sur le visage. A travers la pisse, je pus voir les adolescentes plantées devant la baignoire, fascinées par notre jeu et se branlant la chatte. Je m’allongeai de nouveau dans la baignoire et Tach me pissa directement dans la bouche ; j’avalais au fur et à mesure de la giclée. Les gamines s’étaient rapprochaient de la baignoire, et me regardaient avaler la pisse de Tach. Puis, le flot s’étant tari, Tach leur dit qu’elles devraient maintenant se pisser chacune dessus, mais elles répondirent qu’elles n’étaient pas certaines de vouloir faire cela. Je leur proposai donc de monter dans la baignoire toutes les deux et de me pisser dessus. Elles acceptèrent l’offre et je vis au passage le regard que m’adressa Tach qui n’appréciait pas que j’aie pris la direction des opérations. Mais, j’étais prête à tout pour sentir la pisse des deux jeunes filles sur moi.

Elles me surplombèrent, Danielle était au-dessus de ma chatte et Amanda au-dessus de mes tétés. Je leur affirmais qu’il n’y avait aucune raison d’être timide, qu’elle n’avait qu’à se laisser aller. Danielle commença immédiatement, le liquide giclant le long de ma chatte, mais je pense qu’Amanda souffrait d’une certaine gêne, voire pudeur qui bloquait sa vessie. J’entrepris de la branler doucement, avant qu’elle commence à me pisser dessus tout en poussant un soupire de soulagement.

Après que les deux filles eurent vidé leur vessie sur moi, Amanda m’affirma qu’elle avait changé d’avis et qu’elle désirait se faire pisser dessus, sur le buste, les seins et la chatte, à l’exception du visage. En revanche, Danielle resta sur ses positions et son refus de recevoir la douche dorée. Je commençais à pisser sur les seins d’Amanda, et lentement dirigeais mon jet sur son minou. Pendant que je m’amusais à inonder son mignon petit sexe, faiblement touffu, mon regard s’arrêta sur une scène qui me ravit. Tach avait glissé sa main entre les jambes de Danielle, titillant son clitoris et pénétrant trois doigts, profondément dans la chatte de la jouvencelle. Je m’aperçus aussi qu’Amanda se branlait pendant que j’urinais sur elle.

Après m’être vidée, nous nous dirigeâmes vers la chambre d’amis. C’était une grande pièce accueillante où Tash et moi nous nous livrions à nos ébats sexuels, et elle était aménagée pour toutes nos bizarreries : des couvertures noires en mousse, des godemichés dans le placard, des, miroirs sur les murs et un au plafond. Un nid douillet, témoin de toutes nos folies. Tash demanda aux filles de se porter sur le lit et d’écarter leurs jambes de façon à voir toute leur anatomie.

Mon Dieu, il n’existait pas de plus grande joie, que de voir ces jeunes corps nus, ingénument dévoilés, de ces mignons petits minous appelant l’amour. Tash proposa que Danielle coucherait avec elle cette nuit, et que je m’occuperai de l’éducation d’Amanda. A mon avis, je chaperonnais la meilleure des deux. Néanmoins, Tash pensait que la plus intéressante était Danielle. Je ne découvris ses raisons qu’en fin de soirée. Je m’écroulai sur le lit en dirigeant mes attentions sur la chatte d’Amanda, encore mouillée par ma pisse. Je lui fis part de mon intention de lui lécher la chatte. Elle me révéla qu’elle attendait cela depuis le début. Devant son accord, je m’occupais de son petit minou. Il était imprégné du goût de ma pisse et déjà mélangée avec sa mouille. Le goût de sa chatte me fit sombrer dans un délire érotique. Après deux minutes, elle agrippa ma tête et l’attira profondément sur son sexe, et presque aussitôt elle fut submergée par un orgasme. Puis, elle s’écroula sur le lit avec un mignon petit sourire. Je m’allongeais sur elle et nous nous embrassâmes pendant un moment. A ma grande surprise, elle embrassait divinement bien et me révéla qu’elle avait souvent embrassé Danielle, qu’elles étaient amoureuses depuis toujours, mais qu’elles n’avaient jamais été aussi loin que le baiser. Je lui demandai si elle désirait me lécher la chatte. Elle me répondit, un peu gênée, qu’elle aurait bien voulu, mais elle manquait d’expérience en ce domaine. Ce qui lui faisait peur, au fond, c’était la présence de Tach et Danielle.

Je pris dans le placard une couverture en mousse, et j’accompagnais Amanda dans ma chambre. Après avoir dressé la couverture sur le lit, je m’allongeais et écartais les jambes. La jeune fille me rejoignit sur le lit et contempla mon minou, tout près de son visage ; elle était si proche que je pouvais sentir son souffle. Mais, elle ne lécha pas le sexe. Je lui demandais, ce qui n’allait pas, et elle me dit qu’elle était vraiment très nerveuse. Je la rassurais et dit qu’elle n’avait pas à avoir peur et que je ne lui en voudrais pas si elle refusait de me lécher la chatte.

Elle me révéla qu’elle désirait vraiment le faire, mais qu’elle n’était pas prête pour le moment, et que nous pourrions juste nous embrasser ou faire quelque chose d’autre pendant un moment. Il va sans dire que j’acceptais et nous nous roulâmes sur le lit et nous commençâmes à nous embrasser. Pendant ce temps, je pus entendre Danielle crier, terrassée par l’orgasme dans la chambre d’amis. Amanda me déclara qu’elle aimait crier quand elle jouissait, mais elle avait peur que cela dérange le voisinage. Je la rassurais et lui dis que les cris d’extase étaient à peu près tout ce que les voisins pouvaient espérer entendre la nuit.

Nous continuâmes à nous embrasser pendant un moment, puis je m’allongeais sur le dos et pris un des seins d’Amanda dans ma bouche pour le sucer comme un bébé, espérant y trouver du lait. Amanda gémit un petit peu, mais très vite elle se reprit. Je lui demandais de ne pas être si pudique. Je préférais qu’elle laisse exprimer son plaisir. Elle recommença à gémir. Je suçais un sein puis le second, et revenais au premier. Au bout d’un moment, je glissais lentement ma langue le long de son corps jusqu’à son nombril que je suçais et léchais avec passion. Puis, je descendis ma bouche sur son pubis auréolé de poils noirs et sa chatte.

Je commençais à lécher le pourtour de sa chatte, puis ma langue décrivant un cercle, je progressais autour de son clito. Elle laissa échapper un gémissement sourd quand je titillais son clitoris, mais elle n’avait pas encore atteint le summum de sa passion. Je saisis ses fesses pendant que je travaillais ma langue sur son clito, et les écartais ostensiblement. Elle avait le plus beau cul du monde. Enfin, elle pressa ma tête sur son sexe et laissa échapper un cri d’extase.

Après qu’elle s'était calmée, je remontais ma bouche sur son corps, embrassant avec passion sa peau au fur et à mesure que je progressais. Je m’arrêtais sur sa poitrine pour téter chaque sein, puis je continuais en prenant cette fois possession de sa bouche pour lui faire partager le goût de sa propre mouille mélangé à ma salive. Enfin, je lui demandais si elle était prête à me faire un cunnilingus, et elle me fit signe de tête affirmatif.

Elle glissa sa langue sur mon corps, comme je l’avais fait pour elle, embrassant ma poitrine, puis mon ventre et en fin mon minou. Je sentis sa langue titiller les lèvres de ma chatte. Elle lécha le pourtour, puis sa langue décrivit un mouvement de rotation et atteignit ma chatte. Je remuais les seins pendant qu’elle procédait. Puis, je sentis qu’elle débusquait mon clito. S’en était trop pour une seule femme et je jouis comme une jouvencelle à ses premiers émois. C’était merveilleux, et j’extériorisais mon orgasme par un puissant cri, ce qui n’empêcha pas la jeune Amanda de continuer à lécher mon clitoris. Elle me suçait divinement bien en préférant s’occuper de mon plaisir, ce qui me fit jouir une seconde fois.

Nous entendîmes dans l’autre chambre Tach jouir brouillemment, ce qui provoqua l’envie d’Amanda qui me dit qu’elle était prête à rejoindre l’autre couple pour participer à sa première partouze. Quand nous entrâmes dans l’autre chambre, nous vîmes Tach couchée sur le ventre avec son cul surélevé pendant que Danielle agitait un gode dans la chatte de mon amie. Quand Danielle vit Amanda entrer, elle sauta hors du lit, la rejoignit à grande enjambée et lui donna un long baiser baveux. Cela me permit de terminer la besogne inachevée de Danielle car Tach venait de perdre le moteur de son gode et attendait que je remplace la jeune fille. J’agitais violemment le gode dans son étroit fourreau et lui provoquais un orgasme surpuissant qui secoua le corps de Tach en un spasme violent. Ayant terminé, nous regardâmes les deux jeunes enfants s’embrasser avec envie. Quand Tach se remit de son orgasme, elle décida qu’il était l’heure de manger. Et de boire.

Nous commandâmes des pizzas pour le dîner et je sortis du frigo des bières fraîches. Nous avalâmes le tout avec une rapidité déconcertante. L’ingestion de bières n’avait d’autres buts que de renouveler nos jeux pipi. Ayant fini notre repas, nous rejoignîmes la chambre d’amis. Amanda se précipita sur le lit et écarta les jambes, ce qui nous permit d’avoir une bonne vue de son minou et de son anus. Elle proposa à Danielle de venir la satisfaire. Danielle rampa comme un félin sur le lit et se faufila entre les jambes d’Amanda. Tach sourit et me fit remarquer que j’avais bien instruit Amanda, mais n’oublia pas de me dire que Danielle était prête aussi pour tous nos jeux, et que je ne manquerai pas de m’en apercevoir bien vite.

Nous grimpâmes sur le lit, dans le but évident de nous mêler aux ébats des deux jeunes filles. Je plaçais ma chatte mouillée contre la bouche d’Amanda, tandis que Tach prit position près du merveilleux cul de Danielle. Pendant qu’Amanda léchait et lapait mon minou, Tach suçait la chatte déjà mouillée de Danielle. De ma position, je pouvais tout voir, ce qui me rendit heureuse d’être en vie. La langue maintenant experte d’Amanda travaillait mon clito et pénétrait profondément dans ma chatte, pendant que je secouais les seins, quand Danielle fit un bond sur le lit, avec une expression de terreur peinte sur son visage. C’est alors que je vis Tach dégager sa tête du derrière de la jeune fille, avec un sourire vicieux.

·          Elle m’a enculée avec sa langue, s’écria Danielle.

·          Calme-toi, chérie, la rassura Tach. Tu vas apprécier, tu verras.

·          Je n’ai rien contre, consentit Danielle. Mais, j’ai juste eu très peur, c’est tout.

Nous reprîmes position sur le lit, mais avant Tach branla le minou de Danielle ; elle affecta un nouveau sourire vicieux. Puis, Amanda me demanda si elle pouvait me lécher l’anus au lieu de la chatte. Je lui permis de le faire, et aussitôt je sentis sa langue chaude doucement titiller mon petit trou. Elle prit de l’assurance, poussa plus fort sur les plis, et la langue pénétra mon cul. Maintenant, elle m’embrassait et me léchait tout autour de mon anus, à l’intérieur et à l’extérieur.

Danielle s’écria qu’elle avait envie de faire pipi, et nous nous précipitâmes excitées vers la salle de bain. Avant que je n’aie eu le temps de faire quoi que ce soit, Tach s’était allongée dans la baignoire.

·          Vas-y, chérie ! Viens me rejoindre, dit-elle à Danielle.

Je suggérais qu’il était préférable de mettre le bouchon dans le trou d’évacuation du fond de la baignoire, de façon à conserver le pipi dans la cuvette. Cette idée enchanta tout le monde. Puis, Danielle commença à pisser le long du corps de Tach, mais dirigea à la demande de celle-ci son jet sur sa bouche. Tach buvait la pisse aussi vite qu’elle le pouvait, mais elle laissa échapper quelques filets qui s’écoulèrent dans le fond de la baignoire. Puis, ce fut au tour de Danielle de recevoir une douche dorée. Elle était impatiente de se baigner dans la pisse de Tach. Tach pissa sur le corps de Danielle, puis fit remonter le jet sur ses seins et enfin atteignit le visage. Pendant que nous regardions la scène, cela excita de plus en plus Amanda qui sautillait sur place avec anticipation. Quand elle eut fini, Tach et Danielle sortirent du bain et Amanda sauta dans le liquide chaud avec un plof. Je pris position, dirigeant ma vessie sur le visage d’Amanda et laissais échapper la pisse jaune. Amanda but ma pisse comme si c’était du petit lait. Et quand j’eus fini, ce fut mon tour de recevoir cette douche tant désirée.

Comme je me couchais dans la baignoire, je sentis la pisse des deux autres filles et de moi-même suintait contre mon corps. Puis, je fus douchée par la pisse de la quatrième. Le liquide s’écoula sur mon visage et mes seins, et je bus tout ce que je pus collecter. Enfin, Amanda lâcha les dernières gouttes que sa vessie contenait sur moi.

Brusquement, nous entendîmes Danielle évacuer un pet bruyant. Nos regards se tournèrent vers elle, son visage rougi par la honte.

« Tu n’as pas à avoir honte de quoi que ce soit, chérie, dit Tach. Nous sommes entre amies et puis c’est sain. »

Pour prouver qu’elle n’était nullement dégoûtée, Tach lâcha un long pet aussi bruyant et odorant. Le corps d’Amanda commença à être secoué d’un fou rire et elle se joignit à elle en pétant aussi. Que pouvais-je faire d’autre que de les imiter ? Je relaxais mon anus et le pet bondit hors de moi. Cette action nous fit rire aux éclats, mais pas Danielle qui semblait gênée. Elle nous avoua qu’elle avait envie de chier. J’aperçus au passage, le sourire vicieux de Tach.

« Tu n’as pas à t’inquiéter, Melissa est dans la baignoire. Alors ne te gêne pas, chie-lui dessus, elle aime ça ! »

Je fus outrée par ce mensonge. Tach et moi avions souvent évoqué les jeux scatos, mais peut-être par pudeur et décence, nous ne sommes jamais passées à l’acte. Maintenant, c’était notre dernière chance d’essayer, mais aussi pour moi d’attirer toute l’attention, sur mon corps rempli de merde odorante et dégoûtante. Je compris que Tach prenait sa revanche de la dernière fois. Elle reprenait le contrôle des opérations. A ma grande surprise, Danielle ne fut nullement choquée par la proposition. Au contraire.

« Qu’est-ce que tu en dis, me demanda-t-elle, c’est d’accord pour toi ».

Un moment soudain de décence me commanda de refuser, mais après une seconde de réflexion, le vice reprit son empire. Je lui affirmais qu’elle pouvait me chier dessus, mais seulement sur mes seins et mon ventre. Je n’étais pas prête à recevoir l’immonde paquet sur mon visage. Le visage de Danielle s’éclaira de joie, elle sauta dans la baignoire, et me faisant face, elle pencha son cul sur ma poitrine. Je saisit les seins durcis de Danielle et les titillais.

« Vas-y, chérie, chie-moi dessus ! commandais-je »

J’entendis les ahanements de la jeune fille qui forçait sa merde hors de son cul et sur mes tétés. L’odeur de la merde commençait déjà à parvenir à mes narines. Au premier abord l’odeur était terrible, mais après un moment l’odeur dégagée par les excréments devint pour moi comme un aphrodisiaque. Danielle continua de chier, et chier et encore chier. Il paraissait évident qu’elle n’avait pas fait son besoin depuis plusieurs jours. Maintenant, elle se vidait allègrement sur moi comme si j’étais un cabinet de toilette.

Quand Danielle éjecta les derniers centimètres de merde de son cul maintenant vide, Tach lui dit de sortir du bain et de pencher ses fesses vers elle. Quand elle sortit de la baignoire, j’eus enfin la vision céleste du paquet de merde laissé sur ma poitrine. Il était énorme. Je posais mon doigt sur le dessus de la pile et le portais à ma bouche. Je reniflais la merde et sortis ma langue pour goûter la pâte. Le goût était affreux, mais je tenais à nettoyer mon doigt. Puis, je ramenais ce doigt sur la pile et l’engloutissais tout imprégné de traces brunes dans ma bouche. Mais, la langue s’était habituée au goût et la merde ne me paraissait plus aussi dégueulasse. Je posais ma main sur le paquet de merde pour ne pas qu’il tombe dans la baignoire et je me redressais pour voir ce qui se passait dans la pièce. J’aperçus Danielle qui avait écarté les fesses pour laisser Tach nettoyer son trou du cul avec du papier toilette. Je fus choquée.

« Arrête, hurlai-je ! »

Tach me regarda avec incompréhension, puis jeta le papier toilette dans la cuvette des W.C. et tira la chasse d’eau.

« De quoi parles-tu, demanda-t-elle ?

·          La merde, répliquai-je, ne gâche pas la merde ! »

Pendant que je demandais à Tach d’approcher, je pris une bouchée de merde, puis saisis la tête de ma petite amie et plantais profondément mes lèvres contre les siennes et l’embrassais. Je prenais ma revanche en la faisant participer, malgré elle, à une action aussi dégoûtante. Elle essaya de se dégager de l’étreinte, mais ne le put. Après un long moment, sa résistance devint moins forte, elle cessa de vouloir se dégager, et participa cette fois-ci activement au baiser. Je pris alors un autre morceau d’étron, qui était tombé dans la baignoire, je le mis dans ma bouche et embrassais Tach. Je ne goûtais pas seulement la merde, mais aussi le mélange de pisse des deux jeunes filles. J’embrassais de nouveau Tach qui se laissa aller.

J’attirais Tach dans la baignoire et nous commençâmes à étaler la pisse et la merde sur nos deux corps et seins. Puis, Amanda s’approcha de la baignoire et nous révéla son envie de chier. A ce moment, Tach était assise sur mes genoux, pendant qu’Amanda chia le long des seins de celle-ci. Tach roula la merde sur sa poitrine, et entraînée dans sa passion, elle m’embrassa profondément. Quand nous nous séparâmes, nous étions toutes deux couvertes de merde, brune, odorante, de la poitrine aux pieds.

Tach me révéla qu’elle avait aussi envie de chier, et je découvris que j’avais aussi cette envie. Tach se tenait debout dans la baignoire et de dos, pencha son cul sur mon visage. Elle commença à chier. J’attrapais et mâchais ce que je pouvais, mais ce qui s’échappa glissa le long de ma poitrine et tomba dans la pisse, imprégnant le fond de la baignoire. Puis, ce fut à mon tour de chier, et je penchais pareillement mon cul sur le visage de Tach, qui s’efforça aussi d’attraper au vol le paquet de merde, tandis que le reste tomba sur son corps. Nous prîmes la merde flottant dans l’urine et la mélangeâmes sur nos deux poitrines.

Je demandais à Amanda si elle voulait lécher la merde qui salissait mes seins. Elle me répondit qu’elle était disposée à le faire, mais qu’elle n’était pas sûre d’aimer cela. Je lui dis d’entrer dans la baignoire, et Danielle nous demanda si elle pouvait se joindre à nous. Tach et moi nous déplaçâmes vers chacun des bords de la baignoire et Danielle et Amanda prirent position entre nous, dos contre dos, Danielle faisant face à Tach, Amanda me faisant face. Amanda se pencha et toucha avec le bout de sa langue rose, la pointe de mes seins imprégnés de merde. Le fait de contempler le visage d’Amanda quand elle goûta pour la première fois la merde, fut suffisant pour me provoquer un orgasme. Puis, j’entrepris de caresser ses cheveux avec la main couverte de pisse et de merde, mais elle n’y prêta pas attention. Amanda était trop occupée à découvrir que le goût de la merde n’était finalement pas si horrible. Quand le palais de la jeune fille s’habitua au goût de la merde, elle plongea carrément sa langue sur mes seins merdeux, les léchant et mouillant avec passion. Puis, elle prit une grande lampée dans sa bouche et la mangea. Enfin, elle lécha et nettoya mes seins.

Nous laver, nous prit un peu plus d’une demi-heure, et quand nous eûmes fini de nous doucher, nous nous portâmes sur le lit de la chambre d’amis. Nous nous endormîmes toutes nues.

Quand le soleil, malheureusement se leva, nous étions toutes quatre très tristes de nous quitter. Mais, nous prévoîmes de nous rencontrer de nouveau pour participer à de nouvelles bizarreries. Puis, nous nous embrassâmes avant de partir. Nous devions nous rencontrer le lendemain soir et nous nous arrangeâmes pour se retenir de chier et de boire beaucoup, jusqu’à notre rendez-vous.  »

Cathy n’y tint plus. Elle avait une envie forte de déféquer. Le sol était mouillé par sa pisse. Maintenant, elle s’accroupit sur le divan et poussa de toutes ses forces sur ses sphincters. Cela faisait trois jours qu’elle n’avait pas chié, et ce ne fut pas difficile pour elle d’expulser le gros tas qui alourdissait son ventre. Après une deuxième poussée, les excréments glissèrent hors de son anus. L’excitation monta en elle et elle se masturba tout en chiant. Elle poussa un cri de plaisir quand la merde, happée par le vide s’écroula sur le divan de cuir noir. Elle se retourna pour contempler son œuvre. Son cœur tapait comme un tambourin dans sa cage thoracique à la vue du géant étron, qui était, il y a peu sorti de ses intestins. Alors par une envie soudaine, elle se pencha et happa le formidable morceau. En deux minutes elle avait fini sa déglutition.

   

CHAPITRE II : LE RETOUR DE GISELLE

 

A trois heures de l’après-midi, Giselle ouvrit en coup de vent la porte d’entrée de la maison et jeta les livres de cours sur la première marche des escaliers.

« Salut, maman, dit-elle gaiement. J’ai besoin d’aller aux toilettes, hurla-t-elle pendant qu’elle grimpait les escaliers quatre à quatre ».

Cathy attendit le retour de sa fille pendant un temps qui lui semble être des heures. Enfin, elle descendit les escaliers.

« Maman, se lamenta Giselle, les toilettes sont cassées dans ma chambre.

- Ne t’inquiète pas, je vais y jeter un coup d’œil, mon cœur, répliqua-t-elle.

- Merci maman ! Tu es la meilleure ! Je vais chez Sylvie. Je reviendrais à l’heure du dîner ».

Puis, Giselle embrassa sa mère sur les joues et se précipita chez son amie.

Cathy se précipita aussi vite qu’elle le put à l’étage, jetant ses vêtements par-ci par-là. Son ventre se serra par anticipation, et elle commença à saliver au moment où elle pénétra dans les toilettes complètement nue. Elle contempla le résidu dans la cuvette des toilettes comme si c’était une œuvre d’art. Dans un liquide jauni par la pisse nageaient quatre étrons de bonne taille.

S’agenouillant tout contre le rebord en porcelaine des WC, elle pencha la tête dans la lunette. Une forte odeur d’urine fraîche, agressa ses narines, provoquant une vague de plaisir et de démangeaison sur son sexe. Elle glissa sa main et la plongea dans l’eau sale, puis la ramena dans sa bouche, léchant les traces d’urine. La pisse de Giselle était trop diluée dans l’eau pour conserver son goût fort, mais Cathy éleva ses sens pour s’imaginer qu’elle buvait une eau pure à peine extraite du robinet.

Après avoir bu quelques gouttes d’eau de toilettes, Cathy se sentit prête pour autre chose. Penchée à travers la lunette, sa main attrapa le plus petit des étrons et l’amena en pleine lumière. Assise, sa tête reposant sur le tronc des toilettes, Cathy inhala l’odeur délicieuse mais néanmoins dégoûtante du ferme étron.

« Ohmique, enfin ! geignit-elle tout en ouvrant la bouche et enfournant la saucisse brune ».

Cathy garda l’étron un moment dans sa langue, savourant le goût affreux qui envahissait son palais. Puis, avec un gémissement à peine audible, elle pressa le caca entre sa langue et le sommet de sa bouche, modifiant sa structure et l’étalant dans les coins du palais. Des gouttes d’eau de toilette amères s’écoulèrent dans sa bouche. Elle but le liquide avec gourmandise.

La femme savoura profondément la bouillie merdeuse, étalée tout le long de sa bouche. Il lui devint bientôt difficile de se contrôler, et c’est avec avidité qu’elle avala la compote peu ragoûtante. Ses mains s’attardèrent sur son clito qu’elle frotta et pinça. Elle fut submergée par un orgasme.

Le second petit morceau de merde fut dévoré de semblable manière, Cathy savourant le goût de l’excrément et se manualisant de concert provoquant un autre orgasme plus intense que le premier.

Elle contempla le troisième étron avec excitation. Les deux premiers l’avaient seulement mis en appétit. Le troisième n’était pas plus long mais plus gros et gras que ceux mangé auparavant. Léchant avec envie ses lèvres, Cathy attrapa dans sa main la délicieuse saucisse de caca, et la suça entre ses dents comme s’il fut s’agit d’une queue, colorant ainsi son émaille de brun. Elle sentit le goût plus puissant et écœurant envahir son palais.

Cathy suça l’étron jusqu’à ce qu’il s’amollisse. Quand elle fut satisfaite de la bouillie chaude et collante qu’elle venait de créer, elle cracha le tout dans sa main et étala la compote brune le long de son corps.

Elle promena sa main le long de ses joues, son nez, derrière les oreilles et sur sa bouche, laissant une couche épaisse de merde sur son visage. Cathy couvrit sa poitrine et spécialement ses mignons petits seins avec les excréments de sa fille avant de glisser le résidu le long de son vagin.

Avec les mains, elle roula le reste de merde et reforma un étron. Puis elle écarta les lèvres de son sexe, et induisit le caca dans son minou. Avec sa main portant l’étron, elle imita la pénétration et pour la troisième fois elle jouit. Elle saisit le dernier morceau des toilettes. Il était plus long que le précédant mais pas aussi épais.

Cathy pelotonna sa main de façon à épouser la forme de la saucisse merdeuse. Puis, elle attira la déjection fécale près de sa bouche et l’engloutit avec des bruits gloutons. Elle mâcha lentement la merde, savourant son goût amer et écœurant. Elle se leva gauchement pour admirer son buste tout entier imprégné de merde tout en dévorant la pâte brune.

Cathy se retourna et fut figée de terreur, choquée et complètement anéantie. Dans l’entrebâillement de la porte de la salle de bain, Giselle, sa jeune fille restait plantée comme un pantin, incapable de faire un mouvement, son visage marqué par un rictus de dégoût. Dans sa hâte de dévorer la merde de sa fille, elle avait oublié de fermer la porte des toilettes. Elle essaya d’expliquer la scène, mais sa bouche était encore pleine d’un caca épais et quand elle l’ouvrit pour parler, une bouillie brune s’échappa de ses lèvres. Sa honte était trop accablante, alors elle cessa de regarder sa fille pour fixer le mur tout occupée à mâcher et manger le reste de merde, l’engloutissant bruyamment. Quand ses regardèrent à nouveau la porte, l’adolescente était déjà partie. Cathy entendit la porte d’entrée claquer avec un bruit sourd. Elle resta seule dans la salle de bain désespérée et toute honteuse.

Cette nuit Giselle découcha. Cathy inquiète, retourna dans son lit et ne put trouver le sommeil. Il était certain que la pauvre jeune fille avait été choquée et dégoûtée de voir que sa mère se livrait à un acte pervers et coprophage. Elle doutait fortement que Giselle revienne à la maison, maintenant qu’elle connaissait le fantasme de sa mère.

 

 

CHAPITRE III : LA SOUMISSION DE CATHY

  

Le cœur de Cathy bondit dans sa poitrine quand elle entendit le bruit des clefs dans la porte d’entrée, aux alentours de trois heures le lendemain après-midi. Nerveuse, elle attendit dans la cuisine que sa fille vienne d’elle-même lui parler.

« Salut, maman, dit Giselle d’une voix joyeuse. Tu as faim ?

- Tu te moques de moi, dit Cathy d’une voix triste, ses yeux rivés sur le sol, embarrassée par la situation.

- Non, maman. Tu te trompes, répondit l’adolescente en relevant la tête de sa mère avec sa main, la forçant à la regarder dans les yeux. Je pensais que si tu avais envie de manger de la merde, tu pourrais la manger directement de mon petit trou.

- Tu es sérieuse ? demanda Cathy, les yeux exorbités par la surprise.

- Oui, tout ce qu’il y a de sérieuse, mère !

- Je pensais que tu étais dégoûtée de m’avoir vu faire cela.

- Je l’étais au début, mais après en avoir parlé à Sylvie et passé la nuit à y réfléchir, j’ai accepté le fait que tu sois une mangeuse de merde et que je ne pourrais rien y changer ».

Cathy fut prise d’un malaise en découvrant que Giselle en avait parlé avec Sylvie.

« Tu as tout dit à Sylvie ? demanda-t-elle.

- Oui, après tout c’est ma meilleure amie. Mais, ne t’inquiète pas, Sylvie a pris cela mieux que moi-même. Elle a déjà entendu parler de femmes qui raffolaient de manger de la merde, elle m’a aussi dit que la plupart étaient des lesbiennes. C’est vrai, maman ? Tu es une gouine ?

- Oui, chérie. J’en ai bien peur. J’avais espéré que tu ne le saches jamais. Je souhaitais te protéger en te cachant mes préférences sexuelles, révéla Cathy en fixant de nouveau le sol de honte.

- Mais, merde maman ! Je m’en fous que tu sois une broute pelouse ! En fait, Sylvie, Katia et moi nous jouons souvent ensemble aux jeux de Lesbos quand nous sommes excitées par une après-midi comme celle-ci.

- Quoi ? suffoqua Cathy. Elle frissonna de plaisir en apprenant la nouvelle et un sourire lubrique marqua son visage.

- Oui, tu as parfaitement compris. Mais, je n’ai jamais été prise d’une envie de manger de la merde. C’est trop bizarre et égueulasse. Mais si c’est de la merde que tu veux, j’ai un étron pour toi.

- C’est une excellente nouvelle ! s’exclama la mère.

- Tu aimerais manger ma merde maintenant, maman ? demanda Giselle d’une voix vicieuse. Si tu le veux, suis-moi car je ne vais plus pouvoir me retenir ». Après avoir fait sa proposition, Giselle se dirigea vers la chambre de sa mère avec Cathy sur ses talons. Le minou de cette dernière commençait à réagir et à la démanger.

Quand elles pénétrèrent dans la chambre, la mère et la fille se déshabillèrent en silence. Elle eut du mal à avaler sa salive à la vue de la petite touffe de poils couvrant le vagin de l’adolescente. Quand Mireille se tourna pour fixer le miroir, Cathy en profita pour détailler le magnifique cul de Mireille. Il était tendre et ferme, les deux joues du derrière étaient bombées ce qui donna l’envie à sa mère de les embrasser.

Mireille entra dans une salle de bain spacieuse et s’assit sur sa cuvette des toilettes. Ecartant les jambes, elle fit un signe du doigt à sa mère pour qu’elle approche et le pointa sur son désirable minou. « Lèche ma chatte, pachole ! ordonna-t-elle, ajoutant une pointe de domination dans sa voix ».

Cathy tomba à genoux et rampa jusqu’à l’entrecuisse de la jeune fille. Ecartant les lèvres du sexe de Mireille, elle contempla fixement le temple du plaisir de l’adolescente. Elle colla sa bouche sur le clitoris et commença à lécher le pourtour de la chatte. « Oooh ! C’est trop bon, maman ! Tu es une excellente lécheuse de chatte. Vas-y continue ! Mange-moi ! ».

Cathy suça profondément et plaça un doigt à l’entrée du trou d’amour de sa fille, le poussant brutalement à l’intérieur causant un soubresaut de plaisir à Mireille. Elle remua le doigt délicatement dans le vagin, ce qui provoqua chez la jeune fille l’émergence d’une mouille abondante. « Oooh, oui ! J’aime ce que tu me fais, maman ! Mais maintenant j’ai une forte envie de pisser ! hurla Mireille ».

Cathy retira sa bouche du sexe de sa fille et se renversa en arrière. Mireille écarta les lèvres de son sexe et attira sa chatte mouillée contre le visage extatique de sa mère. La bouche de Cathy s’ouvrit et engloba entièrement le trou d’amour. Sa langue travailla le sexe de la jeune fille et débusqua le méat urinaire, commençant à titiller les fines parois.

Aussitôt après Cathy sentit le méat de sa fille se contracter, puis un liquide chaud gicla dans sa bouche ouverte. Mireille gémit de plaisir au moment où le liquide jaune s’échappa de sa vessie pour entrer dans la bouche de sa mère. Elle sentit un plaisir infâme à pisser dans la bouche de celle qui l’avait mise au monde. Enlevant ses mains de son sexe, elle pressa la tête de Cathy contre sa vessie.

Cathy voyait son rêve devenu réalité. Elle avait toujours apprécié les traitements humiliants que Juliette lui infligeait et qu’elle retrouvait avec bonheur dans l’attitude dominatrice de sa fille. Comme son visage collait étroitement à l’entrecuisses de l’adolescente, la pisse s’échappait le plus souvent de sa bouche ouverte et imprégnait son visage. Elle s’efforça d’avaler le liquide chaque fois que sa bouche était remplie, mais quelques jets glissèrent sur son cou et mouillèrent ses seins en érection.

Le liquide cessa de s’écouler aussi vite qu’il avait commencé, alors Cathy éloigna son visage de la chatte souillée de Mireille. Cathy constata que quelques gouttes continuaient de s’échapper du sexe de sa fille ; elle lapa de sa langue le résidu pisseux.

« Ouvre la bouche, pisseuse ! ordonna Mireille. Je veux te regarder avaler ma pisse ! »

Cathy était ravie que sa fille ait choisi de prendre le rôle d’une dominatrice, faisant d’elle une toilette humaine. Elle ouvrit en grand sa bouche afin de montrer à sa fille son gosier encore inondé de pisse. « Tu es un formidable urinoir, maman ! s’écria Mireille tout en écartant les lèvres de son sexe et en laissant un flot d’urine s’échapper et glisser directement dans la bouche de sa mère. Je ne pisserai plus jamais dans les wc, dorénavant. Pas tant que je vivrais ici ! ». Cathy avala bruyamment la pisse qui faisait cuvette dans sa bouche.

Quand la bouche de sa mère fut pleine, Mireille stoppa le flot et dit d’une voix cruelle et condescendante : « Tire la chasse d’eau, urinoir ! ». Cathy vida sa bouche et l’ouvrit à nouveau pour quémander une ration supplémentaire. « Tu veux que je finisse de pisser, n’est-ce pas maman ? lui demanda Mireille ». Cathy fit un signe de tête affirmatif, sa bouche attendant l’aumône.

Mireille se soulagea de nouveau, remplissant la bouche de sa mère faisant fonction de cuvette de wc. Le liquide n’en finissait pas de s’écouler et Cathy continuait d’avaler sans sourciller. Puis, une fois la vessie vidée de tout son contenu, Mireille attira le visage de Cathy contre son vagin. « Nettoie le avec ta langue, papier toilette ! gémit Mireille ».

Cathy lécha consciencieusement la chatte de sa fille. Elle lapa les gouttes jaunâtres qui s’écoulaient le long de ses cuisses, puis sa langue s’attarda sur le sexe mouillé et elle le lécha de tous les résidus urinaires imprégnant les poils. Finalement, elle avala à grand trait la mouille qui faisait irruption du sexe rougi par la sussions.

Quand Mireille fut satisfaite de la propreté de sa chagatte, elle poussa sa mère qui se laissa tomber sur le sol. « J’ai envie de chier maintenant, maman, déclara-t-elle en souriant malicieusement. Veux-tu goûter ma merde ? ». Cathy rougit et approuvée de la tête. « Je ne t’entends pas, dit-elle en pinçant les joues de sa mère.

- Oui.

- Oui, quoi maman ?

- Oui, je veux manger ta merde ! parvint à prononcer Cathy. S’il te plait, laisse-moi y goûter ! ».

Le jeune minou de Mireille commença à mouiller. Elle se sentit excitée par le jeu vicieux qu’elle organisait avec sa mère. Un liquide épais s’échappa de son sexe. « Couche-toi sur le sol, que je puisse m’accroupir sur ton visage, salope, ordonna-t-elle.

- Dis-moi tout ce que tu aimerais que je fasse, répliqua Cathy, donnant une totale liberté d’action à sa fille. Tout ce que tu veux, je le ferai.

- Je veux que tu te conduises comme une grosse merdeuse que tu es et que tu manges mon caca ! lui hurla Mireille ».

Mireille prit position au dessus du visage de sa mère, puis elle se retourna et s’agenouilla en abaissant tout près de la tête de Cathy. « Ecarte mes fesses, maman et admire mon mignon petit trou.

- Il est magnifique, murmura Cathy pendant qu’elle écartait les joues du derrière de sa fille, révélant l’orifice plissé ». Il était d’un magnifique rose, tintant sur le brun tout autour du trou. Elle approcha son nez de l’orifice et inhala avec passion la forte odeur de merde.

« Est-ce que mon trou du cul sent bon ?

- Hmmmm. Ca sent merveilleusement bon, chérie, haleta Cathy.

- Alors, embrasse le, dit Mireille en approchant un peu plus son cul du visage de sa mère ».

Cathy promena sa langue le long du trou du cul de sa fille, puis elle pénétra dans le rectum. « Encule-moi avec ta langue, maman ! Je veux sentir ta langue dans mon cul, cria-t-elle comme une furie ».

La langue de Cathy s’engouffra lentement dans le trou du cul de Giselle, passant les parois, jusqu’à rencontrer le bout d’un étron ferme. Elle enroula le bout de sa langue le long du sommet du fruit anal de sa fille, l’imprégnant de salive et chipant quelques morceaux de la vile saucisse de caca. Bientôt, le crachat de Cathy produisit son effet, et une véritable bouillie merdeuse se déTacha des parois anales et glissa directement de sa langue à sa gorge. Elle avala le liquide brun avec satisfaction, puis continua son action.

Finalement, Giselle commença à pousser et la merde se mit à glisser le long du rectum. Cathy dégagea sa langue du trou du cul de sa fille, pour contempler l’office de la défécation. Le sphincter de la jeune fille se contracta pour livrer le passage à un épais étron.

Cathy approcha sa langue du formidable étron pour sucer l’épaisse saucisse. Quand le bout du ferme étron apparut, Giselle arrêta de pousser. « Suce-la, maman ! Suce la merde qui était dans mon cul, ordonna-t-elle ».

Cathy happa l’étron dans sa bouche en le léchouillant. Elle commença à sucer, mais l’excrément se déTacha soudainement de l’anus et glissa dans la gorge de la mère. Elle faillit s’étouffer quand les excréments atteignirent le fond de sa gorge. Remise de sa surprise, elle avala le met avec avidité, faisant passer le dégueu dans son estomac. « Tu es une sale pute, une grosse cochonne ! Tu n’as donc pas honte de manger ma merde, ta bouche ressemble à une cuvette ! J’ai toujours eu envie d’avoir une toilette humaine à ma disposition, qui ouvrirait sa bouche quand je veux pisser et chier, maman, l’insulta Giselle ! Maintenant, suce la merde qui est restée collée à mon cul, salope. Torche-moi ! ».

Giselle leva une main menaçante et l’abattit sur le sexe de sa mère qu’elle frappa de toutes ses forces. Cathy se tortilla de douleur et exécuta à la seconde les ordres de sa fille en lovant sa langue contre le trou souillé. Elle suça avec déférence la cavité merdeuse, espérant extraire le reliquat de merde. Pendant qu’elle suçait, Giselle poussa de toutes ses forces sur ses sphincters et un volumineux morceau de merde fit irruption dans la bouche de Cathy, suivi par un long et dégoûtant pet.

Cathy suffoqua sous l’effet du gaz nocif et puant dégagé par sa fille, imprégnant toutes les artères de son nez, la bouche et la gorge. L’épais étron se faufila dans sa bouche, sa salive acheva d’en ramollir la texture. Cathy fit passer la saucisse de joue en joue avant d’avaler quelques morceaux.

Giselle se releva, puis se retournant, elle contempla sa mère. Elle s’assit sur les genoux de Cathy et introduisit deux doigts dans la chatte de cette dernière. « Ouvre la bouche ! Je veux voir ma merde dans ta bouche ! cria Giselle, sa seconde main branlait son propre vagin. Cathy ouvrit la bouche démesurément ; Giselle gémit de plaisir à la vue de sa mère dévorant son caca. Le monstrueux étron était coupé en trois morceaux et reposait sur sa langue. Une salive brune et merdeuse glissa de sa cavité buccale, pendant que Giselle regardait les saucisses se diluer. Elle frotta son clito avec plus de vigueur, alors que son autre main glissait dans la chatte de sa mère. « Oh, oui ! Tu es si sexy comme ça, maman ! grogna Giselle. Ta bouche est remplie par ma merde. Même ta langue est brune ! C’est tellement dégoûtant ! Et tellement jouissif ! ».

Giselle était en extase. Elle était proche de l’orgasme. Le vice de Cathy s’était élevé aussi. Elle arque boutta sa chatte contre la main de sa jeune fille, la suppliant de continuer son investigation. « Mâche la merde, maman ! Mâche mon étron tout chaud dans ta putain de bouche ! ».

Giselle commença à changer de position, elle se leva pour s’agenouiller le long du corps de sa mère. Cathy comprenant que sa fille avait atteint le point de non retour, glissa un doigt dans la chatte ouverte de celle-ci. Elle ouvrit la bouche pour montrer à sa mère la transformation de l’étron en une bouillie brune. « Oh, oui, gémit Giselle au moment où une pulsion de pur plaisir envahit son corps. Elle branla sa mère et elle même avec plus de force, puis soudain, elle laissa échapper un cri dément, quand elle fut submergée par un orgasme tout nouveau, partagée qu’elle était entre l’extase et la honte. « Avale ma merde, salope ! hurla-t-elle au moment où elle jouit ».

Cathy dut avaler par petites gorgées l’énorme étron, et quand elle eut fini sa dégoûtante action, elle jouit bruyamment. Mais, la jouissance n’avait pas calmé la jeune fille. Elle s’écroula sur sa mère et embrassa sa bouche fermée, puis la retira. En se pourléchant les lèvres, elle sentit le goût spécial de sa propre merde atteindre son palet, et malgré sa honte elle ne put s’empêcher d’être excitée. « Je t’aime, avoua-t-elle.

·          Je t’aime aussi, mon cœur ».