BERTRAND
Collette entra dans l’appartement de sa soeur sans frapper,
comme elle le faisait régulièrement trois ou quatre fois par semaine depuis une
dizaine d’années. Lucie, attablée devant son café matinal, regarda sa soeur
déposer le journal sur la table et la salua.
- Salut ! Tu ne vas pas au boulot ?
- Non, je travaille à la maison, alors j’ai tout mon temps.
Collette, quarante-cinq ans, brune, grande et très mince, pratiquait le métier
de conceptrice de sites web pour de petites et moyennes entreprises. Elle avait
mis au point une série de gabarits qui lui permettait de changer seulement
quelques détails et de refiler aux clients des sites qui ne se ressemblaient pas
en surface mais dont la composition restait la même. Elle ne s’était jamais
mariée et Lucie ne se rappelait pas le dernier copain que Collette avait
fréquenté, tellement ça remontait loin.
- Un café ?
- C’est pas de refus.
Lucie se leva et sa robe de chambre s’ouvrit, laissant voir qu’elle ne portait
rien dessous. C’est à peine si Collette nota la chose. Elles avaient partagé la
même chambre durant leur jeunesse chez leurs parents et leur intimité avait été
réduite au minimum. Lucie ajusta sa ceinture et referma la robe de chambre sur
son petit corps à peine potelé de châtaine. Contrairement à sa soeur, elle
affichait des formes généreuses et un visage naïf au milieu duquel trônait des
lèvres pleines et sensuelles.
Elle prit un bol et le déposa devant Collette sans lui offrir sucre et lait,
sachant bien qu’elle les refuserait.
- Bertrand est debout ?
- Oui, il regarde un livre d’images.
Bertrand était le deuxième enfant de Lucie. Un accident à la naissance avait
endommagé le cerveau, le privant d’oxygène et Bertrand était demeuré handicapé
pour la vie. Lucie et Jean-Claude avait poursuivi le docteur incompétent et
obtenu un règlement hors cour qui avait assuré l’avenir du pauvre gamin.
Aujourd’hui âgé de treize ans, il se comportait avec un âge mental de trois ans.
Jean-Claude était décédé avant l’entente et cela avait fait monter
prodigieusement le montant du règlement. Malgré tout ce fric, Collette n’enviait
pas sa soeur cadette.
- Tu as des nouvelles de Josiane ?
- Oui, elle a téléphoné hier et elle est supposée passer me voir cet après-midi.
La fille aînée de Lucie avait épousé, à dix-huit ans, un homme de cinquante-deux
ans. Si ce n’avait été de Bertrand, Lucie en aurait fait une dépression
nerveuse. Mais c’était un luxe qu’elle ne pouvait se permettre, obligée qu’elle
était de prendre soin de ce gentil gamin, doux, aimant et complètement démuni.
Elle savait bien que Josiane gâcherait sa jeunesse avec cet homme mais elle
n’avait pas réussi à la convaincre de changer d’idée. Et maintenant, la voilà
qui rappliquait après plusieurs semaines sans donner de nouvelles. Lucie eût une
intuition désagréable: il y avait des problèmes à l’horizon.
Les deux femmes continuèrent de causer pendant un moment et finalement, Collette
se leva et prit congé de sa soeur.
- Je reviens demain, si tu veux bien; j’aimerais avoir des nouvelles fraîches de
Josiane.
- J’ai un mauvais pressentiment.
- Tu as peur de devenir grand-mère ?
Le ton enjoué de Collette désamorça la situation. Lucie retourna chercher
Bertrand dans sa chambre.
- C’est l’heure du bain.
Lucie fit couler le bain, vérifia la température de l’eau et retourna chercher
Bertrand dans sa chambre. Il avait enlevé son pyjama, comme d’habitude et
attendait, debout, les bras le long du corps, nu.
- Bon ! V’la autre chose maintenant !
Bertrand bandait. Sa queue, mince mais longue pour un gamin de son âge, faisait
un angle de quarante-cinq degrés par rapport à son ventre. C’était la première
fois que Lucie le voyait ainsi. Il avait bien eu quelques érections de bébé mais
depuis, les choses s’étaient calmées et voilà que maintenant, ça le reprenait.
Évidemment, se dit Lucie, un garçon de son âge, c’est normal. Je suis idiote de
ne pas y avoir penser avant aujourd’hui.
Elle le prit par la main et l’amena dans la salle de bain et le fit asseoir dans
la baignoire. Elle le savonna rapidement et le rinça. Elle tira le bouchon et la
baignoire se vida. Debout, Bertrand laissa docilement sa mère l’essuyer avec la
serviette éponge. Son érection ne diminuait pas. Bof ! se dit Lucie, c’est
normal. Je viens de le frictionner. Dans cinq minutes, ça va partir. Elle ramena
Bertrand dans sa chambre et lui enfila se vêtements. Son fils reprit son livre
d’images et oublia la présence de sa mère.
Lucie retourna dans sa chambre et enfila des shorts et un t-shirt. Elle voulait
prendre les poussières et préparer le repas du midi. Josiane passerait la voir
après le déjeuner et elle voulait que l’appartement soit propre pour sa visite.
Absorbée par ces tâches ménagères, elle en oublia la condition de Bertrand.
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- Dis maman, papa et toi, vous avez déjà eu des passages à vide ?
- Comment ça, des passages à vide ? Tu veux dire des querelles ?
- Non, je veux dire ... tu sais bien quoi... des passages où ... il ne se passe
rien... tu comprends ?
- Ohhhhhhh ! Je vois... oui... bien sûr...
Aie ! Lucie n’avait jamais eu ce genre de conversation avec sa fille, non pas
qu’elle fut gênée d’en parler, seulement l’occasion ne s’était jamais présentée.
Et là, sa fille mariée depuis plus d’un an, venait lui poser ce genre de
questions.
- Écoute, c’est normal. Un homme ne peut pas toujours être... hem... performant.
Surtout, un homme de l’âge de ton mari.
- Je sais bien, maman, mais tout de même, six mois, c’est long, non ?
- Six mois ?!? Alors là, c’est pas normal, va voir un médecin avec lui, il doit
avoir un problème de santé, ton homme.
Avant de quitter sa mère, Josiane voulût faire une pause pipi. De la porte de la
toilette, elle appela sa mère.
- Dis maman, il ne va pas bien, le Bertrand ?
- Pourquoi tu dis ça ?
- Viens voir une minute.
Bertrand se tenait debout devant la cuvette et tentait de résoudre un problème
insoluble: comment pisser dans la cuvette quand on a une érection. Sa queue
sortie par la braguette pointait vers le plafond. Quand il la poussait vers le
bas, le jet ne voulait pas sortir et s’il la pointait vers le haut, il ferait un
dégât et sa mère le gronderait.
- Ah la la ! Il m’a commencé ça ce matin. C’est la première fois.
- Tu veux dire qu’il est comme cela depuis ce matin ?
- Ne m’en parle pas. Il va finir par souffrir le petit.
- Ben alors, fais le pisser dans le bain.
- Mais c’est dégoûtant ce que tu dis là.
- Mais non ! Il pisse sur le mur et ensuite tu utilises la douche téléphone pour
rincer.
- T’es sérieuse ?
- Regarde maman.
Josiane prit les épaules de Bertrand et le tourna vers la baignoire.
- Vas-y, frérot ! Fais pipi ! C’est permis et maman ne te grondera pas.
Incertain d’une telle affirmation, Bertrand tourna la tête et chercha du regard
l’approbation maternelle. Lucie lui donna la permission. Bertrand ne se fit pas
prier et immédiatement, un puissant jet fusa de sa longue queue pour frapper le
mur de l’autre côté de la baignoire. Il pissa un très long moment car c’était la
première fois depuis le matin qu’il pouvait se soulager. Quand il eût terminé,
Josiane décrocha la douche téléphone et rinça le mur et le bain.
- Voilà ! Il n’y parait plus !
- C’est tout de même dégoûtant ! Mais puisqu’il le faut...
- Allez maman, ne fais pas ta bégueule. Bon, moi aussi, il faut que j’utilise
l’endroit.
Lucie prit la main de Bertrand et retraita dans la chambre du gamin. Josiane ne
ferma pas la porte de la salle de bain et les deux autres entendirent très bien
la miction de la fille aînée.
Le soir venu, Lucie enfila le pyjama à Bertrand. Son érection ne faiblissait
pas. Lucie prit une grande décision.
- Pauvre chou ! Tu ne pourras jamais dormir dans cet état.
Elle tenta de se justifier en se disant qu’elle faisait cela pour la santé de
Bertrand. Prenant place au pied du lit, elle attira le gamin à elle et lui
appuya le dos sur son torse. Elle posa son menton sur l’épaule de Bertrand et
avec sa main droite, elle sortit la verge du pyjama et entama une masturbation
du gamin. Bertrand semblait aimer cela car bientôt, il ferma les yeux et il émit
plusieurs jets de foutre qui s’écrasèrent sur le plancher de la chambre. Lucie
alla quérir la serpillière et revint nettoyer. Elle rinça la serpillière et
revint pour border Bertrand. Il se tenait toujours debout au pied du lit et...
il bandait toujours. Il regarda sa mère.
- Encore !
- Ben dis donc toi ! Il ne faut pas t’en promette, hein !
Pour ne pas irriter la peau du pénis de Bertrand, Lucie utilisa du lubrifiant.
Elle dût le manipuler un peu plus longuement mais lorsqu’il se mit à éjaculer,
le flot fût aussi abondant que la première fois. Il regarda sa mère dans les
yeux.
- Encore !
- Quoi ? Tu en veux encore ? T’es sérieux ?
Bertrand hocha la tête.
- Voui !
- Ah la la !
Lucie remit un peu de lubrifiant dans sa main et le masturba pour une troisième
fois. Cette fois, ce fût nettement plus long et lorsqu’enfin, après avoir joui,
l’érection de Bertrand cessa, Lucie fût soulagée. Elle amena le gamin devant la
cuvette et il pût faire son pipi du soir normalement. Lucie le regarda pisser
longuement et, pour la première fois, elle ne voyait plus le gamin de la même
façon.
Elle le mit au lit et, le temps d’éteindre les lumières, lorsqu’elle repassa
devant sa chambre cinq minutes plus tard, le gamin dormait. Ce fût Lucie qui eût
de la difficulté à s’endormir. Elle n’y parvint qu’après une masturbation qui la
laissa honteuse de fantasmer sur son propre fils !
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Collette pénétra dans l’appartement et déposa le journal sur le comptoir. Elle
savait bien que Lucie limitait au maximum les sorties et cela la peinait, alors
elle en profitait pour lui apporter des petites choses comme des croissants
frais, le journal ou du lait pour Bertrand.
- Salut Collette.
- Salut la soeur, comment va ?
- Mieux que j’aurais pu me l’imaginer hier.
Continuant sur la blague de la veille, Collette lui demanda:
- Alors, tu n’es toujours pas grand-mère ?
- D’après ce que m’a dit Josiane, c’est pas demain la veille. Son vieux ne l’a
pas touché des six derniers mois.
- Aie ! C’est pas moi qui ai le plus d’expérience dans ce domaine mais tout de
même ! Six mois ?!?
- Oui, je lui ai conseillé d’aller consulter avec son mari. Il doit couver
quelque chose.
Alors que Lucie tournait le dos au couloir, Collette y faisait face. Elle
parvint à cacher sa surprise lorsqu’elle vit Bertrand, vêtu de sa seule culotte
de pyjama, le sexe en érection sorti par la braguette, sortir de sa chambre et
se diriger vers la salle de bain.
- Dis donc, ton Bertrand, il devient exhibitionniste ou quoi ?
Lucie se leva d’un bond et se dirigea vers la salle de bain, suivie de Collette.
Quand elles arrivèrent vis-à-vis la porte, Bertrand, face au mur et leur
tournant le dos, pissait abondamment, les bras le long du corps. Son érection
dirigeait le jet de pisse vers la partie supérieure du mur. Quand il eût fini,
il se tourna vers les femmes et sans ranger son engin, sortit de la pièce. Lucie
dût expliquer la situation à sa soeur. Elle eût la même réaction que Lucie.
- Écoute ! Je ne veux pas être méchante mais ton gamin, il est comme moi, il n’a
pas beaucoup de chance d’avoir une vie sexuelle, tu sais. Alors c’est pas moi
qui va te blâmer. Tu fais de ton mieux et j’ai rien à y redire.
- Puisque tu en parles, je me suis souvent demandé pourquoi tu ... enfin.. n’as
pas de mec quoi ? Sans te marier, tu pourrais fréquenter quelqu’un... je sais
pas moi... juste pour relaxer.
- Ben tu sais, quand une femme fait un mètre quatre-vingt et pèse soixante
kilos... on attire les regards mais pas pour les bonnes raisons. Alors j’en ai
fait mon deuil des mecs. Mon mec à moi, il est en plastique et je change les
piles toutes les semaines.
Les deux soeurs éclatèrent de rire ensemble. Intrigué, Bertrand vint voir ce
qu’il y avait de si drôle dans la cuisine. Son engin toujours sorti, pointant
devant lui, il vint s’appuyer sur l’épaule maternelle. Ce fût Collette qui
parla.
- Tu me montres ?
- Quoi ?
- Ben ... comment ... tu le soulages !
- T’es sérieuse là ?
- Oui et vachement gênée de te demander ça.
Lucie vit que Collette rougissait et qu’elle avait dû faire un énorme effort
pour lui demander cela. Elle hésita quelques secondes. Collette rougissait de
plus en plus. Elle craignait vraiment d’être allée trop loin cette fois.
- Donne-moi trente secondes.
Lucie alla chercher le lubrifiant dans sa chambre et lorsqu’elle revint, elle en
mit dans sa main droite.
- Viens ici, mon lapin.
Elle plaça Bertrand entre ses cuisses pour qu’il lui tourne le dos et lui
lubrifia le pénis. Puis, elle entreprit de le masturber lentement. Bertrand
réagit aussitôt instinctivement et se mit à accompagner les gestes de Lucie avec
des mouvements des hanches. Collette, la bouche ouverte, fixait la main qui,
langoureusement, amenait le gamin vers la félicité. Sans prévenir, Bertrand
explosa et le sperme vint choir sur le plancher trois bons mètres plus loin.
Sans ouvrir les yeux, il murmura:
- Encore !
Lucie se tourna vers Collette:
- Tu veux essayer ?
Cette fois, elle vira au cramoisi. Elle rougissait comme une gamine prise en
défaut.
- Il ne mord pas tu sais.
Elle guida Bertrand vers sa tante et le plaça. Elle tendit le tube à Collette.
Cette dernière lubrifia sa main gauche, car elle était gauchère, et elle
commença à caresser Bertrand sur le gland, pour ensuite descendre vers la base
du pénis et ensuite entreprendre un mouvement de va-et-vient autrement appelé
dans certains pays, la veuve poignet. Sauf que Collette n’était pas veuve. Mais,
comme pût le constater Lucie, elle avait un sacré poignet car à peine deux ou
trois minutes plus tard, Bertrand giclait comme un forcené tout en émettant des
petits couinements. À la déception de Collette, sa queue ramollit après ce
deuxième tir. Les deux femmes retournèrent Bertrand à sa chambre et en
profitèrent pour se laver les mains après avoir passer la serpillière sur le
plancher.
- Ben dis donc, il est en santé, ton Bertrand. T’as vu la quantité ! C’est
toujours comme cela ?
- Je ne sais pas, j’ai commencé hier seulement à le traire, si on peut appeler
cela ainsi. Mais hier, il a tiré trois coups et aujourd’hui, seulement deux.
- Eh ! Donne lui une chance. Ça fait cinq fois en moins de vingt-quatre heures.
Même ton Jean-Claude ne devait pas pouvoir en faire autant.
- T’as raison. Bon ! C’est pas tout, ça ! Il faut que je cuisine le repas. Tu
restes avec moi ?
- Non, je dois livrer un site web cet après-midi, alors il faut que j’y aille.
Mais... je pourrais...revenir demain ?
Lucie regarda sa soeur qui recommençais à rougir.
- Aussi souvent que tu veux, je ne suis pas jalouse. Je te le réserve, si tu
veux ?
- Oh oui alors !
- Allez, à demain !
De retour chez elle, Collette sortit son petit copain du tiroir et vérifia que
les piles étaient chargées. Elle s’étendit dans son lit, enleva sa culotte et se
fourra le vibromasseur dans la chatte d’une seule poussée. Elle mit le contact
et le machin se mit à vibrer. Son autre main fût utilisée pour triturer ses
petits nichons qui commençaient à pendouiller, la gravité faisant son oeuvre
avec l’âge. Elle se défonça la chatte pendant un bon cinq minutes avant
d’exploser à son tour. Elle lécha le vibro pour le nettoyer, le rangea dans le
tiroir et pût enfin retourner à son boulot.
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Le lendemain, dès neuf heures, Collette pénétrait dans l’appartement. Lucie,
assise en robe de chambre devant un bol de café bien chaud, accueillit sa soeur.
- Eh ben, on est matinale, la frangine !
- Oui... hem... peut-être trop matinale ?
- Pas pour la causette mais pour Bertrand, il dort encore.
Tu sais quoi ? Il dort très bien depuis deux jours, lui qui se réveillait
toujours à l’aurore maintenant, il fait la grasse matinée. Je pense que...
- ... nous y sommes pour quelque chose ?
- Ouais ! Tiens ! Je l’entend bouger, je crois qu’il se réveille.
Comme de fait, Bertrand apparût dans le couloir et vint prendre place à la table
de cuisine, les cheveux ébouriffés et une grosse bosse dans le pantalon du
pyjama. Lucie nota que sa soeur ne pouvait détacher son regard de cette bosse
prometteuse. Elle se dit: “Bon ! Elle aime les jeunots et justement, Bertrand a
besoin de se détendre, si je peux utiliser cette expression, alors aussi bien en
profiter.”
- Dis, je dois faire des courses. Tu pourrais le surveiller une petite heure, je
ferai vite ?
- Oui oui ! J’ai toute la journée, je ne travaille pas aujourd’hui alors prends
ton temps.
Dix minutes plus tard, Lucie quittait pour faire les courses. Bertrand, habitué
de voir sa tante, ne parût pas traumatisé. Collette attendit que Bertrand
termine son petit déjeuner et lui demanda:
- Tu veux faire pipi ?
- Voui.
- Viens avec moi.
Collette le prit par la main et l’amena à la salle de bain. Elle lui sortit la
queue et Bertrand se plaça face au mur, près de la baignoire. Immédiatement, un
jet de pisse jaune fusa et vint éclabousser la céramique du mur au dessus de la
baignoire. Collette le regardait, à la fois fascinée et excitée. “ Merde ! Je
deviens perverse”. Quand le jet diminua de puissance et cessa enfin, Collette
posa ses fesses sur le rebord de la baignoire et remonta sa robe tout en
écartant les cuisses. Elle attira Bertrand près d’elle.
- N’aie pas peur Bertrand. Tante Collette va te faire quelque chose de nouveau
et je pense que tu vas aimer ça.
Collette empoigna la queue mince et, sortant la langue, vint lécher la dernière
petite goutte de pisse qui suintait du méat. Puis, ouvrant la bouche, Collette
fit entrer la queue de Bertrand bien au fond et entreprit de lui faire une pipe.
Bertrand adora tout de suite la nouvelle expérience. La bouche de Collette était
chaude et douce. Instinctivement, Bertrand entama une suite de va-et-vient dans
la bouche onctueuse de sa tante. Au bout de quelque minutes, il reconnût la
sensation qui précédait le moment de bonheur. Le sperme infantile gicla dans la
gorge de Collette qui, prise par surprise, failli s’étouffer. Elle tint bon
toutefois et avala le tout, comme une professionnelle. Bon Dieu que c’était
excitant et comme le gamin goûtait bon !
Quand Bertrand sortit sa queue de la bouche de sa tante, elle demeura bien dure
et continuait à pointer fièrement à la verticale. Mais Collette, trop excitée,
se releva et, baissant sa petite culotte, reposa ses fesses sur le rebord de la
baignoire. Elle releva sa robe jusqu’à la taille. Lentement, elle ramena
Bertrand à se rapprocher et le reprit dans sa bouche. Toutefois, sa main gauche
descendit vers son clitoris et tout en faisant une autre pipe à son neveu, elle
se masturba lentement. La queue de Bertrand entrait complètement dans la bouche
de sa tante. Cette dernière venait faire buter son nez sur le ventre du gamin.
Elle salivait et la queue de Bertrand devenait luisante.
Elle voulait synchroniser les orgasmes. Elle y parvint presque. Elle décolla
quelques secondes avant Bertrand qui s’épancha dans la bouche de sa tante pour
un doublé. Quand Lucie revint, les bras chargés de paquets, Collette sirotait
innocemment un café à la table alors que Bertrand regardait la télé.
****************************
Lucie nota des changements chez Bertrand: il souriait plus souvent, il semblait
moins nerveux et surtout, il appréciait la présence de Collette. Quelques jours
plus tard, Collette offrit à sa soeur de s’occuper de Bertrand pour la journée.
Elle passerait le prendre vers neuf heures et le ramènerait après dîner. Lucie
sauta sur l’occasion.
Collette passa prendre Bertrand à l’heure dite et le ramena chez elle en
voiture, même si elle ne demeurait qu’à quelques pâtés de maisons. Bertrand ne
semblait pas bander. Déçue, Collette décida de remédier à la situation. Elle
traîna le gamin dans sa chambre et enleva sa robe. Aucune réaction ! Elle se mit
totalement nue. La bosse tant attendue apparût dans le pantalon. Elle le mit
debout et lui enleva son pantalon et son caleçon. Même à genoux, Collette dût se
pencher pour le prendre dans sa bouche. Utilisant sa langue et ses lèvres, elle
commença une pipe en règle. Collette faisait tournoyer sa langue autour du gland
rose et utilisait ses lèvres pour faire friction sur le corps de la queue bien
raide. Elle fût récompensée, au bout de quelques minutes, par d’abondants jets
de foutre au fond de la gorge. Bertrand ne faiblissait pas, même après ce
premier orgasme. Collette décida de faire avancer les choses: elle attira
Bertrand près du lit et l’allongea sur le dos puis, elle prit place à ses côtés.
Elle l’attira sur elle et, écartant les jambes, elle le guida en elle.
D’instinct, Bertrand poussa sa queue dans l’antre de sa tante et y resta un
moment.
- Oh que c’est bon, mon poussin ! Tante Collette aime beaucoup cela. Vas-y,
pousse le plus loin que tu peux. T’aimes ça ?
- Voui !
- Maintenant, retire-toi un peu et ne sors pas complètement. Ensuite, reviens
bien au fond. Tu saisis ?
Pour toute réponse, Bertrand fit “oui” de la tête et obtempéra. Il fit la
manoeuvre désirée mais arrêta ensuite.
- Recommence, mon chéri. Fais-le plusieurs fois de suite.
Collette agrippa ses fesses et le guida de cette façon. Bertrand saisit
rapidement l’intérêt de la chose et se mit à pistonner gentiment sa tante. Les
hanches de sa tante venaient à la rencontre des siennes. Quand Collette approcha
de l’orgasme, ses mouvements devinrent désordonnés et elle émit des petits râles
de satisfaction qui étonnèrent Bertrand. Il cessa de bouger.
- T’as mal ?
- Non non ! Continue ! C’est si bon ! Tu peux même aller plus vite, si tu veux.
Bertrand reprit son rythme et au bout de deux minutes, Collette explosa.
Bertrand la suivit une minute plus tard. Il s’affaissa sur Collette et reposa sa
tête sur son torse. Collette lui caressait les cheveux. Elle sentit qu’il
mollissait. Cher Bertrand ! Son premier amant depuis plus d’une décennie. Elle
fit rouler Bertrand à ses côtés. Les yeux fermés, il semblait dormir mais
Collette voyait bien que ce n’était pas le cas. Sa respiration rapide le
trahissait. Ils restèrent ainsi, nus, immobiles, pensifs, pendant plusieurs
minutes. Bertrand, tout à sa découverte et Collette, tout à son orgasme
libérateur. Ce fût Bertrand qui brisa le silence.
- Pipi.
- Bien sûr mon neveu préféré. Viens, la cuvette est par ici.
Collette amena Bertrand jusqu’à la cuvette et prit place sur le rebord de la
baignoire, à quelques centimètres de la queue maintenant ramollie. Elle fit
signe à son neveu d’y aller et un gros jet de pisse presque translucide gicla
dans l’eau de la cuvette. Quand le jet cessa, Collette prit la queue dans sa
main et la tira vers sa bouche. Elle lécha la dernière goutte qui pendouillait
au bout du méat. La caresse fit rebander Bertrand, comme Collette l’avait
espéré.
- On recommence ?
- ???
- Comme tout à l’heure, dans le lit.
Bertrand se fendit d’un grand sourire.
- Voui !
Cette fois, ils y allèrent plus lentement. Collette lui montra comment caresser
se seins, comment les lécher et faire durcir les bouts. Elle guida sa main vers
sa chatte et lui montra comment préparer le terrain. Bertrand bandait sec à
nouveau. Il s’allongea sur sa tante et cette fois, elle n’eût pas besoin de lui
dire quoi faire. Il la pénétra entreprit de la baiser comme elle aimait. Il lui
donnait de vigoureux coups de rein, faisant entrer sa pinne bien à fond avant de
la ressortir jusqu’au bord et de foncer de nouveau dans la caverne chaude et
humide. Collette eût le temps de jouir deux fois avant que Bertrand ne le fasse.
Il se laissa ensuite tomber à ses côtés et cinq minutes plus tard, sombrait dans
un sommeil réparateur. Collette, au contraire, se sentait plus en forme que
jamais. Elle enfila une sortie de bain et se rendit à la cuisine pour se faire
une bouffe. Tout en préparant un sandwich, elle chantonnait un air de sa
jeunesse. Depuis quand n’avait-elle pas chanté ainsi ? Elle ne pouvait le dire,
ça remontait à trop loin.
*******************
Cela faisait bien trois jours que Collette n’avait pas rendu visite à sa soeur.
Un très lucratif contrat de dernière minute la retenait à la maison. Bertrand se
réveilla avec une érection douloureuse. Tante Collette n’étant pas là, il
rejoignit sa mère dans le lit. Lucie ne dormait pas mais en profitait pour
rêvasser. Elle souleva la couverture et fit une place à Bertrand. Celui-ci se
lova dans le dos de sa mère et Lucie sentit la pinne très dure dans le creux de
ses reins. Il passa un bras devant sa mère et lui prit un sein.
- Hé là ! On tient la forme ce matin !
- Voui !
Il lui pinça le bout et le fit tourner entre ses doigts. Puis, il retira sa main
et la fit descendre sur les fesses de Lucie qu’il caressa tendrement. Puis,
passant la main entre les fesses de sa mère, il rejoignit la chatte qui
commençait à mouiller. Il sortit sa queue du pyjama et tenta de la prendre par
l’arrière, à la paresseuse. Lucie l’aida à s’ajuster et lorsqu’il fût en
position, elle donna un coup de rein vers l’arrière pour le faire pénétrer bien
à fond. La main de Bertrand repartit vers le sein qu’il malaxa tout en baisant
sa mère. Comme c’était bon ! Il donnait de petits coups de reins et Lucie venait
à sa rencontre. Privé de sexe depuis trois jours, Bertrand explosa bien avant
que Lucie ne jouisse. Il lui remplit la chatte de son jus et s’immobilisa. Mais,
il ne débandait pas. Lucie lui laissa le temps de reprendre son souffle puis,
avec de subtils mouvements des hanches, l’incita à recommencer son pistonnage.
Soulagé de l’urgence, Bertrand prit son temps et ne jouit qu’après Lucie. Cette
dernière se cabra et le resserrement des muscles vaginaux fit exploser Bertrand
pour une deuxième fois. Lucie en fût quitte pour une douche, le sperme lui
coulant sur les cuisses et les jambes. Bertrand affichait encore une demi
érection mais Lucie décida de le laisser souffler un peu. Elle lui prépara son
petit déjeuner et malgré l’heure matinale, appela sa soeur au téléphone.
- Dis donc, Collette,... le Bertrand, tu ne lui donnerais pas des cours privés
??
- Ben ... hum...
- Remarque, je ne plains pas, c’est juste que je trouve qu’il fait des progrès
fulgurants, le petit.
- Je ... je crois que je me suis laissée emporter dans le feu de l’action.
- Justement, le feu de l’action, j’en sors à l’instant. Tu comptes passer
aujourd’hui ?
- Malheureusement non, je n’aurai pas terminé mon contrat avant trois jours
encore, c’est assez urgent et je ne peux pas me permettre de laisser le boulot.
T’as besoin de moi ?
- Non non, je trouvais bizarre que tu ne passes pas nous dire bonjour.
- Je passerai samedi, promis.
- D’accord ! À samedi alors.
Lucie raccrocha et mit de l’ordre dans la cuisine. Bertrand, dans sa chambre,
regardait une bande dessinée. Lucie, dans sa chambre, enleva sa sortie de bain
et complètement nue, rejoignit Bertrand.
- Tu as encore envie de jouer.
Bertrand tourna la tête vers sa mère et lorsqu’il constata qu’elle était nue, sa
réaction fût immédiate: la bosse dans son pantalon de pyjama prit de l’ampleur.
Lucie sourit.
- Viens avec maman, je vais te montrer quelque chose de nouveau.
- Quoi ?
- On appelle cela enculer. On va faire comme ce matin mais on va changer de
trou. Tu vas voir, tu vas aimer.
Bertrand enleva son pantalon qui, comprimant sa queue, devenait gênant. Lucie
mit la main sur l’épaule du gamin pour se diriger vers sa chambre. Bertrand lui
passa la main sur les fesses. L’avenir semblait tout à coup plus prometteur.
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