BERNIE
- Tu sais la salope qui baisait mon patron ?
Cétait Claudine, la femme dHubert qui venait de parler, interrompant la lecture de ce dernier.
- Ouais, la grosse blonde, tu men as déjà parlé.
- Ils lont foutu à la porte !
- Pourquoi ?
- Jai fait courir la rumeur quelle avait une maladie vénérienne et comme par hasard, ils ont aboli son poste et ne lont pas remplacé.
- Tas fait ça ?
- Quand on veut quelque chose, on prend les moyens pour
lavoir !
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Trois mois plus tard, Hubert et Claudine buvait leur tasse de café matinale lorsque leur fille de treize ans, Bernadette, surnommée Bernie par tout le monde sauf ses parents, apparût dans la porte de la cuisine. Le vert de sa chemise de nuit amplifiait la pâleur de son teint. Quand sa mère lui offrit de lui faire un plat, Bernie verdit et, tournant les talons, se précipita dans la salle de bain doù le bruit caractéristique dune personne qui vomit alerta les deux parents. Ils se précipitèrent à sa suite et la trouvèrent agenouillée devant la cuvette, le corps secoué de spasmes douloureux de nausées sèches.
- Pauvre petite ! Ça ne va pas ?
- Idiot ! Tu vois bien que
ça ne va pas. Laisse nous, je vais la soutenir.
Vexé que sa femme lui parle ainsi devant sa fille, Hubert retraita vers la cuisine.
- Un jour... un jour...
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Quatre mois plus tard.
- Hubert, viens dans la chambre, il faut que je te parle.
- Hé hé !! Je suis tout à ton écoute, mon amour.
- Cest sérieux, Hubert. Il faut vraiment quon cause. Ferme la porte.
- Voilà ! Quest-ce quil y a ?
- As-tu remarqué quelque chose de différent à propos de Bernadette ?
- À part le fait quelle a pris un peu de poids, je nai rien remarqué. Ça ne lui fera pas de tort de mettre un peu de chair sur ses os, elle est si maigre.
- Justement...
ce poids, elle va en perdre une grosse partie bientôt.
- Elle est malade ? Quest-ce quelle a ? Dis-le moi vite.
- Hum... Bernadette... est un peu... enceinte. Voilà ce quil y a.
- QUOI ? ENCEINTE ? À SON ÂGE ?
- Ne crie pas, ça ne changera rien.
- Je crierai si je veux ! Merde ! Quest-ce quon va faire ?
- Dabord, il faut la retirer de lécole, ça commence à se voir.
- On ne peut pas la faire avorter ?
- Non, cest trop tard.
- Pourquoi tu ne men nas pas parler avant maintenant, jaurais pu...
- Parce que je lai appris ce matin ! On va devoir décider si on garde le bébé ou si on le donne en adoption.
- Merde
!
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- Bernadette, viens ici.
Il y avait maintenant deux jours que Bernie nallait plus à lécole. Elle se tenait devant son père avec un air penaud, la tête basse.
- Dis donc, cest vrai que tu fais de la brioche. Montre-moi ton ventre.
Bernie souleva son t-shirt et Hubert lui caressa le ventre. Il remonta un peu trop haut et lui frôla un sein. Bernie ne réagit pas et Hubert récidiva de façon plus franche.
- Ça te fait mal ?
- Non papa.
- Dans combien de mois le docteur a-t-il dit que...
- Dans quatre mois si tout va bien.
- Montre-moi tes nénés.
Sans protester, Bernie souleva son t-shirt jusque sous son cou.
- Ouh la ! Ils prennent du volume. Ils sont sensibles
?
- Un peu.
Hubert y alla franchement et lui caressa un sein, insistant sur le tétin rose qui semblait durcir sous la caresse.
- Tu aimes ça quand je te caresse, hein ?
Bernie rougit en répondant:
- Oui !
Cette fois, Hubert utilisa ses deux mains pour manipuler les deux bouts roses et il vit Bernie qui fermait les yeux en gémissant, bien quil nait pas été brutal.
- Ça te fait de leffet, hein ?
- Papa, cest terrible.
- Comment ça, terrible ?
- Je ne pense quà ça !
Hubert continuait à manipuler les deux petits globes laiteux.
- À quoi ? Au bébé ?
- Non, au sexe.
- Tu as aimé ça ?
- Oui !
La
rougeur ne quittait plus le visage de la gamine. Hubert laissa les deux seins et défit le bouton du jeans de sa fille et dun mouvement habile, le lui baissa jusquau genoux.
- Quest-ce que tu fais ?
- Je vérifie si tu dis la vérité.
Il lui baissa sa petite culotte dont lélastique de la taille était soumis à rude épreuve. Puis, il lui écarta un peu les cuisses et lui passa un doigt sur sa petite fente. Le doigt revint tout humide.
- Je vois ! Tu en as envie, hein, de te faire mettre par une grosse queue.
Hubert leva la tête et regarda par-dessus lépaule de sa fille.
- Tu vois ! Je te lavais bien dit: elle ne pense quà ça !
Bernie regarda derrière elle et, à son horreur, elle vit sa
mère qui la regardait dun air moqueur.
- Je me demande bien qui elle pourrait intéresser, maigre comme elle est, avec son gros bide ?
- Moi ! Moi, elle mintéresse.
- Tes trop bon avec elle. Tu veux un peu daide.
- Certainement ! Plus on est de fous...
Claudine lui fit enlever son t-shirt et ses jeans ainsi que sa petite culotte. Son père la prit par la main et lamena dans la chambre des maîtres. Elle regarda sa mère se déshabiller totalement et sétendre dans le lit.
- Viens me sucer la chatte, petite salope. Tu me dois bien cela pour tout le trouble que tu vas me donner.
Bernie sinstalla sur le ventre entre le jambes de sa mère et pointa timidement la langue sur le clito de sa mère. Puis, elle prit de
lassurance et il alla franchement. Hubert se déshabillait en regardant la mère et la fille, surtout la fille. Elle devait avoir un petit cul bien serré et Hubert en avait souvent rêvé. Il prit un tube de gelée lubrifiante et sen graissa la queue dune généreuse dose. Il fit comprendre à Bernie de soulever les hanches et de se tenir à genoux, tout en continuant de lécher sa mère. Il pointa son gland sur le petit orifice tout rose et poussa gentiment. À son étonnement, il passa le sphincter facilement et pénétra complètement lanus de la gamine.
- Ça entre comme dans du beurre. Je te parie que ce nest pas la première fois ! Avec qui tu le fais, salope ?
Bernie quitta la chatte maternelle juste assez longtemps pour
répondre:
- Avec mes doigts, papa.
Hubert continua à lui bourrer le cul à grands coups de rein. Caroline profitait des contrecoups car en avançant, la langue de Bernie progressait plus profondément dans le vagin maternel. À certains signes, Hubert vit que sa femme approchait de lorgasme. Il accentua le rythme de sa fornication. Le mari et la femme explosèrent en choeur. Bernie les suivit dans la minute car Hubert ne décula pas immédiatement. Puis, Hubert roula sur le côté et Bernie vint se nicher entre lui et Claudine.
Hubert et Claudine allumèrent une cigarette et Bernie appuya sa tête sur le sein maternel. Claudine lui caressait les cheveux.
- Tu peux le sucer si tu veux mais il ne doit plus y avoir de lait depuis longtemps.
Hubert lui saisit un
genou et souleva sa jambe: un mince filet de foutre lui coulait du trou du cul. Il en fût ravi: elle ne se refermait pas totalement. Le temps de reprendre des forces et cette fois, il ne se retiendrait pas et lenculerait à fond. Quand il recommença à bander, il fit signe à Claudine. Elle comprit au quart de tour et fit pivoter Bernie au-dessus delle, dans la position du soixante-neuf. Elle eût une vue imprenable sur le deuxième enculage de sa fille... Hubert la bourrait de grands coups de queue et Claudine dût se masturber car elle suçait la chatte de sa fille. Celle-ci, trop courte, ne parvenait pas à rejoindre la chatte de sa mère. Hubert lencula encore pendant plusieurs minutes, car ayant déjà joui, il avait beaucoup plus de self-control. Quand il se décida à jouir,
Claudine pinça les tétines roses de sa fille et cette dernière hurla de bonheur, jouissant elle aussi de lenculade.
- À partir de maintenant, on va te baiser quand ça fera notre affaire et pour que tu sois toujours disponible, tu seras toujours nue. Compris ?
- Oui maman.
Inutile de mentionner que durant les mois qui suivirent, la vie sexuelle de Bernie fût des plus débridées.
Quelques mois plus tard, Bernie donna naissance à une petite fille de trois kilos cinq cents. Une semaine plus tard, elle était de retour à la maison. Lévènement fût fêté par une joyeuse partie de cul, Bernie se faisant enculer royalement par sa mère qui portait un
gode à ceinture tandis quelle suçait son père. Hubert
déchargea copieusement dans la bouche de sa fille dont il sétait beaucoup ennuyé. Bernie avait joui du cul, sa mère étant très habile à ce jeu. Tandis que tout le monde relaxait après ces premiers ébats, Claudine dit à Bernie:
- Quand tu seras remise, tu devras lui faire un petit frère.
Pas du tout opposée à cette idée, Bernie lui demanda:
- Quand ?
- Dans six mois, pas avant. Il faut te laisser le temps de te remettre.
- Et si cest une autre fille ?
- Alors, tu en feras un troisième.
- Qui me les fera ?
- Tu vois beaucoup dhommes ici ?
Bernie regarda son père qui bandait à nouveau.
- Ouvre ton cul pour ton père.
- Oui maman,
Hubert
senfonça brutalement dans loeillet maintenant bien élastique de sa fille. Bernie ouvrit la bouche pour crier mais Claudine lembrassa à pleine bouche, étouffant le cri naissant.
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- Dis Paulo, il te reste du GHB ?
- Ouais, une dizaine de cachets.
- Je ten prend cinq.
Hubert paya le dealer et redémarra la voiture. Sa fille navait aucun souvenir de qui lavait engrossé la première fois. Il avait bien aimé la sensation de baiser cette poupée molle et sans réflexes. Maintenant, il navait plus besoin de se cacher pour la baiser mais il navait jamais oublié cette sensation particulière. De plus, cette drogue lui avait permis datteindre son but. Il murmura pour lui-même:
-
Quand on veut quelque chose, on prend les moyens pour lavoir !
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