FUTUR GENE ETHIQUE
PAR LE MATOU
Au centre de la petite pièce, une gamine de douze ans, blonde comme les blés, les cheveux mi-
Sur un divan adossé au mur de la pièce, un homme et une femme, totalement nus, se masturbant lentement, observaient le spectacle. Au signal, la femme, qui était aussi la mère biologique de la gamine, se leva et vint se placer au-
L’homme, le père biologique, se leva à son tour et vint s’agenouiller derrière la gamine. Il bandait sec, sa grosse queue faisant un élégant et discret arc vers le haut. Il écarta les fesses de la gamine d’une main et de l’autre, pointa son engin menaçant sur l’œillet maculé de la fillette. D’une violente poussée, il l’enfonça dans le cul de la gamine qui, sous l’effet d’une telle force, enfonça son visage dans le cul de la femme devant elle. Une fois entré bien à fond, il s’immobilisa quelques secondes, le temps de positionner les genoux, puis il entreprit une puissante enculade sous les gémissements de l’enfants et de la mère qui bénéficiait indirectement de l’action de son époux. A chacun des coups de butoir, le ventre de l’homme se tachait de la merde de la gamine. Il poussait la tête de cette dernière profondément dans les fesses de sa femme. Bientôt, cette dernière ne pût se retenir et explosa de jouissance. L’homme accéléra les coups de reins et en fit autant dans l’intestin de la petite blonde. La femme se releva et, pas ingrate pour deux sous, se retourna pour faire face à la gamine. Elle écarta les jambes et se mit à lui pisser abondamment sur le visage, le torse et la tête. Le jet jaune, abondant, eût pour effet de diluer légèrement la merde qui commençait à sécher sur la tête de la gamine. Quand elle eût terminé, ce fût au tour de l’homme qui fit signe à sa compagne de prendre sa queue encore à demi-
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Le lendemain matin, l’homme et la femme prenait le petit déjeuner, assis un en face de l’autre dans la pièce servant de cuisine. Ce fût l’homme qui parla en premier:
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La femme, les cheveux en broussaille, vêtue d’un peignoir trop court, dévoilant le bas de ses fesses, lui répondit:
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La femme leva la tête de son assiette et eût un sourire carnassier.
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L’homme lui rendit son sourire:
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L’homme descendit l’escalier du sous-
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La femme enleva son peignoir en route vers la salle d’eau. Elle se mit à genoux dans la baignoire et son frère vint se placer devant elle, lui tournant le dos. Elle colla la bouche à son anus et attendit l’offrande tant espérée depuis son réveil. Quand le gros étron brun eût franchi le seuil de quelques centimètres, la femme le coupa sec d’un coup de dents. Elle le mâcha rapidement et avala goulûment. Elle se replaça sur l’anus et cueillit le reste de l’étron et cette fois, prit son temps pour le mâcher. Elle en avala la plus grande partie mais en conserva un peu entre les joues et les dents. Elle se releva et, posant les mains sur le rebord de la baignoire, fit offrande de son généreux cul à son frère. Celui-
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La femme s’allongea dans la baignoire qui se remplissait d’eau chaude à la température exacte désirée. Elle se masturba jusqu’à l’orgasme. Dans le sous-
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Le nom ne sembla pas impressionner la téléphoniste de la clinique alors que d’habitude, la mention du nom de son frère accélérait le traitement holographique. Estella ne reconnut pas la réceptionniste du docteur Wishes. La dernière fois, c’était une femme d’une trentaine d’années qui lui avait répondu et celle-
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Le docteur coupa la communication juste comme la réceptionniste revenait de le chercher.
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Estella chargea un plateau de victuailles et le descendit au sous-
Estella mit une robe appropriée à l’heure du rendez-
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Pour toute réponse, le docteur ouvrit la porte du cabinet et fit signe à la femme d’entrer. Il referma la porte derrière elle.
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Un peu surprise, car Estelle ne savait pas que la femme était la mère du docteur, elle vit cette dernière défaire la fermeture éclair du sarrau qui fut enlevé en un rien de temps. Totalement nue, la femme se tenait devant Estelle, affichant un corps bronzé et légèrement musclé, sans une once de graisse excessive. Une rouquine à la peau constellée de milliers de taches de rousseur que le bronzage ne parvenait pas à dissimuler totalement. Elle n’avait plus un poil en bas des cils.
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Le docteur la fit pivoter de cent-
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Le docteur fit un rapide calcul mental: la facture normale pour ce type de transformation génétique était de quatre-
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Estella remarqua que la femme âgée avait tiqué à la mention du prix, signe que le docteur avait fait un effort louable pour rendre le prix abordable.
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Ce dernier prit un air découragé, sa ruse avait échoué. Estella sortit du cabinet sans un regard en arrière. La mère du docteur le prit dans ses bras.
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Elle défit le sarrau du docteur et quand ce dernier fut nu, elle s’allongea sur le divan et son fils vint s’allonger près d’elle. Il prit une des grosses tétines dans sa bouche et se mit à sucer avidement. Quand sa mère posa la main sur son sexe, il bandait comme un âne. Ça tombait bien, parce que elle, elle mouillait comme une truie. Elle caressa doucement le sexe rigide pendant plusieurs minutes tandis que fiston suçait goulûment la grosse tétine maternelle. La mère se glissa sous l’homme et guida son sexe jusqu’au sien. Quand il fût bien aligné, elle retira sa main. Sans lâcher son suçon, l’homme donna un formidable coup de rein et pénétra la femme jusqu’à ce que leur pelvis respectifs entrent en collision. La femme râla de plaisir. Elle adorait les pénétrations violentes et sauvages. Il réitéra ses coups de reins encore et encore. Au bout de quelques minutes, il fût incapable de se retenir et se mit à jouir, emplissant le con maternel de son jus incestueux. Quand il eût terminé, il prit appui sur les mains, se souleva et lui murmura:
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La femme sourit, se tourna et avec les mains, écarta d’elle-
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Le portable de Roberto Baron grésilla. Il l’ouvrit et un minuscule hologramme du torse du docteur Wishes apparût.
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Le docteur lui résuma la situation. Baron le remercia puis ferma la communication.
Il ne pût s’empêcher de murmurer pour lui-
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Estella sommeillait, étendue sur le divan du living-
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La communication coupée, au lieu de se diriger vers la chambre, Estelle partit pour la cuisine et mit un tas de victuailles diverses sur un plateau qu’elle descendit à la gamine. Ensuite seulement, elle se dirigea vers la chambre et mit des vêtements de Roberto dans la valise qu’il utilisait fréquemment pour ses déplacements professionnels. À l’heure dite, un taxi vint prendre la valise.
Elle retourna à la cuisine et se prépara un souper copieux. Elle mangea tout ce qui était préparé et noya le tout dans un demi litre de yaourt nature. Puis, elle ferma complètement la maison, passa dans la chambre enlever ses vêtements, ramasser un gros ceinturon en cuir sur lequel était vissé un long gode et descendit rejoindre la gamine au sous-
Estella lança le ceinturon sur le divan et rejoignit la fillette au centre de la pièce. Elle la fit agenouiller derrière elle et lui fit signe de lui sucer la rondelle. Trop heureuse d’obéir, la gamine scella ses lèvres sur le pourtour de l’anus et joua de la langue, titillant l’œillet en attendant qu’il s’ouvre et livre passage au dessert tant attendu. Elle n’eût pas à attendre bien longtemps. Un étron brun pâle fit son chemin dans la bouche de la gamine et Estella le sectionna avant qu’il n’étouffe la fillette. Elle se redressa et la regarda mâcher la merde tout en se masturbant gentiment. Quand la gamine eût avalé, elle reprit sa position et lui pondit un autre bout d’étron. Cette fois, elle redressa la gamine et l’enlaçant, elle se mit à l’embrasser, tout en s’échangeant la merde qui passait d’une bouche à l’autre avant que la gamine se décide à l’avaler.
Ce fût au tour d’Estella de s’agenouiller derrière la gamine et de coller sa bouche à l’anus à la propreté douteuse. La gamine comprit ce qu’on attendait d’elle et après trente secondes d’effort, un long étron mince et mou passa dans la bouche d’Estella. La gamine avait moins de contrôle que l’autre et lorsqu’elle commençait à chier, elle n’arrêtait plus. Estella recueillit le surplus avec une main tandis qu’elle mâchait, la bouche pleine, Tellement pleine que ses lèvres s’ouvraient et qu’on pouvait voir le contenu tacher ses dents. Elle avala malgré le copieux souper qu’elle venait de prendre. Elle mit le reste de l’étron dans sa bouche et le mâcha tout en regardant la gamine dans les yeux, Cette dernière continuait de se masturber doucement. Quand elle eût tout avalé, Estella s’agenouilla à nouveau et colla ses lèvres sur le trou à pisse de la gamine. Celle-
Après quelques minutes de repos bien méritées, Estella déclencha le jet d’eau tiède qui nettoyait le centre de la pièce. Elle sécha la gamine et se sécha ensuite. Leurs cheveux mouillés leur collaient au visage. Estella se pencha et embrassa la gamine dont l’haleine rappelait celle d’un cheval en mauvaise santé. Elles prirent place sur le divan et Estella alluma une cigarette. Une mauvaise habitude mais comme les vaccins contre les cancers étaient au point depuis une centaine d’années, bien des vices revenaient à la mode. Elle caressait gentiment la cuisse de la blonde.
Après une pause d’une vingtaine de minutes, Estella fit lever la fillette du divan et lui mit le ceinturon de cuir en passant la courroie arrière entre les petites fesses maigres. Elle serra bien le ceinturon pour qu’il demeure en place. Elle poussa gentiment la gamine à prendre place sur le divan. Le gode pointait vers le haut entre les jambes de la gamine. Estelle s’agenouilla devant cette dernière et, lui écartant les jambes, entreprit une fellation du gode. La petite blonde sourit, elle avait déjà participé à ce jeu et savait à quoi s’attendre. Elle entreprit de jouer avec ses petits tétons en attendant que l’action commence vraiment. Au début, la tête d’Estella montait et descendait lentement, les lèvres bien serrées autour du sexe factice. Puis, tranquillement, elle accéléra le rythme. Non seulement elle accéléra le mouvement mais elle l’amplifia aussi si bien que maintenant, le morceau de plastique frappait le fond de la gorge. La petite blonde posa la main sur la nuque de la suceuse et la força à amplifier encore le mouvement. L’estomac d’Estella se révulsa et elle expulsa une première salve de vomissures sur le ventre de la fillette. L’odeur de rance et d’acidité gastrique vint chatouiller les narines de la petite blonde pendant qu’Estella reprenait son souffle. Après quelques bouffées d’air, elle replongea violemment sur le gode. Cette fois, son estomac se contracta fortement et un flot de vomi vint finir sa trajectoire sur les seins de la gamine. Elle en cueillit un peu dans sa main et le porta à sa bouche. Ce fût suffisant pour déclencher chez elle une nausée qui la fit expulser le contenu nauséabond de son estomac directement dans le visage de la femme agenouillée devant elle. Estell se souleva et poussant son visage vers l’avant, elle planta ses lèvres sur celles de la gamine et reçut le second jet directement dans la bouche. Ce fût suffisant pour déclencher son deuxième orgasme.
Épuisées toutes les deux, elles se traînèrent au centre de la pièce où il y avait un égoût à même le plancher. Estella ouvrit le jet d’eau automatique et entama une toilette essentielle. Elle n’avait pas terminé de prendre sa douche lorsqu’elle sentit que son estomac se contractait à nouveau. Rien ne se produisit. Ça ne servait à rien d’attendre d’autres hypothétiques contractions. Elle enfonça quatre doigts dans sa bouche jusqu’à ce qu’ils touchent le fond du gosier. Le réflexe nauséeux prit la relève et elle pût enfin se débarasser de l’encombrement stomacal en une régurgitation finale qui lui vida complètement l’estomac de son contenu.
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Roberto rentra dans les délais prévus mais il ne tenait pas la forme pour une partie de jambes en l’air. Le décalage horaire de neuf heures deux fois en trois jours, c’est suffisant pour assommer un cheval. Il monta se coucher après avoir embrasser sa sœur et manger un morceau. Il dormit quatorze heures d’affilée. À son réveil, après une douche rapide, il entra en communication avec le docteur Wishes.
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La communication fût coupée.
Ce soir-
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Ils passèrent dans la chambre et, ouvrant sa valise, il en en sortit une boite de fantaisie. Il la lui tendit. Elle ouvrit la boite et à l’intérieur, il y avait une magnifique poupée du dix-
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Il prit le corps et le déposât dans l’incinérateur, source d’énergie non-
Il remit la poupée dans la boite et défit ses valises. Il se déshabilla au complet et descendit au sous-
Il fit mettre la fillette blonde à genoux sur le divan et entreprit de l’enculer puissamment. Elle était “programmée” pour accepter un tel traitement et s’y soumit de bon cœur, même qu’elle y prenait du plaisir. Pas assez pour jouir mais cela, Roberto s’en balançait comme de sa première paire de culottes courtes. Il jouit deux fois dans le cul de la petite copie de sa sœur et prenant place sur le divan, il lui donna l’ordre de sucer sa queue barbouillée de merde. La gamine sourit, trop heureuse d’obéir à un ordre si clair.
Roberto l’utilisa toute la semaine de toutes les façons possibles. Puis, le dernier soir avant son rendez-
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Roberto admirait l’oeuvre de Wishes.
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Le docteur rougit sous le compliment. Il y avait mis beaucoup de soins et il était content du résultat mais de toute évidence, le client était plus que satisfait. Il regarda Baron sortir de son bureau avec sa nouvelle compagne et déjà, ils discutaient comme de vieilles connaissances. Quand on lui donnait le temps, les résultats étaient toujours positifs. M. Baron n’attendait pas à la dernière minute pour passer ses commandes, il prévoyait longtemps d’avance. Sa mère lui changea les idées en entrant dans le cabinet.
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Wishes sourit et prit place dans sa chaise à coussin d’air. Il tapota ses cuisses pour inviter sa mère a y prendre place. Il baissa la fermeture éclair du sarrau et en sortit un sein énorme. La femme le souleva d’une main et le porta à la bouche de son fils. Elle était sa vraie mère. Elle avait commencé à coucher avec son fils dès qu’elle avait constaté ses premières érections. Elle n’avait subi que trois transformations génétiques: son ossature, ses seins et son derrière. Tout le reste était naturel et venait avec le contenant d’origine.
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Pour le vérifier encore une fois, il passa sa main entre les cuisses de la femme et la posta à l’entrée de la grotte maintenant ouverte. Il mordit doucement dans la chair tendre.
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Il obéit et immédiatement, il sentit la mouille couler sur sa main. Elle aimait vraiment cela.
La femme sentait la bosse durcir sous sa cuisse.
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Immédiatement, il relâcha la pression de ses mâchoires.
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Après quelques secondes, il sentit sa main fureteuse qui se détrempait sous le jet d’urine maternelle. Son pantalon absorbait l’urine au niveau des cuisses. La femme se releva de sa position et faisant face à son fils, laissa un puissant jet de pisse fuser sur l’estomac et l’entrejambe du docteur qu’elle guidait en utilisant les doigts qui écartaient ses grandes lèvres. Cette fois, il n’en pouvait plus de se retenir. Il se leva à son tour et il poussa sa mère à s’agenouiller sur le fauteuil. Il laissa tomber son pantalon mais garda son caleçon trempé de l’urine maternelle. Il sortit sa queue par l’ouverture et l’ajusta sur le petit orifice plissé. Il encula royalement la femme, labourant le colon habitué à de tels excès. La femme ayant posées les mains sur le dossier du fauteuil, il eût le chemin libre pour passer ses mains sous les bras de cette dernière et agripper les deux mamelles qui ballotaient sous les coups de butoir du docteur. Il reprit les manoeuvres entreprises avec ses dents un peu plus tôt. Il malmena les tétins de plus en plus fort alors qu’il approchait de la jouissance. Sa mère explosa juste avant lui. Quand ce fût son tour, il poussa sa queue tellement fort que sa mère en eût un sursaut. Plusieurs jets copieux arrosèrent l’intestin malmené et calmèrent un peu l’irritation qu’une telle pénétration avait causé. Quand les contractions se calmèrent, il resta fiché dans le cul de sa mère et reposa sa tête sur le dos de celle-
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Il décula prudemment et lentement, laissant au méat le temps de se refermer. Elle ne perdit pas une goutte. Elle voulut se diriger vers la salle de toilette attenante au cabinet mais il la retint par le bras. Il l’enlaça et se mit à l’embrasser langoureusement, question de retarder le plus possible le moment de l’expulsion. Elle gigotait dans ses bras mais ne voulait pas vraiment se libérer. Finalement, quand il la relâcha, elle marcha vers la toilette en tortillant du cul. Il la suivit. Elle prit place sur le siège de toilette et bientôt, le bruit caractéristique d’une expulsion liquide emplit la pièce. Il la regardait chier sa pisse. Elle vit que sa queue encore à demi érigée, reprenait vie et qu’elle pointait maintenant vers le plafond. Plusieurs petits morceaux brunâtres la parsemaient. Qu’à cela ne tienne, elle prit par la queue et l’attira vers elle. Elle sortit la langue et entreprit de le nettoyer complètement. Elle lécha tous les recoins tout en continuant d’expulser le contenu intestinal. Quand tout fût évacué, elle se mit à chier de la bonne merde solide en même temps qu’elle mettait la queue offerte dans sa bouche. Il lui baisait la gueule de plus en plus fortement. Il n’y avait pas de danger car il y avait belle lurette qu’elle avait appris à combattre le réflexe nauséeux. Après plusieurs minutes de ce traitement, il jouit pour la deuxième fois. Elle n’eut même pas à se forcer pour avaler tellement les jets avaient atterri profondément dans sa gorge.
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Assis côte à côte dans le VTA ( véhicule de transport automatisé ), Roberto et sa nouvelle compagne se taisaient. Roberto conduisait manuellement, ayant déconnecté le cerveau de conduite. Quand ils arrivèrent sur l’autoroute, il enclencha la conduite automatique et se tourna vers sa compagne sur la cuisse de laquelle il avait posé sa main. Elle posa sa main par-
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FIN
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