Adoption (season3)
by Le Marquis
Partie2 (revoir la 1ere partie)
Mme L. :
« STP Aliz, surtout que… »
Aliz : (très vive)
« …Ceci reste entre nous. Ne vous inquiétez pas, jamais de la vie je
parlerai à quiconque de ce qui vous est le plus intime.
Je sais bien, c’est un concours de circonstances, je garderai tout ça
pour moi, que pour moi…
Je ne vous dirai pas que je vais l’oublier car je vous mentirais,
c’est vrai que j’ai été très impressionnée par cette vision. C’est la
première fois que je vois un sexe adulte sans aucun poil. Ma mère ne
s’épile pas et est très fournie de ce côté-là. Ne vous méprenez pas,
je trouve que c’est très….très joli, même si ça fait vraiment
bizarre. Oui, je pense que ça restera gravé dans ma mémoire et que
plus tard moi aussi…»
Mme L. :
« Tu es vraiment une parfaite petite! Je crois savoir que tu n’as une
mère adoptive que depuis quelques mois, non ?
Alors que ton éducation est véritablement sans contestation.
Qui t’as élevée pendant toutes les années précédentes ? »
Aliz :
« Ce sont les bonnes sœurs, mais ma mère adoptive qui est aussi ma
vraie tante, y est pour beaucoup. C’est elle qui m’a tout appris… »
Mme L. :
« En si peu de temps ? Bravo !
Je n’ai jamais pu trop longtemps discuter avec elle…
Très prochainement, j’espère. »
Presque aguichante tout en paraissant ingénue, Aliz ne cessait de
lever et baisser les yeux pour répondre à sa maitresse mais aussi
pour toujours essayer d’entrevoir, ce qui semblait désormais ne plus
être autorisé.
Toujours couleur pivoine Aurélie tenter de dissimuler ses attraits
les plus exquis. La jeune femme s’activa à vite interrompre cette
indiscrétion, toutefois bien compréhensible.
Découverte était le maitre mot de cet âge là, en tant qu’enseignante,
elle était bien placée pour le savoir…
Mme L. : (réussissant difficilement à s’exprimer)
« Ce n’est pas la peine de m’aider à me revêtir, Aliz, je me sens
complètement impotente. Laisse tomber mes affaires ! De toute façon,
il faut que je m’allonge et dans mon état, mon petit canapé est trop
étroit.
Aide-moi STP à me rendre dans ma chambre !
De là, on avisera avec ta mère. Je n’en peux plus. Il fallait bien
que ça arrive… »
C’est cahin-caha, bras dessus bras dessous, que toutes deux
rejoignirent la chambre.
Le cœur d’Aliz battait à tout rompre, allait-elle une nouvelle fois
parvenir à ses fins, en étant cette fois-ci, elle seule
l’instigatrice ?
La périlleuse tâche, bien que sous de bons augures, paraissait
toutefois assez ardue. L’enseignante, dans son état, devait penser à
toute autre chose qu’au sexe. Elle s’en était bien rendu compte
pendant le séjour au ski après toutes les sollicitations dont elle
avait témoin. Sa maitresse paraissait aveugle, tant face aux hommes
que devant la gente féminine. Et quelle timidité !
Pour couronner le tout, elle semblait encore plus chaste et pieuse
que sa mère. Et c’était peu dire…
Aliz :
« Ne vous en faites pas, tout va bien se passer, je suis là près de
vous, je ne vous abandonnerai pas. D’ailleurs n’êtes-vous pas ma
maitresse préférée ? »
Mme L. :
« Ohoo ! Aliz, arrête toutes tes flatteries pour me réconforter ! Tu
arriverais à me faire croire que c’est moi la petite fille et toi
l’adulte. »
Aliz :
« Vous ne vous trompez pas, vous verrez… Ce doit être une vocation.
Quand je serai grande, je serai maitresse d’Ecole moi aussi… »
C’est vrai qu’Aurélie se sentait réconfortée autant par les paroles
prononcées que par l’admiration que semblait lui porter la
préadolescente et aussi par la douce chaleur que, enlacées comme
elles étaient, elles se communiquaient.
Mais il fallait vite qu’elle essaye à nouveau d’appeler la mère.
Aussitôt arrivées dans la chambre conjugale, elle se fit ouvrir les
draps et difficilement s’allongea sur son côté gauche. Ces derniers
temps, elle ne pouvait dormir que de cette façon. Vite, il fallait
remonter la couverture car sa maudite chemise qui lui servirait de
vêtement de nuit, s’était encore troussée. Ce fut en suivant le
regard toujours intéressé d’Aliz qu’elle s’en était aperçu.
Tout ça était la faute à « découverte » !
Elle composa une nouvelle fois le numéro de téléphone et fut surprise
enfin d’obtenir une réponse.
La mère : (qui sortait de la salle de bain pour se rendre à sa
chambre)
« Allo ? »
Mme L. :
« Ah, enfin Mme C. ! Je suis Mme L., la maitresse d’Aliz. Je
désespérais de vous joindre. Vous n’avez pas eu mon message d’hier
soir sur votre répondeur ? »
La mère (soudainement angoissée) :
« Non pas du tout, que se passe-t-il, Aliz..... ? »
Mme L. :
« Je vous arrête tout de suite, rien d’alarmant. Seulement que nous
avons dû rentrer précipitamment, suite à un glissement de terrain qui
a endommagé nos locaux d’hébergement. Nous sommes arrivés en ville à
20h30, et comme pour les autres parents, je vous avais fixé rendez-
vous à la station de bus. Vous étiez injoignable sur votre filaire,
comme sur votre portable. »
La mère :
« Oh ! Je suis vraiment désolée mais, profitant de l’absence d’Aliz,
j’ai été très occupée et n’ai pas consulté les messages au répondeur.
Suivant vos consignes, je n’ai pas appelé au cours du séjour pensant
que tout se passait bien et qu’il fallait laisser un peu vivre nos
enfants, sans être toujours derrière. En outre, il est sûr que mon
portable ne pouvait répondre, je l’ai tombé dans la baignoire. J’ai
cru qu’il fonctionnait toujours car je pouvais appeler mais il
semblerait qu’il ne reçoive plus les appels. Il est vrai que c’est
sur lui que je comptais pour avoir de vos nouvelles car mon répondeur
ne bipe pas lorsqu’il y a des messages. Je suis vraiment confuse. »
Mme L. :
« Ce n’est pas bien grave, encore qu’Aliz commençait à s’inquiéter un
peu, elle aime tellement sa maman. Mais ça y est, elle est toute
souriante.
Nous avons toutefois un nouveau problème. Je comptais vous la ramener
chez vous mais j’ai trop présumé de mes forces.
Vous savez sans doute que je suis enceinte de 8 mois ? Alors que ma
grossesse se passait comme une lettre à la poste, ma petite fille à
venir a finalement décidé de me rappeler à l’ordre. C’est la
révolution dans mon ventre, à croire que c’est un garçon qui joue au
football avec mes organes. Mes reins ont fini par abdiquer. Moi qui
me croyais plus forte que les autres. Je sais bien, j’aurai dû
m’arrêter déjà… Mais j’aime tellement mon métier. Et votre fille me
conforte dans cette conviction, elle est adorable avec moi et tout à
mes petits soins…
J’ai dû rentrer chez moi en compagnie d’Aliz. Pour ne pas arranger
les choses, mon mari est absent et ne rentrera que demain. »
Mme C., bien que rassurée et heureuse de retrouver sa fille plus tôt
que prévu, se trouva contrariée dans la suite de ses plans à venir
pour la nuit. Il était près de 22 heures et allait juste rejoindre sa
chambre pour concrétiser des leçons d’amours qu’elle avait à peine
ébauchées. Son excitation était à son point culminant, c’était la
cerise sur le gâteau de la soirée.
Sachant qu’Aliz était en de très bonnes mains, elle ne s’inquiéta pas
et se permettrait un petit mensonge.
Ses partenaires l’attendaient avec impatience...
D’autres parts, au retour d’Aliz, qui ne la lâchait pas d’une
semelle, elle n’aurait plus cette occasion, si exceptionnelle. Une
seule fois avec la seule personne qu’elle aimait, elle réalisait
avoir eu le sexe aussi inondé.
Ces toutes dernières relations n’avaient rien à voir avec l’Amour
avec un grand A, mais elle s’était découvert ces derniers temps de
besoins sexuels très particuliers. Elle savait avoir tout le temps
ultérieurement de s’occuper de son Amour avec un grand A…
La mère : (espérant que son stratagème fonctionnerait)
« Je suis encore désolée. Comme je ne travaillais pas demain matin,
j’ai amené mon véhicule à la révision périodique et il ne sera
disponible qu’en fin de matinée.
Mais bon je vais essayer de trouver un taxi…(pourvu que ça marche,
se dit-elle) mais je risque de me retarder, à cette heure-ci c’est
difficile… »
Mme L. :
« Ne vous tracassez pas. Aliz peut passer la nuit ici. Elle dormira
dans le canapé. Elle est si facile à vivre. Au moins je ne serais pas
seule jusqu’à l’arrivée de mon mari. Je pense qu’elle sera d’accord,
je vous la passe… »
Aliz :
« Allo, maman ? Ne te fais aucun souci, je vais bien. Il n’y a pas de
problèmes, je peux rester cette nuit chez ma maitresse. Je t’aime
très fort. Tu m’as beaucoup manqué, mais un jour de plus ou de moins
ce n’est pas grave. Nous avons tout le temps d’être ensemble.
Mme L. n’est pas vraiment bien, c’est la première fois que je la vois
comme ça. Je pense aussi qu’il vaut mieux qu’elle ne reste pas seule
dans son état. »
La mère :
« Tu m’as beaucoup manqué aussi. Heureusement que j’étais très
occupée. Occupe-toi bien de ta maitresse et reviens-moi vite. Suis-je
bête, je viendrai te récupérer vers 12h.
Et sois sage, à demain… »
Pourquoi lui avait-elle dit cette dernière phrase, se dit-elle, en
même temps qu’elle l’exprimait ?
Elle n’allait tout de même pas penser qu’Aliz pouvait….avec sa
maitresse…
Il était vrai que sa fille était tellement délurée depuis qu’elle
avait connu les plaisirs du sexe…
Tout de même pas, voyons….cette jeune femme, même si elle était
ravissante, était enceinte.
Seigneur ! Que lui arrivait-il ? Ce devrait être plutôt son propre
état d’esprit qu’elle devait surveiller. Elle s’attacha son
accoutrement très viril et entra dans sa chambre…
Partie3
Mme L. :
« Bon te voilà rassurée. Tu peux aller dans la salle à manger
t’étendre dans le canapé. Ah ! J’avais oublié, je n’ai plus de
couverture, j’avais tout amené au pressing avant de partir. Prends la
mienne, je me contenterai du drap. »
Aliz :
« C’est hors de question ! Je ne peux vous laisser vous geler dans
votre état. Je resterai habillée, ce n’est pas grave… »
Mme L. :
« Cette fois-ci, c’est moi qui m’y refuse. Prends cette couverture en
vitesse et file te coucher… »
Aliz :
« Non, non et non ! Pour une fois, je ne vous obéirai pas. Mais ce
n’est pas par insolence.
J’ai une meilleure idée je n’ai qu’à rester ici comme ça, je pourrai
mieux vous surveiller et aucun de nous trois n’auront froid. Le lit
est amplement suffisant pour trois personnes. »
Mme L. :
«Tu dois mal compter, mon mari ne va pas rentrer cette nuit. Tu veux
dire deux, non ? »
Aliz :
« Pas vraiment, je ne me serais jamais permise de faire cette
proposition. Je parlais de nous trois, votre futur bébé compris. Nous
serons entre femmes, vous, moi et votre petite fille à venir. Et
naturellement, ceci restera entre nous… »
Mme L. ne pouvait à nouveau s’empêcher de rougir devant la
proposition. Il s’agissait de son lit conjugal qu’elle partageait
exclusivement avec son mari. Mais bon, il ne s’agissait que d’une
gamine. Et son mari n’avait qu’à être là et être plus attentionné.
Cette attention si désirée que lui offrait indéniablement la
délicieuse enfant, était confondante. Enfin quelqu’un pour qui,
malgré ses huit kilos en plus, elle comptait vraiment…
Mme L. :
« Soit ma chérie, tu sais vraiment être convaincante. Allez grimpe
dans le lit ! »
Aliz ne se posa pas de questions, elle se défit de son pantalon et,
gardant son tee-shirt, plongea joyeusement dans le lit.
Elle avançait à petit pas, mais très sûrement…
Surtout ne pas effaroucher sa trop vertueuse maitresse !
Avant qu’Aliz ne se soit introduite sous les draps, Aurélie se
contorsionna dans le lit pour tenter de retirer son soutien-gorge
qu’elle retirait habituellement avant de dormir. Naturellement, elle
évita d’ôter ou de déboutonner sa chemise. L’effort lui arracha
plusieurs geignements. Elle insista mais gémit de douleur ce qui
finit par inquiéter Aliz qui lui demanda ce qu’elle avait l’intention
de faire.
Mme L. :
« Ça va aller, je vais y parvenir. Je dois retirer mon soutien gorge
pour dormir, et particulièrement ces derniers jours, car mes seins
ont pris du volume. Il faut que je change de soutien gorge, il me
serre trop désormais. Ahaaa.. »
Elle ne réussit qu’à se plaindre davantage. Quand elle essayait de
passer les mains derrière son dos, les douleurs revenaient
lancinantes et son bébé en rajoutait à coups de pieds comme s’il
n’appréciait pas qu’elle gigote.
Profitant de cette nouvelle aubaine qui lui était innocemment
apportée sur un plateau d’argent, Aliz réagit rapidement pour que la
chaste dame, toujours trop de pudeur recouverte, n’eut le temps de
l’interrompre.
Sans demander une quelconque autorisation, soulevant le drap, elle se
plaça derrière son dos et à la vitesse de l’éclair, passa les mains
sous la courte chemise.
Mme L. :
« Mais… »
C’était déjà trop tard pour protester. Le mal était déjà fait.
Si on pouvait le définir ainsi…
Plainte il y eut, mais point de douleur. Ce fut un « ohooo ! » au
lieu d’un « ahaaaïe ! » qu’Aliz fit semblant de prendre pour un «
ahaaaïe ! » habituel de souffrance.
Aliz :
« Pardon ! Je vous ai fait mal ?
Mme L. :
« Un peu, c’était plutôt la surprise… Ohooo…attention…»
Surprise et plus que ça, Aurélie L. ne s’attendait pas à une telle
réaction d’Aliz. Elle n’avait même pas eu le temps de bien descendre
pudiquement sa chemise vers le bas, que cette dernière déjà entrait
dans le lit en soulevant les draps.
C’était irrémédiable, la jeune enfant ne pouvait qu’avoir la vue
directe sur son derrière bien cambré complètement à l’air libre.
Comme si la gosse ne l’avait pas remarqué, bien qu’il soit très
imposant, ses petites mains tièdes le frôlèrent furtivement avant de
passer sous la chemise et atteindre les attaches de son soutien
gorge.
La maitresse d’Ecole n’eut même pas le temps de donner ou non son
aval à la chose que déjà c’était fait.
Que ces petites mains étaient douces et chaudes !
Comme elle aurait aimé que ce soit son mari qui fut là, à la
caresser !
Dans le cas présent, bien qu’étant fait si délicatement, elle ne
pouvait l’assimiler à une caresse.
Mais n’était-elle pas en train de divaguer ?
Il ne s’agissait que de détacher les agrafes.
Mais quel magnétisme dans ces mains !
Et quelle honte d’avoir de telles pensées !
Heureusement encore qu’Aliz ne pouvait voir son visage qui à nouveau
devait être cramoisi…
A ce stade, la rapidité d’Aliz pour dégrafer les attaches décrut
rapidement. La chose était bien sûr intentionnelle, comme si elle
avait des difficultés à s’en dépêtre à cause de son inexpérience.
Ce qui était totalement faux, car ces dernières semaines elle était
devenue experte à délier ce même type d’attaches qu’utilisait sa
tendre mère adoptive. L’occasion était trop bonne pour ne pas
profiter de promener ses doigts dans un lieu si sensible. Les efforts
qu’elle semblait prendre lui permettaient de se coller davantage
contre le cul dénudé (et pour cause) de la jeune femme qui paraissait
de plus en plus embarrassée.
En effet, ses « ohooo » étaient autant d’offuscation que de plaisir
caché.
Ils ne trompaient pas Aliz, qui faisait toujours semblant de croire
que c’était de douleur…
Aliz :
« Désolée, j’ai quelques difficultés par manque d’habitude mais ne
vous en faites pas, je suis en train d’y arriver. »
Au bout d’un laps de temps, elle y parvint. Elle ne pouvait plus
simuler davantage sans démasquer ses véritables intentions. En
dégrafant, emportées par la lourdeur de seins, les lanières lui
échappèrent. Presque déjà une promesse du confort qu’ils pourraient
lui procurer, si tout devait arriver comme elle le complotait...
Pour le retour, cette fois au contraire, elle descendit beaucoup plus
lentement ses mains, dans la même dissemblance qu’avait le jour et la
nuit avec ce qu’elle avait précédemment fait pour y accéder. Puis,
elle fit mine de tirer pudiquement la chemise pour recouvrir les
somptueuses fesses qu’au passage, presque imperceptiblement,
malicieusement, elle griffa.
C’était une nouvelle victoire car, sous les draps, la chaleur
semblait être montée de plusieurs degrés.
Il ne lui semblait pas se tromper, mais après un léger frisson ces
chairs brûlantes, dont la surface, sous la perverse griffure, était
devenue étrangement granulée, vinrent un bref instant à la rencontre
de ses mains et puis vite se dérobèrent.
Après un soupir des plus mystérieux, Mme L., pour ne plus se laisser
surprendre, ne laissa plus Aliz prendre l’initiative. Par
l’échancrure de son décolleté, imitant la même vitesse qu’avait eue
son élève, elle retira complètement son soutien-gorge aux balconnets
blancs de dentelle ancienne et le posa sur la table de nuit.
Elle n’arrivait pas à comprendre pourquoi elle se sentait si excitée.
Comme elle aurait aimé que ce fût son mari qui lui fisse éprouver de
si bizarres sensations ! Ce soir, singulièrement, son absence la
faisait cruellement souffrir…
Tournée dans le même sens, chacune paraissait être en route vers
l’endormissement.
Côté Aliz, ce n’était qu’apparence. Elle attendait désespérément que
le sort continua à la favoriser comme il savait si bien le faire
depuis quelques mois…
Le signe arriva plus vite qu’elle ne l’eût espéré.
Ce fut un nouveau cri de souffrance de la maitresse d’Ecole…
Mme L. :
« Ahaaa ! »
Aliz :
« Ça ne va pas, maitresse ? »
Mme L. :
« Ahaaa ! Mais ce n’est pas possible, bébé veut ma peau ! Il pousse
avec ses deux pieds, juste au dessus de mon nombril. »
Enfin ! Aliz avait là le bon prétexte qu’elle attendait. Elle
commençait à ne plus l’espérer…
Se collant au dos de sa voisine tout en lui posant la main sur
l’épaule, elle supplia :
« Oh, Madame ! Je vous en prie laissez-moi le sentir. Je me demande
comment ça fait, je n’ai jamais, je n’ai jamais… »
Mme L. :
« D’accord, d’accord, calme toi ! Mais il est fantasque et ses coups
de boutoir sont imprévisibles. Donne-moi ta main, je vais te guider
vers où il se manifestait. On sent toujours ses pieds mais il a l’air
de s’être calmé. »
Entourant le gros ventre, la main parvint difficilement à atteindre
son objectif. C’était juste au dessus du nombril. Faisant mine
d’avoir le bras trop court, Aliz se colla davantage au dos de sa
maitresse.
Tâtant au dessus de la chemise, Aliz sentit une légère poussée mais,
mesquine, mentit en disant qu’elle ne sentait rien. Elle fit semblant
alors de chercher tout autour, en dissimulant toujours qu’elle le
sentait bouger. Ce fut donc, de sa part, une nouvelle caresse qui,
bien sûr, ne lui suffisait plus, car par-dessus la chemise. Lorsque
ses doigts détectèrent entre deux boutons, une entrée à l’intérieur
de la chemise, elle n’hésita pas un instant :
« Ce doit être à cause du vêtement que je ne le sens pas, je peux ? »
Tombant dans le piège, mais aussi s’en faisant complice car
franchement, les petites mains douces la soulageait, mieux encore en
les sentant sur sa chair nue, Mme L. consentit, après coup, à ce
petit privilège.
Et tout de suite, elle ne le regretta pas.
Ce premier point douloureux se trouva bien apaisé. Le massage était
efficace et très agréable.
Mais tout d’un coup, elle poussa un second cri.
D’emblée, il fut suivi de la question d’Aliz :
« Où c’est, où c’est ? »
Mme L. :
« Ahaaaïe ! Juste un peu plus haut sur la droite. »
Aliz : (malmenant le chemisier)
« Ah oui ! Je la sens, je la sens…..mais c’est qu’elle est vigoureuse
cette fifille. Je vais la calmer. Là, là, doucement mon bébé… »
Suavement, elle se mit à masser avec grand zèle la partie «
agressée ».
Effectivement, peu à peu, les trépignements semblèrent s’espacer et
s’apaiser.
Au contraire des bouts de seins de la future maman, qui à chaque
mouvement circulaire se retrouvaient frôlés intentionnellement par le
dos de la main d’Aliz.
Cette dernière jubilait, elle identifiait parfaitement les bouts de
mamelon qui semblaient n’avoir d’autre ressource que de se laisser
taquiner par le dos de sa main.
Aliz n’avait plus à étirer son bras, ce qui ne l’empêcha pas de se
coller davantage au corps de sa voisine allant même jusqu’à insérer
son genou, puis sa jambe entre les cuisses ardentes légèrement
séparées…
De quoi mettre sa propre petite chatoune bien au chaud. Elle fit
mieux encore, pour mieux savourer le contact inter-génération…
Furtivement, de son autre main, elle tira sur l’élastique de sa
petite culotte, pour mettre le tissu recouvrant son sexe sur le côté.
Mme L. ne s’en rendrait compte que quand il serait trop tard… Par
contre Aliz, n’eut pas cet inconvénient. Et déjà, elle sentait…
Oui, elle se sentait extrêmement trempée.
Plus les véritables douleurs s’apaisaient, plus les « ohooo »
allaient en crescendo, plus encore Aliz faisait semblant de croire
qu’il s’agissait de plaintes.
Mme L. ne se doutait pas qu’Aliz agissait en connaissance de cause et
était particulièrement consciente de la véritable signification de
ses gémissements. Ses pensées commencèrent à nouveau à errer.
Si ce pouvait être son mari qui la câlinait ainsi !
Comme d’un seul coup, elle ressentait le besoin de son phallus au
fond d’elle, la transperçant encore et encore…
Mais que se passait-il ? Bébé semblait pousser vers le bas, son pied
pointait au dessous de son nombril et la main mutine prenait le même
chemin, à sa suite.
Par fortune, bébé se calmait à nouveau au rythme des mouvements
circulaires.
Bébé oui, mais maman de moins en moins…
Enfin ! Bébé semblait vouloir s’endormir.
A l’inverse, bien que figée, la maman s’éveillait, yeux injectées de
sang, exorbités. La petite main innocente semblait à la recherche de
tout mouvement du bébé, presque imperceptiblement de plus en plus
bas…
Mais qu’allait-elle s’imaginer, ne confondait-elle pas plaisir
malsain et réalité ?
Bien que les cuisses de l’adulte fussent à peine séparées, lentement
presque sans que la femme les y autorise, elles s’écartèrent ; et le
petit genou put remonter jusqu’enfin toucher le bas d’un sexe, très,
très humide…
En même temps, la petite main finit par atteindre le haut du mont de
Vénus. Se retrouvant ainsi assiégées, les cuisses pleines s’ouvrirent
tout en grand.
Conquérants, des petits doigts inquisiteurs finirent alors par
éhontément s’infiltrer entre les grosses lèvres détrempées pour
dénicher un clitoris saillant fièrement de son capuchon,
terriblement durci…
Mme L. Aurélie ne put retenir le tumulte puissant de son orgasme où
se mélangeaient les « ahaaa, ahaaaïe » comme les « ohooo », et les «
ma chérie, ma chérie, mon petit amour… »
Jamais de sa vie, elle n’avait joui aussi vite et avec une telle
impétuosité.
En même temps que diminuaient les secousses et les geignements, on
entendit la voix enfantine d’Aliz qui chantonnait :
« Ceci restera entre nous Maitresse, ceci restera entre nous… »
Madame L. était abasourdie…
Combien maintenant, Aurélie n’avait plus besoin de son mari, plus
besoin qu’il ne la possède !