Quelques souvenirs personnels (1 et 2) (par Bougnat) (b/g)
(reformaté)

title: Quelques souvenirs personnels
part: 1 et 2
author: Bougnat
keywords: b/g
language: Francais
age_fille: 08 ans
age_garcon: 08 ans
first_published: 02/01/2004


Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues' le 11 décembre 2003.
( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires )

Toutes nos histoires sont purement imaginaires.
Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte ne serait que coincidence.



Forum des Histoires Taboues:

Quelques souvenirs personnels

Posted on 11/12/2003 at 09:43:54 PM by Bougnat

Juste quelques souvenirs de gosse. 





Ma soeur est de quinze mois mon aînée. Du plus loin de mes souvenirs je ne me
souviens pas m'être disputé avec elle. Nous étions assez facétieux tous les
deux, papa travaillait la nuit et dormait le jour, maman était souvent au
magasin ou par monts et par vaux quand papa était là, c'est grand-mère qui
nous gardait. Avec ma soeur nous étions toujours entrain de chercher le moyen
de la faire tourner en bourrique ! Ce n'était pas difficile à son age, elle
avait soixante-dix-huit ans quand je suis né. 

Avec ma soeur je jouais à ce qu'elle avait décidé, c'est le privilège des
aînées ! Je me souviens qu'elle aimait bien jouer au papa et la maman avec une
de ses poupées. Evidemment j'étais le papa et je devais me plier à toutes les
fantaisies de madame ! A quatre ans, avoir une femme de cinq qui grandi deux
fois plus vite que soi, présente quelques désagréments dont je m'accommodais
fort bien à l'époque.

Le papa allait faire les courses chez l'épicière, la maman faisait à manger
avec la petite dînette pendant que le papa attendait ! La maman changeait le
bébé et lui donnait ses seins pour le faire boire, le papa emmenait le bébé
chez le docteur qui le déshabillait et l'auscultait longuement sous l'oeil
attentif du papa ! Après le bébé, le docteur examinait le papa qui était d'un
coup très malade et je me retrouvais sans caleçon le zizi à l'air !

Avec ma soeur il fallait recommencer trois ou quatre fois la même journée avec
pour seule variante : la maman réprimande le papa qui n'a pas rapporté de chez
l'épicière ce qu'il fallait pour faire à manger. C'était à peu de chose près
ce que ma soeur avait retenu de la vie familiale !

Quand enfin le soir arrivait, la maman allait coucher le bébé et allait dormir
avec le papa. On se mettait tout nu sous un édredon et ma soeur me serrait
contre elle et me donnait pleins de bisous. J'étais si bien dans ses bras que
j'aurais vidé cinq fois les poubelles si elle me l'avait demandé, à l'époque
on ne vidait pas les poubelles ! Pour moi, la nuit du papa et de la maman
était toujours trop courte, j'étais si bien serré contre ma soeur ! En général,
nous entendions grand-mère qui nous cherchait et s'était l'heure de se lever.
Le jeu consistait désormais à se cacher pour la faire monter et descendre de
la cave au grenier. Trois étages c'était pénible à son age ! Elle renonçait
assez vite et quand elle reprenait sa couture on se précipitait sur elle pour
essayer de lui faire peur ! Elle nous traitait de vauriens mais nous donnait
malgré tout, un bonbon ou une friandise. 



Nos jeux n'ont pas varié jusqu'à l'école ; ma soeur a trouvé des copines un an
avant moi et je me suis retrouvé quelquefois avec deux mamans qui jouaient
sans trop se soucier de moi ! Je ne me souviens pas, si les deux mamans
allaient coucher le bébé ? 

Comme beaucoup, j'ai attendu six ans pour avoir moi aussi des copains à l'école
communale. Nos jeux ont beaucoup changé ! Pour les garçons à l'époque, c'était
plutôt les gendarmes et les voleurs ou les cow-boys et les Indiens.
Quand ma soeur était seule avec nous, elle était assez vite attachée toute nue,
au poteau de torture avec deux ou trois gamins qui faisaient la danse du scalp
autour d'elle ! Cela m'a valu quelques fessées retentissantes que j'oubliais
très vite ! 

C'était le temps du parc d'enfant, à deux pas de la maison. Un espace de jeux
inoubliable avec sa piscine et son théâtre guignol où il y avait une armée de
surveillantes avec des sifflets qui nous réprimandaient à la plus petite
bêtise ! Nous étions tous copains en deux minutes, les garçons comme les
filles, tout ce petit monde s'oubliait à la sortie pour en trouver des
nouveaux, le lendemain. Il y avait là plus d'un hectare de jeux de toutes
sortes, pour nous c'était le paradis !

Les jours de pluie je retrouvais ma soeur et nos jeux habituels. Il lui
arrivait d'avoir deux papas et ce n'était plus elle qui faisait l'épicière et
le docteur ! Elle devenait la malade et posait sa culotte pour se faire
soigner avec un des papas. Quand arrivait l'heure de coucher le bébé et les
parents, je crois que s'était-elle qui avait le meilleur rôle ! Chaque fois ma
soeur avait deux garçons pour la couvrir de baisers de la tête aux pieds. Je
suis sûr qu'elle adorait çà parce que la nuit durait beaucoup plus longtemps !

J'ai le souvenir d'avoir bandé pour la première fois dans une de ces
occasions. Je revoie ma soeur étonnée de s'apercevoir que le zizi des garçons
double de taille et devient tout raide ! Elle a découvert la peau qui descend
pour laisser découvrir une petite boule rose toute brillante. Je l'entends
encore nous dire : Ca ressemble à une sucette ! Elle a retroussé la peau de
mon copain et elle a pris son gland dans sa bouche. Elle a eu un mouvement de
recul : C'est pas aussi bon que les sucettes ! Elle a le goût de pipi !
C'était son premier essai elle n'avait pas encore huit ans.

Ma soeur avait du raconter l'aventure à sa copine Arlette. Un après-midi, je
me souviens qu'il faisait chaud, on s'était baigné à la rivière vers trois
heures. Les filles n'avaient qu'une culotte et une petite robe légère, avec
mon copain nous avions posé nos chemises pour faire un but de foot et on se
tirait des penaltys chacun notre tour dans le parc qui est en face de notre
maison. Ma soeur est venue nous appeler. Je n'avais pas plus envie que Gérard
de jouer au papa et la maman. Elle a trouvé la plus belle des excuses pour
nous décider : Grand-mère a préparé les quatre heures, elle a fait des crêpes !
Nous avons tous eus une crêpe et un morceau de pain avec un peu de confiture.
Ma soeur nous a entraîné dans la mansarde deux étages plus haut,
grand-mère ne monterait pas nous déranger ! Nous n'avions pas fini nos goûters
que les filles avaient posé leur robe et déboutonnaient nos shorts. Personne
n'a été chez l'épicier ni à la dînette, nous sommes passé de suite au docteur !
Les filles nous ont tripoté le zizi pour nous faire bander et Arlette plus
curieuse ou plus hardie que ma soeur m'a sucé le gland sans dire qu'il n'était
pas bon. Quand elle passait sa langue dessus trop fort j'avais des sensations
pas désagréables mais c'était insupportable et je sortais mon zizi de sa
bouche ! Ma soeur s'est décidée à sucer celui de Gérard. Je ne sais pas
pourquoi mais j'ai voulu lécher le minou de ma soeur ! Je l'avais déjà regardé
de près quand j'étais le docteur, j'avais déjà écarté ses deux lèvres pour
voir comment c'était dedans. J'ai glissé ma langue à l'intérieur et je n'ai
pas trouvé que c'était mauvais. J'ai fait pareil à Arlette et Gérard a voulu
essayer ; cette fois c'est lui qui a trouvé que ce n'était pas très bon et il
a rentré un doigt dans le minou de ma soeur.

Arlette savait comment les papas embrassent les mamans et elle nous a montrés
comment glisser la langue dans la bouche de la fille. Elle avait aussi
découvert comment se faire plaisir en se caressant le minou avec le doigt,
elle a montré à ma soeur qui a du se faire jouir car juste avant de s'arrêter,
elle a poussé un petit cri ! Avec mon copain nous avons tout appris le même
jour, sauf que l'on pouvait, nous aussi, se faire jouir. Les filles ne nous
retroussaient le gland pas assez longtemps ou nous étions encore trop jeunes
pour en arriver là ! Le manège a duré tout l'été et pendant un an nous n'avons
rien découvert de plus si ce n'est qu'on donnait un gros plaisir aux filles en
leur suçant le tout petit zizi de rien du tout qu'elles avaient en haut de
leur minou. Moi j'aimais bien aspirer les deux petites langues qui étaient
accrochées après leur petit bouton, elles grandissaient beaucoup, surtout
celles d'Arlette, j'arrivais à les faire sortir de deux ou trois centimètres.
C'était rigolo son zizi et ses deux langues toutes roses qui sortaient entre
ses cuisses je pensais qu'elle devenait un peu garçon et elle aimait vraiment
çà ! 


--


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Quelques souvenir (suite)

Posted on 11/12/2003 at 09:47:30 PM by bougnat



A la rentrée des classes je suis rentré au cours élémentaire deuxième année,
j'allais avoir huit ans. J'ai appris que le zizi s'appelait une bite et qu'il
fallait se branler pour se faire un gros plaisir. J'ai essayé tout de suite
dans les cabinets de l'école. J'ai vibré de partout quand je me suis fait
jouir, çà c'est meilleur que tout ! Je suis vite aller raconter tout çà à mon
copain Gérard. En rentrant à la maison, avant de faire mes devoirs, j'ai voulu
montrer ma trouvaille à ma soeur. Je l'ai entraînée dans le charbonnier, j'ai
ouvert ma culotte et je me suis branlé devant elle. Quand j'ai jouis, je lui
ai demandé tout content si elle m'avait vu jouir ? Ma soeur n'avait rien vu
hormis que je secouais mon zizi ; un peu déçu, je lui ai avoué que les garçons
à l'école m' avaient appris à me branler et que ça faisait un gros plaisir
dans le corps jusque dans la tête et je croyais que cela se voyait ! Sûrement
un peu excitée par mes plaisirs solitaires ma soeur a relevé sa robe, baissé sa
culotte et elle s'est caressée son minou avec le doigt. Je lui ai demandé
candide si çà lui faisait un gros plaisir comme à moi ? Elle m'a dit qu'elle
avait un grand plaisir quand elle frottait sa petite boule en haut et que çà
lui faisait vibrer tout le ventre au bout d'un moment. Sans demander plus
d'explication j'en ai déduit que les filles devaient jouir comme moi avec leur
tout petit zizi. 

On a trouvé la fin aux grandes vacances. Avec Gérard nous avions fait une
cabane dans les buissons au bord de la rivière ou nous allions avec ma soeur et
Arlette. Elle était bien cachée et il fallait se baisser pour passer sous des
branches, un long couloir avant d'arriver, elle était grande pour nous quatre
et personne ne pouvait nous voir. Un jour que nous allions nous baigner, en se
faufilant dans l'étroit corridor ma soeur est tombée nez à nez avec un monsieur
couché sur une fille. Tous les quatre on était dans la cabane quand le
monsieur s'est relevé : " foutez-moi le camp d'ici ! "

" Mais c'est notre cabane m'sieur ! C'est moi qui l'ai faite avec Gérard pour
mettre nos habits ! "

Ils étaient tout nus, le monsieur avait plein de poil autour d'une bite
énorme et toute mouillée qui pointait tout droit en bas de son ventre, jamais
je n'aurais imaginé en avoir une comme çà un jour. La fille avait peut-être
quatorze ou quinze ans, elle aussi avait plein de poils noirs en bas de son
ventre. Je n'ai pas trouvé ça beau, je préférais le minou de ma soeur ou celui
d'Arlette. Elle était rouge comme une écrevisse et essayait de cacher ses
seins et son minou avec ses mains. 

" Foutez-moi le camp le temps qu'on s'habille, je vais vous la rendre votre
cabane. "

Au bord de l'eau j'ai demandé à ma soeur si elle avait vu ce que le monsieur
faisait à la fille. Elle nous a dis qu'il avait mis sa bite dans le minou de
la fille et qu'il l'a sorti quand nous sommes arrivés. Nous avons attendu
longtemps et ils ne sortaient pas de la cabane, Gérard, assez téméraire s'est
glisser sans faire de bruit jusqu'à la cabane ; il est ressorti tout de suite,
ils étaient partis ! On n'a jamais su par où ils étaient pass és. Nous avons
quitté nos habits et on ne s'est pas baigné très longtemps. Peu rassurés nous
sommes rentrés à la maison retrouver grand-mère. Maman était là, elle a hurlé
après ma soeur parce qu'elle avait sali sa robe et après moi pour je ne sais
quoi. Le jeu était fini, maman nous a trouvé quelque chose à faire. 

Depuis le printemps, papa nous avait installé deux lits dans la mansarde et
nous ne dormions plus dans sa chambre. Avec ma soeur nous étions bien
tranquilles là haut, nous avions chacun notre lit et personne ne venaient nous
dé ranger. L'été sous le toit, il faisait une chaleur infernale ! Le soir ma
soeur dormait toute nue sans sa chemise de nuit et elle est venue avec moi dans
mon lit, elle m'a posé mon pyjama et nous avons joué à touche pipi un moment.
Quand elle a eu son plaisir dans le ventre elle a voulu que je me mette sur
elle comme le monsieur dans la cabane. Ma bite était longue et dure et ma soeur
m'a demandé de la mettre dans son minou. La première fois c'est très
difficile, ma soeur n'écartait pas assez ses cuisses et moi je ne savais pas
comment rentrer là dedans. Qu' est-ce qu'on a rigolé tous les deux, j'avais
peur que maman nous entende et vienne nous mettre une fessée ! On ne se
décourageait pas pour si peu, ma soeur à pris ses cuisses à deux mains et elle
s'est ouverte toute seule. Couché sur elle ma bite n'était pas assez longue
mais en équilibre sur un bras, j'ai réussi à glisser avec ma main ma bite dans
son minou. Je n'ai pas compris tout de suite qu'il fallait la rentrer et la
sortir et ma soeur ne savait pas non plus mais j'ai assez vite compris qu'en
avançant les reins et en serrant les fesses c'était bien mieux. Le minou de ma
soeur m'a fait jouir bien plus vite que mes doigts et j'ai vibré jusqu'aux
cheveux. Je peux l'avouer maintenant, c'est le meilleur souvenir de ma vie !
Ignorant de toutes ces choses, j'ai voulu savoir si ma soeur avait eu un grand
plaisir comme moi ? 

" Ca me fait comme quand je rentre mon doigt, j'aime bien tu ne veux pas
continuer encore ? "

J'ai recommencé d'entré et sortir et ma soeur m'a fait jouir trois fois avant
que ma bite redevienne toute petite. J'ai sucé son petit bouton jusqu'à ce
qu'elle serre ma tête entre ses cuisses et j'ai trouvé que son minou sentait
très bon. Nous nous sommes endormis serré l'un contre l'autre après s'être
couvert de baisers. Nous étions très heureux, j'avais huit ans, ma soeur en
avait neuf. 



Trop heureux d'avoir trouvé quelque chose de merveilleux, ma soeur a fait voir
à sa copine Arlette et j'ai mis ma bite dans son minou ; elle m'a fait jouir
autant que celui de ma soeur. Deux filles pour un seul garçon je n'ai pas
trouvé que c'était très bien, il y en a toujours une qui regarde en se
caressant et elle est triste d'ê tre seule ! Quand on était tous les quatre
avec Gérard c'était bien mieux, que se soit avec l‘un ou avec l'autre, les
filles avaient toujours un garçon pour se faire plaisir. J'apprenais que la
vie est bien plus belle quand on est par deux ! Jusqu'à la fin des vacances ma
soeur est venue dans mon lit ou c'est moi qui allais dans le sien et chaque
nuit, c'était le même bonheur pour nous deux.

Un après-midi de septembre, nous sommes rentés avec ma soeur plus tôt que
prévu de chez ma marraine, grand -mère faisait ses éternels travaux de
couture, pour qu'elle ne nous voie pas monter dans notre chambre nous sommes
passé par la cave, je suis monté avec ma soeur sans faire de bruit. Dans la
salle à manger nous avons vu maman accoudée sur la table, cul nu, la robe
rabattue sur son dos avec un monsieur, le pantalon sur les chaussures entrain
de lui mettre sa bite entre les fesses ! Il a sorti sa bite en se tournant
pour qu'on ne la voie pas, en disant à voix basse : " Tes gosses ! "

Maman s'est relevée, elle est devenue toute rouge en nous voyant devant elle.
Elle s'est boutonné et a baissé sa robe sur ses fesses. Elle n'a pas crié
comme elle faisait d'habitude, c'est presque avec une voix douce qu'elle nous
a dis : " Qu'est-ce que vous avez vu tous les deux ? …C'est pas ce que vous
croyez ! … Mais il ne faut rien dire à papa, il serait très malheureux… " et
beaucoup de trucs que l'on n'a pas compris avec ma soeur. J 'étais persuadé que
maman nous donnerait une fessée en criant que l'on avait rien à faire ici et
nous avons filé dans notre chambre avec ma soeur. C'était bien la première fois
que maman ne nous criait pas après ! Elle est mont ée nous rejoindre, cette
fois c'est la fessée ! Maman s'est faite gentille comme grand-mère pour nous
demander ce que nous avions vu ? 

" On a vu un monsieur qui rentrait sa bite dans tes fesses. "

" Ne dis pas de gros mots, on ne dit pas une bite, il faut dire son sexe ! "

" Mes copains à l'école m'ont dit que c'était une bite. "

" Tu apprends des grossièretés à l'école, je vais te changer d'école. Tous
les deux vous allez me promettre de ne rien dire à papa. "

Ma soeur, qui s'entait que la fessée s'éloignait, a demandé : " Pourquoi, ce
n'est pas bien ce que le monsieur te faisait dans les fesses ? "

" Danièle tu sauras quand tu seras grande qu'il y a les papas pour faire çà
aux mamans ! "

" Et le monsieur il n'a pas de maman pour le faire ? "

" Si, il a aussi une maman mais elle n'est pas là. Promettez-moi de ne rien
dire, tous les deux ! "

Nous avons promis trop content d'échapper à la fessée ! Mais que de questions
sans réponse ! " Danièle tu crois que c'est mal de mettre sa bite dans le
minou des filles ? "

" Oh ! Sûrement pas c'est trop bon pour être défendu, tu n'aime pas çà toi ? "

" C'est le plus grand plaisir du monde, c'est meilleur que de se branler !
C'est défendu de faire du mal pas de faire du bien ! Ca ne te fait pas mal à
toi ? "

" Pas du tout mais je préfère quand tu frottes mon petit bouton avec ta
langue, j'ai le ventre qui vibre presque tout de suite si tu as bien bougé ta
bite dans mon minou. "


Avec ma soeur nous n'avions pas les réponses, le soir nous avions oublié les
questions quand elle est venue toute nue s'endormir contre moi. A la rentrée
des classes, j'étais en pension chez les frères Maristes et j'allais découvrir
toute l'hypocrisie sexuelle des adultes. Ma soeur dans un pensionnat de
Franciscaines n'a pas eu les même déboires mais je serais très étonné qu'elle
n'en ait pas connu d'autres. Si nous avions été bien sages, je retrouvais ma
soeur un samedi soir toutes les deux semaines et aux petites vacances. Pour
Noël et Pâques maman nous expédiait chez l'autre grand-mère ou chez ma tante
et aux grandes vacances nous étions séparés pour deux mois dans une colonie ou
à la campagne. Nous n'avons jamais revu ni Arlette ni Gérard.

La dernière fois que j'ai dormi serré contre ma soeur, elle avait douze ans.
Elle avait des seins et des poils autour de son minou. C'était le soir de
notre première communion. Elle pensait déjà aux hommes, et nos amours de
gosses sortaient lentement de son coeur. A seize ans elle s'est laissée séduire
par le dernier amant de maman et pendant plus de deux mois elles se sont
partagé le même homme. A dix-huit ans elle a eu un garçon. Papa qui avait
laissé ses vingt ans dans les tranchées autour de Verdun, a cru que la honte
s'abattait sur la famille ; il a mis ma soeur à la rue ! Maman est partie
rejoindre son nouvel amant avec ma soeur et le bébé. Un an plus tard ma soeur é
tait à la rue et mon neveu a subit le même sort que nous, c'est une voisine de
maman qui l'a gardé jusqu'au pensionnat. Jusqu'à mon mariage, je n'ai revu
maman qu'une seule fois ! Elle a braillé comme de coutume, parce que mes
chaussures étaient mal cirées, avant de me dire bonjour. Je lui ai annoncé mon
mariage et je suis parti, elle ne m'a même pas embrassé ! J'ai revu ma soeur
quatre ans plus tard. Elle s'en était sortie et avait épousé un riche
personnage de quinze ans son aîné. Elle a mis une chape de plomb sur tout son
passé, elle n'est pas venue à l'enterrement de son fils ni à celui de maman.



Ps: pour ceux qui ont une grande soeur!



þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES (pd, inc, ...)

http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires

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N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ...
Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison !

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