MES VACANCES A CHELTENHAM (par Déca) (M/g)

title: Mes vacances a Cheltenham
part: Complete
author: Deca
keywords: M/g
language: Francais
age: 10 ans
published: 12/10/2001

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues' le 11 octobre 2001.
( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires )


userid = Pedinc
auteur = Déca
email = le_breton@excite.com
publier_email = Oui
titre = Mes vacances à Cheltenham
codes = M/f
age = 10 (f)


Mes vacances à Cheltenham


Adolescent, j'avais l'habitude de passer, chaque année, un mois de vacances en
Angleterre.

Après Bristol, mon second séjour se déroula à Cheltenham, petite ville
provinciale sans charme particulier. Lors de mon premier séjour, j'eus
l'occasion de repérer une maison qui accueillait des français dans un soucis un
peu moins mercenaire que la majorité des hôtes habituels.

La propriétaire était la fille d'un professeur de français, un universitaire
distingué qui lui avait donné le goût de ce qui était français Elle recevait de
jeunes français plus pour le plaisir de pratiquer son français hésitant que
pour le gain.

Les deux garçons qu'elle hébergeait cette année là étaient ravis, à un détail
près: la petite fille de la maison.

Fille unique de parents divorcé, c'était une petite peste qui leur pourrissait
la vie.

Elle les exaspérait jusqu'à ce qu'ils se rebiffent, puis courait se réfugier
dans les jupes de sa mère qui devait alors intervenir pour régler les conflits.

A ce détail près, la maison me parût tentante, et je m'y inscrivis pour l'année
suivante.

Lors de mon arrivée, j'eus la bonne surprise d'apprendre que le français avec
qui je devais partager la chambre avait eu un empêchement de dernière minute et
que je serais seul.

Tout s'annonçant bien (en tout cas pour moi) et, résolu à passer un séjour
agréable, je décidai de prendre les devants pour la petite peste.

Lors de ma première sortie en ville, le matin suivant mon arrivée, j'achetai
une petite poche de friandises que j'offris à la gamine lorsque je rentrai
manger à midi.

Je m'étais dit qu'il fallait me concilier ses faveurs et pensais qu'un petit
cadeau pourrait faire l'affaire.

J'ignore si c'est la subtilité de mon stratagème ou mon charme personnel qui
agirent, mais le résultat dépassa toutes mes espérances.

Tout au long de mon séjour, la fillette fut aux petits soins pour moi, m'aidant
à corriger mon anglais sans jamais se moquer de mes erreurs, me donnant des
conseils sur mes tenues vestimentaires quand je sortais,  m'offrant des gâteaux
ou des bonbons si je regardais la télé, bref aucun rapport avec la peste qui
avait gâché les vacances de mes prédécesseurs.

Elle portait le prénom mythologique de Penelope, mais tout le monde l'appelait
Penny.

A dix ans, son corps mince ne montrait aucun signe de puberté, mais elle avait
une joli frimousse et un regard malicieux. Ses cheveux blond pâle étaient
coupés court, probablement par sa mère.

Je passais peu de temps à la maison, surtout occuper à draguer  les " petites
anglaises ", comme tout bon français en séjour linguistique, mais le soir je
devais rentrer tôt, exigence de ma logeuse.

En général, Penny était couchée quand je rentrais le soir et je la voyais peu.

Pourtant, un soir...rentré plus tôt que d'habitude,  je monte dans ma chambre
lire une lettre de mes parents.

Assis sur mon lit, je suis occupé à lire lorsque Penny entre dans ma chambre
par la porte que j'ai laissée ouverte.

Elle est en pyjama car sa mère l'avait déjà mise au lit, mais elle s'est
relevée en m'entendant monter.

Elle ne dit rien, mais s'approche de moi et reste immobile un petit moment,
puis, voyant que je continue à lire, elle fait tomber une feuille de ma lettre.

La provocation est évidente et je décide d'entrer dans son jeu.

" Tu es très vilaine, ne recommence pas " lui dis je en anglais d'un ton
faussement sévère.

Je ramasse la feuille et la repose sur mes genoux, puis continue à lire, ou du
moins à faire semblant.

D'un geste, Penny la fait à nouveau tomber.

" Tu es très vilaine, si tu recommences je devrai te donner une fessée ".

Cette idée me donne un frisson, et j'ai du mal à conserver un air indifférent.

Je n'ai pas fini ma phrase que la feuille se retrouve par terre.

Je me fige un instant puis la regarde dans les yeux..

Penny me fixe, comme pour me mettre au défi d'exécuter ma menace.

J'hésite sur la conduite à tenir.

Ma chambre est juste en haut de l'escalier, et sa mère est au rez de chaussée,
occupée à regarder la télé.

Le bon sens serait de renvoyer Penny dans sa chambre, je sais qu'elle
m'obéirait.

Mais la tentation est trop forte :

" Tu vas avoir ce que tu mérites ", dis-je tu air que je voudrais sévère,
malgré ma gorge qui se serre.

Mon pantalon également semble se serrer sur une érection naissante.

Penny se tient juste à ma droite, et, passant le bras derrière ses épaules, je
l'amène contre ma jambe et la courbe sur mes cuisses, les bras plaqués le long
du corps.

Des deux mains, je la serre contre moi, provocant une délicieuse pression sur
ma bite qui, fort heureusement, a trouvé sa place dans mon jean, coincée de
biais mais retenue par la ceinture.

Penny demeure immobile dans l'attente de son châtiment.

Je laisse un moment passer puis, posant la main gauche sur son dos pour
l'immobiliser, je lève la main droite d'un grand mouvement, mais au dernier
moment, je ralentis mon geste et c'est un petite tape qui atterrit sur le
pyjama

Du bout des doigts, cependant, je donne une petite pichenette sur les petites
fesses que l'appréhension durcit sous leur dérisoire protection de cotonnade.

Répétant ce simulacre de fessée plusieurs fois, je sens progressivement le
derrière en opprobre se détendre et s'abandonner à la " punition ".

Mais cela fait partie de mon plan, car j'ai désormais un but, celui de voir ce
petit derrière nu s'agiter devant moi.

Après quelques derniers coups en forme de caresse, je la libère et la redresse.

" Si tu recommences, je vais te fesser sur ton derrière nu " dis-je, excité par
l'érotisme des mots " naked bottom "

Reprenant ma lecture, je pose une feuille bien en évidence sur mes genoux.

Trois secondes plus tard, elle est par terre.

Une telle provocation mérite un châtiment exemplaire.

D'ailleurs la coupable en est consciente puisqu'elle s'allonge d'elle même sur
mes genoux, les jambes pendant d'un coté, les bras de l'autre, comme pour
prendre une position plus confortable

Relevant sa veste de pyjama, je glisse un doigt dans l ‘élastique du pantalon
et le fais glisser doucement, découvrant deux petites fesses adorables qui se
crispent un instant, puis se détendent.

Je tire encore un peu pour dégager l'élastique, puis je le lâche, produisant un
petit claquement sur le haut de ses cuisses. Le pantalon tombe sur les pieds
nus de Penny, qui l'enjambe pour se débarrasser de l'entrave.

Elle est maintenant immobile, en travers de mes jambes, les fesses à l'air.

J'ai maintenant envie de les voir bouger, et je donne une petite tape, la main
bien plate pour les remonter, plissant la peau.

Puis je frappe, tantôt une fesse, tantôt l'autre, ou bien les cuisses qu'elle
écarte en gigotant et en agitant les pieds comme si je la frappais
véritablement.

Dans ces mouvements désordonnés, j'aperçois son petit sexe, non pas fendu et
lisse comme je l'imaginai, mais crispé comme un nombril protubérant.

Du fait de sa position je ne peux prolonger la vision.

Frappant les petites fesses pour les écarter, je débusque un minuscule anus
froncé.

Cette vision augmente encore mon excitation.

Ma main est si proche... mais dès que je l'éloigne, les fesses se referment sur
leur petit trésor.

Je dois me contenter, en frappant bien dans l'axe, à laisser dépasser un doigt 
pour parcourir la fente mystérieuse.

Penny continue d'agiter les jambes, tantôt les écartant comme pour me révéler
leur secret, tantôt les serrant convulsivement.

Je brûle d'envie de toucher son petit sexe, d'y passer un doigt inquisiteur.

Penny s'y serait-elle prêtée, crispant ses cuisses sur ma main fureteuse?
Qu'aurait-elle fait si j'avais insinué un doigt humecté de salive entre ses
fesses et doucement dilaté ce petit anus de toute la longueur de mon doigt ? Je
suis sûr qu'elle aurait aimé ça.

J'aurais pu la menacer de la mordre, elle m'aurait de nouveau défié et, après
l'avoir à nouveau allongée sur mes genoux, je l'aurais saisi par les hanches et
l'aurais soulevée jusqu'à ma bouche.

J'aurais porté mes dents sur ses petits globes charnus et les aurais
délicatement mordillés.

J'aurais ensuite collé mes lèvres entre ses cuisses et passé une langue
insidieuse dans sa fente.

Mais je me suis contenté de la renvoyer dans sa chambre...


þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES créé en 1999 par Pedinc.

http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/  ou  http://go.to/histoires

Vous y trouverez la plus grande collection d'histoires en français sur le sujet.

N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ...
Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison !

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