Le petit bonhomme (1->8) (par Candel) (M/b) (reformaté) title: Le petit bonhomme part: 1 -> 8 author: Candel keywords: M/b language: Francais age_garcon: 12 ans first_published: 02/01/2004 Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues' le 8 décembre 2003. ( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires ) Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte ne serait que coincidence. Forum des Histoires Taboues: le petit bonhomme 1/8 M/b12ans Posted on 8/12/2003 at 11:08:29 PM by Candel (fipoli@wanadoo.fr) L'année dernière, un vendredi soir de début juillet, je revenais de visiter un client, et j'étais furieux, car je venais de louper une vente colossale. J'avais mis la radio a fond dans la voiture, pour me changer les idées. J'étais sur la 2 fois 2 voies d'Angoulême à Poitiers, et je rentrais chez moi. Voyant une aire de repos, je décide de m'arrêter. Oh chance, il y avait un bloc sanitaire, et je décidais d'en profiter pour soulager ma vessie. Je stoppe devant le bâtiment, et me précipite aux toilettes. En entrant dans le bloc, je pense que ce n'est pas prudent de laisser ma voiture ouverte, et je fais demi-tour. Je suis tout surpris de voir ma porte arrière ouverte. Je m'approche doucement, et découvre un gamin en train de fouiller dans les poches de mon blouson. Je l'attrape par le col, et le tire à l'extérieur de la voiture. Il me regarde d'un air terrifié, puis baisse les yeux. Je le regarde aussi sans savoir quoi dire... Il doit avoir entre dix et douze ans, il est brun et mal peigné. Il porte un tee-shirt douteux et un jean sale. Seules ses baskets dénouées semblent assez neuves. " Qu'est ce que tu fais dans ma voiture ? " Je demande assez durement. Mais il se débat, et essaye de s'enfuire. Je le rattrape par le bras, ouvre la portière avant, le pousse dans ma voiture et viens m'assoire à coté de lui. " Bien essayons de rester calme. Je te surprends en train de me faire les poches...Alors calmement, tu m'expliques. .. Tu as besoin d'argent ? Ce sont tes parents qui te font faire ce petit travail ? " Pas de réponse. J'attends un petit moment en le regardant. Mais lui baisse toujours la tête, sans prononcer un seul mot. Alors, je mets le contact et je démarre. Nous sommes à une vingtaine de kilomètres de Poitiers, et je commence à avoir faim.... Que ce soit le midi ou le soir, depuis mon divorce, je mange rarement chez moi. " Je vais m'arrêter pour manger à l'entrée de Poitiers... Est ce que tu as faim ? " " Oh oui monsieur. " Je suis ravi, car je viens d'entendre le son de sa voix pour la première fois. Je le regarde, et je lui sourie. Il me répond par un sourire ressemblant étrangement à une grimace. A l'entrée de Poitiers, je me gare sur le parking d'un centre commercial et je lui dis : " Allez, viens. On va aller manger... Mais tu n'oublies pas que tu me dois des explications... Alors je compte sur toi ! " Nous rentrons dans le self du centre commercial, et je lui donne un plateau en disant : " Tu prends ce que tu veux. " Moi, je suis l'habitué de l'éternel " entrecôte frites ", et c'est ce que je prends, sans entrée ni dessert. Il vient me rejoindre avec son plateau composé d'une assiette de jambon cru, d'une tranche de pâté, d'une salade de choux rouge avec des lardons, d'un yaourt et d'une part de gâteau au chocolat. Je souris en voyant son menu. " Tu ne prends rien à boire ? " Il retourne vers les présentoirs, et revient avec une petite bouteille de Coca Cola. " Tu me passeras un peu de ton coca ? " Il me fait oui d'un signe de tête. Nous passons à la caisse et allons nous assoire dans un endroit tranquille... Je commence à manger en silence tout en le regardant. Pour un petit voleur, il ne ressemble pas à une grosse terreur. Moi, j'en suis à mon troisième morceau de viande, alors que lui a déjà englouti son jambon, et commence sa salade... " Cela fait combien de jour que tu n'as pas mangé. Comme je n'ai pas de réponse, je saisis sa main et l'immobilise. Il me regarde d'un air terrifié. J'ai un peu honte de moi, le lâche, et reprend mon repas tout en le regardant. Quand l'assiette de choux est vidée tout en prenant la tranche de pâté, il dit: " Je n'avais pas mangé depuis 3 jours. " " Tu as fais une fugue ? " " Non, je suis parti de chez ma famille d'accueil. " Et il se remet à manger. Pour moi, partir de chez sa famille d'accueil ou fuguer, c'est la même chose. En tout cas, il a bon appétit. Avec tout ça, j'en oublie mon entrecôte, et comme j'ai horreur de la viande froide, je me remets à manger. Comme il ne me reste plus que quelques frites, je demande : " Donc cela fait 3 jours que tu t'es sauvé... Donc 3 jours sans te laver... Et pour dormir ? " " Non, ça fait 5 jours... Au début j'avais un peu d'argent, alors j'ai pu manger. " " Et pour dormir ? " " Je me suis débrouillé. " Je pioche quelques frites dans mon assiette, et lui est en train de finir son gâteau. Je lui tends mon verre et dit : " Tu m'avais promis de me donner du coca ! " Il me sert en me faisant un petit sourire. " Ecoute-moi bien bonhomme. Je devrais te conduire tout de suite à la gendarmerie. Mais je vais te proposer autre chose. On va aller au super marché pour t'acheter un tee-shirt un slip et un pantalon, par ce que les tiens sont un peu douteux. Ensuite on ira chez moi. Tu prendras un bain pour te décrasser, tu essayeras de passer une bonne nuit, et demain matin, on reparlera de tout ça. Alors, on décidera ensemble de ce que l'on fera de toi... Ca te vas comme programme ? " Je vois alors son regard s'éclairer, et avec un sourire qui ne ressemble plus à une grimace il me dit : " Oui " En sortant du self, je demande : " Tu t'appelle comment ? " " Xavier Tessier " " T'as quel age ? " " Presque 14 " Je le regarde surpris. Je lui avais donné 12 ans au maximum. Dans le super marché, je lui achète un jean bon marché et un tee-shirt " Harry Potter " C'est facile, car ces produits ne sont pas emballés, et on peut se rendre compte de la taille. Pour le slip, je suis un peu plus embêté. " Quelle taille ? " je demande " 14 ans " Le lot de 3 slips taille 14/16 avec des dessins " Simpson " était moins cher qu'un slip à l'unité. Je lui montre, et il me fait oui de la tête. Nous passons en caisse, il prend le sac et nous rejoignons la voiture. En repartant, je lui dis : " Moi, je m'appelle Michel...Tu sais, chez moi c'est tout petit, mais on te trouvera une place...Dans le salon, la banquette fera un lit très bien. " " Oui " me dit-il. Depuis mon divorce, j'habite un f2 dans une petite résidence de 6 logements au nord de Poitiers, prés de la route de Tours. Je me gare prends les achats et je l'invite à me suivre. Arrivés dans mon appartement, je m'assieds sur la banquette du salon, et je lui fais signe de s'assoire à coté de moi. " Ecoute Xavier, tu vas aller prendre un bain, tu me passeras tous tes vêtements, je vais les mettre dans la machine à laver et je pense que demain, ils seront secs. " " Oui " Je me lève, et il me suit jusqu'à la salle de bain. Je fais couler l'eau dans la baignoire, lui donne un gant et un drap de bain, lui montre le savon et le shampoing et lui dit de me donner ses vêtements. Il enlève ses baskets, et je suis effrayé par la noirceur des ses pieds. Il laisse tomber son jean, et enlève son tee-shirt. " Je viendrais chercher ton slip quand tu seras dans la baignoire " Mais je m'aperçois que j'ai parlé pour rien, car il est déjà à poil, en train de rentrer dans la baignoire. La vision de ses petites fesses me fait frissonner, et je n'arrive pas à en détourner mon regard. Je reste pétrifié pendant 30 secondes, puis je sorts de la pièce en disant : " Laves toi bien, je crois que tu en as besoin ! " Dans la cuisine, j'ouvre le tambour de la machine à laver, et j'y dépose ses vêtements. Je me ravise, retire le jean, et lui fais les poches. J'y trouve un petit canif, des papiers de bonbons, une note de pâtisserie et quelques piécettes de centimes d'Euros. Je pose le tout sur la table, et met la machine à laver en marche. Je vais m'assoire dans le salon et allume la télé. Je repense à ma journée et au contrat que j'ai loupé. J'ai envie de me donner des claques. Je me lève, me sert un verre de Bourbon et vais me rassoire. Je regarde machinalement ce que diffuse la 2...Des conneries, comme d'habitude.... J'ai du m'assoupir un peu, car c'est un gamin enveloppé dans un drap de bain qui me réveille en me demandant : " Ils sont ou les vêtements que tu m'as achetés ? " Je le regarde comme si je voyais une vision " Dans le sac sur la table...Mais dit donc, tu ne t'es pas lavé les cheveux ? " " Non bredouille t-il doucement " Je me lève, le prends par la main et l'entraîne dans la salle de bains. Je le fais mettre à genoux devant la baignoire, lui fais pencher la tête, et commence à lui laver les cheveux. Je me suis mis à genoux, et mon corps est collé contre le sien. Je sens mon coeur qui se met à battre plus fort, et je me desserre quand je réalise que je suis en érection... Je ne comprends pas ce qui est en train de m'arriver. -- Forum des Histoires Taboues Le petit bonhomme 2/8 Posted on 8/12/2003 at 11:11:12 PM by Candel Je lui fais 2 shampoings à la suite, le rince, le relève et l'essuie en frottant fort. Le drap de bain qu'il s'était noué autour de la taille tombe alors, et sa nudité m'apparaît. Je ferme une seconde les yeux comme ébloui par son corps...Mais il me glisse entre les bras, et s'enfuit de la salle de bains. Je le rejoins au salon. Il est assis sur la banquette, et essaye d'ouvrir le blister contenant les 3 slips neufs. Je lui prends des mains, ouvre l'emballage et lui tends un slip bleu ciel. Il l'enfile en vitesse et j'éclate de rire. Le slip est beaucoup trop grand. Il baille à l'entre jambe et a du mal à tenir à sa ceinture. " J'ai des punaises si tu veux ! " Il rigole avec moi, et passe son tee-shirt. Il est un peu long... on dirait une chemise de nuit. " Tu regardais quoi à la télé ? " Il demande. " Rien, des conneries, comme d'habitude. " " T'as pas canal+ ? " " Non, je réponds, pourquoi ? " " Pour rien " Je m'assieds prés de lui, et aussitôt, il se blottit contre moi. " Pourquoi t'es parti de chez toi ? " " Par ce que ! " Il me répond. " C'est pas une réponse ça ! ... Tu ne veux rien me dire ? " Il se couche sur le dos en ramenant ses pieds contre ses fesses, et pose sa tête sur mes genoux. Son tee-shirt trop long glisse le long de ses jambes laissant apparaître le " Bart Simpson " imprimé sur le devant de son slip. En imaginant son petit sexe caché derrière la figure de Bart, j'ai l'impression d'avoir comme une bouffée de chaleur. " T'es pas marié ? " Il me tire de ma rêverie. Je réponds " Non, et toi ? " Il se met à rigoler. " T'as une copine ? " " Non, et toi ? " Il rigole encore, se soulève et me dit très sérieusement : " Alors t'es PD ! " " Mais non...mais pourquoi tu me poses toutes ses questions ? Ecoute bien. J'ai 26 ans, j'ai été marié pendant 18 mois, et je suis divorcé depuis 2 mois. Je n'ai pas d'enfant, et je n'ai pas envie d'avoir une nouvelle copine pour le moment. Et pour ta gouverne, je ne suis pas PD. Voilà tu es content ? " " Tu sais; je demandais ça comme ça, pour parler. " " Au lieu de poser des questions idiotes, tu ferais mieux de me dire pourquoi tu es parti de chez toi. " " On avait dit qu'on en parlerait seulement demain... " Tout en discutant, sans m'en rendre compte ma main s'était posé sur son ventre, et maintenant elle est sur son slip. Je m'en aperçois, et la retire brusquement. " Elle ne me gênait pas, tu pouvais la laisser " me dit-il d'un air candide. Je le pousse, me lève et dit : " Allez bonhomme, il est l'heure d'aller au lit. Moi je suis crevé, et toi tu ne dois pas valoir mieux. " Il se lève et m'aide à déplier la banquette. Je lui apporte un oreiller et une couverture légère. Je lui dis : " Tu n'auras pas froid, et de toute façon, c'est mieux que dehors... Allez bonne nuit Xavier. " Je rentre dans ma chambre, m'assois sur mon lit, et me mets à réfléchir. Mais qu'est qu'il m'arrive ? Moi, qui n'ai jamais été attiré par les mecs, et encore moins par les petits garçons, voilà que je me mets à fantasmer devant ce petit morveux... Je me relève, me déshabille en ne gardant que mon caleçon, et me glisse dans les draps. Très rapidement, je sens mes idées se brouiller dans ma tête et.... ...Je suis réveillé en sursaut. Il est debout à coté de mon lit avec son oreiller à la main... " Je peux dormir avec toi...J'aime pas ou je suis... " Je me lève d'un bond, et file à la cuisine avaler un verre d'eau. Quand je reviens dans la chambre il est déjà installé dans le lit. Il y à juste son nez et le haut de sa tête qui dépassent du drap. Je vais pour lui dire que je ne suis pas d'accort, mais prenant la parole le premier, il me dit : " Tu portes un caleçon comme " l'autre " J'aime pas les caleçons " Je pousse un soupir, et me recouche sans rien dire. Alors se serrant contre moi, il me dit : " T'es gentil. " Je lui réponds d'une voix agacée : " Je suis bien content de le savoir...Maintenant on dort. " Et j'éteins la lumière. Je savais combien il est difficile de s'endormir quand une fille est blottie contre sois, mais je ne savais pas que c'était la même chose, quand c'est un petit garçon. Surtout qu'il avait passé ses bras autour de moi, et que je sentais ses mains qui jouaient avec les quelques poils de ma poitrine. En plus, je sentais la petite bosse de son slip qui était collée contre mes fesses. D'un seul coup, je me suis retourné, et j'ai glissé ma main sous son tee-shirt. Il s'est mit sur le dos, et avait l'air d'attendre. Je me suis assis sur le lit et j'ai rallumé la lumière. Je l'ai regardé. Il avait les yeux fermé et faisait semblant de dormir. " Pourquoi tu fais semblant de dormir ? Avant que je fasse des bêtises, je voudrais que tu saches que je n'ai jamais dormis avec un garçon, que jamais j'en ai touché un. " Il a ouvert les yeux et m'a répondu : " Moi, j'ai déjà fais des choses avec des grands " Je suis resté comme ça, sans bouger à le regarder d'un air ahuri. Je me suis rallongé et j'ai fixé le plafond en me demandant comment je pourrais bien sortir de ce cauchemar. J'avais envie de lui sauter dessus, mais je ne voulais pas le faire...Et puis sa main s'est posée sur mon ventre, et doucement elle est redescendue un peu plus bas. Je l'ai sentie qui s'infiltrait sous mon caleçon, et s'emmêlait dans mes poils. Elle a saisit mon pénis déjà en érection et a commencé à le masturber. J'ai retiré brutalement sa main en disant : " Arêtes " " Tu veux pas ? Tu n'aimes pas ? " " Si j'aime, mais je veux pas ! " Il m'a regardé, et brusquement s'est retourné en se couchant en chien de fusil et en me présentant son derrière. Sur le dos de son slip, j'ai vu l'image de " Bart montrant ses fesses " Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, je me suis collé contre lui, et j'ai saisi son pénis a travers son slip. Lui aussi était en érection, et je ne m'en étais pas aperçu. Doucement j'ai fais glisser son slip. Il s'est remis sur le dos, et j'ai eu un choc quand j'ai vu sa quéquette bien droite et dressée vers le plafond. Je ne me souvenais plus qu'à cet age on pouvait bander comme cela. Elle était superbement dressée, 10 à 12 cm, magnifiquement proportionnée, avec le prépuce légèrement retiré qui laisser entrevoir le bout de son gland rose et brillant. Je me suis assis sur le lit, et je l'ai contemplé pendant un petit moment. Je n'avais jamais vu le sexe d'un garçon de cet age, et surtout pas en érection. Je l'ai vu avancer sa main, saisir son zizi et le masturber. J'étais comme hypnotisé par ce spectacle. Machinalement, sans réfléchir, j'ai sorti mon pénis par la braguette de mon caleçon, et moi aussi j'ai commencé à me masturber. Il s'est arrêté, et j'ai vu sa tête s'avancer vers moi. Sa petite bouche s'est refermée sur mon gland. Je suis tombé à la renverse et me suis laissé faire. Je ne savais pas qu'un gamin de cet age était capable de me faire tant d'effet. En plus il semblait avoir une certaine expérience. De temps en temps, il s'arrêtait, et tout en me masturbant avec sa main, je sentais la pointe de sa langue qui se promenait sur toute la longueur de ma verge, puis qui tournait autour de mon gland avant de le reprendre dans sa bouche. Parfois il me mordillait et mon corps tout entier faisait un saut dans le lit. Parfois il s'arrêtait. Alors je relevais la tête, et après m'avoir fait un sourire, il recommençait ses petites gâteries. Soudain il s'est arrêté. Il s'est avancé et s'est assis sur mon ventre face à moi. Il a soulevé ses fesses, a saisit mon pénis dressé en passant sa main entre ses jambes et il s'est assis dessus. Quand j'ai senti la raie des ses fesses sur mon gland, d'un seul coup je me suis relevé, et je l'ai fait basculer brutalement sur le coté. Il m'a regardé sans comprendre pourquoi je l'empêchais de continuer. Alors je lui ai dit : " Ah non, ça, je ne suis pas d'accord. Tu es encore bien trop jeune, et je ne crois pas que tu ai 14 ans comme tu me l'as dit ce soir. En plus ce genre de jeu ne m'amuserait pas. Je n'oserais plus me regarder dans une glace. Mais il faut que tu saches que le vrais plaisir pour moi, ce n'est pas ce que tu voulais me faire faire, le vrais plaisir, c'est celui qu'on partage parce qu'on l'a choisi ensemble. " J'ai passé mes mains sous ses reins, je l'ai soulevé, et j'ai amené son corps prés de mon visage. Il a reposé ses pieds sur le lit de chaque coté de mes jambes, et comme son pénis se trouvait bien dressé juste devant ma figure, je l'ai pris dans ma bouche. Comme son gland n'était pas complètement découvert, j'ai fini de le décalotter avec mes lèvres. Je l'ai senti se raidir quand le l'ai serré entre ma langue et mon palais. Il a fait " Ha ! " Alors tout doucement, je l'ai masturbé entre mes lèvres. Je le sentais qui partait vers l'arrière, comme pour tomber, et je le retenais avec mes mains. J'ai soudain senti les siennes qui s'agrippaient à mes cheveux. Je me suis arrêté, et je l'ai regardé. Il avait la tête renversée en arrière, la bouche ouverte et les yeux fermés. Je l'ai rallongé sur le lit, Je me suis mis à genoux prés de lui, et je l'ai repris dans ma bouche en espérant le sentir jouir. J'ai relevé la tête, et j'ai vu qu'il me regardait. J'ai réalisé qu'il avait toujours son tee-shirt, alors, doucement je lui ai enlevé. J'ai également fait glisser mon caleçon, et je l'ai jeté en bas du lit. Je me suis penché sur son zizi, et avec 2 doigts je l'ai masturbé doucement. De temps en temps j'approchais ma bouche pour y enfermer son petit gland, ou pour y passer doucement ma langue. J'ai soudain eu l'impression que mon membre tout entier s'enflammait... Je me suis redressé. Je n'ai pas eu le temps de le prendre dans ma main et j'ai libéré ma semence dans une intense brûlure. J'ai entrevu 3 jets qui partaient en direction de Xavier. Je suis resté quelques secondes, inerte, à savourer mon plaisir, et j'ai regardé le petit bonhomme. Les taches blanches de mon sperme s'étaient dispersées sur le lit, ainsi que sur son ventre et son sexe. Je me suis penché pour reprendre dans ma bouche son pénis tout souillé par mon plaisir. C'était la première fois que je gouttais du sperme, et en plus c'était le mien. J'ai recommencé à la masturber. J'essayais de donner le maximum de force à l'étreinte de ma bouche dans l'espoir d'accentuer sa jouissance. Chaque mouvements de ma bouche s'accompagnaient chez lui d'une forte inspiration. Puis il a commencé à s'agiter. Ses mains sont venues se poser sur ma tête, son souffle est devenu plus fort et plus rapide et j'ai commencé à percevoir de faibles râles qui montaient de sa gorge. Alors j'ai accéléré la cadence de ma bouche sur son petit pénis. Mes jeux se sont fait plus rapprochés. Il s'est raidi et a laissé échapper une longue et faible plainte. Sans le quitter des yeux, ma bouche allait et venait sur son membre en feu. J'ai senti tout son corps qui se soulevait. Il est resté une seconde dans cette posture, a poussé un petit cri, et il est retombé sur le lit. J'ai senti tout son corps qui se relâchait. J'ai continué avec ma langue à caresser son gland pendant un petit moment puis, je l'ai regardé. Il avait les yeux grand ouvert fixés vers le plafond. Il a du sentir que je l'observais, ses yeux se sont tournés vers moi et il m'a fait un sourire. Sa main est venue se poser sur son nombril ou s'étaient regroupées en une petite mare presque transparente, les éclaboussures de mon sperme. Il a mit ses doigts dedans, et a ramené sa main devant ses yeux. Il l'a regardée d'un air absent, j'ai vu quelques gouttes perler de ses doigts et venir s'écraser sur sa joue, puis il l'a portée à sa bouche. Il a reposé sa main sur son ventre et ses yeux se sont fermés. Petit à petit son souffle s'est fait plus régulier. J'ai souris en voyant que son zizi avait retrouvé la forme normale des zizis de petits garçons bien sages. Le mien avait fait la même chose. Je me suis levé doucement et j'ai rabattu le drap sur son corps quand j'ai réalisé qu'il s'était endormi. Je suis sorti de la chambre en refermant la porte doucement. Je m'y suis appuyé pendant quelques instants. J'avais l'impression que tout ce qui venait de se passer était arrivé à une autre personne. Je n'arrivais pas à réaliser que c'était moi qui venait de vivre ce merveilleux moment, et qu'en plus j'en avais éprouvé un immense plaisir. J'ai vu la bouteille de bourbon et mon verre vide sur la table du salon. Je me suis servi et je me suis affalé sur la banquette. Je me suis appuyé, j'ais senti mon corps qui partait et le bourbon qui se renversait sur moi. J'ai réalisé que la banquette était dépliée, et donc, qu'elle n'avait plus de dossier. J'ai été m'essuyer et je suis rentré dans la chambre. Je me suis arrêté un petit moment pour regarder le petit bonhomme qui dormait, je me suis allongé prés de lui, et j'ai éteint la lumière. -- Forum des Histoires Taboues: Le petit bonhomme 3/8 Posted on 8/12/2003 at 11:16:40 PM by Candel J'ai ouvert les yeux à 9h30. Je me suis levé, et j'ai enfilé mon caleçon qui traînait par terre. J'ai shooté dans le slip " Simpson ", et les événements de la veille sont revenus à ma mémoire. Je suis sorti de la chambre, et j'ai vu le gamin. Il était à poil, assis tailleur sur la banquette, en train de regarder des dessins animés à la télé, avec la télécommande à la main. " Salut petit bonhomme ! T'as bien dormis ? " Il s'est levé d'un bond, et s'est précipité sur moi. Il m'a entouré la taille des ses bras, et a collé sa joue sur ma poitrine. " J'ai un peu faim ! " " Bouge pas, je vais trouver quelque chose...Tu ne veux pas t'habiller ? " " J'ai pas trouvé les vêtements que tu as lavés... " Merde ! J'avais oublié de les sortir de la machine hier soir... De sentir son petit corps blotti contre moi, mon pénis a commencé à se réveiller. Il s'en est aperçu et m'a dit : "C'est moi qui te fais bander ? " Il avait l'air tout fier de me faire cet effet. Comme je n'avais aucune raison de lui raconter des sornettes, j'ai dit : " Oui petit bonhomme, c'est toi qui me mets dans cet état. Je ne pensais pas qu'un gamin comme toi m'existerait à ce point. Allez, viens, on va déjeuner. " Il s'est sauvé dans ma chambre, puis est venu me rejoindre dans la cuisine avec son tee-shirt sur le dos. " Un chocolat, ça te vas ? " Il a hoché la tête d'un air approbateur... J'ai sorti du lait que j'ai mis à chauffer au micro-onde, j'ai ouvert un paquet de pain de mie et j'ai branché le grille pain. " Tu t'occupe des tartines...mais tu ne les fais pas brûler ! " Je suis retourné dans la chambre, j'ai enlevé mon caleçon, j'ai enfilé un slip et un short, et j'ai mis un tee-shirt. Je suis allé pisser puis, je suis revenu dans la cuisine. Il y avait déjà 6 tranches grillées à point, et leur parfum m'a ouvert l'appétit. J'ai sorti le chocolat et le beurre, j'ai posé le lait chaud sur la table, je me suis assis en face de lui, et on a commencé à manger. " Maintenant, tu vas pouvoir me donner quelques explications " Il a mordu dans sa tartine, il m'a regardé et a dit : " On m'avait jamais fait ce que tu m'as fait hier...c'était bien. " " Ce n'est pas ce que tu m'as dit cette nuit ! " " Je t'ai dis quoi ? " " Tu m'as dis que tu avais déjà fait ça avec des plus grands...enfin, c'est ce que j'ai cru comprendre ! " Il m'a regardé d'un air absent, a repris une tartine, a mordu dedans et m'a dit : " J'ai déjà sucé, mais on ne me l'avait jamais fait " " Explique-moi " j'ai répondu. Il a fini sa tartine, a bu la moitié de sa tasse, et a filé comme un voleur dans le salon. Je l'ai suivi, et je l'ai retrouvé allongé sur le ventre dans la banquette. Son tee-shirt était un peu relevé découvrant ses petites fesses blanches. Je me suis assis prés de lui, et en caressant son petit postérieur, j'ai dis : " Allez petit bonhomme, raconte-moi tout " Il a posé sa tête sur mes genoux, et a commencé son histoire. " Quand je suis arrivé dans la famille d'accueil, y'a 2 ans, moi j'en avais 10. Ils ont été très chouettes. Damien leur fils était vachement sympa. Il avait 13 ans. On couchait dans la même chambre. Le soir du réveillon de cette année, on avait un peu bu. On a été se coucher, alors il est venu vers moi, a baissé son caleçon et a voulu que je mette sa bite dans ma bouche. Moi, j'ai pas voulu. Il m'a dit que si je ne voulais pas, il trouverait un moyen pour me faire chasser. Alors j'ai accepté. Je l'ai laissé faire, et c'est lui qui entrait et sortait sans arrêt. Il m'a envoyé sa jute dans la bouche, alors j'ai craché. Il m'a dit que j'avais pas intérêt à cafter, sinon je passerais un sale moment. Et puis il a recommencé un autre soir, et encore un autre. Après, il me faisait faire ça 2 ou 3 fois par semaine. J'avais l'habitude... quand il m'appelait, je savais pourquoi. Puis, y'a un mois, un mercredi tantôt, il est arrivé avec 3 copains de son école, et il a voulu que je leur fasse la même chose. Les parents n'étaient pas la. Moi j'ai pas voulu. Alors ils m'ont forcé. Pendant que j'en suçais un, les autres ont enlevé mon pantalon et ils ont voulu m'enculer. J'ai crié et je me suis débattu. Ils étaient plus forts que moi. J'ai eu mal pendant 2 jours. Ils sont revenus 4 fois, toujours quand les parents étaient partis. Dimanche, comme il n'y avait personne à la maison, ils sont revenus encore et ont recommencé. Alors, lundi matin j'ai quitté la maison. J'ai vu un camion immatriculé 75. je suis monté à l'arrière, et j'ai attendu. Quand le camion est parti, j'étais content de tout quitter, mais j'avais un peu peur de la suite. Le camion a roulé pendant longtemps, puis il s'est arrêté. J'ai attendu un petit moment puis, je suis sorti. J'étais dans une ville. J'ai acheté 9 croissants avec l'argent que j'avais, et je suis sorti de la ville. J'ai vu que j'étais à Ruffec. Alors j'ai marché à travers champs en suivant la route pendant 4 jours, en couchant la nuit ou je pouvais. Le mardi j'avais fini mes croissants. Je suis arrivé ou tu m'as trouvé le vendredi midi...puis c'est tout... " Il m'avait raconté tout ça sans me regarder, la tête posée sur mes jambes. Il s'est retourné. Il avait les yeux rouges, mais ne pleurait pas. " Tu viens d'où ? " " De Libourne, à coté de Bordeaux... Tu sais, hier j'ai menti. J'ai pas 14 ans, j'aurais 12 ans le 6 novembre. " J'étais complètement anéanti par son histoire. Je ne savais plus quoi faire. Je l'ai pris dans mes bras, et je l'ai serré contre moi. J'ai senti une larme couler dans mon cou. Alors j'ai commencé à paniquer. Si le gamin était recherché, et qu'on le trouve avec moi, j'étais bon pour la correctionnelle. Surtout que les juges n'étaient pas tendre avec les pédophiles en ce moment. Et puis, je me suis dit que je n'étais pas un pédophile. J'avais perdu la tête, et je ne m'étais pas rendu compte de ce que j'avais fait hier soir. " Avec tout ce qui t'est arrivé, pourquoi tu as voulu recommencer avec moi hier soir ? " " Toi, c'est pas pareil, t'es gentil, et puis je voulais que tu me gardes, et puis je voulais te faire plaisir... " " T'es un ange " j'ai répondu. Je l'ai reposé sur la banquette, je me suis levé, et j'ai regardé par la fenêtre en réfléchissant. " Tu vas faire quoi avec moi ? " " Je sais pas. Mais d'abord, je vais faire sécher tes vêtements. " J'ai sorti ses vêtements de la machine puis, je les ai mis à sécher sur le balcon. J'ai suspendu un drap de bain devant, pour qu'on ne les remarque pas de la rue. " Tu dois être recherché par la police ? " " Je sais pas, mais je crois pas. " " Pourquoi tu ne le crois pas ? " " Avant de partir, j'ai écrit un mot ou j'ai raconté ce que je t'ai dis. J'ai posé le mot dans une assiette dans le buffet de la cuisine. Si les parents l'on trouvé, ils vont pas oser aller raconter ça à la police. " Je sourie en entendant cela. Ce petit bonhomme n'avait pas fini de m'étonner. " Ecoute petit bonhomme : Je n'ai pas encore décidé ce que je vais faire de toi, mais je commence à avoir une solution. Je te raconterais plus tard. On va rester ensemble encore aujourd'hui. Je vais aller faire des courses pour manger, et toi tu resteras ici. Je ne serais pas long... Mais on en rediscutera tout à l'heure. Tu aimes les pizzas ? " Il a hoché la tête d'un air réjoui. J'ai pris mon porte feuille, et je suis parti. Je l'ai enfermé dans l'appartement. J'ai été à la petite supérette du coin, et j'ai acheté 6 pizzas surgelées et 2 gros gâteaux au chocolat. En passant devant le rayon enfant, j'ai pris un slip taille 10/12ans. J'ai réfléchi un peu, et j'ai aussi pris un appareil photo jetable. J'ai payé et je suis passé à la boulangerie prendre 1 baguette et 6 croissants. Et je suis revenu à mon appartement. J'avais été absent une bonne demi-heure, mais je l'ai retrouvé au même endroit que quand je l'avais quitté. " T'a acheté quoi ? " " Un slip ! " Et je lui ai posé sur la tête. Il l'a aussitôt enfilé, a relevé son tee-shirt, et s'est mis à tourner devant moi, comme pour me montrer que cette fois ci, je ne m'étais pas trompé de taille. J'ai sorti l'appareil photo, et je l'ai pris. Il a ouvert la bouche tout grand, un peu surpris. " Tu me la montreras ! " J'ai dis oui, en sachant très bien que cela ne serait guerre possible. " Et si tu mettais le jean que je t'ai acheté hier ! " Il était posé sur la table du salon. Il l'a enfilé. Je lui ai fait signe d'approcher. J'ai replié le bas des jambes un peu trop longues, et j'ai coupé avec mes dents le fil de plastique qui retenait l'étiquette. Je me suis un peu reculé. " T'es beau comme un vrai mec ! " Il a rigolé et il est retourné s'asseoir sur la banquette. Je me suis assis à coté de lui. " T'avais dis que tu me dirais ce que tu as décidé. " J'ai passé mon bras autour de ses épaules, il s'est blotti contre moi, et j'ai dit : " Demain, je vais te ramener chez toi et... " Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase, il s'est levé, a crié " Oh non " et s'est mis à pleurer. Je l'ai attrapé et je l'ai assis de force à coté de moi. " Ecoute Xavier, si je te mène à la gendarmerie, il y aura une enquête, tu changeras de famille d'accueil, et tu ne sais pas comment ils seront ceux-la. En plus, moi je risque de me retrouver en prison... C'est ça que tu veux ? " En reniflant, il a fait non avec la tête. " Je peux aussi te ramener ou je t'ai trouvé, mais si je fais ça, je serais un beau dégelasse, et en plus tu peux rencontrer un mec encore plus salaud que moi.... Tu préfères peut être cela ? " Il a encore fait non avec la tête... " Je ne peux pas te garder éternellement chez moi, j'en ai pas le droit. Si je fais ça, un jour ou l'autre je me retrouverais en tôle... Je suppose que ce n'est pas cela que tu veux non plus ? " Il a encore fait non de la tête. "Alors, si tu ne m'as pas mentis pour la lettre que tu as laissée avant de partir, c'est la première solution qui est la meilleure. Cet après midi, tu écriras sur un papier tout ce que tu m'as raconté tout à l'heure. Je garderais ce papier pour moi. Demain, j'irais avec toi chez ta famille d'accueil, je leur montrerais une copie de ton papier, et je te jure qu'ils te reprendront. Et puis " l'autre au caleçon " et ses cons de copain, je t'assure qu'ils te laisseront tranquille. Tu n'as pas à t'inquiéter, tout se passera comme je le dis. Allez petit bonhomme, fais-moi un petit sourire ! " Il m'a fait une petite grimace, et s'est de nouveau blotti contre moi. Il est resté comme cela plus d'une 1/2 heure. Je l'ai repoussé et je me suis levé. " Avec tout ça, je ne me suis pas lavé depuis hier matin, je vais prendre un bain, je ne serais pas long " Je suis rentré dans la salle de bains, je me suis mis en slip, j'ai ouvert les robinets de la baignoire et j'ai commencé à me raser. La porte s'est ouverte, et je l'ai vu, immobile entre les montants, qui me regardait. J'ai retiré mon slip, et je me suis allongé dans la baignoire. Sans un mot, il est venu s'assoire sur le rebord, et ne m'a pas quitté des yeux pendant tout le temps de mon bain. Je me suis mis debout, je me suis essuyé, et je suis parti dans ma chambre. J'ai repris un autre slip, et je l'ai enfilé. Alors il est apparu. Il avait enlevé son jean et son tee-shirt, et il était en slip devant moi. J'étais immobile. Je ne savais plus quoi faire. Je n'ai pas eu le temps de dire un mot. Il s'est jeté à mon cou. Je me suis laissé tomber avec lui sur le lit. Je l'ai couvert de baisers, et je l'ai caressé longuement. Ma bouche a frôlé la sienne, et j'ai mordillé ses petites lèvres. Ma main est descendue vers son slip, et j'ai caressé son sexe a travers le tissu. J'ai senti sa main qui me faisait la même chose. J'étais calme et serein. Je savais ce que j'étais en train de faire, je le faisais sans remord, et j'étais heureux de le faire. J'ai fais glisser son slip le long de ses jambes, et j'ai joué longuement avec son pénis et ses petites bourses. Avec mon autre main, j'ai retiré mon slip pour qu'il puisse me faire la même chose. Je crois que je lui ai dit plein de mots tendres dans le creux de son oreille. Je me suis redressé, je l'ai pris par les hanches et j'ai amené son bas ventre en face de ma figure, et ses jambes de chaque coté de ma tête. J'ai ouvert la bouche et j'ai englouti son petit membre comme un cadeau du ciel. Dans la position ou il était, il n'a eu aucune difficulté à avaler le mien. J'ai senti monter son plaisir en même temps que le mien. A un moment sa langue sur mon gland m'a fait tellement d'effet, que je crois bien qu'en me contractant, j'ai serré un peu trop les dents et je lui ai fait mal. J'ai senti monter ma jouissance, et j'ai essayé de me retirer de sa bouche. Il n'a pas voulu me lâcher et j'ai explosé en lui en criant. J'ai alors libéré son pénis, mais lui, il a continué à me donner un plaisir inégalable. Quand il s'est aperçu que je ne bougeais plus, il s'est mis dans le même sens que moi, et a posé sa tête contre la mienne. J'ai senti mon sperme qui, s'échappant de sa bouche entrouverte, s'écoulait sur ma joue. J'ai pris sa tête dans mes mains, et j'ai posé ses lèvres sur les miennes. J'ai senti sa bouche qui se vidait dans ma gorge, et j'en éprouvais un immense plaisir. Je l'ai serré bien fort dans mes bras en disant tout bas : " Merci mon petit amour ! " On est resté un long moment enlacés ; Puis j'ai senti qu'il essayait de se libérer. J'ai desserre l'étreinte des mes bras, il s'est redressé, a fait demi-tour et a repris mon sexe tout mou dans sa bouche. Je l'ai laissé faire. Je voyais devant mes yeux son petit postérieur qui se dandinait. Je l'ai caressé d'une main, et de l'autre, en passant entre ses jambes, j'ai joué avec son zizi. Il s'est arrêté, a tourné la tête vers moi et m'a fait un grand sourire. Il était rayonnant et avait l'air heureux. Mais peut-être pas autant que moi. -- Forum des Histoires Taboues: Le petit bonhomme 4/8 Posted on 8/12/2003 at 11:34:30 PM by Candel " Tu as faim mon petit ange ? " J'ai demandé. Il a fait oui avec la tête. Je me suis levé, je l'ai pris dans mes bras et nous sommes allés à la cuisine. Je l'ai assis sur la table, j'ai pris ma serviette et j'ai essuyé les restes de ma semence autour de sa bouche. " Tu veux te rincer la bouche ? " J'ai demandé. Il m'a fait signe que non. " Bien, alors en entrée, pizza. En plat de résistance, pizza et en dessert, une surprise. Ca te va? ... Bien, alors, tu mets la table, et moi je fais chauffer les pizzas. " Je suis allé chercher les pizzas qui étaient restées dans le salon, j'ai allumé le four, je les ai enfournées et je suis retourné dans le salon. Je me suis servi un verre de bourbon et je me suis assis sur la banquette. Je me suis aperçu que la télé était toujours allumée. Je l'ai fermée et je me suis mis à penser. J'ai essayé de me souvenir de mes autres ébats amoureux avec ma femme ou avec celles d'avant, mais, il ne me semblait pas avoir connu un plaisir aussi intense que celui que je venais de vivre. J'en suis resté tout songeur en sirotant mon bourbon. " Tu bois quoi ? " M'a demandé Xavier en sautant sur mes genoux. Je lui ai tendu mon verre, il a goutté et a fait une grimace. J'ai repris mon verre, et j'ai fait couler un filet de bourbon sur son pénis. Je me suis penché et je l'ai léché. Il a éclaté de rire, et a filé en courant vers la cuisine. J'ai fini mon bourbon et je suis parti le rejoindre. J'ai servi les pizzas, et on a mangé de bon cœur. Le gâteau au chocolat était bien bon et j'ai eu l'impression que mon petit diable a bien apprécié. J'ai débarrassé la table, et j'ai demandé : " Tu veux faire quoi cet après midi ? " J'ai vu ses yeux qui brillaient, et il m'a répondu d'un ton interrogatif : " La même chose que tout à l'heure ? " J'ai souri, il s'est levé et m'a entraîné vers la chambre. Je me suis allongé, et il s'est allongé sur moi. Le bourbon, le repas et les ébats de ce matin faisant leurs effets, je me suis tout de suite endormi. Je me suis réveillé vers 16h. Le petit Xavier dormait sur le ventre à coté de moi. Je me suis levé sans faire de bruit, je suis allé récupérer mon short dans la salle de bain, je l'ai enfilé, et je suis sorti sur le balcon. Comme les vêtements étaient secs, je les ais rentrés. J'ai repensé à ce que je lui avais dit ce matin. Quand il se réveillera, il faudra qu'il écrive la lettre ou il raconte son histoire. J'ai préparé du papier et un stylo, et je me suis assis à la table de la cuisine. J'ai souri en repensant à tout ce que j'avais vécu depuis ma rencontre avec le gamin. Je me suis levé et je suis retourné dans la chambre. Il dormait toujours. Il s'était retourné et été maintenant sur le dos. Je suis allé chercher une chaise dans la cuisine, je me suis assis et je l'ai regardé dormir. Je me suis levé d'un bond, je suis allé chercher l'appareil photo, et je l'ai pris 2 fois. Il s'est réveillé à 17h15. Quand il m'a vu, il a dit : " Je crois que j'ai dormi ! " " Tu en avais certainement besoin " j'ai répondu. Il s'est levé, m'a pris le bras et a regardé ma montre puis, je l'ai vu filer et entrer dans les WC. Quand il est ressorti, je lui ai parlé de la lettre qu'il devait écrire. Il s'est assis à la table de la cuisine et a commencé son récit. J'ai repris l'appareil photo, et je l'ai pris 3 fois pendant qu'il écrivait. " Pourquoi tu prends des photos ? " " Pour prouver à ta famille que c'est bien toi qui as écrit " " Qu'est ce qu'ils vont dire quand ils vont voir que je suis à poil ? " J'ai senti un frisson me parcourir le corps. Je n'avais pas pensé à ce détail.. Je lui ai tendu ses vêtements secs, et il les a enfilés tout de suite. Il s'est remis à écrire et j'ai refais 3 photos. Puis il m'a tendu sa lettre et je l'ai lu. Je me suis tourné vers lui et lui ai dit que c'était bien. Il s'est levé a été allumer la télé, et s'est assis sur la banquette. J'en ai profité pour remettre un peu d'ordre dans l'appartement. Faire le lit, ramasser tous les vêtements qui traînaient, laver la vaisselle du midi... Quand je suis allé m'assoire prés de lui, je me suis aperçu qu'il était 19h 30. " Faudrait peut être penser à manger. " " J'ai pas faim ! " Je l'ai regardé d'un air surpris. J'ai demandé : " Qu'est ce que tu as ? " J'ai vu ses yeux qui se remplissaient de larmes... " Je veux pas retourner à Libourne... Je veux rester avec toi... " " Tu veux qu'on sorte ce soir...Si tu veux, je t'emmène au cinéma. " Il a fait non de la tête. Moi j'étais bien embêté de le voir dans cet état la. " Tu veux qu'on recommence nos jeux comme ce midi ? " Comme je n'avais pas de réponse, je l'ai pris dans mes bras, et je l'ai mis debout sur la banquette. J'ai enlevé son tee-shirt, j'ai déboutonné son jean et je l'ai baissé jusqu'a ses genoux. Je l'ai rassis, j'ai retiré complètement son pantalon et je me suis mis à genoux devant lui. J'ai posé mon visage sur ses jambes et je lui ai fait plein de petits bisous. Je me suis avancé un peut plus, et j'ai attrapé son pénis a travers son slip avec mes dents. Il a éclaté de rire. J'étais heureux de le voir comme ça. Il s'est allongé sur la banquette, j'ai saisi son pendis avec 2 doigts, toujours à travers le slip, et je l'ai masturbé. Je l'ai senti qui durcissait, et grandissait sous mes doigts. J'ai soulevé le devant de son slip et j'ai regardé. J'ai relâché l'élastique du slip, je me suis levé et j'ai dis : " Je crois que ça suffit pour ce soir ! " Il m'a regardé d'un drôle d'air et m'a dit : " Nononon...continue s'il te plait... " Je me suis remis à genoux, j'ai descendu le devant de son slip et je l'ai coincé sous ses testicules. J'ai attrapé son pénis et j'ai fais coulisser son prépuce pour dégager son gland. J'ai posé un doigt dessus, et j'ai fait des petits mouvements circulaires sur le bout. J'ai eu l'impression qu'il avait reçu une décharge électrique. Il s'est raidi d'un coup en faisant : " Haaha " Quand mon ex femme me faisait ça, je réagissais de la même manière. Je me suis mis à rigoler et je me suis levé. " Bon, je vais préparer à manger " " Non, continue encore... " Je me suis remis à genoux, j'ai mis son gland dans ma bouche, et j'ai aspiré le plus fort que je pouvais. Il a alors ramené brutalement ses genoux contre lui et m'a heurté la tête. Je n'ai pas arrêté pour autant. Il a relevé son thorax, et j'ai senti ses mains qui agrippaient ma tête. Alors doucement je l'ai repris avec mes doigts. J'ai coincé la peau de son prépuce dans le creux de ma paume, j'ai serré ma main et j'ai fait coulisser sa peau le long de son gland. Au début doucement, puis plus vite, puis doucement, puis très vite.... En même temps je le regardais. Je voyais ses grimaces quand j'allais très vite et ses moments d'apaisement quand je ralentissais. J'ais vu sa poitrine se soulever de plus en plus vite, au fur et à mesure que sa respiration s'accélérait. Comme hier soir, il a commencé à emmètre des petits râles presque inaudibles, puis des gémissements plus longs et plus sonores. J'ai eu l'impression qu'il avait des mouvements désordonnés. Il a mis la main sur son nez, puis l'a posé sur son ventre. Il l'a remise sur son nez, l'a enlevé pour se gratter l'oreille, l'a remise sur son nez, pour la reposer sur son ventre, et tout ça avec les yeux fermés. Je me suis arrêté, et je l'ai repris en bouche...j'ai eu l'impression qu'il se calmait. J'ai serré l'étranglement de son gland avec mes lèvres, et j'ai bougé ma tête de gauche à droite, et d'avant en arrière. Il a crié, et ses gémissements se sont transformés en plaintes. Je me suis levé et je suis entré dans la salle de bains. J'ai entendu qu'il me disait quelque chose mais je n'ai pas compris. J'ai sorti du placard de la salle de bains la pile de gant de toilettes, et j'ai choisi celui qui me paraissait le plus dur et le plus rêche. Je suis revenu vers lui, je me suis agenouillé, j'ai enveloppé son pénis dans le gant de toilette et j'ai serré fort avec ma main droite au niveau de son gland. Je l'ai regardé, et j'ai perçu comme un regard inquiet dans ses yeux. Alors toujours en le regardant j'ai fait coulisser ma main et le gant brutalement le long de son pénis, puis, je l'ai fait remonter et j'ai continué ce mouvement d'abord lentement puis en accélérant la cadence petit à petit. Il a ouvert la bouche en grand, comme pour crier, mais aucun son n'est sorti. Il s'est redressé, a mis ses bras derrière son dos et s'est appuyé sur ses coudes, il a renversé sa tête en arrière et a commencé à émettre un gémissement ininterrompu " Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa............ " Avec ma main gauche j'ai saisi son petit sac, et j'ai fait rouler ses petites boules sous mes doigts tout en continuant de la masturber de la main droite. J'ai vu son corps se couvrir de frissons et être en proie à des soubresauts désordonnés. Son gémissement s'est fait de plus en plus fort. Soudain il s'est relevé brutalement, a hurlé et est retombé comme une masse complètement inerte sur la banquette. J'ai eu peur et je me suis rapproché rapidement de son visage. Quand j'ai vu son sourire béat et ses yeux qui me regardaient, j'ai été soulagé. J'ai repris son pénis dans ma bouche et j'ai posé ma joue sur sa cuisse pour pouvoir continuer à le regarder. Quand j'ai senti que son pénis avait repris sa taille normale, je me suis levé, j'ai posé un baiser sur ses lèvres et je suis allé préparer le repas. Je n'avais pas envie de remanger de la pizza, alors j'ai ouvert une boite de pâté et j'ai préparé 2 sandwichs avec la moitié de la baguette et j'y ai mis des cornichons. Quand je suis revenu prés de la banquette, j'ai vu que Xavier était toujours dans la même position. " Assoies-toi normalement, on mange... " Il s'est assis correctement et a demandé : " On mange quoi ? " J'ai attrapé son zizi, et en tirant dessus j'ai dis : " De la saucisse de Strasbourg ! " Il a haussé les épaules et a remis son slip correctement. Je lui ai donné son sandwich, et il a mordu dedans. J'ai fais la même chose avec le mien. Soudain ; il s'est tourné vers moi et m'a demandé : " Tout ce que tu m'as fait, tu l'as appris ou ? " " Mais, je ne l'ai pas appris. Je t'ai fais quelques trucs que ma femme me faisait, et je t'ai fait aussi ce que j'aurais bien aimé qu'on ma fasse... Pourquoi tu me demandes ça, tu n'as pas aimé. Et puis tu sais j'ai moins d'expérience que toi... C'est la 3ème fois de ma vie que je fais ça à un garçon...Hier soir, ce midi et tout à l'heure, alors excuse-moi si ce n'est pas parfait. " " Oh non alors, c'était encore mieux qu'hier...j'ai eu l'impression que je m'envolais dans les nuages... A la fin j'avais envi de hurler, mais je me suis retenu... " J'ai alors éclaté de rire. Il m'a regardé en haussant les épaules... " Pourquoi tu ris ? " " J'ai rigolé quand tu as dit que tu t'étais retenu de hurler... Mais tu as hurlé mon petit bonhomme, et même que j'ai eu peur. Mais il ne faut pas avoir honte de son plaisir. Ce matin tu m'as donné un plaisir comme je n'en avais jamais connu... et je crois bien que j'ai crié moi aussi. Tu sais, je suis heureux de t'avoir rencontré hier. Grâce à toi j'aurais connu autre chose. J'aurais découvert d'autres plaisirs, comme celui de te donner du plaisir... Tu as été mon premier garçon, et je crois bien que tu serras le dernier.... Je crois que tu auras été mon " Petit Prince " et moi ton renard, non, moi je suis l'aviateur, celui qui est triste à la fin..." " C'est quoi cette histoire de prince ? " " Attends ! ...Bouges pas ! " Je me suis levé et j'ai été fouillé dans ma bibliothèque. J'ai tout de suite trouvé " Le Petit Prince " Je lui ai tendu le livre, et il l'a pris. " Je m'étais acheté ce bouquin quand j'avais 15 ans...A cette époque là, j'étais un peu romantique...Mais je crois que je le suis toujours un peu...parfois beaucoup ! ... Tu peux le garder, je te le donne en souvenir... " Il a feuilleté le livre pendant une minute, surtout pour regarder les images, et l'a posé sur la table. " Dis, je peux prendre un autre bain ? " " Oui, tu peux en prendre 10 si tu veux ! " Il a rigolé et à filé dans la salle de bain. J'en ai profité pour remettre un peu d'ordre. J'ai de nouveau ramassé ses vêtements, et j'ai été les poser dans la chambre. J'ai enlevé les miettes sur la banquette, et je l'ai repliée en me disant que cette nuit, il ne coucherait certainement pas dedans, et je me suis assis. Je l'entendais qui chantait dans la salle de bains, j'avais envie d'aller voir ce qu'il faisait, mais comme je voulais lui laisser des moments d'intimité, je suis resté assis. D'un seul coup, je me suis senti las, comme fatigué. Je me suis levé, et je suis rentré dans la salle de bains. Il était debout devant le lavabo, tout mouillé, il avait mon rasoir à la main, et il le passait sur sa joue. Je me suis retenu pour ne pas éclater de rire. " Je suis crevé, je vais me coucher...Quand tu auras fini de te raser, tu peux venir me rejoindre " Je suis sorti, et j'ai regagné ma chambre en riant. J'ai enlevé mon short, et j'ai été tout surpris de m'apercevoir que je n'avais pas de slip...Je me suis allongé sur le ventre, et je me suis dit que des " week-end " comme cela, c'était drôlement fatigant, mais ça valait la peine d'être vécu. -- Forum des Histoires Taboues: Le petit bonhomme 5/8 Posted on 8/12/2003 at 11:36:13 PM by Candel Il a du arriver sans faire de bruit, car je me suis aperçu qu'il était là quand il s'est allongé prés de moi. Je n'ai pas bougé, pour lui faire croire que je ne l'avais pas entendu. Ce soir, j'avais envie de ne prendre aucune initiative, et de le laisser faire ce qu'il voulait. En plus, au fond de moi, cela m'excitait de devenir son jouet. Bien que je m'y attende, j'ai sursauté quand il a posé sa main sur mon dos. Je l'ai senti qui montait le long de ma colonne, et qui se posait sur mes cheveux. Je l'ai senti redescendre et se poser sur mes fesses. " Pourquoi ta femme est partie ? " Je ne m'attendais pas à cette question, et j'ai réfléchi un petit moment avant de répondre : " Ce n'est pas elle qui est parti, c'est moi qui l'ai quitté. " " Pourquoi ? moi, si j'étais ta femme, je ne voudrais pas que tu me quittes... " Sa main était revenue sur mon dos, et j'avais l'impression qu'avec son doigt, il écrivait ou dessinait quelque chose, en tout cas cela me donnait d'agréables sensations. " C'est moi qui suis parti, mais elle était d'accord, on en avait longuement parlé avant. Je crois qu'on n'avait plus rien à se dire, et surtout, on n'avait plus rien en commun... " Je me suis retourné pour me mettre sur le dos. Il était assis en tailleur à coté de moi. Il me regardait. Il a posé sa main sur les poils de mon pubis, et a essayé d'entortiller les poils autour de ses doigts. Il souriait. " T'as pas beaucoup de poils, mais ils sont doux...Ils sont blonds comme ceux de Damien. Moi j'en ai pas encore... on m'a dit qu'ils pousseront quand j'aurais 12 ans... Ils seront noirs parce que je suis brun, et j'aurais de la jute aussi... " En l'écoutant parler, j'essayais de me souvenir si à son age, j'avais ce genre de préoccupations. Mais moi, je n'avais pas été violé comme lui... Il a lâché mes poils et a posé sa main sur mon pénis. " Il n'est pas plus gros que celui de Damien, je crois même qu'il est plus petit... Pourtant Damien il n'a que 16 ans... Quand je serais revenu à Libourne, tu viendras me voir ? .... Tu m'écriras alors... " Il a posé sa tête sur ma poitrine, et j'ai senti une goutte chaude tomber sur ma peau. J'ai posé ma main sur sa tête, et je lui ai caressé les cheveux. Il s'est relevé, s'est allongé et est venu se blottir contre moi. Quelques minutes plus tard, il dormait. Doucement, j'ai ramené le drap et la couverture sur nous, j'ai éteins la lumière et j'ai fermé les yeux. Je me suis réveillé à 7 heures. Je me suis levé, j'ai fais une rapide toilette et j'ai préparé le petit déjeuner. J'ai sorti les croissants que j'avais acheté la veille. Puis je suis retourné dans la chambre. Mon petit bonhomme dormait comme un bienheureux. J'ai retiré le drap. Il était sur le ventre. Je me suis penché, j'ai caressé ses petites fesses et j'y ai déposé un petit baiser. Il a bougé et s'est retourné. " Il est quelle heure ? " A t'il demandé en se frottant les yeux. " Il est l'heure de se lever mon grand " Je suis retourné dans la cuisine, et il est venu me rejoindre quelques instants après. On a mangé nos croissants en silence. Comme il n'en finissait pas de manger son dernier croissant, je me suis levé et j'ai été m'habiller. Puis j'ai préparé ses vêtements. J'ai fais 2 tas sur le lit. J'ai mis son jean, son slip et son tee-shirt d'un coté, et ceux que le lui avait acheté de l'autre coté. Puis je suis retourné dans la cuisine. " Xavier, tu viens t'habiller... " Je l'ai pris par la main, et je l'ai traîné dans la chambre. Je lui ai montré les 2 tas et je lui ai demandé de choisir. Il a tendu le doigt vers ceux que j'avais acheté, puis il s'est assis sur le lit. Sans bouger. " Tu ne t'habilles pas ? " Il ne m'a pas répondu, et est resté sur le lit sans bouger. J'ai pris le tee-shirt, et je lui ai mis. Il se laissait faire. Je lui ai enfilé son slip, et il s'est levé. Avant de cacher son petit sexe, j'y ai déposé un petit bisou. Il s'est reculé, comme pour me dire que cela ne lui plaisait pas. C'est lui qui a enfilé son jean. " Je ne sais pas ou sont mes baskets ! " Depuis qu'il était entré dans mon appartement, je l'avais toujours vu pieds nus. J'ai cherché un peu, et je les ai trouvés dans la salle de bains. Pendant qu'il les mettait, j'ai pris un sac pour mettre ses vêtements, et j'y ai ajouté le livre que je lui avais donné la veille. Nous avons quitté l'appartement. J'ai vu qu 'il avait les yeux rouges quand il s'est assis dans la voiture. J'ai pris la direction de l'autoroute, j'ai pris mon ticket et j'ai roulé. On n'a pas échangé un seul mot pendant tout le voyage. Comme je trouvais ça insupportable, j'ai mis la radio. A Saintes, j'ai quitté l'autoroute et j'ai pris la direction de Royan. On y est arrivé à 9h40. Alors j'ai pris la direction de la foret de la Coubre, et je me suis arrêté sur la longue route parralelle à la cote. Je suis descendu de la voiture. Il faisait déjà bien chaud. Je me suis mis torse nu, et j'ai enlevé mes chaussures et mes chaussettes. Le petit bonhomme était toujours à sa place. J'ai ouvert sa portière et je lui ai dit : " Allez, descends et mets-toi comme moi. " Sans poser de question, il a obéi. J'ai posé nos vêtements dans la voiture, je l'ai fermé et j'ai pris le chemin sableux qui mène vers l'océan. Il m'a suivi un petit moment et il s'est arrêté. " On va ou ? " " C'est une surprise, mais je crois que ça va te plaire " Au fur et à mesure que nous avancions, le bruit des vagues se faisaient de plus en plus présents. Quand nous sommes arrivés au sommet de la dune qui domine l'océan, Xavier s'est arrêté un petit instant, il m'a regardé avec un visage réjouit, et il s'est mis à courir vers la mer. J'étais heureux de le voir à nouveau comme cela. Alors, j'ai couru pour le rattraper, je l'ai plaqué sur le sable, et nous nous sommes battus comme deux gamins. Je me suis relevé et j'ai dis : " On va se baigner " Pour toute réponse, il a enlevé son pantalon. J'ai fais la même chose, et je me suis mis à poil. Comme il avait gardé son slip, je lui ai dit : " Cette plage est un peu spéciale...on à le droit de s'y baigner à poil. " Il a regardé autour de lui, mais à cette heure ci, la plage était presque déserte. Il a enlevé son slip et s'est mis à courir vers l'océan. Il s'est arrêté quand il a eu de l'eau jusqu'aux mollets. Il a attendu que je le rejoigne, peut être était-il impressionné par les gros rouleaux. On s'est pris par la main, et doucement nous avons avancé. Nous avons joué pendant 3/4 d'heure. Il sautait quand les vagues qui arrivaient, il riait, il montait sur mes épaules pour pouvoir mieux sauter dans l'eau. Moi, je me suis amusé comme un petit fou. Soudain je me suis aperçu qu'il avait la chair de poule, et qu'il tremblotait. " Tu as froid, sort de l'eau ! " " Non " " Si, allez, on rentre, On fait la course jusqu'aux vêtements " Je suis parti en courant, et je suis arrivé le premier. Il est arrivé en marchant. Il avait croisé ses bras contre son ventre, et tremblait comme une feuille. Je l'ai renversé par terre, je l'ai fait rouler dans le sable et nous avons recommencé à nous battre. Au bout de quelques minutes, il allait beaucoup mieux. J'ai ramassé mes vêtements et j'ai pris la direction de la dune. Quand je suis arrivé en haut, j'ai remis mon slip. Il y avait un groupe de personnes qui montaient la dune dans l'autre sens. J'ai regardé ou était Xavier. Je l'ai vu qui marchait le corps cambré en avant. J'ai été un peu surpris. Quand il est arrivé plus prés, j'ai compris. Il tenait une superbe érection, et il essayait de la mettre en valeur. " Hé! , Regarde comme je bande " m'a t-il crié au moment ou le groupe que j'avais vu, arrivait en haut de la dune. Tout le monde s'est mis à rire, et les trois gamines qui suivaient l'on regardé en rigolant. Il a remis son slip et m'a jeté un regard furieux. " Mais, c'est quand même pas de ma faute si ... " Je n'ai pas pu terminer ma phrase tellement je riais. Il est parti en courant et je l'ai vu disparaître sur le chemin caché par la végétation. Quand je suis arrivé à la voiture, il avait remis son pantalon et il m'attendait. J'ai remis le mien, j'ai ouvert la voiture et nous avons fini de nous habiller. J'ai démarré, fait demi-tour et j'ai repris la route de Saintes. " Tu m'as bien fait rire tout à l'heure sur la dune " " T'es con, t'aurais pu me prévenir...J'avais l'air de quoi moi ! " " D'un mec en pleine forme " J'ai répondu. J'ai posé ma main sur sa braguette en demandant : " Tu bandes encore ? " Et je me suis remis à rire. Le pire c'est que je ne pouvais plus m'arrêter. J'ai été obligé de stopper la voiture tellement je riais. Il m'a vite rejoint dans mon délire et notre crise a duré quelques minutes. Quand j'ai eu l'impression que ça allait mieux nous sommes repartis. " Et bien petit bonhomme, avec toi on n'a pas le temps de s'ennuyer... " Nous sommes arrivés à Saintes un peu avant midi. J'ai fait le plein d'essence et je me suis arrêté dans un restaurant. Un garçon nous a fait assoire, et nous a donné les menus. Xavier m'a regardé d'un air interrogatif. " Tu prends ce que tu veux et ce qui te fait plaisir. " Il a pris une terrine en entrée, moi j'ai pris des moules. Il a pris une sole en plat de résistance et j'ai pris la même chose. Il a pris une coupe de glaces en dessert et moi j'ai pris un café. Pour ne manger que cela, ça a duré 1h1/2. Et nous sommes repartis. J'ai repris l'autoroute en direction de Bordeaux. " Dans une heure t'es à la maison ! " -- Forum des Histoires Taboues: Le petit bonhomme 6/8 Posted on 8/12/2003 at 11:38:19 PM by Candel Pendant tout le reste du trajet, je m'en suis voulu d'avoir dit ça, car il est repartis dans son mutisme et n'a plus dit un seul mot. J'ai quitté l'autoroute pour prendre la direction de Libourne. Au fur et à mesure que je me rapprochais de cette ville, je roulais de moins en moins vite. Je me suis arrêté sur le bas coté de la route...Je suis resté un petit moment les mains sur le volant. " Tu sais bonhomme, tout à l'heure, quand tu seras à la maison, je ne pourrais pas te dire au revoir comme j'aurais envie de le faire... " Il est resté silencieux comme il l'avait été pendant tout le trajet. Il jouait avec un porte-clefs qu'il avait trouvé dans le vide poche. Moi, j'avais la gorge serrée. " Et puis, j'aimerais bien... Enfin si toi tu le veux aussi...J'aimerais beaucoup te faire l'amour encore une dernière fois. " Je n'aurais jamais cru que cette phrase soit si difficile à dire. Et je l'ai dite tout bas. Je crois que j'avais un peu honte d'employer cette expression, mais pour moi elle correspondait exactement à ce que je ressentais. Il ne m'a pas regardé, mais j'ai entendu qu'il disait : " Si tu veux " J'étais un peu déçu, sa réponse ne me plaisait pas trop...J'avais l'impression que je l'obligeais... J'ai redémarré, et 400 m plus loin j'ai pris un petit chemin le long d'un vignoble. Au bout de 500m le chemin s'arrêtait. J'ai stoppé. Nous sommes restés un petit moment sans bouger. Je suis sorti, et je me suis assis en bout d'un rang de vigne. Il est venu me rejoindre, il s'est assis entre mes jambes et s'est appuyé sur moi. Je l'ai entouré de mes bras, j'ai mis ma tête dans son cou et je lui ai dis : " Tu vas me manquer mon grand... " J'ai enlevé son tee-shirt, et j'ai commencé à déboutonner son jean... J'ai descendu la fermeture de sa braguette et j'ai posé mes deux mains sur son slip... Il s'est levé, a enlevé ses baskets. Son jean est tombé sur ses pieds. Il s'en est débarrassé en levant les jambes. Il s'est assis sur le bout de mes jambes, face à moi. Il regardait par terre, et je lui ai trouvé un air grave. Ses mains se sont avancées, il a défait ma ceinture, déboutonné mon pantalon et ma braguette. Là, il a levé son visage et m'a regardé. Il avait les yeux tout rouge... " Tu sais Xavier, si tu ne veux pas, c'est pas grave... " Il a posé ses mains sur ma poitrine et m'a poussé. J'ai cru comprendre qu'il voulait que je m'allonge, et c'est ce que j'ai fais... Il a enlevé mes chaussures et a essayé d'enlever mon pantalon en tirant sur les jambes. Je me suis soulevé pour l'aider. Il s'est allongé sur moi et a posé sa tête sur mon épaule. J'ai senti son pénis contre le mien, et j'avais envi de rester comme ça, le plus longtemps possible...Au bout d'un moment, il a du sentir les soubresauts de mon pénis qui manifestait son désir en se soulevant par acoups, car il s'est mit à rigoler. Je l'ai fait basculer à coté de moi, j'ai baissé son slip, J'ai pris son pénis dans ma main et je l'ai décalotté. Il s'est mis à bander d'un seul coup. Je l'ai pris dans ma bouche...Il n'a pas attendu que je m'amuse avec lui...il a commencé à donner des coups de reins. Je n'ai plus bougé et je l'ai laissé faire. J'ai juste resserré un peu plus mes lèvres pour que son plaisir soit plus fort. Soudain il s'est mit debout devant moi, a prit son zizi dans sa main et l'a collé contre mes lèvres. Je l'ai regardé d'un air étonné, mais lui, s'est collé contre moi pour essayer de le faire rentrer de force dans ma bouche. Je l'ai ouverte, il est entré en moi et il a recommencé à donner des coups de rein. Puis il a attrapé ma tête, comme pour se maintenir. Sa respiration a commencé à s'accélérer. Il a ouvert la bouche, a fermé les yeux et a penché sa tête en arrière. Il n'a pas dit un seul mot. Je n'ai pas entendu la moindre plainte ni le moindre gémissement. Il a continué à s'agiter dans ma bouche pendant un petit moment. Il a fait une grimace et s'est arrêté d'un coup. Il est resté quelques secondes dans ma bouche sans bouger, puis il s'est retiré... Il s'est allongé par terre les yeux fermés. Je suis resté un petit moment en silence un peut désappointé, sans savoir quoi dire. " C'est comme ça qu'il te faisait Damien ? " Il a fait oui avec la tête. " T'as eu du plaisir au moins ? " Il a haussé les épaules. " Moi en tout cas, je n'en ai pas eu. J'aurai bien aimé te le donner ce plaisir. La j'aurais eu du plaisir mais toi tu l'as pris comme un petit égoïste... Tu pouvais faire ça tout seul avec ta main, t'avais pas besoin de moi... " Je me suis tu, car j'ai vu qu'il pleurait... " Allez, viens à coté de moi, on fait la paix " Il n'a pas bougé. Je me suis levé, j'ai remis mon pantalon et mes chaussures et je suis monté dans la voiture. J'avais moi aussi envi de pleurer... J'ai essayé de me retenir mais j'ai senti une larme qui coulait sur ma joue. J'ai croisé mes bras sur le volant, j'y ai appuyé ma tête et je me suis laissé aller...J'ai entendu la portière qui s'ouvrait. Il s'est assis à coté de moi. Il y a eu un long silence... " Tu pleures ? ... c'est à cause de moi ... " Je l'ai regardé. Il ne s'était pas rhabillé. Il avait juste remonté son slip. " Tu vois petit bonhomme, même les grands pleurent... Je suis un peu triste de te quitter... c'est tout. " " Si tu veux t'amuser avec moi, je veux bien... je voudrais bien te faire plaisir... " Il a dit la dernière phrase tout doucement. J'ai souri, et il m'a souri. " T'es gentil, mais je n'ai plus le cœur à ça. Allez, rhabilles-toi, on s'en va... " Il est redescendu et s'est rhabillé. Il est remonté dans la voiture, alors je l'ai serré contre moi et j'ai pleuré. A 15h on arrivait à Libourne. Il m'a guidé jusqu'a sa maison. Je lui ai posé son petit sac sur les genoux. Puis je lui ai dit : " Allez, viens ! " " Non, j'attends dans la voiture... " Je suis descendu et j'ai frappé à la porte. Une dame d'une quarantaine d'année est venue m'ouvrir. Elle avait l'air inquiète de me voir. Soudain son visage a changé de couleur et j'ai cru qu'elle allait se trouver mal. J'ai réalisé qu'elle avait vu Xavier dans la voiture. " Je ramène Xavier...Je l'ai trouvé hier soir à Poitiers " J'ai fais signe au bonhomme de venir. " Vous avez signalé sa disparition ? " Elle m'a regardé d'un air effaré et m'a fait signe que non en baissant la tête. Xavier s'est approché, elle a serré sa tête entre ses mains et elle s'est mise à pleurer. " Entrez " nous a-t-elle dit en reniflant. Nous sommes entrés dans une pièce qui semblait être à la fois une entrée et une salle à manger. Elle m'a fait signe de m'assoire autour de la table et elle s'est assise en face de moi... " Si vous n'avez pas signalé sa disparition, c'est que vous avez trouvé son mot... " Elle a fermé les yeux et m'a fait un signe affirmatif. Au fond de moi, j'ai poussé un gros soupir de soulagement. J'ai tourné mes yeux vers Xavier qui était resté debout. Il me regardait et a compris ce que je voulais lui dire... " J'ai rencontré le gamin hier soir sur un parking de super marché... J'ai compris que ça n'allait pas et que surtout il avait faim... Je l'ai emmené manger au self, et j'ai pu constater dans quel état de crasse il était. J'ai acheté un jean, un tee-shirt et un slip et je l'ai emmené chez moi. Quand ma femme m'a vu arriver avec le gamin, et après que je lui ai expliqué comment je l'avais trouvé, elle lui a fait prendre un bain. Après tout doucement, il a commencé à parler... Je suppose qu'il nous a dit la même chose que ce qu'il vous a écrit sur le mot qu'il vous a laissé... On a couché le gamin, et avec ma femme, on a essayé de trouver une solution. Moi, je voulais l'emmener à la gendarmerie... C'est elle qui m'a dit que si je faisais ça, je foutais la vie du gamin, la vie de votre fils et votre vie en l'air...Elle m'a fait remarquer, que si, comme Xavier nous l'avait dit, et si vous aviez trouvé son mot, vous n'aviez certainement pas signalé sa disparition... Ce matin, il s'est réveillé à 10 heures. Et je l'ai ramené... Ma femme n'a pas voulu venir... " Je me suis arrêté de parler. J'ai regardé la femme. Elle pleurait toujours... Il a eu un long silence. Elle m'a regardé et je l'ai entendu me demander : " Pour les vêtements... je vous dois quelque chose... " Je suis resté quelques secondes complètement estomaqué. Je lui ramenais son gamin qui était parti depuis une semaine, et pas pour une broutille, et elle me demandait combien elle me devait. D'un seul coup, je regrettais de lui avoir ramené Xavier... " Ce n'est pas ça le problème madame, le problème c'est votre fils... " Elle m'a regardé d'un air suppliant, et a fait un signe des yeux en direction du bonhomme. J'ai tout de suite compris. J'ai regardé Xavier : " Xavier, tu ne veux pas retourner dans la voiture...je reviendrais te chercher tout à l'heure... " Il est sorti de la maison tout de suite. Aussitôt elle s'est mise à parler. -- Forum des Histoires Taboues: Le petit bonhomme 7/8 Posted on 8/12/2003 at 11:39:53 PM by Candel " C'est mon mari qui a trouvé le mot de Xavier lundi midi. Il ne m'a rien dit. Il est monté comme un fou dans la chambre des gamins. J'ai entendu hurler, alors je suis monté voir. Je crois que si je n'étais pas monté, son père le tuait... " Elle s'est arrêtée, ses sanglots l'empêchaient de continuer... Elle a repris quelques secondes plus tard. " La, j'ai lu le mot qu'avais écrit Xavier. Vous ne pouvez pas savoir comment.... " Elle n'a de nouveau pas pu finir sa phrase. Je commençais à trouver l'atmosphère pesante... J'avais envi de partir... Puis j'ai repensé à mon petit bonhomme... Il fallait que j'aille jusqu'au bout de ce que j'avais décidé de faire...Rien que pour lui... J'ai demandé : " Vous avez réussi à vivre une semaine, sans nouvelle de Xavier...Sans rien faire... " "Lundi après midi et mardi, mon mari n'a pas été travaillé. Il l'a cherché partout. Il a demandé dans les gares, aux stations services...partout je vous dis... On avait décidé de prévenir la police demain... " Et elle s'est remise à pleurer... " Xavier, c'est un gamin de l'assistance, mais on le considère comme notre fils, et je croyais que Damien le considérait comme son frère. Au début, il était heureux qu'il soit là... " " Maintenant, comment ça va se passer avec vous et surtout avec votre fils...Comment pouvez-vous être sur que cela ne se reproduise pas ? Et surtout, qu'il ne prostitue pas Xavier comme il était en train de le faire. Déjà en premier, il n'y aurait pas un moyen pour que Xavier ait une chambre pour lui tout seul ? " " Si, on va s'en occuper...et si ça recommence, on se séparera de Xavier... " Elle s'est de nouveau remise à pleurer...Je me suis mis à penser qu'il y avait eu beaucoup de larmes aujourd'hui... J'ai demandé : " J'aimerais bien rencontrer votre fils...J'aimerais même lui parler... " Elle s'est arrêtée de pleurer. Il y a eu un silence...puis elle m'a dit : " Il est dans sa chambre...mais il ne va pas vouloir vous voir... " J'ai fait un sourire, pour détendre l'atmosphère, et j'ai dis : " On peut essayer...Mais avant, il faudrait peut-être s'occuper de Xavier...Je vais aller le chercher. " Je suis sorti. Il était toujours dans la voiture. J'ai ouvert ma portière et je me suis assis à coté de lui. Il m'a regardé d'un air anxieux. " Je crois que ça va s'arranger petit bonhomme " " J'aime pas quand tu m'appelles "petit bonhomme " " Et moi qui n'avais pas arrêté de l'appeler comme ça...J'ai failli fondre en larmes quand il m'a dit ça. " Pourquoi tu ne me l'as pas dis plus tôt ? " Comme je n'avais pas de réponse, j'ai dis : " Tu peux rentrer à la maison maintenant, et moi je vais partir, mais avant, je voudrais avoir une conversation avec Damien. Je voulais te le dire avant que je le voie. Tu sais, je crois que je ne t'oublierais jamais. Tu auras été un beau rayon de soleil dans ma vie. Toi, oublies moi le plus vite possible " J'ai regardé vers la maison pour voir s'il y avait quelqu'un à la fenêtre, et j'ai posé un baiser sur ses lèvres. Je suis sorti de la voiture, et il m'a suivi. Quand on est rentré, il s'est précipité vers la dame, il l'a entouré des ses bras, et il s'est mis à pleurer. " Damien veut bien que vous montiez le voir dans la chambre...Il vous attend. " " Je préférerais le rencontrer ailleurs...j'aimerais mieux marcher dehors pour discuter. Vous croyez qu'il sera d'accort ? " Elle m'a regardé d'un air surpris, comme elle ne pouvait rien me refuser, elle et reparti dans l'escalier. Je me suis retrouvé seul avec Xavier. " Alors mon grand, tu es content d'être chez toi? " Il a baissé la tête, l'a relevé, m'a regardé droit dans les yeux, et il m'a dit : " Oui " Ce " oui " m'a réjoui le cœur. La dame est redescendue, suivi de Damien. Je m'attendais à voir un fort gaillard style banlieusard, alors que s'était un gars pas très grand, tout blond et un peu boutonneux. J'ai eu l'impression de me reconnaître en lui. C'était moi à 16 ans. Je l'ai vu poser ses yeux sur Xavier et les baisser aussitôt. J'ai tout de suite sus que je serais le maître de notre conversation, et que j'en ferais ce que je voudrais. J'ai ouvert la porte et nous sommes sortis. Dehors, nous avons marché sans dire un mot pendant 1 ou 2 minutes. " Je te propose 3 choix : on continu à marcher et on discute, on va boire un pot dans un café et on discute, on va faire une ballade en voiture et on discute... " " La troisième solution... " J'aurais choisi celle là si j'avais été à sa place. Dans la rue ou dans un café, je n'aurais pas aimé rencontrer quelqu'un que je connaissais... Nous sommes revenus sur nos pas, nous sommes montés dans la voiture, et j'ai repris la route par ou j'étais venu. Je suis sorti de la ville, et au bout de quelques kilomètres, j'ai retrouvé le chemin ou je m'étais engagé un peu plus tôt avec Xavier. Je n'ai pas été au bout du chemin. Je me suis arrêté au bout de 50 mètres. Je suis descendu, et je me suis assis sur le capot. Il est venu me rejoindre et s'est planté devant moi en baissant la tête. Il ne fallait pas que je lui laisse prendre le dessus : il fallait que je reste le maître de la discussion... -- Forum des Histoires Taboues: Le petit bonhomme 8/8 Fin Posted on 8/12/2003 at 11:41:44 PM by [fipoli@wanadoo.fr] "Si j'ai bien compris ce que m'a dit Xavier, t'es un PD. " Il a relevé la tête et a dit fermement : " Ah non alors " " Alors t'es un salaud. Les PD, je les excuse, mais pas les salauds " Il a de nouveau baissé la tête, et j'étais heureux. J'avais gagné la première manche. " Non seulement t'es un salaud, mais en plus t'es un maquereau. Combien ils t'ont donné tes copains pour profiter de Xavier ? " " Ils ne m'ont rien donné. C'était pour s'amuser...pour rigoler... " " Alors, salaud, maquereau et con en plus puisque tu n'en as même pas tiré du profit. " Il est resté tout con à me regarder... je crois que je venais de marquer un nouveau point. Mais il n'avait pas l'intention de se laisser faire... " La première fois qu'ils sont venus, je ne savais pas que cela se terminerait comme ça... Moi j'étais pas d'accort... " " Mais tu as laissé faire, et tu as été d'accord pour qu'ils recommencent. Tes copains, ils savent que Xavier a fait une fugue " Il a haussé les épaules. " Personne le sait, a part mes parents, moi et maintenant vous ! " Nous sommes restés un moment sans rien dire et j'ai demandé : " Pour en savoir un peu plus, racontes-moi quel effet ça fait de se faire tailler une pipe par un gamin de 11ans. " Il m'a regardé, a haussé les épaules et m'a répondu d'un air arrogant : "Le même effet que quand c'est votre femme qui vous le fait. " " Ah non, c'est trop simple de répondre ça. Quand c'est ma femme qui me le fait, d'abord elle le fait sans contrainte, ensuite elle y prend du plaisir, et enfin, moi je lui fais autre chose pour lui rendre le plaisir qu'elle m'a donné. Alors que toi, tu obligeais Xavier à te faire une pipe, alors qu'il ne le voulait pas et que ça ne lui plaisait pas, et toi, tu ne faisais rien pour le remercier. Alors ne me dis pas que c'est la même chose. " " D'abord, comment vous le savez que ça ne lui plaisait pas ? " J'ai failli m'embrouiller. En repensant à ce que xavier m'avait dit, je n'étais pas sur que la contrainte des premiers jours avait duré 6 mois. En plus l'expérience que j'avais eue avec lui me donnait à croire qu'il " aimait ça " J'ai quand même répondu : " Parce qu'il me l'a dit. J'ai passé plus de 3 heures en voiture avec lui aujourd'hui, J'ai eu le temps de lui poser des questions, et lui de me répondre. Enfin admettons qu'il aimait ça. Par contre ne me dis pas qu'il aimait se faire enculer par tes copains. Et surtout par toi... " " C'est pas vrai, je ne lui ai jamais fais ça...je le jure.. Je voulais pas qu'ils le fassent...la première fois j'ai pas réalisé, j'ai pas compris... Je leur ai dis que je ne voulais plus qu'ils reviennent, et puis ils m'ont dit que tout le lycée serait au courant que je me faisais sucer par mon frère... " Ca devait tenir de la famille, car il s'était mis à pleurer. Au fond de moi, j'étais content de la tournure que prenait notre petite conversation. Il venait de craquer, et c'est ce que je souhaitais. " C'était pas malin de ta part de raconter ce que tu faisais avec Xavier. " Il s'était arrêté de pleurer. Il avait l'air d'un chien battu. Il n'avait plus cet air arrogant qu'il avait au début. " Et maintenant, avec Xavier, comment crois-tu que ça va se passer ? Tu va recommencer à te faire sucer par lui ? " " Non, je ne recommencerais plus... " " Alors c'est peut être toi qui va le sucer ? " " Non je vous ai dis que j'étais pas un PD " " Oui, je sais, tu me l'as déjà dit. Tu n'es pas PD, mais tu es un salaud, et si le PD n'a pas envie de recommencer, qui me dit que le salaud, lui n'en a pas envie... " " Mais puisque je vous dis que je ne recommencerais plus, je voudrais oublier tout ça, je voudrais n'avoir jamais commencé " " Je veux bien te croire, alors je repose ma question : Et maintenant, avec Xavier, comment crois-tu que ça va se passer ? Comment vont être vos rapports ? Chaque fois que tu le verras, comment vas-tu le regarder ? Chaque fois qu'il te verra comment va t-il te regarder, comment seras-tu sur qu'il ne pensera pas à ce que tu lui as fait subir ? On ne peut pas d'un coup d'éponge effacer les conneries qu'on a faites. Surtout des conneries comme cela " Il y a eu un long moment de silence. Peut être réfléchissait-il à la question que je venais de poser, ou peut être se disait-il qu'il en avait mare de mes questions. Soudain il m'a dit : " Je sais qu'on ne peut rien effacer...alors comment faire ? " J'en avais mare d'être assis sur le capot de la voiture. Je me suis levé, je me suis assis par terre, et j'ai dis : " J'ai peut-être une solution. Mais, il faut que tu sois sincère, et que tu répondes à une des questions que je t'ai posé tout à l'heure. Quel effet ça te faisait de te faire tailler une pipe par Xavier ? Tu y prenais du plaisir, c'était vraiment le pied, ou alors tu lui faisais faire ça simplement pour le faire chier ? " Il s'est assis en face de moi, il a ramené ses genoux contre son torse et les a entourés de ses bras. Il n'était plus tendu, ni sur le qui-vive comme au début... " La nuit du réveillon, je ne sais pas ce qu'il ma pris...je l'ai forcé à me faire ça... les autres fois, il était d'accord...enfin je crois... il ne m'a plus jamais dit non...Oui j'ai eu du plaisir, mieux que quand je fais ça tout seul... Un soir, je ne suis pas allé le voir dans son lit, je lui ai demandé de venir dans le mien, et il m'a sucé. Je suis resté couché...La, j'ai vraiment joui...C'était le pied...en plus, il me la tenait avec ses mains...Après, il me l'a fait toujours comme ça, et c'était vachement bon. Je croyais qu'il était d'accord... J'ai jamais pensé qu'il fuguerait... " " A mon avis, ce n'est pas pour ça qu'il a fugué, c'est à cause des copains que tu as amenés. Dis-moi, tu n'as jamais pensé, ni eu l'idée de lui faire plaisir toi aussi ? Tu ne t'ais pas aperçu qu'il n'attendait que ça. Tu n'as pas remarqué s'il bandait quand il te faisait plaisir ? " " Oh si je m'en suis aperçu...ça se voyait sous son pyjama... " J'ai regardé ma montre, et j'ai vu qu'il était 16h 45. j'ai pensé que j'avais encore 3h de route pour rentrer à Poitiers, et que je n'étais pas encore parti... " Laisses passer un peu de temps, je crois qu'un soir il reviendra te voir. Et s'il ne revient pas de lui-même proposes-lui de venir, ou vas le voir dans son lit. Ce soir là, caresses-le, essaye de lui faire plaisir. Même si tu dis que tu n'es pas un PD, suces le quand même, il te l'a bien fait, lui. Donnes lui un peu ce plaisir qu'il te donne depuis 6 mois... " Je me suis levé, et je suis remonté dans la voiture. Il m'a suivi. " Je n'ai pas vu ton père...j'espère qu'il n'est pas parti... " " Il est de garde à l' EDF toute la journée, il ne rentrera pas avant 10h ce soir. " J'ai repris la route vers Libourne, et sans problème j'ai retrouvé le chemin de la maison. Avant de descendre de la voiture j'ai regardé Damien et je lui ai dit : " Xavier, c'est un petit bonhomme formidable. En plus je crois qu'il t'aime bien. Essaye d'être sympa avec lui. Un jour, il te racontera sûrement son séjour chez moi, et tu comprendras pourquoi je t'ais dit tout ça. " Nous sommes rentrés dans la maison. J'ai eu l'impression que la dame avait l'air soulagé de nous voir revenir. Elle n'a posé aucune question Je n'ai pas vu Xavier. Je n'ai pas eu le temps de poser la question, elle m'a dit : " Il est monté dans sa chambre. " " Moi, je vais partir, Poitiers ce n'est pas tout prés, et je travaille Demain... Mais j'aimerais dire au revoir à Xavier... " " Je l'appelle ! " " J'aimerais mieux le voir seul...je peux monter dans sa chambre ? " " Si vous voulez...c'est la porte avec un poster de Michael Jackson... " Je suis monté, sa porte était ouverte. Il était allongé sur un lit et regardait le livre que je lui avais offert. Ca m'a fait chaud au cœur... Je me suis assis à coté de lui... " Tu vas partir maintenant ? ... " " Oui " J'ai dit. " Dis-moi Xavier, ça ne te plaisait pas quand même un petit peu de sucer Damien ? ... " Il a baissé la tête, mais n'a pas répondu. Je n'ai pas insisté. " Oui je vais m'en aller...Il faut que je rentre chez moi... " Je lui ai pris le livre des mains, et comme je le connaissais par cœur je l'ai ouverte à la page que je voulais. " Le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche : - Ah dit le renard... Je pleurerai.. - C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise... - Bien sur, dit le renard. - Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince. - Bien sur, dit le renard. - Alors tu n'y gagnes rien ! - J'y gagne, dit le renard, à cause le la couleur du blé. " J'ai refermé le livre et j'ai regardé Xavier. Il était tout pensif...il souriait. J'ai tourné quelques pages du livre et j'ai repris ma lecture " Je compris que je ne supportais pas l'idée de ne plus jamais entendre son rire... - Petit bonhomme, je veux encore t'entendre rire... Il rit encore. - Ah ! petit bonhomme, petit bonhomme j'aime entendre ce rire ! - Justement ce sera mon cadeau... - Que veux-tu dire ?... - Toi tu auras des étoiles comme personne n'en a... - Que veux tu dire ? - Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j'habiterai dans l'une d'elles, puisque je rirais dans l'une d'elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire ! Et il ris encore. - Et quand tu seras consolé (on se console toujours) Tu seras content de m'avoir connu. Tu seras toujours mon ami. Tu auras envie de rire avec moi. Et tu ouvriras... Je me suis arrêté de lire, une larme était tombée sur la page, et j'avais les yeux troubles. J'ai posé le livre sur le lit, et je l'ai regardé... Il m'a demandé : " C'est pour ça que tu m'appelais petit bonhomme ? " " Allez Xavier, je m'en vais... " Je me suis penché vers lui, et tout en pleurant je lui ai dis tout bas : " J'ai passé un merveilleux week-end... Tu m'as donné un bonheur et un plaisir que je n'espérais pas, que je ne connaissais pas et que je ne retrouverais jamais. Merci, et bonne chance petit bonhomme " J'ai posé mes lèvres sur les siennes, et je suis parti. En me retournant, j'ai vu Damien, immobile dans l'encadrement de la porte. Sans un mot, il s'est écarté pour me laisser passer. En bas sa mère a du se rendre compte que j'étais en train de pleurer. Elle n'a rien dit non plus. J'ai réussi à prononcer sans trop chevretter : " Au revoir, veillez bien sur Xavier... " Je suis sorti, je suis monté dans ma voiture et je suis parti comme un fou. J'ai pleuré pendant les 10 premiers kilomètres, j'ai mis la radio et je me suis calmé. J'ai repris l'autoroute, je n'avais pas envi de me traîner sur la N10. Je suis arrivé chez moi 19 h 45. Arrivé dans mon appartement, je me suis servi un bourbon et je me suis allongé sur la banquette. J'ai revu en pensée l'épisode de la dune, et j'ai souri. Je me suis aperçu que mon pantalon était plein de taches vertes. Il faut dire que je m'étais assis et roulé dans l'herbe souvent. Je me suis déshabillé' et j'ai ramassé tous les vêtements qui traînaient. J'ai faillis me remettre à chialer quant j'ai trouvé le slip " Simpson " Arrivé devant la machine à laver, j'ai vu les papiers et le petit canif que j'avais trouvé dans les poches du jean de mon petit bonhomme. Là, je n'ai pas pu me retenir de pleurer. J'ai rempli la machine, je l'ai mise en marche, et j'ai été me coucher sans manger. Mon petit bonhomme a du me porter chance, le lendemain, je rattrapais le contrat que j'avais loupé le vendredi. En rentrant le soir, je me suis racheté " Le Petit Prince " Trois semaines plus tard. Je rencontrais Françoise. Cela fait presque 17 mois que nous vivons ensemble. Elle est enceinte de 5 mois, et je pense sérieusement à refaire ma vie avec elle. Il y a une semaine, un soir quand je suis rentré du travail, j'ai vu un sac sur la table du salon...je n'y ai pas prêté attention. Je suis allé embrasser Françoise. Quelques minutes après elle m'a dit : " Michel tu regarderas le sac sur la table du salon...Je ne sais pas ce que c'est... j'ai trouvé ça dans un tiroir. Par contre la lettre qui est dedans est plus que surprenante... J'ai vidé le sac sur la table. J'y ai trouvé 3 slips " Simpson ", un petit canif, une lettre et un appareil photo jetable qui n'avait jamais été développé. J'ai senti les larmes qui me venaient aux yeux. Françoise est arrivée et elle m'a vu. " Mais qu'est ce qu'il t'arrive ? ...Pourquoi tu pleures ? ... " Je me suis levé, je l'ai enlacé et je lui ai dit : " Rien mon Ange, un coup de cafard. " þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES (pd, inc, ...) http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires Vous y trouverez la plus grande collection d'histoires en français sur le sujet. N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ... Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison ! ------------------------------------------------------------------------------- Cette oeuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin. -------------------------------------------------------------------------------