Le petit bonhomme (1->8) (par Candel) (M/b)
(reformaté)

title: Le petit bonhomme
part: 1 -> 8
author: Candel
keywords: M/b
language: Francais
age_garcon: 12 ans
first_published: 02/01/2004


Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues' le 8 décembre 2003.
( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires )

Toutes nos histoires sont purement imaginaires.
Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte ne serait que coincidence.


Forum des Histoires Taboues:

le petit bonhomme 1/8 M/b12ans

Posted on 8/12/2003 at 11:08:29 PM by Candel (fipoli@wanadoo.fr)



L'année dernière, un vendredi soir de début juillet, je revenais de visiter
un client, et j'étais furieux, car je venais de louper une vente colossale.
J'avais mis la radio a fond dans la voiture, pour me changer les idées.
J'étais sur la 2 fois 2 voies d'Angoulême à Poitiers, et je rentrais chez moi.
Voyant une aire de repos, je décide de m'arrêter. Oh chance, il y avait un
bloc sanitaire, et je décidais d'en profiter pour soulager ma vessie. Je
stoppe devant le bâtiment, et me précipite aux toilettes. En entrant dans le
bloc, je pense que ce n'est pas prudent de laisser ma voiture ouverte, et je
fais demi-tour. Je suis tout surpris de voir ma porte arrière ouverte. Je
m'approche doucement, et découvre un gamin en train de fouiller dans les
poches de mon blouson. Je l'attrape par le col, et le tire à l'extérieur de la
voiture. Il me regarde d'un air terrifié, puis baisse les yeux. Je le regarde
aussi sans savoir quoi dire...

Il doit avoir entre dix et douze ans, il est brun et mal peigné. Il porte
un tee-shirt douteux et un jean sale. Seules ses baskets dénouées semblent
assez neuves.

" Qu'est ce que tu fais dans ma voiture ? " Je demande assez durement.

Mais il se débat, et essaye de s'enfuire. Je le rattrape par le bras,
ouvre la portière avant, le pousse dans ma voiture et viens m'assoire à coté de
lui.

" Bien essayons de rester calme. Je te surprends en train de me faire les
poches...Alors calmement, tu m'expliques. .. Tu as besoin d'argent ? Ce sont
tes parents qui te font faire ce petit travail ? "

Pas de réponse. J'attends un petit moment en le regardant. Mais lui baisse
toujours la tête, sans prononcer un seul mot. Alors, je mets le contact et je
démarre. Nous sommes à une vingtaine de kilomètres de Poitiers, et je commence
à avoir faim.... Que ce soit le midi ou le soir, depuis mon divorce, je mange
rarement chez moi.

" Je vais m'arrêter pour manger à l'entrée de Poitiers... Est ce que tu
as faim ? "

" Oh oui monsieur. "

Je suis ravi, car je viens d'entendre le son de sa voix pour la première
fois. Je le regarde, et je lui sourie. Il me répond par un sourire ressemblant
étrangement à une grimace. A l'entrée de Poitiers, je me gare sur le parking
d'un centre commercial et je lui dis :

" Allez, viens. On va aller manger... Mais tu n'oublies pas que tu me
dois des explications... Alors je compte sur toi ! "

Nous rentrons dans le self du centre commercial, et je lui donne un
plateau en disant :

" Tu prends ce que tu veux. "

Moi, je suis l'habitué de l'éternel " entrecôte frites ", et c'est ce que
je prends, sans entrée ni dessert. Il vient me rejoindre avec son plateau composé
d'une assiette de jambon cru, d'une tranche de pâté, d'une salade de choux
rouge avec des lardons, d'un yaourt et d'une part de gâteau au chocolat. Je
souris en voyant son menu.

" Tu ne prends rien à boire ? "

Il retourne vers les présentoirs, et revient avec une petite bouteille de
Coca Cola.

" Tu me passeras un peu de ton coca ? "

Il me fait oui d'un signe de tête. Nous passons à la caisse et allons nous
assoire dans un endroit tranquille... Je commence à manger en silence tout en
le regardant. Pour un petit voleur, il ne ressemble pas à une grosse terreur.
Moi, j'en suis à mon troisième morceau de viande, alors que lui a déjà
englouti son jambon, et commence sa salade...

" Cela fait combien de jour que tu n'as pas mangé. Comme je n'ai pas de
réponse, je saisis sa main et l'immobilise. Il me regarde d'un air terrifié.
J'ai un peu honte de moi, le lâche, et reprend mon repas tout en le regardant.
Quand l'assiette de choux est vidée tout en prenant la tranche de pâté, il dit:

" Je n'avais pas mangé depuis 3 jours. "

" Tu as fais une fugue ? "

" Non, je suis parti de chez ma famille d'accueil. "

Et il se remet à manger. Pour moi, partir de chez sa famille d'accueil ou
fuguer, c'est la même chose. En tout cas, il a bon appétit. Avec tout ça, j'en
oublie mon entrecôte, et comme j'ai horreur de la viande froide, je me remets
à manger. Comme il ne me reste plus que quelques frites, je demande :

" Donc cela fait 3 jours que tu t'es sauvé... Donc 3 jours sans te
laver... Et pour dormir ? "

" Non, ça fait 5 jours... Au début j'avais un peu d'argent, alors j'ai
pu manger. "

" Et pour dormir ? "

" Je me suis débrouillé. "

Je pioche quelques frites dans mon assiette, et lui est en train de finir
son gâteau. Je lui tends mon verre et dit :

" Tu m'avais promis de me donner du coca ! "

Il me sert en me faisant un petit sourire.

" Ecoute-moi bien bonhomme. Je devrais te conduire tout de suite à la
gendarmerie. Mais je vais te proposer autre chose. On va aller au super marché
pour t'acheter un tee-shirt un slip et un pantalon, par ce que les tiens sont
un peu douteux. Ensuite on ira chez moi. Tu prendras un bain pour te
décrasser, tu essayeras de passer une bonne nuit, et demain matin, on
reparlera de tout ça. Alors, on décidera ensemble de ce que l'on fera de
toi... Ca te vas comme programme ? "

Je vois alors son regard s'éclairer, et avec un sourire qui ne ressemble
plus à une grimace il me dit : " Oui "

En sortant du self, je demande :

" Tu t'appelle comment ? "

" Xavier Tessier "

" T'as quel age ? "

" Presque 14 "

Je le regarde surpris. Je lui avais donné 12 ans au maximum. Dans le super
marché, je lui achète un jean bon marché et un tee-shirt " Harry Potter "
C'est facile, car ces produits ne sont pas emballés, et on peut se rendre
compte de la taille. Pour le slip, je suis un peu plus embêté.
" Quelle taille ? " je demande

" 14 ans "

Le lot de 3 slips taille 14/16 avec des dessins " Simpson " était moins
cher qu'un slip à l'unité. Je lui montre, et il me fait oui de la tête. Nous
passons en caisse, il prend le sac et nous rejoignons la voiture. En
repartant, je lui dis :

" Moi, je m'appelle Michel...Tu sais, chez moi c'est tout petit, mais on
te trouvera une place...Dans le salon, la banquette fera un lit très bien. "

" Oui " me dit-il.

Depuis mon divorce, j'habite un f2 dans une petite résidence de 6 logements au
nord de Poitiers, prés de la route de Tours. Je me gare prends les achats et
je l'invite à me suivre. Arrivés dans mon appartement, je m'assieds sur la
banquette du salon, et je lui fais signe de s'assoire à coté de moi.

" Ecoute Xavier, tu vas aller prendre un bain, tu me passeras tous tes
vêtements, je vais les mettre dans la machine à laver et je pense que demain,
ils seront secs. "

" Oui "

Je me lève, et il me suit jusqu'à la salle de bain. Je fais couler l'eau
dans la baignoire, lui donne un gant et un drap de bain, lui montre le savon et
le shampoing et lui dit de me donner ses vêtements. Il enlève ses baskets, et je
suis effrayé par la noirceur des ses pieds. Il laisse tomber son jean, et
enlève son tee-shirt.

" Je viendrais chercher ton slip quand tu seras dans la baignoire "

Mais je m'aperçois que j'ai parlé pour rien, car il est déjà à poil, en
train de rentrer dans la baignoire. La vision de ses petites fesses me fait
frissonner, et je n'arrive pas à en détourner mon regard. Je reste pétrifié
pendant 30 secondes, puis je sorts de la pièce en disant :

" Laves toi bien, je crois que tu en as besoin ! "

Dans la cuisine, j'ouvre le tambour de la machine à laver, et j'y dépose
ses vêtements. Je me ravise, retire le jean, et lui fais les poches. J'y trouve
un petit canif, des papiers de bonbons, une note de pâtisserie et quelques
piécettes de centimes d'Euros. Je pose le tout sur la table, et met la machine
à laver en marche. Je vais m'assoire dans le salon et allume la télé. Je
repense à ma journée et au contrat que j'ai loupé. J'ai envie de me donner des
claques. Je me lève, me sert un verre de Bourbon et vais me rassoire. Je
regarde machinalement ce que diffuse la 2...Des conneries, comme
d'habitude....

J'ai du m'assoupir un peu, car c'est un gamin enveloppé dans un drap de
bain qui me réveille en me demandant :

" Ils sont ou les vêtements que tu m'as achetés ? "

Je le regarde comme si je voyais une vision

" Dans le sac sur la table...Mais dit donc, tu ne t'es pas lavé les
cheveux ? "

" Non bredouille t-il doucement "

Je me lève, le prends par la main et l'entraîne dans la salle de bains.
Je le fais mettre à genoux devant la baignoire, lui fais pencher la tête, et
commence à lui laver les cheveux. Je me suis mis à genoux, et mon corps est
collé contre le sien. Je sens mon coeur qui se met à battre plus fort, et je
me desserre quand je réalise que je suis en érection... Je ne comprends pas ce
qui est en train de m'arriver.


--


Forum des Histoires Taboues

Le petit bonhomme 2/8

Posted on 8/12/2003 at 11:11:12 PM by Candel



Je lui fais 2 shampoings à la suite, le rince, le relève et l'essuie en
frottant fort. Le drap de bain qu'il s'était noué autour de la taille tombe
alors, et sa nudité m'apparaît. Je ferme une seconde les yeux comme ébloui par
son corps...Mais il me glisse entre les bras, et s'enfuit de la salle de bains.
Je le rejoins au salon. Il est assis sur la banquette, et essaye d'ouvrir le
blister contenant les 3 slips neufs. Je lui prends des mains, ouvre
l'emballage et lui tends un slip bleu ciel. Il l'enfile en vitesse et j'éclate
de rire. Le slip est beaucoup trop grand. Il baille à l'entre jambe et a du
mal à tenir à sa ceinture.

" J'ai des punaises si tu veux ! "

Il rigole avec moi, et passe son tee-shirt. Il est un peu long... on
dirait une chemise de nuit.

" Tu regardais quoi à la télé ? " Il demande.

" Rien, des conneries, comme d'habitude. "

" T'as pas canal+ ? "

" Non, je réponds, pourquoi ? "

" Pour rien "

Je m'assieds prés de lui, et aussitôt, il se blottit contre moi.

" Pourquoi t'es parti de chez toi ? "

" Par ce que ! " Il me répond.

" C'est pas une réponse ça ! ... Tu ne veux rien me dire ? "

Il se couche sur le dos en ramenant ses pieds contre ses fesses, et pose
sa tête sur mes genoux. Son tee-shirt trop long glisse le long de ses jambes
laissant apparaître le " Bart Simpson " imprimé sur le devant de son slip. En
imaginant son petit sexe caché derrière la figure de Bart, j'ai l'impression
d'avoir comme une bouffée de chaleur.

" T'es pas marié ? "

Il me tire de ma rêverie. Je réponds

" Non, et toi ? " Il se met à rigoler.

" T'as une copine ? "

" Non, et toi ? " Il rigole encore, se soulève et me dit très sérieusement :

" Alors t'es PD ! "

" Mais non...mais pourquoi tu me poses toutes ses questions ? Ecoute bien.
J'ai 26 ans, j'ai été marié pendant 18 mois, et je suis divorcé depuis 2 mois.
Je n'ai pas d'enfant, et je n'ai pas envie d'avoir une nouvelle copine pour le
moment. Et pour ta gouverne, je ne suis pas PD. Voilà tu es content ? "

" Tu sais; je demandais ça comme ça, pour parler. "

" Au lieu de poser des questions idiotes, tu ferais mieux de me dire
pourquoi tu es parti de chez toi. "

" On avait dit qu'on en parlerait seulement demain... "

Tout en discutant, sans m'en rendre compte ma main s'était posé sur son
ventre, et maintenant elle est sur son slip. Je m'en aperçois, et la retire
brusquement.

" Elle ne me gênait pas, tu pouvais la laisser " me dit-il d'un air
candide.

Je le pousse, me lève et dit :

" Allez bonhomme, il est l'heure d'aller au lit. Moi je suis crevé, et
toi tu ne dois pas valoir mieux. "

Il se lève et m'aide à déplier la banquette. Je lui apporte un oreiller
et une couverture légère. Je lui dis :

" Tu n'auras pas froid, et de toute façon, c'est mieux que dehors...
Allez bonne nuit Xavier. "

Je rentre dans ma chambre, m'assois sur mon lit, et me mets à réfléchir.
Mais qu'est qu'il m'arrive ? Moi, qui n'ai jamais été attiré par les mecs, et
encore moins par les petits garçons, voilà que je me mets à fantasmer devant
ce petit morveux... Je me relève, me déshabille en ne gardant que mon caleçon,
et me glisse dans les draps. Très rapidement, je sens mes idées se brouiller
dans ma tête et....

...Je suis réveillé en sursaut. Il est debout à coté de mon lit avec son
oreiller à la main... " Je peux dormir avec toi...J'aime pas ou je suis... " Je
me lève d'un bond, et file à la cuisine avaler un verre d'eau. Quand je reviens
dans la chambre il est déjà installé dans le lit. Il y à juste son nez et le
haut de sa tête qui dépassent du drap. Je vais pour lui dire que je ne suis
pas d'accort, mais prenant la parole le premier, il me dit :

" Tu portes un caleçon comme " l'autre " J'aime pas les caleçons "

Je pousse un soupir, et me recouche sans rien dire. Alors se serrant
contre moi, il me dit : " T'es gentil. " Je lui réponds d'une voix agacée :

" Je suis bien content de le savoir...Maintenant on dort. " Et j'éteins
la lumière.

Je savais combien il est difficile de s'endormir quand une fille est
blottie contre sois, mais je ne savais pas que c'était la même chose, quand
c'est un petit garçon. Surtout qu'il avait passé ses bras autour de moi, et que
je sentais ses mains qui jouaient avec les quelques poils de ma poitrine. En
plus, je sentais la petite bosse de son slip qui était collée contre mes
fesses. D'un seul coup, je me suis retourné, et j'ai glissé ma main sous son
tee-shirt. Il s'est mit sur le dos, et avait l'air d'attendre. Je me suis
assis sur le lit et j'ai rallumé la lumière. Je l'ai regardé. Il avait les
yeux fermé et faisait semblant de dormir.

" Pourquoi tu fais semblant de dormir ? Avant que je fasse des bêtises,
je voudrais que tu saches que je n'ai jamais dormis avec un garçon, que jamais
j'en ai touché un. "

Il a ouvert les yeux et m'a répondu :

" Moi, j'ai déjà fais des choses avec des grands "

Je suis resté comme ça, sans bouger à le regarder d'un air ahuri. Je me
suis rallongé et j'ai fixé le plafond en me demandant comment je pourrais bien
sortir de ce cauchemar. J'avais envie de lui sauter dessus, mais je ne voulais
pas le faire...Et puis sa main s'est posée sur mon ventre, et doucement elle est
redescendue un peu plus bas. Je l'ai sentie qui s'infiltrait sous mon caleçon,
et s'emmêlait dans mes poils. Elle a saisit mon pénis déjà en érection et a
commencé à le masturber. J'ai retiré brutalement sa main en disant :

" Arêtes "

" Tu veux pas ? Tu n'aimes pas ? "

" Si j'aime, mais je veux pas ! "

Il m'a regardé, et brusquement s'est retourné en se couchant en chien de
fusil et en me présentant son derrière. Sur le dos de son slip, j'ai vu
l'image de " Bart montrant ses fesses " Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, je
me suis collé contre lui, et j'ai saisi son pénis a travers son slip. Lui
aussi était en érection, et je ne m'en étais pas aperçu. Doucement j'ai fais
glisser son slip. Il s'est remis sur le dos, et j'ai eu un choc quand j'ai vu
sa quéquette bien droite et dressée vers le plafond. Je ne me souvenais plus
qu'à cet age on pouvait bander comme cela. Elle était superbement dressée, 10
à 12 cm, magnifiquement proportionnée, avec le prépuce légèrement retiré qui
laisser entrevoir le bout de son gland rose et brillant. Je me suis assis sur
le lit, et je l'ai contemplé pendant un petit moment. Je n'avais jamais vu le
sexe d'un garçon de cet age, et surtout pas en érection. Je l'ai vu avancer sa
main, saisir son zizi et le masturber. J'étais comme hypnotisé par ce
spectacle. Machinalement, sans réfléchir, j'ai sorti mon pénis par la
braguette de mon caleçon, et moi aussi j'ai commencé à me masturber. Il s'est
arrêté, et j'ai vu sa tête s'avancer vers moi. Sa petite bouche s'est refermée
sur mon gland. Je suis tombé à la renverse et me suis laissé faire. Je ne
savais pas qu'un gamin de cet age était capable de me faire tant d'effet. En
plus il semblait avoir une certaine expérience. De temps en temps, il
s'arrêtait, et tout en me masturbant avec sa main, je sentais la pointe de sa
langue qui se promenait sur toute la longueur de ma verge, puis qui tournait
autour de mon gland avant de le reprendre dans sa bouche. Parfois il me
mordillait et mon corps tout entier faisait un saut dans le lit. Parfois il
s'arrêtait. Alors je relevais la tête, et après m'avoir fait un sourire, il
recommençait ses petites gâteries.

Soudain il s'est arrêté. Il s'est avancé et s'est assis sur mon ventre face à
moi. Il a soulevé ses fesses, a saisit mon pénis dressé en passant sa main
entre ses jambes et il s'est assis dessus. Quand j'ai senti la raie des ses
fesses sur mon gland, d'un seul coup je me suis relevé, et je l'ai fait
basculer brutalement sur le coté. Il m'a regardé sans comprendre pourquoi je
l'empêchais de continuer. Alors je lui ai dit :

" Ah non, ça, je ne suis pas d'accord. Tu es encore bien trop jeune, et
je ne crois pas que tu ai 14 ans comme tu me l'as dit ce soir. En plus ce genre
de jeu ne m'amuserait pas. Je n'oserais plus me regarder dans une glace. Mais il
faut que tu saches que le vrais plaisir pour moi, ce n'est pas ce que tu
voulais me faire faire, le vrais plaisir, c'est celui qu'on partage parce
qu'on l'a choisi ensemble. "

J'ai passé mes mains sous ses reins, je l'ai soulevé, et j'ai amené son
corps prés de mon visage. Il a reposé ses pieds sur le lit de chaque coté de mes
jambes, et comme son pénis se trouvait bien dressé juste devant ma figure, je
l'ai pris dans ma bouche. Comme son gland n'était pas complètement découvert,
j'ai fini de le décalotter avec mes lèvres. Je l'ai senti se raidir quand le
l'ai serré entre ma langue et mon palais. Il a fait " Ha ! " Alors tout
doucement, je l'ai masturbé entre mes lèvres. Je le sentais qui partait vers
l'arrière, comme pour tomber, et je le retenais avec mes mains. J'ai soudain
senti les siennes qui s'agrippaient à mes cheveux. Je me suis arrêté, et je
l'ai regardé. Il avait la tête renversée en arrière, la bouche ouverte et les
yeux fermés. Je l'ai rallongé sur le lit, Je me suis mis à genoux prés de lui,
et je l'ai repris dans ma bouche en espérant le sentir jouir. J'ai relevé la
tête, et j'ai vu qu'il me regardait. J'ai réalisé qu'il avait toujours son
tee-shirt, alors, doucement je lui ai enlevé. J'ai également fait glisser mon
caleçon, et je l'ai jeté en bas du lit. Je me suis penché sur son zizi, et
avec 2 doigts je l'ai masturbé doucement. De temps en temps j'approchais ma
bouche pour y enfermer son petit gland, ou pour y passer doucement ma langue.

J'ai soudain eu l'impression que mon membre tout entier s'enflammait...
Je me suis redressé. Je n'ai pas eu le temps de le prendre dans ma main et j'ai
libéré ma semence dans une intense brûlure. J'ai entrevu 3 jets qui partaient
en direction de Xavier. Je suis resté quelques secondes, inerte, à savourer
mon plaisir, et j'ai regardé le petit bonhomme. Les taches blanches de mon
sperme s'étaient dispersées sur le lit, ainsi que sur son ventre et son sexe.
Je me suis penché pour reprendre dans ma bouche son pénis tout souillé par mon
plaisir. C'était la première fois que je gouttais du sperme, et en plus
c'était le mien.

J'ai recommencé à la masturber. J'essayais de donner le maximum de force
à l'étreinte de ma bouche dans l'espoir d'accentuer sa jouissance. Chaque
mouvements de ma bouche s'accompagnaient chez lui d'une forte inspiration.

Puis il a commencé à s'agiter. Ses mains sont venues se poser sur ma tête, son
souffle est devenu plus fort et plus rapide et j'ai commencé à percevoir de
faibles râles qui montaient de sa gorge. Alors j'ai accéléré la cadence de ma
bouche sur son petit pénis. Mes jeux se sont fait plus rapprochés. Il s'est
raidi et a laissé échapper une longue et faible plainte. Sans le quitter des
yeux, ma bouche allait et venait sur son membre en feu. J'ai senti tout son
corps qui se soulevait. Il est resté une seconde dans cette posture, a poussé
un petit cri, et il est retombé sur le lit. J'ai senti tout son corps qui se
relâchait. J'ai continué avec ma langue à caresser son gland pendant un petit
moment puis, je l'ai regardé. Il avait les yeux grand ouvert fixés vers le
plafond. Il a du sentir que je l'observais, ses yeux se sont tournés vers moi
et il m'a fait un sourire.

Sa main est venue se poser sur son nombril ou s'étaient regroupées en
une petite mare presque transparente, les éclaboussures de mon sperme. Il a mit
ses doigts dedans, et a ramené sa main devant ses yeux. Il l'a regardée d'un
air absent, j'ai vu quelques gouttes perler de ses doigts et venir s'écraser
sur sa joue, puis il l'a portée à sa bouche.

Il a reposé sa main sur son ventre et ses yeux se sont fermés. Petit à petit
son souffle s'est fait plus régulier. J'ai souris en voyant que son zizi avait
retrouvé la forme normale des zizis de petits garçons bien sages. Le mien
avait fait la même chose. Je me suis levé doucement et j'ai rabattu le drap
sur son corps quand j'ai réalisé qu'il s'était endormi.

Je suis sorti de la chambre en refermant la porte doucement. Je m'y suis
appuyé pendant quelques instants. J'avais l'impression que tout ce qui venait
de se passer était arrivé à une autre personne. Je n'arrivais pas à réaliser
que c'était moi qui venait de vivre ce merveilleux moment, et qu'en plus j'en
avais éprouvé un immense plaisir. J'ai vu la bouteille de bourbon et mon verre
vide sur la table du salon. Je me suis servi et je me suis affalé sur la
banquette. Je me suis appuyé, j'ais senti mon corps qui partait et le bourbon
qui se renversait sur moi. J'ai réalisé que la banquette était dépliée, et
donc, qu'elle n'avait plus de dossier. J'ai été m'essuyer et je suis rentré
dans la chambre. Je me suis arrêté un petit moment pour regarder le petit
bonhomme qui dormait, je me suis allongé prés de lui, et j'ai éteint la
lumière.


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Forum des Histoires Taboues:

Le petit bonhomme 3/8

Posted on 8/12/2003 at 11:16:40 PM by Candel



J'ai ouvert les yeux à 9h30. Je me suis levé, et j'ai enfilé mon caleçon
qui traînait par terre. J'ai shooté dans le slip " Simpson ", et les événements
de la veille sont revenus à ma mémoire. Je suis sorti de la chambre, et j'ai vu
le gamin. Il était à poil, assis tailleur sur la banquette, en train de
regarder des dessins animés à la télé, avec la télécommande à la main.

" Salut petit bonhomme ! T'as bien dormis ? "

Il s'est levé d'un bond, et s'est précipité sur moi. Il m'a entouré la
taille des ses bras, et a collé sa joue sur ma poitrine.

" J'ai un peu faim ! "

" Bouge pas, je vais trouver quelque chose...Tu ne veux pas t'habiller ? "

" J'ai pas trouvé les vêtements que tu as lavés... "

Merde ! J'avais oublié de les sortir de la machine hier soir... De sentir
son petit corps blotti contre moi, mon pénis a commencé à se réveiller. Il s'en
est aperçu et m'a dit :

"C'est moi qui te fais bander ? " Il avait l'air tout fier de me faire
cet effet.

Comme je n'avais aucune raison de lui raconter des sornettes, j'ai dit :

" Oui petit bonhomme, c'est toi qui me mets dans cet état. Je ne pensais
pas qu'un gamin comme toi m'existerait à ce point. Allez, viens, on va déjeuner. "

Il s'est sauvé dans ma chambre, puis est venu me rejoindre dans la
cuisine avec son tee-shirt sur le dos.

" Un chocolat, ça te vas ? " Il a hoché la tête d'un air approbateur...
J'ai sorti du lait que j'ai mis à chauffer au micro-onde, j'ai ouvert un paquet
de pain de mie et j'ai branché le grille pain.

" Tu t'occupe des tartines...mais tu ne les fais pas brûler ! "

Je suis retourné dans la chambre, j'ai enlevé mon caleçon, j'ai enfilé
un slip et un short, et j'ai mis un tee-shirt. Je suis allé pisser puis, je suis
revenu dans la cuisine. Il y avait déjà 6 tranches grillées à point, et leur
parfum m'a ouvert l'appétit. J'ai sorti le chocolat et le beurre, j'ai posé le
lait chaud sur la table, je me suis assis en face de lui, et on a commencé à
manger.

" Maintenant, tu vas pouvoir me donner quelques explications "

Il a mordu dans sa tartine, il m'a regardé et a dit :

" On m'avait jamais fait ce que tu m'as fait hier...c'était bien. "

" Ce n'est pas ce que tu m'as dit cette nuit ! "

" Je t'ai dis quoi ? "

" Tu m'as dis que tu avais déjà fait ça avec des plus grands...enfin,
c'est ce que j'ai cru comprendre ! "

Il m'a regardé d'un air absent, a repris une tartine, a mordu dedans et
m'a dit :

" J'ai déjà sucé, mais on ne me l'avait jamais fait "

" Explique-moi " j'ai répondu.

Il a fini sa tartine, a bu la moitié de sa tasse, et a filé comme un
voleur dans le salon. Je l'ai suivi, et je l'ai retrouvé allongé sur le ventre
dans la banquette. Son tee-shirt était un peu relevé découvrant ses petites
fesses blanches. Je me suis assis prés de lui, et en caressant son petit
postérieur, j'ai dis :

" Allez petit bonhomme, raconte-moi tout "

Il a posé sa tête sur mes genoux, et a commencé son histoire.

" Quand je suis arrivé dans la famille d'accueil, y'a 2 ans, moi j'en
avais 10. Ils ont été très chouettes. Damien leur fils était vachement sympa.
Il avait 13 ans. On couchait dans la même chambre. Le soir du réveillon de cette
année, on avait un peu bu. On a été se coucher, alors il est venu vers moi, a
baissé son caleçon et a voulu que je mette sa bite dans ma bouche. Moi, j'ai
pas voulu. Il m'a dit que si je ne voulais pas, il trouverait un moyen pour me
faire chasser. Alors j'ai accepté. Je l'ai laissé faire, et c'est lui qui
entrait et sortait sans arrêt. Il m'a envoyé sa jute dans la bouche, alors
j'ai craché. Il m'a dit que j'avais pas intérêt à cafter, sinon je passerais
un sale moment. Et puis il a recommencé un autre soir, et encore un autre.
Après, il me faisait faire ça 2 ou 3 fois par semaine. J'avais l'habitude...
quand il m'appelait, je savais pourquoi. Puis, y'a un mois, un mercredi
tantôt, il est arrivé avec 3 copains de son école, et il a voulu que je leur
fasse la même chose. Les parents n'étaient pas la. Moi j'ai pas voulu. Alors
ils m'ont forcé. Pendant que j'en suçais un, les autres ont enlevé mon
pantalon et ils ont voulu m'enculer. J'ai crié et je me suis débattu. Ils
étaient plus forts que moi. J'ai eu mal pendant 2 jours. Ils sont revenus 4
fois, toujours quand les parents étaient partis. Dimanche, comme il n'y avait
personne à la maison, ils sont revenus encore et ont recommencé. Alors, lundi
matin j'ai quitté la maison. J'ai vu un camion immatriculé 75. je suis monté à
l'arrière, et j'ai attendu. Quand le camion est parti, j'étais content de tout
quitter, mais j'avais un peu peur de la suite. Le camion a roulé pendant
longtemps, puis il s'est arrêté. J'ai attendu un petit moment puis, je suis
sorti. J'étais dans une ville. J'ai acheté 9 croissants avec l'argent que
j'avais, et je suis sorti de la ville. J'ai vu que j'étais à Ruffec. Alors
j'ai marché à travers champs en suivant la route pendant 4 jours, en couchant
la nuit ou je pouvais. Le mardi j'avais fini mes croissants. Je suis arrivé ou
tu m'as trouvé le vendredi midi...puis c'est tout... "

Il m'avait raconté tout ça sans me regarder, la tête posée sur mes
jambes. Il s'est retourné. Il avait les yeux rouges, mais ne pleurait pas.

" Tu viens d'où ? "

" De Libourne, à coté de Bordeaux... Tu sais, hier j'ai menti. J'ai pas
14 ans, j'aurais 12 ans le 6 novembre. "

J'étais complètement anéanti par son histoire. Je ne savais plus quoi
faire. Je l'ai pris dans mes bras, et je l'ai serré contre moi. J'ai senti une
larme couler dans mon cou. Alors j'ai commencé à paniquer. Si le gamin était
recherché, et qu'on le trouve avec moi, j'étais bon pour la correctionnelle.
Surtout que les juges n'étaient pas tendre avec les pédophiles en ce moment.
Et puis, je me suis dit que je n'étais pas un pédophile. J'avais perdu la
tête, et je ne m'étais pas rendu compte de ce que j'avais fait hier soir.

" Avec tout ce qui t'est arrivé, pourquoi tu as voulu recommencer avec
moi hier soir ? "

" Toi, c'est pas pareil, t'es gentil, et puis je voulais que tu me
gardes, et puis je voulais te faire plaisir... "

" T'es un ange " j'ai répondu. Je l'ai reposé sur la banquette, je me
suis levé, et j'ai regardé par la fenêtre en réfléchissant.

" Tu vas faire quoi avec moi ? "

" Je sais pas. Mais d'abord, je vais faire sécher tes vêtements. " J'ai
sorti ses vêtements de la machine puis, je les ai mis à sécher sur le balcon.
J'ai suspendu un drap de bain devant, pour qu'on ne les remarque pas de la rue.

" Tu dois être recherché par la police ? "

" Je sais pas, mais je crois pas. "

" Pourquoi tu ne le crois pas ? "

" Avant de partir, j'ai écrit un mot ou j'ai raconté ce que je t'ai dis.
J'ai posé le mot dans une assiette dans le buffet de la cuisine. Si les parents
l'on trouvé, ils vont pas oser aller raconter ça à la police. "

Je sourie en entendant cela. Ce petit bonhomme n'avait pas fini de
m'étonner.

" Ecoute petit bonhomme : Je n'ai pas encore décidé ce que je vais faire
de toi, mais je commence à avoir une solution. Je te raconterais plus tard.
On va rester ensemble encore aujourd'hui. Je vais aller faire des courses pour
manger, et toi tu resteras ici. Je ne serais pas long... Mais on en rediscutera
tout à l'heure. Tu aimes les pizzas ? " Il a hoché la tête d'un air réjoui.
J'ai pris mon porte feuille, et je suis parti. Je l'ai enfermé dans
l'appartement. J'ai été à la petite supérette du coin, et j'ai acheté 6 pizzas
surgelées et 2 gros gâteaux au chocolat. En passant devant le rayon enfant,
j'ai pris un slip taille 10/12ans. J'ai réfléchi un peu, et j'ai aussi pris un
appareil photo jetable. J'ai payé et je suis passé à la boulangerie prendre 1
baguette et 6 croissants. Et je suis revenu à mon appartement. J'avais été
absent une bonne demi-heure, mais je l'ai retrouvé au même endroit que quand
je l'avais quitté.

" T'a acheté quoi ? "

" Un slip ! " Et je lui ai posé sur la tête. Il l'a aussitôt enfilé, a
relevé son tee-shirt, et s'est mis à tourner devant moi, comme pour me montrer
que cette fois ci, je ne m'étais pas trompé de taille. J'ai sorti l'appareil
photo, et je l'ai pris. Il a ouvert la bouche tout grand, un peu surpris.

" Tu me la montreras ! " J'ai dis oui, en sachant très bien que cela ne
serait guerre possible.

" Et si tu mettais le jean que je t'ai acheté hier ! "

Il était posé sur la table du salon. Il l'a enfilé. Je lui ai fait signe
d'approcher. J'ai replié le bas des jambes un peu trop longues, et j'ai coupé
avec mes dents le fil de plastique qui retenait l'étiquette. Je me suis un peu
reculé.

" T'es beau comme un vrai mec ! " Il a rigolé et il est retourné
s'asseoir sur la banquette. Je me suis assis à coté de lui.

" T'avais dis que tu me dirais ce que tu as décidé. "

J'ai passé mon bras autour de ses épaules, il s'est blotti contre moi,
et j'ai dit :

" Demain, je vais te ramener chez toi et... " Je n'ai pas eu le temps de
finir ma phrase, il s'est levé, a crié " Oh non " et s'est mis à pleurer.
Je l'ai attrapé et je l'ai assis de force à coté de moi.

" Ecoute Xavier, si je te mène à la gendarmerie, il y aura une enquête,
tu changeras de famille d'accueil, et tu ne sais pas comment ils seront ceux-la.
En plus, moi je risque de me retrouver en prison... C'est ça que tu veux ? "

En reniflant, il a fait non avec la tête.

" Je peux aussi te ramener ou je t'ai trouvé, mais si je fais ça, je
serais un beau dégelasse, et en plus tu peux rencontrer un mec encore plus
salaud que moi.... Tu préfères peut être cela ? "

Il a encore fait non avec la tête...

" Je ne peux pas te garder éternellement chez moi, j'en ai pas le droit.
Si je fais ça, un jour ou l'autre je me retrouverais en tôle... Je suppose que
ce n'est pas cela que tu veux non plus ? " Il a encore fait non de la tête.

"Alors, si tu ne m'as pas mentis pour la lettre que tu as laissée avant
de partir, c'est la première solution qui est la meilleure. Cet après midi, tu
écriras sur un papier tout ce que tu m'as raconté tout à l'heure. Je garderais
ce papier pour moi. Demain, j'irais avec toi chez ta famille d'accueil, je
leur montrerais une copie de ton papier, et je te jure qu'ils te reprendront.
Et puis " l'autre au caleçon " et ses cons de copain, je t'assure qu'ils te
laisseront tranquille. Tu n'as pas à t'inquiéter, tout se passera comme je le
dis. Allez petit bonhomme, fais-moi un petit sourire ! "

Il m'a fait une petite grimace, et s'est de nouveau blotti contre moi. Il est
resté comme cela plus d'une 1/2 heure. Je l'ai repoussé et je me suis levé.

" Avec tout ça, je ne me suis pas lavé depuis hier matin, je vais prendre un
bain, je ne serais pas long "

Je suis rentré dans la salle de bains, je me suis mis en slip, j'ai ouvert les
robinets de la baignoire et j'ai commencé à me raser. La porte s'est ouverte,
et je l'ai vu, immobile entre les montants, qui me regardait. J'ai retiré mon
slip, et je me suis allongé dans la baignoire. Sans un mot, il est venu
s'assoire sur le rebord, et ne m'a pas quitté des yeux pendant tout le temps
de mon bain. Je me suis mis debout, je me suis essuyé, et je suis parti dans
ma chambre. J'ai repris un autre slip, et je l'ai enfilé. Alors il est apparu.
Il avait enlevé son jean et son tee-shirt, et il était en slip devant moi.
J'étais immobile. Je ne savais plus quoi faire. Je n'ai pas eu le temps de
dire un mot. Il s'est jeté à mon cou. Je me suis laissé tomber avec lui sur le
lit. Je l'ai couvert de baisers, et je l'ai caressé longuement. Ma bouche a
frôlé la sienne, et j'ai mordillé ses petites lèvres. Ma main est descendue
vers son slip, et j'ai caressé son sexe a travers le tissu. J'ai senti sa main
qui me faisait la même chose. J'étais calme et serein. Je savais ce que
j'étais en train de faire, je le faisais sans remord, et j'étais heureux de le
faire. J'ai fais glisser son slip le long de ses jambes, et j'ai joué
longuement avec son pénis et ses petites bourses. Avec mon autre main, j'ai
retiré mon slip pour qu'il puisse me faire la même chose. Je crois que je lui
ai dit plein de mots tendres dans le creux de son oreille. Je me suis
redressé, je l'ai pris par les hanches et j'ai amené son bas ventre en face de
ma figure, et ses jambes de chaque coté de ma tête. J'ai ouvert la bouche et
j'ai englouti son petit membre comme un cadeau du ciel. Dans la position ou il
était, il n'a eu aucune difficulté à avaler le mien. J'ai senti monter son
plaisir en même temps que le mien. A un moment sa langue sur mon gland m'a
fait tellement d'effet, que je crois bien qu'en me contractant, j'ai serré un
peu trop les dents et je lui ai fait mal. J'ai senti monter ma jouissance, et
j'ai essayé de me retirer de sa bouche. Il n'a pas voulu me lâcher et j'ai
explosé en lui en criant. J'ai alors libéré son pénis, mais lui, il a continué
à me donner un plaisir inégalable. Quand il s'est aperçu que je ne bougeais
plus, il s'est mis dans le même sens que moi, et a posé sa tête contre la
mienne. J'ai senti mon sperme qui, s'échappant de sa bouche entrouverte,
s'écoulait sur ma joue. J'ai pris sa tête dans mes mains, et j'ai posé ses
lèvres sur les miennes. J'ai senti sa bouche qui se vidait dans ma gorge, et
j'en éprouvais un immense plaisir. Je l'ai serré bien fort dans mes bras en
disant tout bas : " Merci mon petit amour ! " On est resté un long moment
enlacés ; Puis j'ai senti qu'il essayait de se libérer. J'ai desserre
l'étreinte des mes bras, il s'est redressé, a fait demi-tour et a repris mon
sexe tout mou dans sa bouche. Je l'ai laissé faire. Je voyais devant mes yeux
son petit postérieur qui se dandinait. Je l'ai caressé d'une main, et de
l'autre, en passant entre ses jambes, j'ai joué avec son zizi. Il s'est
arrêté, a tourné la tête vers moi et m'a fait un grand sourire. Il était
rayonnant et avait l'air heureux. Mais peut-être pas autant que moi.


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Forum des Histoires Taboues:

Le petit bonhomme 4/8

Posted on 8/12/2003 at 11:34:30 PM by Candel



" Tu as faim mon petit ange ? " J'ai demandé. Il a fait oui avec la tête. Je
me suis levé, je l'ai pris dans mes bras et nous sommes allés à la cuisine. Je
l'ai assis sur la table, j'ai pris ma serviette et j'ai essuyé les restes de
ma semence autour de sa bouche.

" Tu veux te rincer la bouche ? " J'ai demandé. Il m'a fait signe que non.

" Bien, alors en entrée, pizza. En plat de résistance, pizza et en dessert,
une surprise. Ca te va? ... Bien, alors, tu mets la table, et moi je fais
chauffer les pizzas. "

Je suis allé chercher les pizzas qui étaient restées dans le salon, j'ai
allumé le four, je les ai enfournées et je suis retourné dans le salon. Je me
suis servi un verre de bourbon et je me suis assis sur la banquette. Je me
suis aperçu que la télé était toujours allumée. Je l'ai fermée et je me suis
mis à penser. J'ai essayé de me souvenir de mes autres ébats amoureux avec ma
femme ou avec celles d'avant, mais, il ne me semblait pas avoir connu un
plaisir aussi intense que celui que je venais de vivre. J'en suis resté tout
songeur en sirotant mon bourbon.

" Tu bois quoi ? " M'a demandé Xavier en sautant sur mes genoux. Je lui ai
tendu mon verre, il a goutté et a fait une grimace. J'ai repris mon verre, et
j'ai fait couler un filet de bourbon sur son pénis. Je me suis penché et je
l'ai léché. Il a éclaté de rire, et a filé en courant vers la cuisine. J'ai
fini mon bourbon et je suis parti le rejoindre. J'ai servi les pizzas, et on a
mangé de bon cœur. Le gâteau au chocolat était bien bon et j'ai eu
l'impression que mon petit diable a bien apprécié. J'ai débarrassé la table,
et j'ai demandé :

" Tu veux faire quoi cet après midi ? " J'ai vu ses yeux qui brillaient, et il
m'a répondu d'un ton interrogatif :

" La même chose que tout à l'heure ? " J'ai souri, il s'est levé et m'a
entraîné vers la chambre. Je me suis allongé, et il s'est allongé sur moi. Le
bourbon, le repas et les ébats de ce matin faisant leurs effets, je me suis
tout de suite endormi.

Je me suis réveillé vers 16h. Le petit Xavier dormait sur le ventre à coté de
moi. Je me suis levé sans faire de bruit, je suis allé récupérer mon short
dans la salle de bain, je l'ai enfilé, et je suis sorti sur le balcon. Comme
les vêtements étaient secs, je les ais rentrés. J'ai repensé à ce que je lui
avais dit ce matin. Quand il se réveillera, il faudra qu'il écrive la lettre
ou il raconte son histoire. J'ai préparé du papier et un stylo, et je me suis
assis à la table de la cuisine. J'ai souri en repensant à tout ce que j'avais
vécu depuis ma rencontre avec le gamin. Je me suis levé et je suis retourné
dans la chambre. Il dormait toujours. Il s'était retourné et été maintenant
sur le dos. Je suis allé chercher une chaise dans la cuisine, je me suis assis
et je l'ai regardé dormir. Je me suis levé d'un bond, je suis allé chercher
l'appareil photo, et je l'ai pris 2 fois. Il s'est réveillé à 17h15. Quand il
m'a vu, il a dit :

" Je crois que j'ai dormi ! "

" Tu en avais certainement besoin " j'ai répondu. Il s'est levé, m'a pris le
bras et a regardé ma montre puis, je l'ai vu filer et entrer dans les WC.
Quand il est ressorti, je lui ai parlé de la lettre qu'il devait écrire. Il
s'est assis à la table de la cuisine et a commencé son récit. J'ai repris
l'appareil photo, et je l'ai pris 3 fois pendant qu'il écrivait.

" Pourquoi tu prends des photos ? "

" Pour prouver à ta famille que c'est bien toi qui as écrit "

" Qu'est ce qu'ils vont dire quand ils vont voir que je suis à poil ? "

J'ai senti un frisson me parcourir le corps. Je n'avais pas pensé à ce
détail.. Je lui ai tendu ses vêtements secs, et il les a enfilés tout de
suite. Il s'est remis à écrire et j'ai refais 3 photos. Puis il m'a tendu sa
lettre et je l'ai lu. Je me suis tourné vers lui et lui ai dit que c'était
bien. Il s'est levé a été allumer la télé, et s'est assis sur la banquette.
J'en ai profité pour remettre un peu d'ordre dans l'appartement. Faire le lit,
ramasser tous les vêtements qui traînaient, laver la vaisselle du midi... Quand
je suis allé m'assoire prés de lui, je me suis aperçu qu'il était 19h 30.

" Faudrait peut être penser à manger. "

" J'ai pas faim ! " Je l'ai regardé d'un air surpris. J'ai demandé :

" Qu'est ce que tu as ? " J'ai vu ses yeux qui se remplissaient de larmes...

" Je veux pas retourner à Libourne... Je veux rester avec toi... "

" Tu veux qu'on sorte ce soir...Si tu veux, je t'emmène au cinéma. " Il a fait
non de la tête. Moi j'étais bien embêté de le voir dans cet état la.

" Tu veux qu'on recommence nos jeux comme ce midi ? " Comme je n'avais pas de
réponse, je l'ai pris dans mes bras, et je l'ai mis debout sur la banquette.
J'ai enlevé son tee-shirt, j'ai déboutonné son jean et je l'ai baissé jusqu'a
ses genoux. Je l'ai rassis, j'ai retiré complètement son pantalon et je me
suis mis à genoux devant lui. J'ai posé mon visage sur ses jambes et je lui ai
fait plein de petits bisous. Je me suis avancé un peut plus, et j'ai attrapé
son pénis a travers son slip avec mes dents. Il a éclaté de rire. J'étais
heureux de le voir comme ça. Il s'est allongé sur la banquette, j'ai saisi son
pendis avec 2 doigts, toujours à travers le slip, et je l'ai masturbé. Je l'ai
senti qui durcissait, et grandissait sous mes doigts. J'ai soulevé le devant
de son slip et j'ai regardé. J'ai relâché l'élastique du slip, je me suis levé
et j'ai dis :

" Je crois que ça suffit pour ce soir ! " Il m'a regardé d'un drôle d'air et
m'a dit :

" Nononon...continue s'il te plait... "

Je me suis remis à genoux, j'ai descendu le devant de son slip et je l'ai
coincé sous ses testicules. J'ai attrapé son pénis et j'ai fais coulisser son
prépuce pour dégager son gland. J'ai posé un doigt dessus, et j'ai fait des
petits mouvements circulaires sur le bout. J'ai eu l'impression qu'il avait
reçu une décharge électrique. Il s'est raidi d'un coup en faisant : " Haaha "
Quand mon ex femme me faisait ça, je réagissais de la même manière. Je me suis
mis à rigoler et je me suis levé.

" Bon, je vais préparer à manger "

" Non, continue encore... "

Je me suis remis à genoux, j'ai mis son gland dans ma bouche, et j'ai aspiré
le plus fort que je pouvais. Il a alors ramené brutalement ses genoux contre
lui et m'a heurté la tête. Je n'ai pas arrêté pour autant. Il a relevé son
thorax, et j'ai senti ses mains qui agrippaient ma tête. Alors doucement je
l'ai repris avec mes doigts. J'ai coincé la peau de son prépuce dans le creux
de ma paume, j'ai serré ma main et j'ai fait coulisser sa peau le long de son
gland. Au début doucement, puis plus vite, puis doucement, puis très vite.... En
même temps je le regardais. Je voyais ses grimaces quand j'allais très vite et
ses moments d'apaisement quand je ralentissais. J'ais vu sa poitrine se
soulever de plus en plus vite, au fur et à mesure que sa respiration
s'accélérait. Comme hier soir, il a commencé à emmètre des petits râles
presque inaudibles, puis des gémissements plus longs et plus sonores. J'ai eu
l'impression qu'il avait des mouvements désordonnés. Il a mis la main sur son
nez, puis l'a posé sur son ventre. Il l'a remise sur son nez, l'a enlevé pour
se gratter l'oreille, l'a remise sur son nez, pour la reposer sur son ventre,
et tout ça avec les yeux fermés. Je me suis arrêté, et je l'ai repris en
bouche...j'ai eu l'impression qu'il se calmait. J'ai serré l'étranglement de son
gland avec mes lèvres, et j'ai bougé ma tête de gauche à droite, et d'avant en
arrière. Il a crié, et ses gémissements se sont transformés en plaintes. Je me
suis levé et je suis entré dans la salle de bains. J'ai entendu qu'il me
disait quelque chose mais je n'ai pas compris. J'ai sorti du placard de la
salle de bains la pile de gant de toilettes, et j'ai choisi celui qui me
paraissait le plus dur et le plus rêche. Je suis revenu vers lui, je me suis
agenouillé, j'ai enveloppé son pénis dans le gant de toilette et j'ai serré
fort avec ma main droite au niveau de son gland. Je l'ai regardé, et j'ai
perçu comme un regard inquiet dans ses yeux. Alors toujours en le regardant
j'ai fait coulisser ma main et le gant brutalement le long de son pénis, puis,
je l'ai fait remonter et j'ai continué ce mouvement d'abord lentement puis en
accélérant la cadence petit à petit. Il a ouvert la bouche en grand, comme
pour crier, mais aucun son n'est sorti. Il s'est redressé, a mis ses bras
derrière son dos et s'est appuyé sur ses coudes, il a renversé sa tête en
arrière et a commencé à émettre un gémissement ininterrompu "
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa............ " Avec ma main gauche j'ai saisi son petit
sac, et j'ai fait rouler ses petites boules sous mes doigts tout en continuant de
la masturber de la main droite. J'ai vu son corps se couvrir de frissons et être
en proie à des soubresauts désordonnés. Son gémissement s'est fait de plus en
plus fort. Soudain il s'est relevé brutalement, a hurlé et est retombé comme
une masse complètement inerte sur la banquette. J'ai eu peur et je me suis
rapproché rapidement de son visage. Quand j'ai vu son sourire béat et ses yeux
qui me regardaient, j'ai été soulagé. J'ai repris son pénis dans ma bouche et
j'ai posé ma joue sur sa cuisse pour pouvoir continuer à le regarder. Quand
j'ai senti que son pénis avait repris sa taille normale, je me suis levé, j'ai
posé un baiser sur ses lèvres et je suis allé préparer le repas. Je n'avais
pas envie de remanger de la pizza, alors j'ai ouvert une boite de pâté et j'ai
préparé 2 sandwichs avec la moitié de la baguette et j'y ai mis des
cornichons. Quand je suis revenu prés de la banquette, j'ai vu que Xavier
était toujours dans la même position.

" Assoies-toi normalement, on mange... " Il s'est assis correctement et a
demandé :

" On mange quoi ? " J'ai attrapé son zizi, et en tirant dessus j'ai dis :

" De la saucisse de Strasbourg ! " Il a haussé les épaules et a remis son slip
correctement. Je lui ai donné son sandwich, et il a mordu dedans. J'ai fais la
même chose avec le mien. Soudain ; il s'est tourné vers moi et m'a demandé :

" Tout ce que tu m'as fait, tu l'as appris ou ? "

" Mais, je ne l'ai pas appris. Je t'ai fais quelques trucs que ma femme me
faisait, et je t'ai fait aussi ce que j'aurais bien aimé qu'on ma fasse...
Pourquoi tu me demandes ça, tu n'as pas aimé. Et puis tu sais j'ai moins
d'expérience que toi... C'est la 3ème fois de ma vie que je fais ça à un
garçon...Hier soir, ce midi et tout à l'heure, alors excuse-moi si ce n'est pas
parfait. "

" Oh non alors, c'était encore mieux qu'hier...j'ai eu l'impression que je
m'envolais dans les nuages... A la fin j'avais envi de hurler, mais je me suis
retenu... "

J'ai alors éclaté de rire. Il m'a regardé en haussant les épaules...

" Pourquoi tu ris ? "

" J'ai rigolé quand tu as dit que tu t'étais retenu de hurler... Mais tu as
hurlé mon petit bonhomme, et même que j'ai eu peur. Mais il ne faut pas avoir
honte de son plaisir. Ce matin tu m'as donné un plaisir comme je n'en avais
jamais connu... et je crois bien que j'ai crié moi aussi. Tu sais, je suis
heureux de t'avoir rencontré hier. Grâce à toi j'aurais connu autre chose.
J'aurais découvert d'autres plaisirs, comme celui de te donner du plaisir...
Tu as été mon premier garçon, et je crois bien que tu serras le dernier....
Je crois que tu auras été mon " Petit Prince " et moi ton renard, non, moi je
suis l'aviateur, celui qui est triste à la fin..."

" C'est quoi cette histoire de prince ? "

" Attends ! ...Bouges pas ! " Je me suis levé et j'ai été fouillé dans ma
bibliothèque. J'ai tout de suite trouvé " Le Petit Prince " Je lui ai tendu le
livre, et il l'a pris.

" Je m'étais acheté ce bouquin quand j'avais 15 ans...A cette époque là, j'étais
un peu romantique...Mais je crois que je le suis toujours un peu...parfois
beaucoup ! ... Tu peux le garder, je te le donne en souvenir... " Il a feuilleté
le livre pendant une minute, surtout pour regarder les images, et l'a posé sur
la table.

" Dis, je peux prendre un autre bain ? "

" Oui, tu peux en prendre 10 si tu veux ! " Il a rigolé et à filé dans la
salle de bain.

J'en ai profité pour remettre un peu d'ordre. J'ai de nouveau ramassé ses
vêtements, et j'ai été les poser dans la chambre. J'ai enlevé les miettes sur
la banquette, et je l'ai repliée en me disant que cette nuit, il ne coucherait
certainement pas dedans, et je me suis assis. Je l'entendais qui chantait dans
la salle de bains, j'avais envie d'aller voir ce qu'il faisait, mais comme je
voulais lui laisser des moments d'intimité, je suis resté assis. D'un seul
coup, je me suis senti las, comme fatigué. Je me suis levé, et je suis rentré
dans la salle de bains. Il était debout devant le lavabo, tout mouillé, il
avait mon rasoir à la main, et il le passait sur sa joue. Je me suis retenu
pour ne pas éclater de rire.

" Je suis crevé, je vais me coucher...Quand tu auras fini de te raser, tu peux
venir me rejoindre "

Je suis sorti, et j'ai regagné ma chambre en riant. J'ai enlevé mon short, et
j'ai été tout surpris de m'apercevoir que je n'avais pas de slip...Je me suis
allongé sur le ventre, et je me suis dit que des " week-end " comme cela,
c'était drôlement fatigant, mais ça valait la peine d'être vécu.


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Forum des Histoires Taboues:

Le petit bonhomme 5/8

Posted on 8/12/2003 at 11:36:13 PM by Candel



Il a du arriver sans faire de bruit, car je me suis aperçu qu'il était là
quand il s'est allongé prés de moi. Je n'ai pas bougé, pour lui faire croire
que je ne l'avais pas entendu. Ce soir, j'avais envie de ne prendre aucune
initiative, et de le laisser faire ce qu'il voulait. En plus, au fond de moi,
cela m'excitait de devenir son jouet. Bien que je m'y attende, j'ai sursauté
quand il a posé sa main sur mon dos. Je l'ai senti qui montait le long de ma
colonne, et qui se posait sur mes cheveux. Je l'ai senti redescendre et se
poser sur mes fesses.

" Pourquoi ta femme est partie ? "

Je ne m'attendais pas à cette question, et j'ai réfléchi un petit moment avant
de répondre :

" Ce n'est pas elle qui est parti, c'est moi qui l'ai quitté. "

" Pourquoi ? moi, si j'étais ta femme, je ne voudrais pas que tu me quittes... "

Sa main était revenue sur mon dos, et j'avais l'impression qu'avec son doigt,
il écrivait ou dessinait quelque chose, en tout cas cela me donnait
d'agréables sensations.

" C'est moi qui suis parti, mais elle était d'accord, on en avait longuement
parlé avant. Je crois qu'on n'avait plus rien à se dire, et surtout, on
n'avait plus rien en commun... "

Je me suis retourné pour me mettre sur le dos. Il était assis en tailleur à
coté de moi. Il me regardait. Il a posé sa main sur les poils de mon pubis, et
a essayé d'entortiller les poils autour de ses doigts. Il souriait.

" T'as pas beaucoup de poils, mais ils sont doux...Ils sont blonds comme ceux de
Damien. Moi j'en ai pas encore... on m'a dit qu'ils pousseront quand j'aurais 12
ans... Ils seront noirs parce que je suis brun, et j'aurais de la jute aussi... "

En l'écoutant parler, j'essayais de me souvenir si à son age, j'avais ce genre
de préoccupations. Mais moi, je n'avais pas été violé comme lui...

Il a lâché mes poils et a posé sa main sur mon pénis.

" Il n'est pas plus gros que celui de Damien, je crois même qu'il est plus
petit... Pourtant Damien il n'a que 16 ans... Quand je serais revenu à Libourne,
tu viendras me voir ? .... Tu m'écriras alors... "

Il a posé sa tête sur ma poitrine, et j'ai senti une goutte chaude tomber sur
ma peau. J'ai posé ma main sur sa tête, et je lui ai caressé les cheveux. Il
s'est relevé, s'est allongé et est venu se blottir contre moi. Quelques
minutes plus tard, il dormait. Doucement, j'ai ramené le drap et la couverture
sur nous, j'ai éteins la lumière et j'ai fermé les yeux.



Je me suis réveillé à 7 heures. Je me suis levé, j'ai fais une rapide toilette
et j'ai préparé le petit déjeuner. J'ai sorti les croissants que j'avais
acheté la veille. Puis je suis retourné dans la chambre. Mon petit bonhomme
dormait comme un bienheureux. J'ai retiré le drap. Il était sur le ventre. Je
me suis penché, j'ai caressé ses petites fesses et j'y ai déposé un petit
baiser. Il a bougé et s'est retourné.

" Il est quelle heure ? " A t'il demandé en se frottant les yeux.

" Il est l'heure de se lever mon grand "

Je suis retourné dans la cuisine, et il est venu me rejoindre quelques
instants après. On a mangé nos croissants en silence. Comme il n'en finissait
pas de manger son dernier croissant, je me suis levé et j'ai été m'habiller.
Puis j'ai préparé ses vêtements. J'ai fais 2 tas sur le lit. J'ai mis son
jean, son slip et son tee-shirt d'un coté, et ceux que le lui avait acheté de
l'autre coté. Puis je suis retourné dans la cuisine.

" Xavier, tu viens t'habiller... "

Je l'ai pris par la main, et je l'ai traîné dans la chambre. Je lui ai montré
les 2 tas et je lui ai demandé de choisir. Il a tendu le doigt vers ceux que
j'avais acheté, puis il s'est assis sur le lit. Sans bouger.

" Tu ne t'habilles pas ? "

Il ne m'a pas répondu, et est resté sur le lit sans bouger. J'ai pris le
tee-shirt, et je lui ai mis. Il se laissait faire. Je lui ai enfilé son slip,
et il s'est levé. Avant de cacher son petit sexe, j'y ai déposé un petit
bisou. Il s'est reculé, comme pour me dire que cela ne lui plaisait pas. C'est
lui qui a enfilé son jean.

" Je ne sais pas ou sont mes baskets ! "

Depuis qu'il était entré dans mon appartement, je l'avais toujours vu pieds
nus. J'ai cherché un peu, et je les ai trouvés dans la salle de bains. Pendant
qu'il les mettait, j'ai pris un sac pour mettre ses vêtements, et j'y ai
ajouté le livre que je lui avais donné la veille.

Nous avons quitté l'appartement. J'ai vu qu 'il avait les yeux rouges quand il
s'est assis dans la voiture. J'ai pris la direction de l'autoroute, j'ai pris
mon ticket et j'ai roulé.

On n'a pas échangé un seul mot pendant tout le voyage. Comme je trouvais ça
insupportable, j'ai mis la radio. A Saintes, j'ai quitté l'autoroute et j'ai
pris la direction de Royan. On y est arrivé à 9h40. Alors j'ai pris la
direction de la foret de la Coubre, et je me suis arrêté sur la longue route
parralelle à la cote. Je suis descendu de la voiture. Il faisait déjà bien
chaud. Je me suis mis torse nu, et j'ai enlevé mes chaussures et mes
chaussettes. Le petit bonhomme était toujours à sa place. J'ai ouvert sa
portière et je lui ai dit :

" Allez, descends et mets-toi comme moi. "

Sans poser de question, il a obéi. J'ai posé nos vêtements dans la voiture, je
l'ai fermé et j'ai pris le chemin sableux qui mène vers l'océan. Il m'a suivi
un petit moment et il s'est arrêté. " On va ou ? "

" C'est une surprise, mais je crois que ça va te plaire "

Au fur et à mesure que nous avancions, le bruit des vagues se faisaient de
plus en plus présents. Quand nous sommes arrivés au sommet de la dune qui
domine l'océan, Xavier s'est arrêté un petit instant, il m'a regardé avec un
visage réjouit, et il s'est mis à courir vers la mer. J'étais heureux de le
voir à nouveau comme cela. Alors, j'ai couru pour le rattraper, je l'ai plaqué
sur le sable, et nous nous sommes battus comme deux gamins. Je me suis relevé
et j'ai dis : " On va se baigner " Pour toute réponse, il a enlevé son
pantalon. J'ai fais la même chose, et je me suis mis à poil. Comme il avait
gardé son slip, je lui ai dit :

" Cette plage est un peu spéciale...on à le droit de s'y baigner à poil. "

Il a regardé autour de lui, mais à cette heure ci, la plage était presque
déserte. Il a enlevé son slip et s'est mis à courir vers l'océan. Il s'est
arrêté quand il a eu de l'eau jusqu'aux mollets. Il a attendu que je le
rejoigne, peut être était-il impressionné par les gros rouleaux. On s'est pris
par la main, et doucement nous avons avancé.

Nous avons joué pendant 3/4 d'heure. Il sautait quand les vagues qui arrivaient,
il riait, il montait sur mes épaules pour pouvoir mieux sauter dans l'eau.
Moi, je me suis amusé comme un petit fou. Soudain je me suis aperçu qu'il
avait la chair de poule, et qu'il tremblotait.

" Tu as froid, sort de l'eau ! "

" Non "

" Si, allez, on rentre, On fait la course jusqu'aux vêtements " Je suis parti
en courant, et je suis arrivé le premier. Il est arrivé en marchant. Il avait
croisé ses bras contre son ventre, et tremblait comme une feuille. Je l'ai
renversé par terre, je l'ai fait rouler dans le sable et nous avons recommencé
à nous battre. Au bout de quelques minutes, il allait beaucoup mieux. J'ai
ramassé mes vêtements et j'ai pris la direction de la dune. Quand je suis
arrivé en haut, j'ai remis mon slip. Il y avait un groupe de personnes qui
montaient la dune dans l'autre sens. J'ai regardé ou était Xavier. Je l'ai vu
qui marchait le corps cambré en avant. J'ai été un peu surpris. Quand il est
arrivé plus prés, j'ai compris. Il tenait une superbe érection, et il essayait
de la mettre en valeur.

" Hé! , Regarde comme je bande " m'a t-il crié au moment ou le groupe que
j'avais vu, arrivait en haut de la dune. Tout le monde s'est mis à rire, et
les trois gamines qui suivaient l'on regardé en rigolant. Il a remis son slip
et m'a jeté un regard furieux.

" Mais, c'est quand même pas de ma faute si ... " Je n'ai pas pu terminer ma
phrase tellement je riais. Il est parti en courant et je l'ai vu disparaître
sur le chemin caché par la végétation. Quand je suis arrivé à la voiture, il
avait remis son pantalon et il m'attendait. J'ai remis le mien, j'ai ouvert la
voiture et nous avons fini de nous habiller. J'ai démarré, fait demi-tour et
j'ai repris la route de Saintes.

" Tu m'as bien fait rire tout à l'heure sur la dune "

" T'es con, t'aurais pu me prévenir...J'avais l'air de quoi moi ! "

" D'un mec en pleine forme " J'ai répondu. J'ai posé ma main sur sa braguette
en demandant : " Tu bandes encore ? " Et je me suis remis à rire. Le pire
c'est que je ne pouvais plus m'arrêter. J'ai été obligé de stopper la voiture
tellement je riais. Il m'a vite rejoint dans mon délire et notre crise a duré
quelques minutes. Quand j'ai eu l'impression que ça allait mieux nous sommes
repartis.

" Et bien petit bonhomme, avec toi on n'a pas le temps de s'ennuyer... "

Nous sommes arrivés à Saintes un peu avant midi. J'ai fait le plein d'essence
et je me suis arrêté dans un restaurant. Un garçon nous a fait assoire, et
nous a donné les menus. Xavier m'a regardé d'un air interrogatif.

" Tu prends ce que tu veux et ce qui te fait plaisir. "

Il a pris une terrine en entrée, moi j'ai pris des moules.

Il a pris une sole en plat de résistance et j'ai pris la même chose.

Il a pris une coupe de glaces en dessert et moi j'ai pris un café.

Pour ne manger que cela, ça a duré 1h1/2.

Et nous sommes repartis. J'ai repris l'autoroute en direction de Bordeaux.

" Dans une heure t'es à la maison ! "


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Le petit bonhomme 6/8

Posted on 8/12/2003 at 11:38:19 PM by Candel



Pendant tout le reste du trajet, je m'en suis voulu d'avoir dit ça, car il est
repartis dans son mutisme et n'a plus dit un seul mot. J'ai quitté l'autoroute
pour prendre la direction de Libourne. Au fur et à mesure que je me
rapprochais de cette ville, je roulais de moins en moins vite. Je me suis
arrêté sur le bas coté de la route...Je suis resté un petit moment les mains sur
le volant.

" Tu sais bonhomme, tout à l'heure, quand tu seras à la maison, je ne pourrais
pas te dire au revoir comme j'aurais envie de le faire... "

Il est resté silencieux comme il l'avait été pendant tout le trajet. Il jouait
avec un porte-clefs qu'il avait trouvé dans le vide poche. Moi, j'avais la
gorge serrée.

" Et puis, j'aimerais bien... Enfin si toi tu le veux aussi...J'aimerais beaucoup
te faire l'amour encore une dernière fois. " Je n'aurais jamais cru que cette
phrase soit si difficile à dire. Et je l'ai dite tout bas. Je crois que
j'avais un peu honte d'employer cette expression, mais pour moi elle
correspondait exactement à ce que je ressentais. Il ne m'a pas regardé, mais
j'ai entendu qu'il disait :

" Si tu veux "

J'étais un peu déçu, sa réponse ne me plaisait pas trop...J'avais l'impression
que je l'obligeais... J'ai redémarré, et 400 m plus loin j'ai pris un petit
chemin le long d'un vignoble. Au bout de 500m le chemin s'arrêtait. J'ai
stoppé. Nous sommes restés un petit moment sans bouger. Je suis sorti, et je
me suis assis en bout d'un rang de vigne. Il est venu me rejoindre, il s'est
assis entre mes jambes et s'est appuyé sur moi. Je l'ai entouré de mes bras,
j'ai mis ma tête dans son cou et je lui ai dis :

" Tu vas me manquer mon grand... "

J'ai enlevé son tee-shirt, et j'ai commencé à déboutonner son jean... J'ai
descendu la fermeture de sa braguette et j'ai posé mes deux mains sur son
slip...

Il s'est levé, a enlevé ses baskets. Son jean est tombé sur ses pieds. Il
s'en est débarrassé en levant les jambes. Il s'est assis sur le bout de mes
jambes, face à moi. Il regardait par terre, et je lui ai trouvé un air grave.
Ses mains se sont avancées, il a défait ma ceinture, déboutonné mon pantalon
et ma braguette.

Là, il a levé son visage et m'a regardé. Il avait les yeux tout rouge...

" Tu sais Xavier, si tu ne veux pas, c'est pas grave... "

Il a posé ses mains sur ma poitrine et m'a poussé. J'ai cru comprendre qu'il
voulait que je m'allonge, et c'est ce que j'ai fais... Il a enlevé mes
chaussures et a essayé d'enlever mon pantalon en tirant sur les jambes. Je me
suis soulevé pour l'aider. Il s'est allongé sur moi et a posé sa tête sur mon
épaule. J'ai senti son pénis contre le mien, et j'avais envi de rester comme
ça, le plus longtemps possible...Au bout d'un moment, il a du sentir les
soubresauts de mon pénis qui manifestait son désir en se soulevant par acoups,
car il s'est mit à rigoler.

Je l'ai fait basculer à coté de moi, j'ai baissé son slip, J'ai pris son pénis
dans ma main et je l'ai décalotté. Il s'est mis à bander d'un seul coup. Je
l'ai pris dans ma bouche...Il n'a pas attendu que je m'amuse avec lui...il a
commencé à donner des coups de reins. Je n'ai plus bougé et je l'ai laissé
faire. J'ai juste resserré un peu plus mes lèvres pour que son plaisir soit
plus fort. Soudain il s'est mit debout devant moi, a prit son zizi dans sa
main et l'a collé contre mes lèvres. Je l'ai regardé d'un air étonné, mais
lui, s'est collé contre moi pour essayer de le faire rentrer de force dans ma
bouche. Je l'ai ouverte, il est entré en moi et il a recommencé à donner des
coups de rein. Puis il a attrapé ma tête, comme pour se maintenir. Sa
respiration a commencé à s'accélérer. Il a ouvert la bouche, a fermé les yeux
et a penché sa tête en arrière. Il n'a pas dit un seul mot. Je n'ai pas
entendu la moindre plainte ni le moindre gémissement. Il a continué à s'agiter
dans ma bouche pendant un petit moment. Il a fait une grimace et s'est arrêté
d'un coup. Il est resté quelques secondes dans ma bouche sans bouger, puis il
s'est retiré... Il s'est allongé par terre les yeux fermés.

Je suis resté un petit moment en silence un peut désappointé, sans savoir quoi
dire.

" C'est comme ça qu'il te faisait Damien ? "

Il a fait oui avec la tête.

" T'as eu du plaisir au moins ? "

Il a haussé les épaules.

" Moi en tout cas, je n'en ai pas eu. J'aurai bien aimé te le donner ce
plaisir. La j'aurais eu du plaisir mais toi tu l'as pris comme un petit
égoïste... Tu pouvais faire ça tout seul avec ta main, t'avais pas besoin de
moi... "

Je me suis tu, car j'ai vu qu'il pleurait...

" Allez, viens à coté de moi, on fait la paix "

Il n'a pas bougé. Je me suis levé, j'ai remis mon pantalon et mes chaussures
et je suis monté dans la voiture. J'avais moi aussi envi de pleurer... J'ai
essayé de me retenir mais j'ai senti une larme qui coulait sur ma joue. J'ai
croisé mes bras sur le volant, j'y ai appuyé ma tête et je me suis laissé
aller...J'ai entendu la portière qui s'ouvrait. Il s'est assis à coté de moi. Il
y a eu un long silence...

" Tu pleures ? ... c'est à cause de moi ... "

Je l'ai regardé. Il ne s'était pas rhabillé. Il avait juste remonté son slip.

" Tu vois petit bonhomme, même les grands pleurent... Je suis un peu triste de
te quitter... c'est tout. "

" Si tu veux t'amuser avec moi, je veux bien... je voudrais bien te faire
plaisir... "

Il a dit la dernière phrase tout doucement. J'ai souri, et il m'a souri.

" T'es gentil, mais je n'ai plus le cœur à ça. Allez, rhabilles-toi, on s'en
va... "

Il est redescendu et s'est rhabillé. Il est remonté dans la voiture, alors je
l'ai serré contre moi et j'ai pleuré.

A 15h on arrivait à Libourne. Il m'a guidé jusqu'a sa maison. Je lui ai posé
son petit sac sur les genoux. Puis je lui ai dit :

" Allez, viens ! "

" Non, j'attends dans la voiture... "

Je suis descendu et j'ai frappé à la porte. Une dame d'une quarantaine d'année
est venue m'ouvrir. Elle avait l'air inquiète de me voir. Soudain son visage a
changé de couleur et j'ai cru qu'elle allait se trouver mal. J'ai réalisé
qu'elle avait vu Xavier dans la voiture.

" Je ramène Xavier...Je l'ai trouvé hier soir à Poitiers "

J'ai fais signe au bonhomme de venir.

" Vous avez signalé sa disparition ? "

Elle m'a regardé d'un air effaré et m'a fait signe que non en baissant la
tête. Xavier s'est approché, elle a serré sa tête entre ses mains et elle
s'est mise à pleurer.

" Entrez " nous a-t-elle dit en reniflant. Nous sommes entrés dans une pièce
qui semblait être à la fois une entrée et une salle à manger. Elle m'a fait
signe de m'assoire autour de la table et elle s'est assise en face de moi...

" Si vous n'avez pas signalé sa disparition, c'est que vous avez trouvé son
mot... "

Elle a fermé les yeux et m'a fait un signe affirmatif. Au fond de moi, j'ai
poussé un gros soupir de soulagement. J'ai tourné mes yeux vers Xavier qui
était resté debout. Il me regardait et a compris ce que je voulais lui dire...

" J'ai rencontré le gamin hier soir sur un parking de super marché... J'ai
compris que ça n'allait pas et que surtout il avait faim... Je l'ai emmené
manger au self, et j'ai pu constater dans quel état de crasse il était. J'ai
acheté un jean, un tee-shirt et un slip et je l'ai emmené chez moi. Quand ma
femme m'a vu arriver avec le gamin, et après que je lui ai expliqué comment je
l'avais trouvé, elle lui a fait prendre un bain. Après tout doucement, il a
commencé à parler... Je suppose qu'il nous a dit la même chose que ce qu'il
vous a écrit sur le mot qu'il vous a laissé... On a couché le gamin, et avec ma
femme, on a essayé de trouver une solution. Moi, je voulais l'emmener à la
gendarmerie... C'est elle qui m'a dit que si je faisais ça, je foutais la vie du
gamin, la vie de votre fils et votre vie en l'air...Elle m'a fait remarquer, que
si, comme Xavier nous l'avait dit, et si vous aviez trouvé son mot, vous
n'aviez certainement pas signalé sa disparition... Ce matin, il s'est réveillé à
10 heures. Et je l'ai ramené... Ma femme n'a pas voulu venir... "

Je me suis arrêté de parler. J'ai regardé la femme. Elle pleurait toujours...
Il a eu un long silence. Elle m'a regardé et je l'ai entendu me demander :

" Pour les vêtements... je vous dois quelque chose... "

Je suis resté quelques secondes complètement estomaqué. Je lui ramenais son
gamin qui était parti depuis une semaine, et pas pour une broutille, et elle
me demandait combien elle me devait. D'un seul coup, je regrettais de lui
avoir ramené Xavier...

" Ce n'est pas ça le problème madame, le problème c'est votre fils... "

Elle m'a regardé d'un air suppliant, et a fait un signe des yeux en direction
du bonhomme. J'ai tout de suite compris. J'ai regardé Xavier :

" Xavier, tu ne veux pas retourner dans la voiture...je reviendrais te chercher
tout à l'heure... "

Il est sorti de la maison tout de suite. Aussitôt elle s'est mise à parler.


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Forum des Histoires Taboues:

Le petit bonhomme 7/8

Posted on 8/12/2003 at 11:39:53 PM by Candel



" C'est mon mari qui a trouvé le mot de Xavier lundi midi. Il ne m'a rien dit.
Il est monté comme un fou dans la chambre des gamins. J'ai entendu hurler,
alors je suis monté voir. Je crois que si je n'étais pas monté, son père le
tuait... "

Elle s'est arrêtée, ses sanglots l'empêchaient de continuer... Elle a repris
quelques secondes plus tard.

" La, j'ai lu le mot qu'avais écrit Xavier. Vous ne pouvez pas savoir
comment.... "

Elle n'a de nouveau pas pu finir sa phrase. Je commençais à trouver
l'atmosphère pesante... J'avais envi de partir... Puis j'ai repensé à mon petit
bonhomme... Il fallait que j'aille jusqu'au bout de ce que j'avais décidé de
faire...Rien que pour lui... J'ai demandé :

" Vous avez réussi à vivre une semaine, sans nouvelle de Xavier...Sans rien
faire... "

"Lundi après midi et mardi, mon mari n'a pas été travaillé. Il l'a cherché
partout. Il a demandé dans les gares, aux stations services...partout je vous
dis... On avait décidé de prévenir la police demain... "

Et elle s'est remise à pleurer...



" Xavier, c'est un gamin de l'assistance, mais on le considère comme notre
fils, et je croyais que Damien le considérait comme son frère. Au début, il
était heureux qu'il soit là... "

" Maintenant, comment ça va se passer avec vous et surtout avec votre
fils...Comment pouvez-vous être sur que cela ne se reproduise pas ? Et surtout,
qu'il ne prostitue pas Xavier comme il était en train de le faire. Déjà en
premier, il n'y aurait pas un moyen pour que Xavier ait une chambre pour lui
tout seul ? "

" Si, on va s'en occuper...et si ça recommence, on se séparera de Xavier... "

Elle s'est de nouveau remise à pleurer...Je me suis mis à penser qu'il y avait
eu beaucoup de larmes aujourd'hui... J'ai demandé :

" J'aimerais bien rencontrer votre fils...J'aimerais même lui parler... "

Elle s'est arrêtée de pleurer. Il y a eu un silence...puis elle m'a dit :

" Il est dans sa chambre...mais il ne va pas vouloir vous voir... "

J'ai fait un sourire, pour détendre l'atmosphère, et j'ai dis :

" On peut essayer...Mais avant, il faudrait peut-être s'occuper de Xavier...Je
vais aller le chercher. "

Je suis sorti. Il était toujours dans la voiture. J'ai ouvert ma portière et
je me suis assis à coté de lui. Il m'a regardé d'un air anxieux.

" Je crois que ça va s'arranger petit bonhomme "

" J'aime pas quand tu m'appelles "petit bonhomme " "

Et moi qui n'avais pas arrêté de l'appeler comme ça...J'ai failli fondre en
larmes quand il m'a dit ça.

" Pourquoi tu ne me l'as pas dis plus tôt ? " Comme je n'avais pas de réponse,
j'ai dis :

" Tu peux rentrer à la maison maintenant, et moi je vais partir, mais avant,
je voudrais avoir une conversation avec Damien. Je voulais te le dire avant
que je le voie. Tu sais, je crois que je ne t'oublierais jamais. Tu auras été
un beau rayon de soleil dans ma vie. Toi, oublies moi le plus vite possible "

J'ai regardé vers la maison pour voir s'il y avait quelqu'un à la fenêtre, et
j'ai posé un baiser sur ses lèvres. Je suis sorti de la voiture, et il m'a
suivi. Quand on est rentré, il s'est précipité vers la dame, il l'a entouré
des ses bras, et il s'est mis à pleurer.

" Damien veut bien que vous montiez le voir dans la chambre...Il vous attend. "

" Je préférerais le rencontrer ailleurs...j'aimerais mieux marcher dehors pour
discuter. Vous croyez qu'il sera d'accort ? "

Elle m'a regardé d'un air surpris, comme elle ne pouvait rien me refuser, elle
et reparti dans l'escalier. Je me suis retrouvé seul avec Xavier.

" Alors mon grand, tu es content d'être chez toi? "

Il a baissé la tête, l'a relevé, m'a regardé droit dans les yeux, et il m'a
dit : " Oui "

Ce " oui " m'a réjoui le cœur.

La dame est redescendue, suivi de Damien. Je m'attendais à voir un fort
gaillard style banlieusard, alors que s'était un gars pas très grand, tout
blond et un peu boutonneux. J'ai eu l'impression de me reconnaître en lui.
C'était moi à 16 ans. Je l'ai vu poser ses yeux sur Xavier et les baisser
aussitôt. J'ai tout de suite sus que je serais le maître de notre
conversation, et que j'en ferais ce que je voudrais. J'ai ouvert la porte et
nous sommes sortis. Dehors, nous avons marché sans dire un mot pendant 1 ou 2
minutes.

" Je te propose 3 choix : on continu à marcher et on discute, on va boire un
pot dans un café et on discute, on va faire une ballade en voiture et on
discute... "

" La troisième solution... "

J'aurais choisi celle là si j'avais été à sa place. Dans la rue ou dans un
café, je n'aurais pas aimé rencontrer quelqu'un que je connaissais... Nous
sommes revenus sur nos pas, nous sommes montés dans la voiture, et j'ai repris
la route par ou j'étais venu. Je suis sorti de la ville, et au bout de
quelques kilomètres, j'ai retrouvé le chemin ou je m'étais engagé un peu plus
tôt avec Xavier. Je n'ai pas été au bout du chemin. Je me suis arrêté au bout
de 50 mètres. Je suis descendu, et je me suis assis sur le capot. Il est venu
me rejoindre et s'est planté devant moi en baissant la tête. Il ne fallait pas
que je lui laisse prendre le dessus : il fallait que je reste le maître de la
discussion...


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Forum des Histoires Taboues:

Le petit bonhomme 8/8 Fin

Posted on 8/12/2003 at 11:41:44 PM by  [fipoli@wanadoo.fr]



"Si j'ai bien compris ce que m'a dit Xavier, t'es un PD. "

Il a relevé la tête et a dit fermement :

" Ah non alors "

" Alors t'es un salaud. Les PD, je les excuse, mais pas les salauds "

Il a de nouveau baissé la tête, et j'étais heureux. J'avais gagné la première
manche.

" Non seulement t'es un salaud, mais en plus t'es un maquereau. Combien ils
t'ont donné tes copains pour profiter de Xavier ? "

" Ils ne m'ont rien donné. C'était pour s'amuser...pour rigoler... "

" Alors, salaud, maquereau et con en plus puisque tu n'en as même pas tiré du
profit. "

Il est resté tout con à me regarder... je crois que je venais de marquer un
nouveau point. Mais il n'avait pas l'intention de se laisser faire...

" La première fois qu'ils sont venus, je ne savais pas que cela se terminerait
comme ça... Moi j'étais pas d'accort... "

" Mais tu as laissé faire, et tu as été d'accord pour qu'ils recommencent. Tes
copains, ils savent que Xavier a fait une fugue "

Il a haussé les épaules.

" Personne le sait, a part mes parents, moi et maintenant vous ! "

Nous sommes restés un moment sans rien dire et j'ai demandé :

" Pour en savoir un peu plus, racontes-moi quel effet ça fait de se faire
tailler une pipe par un gamin de 11ans. "

Il m'a regardé, a haussé les épaules et m'a répondu d'un air arrogant :

"Le même effet que quand c'est votre femme qui vous le fait. "

" Ah non, c'est trop simple de répondre ça. Quand c'est ma femme qui me le
fait, d'abord elle le fait sans contrainte, ensuite elle y prend du plaisir,
et enfin, moi je lui fais autre chose pour lui rendre le plaisir qu'elle m'a
donné. Alors que toi, tu obligeais Xavier à te faire une pipe, alors qu'il ne
le voulait pas et que ça ne lui plaisait pas, et toi, tu ne faisais rien pour
le remercier. Alors ne me dis pas que c'est la même chose. "

" D'abord, comment vous le savez que ça ne lui plaisait pas ? "

J'ai failli m'embrouiller. En repensant à ce que xavier m'avait dit, je
n'étais pas sur que la contrainte des premiers jours avait duré 6 mois. En
plus l'expérience que j'avais eue avec lui me donnait à croire qu'il " aimait
ça " J'ai quand même répondu :

" Parce qu'il me l'a dit. J'ai passé plus de 3 heures en voiture avec lui
aujourd'hui, J'ai eu le temps de lui poser des questions, et lui de me
répondre. Enfin admettons qu'il aimait ça. Par contre ne me dis pas qu'il
aimait se faire enculer par tes copains. Et surtout par toi... "

" C'est pas vrai, je ne lui ai jamais fais ça...je le jure.. Je voulais pas
qu'ils le fassent...la première fois j'ai pas réalisé, j'ai pas compris... Je
leur ai dis que je ne voulais plus qu'ils reviennent, et puis ils m'ont dit que
tout le lycée serait au courant que je me faisais sucer par mon frère... "

Ca devait tenir de la famille, car il s'était mis à pleurer. Au fond de moi,
j'étais content de la tournure que prenait notre petite conversation. Il
venait de craquer, et c'est ce que je souhaitais.

" C'était pas malin de ta part de raconter ce que tu faisais avec Xavier. "

Il s'était arrêté de pleurer. Il avait l'air d'un chien battu. Il n'avait plus
cet air arrogant qu'il avait au début.

" Et maintenant, avec Xavier, comment crois-tu que ça va se passer ? Tu va
recommencer à te faire sucer par lui ? "

" Non, je ne recommencerais plus... "

" Alors c'est peut être toi qui va le sucer ? "

" Non je vous ai dis que j'étais pas un PD "

" Oui, je sais, tu me l'as déjà dit. Tu n'es pas PD, mais tu es un salaud, et
si le PD n'a pas envie de recommencer, qui me dit que le salaud, lui n'en a
pas envie... "

" Mais puisque je vous dis que je ne recommencerais plus, je voudrais oublier
tout ça, je voudrais n'avoir jamais commencé "

" Je veux bien te croire, alors je repose ma question : Et maintenant, avec
Xavier, comment crois-tu que ça va se passer ? Comment vont être vos rapports ?
Chaque fois que tu le verras, comment vas-tu le regarder ? Chaque fois qu'il
te verra comment va t-il te regarder, comment seras-tu sur qu'il ne pensera
pas à ce que tu lui as fait subir ? On ne peut pas d'un coup d'éponge effacer
les conneries qu'on a faites. Surtout des conneries comme cela "

Il y a eu un long moment de silence. Peut être réfléchissait-il à la question
que je venais de poser, ou peut être se disait-il qu'il en avait mare de mes
questions. Soudain il m'a dit : " Je sais qu'on ne peut rien effacer...alors
comment faire ? "

J'en avais mare d'être assis sur le capot de la voiture. Je me suis levé, je
me suis assis par terre, et j'ai dis :

" J'ai peut-être une solution. Mais, il faut que tu sois sincère, et que tu
répondes à une des questions que je t'ai posé tout à l'heure. Quel effet ça te
faisait de te faire tailler une pipe par Xavier ? Tu y prenais du plaisir,
c'était vraiment le pied, ou alors tu lui faisais faire ça simplement pour le
faire chier ? "

Il s'est assis en face de moi, il a ramené ses genoux contre son torse et les
a entourés de ses bras. Il n'était plus tendu, ni sur le qui-vive comme au
début...

" La nuit du réveillon, je ne sais pas ce qu'il ma pris...je l'ai forcé à me
faire ça... les autres fois, il était d'accord...enfin je crois... il ne m'a plus
jamais dit non...Oui j'ai eu du plaisir, mieux que quand je fais ça tout seul...
Un soir, je ne suis pas allé le voir dans son lit, je lui ai demandé de venir
dans le mien, et il m'a sucé. Je suis resté couché...La, j'ai vraiment
joui...C'était le pied...en plus, il me la tenait avec ses mains...Après, il me
l'a fait toujours comme ça, et c'était vachement bon. Je croyais qu'il était
d'accord... J'ai jamais pensé qu'il fuguerait... "

" A mon avis, ce n'est pas pour ça qu'il a fugué, c'est à cause des copains
que tu as amenés. Dis-moi, tu n'as jamais pensé, ni eu l'idée de lui faire
plaisir toi aussi ? Tu ne t'ais pas aperçu qu'il n'attendait que ça. Tu n'as
pas remarqué s'il bandait quand il te faisait plaisir ? "

" Oh si je m'en suis aperçu...ça se voyait sous son pyjama... "

J'ai regardé ma montre, et j'ai vu qu'il était 16h 45. j'ai pensé que j'avais
encore 3h de route pour rentrer à Poitiers, et que je n'étais pas encore
parti...

" Laisses passer un peu de temps, je crois qu'un soir il reviendra te voir. Et
s'il ne revient pas de lui-même proposes-lui de venir, ou vas le voir dans son
lit. Ce soir là, caresses-le, essaye de lui faire plaisir. Même si tu dis que
tu n'es pas un PD, suces le quand même, il te l'a bien fait, lui. Donnes lui
un peu ce plaisir qu'il te donne depuis 6 mois... "

Je me suis levé, et je suis remonté dans la voiture. Il m'a suivi.

" Je n'ai pas vu ton père...j'espère qu'il n'est pas parti... "

" Il est de garde à l' EDF toute la journée, il ne rentrera pas avant 10h ce
soir. "

J'ai repris la route vers Libourne, et sans problème j'ai retrouvé le chemin
de la maison. Avant de descendre de la voiture j'ai regardé Damien et je lui
ai dit :

" Xavier, c'est un petit bonhomme formidable. En plus je crois qu'il t'aime
bien. Essaye d'être sympa avec lui. Un jour, il te racontera sûrement son
séjour chez moi, et tu comprendras pourquoi je t'ais dit tout ça. "

Nous sommes rentrés dans la maison. J'ai eu l'impression que la dame avait
l'air soulagé de nous voir revenir. Elle n'a posé aucune question Je n'ai pas
vu Xavier. Je n'ai pas eu le temps de poser la question, elle m'a dit :

" Il est monté dans sa chambre. "

" Moi, je vais partir, Poitiers ce n'est pas tout prés, et je travaille
Demain... Mais j'aimerais dire au revoir à Xavier... "

" Je l'appelle ! "

" J'aimerais mieux le voir seul...je peux monter dans sa chambre ? "

" Si vous voulez...c'est la porte avec un poster de Michael Jackson... "

Je suis monté, sa porte était ouverte. Il était allongé sur un lit et
regardait le livre que je lui avais offert. Ca m'a fait chaud au cœur... Je me
suis assis à coté de lui...

" Tu vas partir maintenant ? ... "

" Oui " J'ai dit. " Dis-moi Xavier, ça ne te plaisait pas quand même un petit
peu de sucer Damien ? ... "

Il a baissé la tête, mais n'a pas répondu. Je n'ai pas insisté.

" Oui je vais m'en aller...Il faut que je rentre chez moi... "

Je lui ai pris le livre des mains, et comme je le connaissais par cœur je l'ai
ouverte à la page que je voulais.

" Le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche :

- Ah dit le renard... Je pleurerai..

- C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais
tu as voulu que je t'apprivoise...

- Bien sur, dit le renard.

- Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.

- Bien sur, dit le renard.

- Alors tu n'y gagnes rien !

- J'y gagne, dit le renard, à cause le la couleur du blé. "

J'ai refermé le livre et j'ai regardé Xavier. Il était tout pensif...il
souriait. J'ai tourné quelques pages du livre et j'ai repris ma lecture

" Je compris que je ne supportais pas l'idée de ne plus jamais entendre son
rire...

- Petit bonhomme, je veux encore t'entendre rire...

Il rit encore.

- Ah ! petit bonhomme, petit bonhomme j'aime entendre ce rire !

- Justement ce sera mon cadeau...

- Que veux-tu dire ?...

- Toi tu auras des étoiles comme personne n'en a...

- Que veux tu dire ?

- Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j'habiterai dans l'une
d'elles, puisque je rirais dans l'une d'elles, alors ce sera pour toi comme si
riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire !

Et il ris encore.

- Et quand tu seras consolé (on se console toujours) Tu seras content de
m'avoir connu. Tu seras toujours mon ami. Tu auras envie de rire avec moi. Et
tu ouvriras...

Je me suis arrêté de lire, une larme était tombée sur la page, et j'avais les
yeux troubles. J'ai posé le livre sur le lit, et je l'ai regardé... Il m'a
demandé :

" C'est pour ça que tu m'appelais petit bonhomme ? "

" Allez Xavier, je m'en vais... "

Je me suis penché vers lui, et tout en pleurant je lui ai dis tout bas :

" J'ai passé un merveilleux week-end... Tu m'as donné un bonheur et un plaisir
que je n'espérais pas, que je ne connaissais pas et que je ne retrouverais
jamais. Merci, et bonne chance petit bonhomme "

J'ai posé mes lèvres sur les siennes, et je suis parti. En me retournant, j'ai
vu Damien, immobile dans l'encadrement de la porte. Sans un mot, il s'est
écarté pour me laisser passer. En bas sa mère a du se rendre compte que
j'étais en train de pleurer. Elle n'a rien dit non plus. J'ai réussi à
prononcer sans trop chevretter :

" Au revoir, veillez bien sur Xavier... "

Je suis sorti, je suis monté dans ma voiture et je suis parti comme un fou.
J'ai pleuré pendant les 10 premiers kilomètres, j'ai mis la radio et je me
suis calmé. J'ai repris l'autoroute, je n'avais pas envi de me traîner sur la
N10. Je suis arrivé chez moi 19 h 45.

Arrivé dans mon appartement, je me suis servi un bourbon et je me suis allongé
sur la banquette. J'ai revu en pensée l'épisode de la dune, et j'ai souri. Je
me suis aperçu que mon pantalon était plein de taches vertes. Il faut dire que
je m'étais assis et roulé dans l'herbe souvent. Je me suis déshabillé' et j'ai
ramassé tous les vêtements qui traînaient. J'ai faillis me remettre à chialer
quant j'ai trouvé le slip " Simpson " Arrivé devant la machine à laver, j'ai
vu les papiers et le petit canif que j'avais trouvé dans les poches du jean de
mon petit bonhomme. Là, je n'ai pas pu me retenir de pleurer. J'ai rempli la
machine, je l'ai mise en marche, et j'ai été me coucher sans manger.

Mon petit bonhomme a du me porter chance, le lendemain, je rattrapais le
contrat que j'avais loupé le vendredi. En rentrant le soir, je me suis racheté
" Le Petit Prince "



Trois semaines plus tard. Je rencontrais Françoise.



Cela fait presque 17 mois que nous vivons ensemble. Elle est enceinte de 5
mois, et je pense sérieusement à refaire ma vie avec elle. Il y a une semaine,
un soir quand je suis rentré du travail, j'ai vu un sac sur la table du
salon...je n'y ai pas prêté attention. Je suis allé embrasser Françoise.
Quelques minutes après elle m'a dit :

" Michel tu regarderas le sac sur la table du salon...Je ne sais pas ce que
c'est... j'ai trouvé ça dans un tiroir. Par contre la lettre qui est dedans est
plus que surprenante...

J'ai vidé le sac sur la table. J'y ai trouvé 3 slips " Simpson ", un petit
canif, une lettre et un appareil photo jetable qui n'avait jamais été
développé. J'ai senti les larmes qui me venaient aux yeux. Françoise est
arrivée et elle m'a vu.

" Mais qu'est ce qu'il t'arrive ? ...Pourquoi tu pleures ? ... "

Je me suis levé, je l'ai enlacé et je lui ai dit :

" Rien mon Ange, un coup de cafard. "


þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES (pd, inc, ...)

http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires

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N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ...
Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison !

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