C'EST MON HISTOIRE (par Claire) title: C'est mon histoire part: Complete author: Claire keywords: none language: Francais published: 27/11/2002 Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues' le 20 novembre 2002. ( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires ) Je m'appelle claire. Je publie ces quelques lignes parce que j'ai envie de confesser ma vie de libertine. Je me présente en quelques mots : j'ai trente-deux ans et j'habite dans la région lyonnaise, vers Saint-Etienne plus précisément. Actuellement je suis presque rousse avec des cheveux longs. Je crois et mes amis disent que je suis jolie et bien faite. Je ne me fais pas peur quand je me regarde dans une glace. J'ai eu une jeunesse chaotique dont je te dirai deux mots tout à l'heure. Mon mari, Il faut que j'en dise deux mots aussi, a 59ans. C'est un très bel homme et j'en suis très éprise. Il commence à se faire du mourron à cause de ses cheveux blancs et ses petites pannes. Pourtant il est formidable, gentil et a beaucoup d'expérience, d'humour et de charme. Il a énormément de succès auprès de mes copines et copains, mais comme nous partageons tout et connaissons tout l'un de l'autre en toute franchise et en parfait accord il n'y a aucun problème. Je l'aide de tout mon amour quand les choses ne se passent pas comme il voudrait. Sa jeunesse a été aussi très mouvementée et s'est déroulée d'une manière tellement parallèle à la mienne que cela nous soude dans nos travers. Je ne suis pas une petite oie blanche et j'ai une certaine expérience des choses de la vie. J'ai été, très tôt, initiée par ma maman qui pensait que ses enfants sauraient mieux se protéger des dangers de la vie s'ils en connaissaient les plaisirs et le mode d'emploi. Il faut dire qu'elle avait connu elle-même sans que personne ne l'avertisse et lui présente le bon côté des choses toutes les vicissitudes d'une enfance malheureuse : Violentée brutalement dans sa famille, prostituée forcée en bas âge, elle avait voué une aversion pour le sexe male et ne se cachait pas d'aimer les femmes. Mon père, un très bel homme qui était très porté sur le sexe mais aussi très tolérant, l'avait tirée de la rue. Il l'aimait sincèrement, du moins à ce moment là et par ses attentions et son charme avait su s'en faire aimer et la réconcilier un temps avec l'homme mais je pense, avec lui seulement. Il était souvent absent, pour son travail, je crois. Toute petite, je l'entends encore dire à ma mère qu'il désirait que ses enfants soient élevés dans la connaissance du sexe, que nous soyons des bêtes de sexe afin que rien ne nous choque jamais ni ne nous fisse mal. Puisque mon père et ma mère le désiraient, je mis dans ma petite cervelle d'enfant que tout cela était bon pour moi et que le but de ma vie serait de faire plaisir à mes parents. J'avais cinq ans que je connaissais tout sur la question de la procréation et que je découvrais passionnément mon corps. Mon frère et moi, nous visionnions de temps en temps, apparemment par hasard, des films de sexe lorsque mon père et ses copains les regardaient, sans se soucier de nous. Les cassettes vidéos n'étaient pas encore courantes. J'apprenais à me caresser. C'était agréable et je n'eus aucune peine à m'y accoutumer. Dès six ans et que je sus lire, ce ne furent pas que les manuels scolaires qui nourrirent notre intellect mais aussi toutes les revues pornos, récits et photos, que mon père et ma mère laissaient traîner dans la maison. Nous les dévorions et nos jeux s'en inspiraient, plus proch es des travaux pratiques que des gamineries. Nous n'avons jamais éprouvé de gène ou de culpabilité. Pour nous tout était normal. C'est à huit ans que j'ai sauté le pas et incité mon frère à avoir un rapport complet avec moi et à me pénétrer. Mon père qui discrètement n'en perdait pas une miette, était aux anges. Il enregistra l'intégralité de la scène, je l'appris plus tard, avec sa camera super 8 et revendit des copies du film en douce dans son entourage. Nous couchions, était-ce fortuit, dans la même chambre et à compter de ce jour, nous eûmes des rapports réguliers et de plus en plus plaisants et variés. Cela ne fis qu'amplifier mon envie d'expériences libertines et je gravis rapidement une marche de plus dans le stupre. Un samedi, sous prétexte de réveiller mon père et ma mère au lit, je grimpais dans leur couche. Je me couchais sur le ventre de mon père qui comme toujours, dormait nu. A califourchon sur lui, je sentis quelque chose de chaud et dur contre ma petite vulve enflammée. Je m'installais sur ce membre massif et raide et en même temps si doux qui s'appliquaitsi bien à mes lèvres et sur lequel je commençai un mouvement de va et vient. Je me branlais ainsi quelques minutes très agréables et je voyais papa fermer les yeux et respirer plus fort. Je reculai doucement, sentant le pénis raidi s'appuyer puis s'enfoncer lentement dans mon vagin. Je poussai sur le gland turgescent qui pointait. Peu à peu il me pénétrait. Cela me faisait un peu mal bien que le petit pénis de mon frère et nos doigts aient déjà bien travaillé mon hymen. Mon père attrapa alors mes fesses et m'attira contre lui. Je m'empalai dans un cri. C'était fait. Je restai là, immobile d'abord, ne ressentant qu'une douleur piquante, une sensation d'étirement entre mes cuisses et de compression dans le bas ventre, qui devinrent rapidement supportables. Je me relevai alors doucement. Je le sentis qui poussait vers le haut et se renfonçait en moi. Le mouvement devint un va et vient. La cuisson s'estompa et la sensation pénible d'étirement disparue. Je me sentais toute mouillée et le va et vient devint facile. La sensation du plaisir commença à revenir, d'abord juste agréable puis une sensation de chaleur s'installa. Je commençais à transpirer. un fourmillement intense envahit toute ma peau de la tête aux pieds. La chaleur devint très forte et mon corps me semblait brûlant. Le tremblement commença dans mon bas-ventre puis dans ma poitrine et enfin dans ma tête. C'était en même temps une sensation de plaisir intense qui grandissait me semblant aller vers un sommet que j'appelais de tout mon être. De gros spasmes contractèrent mes muscles et j'eus mon premier gros orgasme sous l'œilattendri de ma mère qui se mit à me couvrir de baiser ainsi que mon père qui, dans le même temps, m'emplit de sa semence chaude. Je ressentis avec joie les spasmes de sa jouissance dans mon ventre. J'étais follement heureuse. c'était mon premier véritable orgasme. Je n'ai jamais pensé et je ne penserai jamais qu'aucun de nous trois est fait quelque chose de mal. C'est moi qui avais désiré cet instant. J'aime mes parents et je suis contente que ce soient eux qui aient reçu, les premiers, mon bonheur. Je ne les remercierai jamais assez d'avoir su m'aider à m'épanouir sexuellement. Grâce à eux toute ma jeunesse n'a été que plaisirs et expériences de toutes sortes. Cela n'a jamais gêné ma scolarité, au contraire, car cela m'a permit de me procurer les moyens de la poursuivre jusqu'aux niveaux supérieurs alors que les finances de la famille étaient limitées. J'étais discrète de nature et ma mère m'expliqua aussi que ce qui était normal chez nous n'était pas, pour des raisons de religion, me dit-elle, normal chez les autres. J'en ai gardé un certain dégoût pour toute religion ou doctrine morale. Cela ne m'empêcha pas de me faire de bonnes copines, à l'école, que je déniaisais, soit seule comme me l'apprenais ma mère ou avec l'aide de mon frère qui ne demandait pas mieux que de servir de professeur. Je fis l'amour aussi, souvent grâce à lui, avec beaucoup des garçons du village. Je lui rendis la pareille en repairant les garçons qui étaient attirés par les hommes. Comme moi et en même temps, il fut initié à la sodomie au cours de parties que nous organisâmes dans ce but. Cela nous permis de profiter de certaines occasions de relations anales qui se révélèrent assez plaisantes. Un peu plus d'un an plus tard, ma mère me dit que ça n'allait plus très bien,elle et mon père. Il avait toujours eu de nombreuses aventures ailleurs, auquelles elle ne voyait aucun inconvénient, mais voilà qu'il voulait s'en aller. Je me sentis très malheureuse car j'avais de bonnes relations avec mon père bien que j'aie senti qu'il se passait quelque chose car il me faisait de plus en plus souvent l'amour, me demandant de passer des nuits avec lui, merveilleuses d'ailleurs sur le plan sexuel. Il me demandait toujours plus de choses et tout y passait alors que ma mère le battait froid de son côté. Un jour je décidai de tout arrêter et de lui faire aussi la grève du sexe. Pour calmer mes sens exacerbés je me rabattis sur mon frère qui, à treize ans était très demandeur aussi. Je consolais aussi tendrement ma mère quand mon père eu quitté définitivement la maison. Maman, à trente cinq ans était belle et agréable. Elle me fis connaître toute la gamme des plaisirs saphiques qu'elle pratiquaitdepuis longtemps. Elle avait de nombreuses amies de travail qui en dehors de leurs passes, venaient partager ses nuits et ses loisirs. Sa meilleure amie vint finalement s'installer à la maison. j'eus alors deux mamans et le double de plaisir. Pour nous faire vivre, elle repris discrètement son ancien métier qu'elle n'avait jamais complètement abandonné car cela aidait bien aux fins de mois car la pension versée par mon père était maigre et irrégulière. Pendant tout ce temps, j'invitai toujours mes petites amies de collège à la maison et nous faisions de bonnes parties à cinq ou six qui faisaient le bonheur de mon frère et aussi de ses copains. J'avais treize ans quand je compris le pouvoir que je pouvais avoir sur les hommes et surtout comment en profiter. Un de mes oncles paternels, de passage, s'arrêta à la maison avec femme et enfants. Je vis tout de suite qu'il louchait sur mes petits seins en formation déjà mignons, etsur le haut de mes jambes d'adolescente qui étaient plus dévoilées que cachées par ma petite minijupe toujours en train de remonter. Cela m'émoustilla. Il n'était pas beau avec des lunettes affreuses, un petit ventre rond, des fesses en perdition et un air un peu pincé. Sa femme, quelquonque et mal habillée, avait l'air d'une pimbêche et voulait tout inspecter. Ses gosses, timides et perturbés, semblaient sortir du catéchisme. Je décidai de l'allumer méchant. J'allai passer un petit slip de maman dont l'entrejambe, bien trop large pour mes cuisses, laissait voir l'intégrité de ma vulve par les côtés. Je profitai de l'absence de sa femme, entraînée dans le village soit-disant pour promener les morveux, pour le câliner et l'inviter à venir visiter la maison. Je l'entraînais jusqu'au grenier où l'on accédait par une échelle. Passant devant, je m'arrangeais pour qu'il ne perde rien du spectacle de mon sexe et de mon derrière. je le sentis haleter plus fort et feignant de louper un échelon, je me retrouvait avec ma chatte à hauteur de son nez. Il me dit que, pour un peu il m'embrassait et je lui répondis de ne pas se gêner, que j'aimais bien les bisous. Pas là quand même ? Me dit-il. Je lui dis : Je ne sais pas. Essaye ! Il le fit mais timidement sur la cuisse. Je dis: euhmmm !!! J'aime ! Encore ! Mieux au milieu ! Ce coup-là, il s'exécute. Il commence timidement à me faire une bonne langue. Je le tire dans le grenier et sur un tas de vieux chiffons je l'embrasse à pleine bouche. Il n'y tient plus et commence à me caresser la poitrine et les cuisses. Je plonge ma main dans sa braguette et dégage son chibre déjà prêt. Il me possède rapidement et, sans s'occuper de mon plaisir, il jouit rapidement. il se relève ensuite, pressé et mal à l'aise. Je lui demande alors : donne moi deux cents balles ou je dis à ta femme et à maman que tu viens de me violer. Il devient blanc mais on entend du bruit en bas. Il me les donne en m'insultant, me traitant de sale petite pute, chienne, truie, traînée, ordure. Je me sauve en riant. Il trouva un prétexte pour partir rapidement. Nous ne les avons jamais revus. Le suivant ce fut un commerçant du quartier qui vendait des parfums et des objets de mode. J'appris aussi qu'il vendait en douce des gadgets érotiques et du matériel porno. J'allai chez lui acheter quelques bricoles quand j'avais des sous. Je lui demandai des conseils de maquillage. Il voyait que mon budget était serré et me fis cadeaux d'échantillons tout en s'arrangeant pour, sous prétexte de conseils, me caresser un peu. Il m'offrit un jour un flacon de parfum de grande marque. J'en connaissais la valeur et voulus le refuser d'abord. Il me dit : n'est pas peur, fait moi un gros baiser et on n'en parle plus. Je m'exécutai avec d'autant plus de facilité que j'en avais envie. Ce fut un vrai baiser sur la bouche qui fit comprendre au drôle que je n'étais pas farouche. Je l'avais sérieusement allumé. Contre d'autres menus cadeaux, après le baiser, je le laissais peloter mes jeunes seins. Pour une emplette beaucoup plus conséquente, il me demanda de lui laisser caresser et embrasser mon minou. Lorsqu'il me demanda de faire l'amour avec lui, je lui dis que je ne dirai rien à personne mais que j'avais besoin de mille francs qu'il me donna sans hésiter. je le tenais et je gagnais rapidement de quoi me payer un ordinateur. Je crois que sa femme eut des doutes car, un jour, il me dit de nous en tenir là. Je me mis à aguicher les hommes d'un certain age dans la rue. Je n'étais pas idiote et, par ma mère, je me doutais qu'il fallait me méfier et me protéger. Si me prostituer de temps en temps ne présentais aucun problème moral pour moi, je connaissais les dangers qui me guettaient. Je réussis à me payer un scooter et à me constituer un bonne petite cagnotte qui me permettait de subvenir à mes frais et à ma scolarité. Quand je voulus en faire profiter maman, elle me gronda un peu mais me dit que si je voulais faire ce métier à temps perdu, comme j'étais mineure encore, elle s'arrangerait pour me confier à des gens surs et naïfs afin que je ne prenne pas trop de risques. J'entrais en fait dans une sorte de réseau qui, sous couvert d'aide à des personnes âgées, m'envoyait soulager, lorsque j'étais disponible, de bons papys entre soixante dix et quatre vingt ans qui étaient de vrais trésors à tous les sens qu'on veut. Attentionnés, caressants, généreux, et souvent quasi impuissants, ils ne me demandaient surtout, que de leur donner, avec mes quinze ans, la fraîcheur des filles qu'ils avaient loupées dans leur jeunesse. Je me fis entretenir pendant toutes mes études par les pépés. Je recevais, en échange de ma sagesse et de ma gentillesse, de belles petites images qui me permettaient de payer mes études, d'entretenir un petit studio, de faire la fête avec mes amis car je me partageais toujours entre mes copains et copines, mon frère que j'aime tendrement, maman et ses amies. je faisais aussi quelques extras lors de rencontres en boîte ou ailleurs qui venaient grossir mon bas de laine.Patrice est entré dans ma vie drôlement et dans la peine. C'était un voisin que je connaissais de longue date, mais seulement en bon voisin. Je connaissais beaucoup plus intimement son épouse. Il avait une jeune femme charmante d'environs 35 ans. Ils n'avaient pas d'enfants. Il était grand, très beau, un peu grisonnant. Il avait alors 45 ans. Sa femme Jacqueline, était une grande amie de maman et partageait nos goûts. C'était surtout la mienne car avec ma mère nous partageons tout sur ce plan et j'étais follement amoureuse d'elle. Gentille, calme, émouvante même, caressante et pourtant torride en amour, nous avions une relation de grande qualité pleine de tendresse. Le ciel me tomba sur la tête quand j'appris qu'elle se mourrait d'un cancer généralisé. Les derniers jours furent terribles pour nous. Elle m'appela sur son lit de mort et me révéla que Patrice, en secret, était intéressé par moi, bien qu'il s'en défendit, et elle me demanda de prendre soin de lui, d'essayer de le consoler, enfin qu'elle me le confiait. J'étais complètement déconcertée mais je fis de mon mieux pour l'aider et accomplir ma promesse. Dans son désarroi, il me raconta sa vie. Sa jeunesse avait été mouvementée sinon difficile. Je me sentais en confiance avec lui et lui confiai à mon tour, les péripéties de ma jeunesse, ne lui cachant aucune de mes aventures, ni aucuns de mes vices, ni l'étendue de ma perversité. Il me demanda de l'épouser, en m'assurant que rien ne pourrait ternir le nouvel amour qu'il me portait et que je serai toujours libre de faire tout ce que je voudrais, qu'il serait le plus tolérant des maris et qu'il m'aiderait de toutes ses forces. J'ai senti alors que c'était l'homme de ma vie, réunissant tout ce que je désirais chez un male, et j'acceptai, me donnant toute entière à lui. Je sais que je peux faire tout ce que je veux mais il y a un proverbe qui dit qu'il n'y a pas femme plus fidèle qu'une pute repentie. J'aime le sexe et je le pratique avec de nombreux partenaires, mais toujours en accord ou en avertissant Patrice,ou en le lui avouant sans tarder quand ce n'est pas possible avant. Nous sommes en totale complicité car dans son caractère, ses habitudes et ses pratiques, je retrouve à la fois mon frère et mon père qui est décédé maintenant. Nous avons une sexualité épanouie, variée et harmonieuse, pleine d'imprévus, et nous ne manquons pas d'idées pour nous faire plaisir. Voici mon histoire. Gros bisous A+ Claire þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES créé en 1999 par Pedinc. http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires Vous y trouverez la plus grande collection d'histoires en français sur le sujet. N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ... Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison ! ------------------------------------------------------------------------------- Cette oeuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin. -------------------------------------------------------------------------------