Ceci est une nouvelle histoire complète.
Titre : Un bain avec Carole - Texte complet
Auteur : Pascaline
Email : pascalemaurin[_at_]outlook.fr
Personnages : 1 homme, 1 femme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 11 ans
Exhibitionnisme
Première fois
Masturbation
Lesbianisme
Texte envoyé le 11/05/2016
Texte publié le 11/05/2016
Creative Commons 2016 - Pascaline. Certains droits réservés.
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Résumé :
Ma tante Carole m'a invitée à prendre un bain avec elle.
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
J'avais 11 ans et demi, je vivais avec mes parents dans une maison en ville. Pour fêter leurs 15 ans de mariage, mes parents sont partis en voyage pendant une dizaine de jours. Durant cette absence, Carole, la sœur de ma mère m'a hébergée chez elle. Carole est un peu plus jeune que maman, elle vit avec son compagnon dans un grand appartement dans la même ville que la notre. J'allais au collège à pied car la résidence de Carole était plus près de l'établissement que notre maison. Ma tante avait un compagnon qui partait le premier le matin et Carole se rendait à son travail après mon départ au collège et rentrait peu de temps après mon retour.
Il m'est déjà arrivé de rester chez Carole de temps en temps, mais chaque fois pendant une ou deux nuits. C'était la première fois que j'y restais aussi longtemps. J'appréciais de me retrouver chez elle et loin de mes parents. J'avais l'impression d'être en liberté et surtout parce que Carole était beaucoup plus cool et permissive que mes parents. Nous étions relativement complices, elle n'avait pas d'enfants et me considérait aussi comme sa fille. Carole était une très belle femme, grande, élancée, très élégante, elle avait des cheveux longs châtains, un visage fin avec de grands yeux bleus. Elle portait souvent des tailleurs avec jupes courtes qui mettaient en valeur ses superbes jambes. J'étais amoureuse de la beauté de Carole, je souhaitais lui ressembler en grandissant.
Moi, je me trouvais moche, j'étais complexée de mon corps. J'étais assez grande pour mon âge, mais j'avais l'impression d'avoir de maigres jambes interminables, un corps trop qui me semblait disproportionnée. Des cheveux longs châtains comme ceux de Carole. Contrairement à beaucoup de mes copines de collège, je n'avais pas de poitrine, juste deux petits bourgeons mammaires. Je ne portais pas de jupe, je préférais les pantalons un peu large et les tee-shirt amples. Quand je regarde des photos de cette époque, je me trouve évidemment ma fagotée, finalement je n'étais pas si moche, j'avais un beau visage et je ne devais pas laisser les garçons indifférents mais je ne m'en rendais pas compte.
C'était un mercredi après-midi, j'avais terminé mes devoirs et Carole m'avait préparé un délicieux gouter avec un chocolat et des tartines de Nutella. Dehors, il ne faisait pas très beau, après avoir dégusté mon quatre heures, assise par terre, je regardais la télé tout en feuilletant un magasine de qui trainait sur la table, il traitait d'un sujet de l'amour dans le couple. Mais je lisais sans tout comprendre car à l'époque j'étais encore très naïve. Carole s'approcha de moi et m'enleva le magasine d'entre les mains pour me faire lever les yeux. Elle me posa la question suivante.
• Je vais prendre un bain, ça te dirait d'en prendre un avec moi ?
Cette question m'avait déstabilisée car je ne m'attendais pas ça. Prise au dépourvu, je ne savais que répondre et je balbutiais.
• Heuuu !
• Allez, allez, viens avec moi, tu vas voir comment c'est agréable. Tu prends des bains de temps en temps ?
• Heuu ! Non je préfère prendre des douches.
• Viens avec moi dans la salle de bain, tu vas voir comment c'est agréable et comment tu vas te sentir détendue.
Elle me prit par la main pour me relever et me tira vers la salle de bain. Je la suivais nonchalante car je n'avais pas très envie de prendre un bain à ce moment là. La salle de bain était très grande avec un coin douche à l'italienne et une baignoire de forme triangulaire avec poire à jets variables dans un autre coin. La baignoire était déjà remplie à moitié, les vapeurs montaient de l'eau chaude. L'atmosphère de la pièce était moite. Carole commençait à se déshabiller, je la regardais vaguement, immobile, ne sachant que faire. Elle était déjà en sous-vêtements et me dit :
• Mais tu ne te déshabilles pas ? Tu veux prendre un bain toute habillée ?
Je ne répondais rien, j'étais tétanisée, d'autant plus que Carole avait enlevé son soutien gorge arborant une magnifique poitrine galbée. J'étais encore plus complexée et réticente de me déshabiller devant elle car je ne l'avais jamais fait et j'avais honte de mon corps.
• Allez Léa, enlève tes vêtements. Tu sais, tu ne dois pas avoir peur, nous sommes fichues pareilles toutes les deux. Je sais ce que c'est l'adolescence et la crainte de montrer son corps. Mais tu n'as pas à avoir être complexée avec moi, nous sommes entre femmes.
Sur ces paroles, elle prit le bas de mon tee-shirt pour me l'enlever. Je croisais aussitôt mes bras sur mes deux bourgeons tellement je me trouvais ridicule à coté de ses beaux seins. Elle enleva aussitôt sa culotte pensant que j'allais continuer à me déshabiller seule, mais je ne bougeais pas. Je regardais son pubis complètement épilé, sa fente était longue avec des lèvres bien serrées. Je la trouvais magnifiquement belle toute nue, mais cette beauté me bloquait encore plus, j'avais de moins en moins envie de montrer mon corps dégingandé. Devant mon inertie, elle prit à nouveau l'initiative. Elle tira le nœud du ruban qui fermait mon pantalon. Ample, celui ci glissa sur mes hanches et se retrouva à mes pieds. Je fis un pas de coté pour me dégager du pantalon. Je n'étais plus vêtue que de ma petite culotte blanche.
• Alors, tu l'enlèves ou il faut que je t'aide encore ? me dit elle d'un rire complice.
Voulant montrer un semblant de coopération, je tirais sur l'élastique de ma culotte pour l'abaisser, mais je me détournais pudiquement de Carole pour qu'elle ne voit pas de suite mon sexe. Pudibonderie dérisoire parce que je savais qu'elle allait très vite voir l'intégralité de mon anatomie de fillette mal formée. Je me retournais vers elle en gardant un bras sur ma poitrine et ma main négligemment posée sur mon sexe. Elle s'approcha de moi, prit doucement mes mains et écarta mes bras, dévoilant entièrement ma nudité.
• Mais, tu es très belle ma petite Léa, tu as un corps magnifique, mais je suis sure que tu ne t'en rends pas compte. Sois fière de ton corps.
Carole disait exactement le contraire de ce que je pensais de moi, je ne savais si je devais la croire ou si elle me disait toutes ces choses pour m'encourager à me dévêtir. Je n'avais pas de poitrine, mais un petit duvet de poils bruns ornait mon pubis. La forme de ma pilosité ressemblait à deux ailes et avec ma fente au milieu, on aurait dit un papillon posé sur le pubis. Paradoxalement, Carole l'adulte avait un pubis glabre de fillette alors que le mien arborait une pilosité. D'ailleurs, elle me le fit remarquer.
• Ma petite Léa, tu es en train de devenir une jeune fille avec tes seins qui commencent à pointer et tes petits poils qui sortent sur ton pubis. A ton âge, j'étais aussi comme toi, ma pilosité pubienne a commencé à apparaitre avant mes seins.
Ses paroles me rassuraient et je me disais qu'un jour j'allais lui ressembler. D'ailleurs, actuellement, je suis assez satisfaite de mon apparence physique.
Carole rentra dans la baignoire et s'assit sur le fond, elle me tira par la main pour m'obliger aussi à y entrer et m'asseoir dans l'eau tiède. Le contact du liquide sur tout le bas de mon corps me remplit de plénitude, je me sentais bien. J'avais l'impression que l'eau habillait ma nudité. Je n'avais pas l'habitude de prendre de bain, j'aimais cette tiédeur de l'élément liquide qui s'immisçait dans tous les recoins de mon corps.
Carole saisit la douchette multi-fonctions et la positionna en arrosage. Elle m'aspergea tout le haut du corps et de temps en temps visait mon visage, nous riions toutes les deux, je commençais à me détendre. Je trouvais agréable cette eau dégoulinant sur mon corps et retombant dans celle de la baignoire avec des bruits de clapotis. Ma tante s'arrosa aussi longuement, puis changea la fonction du pommeau en le positionnant sur un jet plus puissant. Elle mit la poire sous l'eau, aussitôt un bouillonnement provoqué par la force de la pression troubla l'eau claire. Des petites vaguelettes venaient lécher les petits bourgeons de ma poitrine. Je m'enfonçais un peu plus dans la baignoire pour les noyer et leur faire sentir la pression provoquée par la douchette.
Carole dirigea le jet entre ses jambes écartées, lentement elle balayait sa fente. Elle semblait apprécier car elle avait rejeté sa tête en arrière, la nuque contre le rebord de la baignoire et les yeux fermés. Elle resta ainsi longuement, silencieuse, la bouche entrouverte. Je me demandais si elle somnolait car je ne comprenais pas ce qu'elle faisait. Au bout d'un temps que je ne saurais estimer, son corps trembla légèrement, elle rouvrit les yeux, redressa sa tête et me regardait en souriant béatement comme si elle sortait d'un beau rêve. En réponse, je lui souriais aussi. Elle me demanda :
• "Tu joues de temps en temps avec la poire de la douche ?"
• "Heu, oui, je m'amuse avec quelques fois" répondis je innocemment.
• Je ne te demandes pas t'amuser dans le sens de jouer, tu comprends ? Je veux dire : Est ce qu'il t'arrive de diriger le jet en insistant sur le bas de ton ventre ?
• Heu, oui, des fois
Je ne savais trop quoi répondre car je ne saisissais pas le but de sa question.
• Et alors, tu ne trouves pas agréable ?
• Heu, je ne sais pas.
Je ne voyais pas encore ou elle voulait en venir. Quand je me douchais, je trouvais agréable lorsque je passais le jet entre mes jambes pour me rincer, mais sans chercher à accentuer cette bonne sensation.
• Tu n'as jamais cherché à avoir des sensations agréables en dirigeant le jet sur ta fente ? Tu t'es déjà masturbée ?
Je rougis sans répondre à la question. Masturbée, masturbation, des mots que j'avais parfois entendus, mais que je n'avais jamais pratiqués. Je n'en sentais pas le besoin ni l'envie. Devant les questions insistantes de Carole, j'étais embarrassée. Je devais passer pour une gourde, naïve et ignorante. A ce moment là, je ne m'étais jamais masturbée., je n'avais pas essayé par ignorance, mais aussi par crainte d'arriver dans un état que je pourrais plus maitriser. Comme j'étais mal informée, j'avais peur de devenir folle si j'essayais de me masturber. J'avais remis cette pratique quand j'aurais avancé en âge.
Carole positionna la douchette sur un jet moins puissant.
• Je vais te montrer, laisse toi faire, installe toi bien et écarte tes jambes.
J'essayais de m'installer confortablement, j'appuyais mon dos contre la baignoire et je posais mes bras sur le rebord après avoir écarté mes cuisses. Elle mit à nouveau le pommeau sous l'eau et cette fois ci le dirigea entre mes jambes. Au fur et à mesure que le jet approchait, je sentais un frémissement à l'intérieur de mon ventre. Carole faisait aller le jet, en le rapprochant, l'éloignant, le faisant monter le long de ma fente. Ces variations de pression provoquaient des frissonnements à l'intérieur de mon bas-ventre. Le jet écartait légèrement lèvres laissant apparaitre une partie de mon clitoris, mes poils vibraient sur le pubis. C'était agréable, je sentais monter en moi une sensation indescriptible de bien-être que je n'avais jamais connue. Des vibrations montaient de ma vulve jusqu'à ma poitrine bourgeonnante. J'avais l'impression que de l'eau de la douche coulait en cascade de mon vagin. A un moment donné, j'ai ouvert les yeux et j'ai vu Carole enfoncer ses doigts dans sa fente. Elle les faisait tournoyer en frottant de temps en temps son pubis. Mais je refermais aussitôt mes yeux tellement les sensations étaient agréables, je me complaisais dans ce nouveau plaisir. Je me sentais partir, j'avais peur de m'évanouir et de me noyer. Soudain un frissonnement plus fort que les autres me fit partir en arrière au point de cogner ma nuque et de soulever mes fesses. J'ai cru que j'allais sauter de la baignoire tel un dauphin dans un parc aquatique. Je ressentais une impression de lassitude, j'étais vidée, mais je me sentais terriblement bien. Je rouvrais les yeux, Carole me souriait avec toujours ses doigts dans la fente. Elle m'embrassa en venant en même temps caresser mon bas-ventre. Je n'avais jamais senti d'autres mains que la mienne à cet endroit. Mais j'étais tellement bien que j'étais prête à tout accepter. Carole me dit :
• Je pense que tu as eu ton premier orgasme.
C'était donc ça un orgasme. ? Finalement ça c'est bien passé et je ne suis pas devenue folle. C'était vraiment agréable. J'étais fière d'avoir connue cette extase. Carole me caressait doucement le clitoris en me parlant gentiment.
• Tu pourras aussi essayer de te masturber en te caressant le clitoris comme je te le fais. Tu dois l'avoir sensible et gonflé en ce moment car tu viens de jouir mais quand tu essaieras, tu obtiendras aussi de bons résultats. Je vais te le faire toucher et tu toucheras le mien aussi pour que tu te rendes compte.
Effectivement, mon clitoris était hypersensible au toucher de Carole, mais j'avais l'impression qu'il se rétractait et que des gros doigts le caressaient alors que les doigts de ma tante sont fins.
Carole me fit toucher mon propre clitoris, je ne l'avais jamais fait auparavant. Elle fit poser mes doigts dessus, c'était comme un petit durillon qui roulait sous mes doigts. Je me promettais d'essayer lorsque je serai seule de reproduire cet orgasme. Carole me fit mettre à genoux dans la baignoire, elle prit mes mains et les posa sur ses seins en commençant un mouvement de caresse, puis me laissa prendre l'initiative. Je touchais pour la première fois de vrais seins. Ils étaient bien ronds et fermes. Je me souviens de ses tétons dressés et durs. Elle reprit ma main droite et la porta entre ses cuisses. Elle fit pénétrer mes doigts dans l'ouverture de sa fente. Malgré l'eau tiède, je ressentis une autre sensation, comme si j'enfonçais mes doigts dans un autre liquide un peu plus visqueux, ça me faisait bizarre. Elle me fit caresser son clitoris, je le trouvais énorme sous mes doigts comparé au mien. C'était un paquet de chair que je pouvais saisir entre mes doigts. Je restais un long moment à caresser ce bouton que je sentais rouler entre les lèvres de sa fente. Je prenais du plaisir à jouer avec ce berlingot et Carole semblait apprécier aussi. Elle glissa ma main entre ses cuisses, mon clitoris avait retrouvé une sensibilité normale. Elle laissait glisser le champ de sa main sur ma fente, je serrais mes jambes pour emprisonner sa main de peur d'avoir un nouvel orgasme. Je ne voulais pas abuser de ce plaisir de peur de perdre ce capital comme s'il y avait des quotas d'orgasmes à ne pas dépasser.
Soudain la porte de la salle de bain s'ouvrit et Paul, le compagnon de Carole, apparut dans l'entrebâillement. Il entra dans la pièce laissant la porte ouverte. J'étais à genoux sur le fond de la baignoire, je me jetais en arrière pour me cacher contre la paroi en faisant un énorme remous qui fit verser de l'eau à l'extérieur.
• Oh ! Pardon, je ne savais pas que vous étiez toutes les deux dans le bain.
Il retournait vers la porte pour sortir, mais Carole l'interpella.
• Paul, tu peux rester. Ça te dit de prendre un bain avec nous ?
• Ben oui, pourquoi pas. Vous vous amusiez toutes les deux ?
• Oui, j'expliquais à Léa les différentes fonctions de la douchette et comment s'en servir.
Le ton sur lequel elle a dit ces mots était pour faire comprendre à Paul qu'elle m'avait expliqué les utilisations détournées pour le plaisir. Il répondit complice :
• Ah oui, tu vois, on peut en faire des choses intéressantes avec cette douche.
Il s'approcha de la baignoire, je m'enfonçais dans l'eau pensant cacher mon corps, mais c'était une cachette dérisoire car l'eau était claire, pas du tout mousseuse, autant dire qu'il voyait tout de mon anatomie. Il se déshabilla devant la baignoire, jeta sa chemise et enleva son pantalon. Paul était sportif et bien musclé, il faisait beaucoup de vélo, il avait la trace blanche de son cuissard sur les jambes ainsi que la trace du tee-shirt sur les bras. Paul était entièrement épilé des pieds à la tête.
Il ôta son boxer noir, son sexe apparut. On aurait dit une énorme saucisse sortie du papier d'emballage du charcutier. Le fait d'être épilé faisait paraitre sa verge encore plus longue. Elle pendouillait au dessus de ses énormes bourses. Je n'avais jamais vu de sexe d'homme en vrai, j'étais vraiment impressionnée par cette grosse masse. Il pénétra dans la baignoire et s'assit entre nous deux. Je repliais mes jambes pour lui laisser de la place et ne pas le toucher. J'étais horriblement gênée qu'il me voit nue, je venais à peine de l'accepter de Carole, j'avais plus de mal avec Paul. Mon regard ne pouvait se détacher de cette queue qui me semblait encore plus volumineuse sous l'eau.
Pas dupe, Paul avait compris ce que nous faisions lorsqu'il a ouvert la porte de la salle de bain. Il nous encourageait même à continuer.
• Vous étiez en train de vous amuser quand je suis rentré, vous pouvez continuer.
Je ne savais plus ou me mettre. Je ne voulais pas que Carole dise devant moi ce que nous venions de faire. Il l'avait compris, mais je voulais que ça s'arrête là. Je leur dit :
• Je vais sortir pour vous laisser ensemble.
En même temps, je me levais et me retrouvais debout dans la baignoire. Paul me saisit la main.
• Non, Léa, tu peux rester avec nous, c'est moi qui n'aurait pas du vous déranger.
De ma hauteur, j'avais ma vulve à hauteur de ses yeux, je voyais bien qu'il me détaillait avec insistance des cuisses à la poitrine. J'étais déjà nue, mais je sentais qu'il me déshabillait encore plus et qu'il voyait les réactions à l'intérieur de mon corps. J'avais peur qu'il décèle quelque part que j'avais eu un orgasme quelques minutes auparavant.
• Tu es très jolie Léa, je ne me rendais pas compte que tu avais un aussi beau corps parce que tu portes souvent des vêtements amples.
Sans gêne et alliant le geste à la parole, il posa sa main à plat sur mon ventre et la descendit jusqu'au niveau de mon pubis, à la base de ma pilosité.
• Tu es très féminine et gracieuse, ton corps est en train de se transformer harmonieusement, tu vas devenir une belle jeune fille.
J'étais tétanisée, je n'osais plus bouger. Je sentais la chaleur de la surface de sa main posée sur mon bas ventre. Je baissais les yeux sur son sexe pour constater qu'il avait grossi et se tenait maintenant à la verticale. J'avais entendu parler de l'érection des garçons, je supposais que c'était ça. Mais je ne savais pas trop ce qui la provoquait. Sa verge me paraissait vraiment énorme, je me demandais comment elle pouvait tenir aussi droite alors que tout à l'heure elle était flasque. Paul posa sa main gauche sur mes reins et me fit tourner sur moi même pour reluquer mes fesses. Une fois tournée, il posa sa main gauche sur mon bas ventre, son auriculaire se noyait dans les poils de mon pubis et sa main droite sur le bas de mes reins à la limite de la raie des fesses.
• Tu es vraiment belle, ma petite Léa.
J'étais prise en sandwich entre les deux mains de Paul. Puis il se mit à les balader sur mes jambes, entre mes jambes, sur mon ventre, mon dos, mais sans jamais toucher mes parties intimes, sauf quelques effleurements sur ma pilosité qui me faisaient frissonner. J'étais la seule dans cette baignoire à avoir un semblant de poils sur le sexe. Je me laissais faire, ne pouvant rien contre cette intrusion. Je ne trouvais pas anormal ces caresses, après tout c'était le compagnon de ma tante, je pensais qu'il avait les mêmes droits. Malgré toutes mes craintes, je trouvais ses mains agréables et douces, je n'avais jamais été caressée de la sorte sur mon jeune corps et dans toutes ces parties en même temps. Je commençais à apprécier cette inspection et regrettais qu'il n'aille pas plus loin sur mon sexe.
Après m'avoir bien pelotée, il me fit rasseoir dans l'eau. Il exhibait sans queue tendue sans complexe tout en me caressant les épaules. Carole surenchérit en disant :
• N'est ce pas qu'elle est belle ma petite Léa, aussi jolie que sa maman et que sa tante. Je l'ai un peu initiée au plaisir solitaire.
• Ah, très intéressant. Qu'est ce que vous avez fait ?
• On a joué avec la douchette, puis j'ai recommencé avec doigts.
Ouf ! Carole était restée vague sur ce plaisir solitaire. Elle lui a avoué ce qu'elle avait fait, mais n'a pas épilogué sur moi et mon orgasme causé par la douchette. Mais je me sentais mal à l'aise dans cette baignoire avec ces deux adultes qui devenaient de plus en plus insistants sur le sexe
Carole reprit la douchette et cette fois ci la dirigea sur le sexe de Paul. Celui-ci saisit sa verge tendue et commença des mouvements de va et vient le long du membre, il gémissait.
• Aaaah, que c'est bon ! Je vais moi aussi m'adonner au plaisir solitaire en votre présence.
Je découvrais ce que faisait un homme pour se masturber. Il s'activait énergiquement sur sa verge tout en allant caresser la fente de Carole qui continuait à diriger sous l'eau le jet de la douchette vers les testicules. Je regardais par force ce spectacle en essayant d'imaginer ce que Paul pouvait ressentir en manipulant de la sorte son sexe. Il frottait de plus en plus vite sa queue avec sa main gauche, puis changea rapidement de main et posa sa main gauche sur ma cuisse. Il la déplaça jusque sur mon aine avec ses doigts à un centimètre de ma fente. Il poussa un grognement et en même temps des filaments blancs sortaient du bout de sa verge. Je n'avais jamais vu ça. J'ai compris plus tard qu'il venait d'expulser son sperme qui correspondait à l'orgasme masculin. Il avait ôté sa main de ma cuisse au moment de son lâchage de sperme.
Je suis sortie de la baignoire, Carole est sortie en même temps. Nous sommes essuyées et sommes sorties de la salle de bain laissant Paul seul. Carole me dit :
• Alors tu as aimé ce petit bain ?
• Oui, j'ai aimé quand j'étais seule avec toi, mais moins quand Paul est arrivé.
• Je suis désolée, ce n'était pas prévu. Des fois il est sans gêne, mais c'est de ma faute, c'est moi qui lui ai demandé de rester. Tu voudras reprendre un bain avec moi ?
• Oui, mais rien que toutes les deux.
• Promis ma chérie, j'ai d'autres choses à t'apprendre.
Deux jours après, nous avons repris un bain ensemble. Carole m'a faite jouir deux fois. Depuis ces expériences j'ai repris confiance dans mon corps et je m'habillais avec des vêtements plus seyants. j' ai eu d'autres expériences avec des femmes et des hommes, mais je penche de plus en plus à ne me tourner exclusivement vers des femmes.