Ceci est une nouvelle histoire complète.
Titre : Dans le bain - Texte complet
Auteur : Miss B
Email : bdelastens[_at_]gmail.com
Personnages : 1 homme, 1 femme, 1 adolescent, 1 adolescente
Le plus jeune garçon a 12 ans
La plus jeune fille a 13 ans
Exhibitionnisme
Voyeurisme
Orgie
Première fois
Masturbation
Pénétration vaginale
Pénétration anale
Texte envoyé le 22/01/2016
Texte publié le 28/01/2016
Creative Commons 2016 - Miss B. Certains droits réservés.
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Résumé :
Un bain dont je me souviendrai longtemps...
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
Mickael ne s'attendait pas à ça. Madame Picard, d'autorité, lui avait demandé de l'aider à baigner les deux enfants.
– Et mets-toi aussi en petite tenue, tu seras surement mouillé, avait-elle ajouté.
Un peu gêné, n'ayant en fait jamais eu d'expérience en ce domaine, l'adolescent s'avança à la suite de la jeune femme. Déjà dans la salle de bain, les deux enfants, en silence, se déshabillaient.
Thomas, le plus jeune, âgé de onze ans, avait un corps frêle et longiligne. Les cheveux légèrement bouclés, il avait tout d'un petit ange. Il ne lui manquait plus que les ailes.
Sa sœur, Myriam, avait treize ans. Pas très grande, elle avait elle aussi un air innocent, enfantin, malgré que ses petits seins en poire en pleine croissance indiquaient une puberté récente.
Michael n'avait pas vu les enfants depuis plusieurs années. Le fait de passer quelques jours chez cette cousine durant les vacances lui faisait découvrir les modifications physiques rapides de Myriam et de Thomas. Le garçonnet, sans gêne, s'était mis nu, enjambant la baignoire remplie d'eau fumante. Mickael ne pu s'empêcher de jeter un coup d'œil vers le sexe de Thomas, qu'il ne découvrit pas si petit que ça, bien au contraire. Allongé, le gland complètement décalotté, d'un rose soutenu, le pénis du garçonnet était lisse et fin. Les testicules, semblables à deux petits œufs de caille, pendaient allez loin en dessous de la verge. Aucun poil n'ornait encore le pubis de Thomas.
Mickael tourna les yeux vers Myriam, elle aussi maintenant déshabillée. L'adolescent regarda la poitrine dénudée, aux tétons dressés, rosis, puis abaissant les yeux il découvrit le pubis bombé, orné d'une touffe de poils noirs clairsemés. La fente intime était bien visible, et quand la fillette enjamba le bord de la baignoire, l'adolescent pu voir les replis intimes de son sexe, plus sombres et légèrement brillants.
Mickael n'avait pas souvent l'occasion de voir une nudité aussi spontanément offerte, aussi innocemment exposée.
– Allez, Mickael, d déshabille-toi, ne perds pas de temps, après il va falloir que je prépare le repas, on n'a pas que ça à faire.
Obéissant à la jeune femme, l'adolescent retira son pantalon, son tee-shirt, se retrouvant en caleçon.
– Et retire-moi ça aussi, dit alors Madame Picard en désignant son sous vêtement. De toute façon, tu vas aussi prendre un bain à la suite des enfants, alors autant te mettre à poil dès maintenant. Les enfants sont bien nus, tu peux l'être également.
Mickael se sentait de plus en plus troublé. Jamais il n'avait pris de bain en présence d'une adulte autre que sa mère, et encore cela remontait à plusieurs années, avant sa puberté. De plus, ce qu'il avait sous les yeux l'avait tant soit peu excité, et il sentait que son membre s'était légèrement rigidifié....
– Allons, qu'est-ce que tu attends, on ne va pas y passer la nuit, quand même !...
Cela décida l'adolescent qui retira son dernier vêtement, dévoilant sa verge légèrement enflée, et dont le gland pointait sa pointe mauve et brillante.
– Oh, mais c'est qu'il est devenu un homme, notre Mickael, s'empressa de faire remarquer la jeune femme, en désignant la verge de l'adolescent. Mets-toi debout, que les enfants puissent bien voir tes attributs... Regarde bien Myriam, c'est mieux que sur les dessins de l'école, non ?... et toi, Thomas, tu peux voir ce que sera ta petite biroute dans quelques années.... Et voilà de belles boules.... Bien remplies, surement, dit-elle en posant une main par en dessous, soupesant les testicules duveteuses de Mickael. Hum... que c'est doux...
– - Oh, arrêtez, Madame Picard, s'empressa de dire l'adolescent, qui sentait une érection irrépressible monter en lui.
La jeune femme, sans répondre, retira sa main, tandis que le pénis de Mickael se rigidifiait, s'allongeait rapidement. Mickael, rougissant, ne savait que faire. Madame Picard intervint alors.
– Mais c'est qu'il est drôlement sensible, notre beau Mickael. Encore un peu, et il banderait comme un âne... un peu comme toi, Thomas, qui réagit si rapidement. Bon, passons aux choses sérieuses. Mickael, occupes-toi de Myriam, moi je me charge de Thomas. Tiens, laves-lui bien les cheveux, puis tu t'occuperas de tout le reste.
Ouf, se dit Mickael, un peu tranquillisé. S'accroupissant, il força la fillette à s'asseoir au fond de la baignoire, afin de lui shampooiner les cheveux qui rapidement moussèrent avec abondance. Quand ce fut au tour de les rincer, Mickael demanda à la fillette de se pencher en arrière.
– Mets-toi debout demanda Madame Picard à Myriam, qui se leva docilement, avant de se pencher en arrière, les mains dans le dos, les jambes légèrement entrouvertes. Mickael se força à ne pas regarder les seins et le ventre de Myriam, afin de ne pas se retrouver sous l'effet d'une nouvelle érection.
– Bon, maintenant, savonnes-lui tout le corps, avec le gel rose que tu as sur le rebord de la baignoire....
L'adolescent ne se fit pas prier, en évitant de toucher les petits seins en poire, le bas-ventre bombé. Observant cela, Madame Picard précisa :
– Et, Mickael, tout, tu dois tout lui savonner, et frotte-lui bien les tétons, comme le reste.
Sous ses doigts, Mickael sentit la douceur des seins de la fillette, dont les tétons semblaient plus durs que le reste, plus allongés également que quelques minutes plus tôt.
– Tu peux tirer dessus, si ça t'amuse, Myriam aime beaucoup qu'on lui titille les bouts, n'est-ce pas, ma colombe ?
– -Oh oui, maman, répondit Myriam en rougissant, la tête baissée.
Madame Picard avait savonné avec énergie le corps de Thomas, qui se retrouvait mousseux à souhait, des pieds à la tête.
– Allez, les enfants, c'est au tour des petits derrières, à présent, penchez-vous en avant, qu'on vous nettoie bien de ce côté.
Dans un bel ensemble, les deux enfants se tournèrent vers le mur, se penchant en avant, écartant les jambes, offrant le spectacle d leurs fesses ouvertes.
– Vas-y, Mickael, n'aies pas peur, nettoies bien le petit trou de Myriam, ainsi que sa craquette, c'est très important pour les filles d'avoir ce petit coin bien propret.
C'était la première fois que Mickael voyait un sexe d'aussi près, juste sous son nez. Les effluves enfantines lui montèrent aux narines, tandis que sa main enduisait l'entrejambes de savon. L'adolescent sentit sous ses doigts la chaleur du sillon fessier, la légère fermeté de l'anus, contrastant avec la souplesse de la fente intime qui s'ouvrait facilement, chaude et glissante. Sans peine, Mickael découvrit en bas de la fente, un peu plus dur, le petit pois du clitoris. C'était la première fois qu'il touchait cet organe du plaisir féminin, ne le connaissant que par les représentations photographiques des revues X qu'il cachait dans sa chambre. Irrésistiblement, une nouvelle érection se manifesta.
Tournant la tête sur la gauche, l'adolescent remarqua que celle-ci ne pouvait passer inaperçue, aussi bien par Madame Picard que par Thomas, maintenant face à sa mère, qui lui savonnait avec insistance le bas-ventre et le sexe. La jeune femme regarda sans rien dire le pénis de Mickael, qui se redressait par à-coups, gland décalotté, dans toute sa splendeur.
– Nettoies-lui aussi le petit trou du minou, il doit être bien briqué comme le reste.
Comme Mickael restait interdit, ne sachant plus ce qu'il devait faire, la jeune femme cessa de s'occuper de Thomas, et s'approcha de Mickael.
– Tiens, fais comme ça, lui dit-elle en glissant son index entre les babines du sexe de Myriam, celui-ci pénétrant facilement dans le petit conduit intime. Madame Picard le fit ensuite entrer et sortir rapidement, le tournant tantôt vers la droite, tantôt vers la gauche. Myriam, toujours penchée en avant, se mit à tressaillir.
– - Elle aime bien ça aussi, tu peux y aller tant que tu veux, tu sais.
Retirant soudain son doigt, Madame Picard prit la main droite de Mickael.
– Vas-y, n'aies pas peur, elle a l'habitude d'être nettoyée comme il faut, en profondeur...
Mickael ne put faire autrement que d'imiter la jeune femme, glissant son index entre les lèvres intimes de la fillette. Il sentit son, doigt pénétrer dans le corps chaud et glissant. Mickael n'eut aucun mal à faire comme Madame Picard, son doigt coulissant aisément dans le petit boyau intime.
Soudain, l'adolescent sentit une main frôler sa verge, s'en empoigner. Accroupi, l'adolescent avait caché son érection par le rebord de la baignoire, mais la jeune femme, bien au fait de son état d'excitation avancée, n'avait pas hésité à porter discrètement une main sur le membre de plus en plus rigide de Mickael. Elle frôla de tout son long la hampe palpitante, les testicules ramassés, le gland humide, lentement, comme par mégarde. Puis elle se déplaça à nouveau devant Thomas, toujours debout, dans l'attente. Mickael remarqua alors que le garçonnet bandait lui aussi, sa petite verge tendue vers le ciel. Madame Picard lui enjoignit :
– Thomas, mets-toi sur le côté, que je te termine....
Et sous le regard incrédule de Mickael, Madame picard se mit à branler Thomas, décalottant et recalottant la longue verge filiforme, dont l'extrémité rougissait à vue d'œil. Cessant par moment le mouvement de sa main, elle tapotait la verge du plat de la main, celle-ci claquant le ventre encore mousseux. Mickael, interdit, avait cessé le mouvement de son doigt.
– Veux-tu continuer, Mickael, tu n'as pas fini ton nettoyage....
Mickael sentait Myriam tressaillir devant lui. Myriam se mit à serrer les cuisses, emprisonnant la main de Mickael qui poursuivait le va et vient de son doigt au plus profond de l'intimité de la fillette. Au bout de quelques instants, Mickael sentit Myriam se tendre, se rigidifier, toujours agrippée au rebord de la baignoire. Puis, lentement, elle se détendit. Retirant d'elle même la main de Mickael d'entre ses fesses.
– Tu vois, Mickael, ça fait des années que je fais ça à Thomas. Au début, il avait du mal à décalotter, maintenant, ça va tout seul. Et il aime ça, le coquin..... comme Myriam, du reste.
Mickael se tourna vers Thomas et sa mère. Le garçonnet, mains dans le dos, ventre tendu en avant, se laissait faire les yeux fermés, tête penchée en arrière. La mousse avait complètement disparue de sa verge, maintenant dressée à la verticale. Madame Picard, toujours masturbant frénétiquement son fils, avait glissé son autre main entre les fesses de Thomas, s'emparant de ses petites billes sexuelles, les malaxant rapidement. Thomas ne pu retenir un gémissement sourd, le corps agité de spasmes.
– Ahh... Ahh... maman, vous pouvez arrêter, oui... maintenant, Ahhh... ah... Oh... ça commence à me faire mal.....
– Non, encore un peu... tu n'as pas fini, je le sens... tant que tu bandes, je continue ....
Thomas se mit à se trémousser, bouche ouverte, yeux dans le vague.... Sa verge commença à ramollir, à se rapetisser. Madame Picard lâcha le petit pénis, regarda ses doigts, mit ceux-ci sous son nez, reniflant les effluves.
– Bon, il est temps de rincer tout ça, maintenant.
Et empoignant la douchette, la jeune femme se mit debout, faisant ruisseler l'eau sur les deux enfants dos contre dos.
Mickael, un peu étourdi, bandant toujours ferme, cachait son membre autant qu'il le pouvait. Mais c'était sans compter sur Madame Picard, qui lui demanda :
– Bon, maintenant, Mickael, c'est à ton tour de te laver, mets-toi debout, et monte dans la baignoire.
L'adolescent ne pu faire autrement que d'obéir, exhibant sa verge dressée, arrogante, au gland baveux, impressionnante de grosseur. Car si Mickael était bien doté par la nature, il avait surtout un membre pas très long, mais épais, surtout à sa base. Le gland, également, était large, allongé, empêchant le prépuce de le recouvrir. Ses bourses, volumineuses elles aussi, pendaient à la base de la hampe, animées de mouvements réguliers.
– Les enfants, ce n'est pas tous les jours qu'on peut voir une bite comme celle-là. Tu vois, Thomas, un jour la tienne sera aussi belle que celle de Mickael. Et toi, Myriam, je suis sure qu'à l'école on ne vous a pas montré à quoi ressemblait en réalité une quéquette d'homme. Je souhaite que ton futur copain en aura une aussi raide, aussi pleine... car je sens que notre Mickael n'a pas du vider ses réserves depuis un certain temps, d'après ce qu'on peut voir....
N'est-ce pas que je ne me trompe pas ?....
Mickael ne savait pas que répondre. Surtout en présence des deux enfants. Il était vrai que cela faisait plusieurs jours qu'il ne s'était pas soulagé, du moins sexuellement, étant toujours en présence de membres de la famille depuis le début de ces vacances. Cela faisait une semaine qu'il dormait dans la même chambre que Thomas, et pas question d'une petite branlette sous les draps, même discrète, le garçonnet ayant le sommeil léger...
– Bon, je te laisse te laver, le temps que je brique mes deux chéris...
Et laissant Mickael se glisser dans l'eau à présent tiède du bain, Madame Picard essuya sommairement Thomas et Myriam, avant de leur demander :
– Les enfants, allez vous mettre en pyjama, puis allez regarder un peu la télé, pendant que je prépare le souper.
Mais en fait de souper, Madame Picard restait dans la salle de bain, sous prétexte de laver sa petite culote, qu'elle retira sous les yeux de Mickael, un joli string ficelle noir et or...
Un bref instant, il eu la vision du fessier de la jeune femme, ferme et lisse, qu'elle ne chercha pas à dissimuler.
Mickael, qui pensait pouvoir enfin soulager son excitation, se masturber tranquillement dans l'eau, il en était pour ses frais. D'autant plus que sa verge, loin de se ramollir, restait tendue à mort, remarquable de rigidité. Aussi, lorsque Madame Picard, se redressant, constata la chose, elle se mit à sourire, s'approchant de Mickael.
– Je crois qu'il va falloir faire quelque chose, ne penses-tu pas ? Allez, sors de ce bain, il doit être froid à présent...
L'adolescent se leva, enjamba le rebord de la baignoire.
– Viens que je frotte un peu tout ça....
Et sans attendre, la jeune femme se mit à étriller le corps de Mickael énergiquement, terminant en prenant à travers le tissu de la serviette le membre érigé de l'adolescent. En quelques secondes Madame Picard mit Mickael dans un état d'excitation extrême, qu'il avait du mal à contrôler.
Soudain, sans prévenir, Madame Picard s'accroupit devant Mickael, engloutissant entre ses lèvres l'extrémité du pénis palpitant. L'adolescent sursauta violemment, ne s'attendant pas à un tel geste. Jamais il ne s'était fait sucé de toute sa vie, et la sensation fut si violente qu'il faillit jouir instantanément. Mais la jeune femme, devinant ce qu'il éprouvait, sut adoucir la fellation en serrant légèrement des lèvres le membre exacerbé à sa base, gonflant les joues afin de ne pas toucher de la langue l'extrémité sensibilisée, à tel point que la tension qui habitait Mickael diminua sensiblement. Elle relâcha la verge de l'adolescent, la laissant palpiter toute seule, regardant s'écouler du méat entrouvert une goutte laiteuse, prémices d'une éjaculation proche. La bouche tout près du gland violacé, elle se mit à souffler dessus, tout en caressant les grosses bourses tièdes, les étirant vers le bas, forçant la verge à s'abaisser un peu, très peu d'ailleurs, tant celle-ci était raidie.
La jeune femme continua un moment à taquiner le membre de Mickael, qui rapidement n'en pouvait plus, tant les caresses lui donnaient des élancements de plaisir qu'il supportait de plus en plus difficilement, au bord de l'explosion. Mais Madame Picard était une experte dans ce domaine, amenant l'adolescent tout près de l'éjaculation, stoppant son excitation en serrant fortement le membre au dessous du gland, happant d'une langue goulue les gouttes qui ne cessaient de suinter, toujours plus abondantes, toujours plus épaisses, plus laiteuses.
Mickael, tout près de jouir, ne croyant pas ce qui lui arrivait, ne souhaitait qu'une chose, jouir, jouir au plus vite, pour apaiser l'extrême tension qui l'habitait. C'est alors que Madame Picard, contrairement à ce que l'adolescent espérait, se releva, et laissant Mickael en plan, stupéfait, elle appela :
– Myriam, Thomas, venez un peu ici, j'ai un petit service à vous demander.
Mickael, une fois de plus, fut interdit. Comment, Madame Picard allait faire venir ses enfants à nouveau dans la salle de bain, le voir bander si fort, si intensément. Rarement sa verge n'avait été si grosse, si violacée....
Myriam, suivie de Thomas, ne tardèrent pas à entrer dans la salle de bains, en pyjama.
– Regardez notre pauvre Mickael, il a beau avoir pris un bain, sa quéquette ne veux pas se ramollir. Je crois que je vais avoir besoin de votre aide pour redonner à cette bite un aspect plus présentable. Toi, Thomas, tu vas te mettre à ma droite, et mettre une main entre ses fesses, tu sais, là où tu aimes bien qu'on te chatouille aussi.... Et toi, Myriam, tu vas t'installer à genoux à ma gauche, et lui masser les couilles doucement, je crois qu'il va aimer ça....
L'adolescent, subjugué, le visage cramoisi d'excitation et de gêne, sentit les mains des enfants se poser sur son corps et faire ce que leur avait demandé Madame Picard. Celle-ci, entourant la base de sa verge du pouce et de l'index, serra le membre viril tout en léchant du bout de la langue le gland ainsi exposé, si enflé que Mickael se demanda s'il n'allait pas éclater. Il sentait qu'il ne pourrait pas tenir longtemps sous les multiples caresses dont il était l'objet. A ses côtés, Myriam, les yeux rivés sur sa verge, semblait attendre l'explosion imminente. De l'autre côté, Thomas, caressait l'adolescent si habilement qu'un de ses doigts se frayait lentement un chemin dans sa rosette anale. C'en fut trop pour Mickael qui ferma les yeux, se laissant emporter dans un plaisir si aigu, si intense, qu'il se mit à trembler de tout son corps, poussant un long râle de jouissance. Sa verge fut parcourue de secousses violentes, incontrôlables.
Une nouvelle fois, Madame Picard stoppa net l'éjaculation imminente en serrant très fort le pénis de ses doigts. Puis, changeant d'idée, elle demanda :
– Myriam, mets la paume de ta main sur le bout, comme ça, et tourne autour du gland, en dessous... au dessus, oui, comme ça.
La fillette, obéissante, glissait la paume de sa main sur la peau lisse et chaude, au méat entrouvert, d'où suintait une abondante sécrétion opalescente, mouillant les doigts de Myriam, rendant les sensations encore plus délicieuses. Peut-être était-ce le fait que Thomas s'était plus profondément inséré dans son boyau culier, où était-ce le contact de la main de Myriam sur la zone la plus sensible de son corps, toujours est-il que Mickael sentit la jouissance revenir à toute vitesse. L'adolescent sentit sa verge se tendre encore plus fort, se cabrer en à-coups violents qui la fit tressauter de bas en haut, malgré le fait d'être tenue par Madame Picard à sa base. Celle-ci devina ce qui allait se passer. Elle abaissa autant que possible le membre violacé, aux veines bleuies, plaçant la main de Myriam juste en dessous du gland, afin de recueillir la semence de Mickael. Mais c'était sans compter sur la violence de l'éjaculation. Longtemps caressé, masturbé, ce fut un véritable feu d'artifice.
Un premier jet, suivi de deux autres, zébrèrent la pièce, fusant avec force sur le mur carrelé de bleu, derrière la baignoire.
– Ouah ! s'exclama la jeune femme, mais c'est un véritable volcan, notre Mickael !
Relevant la paume de Myriam, le reste de l'éjaculation se répandit en une copieuse ration de sperme bien blanc, qui remplit presque complètement la main de la fillette. La repoussant alors, elle se pencha sur le verge pulsante, engloutissant le pénis raidi de Mickael, prolongeant quelques instants encore son plaisir, glissant ses lèvres le long de la hampe épaisse, malaxant de la langue le gland plus tendre, aspirant au plus profond de l'adolescent la semence qui continuait de s'écouler.
Lorsqu'enfin elle relâcha le membre toujours dressé, ce fut pour attirer à ses lèvres la main de Myriam, et devant l'adolescent éberlué, elle se mit à aspirer, laper, avaler petit à petit le sperme encore chaud de l'adolescent, fermant les yeux à chaque déglutition, savourant chaque goulée.
– Hum, que c'est bon un jus de couilles... surtout venant d'un garçon jeune comme notre Mickael....
Elle se tourna vers l'adolescent, toujours bandant.
– Mais c'est qu'il en veut encore, notre Mickael, dit-elle alors, fixant le pénis toujours dressé. Il ne nous a pas tout donné, notre bel adonis. Il a encore du jus bien caché au fond de ses couilles. Mickael, je ne vais pas te laisser comme ça, cela serait indécent. Viens, je commence à fatiguer comme ça.
– Mais, madame, je... Non !...
– Ta, ta ta, à ton âge, on remet le couvert facilement, alors, laisse-moi faire. Tiens, cet été, à la colo, il y avait un garçon de quatorze ans qui pouvait juter trois fois de suite... sans débander. Alors, deux fois consécutives, c'est tout à fait réalisable. Viens, assieds-toi sur moi, sur mon genou.
Madame Picard s'installa alors sur le rebord de la baignoire, en remontant sa jupe, dévoilant ses longues jambes bronzées. Elle écarta les jambes, avant d'attirer Mickael sur elle, lui prendre les deux poignets, les glissant ensemble entre ses cuisses par derrière.
– Comme ça, je pourrais faire ce que je veux... commenta-t-elle. Puis, plaçant son bras gauche derrière lui, attirant l'adolescent contre son épaule gauche, elle saisit d'une main ferme son membre viril, entamant une masturbation vigoureuse et rapide. Mickael sentait la chaleur de l'intimité de Madame Picard sur son poignet droit, humide, glissante.
Les deux enfants, toujours présents, se tenaient debout, immobiles. Myriam regarda ses doigts maculés de sperme.
– Myriam, tu peux lécher tes doigts, ce n'est pas du poison, bien au contraire. Tu as vu avec quel plaisir je l'ai apprécié, le bon jus de Mickael. Tu verras, on s'y habitue vite, à ce goût. Et on finit par différentier les saveurs... pour le plus grand plaisir des garçons. Tu as vu comment j'ai fait, ce n'est pas bien compliqué. Et si Mickael est d'accord, je te montrerai comment lui donner du plaisir avec la bouche, il ne dira certainement pas non.
Mickael fut profondément troublé par cette dernière phrase, ouvrant toutes sortes de possibilités dans les jours à venir. Il n'en banda que plus fermement.
Madame Picard continua :
– Thomas, à ton tour de lui caresser les boules... agenouille-toi à côté de moi.... Oui, comme ça... mets tes deux mains, chacune sur une couille... et triture-les bien, fais-en bien sortir le jus....
Mickael, totalement sous l'emprise de Madame Picard, se laissa faire. La légère douleur qui avait fait suite à l'éjaculation avait fait place à une tension agréable, qui gagnait ses fesses, son périnée, toute sa verge. Il ne se sentait pas près de jouir, et profitait totalement du traitement énergique qui lui était offert.
Sa verge était toujours aussi tendue, raidie, brillante, luisante, car la jeune femme ne cessait de faire couler sur son pénis des filets de salive, traitement qui rendait le plaisir ressenti encore plus agréable.
A sa gauche, Myriam avait longuement léché ses doigts, nullement rebutée par le gout particulier de la semence masculine...
– Myriam, s'il te plait, apporte la brosse à dent électrique, avec la brosse sans poil, tu sais, celle dont je me sers pour ton petit bouton....
Mickael ne comprit pas très bien ce que Madame Picard venait de dire. Ce n'est qu'un peu plus tard qu'il réalisa ce à quoi pouvait servir cette petite brosse à dents...
– Thomas, mets-toi un peu plus bas... et toi, Myriam, mets-le en marche... pose-le là, juste à la base de son museau rouge... et ne bouge pas... quoi qu'il arrive...
Mickael n'avait jamais expérimenté ce genre de pratique, utilisé de vibromasseur d'aucune sorte. Ce fut une nouvelle révélation. Comme parcouru de décharges électriques, sous l'effet des vibrations, il fut secoué de spasmes de plus en plus violents. Un plaisir aigu gagna tout son corps, et une onde palpitante de jouissance le fit trembler de la tête aux pieds. Bouche entrouverte, tête renversée en arrière, il se laissa emporter par le tourbillon de sensations de plus en plus exquises, jouissives.
Madame Picard continuait à faire aller et venir rapidement ses doigts le long de son membre, Thomas triturait ses testicules, les étirait à la limite du supportable. Cela ne pouvait durer bien longtemps. Quand une seconde jouissance se fit imminente, Mickael ne pu retenir un long râle rauque de plaisir. Haletant, se tordant en tous sens, il se laissa emporter par une vague de plaisir voluptueuse, intense, électrique. C'est à peine s'il réalisa que son sperme, une nouvelle fois, jaillissait, ornant de plusieurs trainées blanches son torse en sueur. Sous l'effet des vibrations de la brosse à dents électrique, son plaisir dura longtemps, sa verge palpitant à de nombreuses reprises, exsudant de son gland violacé une nouvelle ration de sperme blanc et épais. Ce qu'il sentit, par contre, c'est que Madame Picard serrait et desserrait rapidement les cuisses sous lui, écrasant à faire mal ses poignets immobilisés. La jeune femme continua longtemps de serrer et desserrer les jambes, tandis qu'elle recueillait du ventre de Mickael les nombreuses gouttes laiteuses, les portant à sa bouche pour les laper du bout de sa langue.
– Myriam, je te laisse le meilleur, les grosses gouttes blanches, bien épaisses, elles ont toujours un goût de noisette... Oh !... il en a même reçu dans les cheveux, humm mm... je crois qu'il va falloir qu'il se les lave une seconde fois.....
Mickael sentit les doigts de Madame Picard se poser sur son front, sur son crâne, recueillant les gouttes de sperme qui avaient jaillies sur son cuir chevelu...
– Thomas, si tu veux, viens voir quel goût a ce bon jus de couilles, puisque à ton âge on n'en a pas encore... bien que... il me semble que tu commences à juter un tout petit peu... D'ici quelques mois, tu connaitras les joies d'une véritable éjaculation....
Laissé à l'abandon, le pénis de Mickael se rapetissait à vue d'œil. Madame Picard repoussa l'adolescent, avant de dire :
– Avec tout ça, vous m'avez mise en retard, les enfants, je crois que je vais me rabattre une fois de plus sur des pâtes.... Et toi, Mickael, il ne sera pas superflu de te doucher une nouvelle fois...
– Chouette, s'empressèrent de répondre Thomas et Myriam, se relevant en même temps,
Complètement anéanti, les jambes flageolantes, Mickael se retrouva seul, réalisant avec peine ce qui venait de se passer....
Ces vacances s'annonçaient plutôt chaudes !...
Vous devinez sans peine la suite...