ceci_est = une nouvelle histoire title = Mon mari et nos jumeaux part = 2 author = Argine email_public = argine0906[at]outlook.fr (remplacez [at] par @) nombre_de_M = 1 nombre_de_F = 1 nombre_de_b = 1 nombre_de_g = 1 language = Francais age_fille = 08 age_garcon = 08 rom = Romantisme exh = Exhibitionisme first = 1ere_fois inc = Inceste recu = 12/10/2016 paru = 15/10/2016 Rappel = Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n'est qu'une coincidence. Provient des histoires taboues: www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www texte = Mon mari et nos jumeaux - 2 par Argine L’image interdite s’est vite évaporée face à celle de mon mari, qui à 38ans, avait de plus en plus souvent envie de moi. Le vendredi suivant l’incident, je l’attends sagement assise sur le canapé. La fin d’après-midi est fraiche sans être froide, aussi j’ai passé une paire de bas sous ma jupe qui m’arrive aux genoux. Lucie, en bon élève fait ses devoirs sur la table de la cuisine, tandis que son frère joue, par terre, avec ses petites voitures. Soudain, je ne l’entends plus faire ses « vroum-vroum » et je lève le nez de mon magazine. Je suis surprise de voir mon fils, la main posée sur le short qui couvre son bas-ventre. Je vais pour lui en faire la remarque, lorsque je constate que son regard est rivé sous ma jupe, et que j’ai les cuisses légèrement écartées. Honteuse, je referme brusquement mes jambes et je vois que Luc reprend son jeu. - Mon dieu, je pense, est ce qu’il a eu une érection en regardant sous ma jupe ? Revenant aux arguments que m’avait donnés mon mari, je chasse cette idée, me disant juste que mon fils a peut-être juste envie d’uriner ? Mais, incapable de retourner à ma lecture, je brasse cette pensée sans arrêt. - C’est simple, je finis par me dire, si j’ouvre les cuisses et qu’il recommence à se toucher le sexe, c’est qu’il réagit à la vue de mes cuisses ! Baissant la tête afin de cacher la honte qui recommence à m’envahir, j’ouvre légèrement mes cuisses, puis après un instant d’hésitation, j’accentue l’ouverture de mes jambes. Aussitôt, je n’entends plus le babillement de mon fils. Discrètement, je regarde par-dessus les feuilles et je constate que Luc a encore le regard fiché sous ma jupe. Mais au lieu d’en être gênée comme il aurait fallu, je me sens troublée de ces yeux inquisiteurs qui fouillent l’intérieur de mes cuisses jusqu’à ma petite culotte, que je commence à mouiller de désir. Luc a repris le petit jeu avec sa main, et à nouveau la vision de son sexe tendu me revient à l’esprit, ce qui accentue encore plus mon trouble. Heureusement, l’arrivée de mon mari vient interrompre ce petit jeu malsain. Il me complimente sur ma tenue, et tandis que les enfants sont partis jouer dans leur chambre, il glisse une main sur mes fesses, découvrant la douce moiteur de mon bas-ventre. - Hum fait-il, je vois que tu es impatiente de m’attendre ! - Oui mon chéri, tu le sais bien. Mais je dois te parler d’une chose qui vient de se passer, tout à l’heure. Comme je lui raconte ce qui vient d’arriver, il continue à me caresser sous la jupe. - Et c’est ça qui t’a fait mouiller, me demande t-il ? - Non , bien sur ! Au contraire, j’étais morte de honte de vouloir vérifier si mon fils a une libido ! - Ma chérie, tu es irrécupérable ! A 8 ans, un petit garçon ne peut pas avoir de libido ! C’est physiologique. Comme tu l’as pensé, il avait juste envie d’uriner, ça arrive ça ! - Tu es certain, je fais en retenant mes gémissements, car il a planté deux doigts dans ma chatte ? Et tiens, je vais te le prouver ! Sans m’en demander l’autorisation, il fait glisser, puis retire mon slip. - Après manger, reprend-il, tu vas mettre un string et tu vas t’asseoir en face de Luc, pendant que je serais avec Lucie, derrière son dos. Comme ça, je verrais si notre fils réagit comme tu l’as annoncé. Tu es ok ? - D’accord, je souffle, rassérénée par son discours, mais troublée de ne plus avoir de culotte sous ma jupe. Après le repas, je vais passer un string que j’utilise plutôt d’habitude pour nos jeux d’amour. Je m’installe dans mon fauteuil de l’après-midi avec un autre magazine que je suis incapable de lire. Edouard, lui, s’est assis en face de moi, et Lucie est venue s’asseoir sur lui avec une bande dessinée. J’attends le cœur battant de voir ce que Luc va faire. J’ai volontairement entrouvert, mais pas trop, mes cuisses, ce qui semble convenir à mon mari. Enfin, notre fils se décide et il vient jouer avec ses voitures, sur le tapis du salon, juste à mes pieds. Contrairement à l’après-midi, il ne fait aucun bruit avec sa bouche, mais je sens de temps en temps une voiture cogner mon soulier. - Pardon maman, fait-il soudain, mon camion y peut pas passer ! Machinalement, comme je le faisais à chaque fois, je lève mon pied droit, réalisant soudain que ce faisant je montre encore plus sous ma jupe, et que mon fils, qui est tout près, ne peut que voir l’intérieur de mes cuisses. Rouge de honte, je regarde par-dessus ma revue, mon mari qui en souriant me fait un clin d’œil, et surtout me demande d’ouvrir plus mes cuisses. Baissant la tête j’obtempère à son ordre muet et j’écarte un peu plus mes cuisses. Bien que morte de honte d’exhiber ainsi mon entrecuisse, je sens que mon ventre devient brûlant de désir. Incapable de regarder ce que fais mon fils, je sens qu’il continue à jouer car d’autres voitures viennent taper contre mes souliers. - Allez les enfants, ordonne mon mari, il est l’heure d’aller au lit ! Sans rechigner, Luc et Lucie viennent nous faire la bise avant d’aller rejoindre leur chambre. Tandis que mon mari vient s’asseoir à mon coté, je lui demande un peu angoissée de sa réponse : - Alors ? - Alors, fait-il en posant sa main sur mon genoux, tu te fais des idées, ma chérie ! Pas une seule fois, il ne s’est touché le sexe ! Je ne suis même pas sur qu’il était en érection, et pourtant, il a vu aussi bien que moi ce qu’il y a sous ta jupe ! Par contre, regardes ce que cela a fait sur moi. Il prend ma main et la pose sur son pantalon, où je sens une terrible érection. Comme un fou, il me couche sur le canapé, sort son sexe turgescent, ouvre mon chemisier pour libérer mes seins qui se met à téter avant de me planter sa verge dans le ventre. Pendant qu’il me donne un plaisir extraordinaire, je me sens rassurée vis-à-vis de mon fils, mais aussi inquiète, en pensant que Lucie, assise sur son papa, a dû sentir la bosse dans son pantalon. Fin = Si vous avez aimé ce texte, remerciez Argine, c'est une motivation pour continuer d'ecrire: argine0906[at]outlook.fr (remplacez [at] par @) Provient_des_HISTOIRES_TABOUES = http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/ Gardez à l'esprit que toutes les situations décrites dans ce texte ne sont que des fantasmes. Avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 16 ans est un délit voire un crime passible de nombreuses années de prison dans la plupart des pays du monde. Cette oeuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin.