Avec mon grand père

Mon grand père est allé faire pipi avec moi il y a deux jours, il a voulu que je touche son gros zizi pour faire sortir le lait, et il m'a acheté le nouveau jeu vidéo que je voulais ! Mamy n'étais pas très contente, elle a dit que papy me gâtait trop ! Depuis ce matin je joue avec mon nouveau jeu. Mamy me dit qu'elle part en courses, elle revient dans deux heures... et me dit de rester sage avec papy... puis elle s'en va...

Dès qu'elle est partie, mon grand père arrive... il se met assit à coté de moi sur le canapé et me demande comment est ce nouveau jeu :

– « Ohh, il est très bien merci papy !

– « De rien Alex, tu sais, tu l'as bien mérité, tu as fais beaucoup de bien à papy avant-hier au restaurant, tu te souviens ? »

– « Euh, oui, un peu »

– « Tu sais quand tu as joué avec le zizi de papy, pour faire sortir le lait des bébés ? »

– « Oui je me souviens »

Je réponds machinalement à ces questions, je suis tellement pris dans mon jeu... j'aimerais bien qu'il me laisse tranquille !

– « Tu sais Alex, aujourd'hui il faudrait encore aider papy à sortir le lait ... mamy ne veut plus s'en occuper, et papy doit absolument le faire sortir tous les deux jours, sinon ça fait mal au ventre ! Et je n'y arrive pas beaucoup tout seul ! »

– « Ah bon ? »

– « Oui, tu veux bien aider papy ? »

– « Oh non, pas maintenant, je joue ! »

– « Tu sais Alex, mamy t'a dit d'être sage avec moi, je l'ai entendu quand elle est partie ! »

– « Oui, mais là je suis sage ! »

– « Non non Alex, papy t'a demandé de l'aider mais tu continue à jouer ! Je n'aime pas te punir parce que tu es un garçon obéissant, mais si tu commence à ne plus faire ce que je te dis, ben tu seras puni ! Plus de jeux vidéo ! »

– « Oh non papy, tu peux pas faire ça ! S'il te plait ! »

– « Alors tu éteins le jeu tout de suite ! »

– « D'accord papy ! »

J'éteins donc immédiatement le jeu... Papy est assit tout contre moi, et il me caresse la cuisse. Il me dit qu'il faut que je caresse sa braguette !

Je regarde alors attentivement à coté de moi : papy est en chemisette et il a un pantalon brun en velours épais. Je regarde à l'endroit de sa braguette : le tissu forme une légère bosse... je pose ma main sur la bosse, et je commence à caresser... Papy me dit que c'est bien et je sens que doucement la bosse se durcit et se soulève un peu... papy soupire en fermant les yeux, et me dit d'appuyer ma main un peu plus fort...il dit que c'est bon, que je dois continuer comme ça...

Puis mon grand père ouvre les yeux et il déboutonne son pantalon, descend le zip de sa braguette, écarte bien le tissu pour laisser apparaitre la bosse d'un slip kangourou blanc. Il me demande de continuer à caresser...

Je pose alors ma petite main sur le tissus blanc, je sens que c'est tout dur dedans... je frotte cette bosse, aussi fort que je peux, lui faisant un véritable massage...il y a un rond un peu mouillé qui commence à apparaitre en haut du slip... Papy me dit :

– « Oh Alex, c'est bon ça ! Hum tu fais beaucoup de bien à papy... Faudra le refaire souvent hein ? Mais tu sais : c'est comme l'autre jour : faudra jamais dire à mamy que tu fais ça avec papy, hein ? Elle serait très fâchée contre nous... contre toi ! Elle te punirait !

– « Oui papy, je lui dirai pas ! »

– « Oh c'est bien mon chéri, oui continue comme ça, masse bien le zizi de papy ! Oh tu sais ce qu'on va faire ? On va sortir doucement le zizi de papy : tu vois sur le coté droit de mon slip, ça fait comme une ouverture ? »

– « Oui papy, je vois le tissus soulevé avec un passage en dessous ? »

– « Oui, regarde bien dans l'ouverture : tu vois mon zizi ? »

– « Oui ! Oh ce qu'il est gros ton zizi, papy ! il est encore plus gros qu'avant-hier ! »

– « Oh t'es gentil mon Alex ! C'est parce que tu le caresse bien ! Vas y glisse ta main dans la poche de mon slip... Attrape le gros zizi ! » Je glisse alors la main par l'ouverture du tissu...je sens dans ma main ce gros tuyau tout chaud, tout dur...

– « Oh oui, c'est bien chéri, serre le ! Ouii comme ça.... Oh ! Maintenant tu le serre et tu le fais sortir par l'ouverture de la poche, sur le coté... c'est fait pour ça ! » Je tire donc ce gros zizi tout raide et je le fais sortir à l'air... je peux voir à quel point il est tendu : d'une couleur sombre, il est recouvert de grosses veines bleues sur tout le tour... je ne vois pas encore la boule rouge au bout, elle est encore recouverte de sa capuche de peau d'où s'écoule un liquide gluant transparent...

Justement, c'est cette capuche de peau que mon grand père me demande de pincer, puis d'étirer comme pour l'allonger encore... à chaque fois que je tire ou que je pince sa peau, il pousse un gros soupir en disant que c'est bien... Puis papy me prend la main, il l'amène à sa bouche pour y enfoncer mon index, il lèche et suce mon doigt, l'enduisant de salive, et guide mon doigt vers sa peau du bout du zizi en me demandant de le rentrer dedans...

Je glisse alors mon index dans l'ouverture de cette peau, ça a l'air déjà bien mouillé à l'intérieur...j'enfonce plus loin, je sens la boule dure et je passe mon doigt entre la boule et la peau, papy n'arrête pas de faire : humm... hummm. Puis il me demande de le décalotter tout doucement, en serrant son zizi et en retroussant doucement la peau...

Je tire alors doucement, je vois la peau au bout qui commence à s'ouvrir, le bout rouge qui commence à sortir... et je sens immédiatement une très forte odeur arriver à mon nez ! ça sent fort, un mélange de pipi et je ne sais quoi d'autre...

Je continue à tirer doucement sur sa peau, son zizi est vraiment tout dur et tendu, ça bloque un peu, la peau de son zizi semble trop étroite pour laisser sortir le bout rouge, qui est presque violet...Papy soupire quand je tire...il dit que c'est bon... Je n'ose pas forcer... Papy me dit alors :

– « Oh oui Alex, continue, vas-y tire encore sur le zizi de papy, c'est normal si ça coince un peu, tu excite trop ton papy, mon chéri ! Regarde comme tu as fais grossir ce zizi ! Il a jamais été aussi gros ! Faut que tu tire encore un peu pour faire sortir le gros champignon, je t'en supplie, décalotte moi le gland, j'en peu plus, j'ai trop envie d'avoir le bout à l'air ! »

Je force un peu plus sur la peau qui donne l'impression d'être collée, puis ça recule d'un coup, libérant un énorme bout violet... Papy fait « Hannnnn c'est bon ! »

Et là l'odeur est encore plus forte et je vois que tout autour de son gland, il y a comme un genre de crème un peu blanchâtre, on croirait du fromage collé...

Papy dit alors de mettre son zizi dans ma bouche ! Je fais non de la tête, je lui dit que je ne veux pas ! que ça sent pas bon !

Il me prend alors par les cheveux, me fait baisser la tête en m'appuyant derrière la nuque... j'ai le nez sur son gros zizi !

Il me dit d'ouvrir la bouche, je veux pas... alors il me pince le nez... je ne peux plus respirer, je suis obligé d'ouvrir la bouche, il m'enfonce son énorme zizi direct au fond de la gorge... J'ai envie de vomir, j'ai les larmes aux yeux...

Son zizi a un gout très salé... je sens son liquide gluant qui coule dans ma bouche... Mon grand père me dit :

– « Oh là là, c'est bon ça mon petit chéri... Humm oui continue, suce bien la grosse bite de papy ! Vas y lèche bien le bout avec ta langue... tourne ta langue autour pour bien nettoyer ma queue...oh oui c'est bon, ohhh, ça fait super longtemps que je ne me suis plus fait sucer ! » Je lèche le gros zizi encore et encore, comme papy me dit de faire... je tourne ma langue autour de son gros bout...je frotte et je le nettoie de la langue... Papy se tortille de plaisir...

Je sens sa main qui descend dans mon dos... il glisse sa main dans mon pantalon, sous mon slip, caresse mes fesses, puis glisse sa main entre mes fesses et caresse mon trou ! J'aime pas trop ça, mais papy me maintient toujours la tête sur son zizi, je ne peux pas bouger...Papy me dit alors :

– « Sors ton zizi, je vais le caresser aussi ! »

– « Oh non papy, c'est pas la peine ! »

– Si si, j'ai envie de voir ta bite, de la sentir dans mes doigts ! Vas-y baisse ton pantalon ! » Je relève alors la tête qu'il me libère de sa pression, et je baisse machinalement mon pantalon et mon petit slip blanc. Papy attrape alors mon petit zizi d'une main ferme, et commence à tirer sur ma peau...il dit :

– « Voyons voir si cette quéquette se décalotte bien ? Oh là, ça coince un peu ! Vas falloir tirer ! » Et là mon grand père tire un grand coup sec sur mon zizi, j'ai une petite douleur au bout, et je vois que mon petit gland rose est sorti !

– « Ah ben voilà, on a fait éclore ce zizi ! Bon papy a très envie de sortir son lait maintenant... suce encore un peu le zizi de papy ! » Il m'oblige encore à sucer son énorme morceau, le rentrant et le sortant de ma bouche, parfois me l'enfonçant au fond de la gorge jusqu'à ce que j'étouffe... j'ai les larmes aux yeux, ça me fait mal dans la gorge et parfois j'ai envie de vomir...Papy fait aller et venir son zizi tout raide de plus en plus vite dans ma bouche, je le sens se durcir au maximum... papy étend d'un coup ses jambes, le pantalon aux genoux, le slip encore en place, son énorme zizi tendu sortant par la poche kangourou de son slip blanc, il soulève les fesses de plus en plus pour rentrer son engin dans ma bouche le plus possible, il glisse à nouveau sa main entre mes fesses et m'enfonce un doigt dans mon trou ! j'aime pas ça du tout ! J'essaie de me dégager mais j'y arrive pas. Papy respire de plus en plus fort et me dit :

– « Oh là, oh làlà mon chéri, c'est bon, oui, suce la grosse bite à papy, encore, oui, oulà c'est bon, ça monte, papy va juter ! Oh, oh, oh... oui ahhhhhh ! Je jute ! ohhhhhhhhhhhhhh ! » Et je sens dans ma bouche son zizi qui se contracte et je sens ma bouche se remplir d'un liquide épais et un peu acide... je veux m'enlever mais papy presse fort sur ma tête... j'étouffe, je suis obligé d'avaler son lait !

Papy me libère la tête, j'ai son lait plein la bouche... il me regarde en riant, me dit :

– « Oh mon pauvre chéri je t'en ai mis plein le gosier on dirait ! Hum tu as fais beaucoup de bien à papy tu sais ! La prochaine fois on va voir si on peut rentrer ce zizi quelque part ! »

Avec mon grand père

par Gamin

Chapitre 2