Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : La famille de ma copine handicapée. - Chapitre 1
Auteur : F.R.
Email : francis.riou01[_at_]gmail.com
Personnages : 1 homme, 1 femme, 1 adolescent, 1 adolescente, 1 petite fille
Le plus jeune garçon a 14 ans
La plus jeune fille a 5 ans
Voyeurisme
Première fois
Inceste
Oral
Pénétration anale

Texte envoyé le 30/12/2014
Texte publié le 03/01/2015

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La famille de ma copine handicapée.

par F.R.

Chapitre 1

Mon amour, Julie, 15 ans, ne voulait pas que je la touche, mais ne me laisser pas m'éloigner quand même. J'avais 14 ans. Pour que je comprenne sa réticence, elle me fit jurer de garder un secret. Je devais aller un week-end chez elle, et, ne jamais rien dire de ce que je pourrai découvrir.

Je marche un peu, mais pas Julie qui avait un fauteuil roulant. Nous étions en internat pour handicapés.

Un week-end, après des négociations avec le directeur, nous sommes donc partis chez ses parents. Le vendredi soir, elle me présente à son père, sa mère et sa petite sœur Sophie de 5 ans, puis dit qu'elle voulait aux toilettes. Ne pouvant y aller seule, c'est son père qui l'amena.

Sa mère me fit visiter la maison et me montra la chambre d'ami où il n'y avait qu'un petit lit. « Julie dormira avec nous » me dit-elle ! J'étais déçu, je pensais enfin dormir avec elle.

Je rangeai mes affaires, Sophie me regarder bizarrement sans rien dire, et, en allant au salon, je passai devant les toilettes encore occupées. Certes, avec son handicap, elle avait besoin de pas mal de temps, mais à l'internat, elle aller plus vite. J'entendis son père, qui était resté avec elle, parler doucement avec elle. « Tu m'as manqué... Tu es une bonne fille.

– J'ai envie de faire ça avec Alex, je peux ? Papa.

– Surement, on va d'abord l'examiner, puis toi, il faut que tu lui offres ton cul.

– Je n'arrive pas à l'ouvrir papa.

– Je vais essayer ce soir et si tu ne t'ouvres pas ton grand-père viendra demain...reprends-la dans la bouche. »

Sophie me sourit, posa sa petite main de fillette sur mon sexe et me prit le bras pour aller au salon.

Là, sa mère me dit : « Depuis que Julie à 5 ans son père préfère s'occuper de sa fille, je l'aide quand il n'est pas là ! Voulez-vous un apéro ? Vous savez que Julie met du temps aux toilettes ? »

Nous finissions un verre de porto quand ma copine revient dans les bras de son père. « A la maison, pas de fauteuil ! » Dit-il.

Il assit sa fille à côté de moi sur un canapé en disant : « Julie, tu pourras ainsi prendre la main de ton ami »

Nous passions à table et mangions vite, seul le père parlait sans cesser de regarder ses filles près de lui. Julie me garda inhabituellement la main tout le repas. Elle était surement heureuse de me voir chez ses parents.

Coucher tôt, je ne pouvais dormir. Être sous le toit de Julie sans dormir avec elle ! Je m'énervais dans mon lit et décidai de marcher un peu dans la maison. Elle était grande, j'allais au hasard des couloirs. Devant la chambre des parents, j'entendis leur père encore à voix basse, trop basse, je l'imaginais baisser sa femme. Plus loin, la porte de la chambre des filles était ouverte, je m'approchais doucement, quelle ne fut pas ma surprise quand j'entendis sa mère parler à Sophie la sœur de mon amour !

Je voulais entendre, je me suis approché :

« Tu sais bien que Julie besoin de détendre son cul-cul ?

– Moi aussi je voudrai avoir du plaisir au derrière.

– Ma chérie, mon doigt ne va pas plus loin, alors pour la bite de papa, tu dois attendre de grandir encore. »

Sophie pleuré. Interloqué Je m'approche plus.

« Avant de s'occuper de ton derrière ma puce, il faut que tu arrives à avaler le jus des grands, surtout dimanche soir en ramenant Julie et Alex. Papa à fait promettre au directeur de l'internat d'aider Julie et Alex à faire l'amour si tu le vides bien.

– Mais je pourrai cracher aux toilettes ?

– Non Sophie, il ne faut pas que quelqu'un te voit. »

En avançant un peu, je ne croyais pas ce que j'ai vu. Allongée dans le lit ouvert, la mère, nue, tenait dans ses bras sa fille, nue aussi. J'eus croire voir pour la première fois les seins en formation de ma chère Julie à travers sa sœur. Je commençais à bander, mais j'ai dû poussais un soupir d'étonnement : où est Julie ?

Sa mère m'a entendu et dis : « Entre Alexandre ? Vous espériez voir Julie ? »

Je m'avançai doucement, gêné, mais attiré par ces deux corps nus. La mère se leva, dévoilant sa grosse touffe poilu et me pris la main.

« Julie vous a fait jurer le secret n'est-ce pas ? »

Ses seins me toucher presque. Je bafouillai un « oui », et, en m'effleurant mon sexe mi-dur me pris le bras et m'emmena dans le couloir devant la chambre conjugale. Sophie c'était lever est resta coller derrière moi, entourant mes jambes de ses petits bras.

Nous fessant signe de reste dans le couloir, la mère entra dans la chambre en ouvrant en grand la porte, se dirigea vers une armoire en disant : « N'arrêtez-pas : je prends juste une chemise de nuit ». . Sophie serra son étreinte en me touchant les couilles.

Le père était nu, assis à cheval sur les jambes de ma Julie, allongé sur le ventre. Son sexe, d'une taille que je n'avais vu que dans des pornos, était en face des fesses de ma Julie, bien remontées par un coussin sous son ventre. J'eus un tel choc que m'a seule réaction fut une érection, la plus violente que j'ai jamais eue. Sophie me sera plus fort et ouvrit sa main pour me tenir la verge. J'allais réagir quand la mère ressortie en laissant la porte entre-ouverte et en me mettant le doigt sur la bouche pour me dire de rester silencieux.

Maintenant, je voyais un peu mieux mon amour se faire masser les fesses par son père et j'entendais tout.

« Ma belle-fille, c'est bien. tu es détendu, je vais rentrer ma bite.

– Doucement papa. »

Je voulais rentrer dans la chambre, mais une chaleur entoura soudainement mon sexe : c'était le visage de Sophie qui s'était agenouiller devant moi. Derrière moi, sa mère me descendit le pantalon puis me pris par le coucou. Sophie pris mon sexe tout dur dans sa bouche, sa mère me dit à l'oreille : « C'est notre secret, tu seras heureux ici. ». Son père entra doucement son membre dans le cul de Julie. Elle poussa un cri, son père resta immobile un instant, puis tenta d'enfoncé un peu plus sa verge. Mais ma Julie avait mal, elle se retourna, du peu que son handicap lui permit, et son père sortie son membre et l'aida à s'asseoir. Elle dit : « c'est bien rentré mais je préfère que tu me donnes tout dans ma bouche.... AAAAAAAA..... » il lui mit son sexe énorme dans la bouche en lui bougeant la tête pour faire des vas et viens.

La mère s'était agenouiller en face de sa fille qui me branler. J'allais jouir sur les 2. Son père dit encore, alors que sa fille prenez entièrement son membre dans sa bouche avec gourmandise : « Non, je n'ai pas était bien profondément : avec ton grand-père, on finira de t'élargir le trou demain »,

Sa mère sortie ma bite de sa bouche et la mise dans celle de la petite. Je jouis rapidement sur ses lèvres. Puis elle rentra dans la chambre, fit le tour du lit et prit la tête de Julie pour accentuer les mouvements. La bite du père rentra entièrement dans la bouche de Julie. Il émit un gros soupir et joui ainsi dans sa fille.

Puis tout alla vite, Sophie m'emmena dans ma chambre en s'essuyant le visage. Je laissai la porte ouverte pour voir le couloir. Ma copine allée dans l'autre chambre, portée par sa mère et Sophie entré dans la chambre où était resté son père. Je fermai la porte et m'endormis, effondrai par tout ce que j'avais vu et soulagé par la fabuleuse pipe de la fillette et de sa mère.



Qu'aller-t-il arriver le samedi ....

Bientôt la suite, peut-être avec vos remarques ?

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