Maman est une femme

Chapitre 3

Après manger, je retrouve Stéphane au terrain de foot. Prudent, il évite de parler de ma mère, alors que je meurs d'envie de lui raconter ce que j'ai vu le matin. Je constate qu'il a ramené sa propre paire de jumelles.

– On va voir les oiseaux, me demande t-il ?

– Où çà ?

– Ben à la cabane, non ?

– Pouh, fais-je, j'ai pas trop envie.

– Ca va pas toi ?

Comme c'est mon meilleur ami, je ne résiste pas à lui raconter, en rougissant, ce que j'ai vu et ce que j'ai fait ce matin dans ma chambre. Il n'en croit pas ses oreilles :

– Sérieux, t'as vu les nichons de ta mère ?

– Oui, dis-je. Ils sont magnifiques.

– Et tu t'es branlé en la regardant ?

– Oui et j'ai juté

– Génial. On va chez toi ? Elle est peut-être encore les seins à l'air !

J'hésite à l'emmener chez moi. Lui montrer ma mère dans cette tenue me gène beaucoup. Et j'ai peur d'être surpris et engueulé. Si jamais elle en parle à mon père, je suis mort ! Soudain, j'ai une idée que je lui soumet :

– Et si on allait dans le bosquet qui borde le terrain de la maison ?

Entre notre propriété et celle du fermier voisin, il y a en effet un petit coin broussailleux où nous nous sommes déjà installés pour regarder mes sœurs. Stéph est ravi car il sait que de là on aura une vue imprenable sur la piscine et le transat de ma mère. Discrètement, nous nous installons allongés, les jumelles en main. Ma mère est en train de se rafraîchir dans la piscine. On n'aperçoit que sa tête. Tout à coup, elle sort de la piscine. Elle a le même maillot que ce matin, qui avec l'eau est collé contre sa peau, révélant la forme de ses seins, de ses fesses.

– Waouh, murmure Stéph, elle est canon ta mère

– Oui dis-je en regardant ses formes.

Elle s'allonge sur la chaise longue. Elle est juste en face de nous. Comme ce matin, elle regarde le ciel, autour d'elle et détache son soutien-gorge, puis le retire.

– Wah fait mon copain en découvrant les seins nus de maman.

Je détaille, de face cette poitrine qui m'a excité ce matin. Je sens mon sexe qui commence à réagir. Les tétons de ma mère sont aussi tendus que ce matin. Elle recommence à se mettre de la crème sur tout le corps.

– C'est mortel, fait Stéph. Elle me fait bander ta mère

– Moi aussi je bande, dis je dans un souffle

D'où nous sommes, je peux voir l'intérieur de ses cuisses, qu'elle a légèrement ouvertes. Je vois le tissu faire le même renflement que j'ai aperçu ce matin. Je ne peux en détacher mes yeux. Sur son fauteuil, ma mère se retourne, livrant à nos regards de voyeur, le galbe de ses fesses. J'entends, à coté de moi, Stéph qui respire plus fort. Et quand ma mère se retourne une nouvelle fois et quand elle s'étale longuement de la crème sur les seins, le ventre, l'intérieur de ses cuisses, je ressens une décharge qui me parcours de haut en bas. Merde, je viens de juter dans mon short ! Honteux, je n'ose en parler, ni faire quoique ce soit. Je me contente de regarder ma mère en sentant mon short se poisser. Stéph s'appuie un peu sur une brindille qui craque. Ma mère se redresse et regarde dans notre direction.

– Y a quelqu'un demande t-elle ?

Mais nous nous sommes déjà enfuis aussi vite que nous avons pu. Stéph me laisse tomber rapidement en me disant qu'il n'en peut plus et qu'il faut qu'il aille se branler. Je ne lui avoue pas que j'ai juté dans mon slip et je rentre directement à la maison. J'informe maman que je suis rentré et je constate qu'elle a remis son soutien-gorge, mais elle reste à bronzer dehors. Je vais me changer, met mon slip au sale et je reste à traîner au salon en regardant la télévision. Soudain j'entends ma mère qui m'appelle :

– Jean, mon chéri !

– Oui m'an, je lui réponds en me penchant à la fenêtre de la cuisine.

– Tu veux bien m'apporter mes mots croisés qui sont dans le deuxième tiroir du bureau s'il te plait ?

– Ok M'an. Je t'apporte çà

J'ouvre le tiroir du bureau et je sors la revue de mots croisés. En dessous, j'aperçois une pochette de photos. Sans penser à mal, guidé par ma curiosité, j'ouvre la pochette. C'est comme si je recevais une gifle. Sur la première photo, je vois ma mère assise sur le canapé, les seins nus et les cuisses grandes ouvertes, avec un string et des bas noirs. Elle sourit de toutes ses dents et j'ai l'impression qu'elle me regarde. Surpris, honteux, je referme la pochette et la remet en place. J'apporte la revue à ma mère qui me remercie et se plonge dedans. De retour au salon, je ne peux quitter des yeux le tiroir dans lequel se trouve des photos érotiques de ma mère. Mon esprit s'enflamme et je bande encore une fois. Je suis tenté d'aller les rechercher, les regarder, mais je sais que c'est mal, que c'est interdit. Finalement, la curiosité est plus forte que mes scrupules. Je vérifie que maman est toujours bien occupée dehors, j'ouvre discrètement le tiroir, j'attrape la pochette de photos et je monte dans ma chambre. Je me mets nu sur mon lit, et les mains tremblantes je sors les photos. Il y en a un trentaine. Je découvre ma mère en robe très sexy qui prend des poses coquines. Instantanément ma bite se raidie. En regardant photo après photo, je me masturbe. Je vois ma mère faire un strip-tease langoureux et retirer, un à un, ses habits. Je la vois prendre ses seins en main présentant ses tétons durcis. Ce qui me frappe le plus c'est le sourire qu'elle ne cesse de montrer sur les images. Je ne réussi pas à me retenir de juter quand sur une photo, je la vois sans son string, montrant à mes yeux ébahis le mystère de la femme. Je découvre une fente rose, sans aucun poil, que maman dévoile en me souriant. Je me vois juter en longues saccades qui m'électrisent et me laisse pantelant. Sur la photo suivante, elle écarte les lèvres de son sexe, découvrant l'intérieur rouge et luisant. Je suis à la fois choqué, surpris, honteux et heureux de voir ces clichés. Je réalise que c'est mon père qui les a pris. Ces photos sont cent fois plus explicites et excitantes que celles que nous avons regardées avec Stéph. Mais j'entends à nouveau maman qui m'appelle. Rapidement, je range les photos, les glisse sous mon oreiller et je la rejoins après m'être essuyé le ventre.

– Mon chéri, tu veux bien m'apporter un peu Ice Tea ?

– Oui M'an, lui dis-je.

Tandis qu'elle sirote sa boisson, elle me regarde et me demande :

– Ca va mon chéri ? Tu n'as pas l'air dans ton assiette !

– Si ca va m'an, j'ai juste un peu trop chaud. Je vais me baigner.

– Vas-y mon chéri, elle est délicieuse.

Pendant que je me baigne, je regarde ma mère qui est devenue depuis peu, pour moi, une femme qui me fait bander et juter.

par Argine

Chapitre 3