Ceci est la correction d'une histoire publiée.
Titre : Aude et sa maman Julie - Chapitre 3
Auteur : Argine
Personnages : 1 femme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 8 ans
Romantique
Première fois
Inceste
Texte envoyé le 17/12/2014
Texte publié le 19/12/2014
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Une troublante matinée
Julie :
Quand je rentre de la pharmacie avec les médicaments, je constate qu'Aude s'est endormie. Je n'ai pas le courage de la tirer de son sommeil pour lui donner son traitement, me disant qu'au besoin je la réveillerai tout à l'heure. Je décide de ma changer car je serai plus à l'aise en tenue décontractée et en principe je n'ai pas besoin de ressortir. Et si j'en profitais pour prendre ma douche. Ce matin, je n'ai pas osé le faire devant ma fille, mais vu que là, elle dort, elle ne risque pas de me voir nue. Aussitôt dit, aussitôt fait. Je me déshabille rapidement, légèrement troublée par la présence d'Aude. Et si elle se réveillait maintenant ? Mais elle semble bien endormie, récupérant de sa mauvaise nuit. Une fois sous la douche, je me détends et savoure la douce caresse de l'eau chaude sur ma peau. Je me sens toujours sous l'influence de l'érotisme de ma fin de nuit et de la matinée. Je ferme les yeux et revois la doctoresse assise près du fessier de ma fille. Si j'étais seule, je me toucherais le sexe afin de faire tomber la tension sexuelle qui me tenaille depuis mon réveil. Mais la proximité de ma fille me retient. Machinalement, je regarde vers le canapé. Une décharge électrique me parcourt la colonne vertébrale quand je réalise qu'Aude a les yeux ouverts et me voit à travers la porte vitrée de la douche. Instantanément, je me sens rougir de la pointe des oreilles jusqu'à la base de mon cou. Ma fille me voit toute nue pour la première fois. Je ne sais pas quelle attitude adopter, puis je me dis que ce qui est fait est fait. Je me lave donc en sachant qu'Aude ne perd pas une miette de mes gestes. Je me rince très vite et je coupe le jet d'eau. J'ouvre la porte et j'attrape une sortie de bain. En m'essuyant, je lui dis :
– Tu es réveillée ma puce ?
– Oui maman, j'ai soif, fait-elle d'une petite voix.
– Bouge pas je vais te donner tes médicaments.
Je noue la serviette sur mon corps, j'attrape mes vêtements et je rejoins ma chambre. Je n'ai pas envie de m'exhiber davantage devant ma petite malade. J'enfile mon string et mes bas, puis je passe un vieux pull qu'un de mes amants de passage a laissé, et que je mets quand je suis à la maison pour la journée. Enfin, je rejoins Aude avec un verre d'eau et le sachet à médicaments.
Aude :
Une fois maman sortie, je me suis endormie, épuisée par la grippe. Quand je me réveille, j'ai juste le temps de voir maman, toute nue, entrer dans la douche. C'est la première fois que je la vois comme ça, et je la trouve belle. Je suis contente de pouvoir regarder sa belle poitrine. Maman a des gros seins à la peau blanche, laiteuse. Je distingue bien ses bouts qui sont rose foncé. Mon regard descend sur son ventre plat, et j'aperçois une tache sombre, noire juste en bas de son ventre. Je comprends qu'il s'agit de sa touffe d'amour. Je me sens toute émue par le spectacle que m'offre involontairement maman. Je mets sur le compte de la fièvre la poussée de chaleur qui m'envahit. Maman a l'air d'aimer l'eau qui coule sur elle car elle a fermé les yeux et pris en mains ses seins lourds. Je la vois passer ses paumes sur ses tétés. Soudain, elle ouvre les yeux et réalise que je la regarde. Je lui fais un sourire pour lui dire que j'aime bien. Mais elle se lave rapidement et sort de la douche. Je devine qu'elle a rougi d'avoir été surprise. Elle se couvre d'une serviette, me cachant son beau corps. Elle me dit qu'elle va me donner mes médicaments et monte dans sa chambre. Du canapé, je ne peux plus la voir et j'en suis un peu triste. J'aimerais lui demander de continuer à me faire voir sa nudité, mais je sais que je n'oserais jamais lui faire une telle demande. Elle revient vêtue du vieux pull qu'elle porte quand elle fait le ménage. Elle me donne un verre d'eau ainsi que les cachets. J'avale une cuillère de sirop qui soulage mon petit mal de gorge. Puis elle me dit :
– Tiens ma puce, relève ta chemise de nuit, je dois te passer de la crème pour calmer ton début d'angine.
Julie :
Aude ne semble pas choquée de m'avoir vue toute nue. Assise sur le lit, je lui donne à boire pour avaler les cachets prescrits. Je lui donne aussi une grande cuillérée de sirop qui semble la soulager. Puis je prends le tube de crème et je lui demande de relever sa chemise de nuit. Elle se redresse pour remonter son habit et quand elle se recouche je m'aperçois qu'elle est nue en dessous. Mon trouble de tout à l'heure réapparaît. Mes yeux glissent de sa poitrine naissante à sa petite fente imberbe et lisse. La chemise retroussée au menton, Aude attends en souriant. Son innocence me ramène à la réalité. Elle ne se doute pas que je suis troublée par son corps juvénile. Je mets une noix de crème dans mes mains et je les pose sur ses côtes. Elle a un petit frisson car j'ai toujours les mains un peu fraîches. Délicatement, je commence à étaler la crème sur son torse. Sa peau est douce et d'une chaleur qui me réchauffe très vite les mains. Je me surprends à aimer ce contact charnel avec ma fille. Aude a fermé les yeux, me déculpabilisant un peu de mes pensées interdites. Sous mes doigts, je palpe tendrement les petites boules de chair, prémisses de la poitrine de ma fille. L'odeur de camphre ajoute à mon trouble, me rappelant les caresses que me prodiguait ma maman. Je me sens aussi gênée de sentir qu'entre mes cuisses mon sexe s'humidifie de désir. Que m'arrive t-il ? Je continue de masser le haut du corps de ma fille, faisant pénétrer le crème, savourant le plaisir de caresser la peau tendre et douce et chaude. La sensualité de l'instant m'empêche de comprendre que ce que je fais est incestueux. Aude ouvre les yeux et me dit :
– Ça me fait du bien maman.
– Tant mieux, c'est que le produit agit, dis-je pour me disculper.
Je parviens à m'arracher de ces caresses interdites et je vais m'essuyer les mains. J'ai honte de me sentir excitée par ce qui vient de se passer. Je vois dans la glace que ma fille a toujours la chemise relevée. Je lui demande de se couvrir, puis je reviens près d'elle.
Aude :
Au moment où maman a posé ses mains sur moi, j'ai ressenti un frisson intense. Elle a les mains fraîches. En tenant ma chemise sur le menton, je sens ses mains qui commencent à étaler la crème. J'aime bien ce contact de ses doigts sur ma poitrine. Je perçois que ses doigts touchent mes petits tétés et cela me plait. L'odeur forte qui se dégage me rend un peu somnolente. Je sens que les mains de maman se sont réchauffées sur ma peau. Je ferme les yeux pour mieux savourer le bien-être que me donne les mains de ma maman. Je me sens bien, détendue, heureuse de sentir que maman est près de moi. J'ai souvent rêvé d'être avec elle tout le temps. Et ce matin, c'est ce que je suis en train de vivre. Sous mes paupières fermées, je la revois sous la douche, nue, sortant de la douche. Elle est belle ma maman d'amour. Je suis aussi contente de m'être montrée à elle toute nue. Il m'a semblée qu'elle était surprise mais assez contente de voir ma founette. J'ouvre les yeux et je lui dis que cela me fait beaucoup de bien. Elle semble gênée et arrêtant ses caresses, elle va se laver les mains au lavabo. Elle me dit de me couvrir avant de revenir à côté de moi. Elle pose sa main fraîche sur mon front se penche sur moi et me fait un bisou. Je me sens fondre de bonheur et je lui dis que je l'aime. Elle me dit que elle aussi. Du coup, j'ose la question qui me brûle les lèvres depuis la venue de la doctoresse :
– Maman c'est quoi la puberté ? C'est grave ?
– Ma puce, fait-elle d'une voix douce. Non ce n'est pas grave, c'est même tout à fait normal. La puberté, c'est quand une fillette commence à devenir une petite femme.
– Ah bon ?
– Oui ma chérie. Tu as bien vu et senti que ton corps est en train de changer. Par exemple, tes seins ont commencé à sortir et désormais ils vont continuer à grossir.
Instinctivement, je pose mes mains sur mes tétés et je sens sous ma paume les petites boules dont elle parle.
– Il va y avoir aussi des changements là, ma puce, dit maman en posant sa main sur mon ventre. Mais cela ne sera que dans quelques temps et on aura le temps d'en reparler.
– Ok maman, je réponds rassurée.
Julie :
Je me sens coupable d'avoir profité de l'innocence de ma fille, et je lui donne un bisou sur la joue pour me faire pardonner. Elle me dit qu'elle m'aime ce qui me chavire. Je lui réponds que je l'aime aussi. La question qu'elle me pose brutalement me déstabilise un peu. Puis je lui explique que la puberté c'est le passage de fillette à jeune femme. Comme je ne veux pas être embarqué sur un terrain délicat, je prends l'exemple de ses seins naissants pour la rassurer et lui dit que nous en reparlerons. Je dois préparer mes réponses et je ne me sens pas dans les meilleures dispositions pour le faire maintenant. Mes explications succinctes ont l'air de la rassurer. Je lui ai pris la main et je la tiens posée sur mes jambes. Je lui dis qu'il faut qu'elle se repose, que je vais faire mon ménage et que si elle a besoin, elle n'a qu'à m'appeler. Toute la matinée, je suis partagée entre ma culpabilité de mère et le trouble érotique que je ressens au fond de moi et qui me tient dans un état de semi-excitation permanente.
Prochain épisode: Complicité sensuelle.