Ceci est la correction d'une histoire publiée.
Titre : Aude et sa maman Julie - Chapitre 2
Auteur : Argine
Email : argine0906[_at_]outlook.fr
Personnages : 2 femmes, 1 petite fille
La plus jeune fille a 8 ans
Romantique
Première fois
Inceste

Texte envoyé le 17/12/2014
Texte publié le 19/12/2014

Creative Commons 2014 - Argine. Certains droits réservés.

Ce texte est mis à disposition sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Vous avez l'autorisation de le reproduire et de le diffuser librement à condition de respecter la paternité du texte et de conserver les en-têtes de l'histoire. Vous n'êtes pas autorisé à faire un usage commercial de ce texte, toute modification du texte doit être distribuée sous licence identique.

Cet envoi a été édité pour améliorer son confort de lecture.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/

Aude et sa maman Julie

par Argine

Chapitre 2

La visite de la doctoresse



Julie :

Je suis allée chercher dans ma chambre de quoi m'habiller. J'en ai profité pour appeler l'école d'Aude. La maîtresse m'a informée qu'il y avait deux autres fillettes absentes étant elles aussi un peu fiévreuses. Cela me rassure et m'inquiète en même temps. Est-ce une maladie infantile contagieuse ou bien juste une petite grippe fréquente en cette période. J'ai aussi prévenu mon boulot. Comme nous sommes vendredi, je vais ne perdre qu'une journée. J'ai choisi comme vêtement quelque chose de décontracté, une veste de survêt, une jupe un peu sport et une parure de sous-vêtements en dentelle. Je reviens dans notre pièce unique. C'est vrai que cet appartement est assez réduit. Il n'y a qu'une grande pièce qui sert de salon, cuisine et salle d'eau, avec les coins repos en petit duplex, où j'ai installé nos deux lits. Aucune porte ne sépare ces lieux de vie. Même la petite douche reste visible du salon. Cela n'avait jamais posé de problème avant aujourd'hui. Je pose mes habits sur le portant et je fais face au lavabo. Je jette un œil dans la glace et je vois ma fille allongée sur le canapé. Je me tourne vers elle et lui demande si elle va bien. Elle me répond oui de la tête, sans me quitter des yeux. Je décide de ne pas prendre de douche pour le moment car je me sens gênée de me mettre nue devant elle. Je choisis de me débarbouiller au gant. Avant de retirer ma nuisette, je retire ma petite culotte pour mettre le string de la parure. Depuis que cette pièce de lingerie s'est vulgarisée, je ne mets pratiquement plus que ça car j'aime la sensation qu'elle me procure tout au long de la journée. Dans mon dos, je sens le regard d'Aude. Mais je n'ai pas le choix, je ne vais quand même pas lui demander de regarder ailleurs. Je retire ma nuisette, sachant pertinemment que ma fille va voir mes fesses. Cela me trouble un peu, comme si c'était un jeu un peu pervers. Rapidement, j'enfile mon soutien-gorge, ma veste de survêt et ma jupe. Je me demande si je passe des bas ou pas ? Je déteste les collants, ne supportant pas d'être recouverte de cette gaine qui me serre. Étant donné que je vais devoir sortir pour aller à la pharmacie, j'opte pour en mettre. Je m'assieds sur une chaise et toujours sous les yeux d'Aude, j'enfile l'un après l'autre mes bas. Je me rends compte que j'ai rougi.



Aude :

Allongée sur le canapé, bien au chaud sous la couverture, je regarde ma maman qui va et vient en nuisette. Je ne sais pas ce qui m'arrive mais je la trouve très belle. Peut-être est-ce la fièvre ? Mais je me sens bien. J'ai entendu maman appeler l'école et son travail. Je la vois qui fait glisser sa culotte et en enfiler une autre. Quand elle retire sa chemise de nuit, je m'aperçois que son slip est rentré entre ses fesses qui sont très jolies. J'observe son dos nu et je devine ses gros seins qui débordent sur les côtés. Je me sens troublée de pénétrer ainsi son intimité, mais je ne peux pas détourner le regard. Je sens que j'ai encore plus chaud quand elle met son soutien-gorge. Je devine qu'elle se dépêche de s'habiller, ne voulant pas s'exhiber devant moi. Une fois la veste et la jupe passées, je la vois réfléchir, puis s'asseoir pour enfiler des bas. Je me dis que tout cela est très beau à voir, et je suis contente d'avoir pu assister à ça. Ensuite, maman se coiffe et se maquille. J'ai toujours été intéressée par ces petits gestes de femme, me disant qu'un jour maman me les apprendra. Quand elle a terminé, elle s'approche de moi et me fait un tendre bisou sur le front. J'arrive à lui dire qu'elle est belle. Elle me sourit, me caresse les cheveux en disant que je suis un amour et que je dois me reposer en attendant la toubib. Je sombre dans une sorte de demi-sommeil, qui étouffe les bruits que fait maman en prenant son petit déjeuner. Un coup de sonnette me tire de cette ambiance ouatée où je somnolais.



Julie :

Après m'être habillée, j'ai vérifié si Aude se sentait bien. En lui faisant un bisou sur le front, je constate qu'elle est encore brûlante. Elle me dit que je suis belle.

– Tu es un amour ma chérie, lui dis-je en souriant.

Je comprends qu'elle a aimé me regarder dans ces moments d'intimité. Cela me trouble de lui caresser les cheveux, de sentir sa chaleur. Je me sens en même temps étrangement excitée d'avoir été aussi dénudée devant elle, mais je me dis que ce sont les restants de mon rêve érotique. Je me sens souvent dans cet état, parfois toute la journée, quand j'ai fait de genre de rêves. Rassurée sur l'état de ma fille, je vais prendre mon petit déjeuner. Je remarque qu'Aude s'est assoupie et je regrette presque que Madame Martin vienne la réveiller en sonnant. Je vais ouvrir et je lui explique la situation. Elle m'explique qu'elle a déjà visité deux autres patientes de la classe de ma fille et qu'une petite épidémie de grippe s'est déclarée mais rien de sérieux. Notre toubib ne vient pas souvent nous voir car notre santé nous dispense de ses visites. Elle s'installe près de Aude et commence à l'ausculter. Elle lui demande de relever sa chemise de nuit pour qu'elle puisse poser son stéthoscope sur le dos. Je vois frissonner ma fille quand l'objet froid entre en contact avec sa peau. Je remarque que deux petites boules de chair se sont développées sur sa poitrine nue. Aude est suffisamment grande pour se débrouiller seule et cela fait un très long moment que je n'ai pas vu son torse. Je suis surprise de constater que les seins de ma fille commencent à pousser. Certes, elle va sur ses 9 ans mais quand même, cela me paraît un peu tôt. La toubib me demande si j'ai pris sa température, ce que je lui confirme. Elle me répond que cela fait déjà plus d'une heure et qu'elle va la reprendre. Aude se met sur le dos et retire sa petite culotte. Je suis à nouveau troublée par la vue de son petit fessier rebondi. La doctoresse enfonce à son tour le thermomètre dans l'anus d'Aude qui se tortille un peu. L'acte médical m'apparaît soudain comme érotique et augmente mon trouble. Madame Martin me regarde en souriant tout en maintenant le thermomètre en place. Puis elle le ressort et annonce une fièvre de 38,8°.



Aude :

J'aime bien madame Martin qui est une gentille toubib. Elle est très douce et délicate. Même si on ne la voit pas souvent, je suis contente qu'elle soit là. Avec maman, elles discutent un peu dans l'entrée, puis madame Martin retire son manteau et vient près de moi. Elle me sourit, me fait relever ma chemise de nuit. Elle écoute mes poumons en posant son outil tout froid dans mon dos. Maman est près de nous et je vois qu'elle me regarde bizarrement, surtout à mes tétés. C'est vrai que j'ai senti qu'ils ont grossi et que maman s'en rend compte. Je me sens fière de grandir et de lui montrer. Madame Martin me dit qu'elle veut prendre ma température. Comme ce matin, je me mets sur le ventre après avoir retiré ma culotte. Je sens son thermomètre entrer dans mon petit trou. Il me semble plus fin mais plus long que celui de maman. En attendant, je tourne la tête vers la toubib. Comme elle est assise, je vois que comme maman, elle porte des bas. Je remarque qu'elle regarde, en souriant, maman qui elle a les yeux sur mes fesses. Elle annonce bientôt une température de 38,8, et sans savoir ce que ça représente, je vois le visage de maman se détendre. Tu peux te recoucher, me dit madame Martin. Je me glisse sous la couverture, mais j'oublie de remettre ma culotte. Maman et la toubib vont s'asseoir à la table de la cuisine.

– Alors docteur, demande ma mère ?

– Rien de sérieux, rassurez-vous. Deux ou trois jours sans sortir et avec le traitement, lundi, il n'y paraîtra plus.

– Merci, souffle maman.

– Je vais vous mettre du sirop et une crème au camphre car Aude a un petit début d'angine qu'il faut vite guérir. Le reste du traitement sera en cachets à prendre matin, midi et soir

– C'est parfait, dis-je rassurée.



Julie :

L'annonce de la température me procure un réel soulagement. Je sais d'expérience que cela n'est pas une forte fièvre. Je finis par arracher mon regard des fesses de Aude et je vois que madame Martin a perçu mon trouble. Pourtant elle me sourit. Pour la première fois, je la regarde non plus comme une toubib, mais comme une femme. Et je me dis qu'elle est plutôt jolie. Grande, blonde, une belle poitrine et des jambes superbes qu'elle gaine de bas. Je n'ai jamais eu d'expérience avec une femme, et même si je n'ai jamais eu de vrai plaisir avec un homme, cela ne m'est jamais venu à l'esprit. Je me secoue pour sortir de la troublante torpeur dans la quelle je me trouve et j'invite la doctoresse à venir sur la table de la cuisine. Elle m'y rejoint après avoir conseillé à Aude de se couvrir de la couverture. Elle prescrit quelques médicaments, dont une crème au camphre que je vais devoir étaler sur la poitrine d'Aude pour lutter contre un début d'angine. Je me souviens de ce genre de crème que ma maman m'étalait pour dégager mes voies respiratoires. J'en garde un très bon souvenir.

Tandis qu'elle rédige l'ordonnance, je regarde ses jambes que la jupe a découvertes. Je rougis de honte quand je m'aperçois que la toubib a vu où je regardais. En souriant elle me dit :

– Vous avez dû remarquer que votre fille a commencé sa puberté.

– Oui j'ai vu.

– C'est assez courant aujourd'hui que les filles soient plus précoces. Je pense qu'elle va avoir la même belle poitrine que sa maman.

Un peu gênée par sa dernière remarque je ne sais pas quoi lui répondre.

– Bien, j'ai encore deux patients à voir, je vais vous laisser. Mais je pense qu'il serait préférable que vous veniez me voir plus souvent. Ce n'est pas bien. Vous pouvez aussi m'amener Aude si vous souhaitez que je surveille sa puberté. Si la guérison n'était pas complète, passez à mon cabinet dès lundi matin. Bonne journée madame.

Elle a une façon bizarre de sourire en me serrant la main. Malgré moi, je me sens troublée par ce contact et par ses paroles. Décidément, le manque d'activités sexuelles ne me vaut rien. Je prends mon manteau et j'informe Aude que je file à la pharmacie.



Aude :

Bien au chaud sous la couverture, je me sens contente. À part, un petit mal de gorge, je me dis que je vais passer la journée en compagnie de ma maman et cela me plait. En plus, elle va être aux petits soins pour moi. Même si je suis fiévreuse, je ne suis pas sourde. J'ai bien entendu ce que la toubib a dit sur moi. C'est quoi ça la puberté ? J'espère que ce n'est pas lié à ma maladie. Et j'ai vu maman rougir quand madame Martin lui a parlé de sa belle poitrine. C'est vrai que maman a une belle poitrine, et je me sens fière d'avoir bientôt la même. C'est la toubib qui l'a dit. J'ai vu aussi que maman était toute gênée, mais je sais pas pourquoi. Peut-être parce que la toubib montrait ses cuisses. Mais en quoi c'est gênant ? Je me dis que je suis encore trop petite pour tout comprendre. Mais ce dont je suis sûre c'est que j'ai la plus belle maman du monde !

Prochain épisode: Une troublante matinée.

Si vous avez aimé ce texte, remerciez Argine, c'est une motivation pour continuer d'écrire.

Vous pouvez utiliser ce champ pour envoyer un message à l'auteur.

N'oubliez pas de préciser votre adresse email dans votre message si vous souhaitez une réponse de l'auteur.

Message limité à 1700 caractères. Les messages sont systématiquement modérés avant d'être envoyés.

Vous pouvez également contacter l'auteur par mail à cette adresse : argine0906[_at_]outlook.fr (remplacez [_at_] par @)