Ceci est la correction d'une histoire publiée.
Titre : Aude et sa maman Julie - Chapitre 1
Auteur : Argine
Email : argine0906[_at_]outlook.fr
Personnages : 1 femme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 8 ans
Romantique
Inceste
Lesbianisme
Texte envoyé le 17/12/2014
Texte publié le 19/12/2014
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Résumé :
A Aude, mon inspiratrice qui au travers de ses confidences me donne les idées directrices de cette histoire.
Cet envoi a été édité pour améliorer son confort de lecture.
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
Une petite fièvre
Aude :
En ouvrant les yeux, je ne me sens pas bien. J'ai la gorge qui me pique, j'ai chaud et je me sens toute molle. Par la fenêtre, je vois qu'il fait encore nuit, il n'est donc pas l'heure d'aller à l'école. Ma chemise de nuit est trempée et colle à ma peau. Je commence à avoir mal à la tête. J'ai soif. De mon lit, je regarde vers la petite mezzanine où dort ma maman. Je ne vois pas de lumière, et je sais qu'elle est encore dans son lit. Je me dis que je dois être malade et que je dois appeler maman. J'essaye de crier maman, mais mon mal de gorge m'en empêche. Je recommence et je m'entends enfin l'appeler. Je perçois un mouvement dans son lit et je la vois qui se lève et vient vers moi. Je me sens aussitôt rassurée.
– Tu m'as appelée ma puce ?
– Oui maman, j'arrive à dire en geignant.
– Ça va pas, s'inquiète-t-elle ?
Elle s'assied sur le lit juste à côté de moi. Je vois qu'elle porte une courte chemise nuit. Elle est belle ma maman, me dis-je tandis qu'elle pose la main sur mon front. La fraîcheur de sa paume me fait du bien.
Julie :
Un coup d'œil à mon réveil me permet de constater que j'ai un petit quart d'heure avant de me lever pour m'habiller et ensuite lever ma fille Aude. Je savoure ce moment de douceur. Je me sens bien car j'ai fait un rêve érotique qui me laisse toute alanguie. Je ne me souviens plus de la situation, mais j'en garde un bien être qui perdure jusque dans mon ventre. Délicatement, je caresse mon téton gauche qui est encore tout tendu. J'aime me réveiller dans cet état de semi-sommeil qui suit un rêve agréable. Je sens que ma nuisette est remontée sur mon ventre. Je suis tentée de me toucher le sexe, mais un mouvement vers le lit de ma fille me retient. Il me semble l'entendre m'appeler. Je tends l'oreille et effectivement, je l'entends m'appeler faiblement. Mon sang ne fait qu'un tour. Je me lève et m'approche de son lit. Je lui demande si elle m'a appelée. Elle me répond d'une à peine audible. Inquiète, je m'assieds près d'elle et je pose ma main sur son front. Elle est brûlante. Elle a de la fièvre, c'est évident. Aude a une bonne santé, mais n'échappe pas à une petite grippe de temps en temps. Je vois que ses cheveux sont collés par la sueur. Bon, pas d'école pour elle, je me dis. Je vais devoir appeler mon employeur pour le prévenir que je n'irai pas travailler car je n'ai personne à qui la confier. Son père, ce salaud a préféré me laisser seule avec mon fœtus aussitôt qu'il a appris qu'il allait être papa. Cela fait 8 ans que je m'occupe seule de ma fille. Finalement, je m'en félicite car c'est ma fille la plus importante de ma vie. Je n'ai eu que quelques rares aventures avec des hommes qui ont eu la fâcheuse tendance à me fuir dès qu'ils apprenaient l'existence de ma fille. Aujourd'hui, je m'accommode comme je peux du manque de relations sexuelles. Pour l'heure, je dois m'occuper d'Aude.
– Ma chérie, tu as de la fièvre mais ça me semble pas bien méchant. Je vais prendre ta température, et j'appellerai Madame la doctoresse.
– J'ai soif maman, geint–elle doucement.
– Je te ramène à boire ma puce.
Rapidement, je gagne la cuisine pour récupérer tout cela.
Aude :
C'est la première fois que je vois ma maman en nuisette. Je suis intriguée par ce que je devine dessous. J'aperçois deux petites pointes au niveau de sa poitrine. Maman me sourit en m'informant que j'ai de la fièvre, mais que c'est pas grave. Sa douce main caresse mes cheveux et me fait du bien. Elle dit qu'elle va appeler madame MARTIN, notre docteur. J'arrive à lui dire que j'ai soif avant de la voir se lever et aller vers la cuisine qui se trouve juste à côté de nos lits. Nous habitons un petit appartement car maman ne gagne pas beaucoup de sous et papa ne nous en donne pas. Mais j'aime bien notre chez nous car je suis tout près de ma maman. Quand elle revient, elle a allumé les lumières et je vois ses jambes par transparence. Elle est trop belle ma maman ! Au moment où elle s'assied à côté de moi, sa nuisette remonte sur ses jambes et je vois sa petite culotte. Cela me fait tout bizarre de la voir car jamais je ne l'avais vue avant. Elle fait glisser mon drap et me dit :
– Retourne-toi, ma chérie, je vais prendre ta température.
Je me mets sur le ventre et je sens maman qui remonte ma nuisette et descend ma petite culotte jusqu'à mes pieds. Ses mains écartent doucement mes fesses et je sens le froid du thermomètre qui entre dans mon petit trou. J'ai l'habitude de ça mais à chaque fois ça me fait bizarre. La sensation de froid disparaît pour laisser place à l'intrusion. Maman me tient les fesses écartées et appuie sur le thermomètre pendant un long moment. Puis je le sens sortir de moi et j'entends :
– 38,4, ça va, mais ça va encore monter. Pas d'école pour toi ma puce. Bon je vais t'installer dans le canapé en attendant la toubib.
Elle me donne une petite tape sur la fesse en me demandant de me rhabiller et se lève.
Julie :
Légèrement inquiète, je cherche après ce damné thermomètre. Je suis obligée d'allumer toutes les lumières pour le retrouver. Puis je passe à l'évier pour rapporter un verre d'eau fraîche. Pendant que l'eau coule, je réalise que ma fille m'a vue pour la première fois de sa vie en petite tenue. Comme l'appartement est tout petit, j'ai dû utiliser des stratégies pour garder une certaine intimité. Ce n'est pas que cela me gêne mais d'habitude, j'attends d'être habillée avant de la lever. Bah, ce n'est pas si grave, me dis-je en revenant vers Aude. Je lui donne à boire puis je lui demande de se tourner pour que je puisse lui prendre sa température. Elle me présente ses petites fesses rebondies et je lui enfonce le thermomètre dans l'anus. En attendant le temps nécessaire, je me sens vaguement troublée par la beauté de ses petites fesses. Je chasse cette idée que je mets sur le compte de mon rêve érotique. La température indiquée me rassure quelque peu. 38,4° ce n'est pas une grosse fièvre. Je ne peux résister à l'envie de lui mettre une petite tape sur la fesse gauche que je découvre douce et ferme. Je lui demande de se rhabiller et de venir au salon pour attendre le docteur. Je constate qu'elle semble incapable de bouger, de marcher tant elle est affaiblie par la fièvre.
– Viens je vais te porter jusqu'au divan, lui fais-je en passant mes bras sous ses genoux et sous son bras.
En la sortant ainsi du lit, je réalise que cela fait longtemps que je ne l'ai pas portée comme ça. De peur de la laisser tomber, je la colle contre moi en lui demandant de s'agripper à mon cou. Quand elle pose sa tête au creux de ma nuque, je sens un long frisson descendre jusqu'à mon ventre. Collée contre moi, je perçois la chaleur et l'humidité de sa fièvre. Je me dis que ce n'est pas désagréable avant de chasser à nouveau cette pensée. Décidément, mon rêve de la nuit me poursuit. Arrivées au pied du canapé, je la dépose délicatement et je file chercher une couverture pour qu'elle n'attrape pas froid.
Aude :
J'ai réussi à remettre ma culotte, mais je sens que je ne pourrais pas me lever, ni aller jusqu'au canapé. Je me sens trop faible. Maman s'en rend compte et se propose de me porter. Elle passe ses bras sous mes jambes et sous mon bras gauche. Quand elle se penche, je vois dans l'échancrure de sa nuisette le creux de sa poitrine. Au moment de me relever elle sent que je suis plus lourde qu'elle ne pensait et me dit :
– Accroche-toi à mon cou, ma puce, tu pèses ton poids.
Je passe mon bras autour de ses épaules et je pose ma tête contre son cou. J'aime bien l'odeur de ma maman, mais là elle n'est pas encore parfumée et c'est une odeur que je ne connais pas qui remplit mes narines. Elle se serre contre elle et je sens la fraîcheur de sa peau contre moi. Je suis émue d'être aussi collée contre le sein de maman que je perçois gros et ferme. Au moment de me poser sur le fauteuil, je vois à nouveau la beauté de son décolleté, et je me sens ravie d'en profiter. Maman va chercher une couverture qu'elle pose sur moi. Ensuite, elle retourne à sa chambre et revient devant le lavabo du coin salle d'eau. De mon canapé, je me dis que je vais pour la première fois de ma vie assister à la toilette de ma maman.
Chapitre suivant: La visite de la doctoresse.