Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : Dans le train - Chapitre 1
Auteur : Actually
Email : herdom61[_at_]gmail.com
Personnages : 1 homme, 1 adolescent
Le plus jeune garçon a 14 ans
Première fois
Oral
Masturbation
Pénétration anale
Homosexualité masculine

Texte envoyé le 08/12/2014
Texte publié le 09/12/2014

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Résumé :
S'endormir dans le train peut conduire à une initiation imprévue

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/

Dans le train

par Actually

Chapitre 1

Je faisais un rêve érotique. Dans le noir d'une caverne profonde, une main étrangère me branlait délicieusement.

Je me mis à jouir, longuement, mon bas ventre empli d'une boule de plaisir...

Je me réveillais en sursaut. J'étais dans le train, assis à côté d'un homme qui me regardait en souriant.

– Alors, on fait de beaux rêves, chuchota-t-il.

Je réalisais que je bandais à mort, ma verge déformant mon pantalon de jogging.

Pire, celle-ci continuait à palpiter, expulsant dans mon caleçon une semence bouillonnante. Encore quelques secondes, et tout le monde pourrait voir la tache humide qui n'allait pas tarder à apparaitre à l'emplacement de mon sexe.

– Excusez moi, monsieur, il faut que j'aille aux toilettes....

Tant bien que mal je passais devant l'homme, me dépéchais d'aller aux toilettes du wagon, une main cachant maladroitement mon érection persoistante.

Heureusement il n'y avait plus grand monde dans le train, et les toilettes étaient libres.

Je retirais pantalon et caleçon, nettoyais avec du papier la copieuse éjaculation qui maculait mon sous vêtement. Encore quelques secondes et mon pantalon de jogging aurait été taché...

J'attendis quelques minutes que mon érection dis^paraisse pour rejoindre ma place.

– Ou sommes nous, demandais-je à l'homme.

– Nous allons arriver à Vannes, me dit-il.

J'ouvris la bouche en grand, stépéfait.

– Mais je devais descendre bien avant, catastrophe !...

– Tu dormais si bien, je n'ai pas osé te réveiller.

– Oui, mais qu'est-ce que je vais faire, mes parents vont s'inquiéter.

– Ne t'en fais pas, je descends à Vannes, et tu n'auras qu'à venir chez moi, comme ça tu pourras rassurer tes parents...

C'est ainsi que je me retrouvais quelques instants plus tard dans son appartement situé en plein centre ville.

J'appelais mes parents, mais, nouvelle nouvelle, ils ne pouvaient pas venir me chercher le soir meme.

– Ce n'est pas grave, tu n'auras qu'à passer la nuit ici, tes parents viendront te prendre demain matin....

J'acceptais, n'ayant de toute façon pas le choix. Je n'avais pas asez d'argent pour m'acheter un billet de retour...

– Je te propose une petite bouffe avec des pâtes à la bolognaise, ça te dit ?

– Oh, bien sur, monsieur.

– Appelles moi Lionel, s'il te plait. Et toi, c'est quoi, ton prénom ?

– Patrick.

– Et tu as quel âge ?

– 14 ans...

Le temps de préparer les pâtes, je suis resté assis sur un grand canapé en cuir, à lire des revues posées sur la table basse.

Lionel me raconta sa vie. Il était chanteur classique. Pour son métier il se déplaçait beaucoup, se produisant surtout à Paris.

Ses pâtes étaient délicieuses, j'en ai repris deux fois.

Comme dessert nous avons mangé des glaces succulentes, accompagnées de gâteaux variés.

Après le repas nous avons continué à bavarder un bon moment, installés dans le canapé.

Lionel voulait tout savoir de moi, mes études au lycée, mes goûts. Il me demanda si j'avais une petite amie, un petit copain.

Je lui répondis par la négative. Puis il me demanda si je me masturbais, et combien de fois par jouir.

– Oh oui, je me masturbe, au moins une fois par jour. Mais comme je suis interne, ce n'est pas évident. Les WC c'est pas terrible. Je préfère sous la douche.

– C'est normal à ton âge de se masturber. Moi aussi j'aimais me branler sous un bon jet d'eau chaude. Tu n'as jamais été caressé par un autre garçon ?

– Non, jamais.

Il me regardait en souriant.

– Et si tu en prenais une de douche, tu dois en avoir besoin, non ?

– Pourquoi pas...

– Viens, je vais te montrer où est la salle de bains.

Quelques minutes plus tard je me retrouvais sous l'eau bienfaisante qui ruisselait sur moi.

J'étais en train de savourer ce moment lorsque la porte de la salle de bains s'ouvrit.

Lionel, entièrement nu, vint me rejoindre dans le grand recoin de la douche.

– Ca ne te gêne pas qu'on prenne notre douche ensemble, Patrick. Tu m'as dit que tu faisais partie d'une équipe de foot, tu dois avoir l'habitude de voir d'autres garçons à poil, non ?

Il est vrai que la nudité des autres ne me dérangeait pas outre mesure. Mais de voir un adulte autrement développé que moi me dérangeait un peu.

– Non, Lionel, il y a de la place pour deux, ici...

– Oui, j'aime bien les cabines de douche spacieuses.

Lionel se mit tout contre moi, le jet nous éclaboussant tous les deux. Puis il prit un flacon de gel douche, en mit sur mes épaules, mon torse. Sans rien dire il se mit à faire mousser le gel sur ma peau.

C'était bien la première fois que quelqu'un d'autre posait les mains sur moi pour me laver.

Quelques années plus tôt c'était ma mère qui le faisait, mais c'était bien avant ma puberté...

En fait c'était bien agréable de sentir les doigts de cet homme se promener sur mes épaules, mon dos, mes fesses, mes jambes.

Quand il était entré dans la cabine, j'avais regardé tout de suite la verge de Lionel. Elle était longue, fine, le gland complètement décalotté.

Une forêt de poils sombres ornait son pubis, épaisse et drue. Rien à voir avec la pilosité encore timide de mon bas ventre.

Je me mis à tressaillir lorsque ses doigts, sans hésiter, se mirent à s'incruster de plus en plus profondément entre mes fesses, allant et venant sur mon anus. Je me savais sensible de ce côté-là, mais les sensations procurées par une main étrangère étaient autrement plus intenses que celles de mes propres doigts. Je n'osais lui demander de retirer les siens.

Ce fut une autre histoire lorsque, tout en gardant une main sur mes fesses, il se mit à me savonner la verge, le gel douche moussant avec abondance.

– Je crois que c'est surtout elle que je dois bien nettoyer, non ? après ce qui s'est passé dans le train. Je viens de jeter un coup d'œil à ton caleçon. Il est bien empesé de sperme. Je vais le laver, il sera sec demain matin...

– Arrêtez, Lionel, finis-je par dire à l'homme.

Il faut dire que sous l'effet de ses doigts décalottant et recalottant ma verge, celle-ci commençait à s'ériger, se gorger de sang...

Lionel se releva (il s'était mis accroupi). Je constatais aussitôt que si je m'étais mis à bander, il en était de même pour lui. Sa verge s'était allongée, redressée légèrement.

Lionel remit le jet de douche en action, et nous nous sommes longuement rincés.

Puis, prenant un peu de gel douche dans sa main, Lionel se remit à m'en enduire le corps, insistant à nouveau sur mes fesses, ma verge semi érigée. Je poussais un cri de surprise lorsqu'un de ses doigts, lentement, se glissa en moi.

– Là aussi, ça mérite d'être bien propre...

Cette pénétration digitale eut un effet immédiat. Une onde de plaisir, totalement inconnue jusqu'à ce jour, inonda mon bas ventre. Ce n'était pas la première fois que je me mettais un doigt dans le derrière, mais je n'avais jamais connu pareille sensation. C'était aussi le fait que ma verge, à nouveau saisie par l'autre main de Lionel, s'érigeait cette fois sensiblement.

– Arrêtez, arrêtez, il ne faut pas, il ne faut pas...

– Ce n'est pas bon, ce que je te fais, tu as mal ?

– Non, non pas du tout, mais...

– Mais quoi, tu n'aimes pas prendre du plaisir ? Tu m'as bien dit tout à l'heure que tu avais l'habitude de te masturber sous la douche, non ?

Je ne savais plus quoi répondre, tant j'étais tiraillé entre deux volontés contradictoires. D'une part repousser ces mains baladeuses, avec je ne sais quelles conséquences, et d'autre part continuer à laisser Lionel me procurer un plaisir de plus en plus intense, envahissant.

C'est cette seconde possibilité que je ne tardais pas à choisir. Le corps frissonnant, je laissais un doigt, puis deux, me pénétrer de plus en plus profondément le derrière. Au bas de mon bas-ventre, ma verge, caressée habilement par Lionel, s'était érigée complètement, le gland bien décalotté, rouge vermillon....

Jamais je n'avais connu pareilles sensations. Mon bas-ventre n'était qu'une boule de plaisir qui irradiait dans tout mon corps parcouru de spasmes.

Je me demandais combien de temps j'allais tenir comme ça avant de jouir lorsque soudain Lionel se releva, mettant à nouveau la douche en marche. Si ma verge était dressée, verticale, la sienne l'était également, cintrée vers le haut, tout aussi rigidifiée.

Je ne pus m'empêcher d'admirer sa verge, bien plus longue que la mienne, au long gland en pointe, palpitante, comme animée d'une vie propre.

– Viens, me dit Lionel en me prenant par la main.

Sortis de la douche, Lionel se mit à m'essuyer avec une grande serviette blanche, insistant sur mes fesses, ma verge. Il en fit de même avant de m'inviter à le suivre.

– Maintenant, au lit ! me dit-il en souriant.

La suite allait être surprenante pour un jeune ado comme moi...

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