Mes débuts ...

Je n'en revenais pas devant moi il y avait mon oncle Jean et Abdel leurs côtes en bas des chevilles, m'exposant leurs membres perlant de sueur, celui de mon oncle Jean était d'une taille moyenne à peu près 19 cm mais d'une largeur non négligeable c'est cela qui m'impressionnait le plus, pour Abdel son zizi était de la même grandeur, mais plus fine, de plus de nombreux poils recouvraient leurs corps surtout pour Abdel qui en avait de nombreux frisés sur le torse et les couilles.

Ils se branlaient en me considérant comme un vulgaire bout de viande.

Lorsque mon oncle me dit :

Jean : « Bon alors Thomas tu veux apprendre comment un homme peut faire du lait ? »

Quelle question, bien sûr, j'attendais ça avec impatiente, j'acquiesçai par un signe de tête.

Alors, mes oncles allèrent dans le fond de la pièce ou étais installé de vieux cousin et une couette.

Abdel : « Ta vraiment tous penser ! » dit-il en regardant Jean d'un air amuser

Jean : « Oui, ça fait si longtemps qu'on attend ça, alors faut que ça se passe bien »

Je ne comprenais pas de quoi ils parlaient, mais lorsque mes oncles s'allongèrent sur la couette quasiment nu en me fessant signe de les rejoindre je couru vers eux.

Je m'installai entre eux deux, la tête nicher entre leurs deux épaules.

Tout d'un coup je senti une main rugueuse se promener le long de ma jambe droite pour remonter jusqu'à ma cuisse, je jetai un œil au-dessus de moi et c'était Abdel qui me regardait avec un grand sourire.

Jean : « Bon pour avoir du bon lait il faut que tu nous fasses plaisir, tu peux faire ça ? »

Moi : « Ok, mais comment ? »

Mon oncle me pris sous les aisselles et me leva, ensuite il se rapprocha pour me dire dans le creux de l'oreille « Déshabille toi ! »

Je n'attendis pas une seconde je commençai par enlever mes bottes en caoutchouc puis mon marcel noir, je n'avais plus que mon short en jean sur moi.

Mon torse à cet âge-là était d'un beau blanc, car je bronzai avec difficulté et mon torse était imberbe et maigre. Vu le léger froid qui commençai a apparaitre avec la nuit, mes deux petits tétons commençaient à durcir.

Et là, sans prévenir un flash apparu c'était Abdel qui prenait des photos de moi avec un polaroïd, il en prenait plusieurs, j'étais étonner mais mon oncle Jean me fit signe de la main de continuer pendant que son autre main caresser l'extrémité de son gland.

Donc je baissai mon short en jean qui se laissa tomber en bas de mes jambes frêles pour laisser apparaitre un slip Spiderman qui épousait a la perfection mon petit zizi pris au piège et mes petites fesses rebondi.

J'allai enlever mon slip quand Abdel dit :

« Non attend ça c'est nous qui allons le faire »

Il tapota sur la place entre eux deux pour me dire de les rejoindre. Je me pris place quand mon oncle Abdel repris ces caresses sur mon corps frêle et blanc, il passait ses doigts entre mes cuisses puis plaçai sa main entière devant mon slip.

Il le retira d'un coup déchirant en lambeaux le dessin de Spiderman, je me mis a rigolé, car je ne m'y attendais pas.

Cette action a eu pour but de dévoiler ma petite pine d'enfant, elle mesurait six cm et était très fine et totalement imberbe.

Abdel : « Bon je vais te montrer comment sortir du lait après c'est à toi de le faire, ok ? »

J'hochai de la tête, mais je ne voyais pas où il voulait en venir quand il goba mon petit zizi dans sa bouche, il commença des mouvements des vas et viens.

« ça fait des gilis » pensai-je

Je mis ma tête en arrière et fermai les yeux.

Je sentais la langue de mon oncle allé et venir sur mon gland et le long de mon zizi. Cette sensation est merveilleuse, la meilleure au monde !

Quand j'ouvris les yeux je vis mon oncle Jean, qui lui tenait ce qui était anciennement mon slip et le sentait, il respira profondément là où ce trouvai des anciennes traces d'urines et avec son autre main il descendait et monter la peau de son zizi.

« C'est exactement les mêmes mouvements qu'en forêt ! » pensai-je

Lorsqu'Abdel enleva mon zizi de sa bouche il était recouvert de bave et tout dur comme le matin quand je me lève.

Abdel : « A ton tour »

Il s'allongea sur la couette et pris son zizi en main en le mettant dans ma direction.

J'hésitais quelques secondes, mais je voulais du lait, donc sans réfléchir j'enfournai le pénis à mon oncle dans la bouche, c'était succulent, comme lécher une délicieuse glace.

Mon oncle Abdel haletai fort et des flashes venait sur mon autre côté c'était Jean qui prenait à son tour des photos de moi.

Ne sachant pas trop comment fait je mettais le zizi dans ma bouche et le ressortait et ainsi de suite, mon oncle Jean allait dire quelque chose quand Abdel l'interrompit :

Abdel : « T'inquiète Jean laisse le faire, il faut qu'il apprenne tous seul et puis de toute façon je vais bientôt cracher la purée » dit-il avec un large sourire.

Moi : « La purée ? Mais c'est du lait que je veux » pensai-je

Jean : « Moi aussi, cette première fois ... c'est trop dur de se contenir »

Mon oncle Abdel haletait de plus en plus fort et je suis sûr que la veine sur son zizi gonflait aussi, Jean lui était au-dessus de ma tête en train de remuer son zizi très fort et très vite.

Lorsque mon oncle Abdel saisi ma tête pour la maintenir sur mon pénis et il cracha d'énorme jet chaud et gluant dans ma bouche, tellement de liquide que je dû en avaler de suite.

Jean lui haleta aussi très fort et je senti le même liquide, mais plus visqueux atterrir dans mes cheveux et sur mon visage.

Quand je pu me retirer, je me rendis compte que le lait de Abdel et lui aussi très bon, un peu plus amer, mais tout aussi délicieux.

Mes deux oncles m'observaient avec un air heureux, ils prient des photos dans tous les angles pendant que moi je m'amusai à recueillir le précieux lait de mes cheveux, de mon visage pour le mettre dans ma bouche.

Ils se rhabillèrent et ranger un peu et en même temps ils avaient aussi une conversation, mais je ne comprenais rien.

Jean : « Quand nos contacts verront ça, on va devenir des stars du porno infantile » dit-il en riant

Abdel : « Oubli pas de les flouter aussi » dit-il en ricanant « Mais je me demande crapaud a l'air d'une vrai salope je me demande à quel point on va pouvoir en profiter ? »

Jean : « Il y a qu'à tester pour savoir et puis c'est notre rôle de le former »

Ils échangèrent encore des paroles inaudibles, car il chuchotait moi je me rhabillai, mes oncles m'expliquai que pour le slip qu'il fallait qu'ils le gardent, car c'était un trésor.

Je reparti chez ma grand-mère après une inspection minutieuse de mes oncles et ils me rappelèrent la règle « ne rien dire à personne », j'étais vraiment heureux de ces jeux que je venais de découvrir.

Quelques jours plus tard, je jouai dans la ferme lorsque je vis arriver mon oncle avec un cadeau dans les bras un magnifique chien, un border collie noir et blanc une merveille, mon oncle Jean me dit que c'était un cadeau pour n'avoir rien dit à personne et qu'un enfant de la ferme se devait d'avoir un animal.

Il m'expliqua qu'il s'appela tiger et qu'il avait trois ans et c'était un ami qui lui avait offert.

Tout le monde était heureux de l'arrivée de tiger dans la ferme et moi j'étais le plus heureux des enfants.

Plus loin dans la ferme Abdel et Jean parlait :

Abdel : « Tu as vraiment eu une bonne idée il faut le former de toutes les manières possibles »

Jean : « Oui et puis tiger pourra prendre le relais quand on sera occupé ... »

par Space Town

Chapitre 2