Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : Lucie - Chapitre 1
Auteur : pierre
Email : pierre.lange4[_at_]hotmail.fr
Personnages : 3 adolescentes
La plus jeune fille a 10 ans
Lesbianisme
Contrôle de l'esprit
Sadomasochisme

Texte envoyé le 06/05/2013
Texte publié le 06/05/2013

Creative Commons 2013 - pierre. Certains droits réservés.

Ce texte est mis à disposition sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Vous avez l'autorisation de le reproduire et de le diffuser librement à condition de respecter la paternité du texte et de conserver les en-têtes de l'histoire. Vous n'êtes pas autorisé à faire un usage commercial de ce texte, toute modification du texte doit être distribuée sous licence identique.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/

Lucie

par pierre

Chapitre 1

Voici donc notre petite Lucie...de son mètre quatre-vingt-quinze le père Grégoire d'un œil d'expert fixait la fillette, il l'examinait... mignonne sans être d'une grande beauté, mince, de cheveux noirs, long...rougissant comme une pucelle, une innocente...

Mon père je suis vraiment reconnaissante de l'avoir accepté, je n'arrivais pas à imaginer pas ma petite Lucie dans le public, vous imaginez, le public... la mère de l'enfant parlait, parlait, parlait... le père Grégoire l'écoutait... Lucie est une vraie croyante, elle aide régulièrement à l'église... elle regardait la gamine avec des yeux de louve... hein ma chérie ?

Oui maman mais tu sais c'est normal d'aider notre seigneur...le père Grégoire lui caressa gentiment la tête...

C'est bien Lucie, Je suis sûr que tu va beaucoup te plaire chez nous... mais tu sais il te faudra travailler très dur...

C'est une excellente élève... visiblement la mère était très fière de sa fille...

Je n'en doute pas une seconde chère madame...

Assis dans de confortable fauteuil le père Grégoire regardait les deux hommes qui lui faisaient face, Eric, surveillant général et Christian prof principal de Lucie...

Lucie Vigar, 11 ans... vous ne la lâcher pas, les deux hommes l'écoutaient sans dire un mot...lâcher vos sbires, je veux du travail d'orfèvre pas de brutes... mettez les jumelles sur le coup... qu'elles prennent leur temps, je leur donne le trimestre pour la gouiner...

Pourquoi prendre autant de précaution ? Franchement je ne comprends pas ?

Je veux que ce soit elle qui fasse le virage, c'est une putain de catho, si on la brusque on la perd c'est clair... non elle doit prendre le virage d'elle-même après nous la prenons en main...

Les premiers jours ont été durs pour Lucie, les filles se moquaient d'elle à cause de ses vêtements de sa coupe de cheveux... elle se sentait écartée, sans amie, c'était la première fois de sa vie qu'elle se sentait seule... horrible.

Salut, tu veux venir avec nous... Lucie regardait les deux filles, elles se ressemblaient...

Oui nous sommes Jumelles, moi c'est Marie et ma sœur Noémie... elles t'emmerderont plus, du menton Marie désignait les autres filles...

Lucie n'aimait pas les gros mots mais cette fois ci elle s'en fichait complètement...

Tu veux venir jouer avec nous ? Les deux fillettes souriaient...

Lucie avait immensément besoin de repaires, de soutien et, bien que fort timide et ne connaissant pas encore les jumelles, elle les suivit avec soulagement. Elle sentait confusément que Marie et Noémie pouvaient la protéger de l'agressivité des autres pensionnaires. Elle pressentait leur leadership sur l'ensemble des autres filles et, d'une certaine manière et dans ce souci impératif de protection, elle s'en remettait, plus ou moins consciemment, à elles et se plaçait sous leur autorité.

En dépit de leur à peine douze ans, Marie et Noémie, fortes déjà des troubles, puis précises expériences qu'elles avaient vécues avec le père Grégoire et une hiérarchie activement complice, perçurent très vite la fragilité de Lucie et commencèrent à échafauder quelques projets répondant à leur nature déjà lourdement perverse...

Leurs desseins furent singulièrement renforcés quand elles apprirent que le lit de dortoir affecté à Lucie était contigu aux leurs.

La dernière prière du pensionnat avait lieu à 21 heures. Le père Grégoire en présidait toujours la cérémonie. Il adorait cet instant où toutes les fillettes étaient agenouillées, déjà vêtues d'une chemise de nuit relativement diaphane ce qui n'avait pas manque de surprendre Lucie qui, cependant, avait revêtu la sienne non sans une certaine honte.

Assis dans son fauteuil, un large crucifix derrière lui, le père Grégoire se sentait en pleine glorification face à ces gamines dont des spots judicieusement placés derrière elles permettaient de découper les formes en ombres chinoises. Il ressentait alors un désir bestial qui faisait se dresser un vît libre de toute autre vêtement que la soutane de l'homme d'église.

Bien sûr, Eric et Christian ne manquaient jamais, eux non plus, ce moment de la soirée.

Lucie avait l'air effarée d'un hibou pris dans un faisceau lumineux. Elle sentait confusément que cette cérémonie recelait quelque chose de trouble ; elle tourna son regard vers les jumelles et resta bouche bée lorsqu'elle découvrit que toutes deux se caressaient sous leur chemise de nuit, les yeux tournés vers le père Grégoire.

Puis une clochette annonça la fin de la prière er le départ vers le dortoir.

Marie prit la main de Lucie. « Tu sais, dans cette prière, il est important de te laisser aller à tous les désirs que Dieu nous permet d'aborder. Tu verras, au début, on ne le sait pas, mais tu sauras très vite ce qui fait plaisir à Dieu et donc au père Grégoire et à tous ceux qui travaillent pour nous. Même que pour ce soir, ils t'ont fait un cadeau de bienvenue... Tu as déjà gouté de la Marie Brizzard ? Tu vas voir, c'est très, très bon ! ».

Ce fut la première nuit de Lucie dans un pensionnat. Ce fut aussi la première fois qu'elle fut ivre. Ce fut également la première fois qu'elle sentit sur son sexe la chaude caresse de lèvres et de langues. Celles des jumelles. Ce fut la première fois qu'elle eut autant honte, la première fois qu'elle ressentit un tel trouble en son corps et en son âme, la première fois que son corps fut autant en émoi. Et, sans doute la première fois qu'elle se posa la question de savoir qui de Dieu ou du Diable lui adressait un message.

Lucie fut incapable de suivre le premier cours du matin, consacré à l'instruction religieuse. Entre un mal de tête aigu et une profonde perturbation liée aux évènements de la nuit, elle sentait sa raison chanceler. Les jumelles cependant se montraient fort attentives au mal-être de Lucie et lui expliquaient qu'elle venait de passer avec succès son examen d'admission dans l'établissement.

« C'est très important, tu sais » lui disaient-elles, « Dans ce collège, il faut qu'on sache si tu es capable de tout accepter. Juste pour savoir si tu pourras, quand Dieu te le demanderas, tout accepté de lui. Ici, c'est le père Grégoire qui représente Dieu et tu lui devras une obéissance absolue. Mais on peut te dire que déjà, tu as vraiment bien fait ce qu'il fallait »....

Elle poussa la porte de l'infirmerie sœur Clémentine était là, comme d'habitude...

Ma sœur j'ai très mal à la tête...

Entre Lucie, entre, la gamine n'était même pas étonné que la sœur connaisse son prénom...

Alors qu'est ce qui t'arrive

Rien j'ai mal à la tête...

Tien tu vas prendre un cachet trois fois dans la journée... elle lui donna une plaquette, Lucie la glissa dans sa poche...

Elle ne savait pas que les trois cachets étaient fortement dosés en androgène et en œstrogène.

Au déjeuner Lucie prétexta son mal de tête pour ne pas se rendre au réfectoire, les jumelles ne firent aucun commentaire...

Toute la journée elle évita de se retrouver seule avec les jumelle, elle priait le seigneur de lui venir en aide... Si dieu lui-même lui imposait cette épreuve, elle se devait d'obéir... Elle baissa les yeux, devint rouge écarlate, elle devait bien s'avouer qu'elle avait beaucoup aimé sentir la langue des jumelles sur son clito...

Dans le bureau le père Grégoire accompagné de ses deux lieutenants Eric et Christian buvaient un bon verre de bordeaux...

"Père Grégoire, les résultats scolaires de la petite Lucie ont beaucoup chuté en deux semaines... "

"Continuez, je m'occupe de ses parents... ne l'interrogez pas, ignorer la totalement, les jumelles font un excellent travail... "

"Elle boit pas mal, c'est Christian qui avait pris la parole...les trois hommes rirent, content de leur perversion... les jumelles voudraient savoir si elles doivent commencer à la doigter ?

"Oui qu'elles commencent mais pas question qu'elles la déflorent, c'est compris par contre son cul qu'elles ne rechignent pas, qu'elle la gode. Tu leur donneras quelques objets et donne leur aussi des revues pornos, il faut que notre petite Lucie, Lucie la pieuse découvre les bittes." Le père Grégoire était content, le vin était bon, les nouvelles étaient bonne...

Nous avons une demande de la part de Maitre Liber, j'ai pensé à la grosse Laurence, elle est un peu jeune mais ses résultats sont plus que nuls et pour une bonne note elle fera ce qu'on attend d'elle...

"D'accord...

" Avez-vous pris votre décision pour l'ouverture de la section des petites ? Les deux hommes guettait la réaction du père... ils ont une très forte demande de jeunesse, de chaires très fraiche...

Oui, il est temps de les exploiter un peu... nous avons les travaux de rénovation de la chapelle à financer...

Le soir venue Lucie se planta devant les jumelles, ces dernière fumait... elles fumaient un joint.

Qu'est-ce que tu fous la, tu nous lâches et maintenant tu es la ? ? ?

Je veux rester avec vous...Lucie se tenait tête basse, en position d'inférieur...

Une des jumelles se leva, tourna autour de Lucie, ses yeux brillaient...

D'accord mais à une condition...Lucie la regardait, attendant...

Tu vas aller dans les chiottes et te foutre à poil... complètement a poil.

Lucie mis quelques secondes à comprendre ce que disait la jumelle...

Tu obéis ou tu te casse d'ici ? Elles se fixaient, assise dans son coin l'autre jumelle regardait la scène en se caressant sous sa jupe.

Je ferais ce que vous voudrez... Lucie n'avait pas parlé mais murmuré...

Dans une cabine des toilettes elle retira ses vêtements l'un après l'autre, les jumelles la regardait...

Retire tes chaussures, je t'ai dit à poil compétemment, une des jumelle lui envoya une baffe, Lucie ne dit rien, elle retira immédiatement ses chaussures, ses chaussettes, elle hésita une seconde puis retira sa petite culotte.

Elle était nue des pieds à la tête devant deux filles de son âge dans un chiotte sale et puant...

Maintenant récite nous notre père... à genoux.

Lucie ânonna le nôtre père, perturbée par les odeurs nauséabondes qui montaient de la cuvette des toilettes et par le regard des jumelles posées sur son corps.

« Et maintenant récite de Je vous salue Marie en ajoutant à chaque fois que reviens le mot « Marie », « salope de Dieu ».

« Mais ce n'est pas bien ! » et Lucie reçut une seconde baffe...

« Sainte Marie, salope de dieu... Allez vas y ! Putain, tu vas obéir... la jumelle déchainé lui foutais baffe sur baffe, la pauvre Lucie perdu, pleurnichait, suppliait mais les deux filles n'étaient pas du tout décidé à lui foutre la paix... je te jure connasse que tu vas nous obéir... »

« Sainte Marie, sa...salope de dieu... » Et Lucie s'exécuta selon les vœux des jumelles...

"Plus fort... nouvelle baffe... une des jumelle lui attrapa les cheveux, elle avait son visage à deux centimètres du sien... assied toi sur la cuvette, cuisses grande ouverte... Lucie morte de peur mais aussi sans l'avouer d'excitation, s'assied sur la cuvette, ouvre ses cuisses, les jumelles la regardaient... bien on écoute..."

" Sainte marie salope de dieu... "

" Branle-toi en même temps... "

" Sainte marie salope de dieu... " De grosses larmes coulaient le long de ses joues mais obéissait servilement..."

" Dis-moi ma chérie, la fille parlait d'une voix douce, lui caressant les cheveux, Lucie toujours les jambes bien ouverte continuait de se caresser... tu ne crois pas que jésus était un peu pédé ? Hein qu'est-ce que tu en pense ? "

"Arrêtez s'il vous plait, arrêter... "

"Mais non on ne va pas arrêter maintenant... Branle toi, continue de te branler... ouvre ta chatte... voilà, c'est bien tu es une gentille fille... alors, on reprend... jésus il était pédé ou pas ? "

"Oui..."

" Oui quoi ? "

" Oui il était pédé... "

« C'est bien, et tu mérites une récompense... »

Noémie attacha alors au bras de Lucie, toujours nue, un lien de caoutchouc en lui recommandant de ne surtout pas bouger. Marie approcha une seringue et Lucie ne put s'empêcher d'avoir un sursaut de peur et demanda de quoi il s'agissait.

« C'est de la drogue... de l'héroïne, c'est fort mais tu vas voir, tu vas te sentir très, très bien, on te le promet ». Quiconque eût alors pu voir le regard des jumelles et leur sourire sadique, eût été alarmé. Mais Lucie était bien trop perturbée alors pour se rendre compte de rien...

C'est ainsi que Lucie âgé seulement de 11 ans prit sa première dose d'héroïne...

" Voilà ma belle ...on va bien s'occuper de toi, tu sais à partir de maintenant, on ne veut plus te voir lever le doigt en classe d'accord, elle parlait, lui caressait les cheveux... Lucie la tête embrouiller ne disait rien... c'est comme les devoirs, on ne veut plus que tu les fasses... d'accord ? "

Incapable de répondre la gamine hocha la tête, elle ne comprenait plus rien et curieusement s'en fichait royalement.

Elle était totalement hors d'état pour le reste de la soirée et fut mise au lit avant tous les autres pensionnaires.

Seul vint la voir avant le repas du soir, Eric, le surveillant général qui la trouva totalement groggy et en profita retirer les draps du lit et se branler devant la gamine et même, pourquoi pas, de lui enfoncer un peu sa queue dans la bouche.

Lucie gémit très vaguement mais décidément son sommeil était cataleptique et Eric en profita pour violer largement la petite bouche de Lucie et se répandre en elle.

Pendant ce temps, le père Grégoire et ses « assistants » réunis en comité avaient pris définitivement la décision d'ouvrir la section des petites qui seraient réservées aux fillettes de 3 à 6 ans.

Maître Liber, convoqué à la réunion en fut ravi, comme d'ailleurs tous les membres du petit comité.

« Il va de soi que ces petites seront –disons... Recrutées parmi des enfants sans soutien, sans famille, sans connaissance... Bref, des enfants qui ne pourront compter que sur notre soutien et, bien entendu, celui de certains de nos visiteurs charitables... Heu...Christian, je crois que vous connaissez certaines filières nous permettant de recueillir ces pauvresses.... Faites donc le nécessaire, mais très vite... Il me faut une première ...heu... Livraison en fin de semaine.

J'attire aussi votre attention sur la petite Lucie. Entre l'infirmière et les jumelles, elle est entre de bonnes mains. Elle boit déjà beaucoup, les jumelles m'ont dit qu'elle se tape de la marie brizard dès le matin... on lui a administré quelques pilules qui vont largement perturber son développement hormonal et je viens d'apprendre qu'elle vient de recevoir son premier shoot d'héroïne... Sauf erreur, mon cher Eric, je crois savoir que vous avez testé la disponibilité de cette petite salope lorsqu'elle est dans un trip pareil, n'est ce pas ?

Père Grégoire, il va de soi que j'allais vous en informer et que ce « test » n'avait d'autre objet que de vérifier sa réceptivité à toutes sortes d'introduction...

" Abimer la... détruisez la... j'invite d'ailleurs chacun d'entre nous à faire preuve d'autant de conscience professionnelle, me fais-je bien comprendre ?

Je vous précise d'ailleurs que ses parents viennent de partir en voyage pour un mois environ et qu'ils nous recommandent de bien nous occuper de leur fillette. Comment ne pas répondre à leurs souhaits...

Maître Liber, un peu ivre du vin de Moselle qui coulait largement, revint sur son projet en précisant que la jeunesse était une denrée éminemment périssable et que, selon lui, six ans était l'âge ultime de cette bienheureuse période.

Personne ne lui donna vraiment tort si ce n'est Eric qui, fort de son expérience du jour avec Lucie, insista cependant sur le corps plus délié que pouvait avoir une gamine de 10 ou 11 ans, sur la cambrure de ses fesses, sur les petits seins naissant et notamment ceux de Lucie aux pointes brunes étonnamment longues qui, à leur évocation, le faisait bander.

Il fut convenu que les petites seraient utilisables exclusivement pour des besoins excluant toute violence physique, le viol sous toute ses formes ne constituant pas, bien entendu une telle violence, tandis qu'il pourrait être envisagé, pour les plus grandes, outre évidemment le viol, des violences qui pourraient attirer quelques très riches amateurs de snuff movies qui, sans doute, n'hésiteraient pas à payer des fortunes pour assister à des séances en « life ».

N'oubliez pas mes amis, dit le père Grégoire en rotant, que nous devons financer les travaux de la chapelle.

Tous les participants tombèrent d'accord et Christian fut, là encore, mis à contribution pour activer ses réseaux qui lui permettront de proposer ce genre de spectacle à quelques connaisseurs avertis.

Si vous avez aimé ce texte, remerciez pierre, c'est une motivation pour continuer d'écrire.

Vous pouvez utiliser ce champ pour envoyer un message à l'auteur.

N'oubliez pas de préciser votre adresse email dans votre message si vous souhaitez une réponse de l'auteur.

Message limité à 1700 caractères. Les messages sont systématiquement modérés avant d'être envoyés.

Vous pouvez également contacter l'auteur par mail à cette adresse : pierre.lange4[_at_]hotmail.fr (remplacez [_at_] par @)