Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : Nico - Chapitre 15
Auteur : Mikou 11
Personnages : 1 homme, 1 femme, 1 adolescente, 1 petite fille
La plus jeune fille a 9 ans
Pénétration vaginale
Pénétration anale
Texte envoyé le 09/08/2013
Texte publié le 10/08/2013
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Résumé :
Les souvenirs de Nico
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
C'est vers l'age de deux ans que je me suis rendue compte vraiment de l'effet que produisait l'introduction du thermomètre dans sa petite rosace.
Jusque là, je lui prenait sa température en cas de nécessité, mais pas plus. J'ai fini par observer que, lors de la pénétration du tube de verre, mon bébé, quelque soit son état de fatigue ou d'énervement, se calmait et se détendait. Au fur et à mesure que le temps passait, j'apprenais à estimer le temps pendant lequel je devais la laisser ainsi en fonction de son état ... Rapidement les « prises de température » se firent plus nombreuses et plus longues pour certaines.
De plus, sans que je m'en rende vraiment compte, j'enfonçais le thermomètre de plus en plus loin, si bien que vers ses six ans environ, il entrait entièrement dans ses petites fesses sans que ça ne lui fasse jamais mal ; j'y portais attention.
Toute la famille et les amis proches sont au courant et peu ou prou on pratiqué sur elle ; sa grande sœur en particulier. Roseline a onze ans et demi ; Françoise l'adore et c'est réciproque ; de plus en plus souvent, c'est elle qui s'occupe de lui placer le thermomètre.
Une autre conséquence, très rapidement, j'ai pris l'habitude de prendre sa température plus souvent à ma fille aînée ; et c'est loin de lui déplaire... Elle ne tardera pas à rentrer. Auriez-vous l'amabilité de lui faire passer une petite visite médicale ; j'ai remarqué que vous aviez votre trousse.
– Ma foi, j'ai le temps, je l'attendrais donc...
Elle ne tarda pas. Une jolie petite fille aux longs cheveux auburn, qui embrassa sa maman, puis se précipita dans la chambre de sa sœur où il la suivit discrètement.
Elle embrassa sa petite sœur, puis retira à moitié le thermomètre qui l'empalait, comme pour lire la température...
– Tu veux le garder encore ?
– Ho oui !
Sa maman l'appela, elle replongea le tube de verre dans la pastille anale de sa petite soeur
– Roseline ma chérie, viens dans ta chambre, monsieur Nico accepte de te faire passer une visite médicale.
La fillette arriva tout de suite et gentiment lui fit une bise qu'il lui rendis en la serrant tendrement contre lui. Son petit corps souple coula sur le sien dans un abandon délicieux.
– Bien, je vous laisse tranquille...
Il glissa ses mains sous la petite robe et, saisissant la culotte de la fillette, il l'abaissa sur les jambes, qu'elle leva l'une après l'autre pour qu'il puisse l'en débarrasser.
– On commence par la température !
Il souleva la gamine dans ses bras et la déposa sur son lit sur le dos.
La robe fut retroussée sur le petit ventre et les cuisses écartées sur le merveilleux coquillage délicatement fendu, dont les deux babines baillèrent légèrement.
– Il y a un thermomètre dans le tiroir de ma table de nuit.
Il le découvrit facilement dans un tube de carton marron. C'était un instrument analogue à celui de sa sœur, sauf la couleur, vert clair.
Sorti de son étui, le thermomètre fut secoué vigoureusement, puis sucé soigneusement par Nico.
Il releva les jambes de la gamine, pour bien dégager la pâquerette rose ; de deux doigts il écarta les deux demi-pêches, passa le thermomètre plusieurs fois sur l'orifice pour le lubrifier avant d'entrer la pointe argentée dans l'œillet qui se prêta facilement a son effraction.
Une fois la pointe enfoncée, il attendis quelques instant puis introduisit doucement le tube de verre en deux ou trois aller et retour jusqu'au trois quarts de la longueur.
– Ta maman te l'enfonce aussi loin qu'à ta sœur ?
– Oh non ! Comme maintenant environ.
Sans rien dire, il anima le tube de verre d'un doux va et vient que la fillette accepta. Peu à peu le thermomètre s'enfonça plus loin entre les petites fesses,
– Je sens que vous poussez plus loin le thermomètre, ne me faites pas mal je vous en supplie !
– Mais non ma chérie, jamais ; appelle ta maman.