Seuls à la maison II

Je m'appelle Étienne et maintenant j' ai 12 ans, je viens d'une famille de chirurgiens réputés, mes parents le sont tous les deux. J'ai également deux soeurs. D'abord ma soeur cadette, Eliane, elle a tout juste neuf ans et elle s'occupe d'elle-même pratiquement toute seule. Elle est toujours joyeuse et de bonne humeur. Ensuite ma soeur ainée, Elizabeth, elle a 16 ans et a déjà trouvé son propre style, le soft Gothic. Elle dis ça à toutes ses copines, mais selon moi c'est seulement parce que nos parents ont refusé qu'elle aille ses faire mettre des percings ou tatouer. À ce titre, dans notre famille, nous avons tous les yeux bleu ce qui n'allait pas toujours avec son style. Elle cependant très gentille et intentionnée avec moi et Eliane. Nous avons également un chien que nous avons appelé Tout-gris, j'imagine que la couleur de ses poils ont un peu aidé. Et nous avons aussi une chatte qu'Eliane a insisté pour qu'on l'appelle Lupee (à lire : loupi).

En dehors de ma vie familiale, j'ai aussi un bon copain qui s'appelle Cédric, il est enfant unique du coup il presque tout le temps chez nous.

Un jour, je rentrais de l'école, avant les vacances d'été. J'étais très heureux car maman et papa étaient tous les deux présent au repas. Eliane aussi était contente, enfin plus que d'habitude. Elizabeth leurs offrit même un sourire ce qui arrivait rarement à leur égard. Nous avons passé un repas exceptionnel. Eliane nous avait raconté comment une fille de son groupe de théâtre s'était mise à improviser devant l'enseignante car elle avait oublié sont texte. Papa quant à lui nous raconta que son assistant avait maladroitement échappé ses pense-bête sur le sol de la salle de cour-conference tout en s'excusant, selon papa il avait du s'excuser une bonne trentaine de fois en une heure. Le dessert se déroula dans la même ambiance. Après avoir terminé, papa et maman nous réunir.

– Les enfants, commença maman, votre père et moi-même devons nous absenter pour une conference de chirurgiens à laquelle nous participons, nous ne serons absents que le week-end et lorsque nous rentrerons, nous irons tous ensemble manger au restaurant, d'accord ?

Eliane répondit positivement avec un grand sourire, j'en fis de même. Elizabeth, ne l'avait pas encore bien pris la nouvelle.

– Sales hypocrites !, leur cria-t-elle avant d'aller s'enfermer dans sa chambre. Même si elle était froide par moment, je n'aimais pas voir Elizabeth triste. Je partis vers sa chambre en saluant mes parents.

– Liza !, l'interpelais-je devant la porte de sa chambre fermée, Liza ouvre-moi !

– C'est déjà ouvert, petit idiot, entendis-je avec un léger ton d'humour, mais surtout beaucoup de tristesse. J'entra dans sa chambre qui était un peu plus noire que la moyenne et m'assis au près d'elle sur son lit.

– Tu sais, Liza, ils ne pensent pas à mal en faisant ça, ils veulent juste aider d'autres gens à en sauver d'autres.

– Je me sens ridicule maintenant à me faire faire la morale par mon petit frère, dit-elle d'une voix un peu moins triste, mais triste quand même.

– Mais non voyons ! Je suis ton frère et un frère se doit de consoler ses soeurs lorsqu'elles sont tristes, non ?

– Oui, me confirma-t-elle avec un petit sourire et quelques larmes qui avaient un peu défait son maquillage ce qui la rendait plus chaleureuse.

– Aller dans mes bras grande soeur, dis-je en ouvrant les bras. Elle n'attendit pas avant de me prendre dans ses bras. Je pouvais sentir son collier avec une lourde croix métallique se cogner contre moi.

– Tu es vraiment le meilleur frère qui existe, me complimenta Elizabeth.

– N'y pensons plus et commençons plutôt à prévoir ce que nous allons faire.

– C'est vrai, ils n'ont pas dit qu'on nous gardais.

– Oui ! Nous serons tous les trois seuls à la maison !

La soirée se passa plutôt bien, même si Elizabeth s'était tout de même résignée à rester dans sa chambre. Le lendemain matin, Je me fis réveiller à ma grande surprise par Elizabeth et non par Eliane.

– Réveille-toi, frérot !

– Quoi ?, dis-je encore endormi, mais je fus vite réveillé lorsque je vis Elizabeth. Elle avait coiffé ses cheveux noirs en deux couettes, elle portait un de ses fameux colliers à pointes avec un chandail noir à manches courtes très moulant qui révélait les courbes de sa poitrine en croissance et sa taille de bonne forme, ni trop mince, ni trop large. Elle portait également une jupe style collégienne noire lignée horizontalement rouge et des chaussette aux motifs identiques qui remontait jusqu'à mi-cuisse. Elle était séduisante, très séduisante. Je ne pus réprimer mon érection, combinée à mon érection matinale. Elizabeth le remarqua toit de suite.

– C'est moi qui t'excite comme ça ?

– O-o-ou-oui, bafouillais-je en rougissant.

– Oooh comme tu es craquant, pour te remercier pour hier, je vais te faire une surprise.

– Ahh oui !

– C'est la première fois que je fais ça, alors je vais faire de mon mieux.

Je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire. Elle souleva mes couvertures et mît son visage au niveau de mon entre-jambe et retira ce que je portais, dévoilant ainsi mon pénis bandé.

– Tiens, J'ai touché le gros lot !, s'exclama-t-elle.

Elle se mît à me lécher le membre et je sentis à ce moment un frisson de bienêtre inconnu. Puis elle finit par le mettre dans sa bouche, alors la sensation s'intensifia. Elle alternait les moment où elle avait mon pénis au fond de sa bouche et où elle n'en avait que le bout à une vitesse qui ne cessait d'accélérer. Je profitais des sensations que me donnait ma soeur avec sa bouche. Après quelques minutes à enter et sortir de sa bouche, je sentis quelque chose monter en moi, ça voulait sortir, ça allait sortir.

– Liza, je sens quelque chose qui va sortir, l'ai-je prévenu, mais elle accéléra ses mouvements de bouche. Je suppose que, par réflexe, je pris la tête de ma soeur et enfonça ma queue le plus profond que je pouvait et laissa sortir ce que j'avais senti dans le fond de la bouche d'Elizabeth. Ça sortit quatre fois et j'entendis Elizabeth déglutir bruyamment pour avaler ce qui était sortir de mon pénis. Elle resta comme ça quelques secondes pendant lesquelles je perdis le contrôle de mon corps et sans le vouloir, je me mis à faire pipi dans sa bouche. Je tenta de la prévenir, mais elle ne bougea pas et continuait d'avaler mon pipi.

Elle lâcha ma queue de sa bouche et s'essuya délicatement la bouche du revers de la main. De mon côté, mon pénis était un peu noir à cause du rouge à lèvres d'Elizabeth.

– C'est pas si terrible que ça.

– C'était quoi ? !, m'exclamais-je.

– C'est ce qu'on appelle une pipe et à quand tu t'es senti bien c'est que tu as eu un orgasme et ça t'as fait jouir et tu as éjaculé dans ma bouche et ce qui est sortit ton pénis c'est du sperme.

Je restais sans voix devant tant d'explications.

– Ça t'a plus ?

Je fis oui de la tête avec un sourire satisfait sur mon visage.

– La prochaine fois, on essaiera dans mon vagin.

Dans son vagin ! Elle avait l'intention de me laisser mettre mon pénis son vagin. J'étais impatient que ça arrive.

À suivre...

Seuls à la maison II

par Midnight

Chapitre 1