Les garçons de ma classe

Il était presque 14h et les cours allaient bientôt commencer quand les garçons arrêtèrent enfin de me pénétrer :

« Allez rhabilles-toi mais je garde ta culotte et ta brassière ! Me dit Julien. Au fait, tu feras ce que nous voulons pendant deux semaines ! Et surtout ne t'avises surtout pas de dire aux autres ce que l'on t'a fait !

– Ce n'était pas dans mes intentions.

– Et rendez-vous tous les jours en salle de travail même quand on commence à 13 heures !

– OK, OK ! Vous me laissez sortir maintenant ? Faut que je sois à l'heure en cours, moi !

Après le cours d'histoire-géographie, de musique et de Latin, je rentrais avec Dana, une amie, qui voulait qu'on rentre avec Félicité, Aurélie, Emma et malheureusement pour moi, Julien.

Julien n'arrêtait pas de regarder mes seins ce qui me mit mal à l' aise. Dana s'en aperçut et me demanda :

« T'as pas l'air dans ton assiette toi. Y'a quelque chose qui va pas ?

– Non, non, ça va, chuis juste très fatiguée.

– Bon, on arrive devant chez moi, à plus !

– A plus ! »

Le lendemain, j'allais chercher Dana comme tous les matin avec Antoine, qui prenait le même bus que moi. J'avais mis un jogging avec un débardeur, un de mes T-shirt préféré et j'avais mis une brassière de sport et une culotte propre. Antoine m'embrassa devant l'immeuble de Dana et en profita pour mettre une main sous mon débardeur :

« On fait comme si rien ne s'était passé, hein ? Continue à me pousser comme d'habitude. Il faut pas que Dana s'aperçoive de quelque chose, OK ?

– OK »

Quand Dana arriva, nous fîmes comme si de rien était et nous arrivâmes au collège. Je courus pour avoir un casier (on devait prendre un casier tous les matins et enlever le cadenas le soir) je pus en avoir un et j'allais rejoindre Werner pour attendre la sonnerie avec lui.

Enfin la sonnerie sonna et nous dûmes monter en cours de maths.

Malheureusement, à cette heure, Julien était assis devant moi et n'arrêta pas de me regarder la poitrine, puis m'envoya un petit mot qui disait :« Alors la pute, est-ce que tu as mis un soutif ? » Je lui répondis : « Si tu entends par soutif, une brassière de sport, alors oui, j'ai mis un soutif. » Il me répondit à nouveau : « OK, alors rendez-vous après avoir mangé en salle de travail. Et soit en avance ! »

Après l'heure de maths, nous avions trois heures de sport. Dans le car, Julien s'arrangea pour se mettre derrière moi et Werner et demanda à ce dernier :

« Alors, tu les a vus les seins de ta petite copine ? Parce que moi je les ais vu et ils sont supers beaux ! Elle devrait te les montrer !

– Alors un, ce n'ai pas ma petite copine, c'est ma meilleure amie ! Et deux, ça m'étonnerait qu'elle te les ait montrés puisque elle veut pas que je les touche même à travers son T-shirt et son débardeur ! Pas vrai Mélia ?

– Ça c'est sûr ! »

Dès que nous fûmes arrivés au stade, je me dépêchais d'enlever ma chaîne et mon bracelet pour aider la prof. Alban, un de mes meilleurs ami, était en train d'aider la prof à porter des plots. Je les rejoignis et aidai à placer les plots sous les directives d'Alban, quand à un moment où j'attendais ses ordres, il me toucha les fesses. Je fut stupéfaite de ce geste mais restais silencieuse en pensant qu'il avait dût se tromper et ne pas vouloir faire ce geste mais il continua et me pelota les fesses si bien que je dût lui demander en murmurant :« Arrête s'il te plaît. Pourquoi tu fait ça, Tu es un de mes meilleurs amis pourtant ?

– Je suis désolé Mélia. Ça m'a pris d'un coup comme ça. Tu me pardonnes ?

– Bon d'accord. »

Quand nous eûmes terminé, nous rejoignîmes le groupe pour l'échauffement. A la fin du cours, après avoir récupéré mes affaires dans les vestiaires, la prof demanda à me voir :« J'aimerai savoir ce que vous faisiez tous à l'heure, Alban et toi. Je l'ai vu toucher des partie disons... sensibles de ton corps.

– Il m'a peloté les fesses tout à l'heure si c'est ça que vous voulez dire ?

– Quoi ! Et tu étais d'accord ?

– Non, mais après il s'est excusé, donc pour moi c'est fini.

OK, alors si pour toi, l'affaire est close alors c'est bon. Au fait tu peux m'aider à ranger le matériel ?

D'accord ! »

Je l'aidais donc puis nous rentrâmes au collège avec la classe. Vue que s'était déjà midi, je n'avais pas vraiment hâte d'être en salle de travail...

A suivre...

Les garçons de ma classe

par mélia19

Chapitre 2