Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : Martin - Chapitre 2
Auteur : Gaetan
Email : gaetan.dresse[_at_]gmail.com
Personnages : 1 adolescent, 2 petits garçons
Le plus jeune garçon a 9 ans
Masturbation
Homosexualité masculine
Contrôle de l'esprit
Non-consensuel
Texte envoyé le 15/10/2013
Texte publié le 15/10/2013
Creative Commons 2013 - Gaetan. Certains droits réservés.
Ce texte est mis à disposition sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Vous avez l'autorisation de le reproduire et de le diffuser librement à condition de respecter la paternité du texte et de conserver les en-têtes de l'histoire. Vous n'êtes pas autorisé à faire un usage commercial de ce texte, toute modification du texte doit être distribuée sous licence identique.
Résumé :
Martin ne se satisfait pas de ses voisins de chambrée. D'autres convoitises lui guident sa conduite... mais...
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
– T'es un pédé et tu veux toucher ma bite.
– .... Martin ne sut que répondre et rougit.
– T'arrêtes pas de me mater et tu verrais ta tête !
– ... Non... je...
– Ecoute, c'est simple, tu n'es pas pédé et tu t'en vas tout de suite ou tu es pédé et tu restes pour me sucer. Alors est-ce que tu es pédé ?
– ... heu...
Martin était tourmenté. Il avait peur d'être dénoncé et que tout le monde sache ce qu'il était mais d'un autre côté cette occasion ne se représenterait pas et Matéo l'avait invité. Il répondit donc :
– Ouais, je suis pédé
– OK. Mais c'est à mes conditions. Tu te fous complètement à poil, tu me suces en te mettant devant moi à genoux en les mettant de chaque côté de mes jambes. Tu ne te branles pas ici même quand tu me suces. Tu me fais jouir et tu t'en vas dès que je te le dis.
Martin était prêt à tout pour assouvir le besoin qui le brûlait
– OK dit donc Martin.
– A poil
Martin n'hésita pas une seconde, il se retrouva très vite totalement nu, la bite raide montrant bien l'état d'excitation sexuelle dans lequel il était.
Il se plaça entre les jambes de Matéo, caressa les cuisses du garçon mais se fit rappeler à l'ordre, il était là pour le sucer pour donner du plaisir, pas pour en prendre lui.
Martin était prêt à tout. Il obéit et après avoir baissé l'élastique du pyjama goba la petite bite et ses noisettes. Martin était ivre de sensation, il ne fut pas surpris de trouver un sexe tout mou, ratatiné. Il n'analysa pas que le gamin n'était pas excité par cette situation. Il prit de suite la bite toute jeune qui ne tarda pas à se dresser. Ce n'était que la deuxième expérience de pipe qu'il avait, il n'était pas un expert, pas encore. Il se contenta de monter et descendre de quelques centimètres pour toujours avoir la bite dans la bouche. Il ne pensa pas à caresser les couillettes. Il pompait. Cela dura plusieurs minutes. Le jeune garçon commençait quand même à soupirer sous ses mouvements. Martin sentit les cuisses qui commencèrent à se durcir. Le petit corps bougea de plus en plus, ondula puis enfin se cabra dans un tout petit râle. Martin était aux anges, il avait réussi à faire jouir le petit blondinet, il avait vu sa bite, il l'avait même sucée. Martin était étouffé par son envie de jouissance, il aurait aimé toucher ces cuisses mais il n'osait pas, il était aux ordres du petit blondinet. Sans vraiment s'en rendre compte, Martin s'était redressé, assis sur ses talons et se masturbait doucement. Nouveau rappel à l'ordre, il n'avait pas à se branler là et il n'avait pas eu ordre de se redresser.
Martin se pencha de nouveau et repris la bite un peu moins dure dans sa bouche qu'il se remis à sucer avec plaisir. C'est alors qu'il fut plus que surpris. Une main s'était glissée entre ses jambes écartées et lui tenait les couilles. Pour la bite c'était tout autre chose, tendue comme elle était il n'était pas facile de l'attraper en passant par derrière ! Une voix qu'il ne connaissait pas se fit entendre :
– Alors comme ça, on se tape les plus petits ! Ne bouge pas, reste comme tu es, tu es très bien comme ça.
– ...
– Ecoute bien, tu viens de te faire mon petit frère, alors c'est simple. Je peux dire partout que tu es un pédé, je peux aller te dénoncer aux surveillants...
Martin ne trouvait rien à redire.
– Je vois que tu es d'accord avec moi, tu ne protestes pas. Je dois t'avouer que moi j'aime bien les petits culs... comme le tien par exemple. Je te propose un marché : on ne dit rien mais lorsque j'aurai besoin de toi, tu viens sans discuter.
– ...
– J'écoute ta réponse
– Oui...d'accord. . Martin n'avait guère le choix.
– Très bien
Sur ces mots le grand frère libère les couilles de Martin et écarte les fesses de Martin. Un doigt, non lubrifié, cherche à se glisser dans l'orifice... et y entre sans trop de difficultés.
– Oh, à ce que je vois, le passage est assez souvent utilisé.
Un second doigt, mouillé, cherche alors l'entrée et finit par entrer en provocant quelques cris étouffés et contractions de la part de Martin.
– Mais c'est très bien ça ! Tu ne vas pas tarder à savoir ce que c'est que d'avoir une bite dans le cul toi. Encore une chose, dès que Matéo aura une envie, tu devras lui obéir. Compris ?
– Oui.
Cela ne semblait pas le pire pour Martin mais il ne savait pas ce que l'avenir allait lui réserver. Martin n'avais plus qu'une envie, retourner dans sa chambre, son envie sexuelle était coupée.
– Une dernière chose avant de partir. Ce n'est pas la peine que tu ailles te branler en pensant à mon petit frère alors tu vas te branler ici devant nous deux. Tu te mets à genoux et tu te branles. Tu ne fais pas traîner, tu te branles le plus vite que tu peux.
Martin était horriblement gêné mais de disait que se branler en voyant Matéo nu, c'était une belle consolation. Martin descendit du lit, alla se placer à genoux sur le tapis de la chambre et releva les yeux... Matéo était maintenant totalement caché par les couvertures, Martin n'avait plus la moindre vision de ce corps merveilleux. Il vit aussi le visage du grand frère qu'il identifia tout de suite. Il le connaissait de vue. C'était un grand de treize ans, Thomas. Martin le regarda bien, il avait sous les yeux sont futur enculeur, Martin savait qu'il y passerait prochainement. Cette perspective l'humiliait un peu mais l'excitait également. Il aimerait pourtant être enculeur avant d'y passer.
Martin prit sa petite nouille entre deux doigts et commença la manipulation pour la faire durcir, ce qui ne prit qu'une petite minute. Il activa alors son geste le plus rapidement qu'il put. Assez vite il décolla les fesses des talons, sentit sa respiration s'accélérer, son bas ventre onduler. De l'autre main il se palppa les couilles, se caressa les cuisses.
– Tu n'es pas là pour te faire du bien. Branle toi un point c'est tout ! Et active !
Martin fut un peu déstabilisé dans sa montée vers le point ultime. Il remit sa main le long de sa cuisse et continua sa branlette.
Il renversa la tête en arrière et la contraction salvatrice se produisit. Il jouit, à sec. Si de temps à autre, il avait une goutte de liquide, cela était de plus en plus rare au vu de la fréquence masturbatoire à laquelle il soumettait sa bite de jouvenceau. Avec ses onze ans, cette petite bite fonctionnait bien répondant sans défaillir aux exigences de son jeune propriétaire. Cette jolie petite bite réactive ne pouvait toutefois pas produire ce qu'elle n'était pas encore en âge de faire. Cet orgasme n'avait rien à voir avec ce qu'il avait ressenti la veille mais Matéo était doublement soulagé. Il avait répondu à ce qu'on lui avait demandé et sa tension sexuelle était un peu retombée.
Il put alors se rhabiller et, l'expression est tout à fait appropriée, la queue pendante il rejoignit son lit où il retourna dans sa tête les événements de la soirée. Il en arrivait à la conclusion qu'il s'était fait piégé par Matéo. Ce dernier rabattait pour son grand frère !
Il allait se faire défoncer la pastille... Martin y pensa tout à la fois avec crainte mais aussi avec un frissonnement d'envie. Il mouilla ses doigts. Le premier entra sans aucune difficulté, la taille étant parfaitement adaptée à ce passage. Pour en entrer deux ce fut un peu moins aisé mais la force de l'habitude fit que cela ne prit guère plus que quelques secondes. Martin aborda alors la situation avec trois doigts. Il n'y arriva pas. Les jours suivants, il persista et finalement les trois doigts pénétrèrent et Martin réussit même à les faire tourner. Il se sentait prêt mais il oubliait que s'il réussissait bien à mettre trois doigts, il s'agissait de trois doigts de petit garçon. Le diamètre d'un sexe de jeune ado c'était encore une autre histoire.
Tout cela ne l'empêchait toutefois pas de se livrer à des activités réprouvées par la morale mais O combien attendue par ces jeunes corps envahis de désir de plaisir.