Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : Cousins - Chapitre 1
Auteur : filousailor
Email : filousailor[_at_]gmail.com
Personnages : 1 homme, 2 adolescents
Le plus jeune garçon a 12 ans
Exhibitionnisme
Première fois
Masturbation
Pénétration anale
Homosexualité masculine

Texte envoyé le 21/10/2013
Texte publié le 21/10/2013

©2013 - filousailor. Tous droits réservés.

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Résumé :
Mon vécu à l'âge de 12a

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
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Cousins

par filousailor

Chapitre 1

Cette année 70 fut pour moi le départ de ma sexualité et de mon orientation sexuel. Ces deux mois sont gravés à jamais dans mon esprit, et même encore aujourd'hui j'ai l'impression que cela vient de se produire.

CHAPITRE 1

Depuis toujours, je passais un mois de vacances l'été avec mon cousin Jean Eric chez notre oncle Patrick et ma tante Marie Louise. Ils habitaient dans la Drôme une ferme un peu isolée. Ils avaient deux enfants, nos cousins, Damien et Claudine.

Mon père, celui de Jean Eric et Marie Louise étaient frères et sœur. Ils avaient été élevés par des parents naturistes. Donc nous, leurs enfants étions très peu pudiques.

Ainsi toutes les années je retrouvais en juillet Jean Eric. Nos cousins Damien et Claudine était eux en colonie et ne rentraient qu'en aout. Notre chambre était à l'étage. Pour nous laver le soir on descendait nu jusqu'à la salle de bain ou l'on s'amusait plus avec l'eau que ce que l'on se lavait. C'est pour cela que tous les deux ou trois jours Tatie ou Tonton venait nous laver. Lavage dans tous les petits coins y compris fesses et sexe. Tatie, décalottait, lavait comme il faut sans trop insister mais inexorablement nos queues se dressaient. Quand c'était Tonton je dirais qu'il insistait beaucoup plus sur nos fesses et nos sexes. Notre érection était alors maximale. Souvent dans la journée on s'amusait avec des seaux d'eau ou des tuyaux d'arrosage dans la cour. On se mettait nu et on se préoccupait peu des éventuels visites. Le soir dans notre chambre on jouait beaucoup au « docteur » se tripotant et se masturbant.

L'été 70, on allait passer les deux mois chez Tonton. Pour la première fois on sera au mois d'aout avec nos cousins Damien et Claudine.

Je venais d'avoir douze ans et Jean Eric presque treize.

Dès notre arrivée, le premier soir on commença à se déshabiller pour aller se doucher. Surprise. Nos sexes avaient un peu grandi et Jean Eric avait même un léger duvet au pubis. On hésita à descendre nu jusqu'à la salle de bain. Finalement on remit nos slips. On commença à se doucher. La douche était également prétexte à se toucher et nos queues devinrent dures. On notait également que la taille en érection avait un peu augmenté. A ce moment là Tatie entra. On eu un réflexe de pudeur, que l'on avait jamais eu, certainement lié à la pré-puberté.

– C'est nouveau les enfants ? On se lave avec une main qui cache le zizi ? Aller, Je vais vous laver...

Elle commença par Jean Eric. Il enleva ses mains découvrant sa queue déjà tendue.

– Et bien mon grand ça pousse tu es bientôt un petit homme.

Il ne répondit rien esquissant un sourire gêné. Elle commença à le laver avec un gant comme auparavant. Il me confia après qu'il voulait débander mais plus il y pensait plus sa queue était dure. Elle arriva sur le sexe. Elle décalotta frottant énergiquement le gland. Il avait des mouvements instinctifs de recul. Moi, je regardais le spectacle en érection complète, excité à la vue de mon cousin mais également à l'idée que ça allait être à mon tour.

La porte s'ouvrit de nouveau. C'était Tonton.

– Houlà ! ! dit-il. Ce n'est plus des petits haricots blancs ça pousse.

Tatie lui demanda alors de me laver ainsi elle pourrait finir le repas. Jean Eric se rinça et je pris sa place. Tonton commença à me laver le dos à main nue contrairement à Tatie. Arrivé sur mes fesses il passa plusieurs fois sa main dans ma raie. Il me retourna pour me laver devant. Il commença par le visage et lentement descendait. Arrivé à hauteur de mon sexe il l'empoigna, le décalotta puis savonna. Je trouvais qu'il insistait bien sur ma queue et mes boules à croire que j'avais le zizi très sale...Je sentais le plaisir arriver.

– Arrête Tonton, ça me fait trop de guili.

– Tu n'aimes pas ça ?

– Si, mais....... Eeeeeh........

– Tu va me faire croire qu'avec Jean Eric vous ne vous faites jamais des choses ? Tu ne lui dis pas d'arrêter ?

– Non.....

Il continuait à me frotter. J'avais très envie de jouir mais j'avais honte devant lui. Je me cambrais de plus en plus. D'un coup des contractions m'envahir. Je jouissais. Je n'éjaculais pas encore et n'avait qu'un peu de liquide qui mouillait mon gland. Avec le savon tonton ne vit rien. Il souri.

– Alors tu n'es pas mieux maintenant ?

– Si........

– Je suis un garçon comme toi je sais ce que c'est. Allez rinces toi.

Il se tourna alors vers Jean Eric. Celui-ci avait sa queue à la main.

– Et toi Jean Eric, tu ne veux pas pareil ?

– .............

– Approches.

Jean Eric s'avança dans le même état d'esprit que moi. Honteux devant tonton mais d'un autre côté une envie de jouir qui était devenu impérative.

Tonton lui prit alors la queue et le masturba. Au bout d'une dizaine d'aller retour, Jean Eric jouit. Il laissa échapper un petit jet de liquide presque incolore.

– Oh mais tu es un homme maintenant lui dit Tonton.Ca fait longtemps que tu gicles ?

– Trois mois à peut près.

– Bravo. Ca doit commencer à te démanger ! ! ! Je pense que le soir vous n'avez pas fini de vous amuser tous les deux ! ! !

Il sortit alors de la salle de bain. On se regardait avec Jean Eric. Moi je n'avais encore jamais vu gicler un garçon. Un sourire de soulagement nous inonda.

On mit notre pyjama et on alla diner.

Une fois de retour dans notre chambre on reprit nos jeux habituels On se glissa dans le même lit, on se mit nu et on se tripota. Jean Eric constata la goutte qui perlait sur mon gland quant à lui je le fis gicler sur son ventre. Sur ce on s'endormit sans s'en rendre compte.

Au matin Tatie vint nous réveiller et vit outre que l'on n'avait plus de pyjama mais que l'on était dans le même lit.

– Bon ça va être pratique. Vous continuerez à dormir dans le même lit cela me fera des draps en moins à laver. Quant au pyjama si c'est pour les quitter, vous me le dites de suite ça m'évitera de la lessive.

Donc les nuits suivantes on se couchait nu et dans le même lit.

Déjà la fin de la première semaine nos jeux masturbatoire devenaient presque de la frénésie. Il nous arrivait même de nous branler dans la journée dans les champs ou les poiriers.

Le samedi Tonton nous proposa d'aller au « lac » dimanche matin. En guise de lac c'était un trou d'eau adossé à une falaise sur une colline. Pour y aller il fallait marcher environ une heure. Comme à notre habitude on alla se coucher afin de se faire jouir et également tout excité à l'idée de monter au lac. C'est alors que Jean Eric me raconta un livre qu'il avait vu cet hiver avec des hommes et des femmes en train de faire l'amour. Aussi il nous vint à l'idée de nous mettre l'un sur l'autre. Je me mis sur le dos, Jean Eric s'allongea sur moi en glissant sa queue entre mes cuises juste en dessus de mes boules. Instinctivement il fit des mouvements de va et vient et finit par jouir. Cela m'avait fort excité. Il se mit alors sur le dos.

– Non Jean Eric attends. Je vais faire comme si je te le mettais dans les fesses.

Il se mit alors à plat ventre. Je m'allongeais sur lui glissant mon zizi entre ses cuisses juste sous se fesses. Je ne tardais pas à jouir à mon tour. Alors que j'étais en pleine jouissance la porte s'ouvrit. C'état tonton. On se retourna aussitôt. Ma queue était encore secouée de spasmes.

– Et bien c'est du propre. Dit-il. Allez dormez on en reparlera demain.

On était à la fois surpris de sa réflexion car lui-même nous avait déjà fait jouir et inquiet de ce qu'il allait nous dire.

Dimanche matin on se leva, on s'habilla et on descendit déjeuner. Tonton et Tatie était là, mais pas un mot sur hier soir.

On partit donc au lac. Il nous parla de choses et d'autres mais pas de hier soir.

Une fois arrivé, il nous fallut que quelques secondes pour nous mettre nus pour aller dans l'eau. Tonton lui aussi se mit nu. On l'avait déjà vu nu mais à chaque fois ce n'était que subrepticement. Son sexe était au repos très large avec des grosses couilles. Il vint avec nous dans l'eau ou l'on joua un moment.

Une fois sorti on se sécha et on s'allongea.

C'est alors que Tonton nous dit :

– Les enfants ça ne semble pas, mais ici le soleil tape très fort. Je vais vous mettre de l'huile.

Il s'agenouilla entre nous deux tourné vers Jean Eric. Etant allongé je ne voyais que le dos et les fesses de tonton et la moitié de la poitrine de Jean Eric

Il commença par son dos puis descendait doucement. Il était sur les fesses ou il resta une bonne minute. Je vis alors le visage de Jean Eric grimacer. Je ne savais pas pourquoi. Au bout d'un moment il le fit mette sur le dos et commença sur sa poitrine et descendait vers son sexe. Au mouvement du bras de tonton et à la tête de Jean Eric je compris qu'il était en tain de le branler, ce qui eu pour effet de me mettre en érection.

Jean Eric éjacula sur son ventre. Il s'assit et je vis son visage se bloquer en direction du bas ventre de tonton. Que se passait-il ?

– Allez Jean Eric va vite dans l'eau pour rincer ton ventre.

Jean Eric se leva et alla dans l'eau. Tonton se releva à moitié et se tourna vers moi. Je vis alors son sexe dressé. Il me semblait monstrueux à côté des nôtres. Il se remit à genoux et commença à m'enduire le dos. Arrivé sur les fesses il dériva vite dans ma raie. Puis ses doigts frottaient en rond mon petit trou tout en poussant. C'est alors qu'un de ses doigts me pénétra. Je compris alors la grimace de Jean Eric. Il faisait des va et vient. Puis essaya d'en glisser un deuxième. Il pénétra également. C'est alors qu'eu lieu entre nous deux une discussion. Mais, je m'en rendrai compte plus tard, nous n'étions pas du tout sur la même idée. Lui me parlant sexe à demi-mot et moi prenant les mots dans leurs sens littéral.

– Alors mon Daniel vous jouez depuis longtemps avec Jean Eric ?

– Oui bien sur chaque fois que l'on se voit

– Tu aimes bien quand il te domine ?

(Me domine ! ! ! qu'est ce qu'il raconte)

– Oui tonton c'est bien mais moi aussi j aime bien le dominer.

– Vous faites souvent votre jeu ou vous ne faites plus qu'un ?

(Le soleil lui tape sur la tête. Il ne sait plus ce qu'il raconte)

– Oui tonton ça fait longtemps qu'on fait les mêmes jeux.

– Et sa bouche elle te plait ?

– Me plais ? ? ?

– Oui tu aimes la lui remplir ?

(Ca devient grave cela ne veut rien dire ce qu'il raconte)

– Eeeeeeeeeh........Oui tonton

Si j avais su cela avant dit il.

Puis il je mis sur le dos. Il étala l'huile sur mon ventre puis sur mon sexe et à mon tour me branla sous le regard de Jean Eric sorti de l'eau. Je m'étais mis en appuie sur les coudes afin de mieux voir son sexe qu'il tripotait de temps en temps. J'étais moins gêné que la première fois et je me laissais faire. Une onde de plaisir commençait à m'envahir. Puis ce fut l'extase. A ma grande surprise, j'eu un petit jet de liquide sur mon ventre ! ! ! Ca y est mo aussi j'éjaculais.

Sans perdre un instant Tonton s'allongera à plat ventre à son tour.

– Allez les enfants à votre tour de me mettre de l'huile solaire.

On se regarda avec Jean Eric, on se mit à genoux de part et d'autre de tonton et on commença à étaler dans son dos. Tout doucement on s'approchait de ses fesses. On étala chacun d'un côté et de caresser ses fesses nous fit bander tous les deux On commençait à descendre sur les cuisses quand tonton nous dit :

– Eh les enfants vous n'oubliez rien ? Moi je vous en ai mis de partout. Faîtes exactement comme je vous ai fait.....

Il voulait donc qu'on lui en mette dans la raie et qu'on enfonce nos doigts. N'osant pas c'est Jean Eric qui le fit. Je vis sa main se mettre verticale et son doigt s'enfoncer.

– Daniel, toi aussi je veux sentir tes doigts. Mets-le avec celui de Jean Eric.

Ma main commença dons à glisser dans sa raie. Arrivé vers son anus je glissais mon doigt au côté de celui de Jean Eric et tous les deux nous avons fait des va et vient.

Après avoir fini les jambes, Tonton se retourna. Sa queue ressemblait à un pieu. On commença à étaler l'hui le sur son torse tout e descendant. On se regarda avec Jean Eric en pensant la même chose : on allait devoir en mettre sur sa queue.....

On en était au ventre puis au pubis. Jean Eric s'approchais du sexe mais sans toucher. Moi je faisais l'aine les yeux rivés sur son sexe.

– Alors les enfants dit-il, je veux que vous me fassiez comme je vous ai fait.

Jean Eric sans hésiter remonta sur la queue de Tonton et commença à le masturber. Moi je caressais les boules. Mon excitation était à son comble. Je mourrais d'envie de branler cette queue et en même temps je n'osais pas car c'était tonton.

Jean Eric enleva sa main et me fit signe de la tête que c'tait à mon tour.

Je branlais donc sa bite et de l'autre main me tripotais. Son gland était violacé gorgé de sang. Ses couilles que malaxait Jean Eric commençaient à remonter. Tonton éjacula violemment sur son ventre. Ma main était pleine de sperme.

J'étais quelque part fier d'avoir fait jouir tonton.

– Vous êtes merveilleux les petits. On va s'amuser cet été ! ! ! Vous ne voulez pas faire devant moi c que vous faisiez hier soir ?

– Quand tu nous à surpris ? lui dis-je

– Oui

– Si tu veux

– Je t'ai vu faire je voudrais voir Jean Eric te le faire

– Ok lui dis-je.

Je m allongeais donc à plat ventre su la serviette. Je serrais mes jambes et Jean Eric mis ses genoux de part et d'autre. Il e mit en appuie sur les mains pour glisser son sexe entre mes cuisses et se branler.

Tonton l'arrêta.

– Non Jean Eric. Il faut que Jean Eric soit à genoux en appuis sur les coudes

Sans réfléchir je pris la position désirée attendant que Jean Eric me glisse son sexe entre les cuisses. Je senti les gros doigts de tonton appuyer sur mon anus. Il dit à Jean Eric :

– Avances toi plus prêt et mets-lui dans son trou.

Je pensais donc que Jean Eric allait me mettre à son tour ses doigts. Je senti pousser sur mon trou, puis cela me pénétra. Ca me paraissait plus gros que le doigt de tonton, aussi je me dis qu'il avait du en mettre deux. Quel ne fut pas ma surprise quand Jean Eric me mit ses mains sur mes hanches. Cela bougeait en moi. C'était on sexe. Sur l'instant je me senti humilié d'être sodomisé devant tonton, mais en même temps une excitation folle m'envahit à l'idée que ce soit un sexe qui bougeait en moi.

Tonton dit à Jean Eric de se sortir complètement de temps en temps et de rentrer à nouveau, ce qu'il fit. Je sentais à chaque nouvelle pénétration le passage du gland. Son bas ventre claquait sur mes fesses. Tonton était venu se mettre à genoux devant ma tête et me caressait la colonne vertébrale allant jusqu'à mon anus. A un moment il poussa à côté de la bite de Jean Eric. Je senti une douleur mais son doigt était rentré également.

Il n'arrêtait pas de dire que l'on était trop beau comme ça. Il retira son doigt et me demanda de me mettre sur les mains.

En me relevant je vis juste à hauteur de mon visage son sexe qui avait repris de la vigueur. Il me frotta alors les lèvres avec son gland. Ca sentait le sperme et l'huile solaire mélangée ! ! !

– Prends dans ta bouche mon petit Daniel.

– Mais Tonton ... non ..... je ......

– Allez soit gentil.

– J'ai........jamais.......hee...

– N'ai pas honte fais le s'il te plait

J'ouvris la bouche et il enfourna sa queue. Je fermais les lèvres et il commença à me baiser la bouche. Une fois le dégout passé, je m abandonnais à mes deux baiseurs. Jean Eric accélérait son mouvement puis dans un râle il se vida en moi. Aussitôt, Tonton se sorti de ma bouche et se positionna derrière moi. J'avais à peine eu le temps de dire ouf que je senti le membre de Tonton presser mon trou. Je sentais mon anus se dilater puis sous la pression son gland rentra. A l'époque je ne savais pas que cela pouvais faire mal mais en tout cas ce ne fut pas le cas. Immédiatement il me ramona. Cela dura cinq bonnes minutes. Puis à grand coup de queue il m'éjacula à son tour ans mon anus. Il se retira presque aussitôt et appela Jean Eric pour lui montrer que mon trou était resté ouvert, leur sperme s'écoulant. Je tombais à plat ventre comme épuisé.

En un peu plus d'une semaine j'avais tout connu du sexe et dans la même journée ma première fellation t deux sodomies.

Il restait encore un mois et demi de vacances ! ! ! ! !

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