Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : Mon ange - Chapitre 1
Auteur : Actually
Email : herdom61[_at_]gmail.com
Personnages : 1 homme, 1 adolescent
Le plus jeune garçon a 12 ans
Voyeurisme
Première fois
Masturbation
Homosexualité masculine
Science-fiction
Texte envoyé le 21/02/2013
Texte publié le 21/02/2013
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Résumé :
Quand un voyage d'affaire conduit à une expérience hors du temps...
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
Comme d'habitude je cherchais une chambre d'hôtes lors d'un déplacement professionnel en Normandie.
J'ai toujours préféré loger chez l'habitant plutôt que de dormir dans un hôtel anonyme.
Je dénichais un superbe manoir situé loin de tout, au milieu des prairies dans lesquelles de nombreux étalons étaient en pension.
Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir une maison hors du temps.
Les propriétaires, un couple d'une soixantaine d'années, avaient tenu à laisser cette maison familiale telle qu'elle était depuis près d'un siècle !
Mobilier, tapisseries, batterie de cuisine, tout était tel qu'on pouvait en trouver dans une demeure du début du vingtième siècle.
Il y avait même, au dehors, une voiture des années trente, superbement restaurée.
Pas de téléviseur, de four à micro-ondes, d'objets en plastique. La seule concession au modernisme était une installation de chauffage au gaz, au sous-sol, loin des regards.
L'autre exception était moi-même, avec ma valise en résine, mon ordinateur portable, mes habits tendance.
Même mes hôtes étaient habillés très rétro, chic et bon genre.
Je dinais avec mes hôtes, fort agréablement. Le repas fut délicieux, cuisiné sur un énorme réchaud en fonde dans des ustensiles en cuivre.
Lorsque je montais dans ma chambre et que je me préparais pour aller me coucher, je découvris une salle de bains immense, munie d'une grande baignoire émaillée, d'un lavabo à deux vasques, d'une douche équipée d'une demi douzaine de jets partant d'une tuyauterie compliquée en chrome brillant. Et moi qui croyais que ce genre d'installation était une invention récente !...
Je profitais néanmoins de la baignoire un bon moment, me prélassant dans un volume d'eau chaude à faire pâlir de jalousie bon nombre de françaises et de français.
Puis je me glissais sous les draps de l'immense lit en chêne mordoré de la chambre au plafond très haut...
J'étais en train de m'endormir, lorsque soudain je sentis une présence tout près de moi.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir devant moi un jeune garçon qui me regardait fixement.
En ce mois de mai, le jour n'était pas encore complètement tombé, et je pouvais distinguer son aspect général.
Ce jeune garçon ne dénotait pas dans le cadre du lieu : Vêtu d'une chemisette à carreaux, d'un short retenu par de fines bretelles, il avait tout d'un enfant des années trente. Agé d'une douzaine d'années environ, les cheveux blonds coupés courts, de grands yeux noisette, des lèvres un peu lippues. Un grand sourire éclairait un visage gracieux, parsemé de quelques taches de rousseur.
– Je peux dormir avec toi ? me demanda-t-il.
– Comment ?
– Ben, c'est mon lit, répondit-il. Donne-moi ma chemise de nuit.
– Pardon ?
– Oui, la chemise de nuit qui est sous l'oreiller.
Sans vraiment réfléchir je glissais une main sous l'oreiller du lit. Il y avait en effet un effet qui se révéla être une courte chemise de nuit en lin blanche, douce au toucher. Je lui montrais celle-ci.
Toujours souriant, le jeune garçon s'approcha de moi, sur ma gauche, et commença à se déshabiller.
Il commença par retirer ses chaussures, ses chaussettes montantes, qu'il plaça au bout du lit.
Puis ce fut au tour du short, de la chemisette. Comme sous-vêtement il portait un minuscule slip en coton blanc, qui moulait étroitement des testicules bien développés, ainsi qu'une verge qui me sembla assez longue...
Lorsque le slip rejoignit les autres vêtements, je vis qu'en effet le garçon, bien qu'étant très jeune, avait déjà commencé sa croissance sexuelle. Au bas d'un pubis encore dépourvu de toute pilosité, une longue verge pendait assez bas, sur des bourses de la taille de petits pruneaux. Le gland, nettement visible sous la fine peau du prépuce, laissait apparaitre son extrémité rose foncé.
Prenant la chemise de nuit, le garçon l'enfila par la tête, me laissant un court instant le spectacle ravissant de son corps mince et élancé, complètement dénudé.
Lorsqu'il se fut glissé dans le lit, tout contre moi, je lui demandais :
– Comment t'appelles-tu, et qui es-tu ?
– Moi c'est Claude. J'habite ici depuis longtemps. Et toi, tu t'appelles comment ?
– Je me prénomme Xavier. Je vais rester une quinzaine de jours ici.
– Chouette, j'aime avoir quelqu'un avec moi, car je suis presque toujours seul...
J'aurais peut-être posé d'autres questions pour en savoir davantage sur cette apparition lorsque Claude se blottit tout contre moi.
– Serres-moi contre toi, tu vas me réchauffer me dit-il.
Après avoir dit cela le jeune garçon se plaça tout contre moi, en chien de fusil. J'avais ses fesses dénudées plaquées sur mon bas-ventre, ses jambes contre les miennes.
Comme je ne portais moi-même qu'un caleçon en coton très léger, je sentis rapidement la chaleur de son corps me réchauffer le bas-ventre. Mes mains se portèrent tout naturellement sur ses jambes, ses cuisses. Sa peau était très douce, soyeuse.
Ce qui devait arriver arriva. Je me mis à bander, inexorablement. Claude dut le sentir, sans nul doute, mais il ne dit rien, du moins dans un premier temps. Même lorsque je sortis ma verge érigée et que je la plaçais ainsi à nu contre ses fesses...
Ce n'était pas la première fois que j'avais un autre garçon avec moi dans un lit. Très jeune, j'avais déjà eu des moments de complicité bien agréables lorsque j'invitais un copain d'école ou que j'étais moi-même invité. Mais avoir tout contre moi un si jeune garçon, jamais...
Glissant ma main de bas en haut, je me rapprochais tout doucement du bas de son ventre. Claude ne disait toujours rien. Je finis par sentir contre mes doigts les bourses tièdes des testicules, que je caressais un moment, avant de pousser mes investigations un peu plus haut.
Quelle ne fut pas ma surprise de constater que la verge de Claude était en pleine érection, aussi dure que la mienne, sinon plus. Plaquée contre le ventre, elle palpitait toute seule, au rythme des battements cardiaques du jeune garçon...
Je ne pus m'empêcher de frôler le membre turgescent, depuis la base jusqu'à son extrémité. Je sentis que le gland était en partie décalotté, dont la peau était plus douce, plus tendre.
Je ne savais pas si je devais aller plus loin dans mes attouchements. Claude ne disait rien, mais son corps frissonnait continuellement. Il était vraiment très sensible.
Montant plus haut sous la chemise de nuit, je me mis à lui caresser les seins, qui se révélèrent également très sensibles, au point que le jeune garçon se trémoussait contre moi de façon incontrôlée, se frottant ainsi contre ma verge, contribuant à maintenir son érection.
De ma main libre je me mis à lui caresser le cou, les cheveux, puis de la droite je me remis à lui caresser la verge, les testicules.
– Tu peux me branler murmura-t-il tandis que mes doigts emprisonnaient son jeune membre palpitant.
– Tu aimes ? lui demandais-je
– J'ai toujours aimé cela, tu peux y aller franchement.
– Tu peux jouir, lui demandais-je, ne sachant plus trop bien à quel âge j'avais connu moi-même mes premiers orgasmes.
– Bien sûr que je suis capable de jouir, même si cela met souvent pas mal de temps à venir...
Mes mouvements se firent plus énergiques, plus directs. Je décalottais et recalottais sa verge dure comme du bois, la laissant plaquée contre le ventre lisse et chaud...
La respiration du jeune garçon se fit plus rapide, plus sonore. Son corps ne cessait de frémir contre moi, à tel point que je me reculais un peu pour ne pas faire trop monter la tension qui m'envahissait le bas-ventre...
Je me demandais si ce jeune garçon était réellement capable de jouir, d'éjaculer. Confondait-il plaisir et jouissance ?
Mes mouvements se firent de plus en plus rapides, sensuels. Son jeune pénis s'échauffait sous cette masturbation directe. J'étais de plus en plus étonné de la longueur de cette verge chez un garçon aussi jeune.
Je ne saurais dire combien de temps dura cette séance de masturbation. Peu à peu le drap glissa, facilitant les mouvements de mon poignet droit. Me penchant au-dessus de Claude, je pus distinguer sa verge pâle, son gland au contraire plus sombre, gorgé de sang...
Le jour tombait de plus en plus, j'avais du mal à distinguer les détails de cette jeune et belle virilité.
Soudain Claude se mit à gémir, bouche entrouverte. Je devinais qu'il éprouvait un plaisir intense.
Activant encore les mouvements de mes doigts j'intensifiais les sensations qui ravageaient ce jeune corps fluet parcouru de spasmes. Je sentis le ventre de Claude se contracter à plusieurs reprises, tandis que mes doigts se poissaient soudain d'une humidité révélatrice. Claude éjaculait comme un homme ! Bien sur très peu, mais suffisamment pour humecter mes doigts, l'extrémité de sa verge...
Je ne sais si son sperme encore parcimonieux coula sur le drap du lit, il faisait trop sombre pour que je puisse le voir...
– Ahhh !... Ahhh !... comme c'est bon !... murmura-t-il en tournant vers moi son joli minois ravagé par le plaisir, les joues rosies, les yeux brillants...
Je continuais à faire aller et venir mes doigts jusqu'à ce que Claude se détende peu à peu. Je portais alors mon index enspermé à mes narines pour en humer le parfum discret de la semence juvénile.
– Merci, c'était très bon, dit-il en se tournant sur le dos. A mon tour de te donner du plaisir...
Et sans même prendre le temps de récupérer un peu Claude se mit à genoux, posant une main sur mon membre turgescent qui sortait de l'ouverture béante de mon caleçon...
Je n'en crus pas mes yeux lorsque Claude, avec un savoir-faire certain, se mit à me caresser, me masturbant avec une science et une technique que j'étais loin d'imaginer.
Prenant mon caleçon à deux mains, il se mit à le faire glisser le long de mes hanches. Je l'aidais, me retrouvant complètement nu, offert à ses caresses.
Et le jeune n'en fut pas avare, de caresses !...
Je fus comblé d'un déluge de palpations, d'effleurements, que ce soit sur ma verge, mes testicules, mes seins. Claude semblait deviner ce qui me ferait le plus de plaisir.
La priorité devint celle de ne pas jouir trop vite, tant j'étais excité, tant Claude s'y prenait tellement bien !...
A mon tour je me mis à gémir, à trembler de tous mes membres. Plusieurs fois je fus au bord de l'extase, mais Claude cessait alors de me masturber, de m'exciter, portant ses mains ailleurs l'espace d quelques minutes. Puis il revenait à la charge, me procurant des sensations variées, toutes plus excitantes les unes que les autres...
Tendu comme j'étais, je ne pouvais tenir indéfiniment.
Mais, comme devinant que je n'allais pas tarder à jouir entre ses doigts, Claude retira sa main, avant de retirer sa chemise de nuit par-dessus tête.
Sans hésiter il se mit ensuite au-dessus de moi, en soixante neuf, un genou de chaque côté de ma poitrine. Quelle ne fut pas alors ma surprise de sentir sur ma verge la douce chaleur humide de sa bouche, car Claude avait englouti une bonne moitié de ma verge tendue.
Dans ce domaine le jeune garçon avait également un talent certain, comme si cette pratique lui était connue depuis toujours. Les mains plaquées sur les adorables fesses à la peau lisse et douce de Claude, je savourais les délicieuses sensations qui m'envahissaient tout le bas-ventre.
Tout en me suçant avec force, Claude se mit à me caresser l'anus, forçant peu à peu la collerette plissée sensible.
Je ne sais pas si c'est ce qui déclencha mon orgasme, mais tandis que je sentais l'un de ses doigts me pénétrer de plus en plus profondément, une onde électrique me parcourut des pieds à la tête. Un plaisir aigu me tétanisa. Je me mis à jouir intensément. Je ne pus éviter de pousser un véritable cri de jouissance, que l'on dut entendre à l'autre bout de la maison.
Ma verge se mit à battre violemment, tandis que mon sperme fusait hors de mon gland savamment sucé par Claude. Sans sourciller le jeune garçon reçut en bouche mes jets spermatiques puissants.
J'ai toujours eu des éjaculations abondantes, au-dessus de la moyenne. Cela n'eu pas l'air de rebuter le moins du monde Claude, qui avala au fur et à mesure le sperme que je faisais jaillir au fond de sa bouche. Il ne retira ses lèvres que quelques instants plus tard, lorsque ma verge commença à perdre de sa rigidité...
Alors, seulement, Claude se remit sur le dos, se pourléchant les lèvres, un air de contentement illuminant son visage.
– Tu as aimé, me demanda-t-il.
– Bien sur, tu as été parfait. Je suis stupéfait de voir que si jeune tu sois aussi doué...
– Oh, j'ai été initié par bien d'autres garçons, tu sais.
– Hein ?
– Oui, je te raconterai ça demain. Maintenant, si on dormait ?
– Bonne idée...
Je vis alors, au bas de son ventre, sa verge toujours en érection, comme si Claude n'avait pas joui quelques instants plus tôt sous mes doigts...
Mais je n'osais pas lui proposer une nouvelle séance de plaisir, ayant moi-même envie de souffler un peu.
Blotti contre moi Claude s'endormit très vite. Je l'imitais quelques minutes plus tard, mon bras droit entourant le corps chaud de mon jeune compagnon.
C'est la sonnerie de mon téléphone portable qui me réveilla.
A côté de moi, plus personne. Comme si j'avais rêvé ce qui était arrivé la veille. Sous l'oreiller, pas de chemise de nuit. Sur les draps, aucune trace de sperme....
Et si cela n'avait été qu'un rêve ?
La suite de mon séjour allait être riche en nouvelles surprises...