Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : Saint Joseph - Chapitre 2
Auteur : Titi
Email : jack.nelson-do6xa3hh[_at_]yopmail.com
Personnages : 5 hommes, 1 adolescent, 1 petit garçon
Le plus jeune garçon a 11 ans
Romantique
Orgie
Première fois
Oral
Pénétration anale
Homosexualité masculine
Urine
Texte envoyé le 06/05/2012
Texte publié le 06/05/2012
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Saint Joseph II
Le lendemain matin fut consacré à des tests pour vérifier nos connaissances scolaires, les questionnaires étaient adaptés à la classe que chacun venait de terminer en juin, mes résultats n'étaient pas brillants, je me rendais compte que j'avais loupé pas mal de cours et que je n'avais pas tout compris, loin de là, j'eus une cote de 8 sur 20, tandis que Cédric avait 14.
– Petit Florian, tu as les plus mauvais points du test, tu iras voir le directeur avec le petit Cédric, ton ami.
– Oui, Monsieur, répondis-je, pas très fier de moi.
Le directeur nous accueillit dans son bureau sans colère, sa voix était douce et amicale.
– Venez face à moi, tous les deux.
On entoura chacun une de ses cuisses avec les nôtres, toujours doigts entrelacés, et il saisit de nos petits zizis qu'il manipula précautionneusement, vérifiant lui aussi notre décalottage.
– Il y a du travail à faire avec votre petite peau pour qu'elle devienne plus souple et que vous en soyez contents.
Car, si elle reste comme elle est, plus grands, vous aurez des problèmes, pour faire l'amour avec une fille ou plutôt, à vous regarder, avec un garçon.
Cédric serra plus fortement ma main.
– Donc, pour y arriver, il faudra faire des efforts, as-tu compris le mot « effort », petit Florian ?
– Oui, Monsieur.
– On va faire un autre exercice, tournez-vous face à face et mettez-vous, petit zizi contre petit zizi.
Il nous entra un doigt dans le petit trou et nous fit aller de gauche à droite pour nous exciter, il retira ensuite le doigt qui sortait de mon petit trou et le présenta à la bouche de Cédric qui entrouvrit les lèvres, prit le doigt en entier et le lécha avec application et un certain sourire, et quand il sortit il était impeccablement propre, je trouvais ça sale et dégoûtant et j'étais prêt à vomir.
– Maintenant, petit Florian, c'est à toi de nettoyer mon doigt qui est encore enfoncé dans le petit trou de ton ami.
– Non, Monsieur, me demandez pas ça, c'est trop sale, je pourrais pas.
– Si, tu pourrais si tu acceptais de faire l'effort.
– Non, Monsieur, par pitié, pas ça !
– Essaie, bébé, c'est pas si terrible que ça, tu verras, fais-le pour moi.
– Alors, petit Florian, es-tu prêt ? Je me mis à pleurer et hochai la tête affirmativement.
Il sortit le doigt et l'approcha de ma bouche qu'il me dit d'ouvrir bien grande, le doigt entra rapidement, je n'eus pas le temps de sentir la moindre odeur, il me dit de fermer ma bouche et de lécher en tournant ma langue autour. Je le fis, d'abord avec dégoût, puis me rendis compte que, finalement, ce n'était pas si terrible que ça et que je pris même un certain plaisir, sachant que ce doigt venait du petit trou de Cédric, je le léchai de mieux en mieux jusqu'à ce qu'il n'ait plus aucun goût, pendant que nos deux mains se tenaient toujours très fort. Il retira finalement son doigt qu'instinctivement je voulais garder entre mes lèvres. Il refit la même opération, et cette fois-ci, il nous les présenta en même temps, croisant les mains, et les yeux dans les yeux, nous avons sucé et nettoyé le doigt venant du petit trou de l'autre.
– Embrassez-vous maintenant. Ce que nous avons fait à quelques centimètres de son visage, enfonçant les langues le plus loin possible dans la bouche de l'autre, c'est lui qui dut nous séparer.
– Je te félicite, petit Florian, ce que tu pensais irréalisable, tu l'as fait parce que tu as eu le courage de faire l'effort.
– Oui, Monsieur, vous avez raison.
– Il en va de même pour les études, ton ami, quand il est arrivé en juillet de l'année passée, sortant de CM1, avait une moyenne de 6 sur 20, il était encore pire que toi, je lui ai expliqué les choses comme je le fais avec toi, et il a décidé de faire un énorme effort en suivant les cours de rattrapage donnés ici, et en deux mois, il a récupéré tout son retard, il doit normalement passer en sixième, mais il a décidé de suivre des cours accélérés pendant ces deux mois, et s'il fait les efforts nécessaires, il passera directement en cinquième.
Quant à toi, tu avais déjà redoublé ton CM1, et tu viens de rater ta sixième, tu vas donc devoir la recommencer, alors que petit Cédric sera déjà en cinquième.
Entendant ça, j'ai fondu en larmes et me suis effondré dans les bras du directeur qui nous prit tous les deux sur ses genoux comme des petits enfants, ce que je reconnaissais être toujours, pensant plus à jouer qu'à étudier. Le directeur avait trouvé les mots pour me donner le déclic qu'il me fallait, sans réfléchir, je le remerciai en l'embrassant sur la joue.
– Je ferai l'effort nécessaire, Monsieur, je vous le jure, et comme ça, si je reste à St Joseph, on sera dans la même classe.
– Tu es à peine arrivé que tu souhaites déjà rester ?
– Oui, Monsieur, en peu de temps, j'ai découvert des tas de choses, et puis, petit Cédric et moi, nous, on, enfin bref, on s'aime bien.
– Petit Florian, avant de mettre deux garçons dans la même chambre, je prends tous les renseignements qu'il faut, et je savais que ça allait coller entre vous.
– Merci, Monsieur, je suis trop heureux d'être son ami.
– La matin, vous aurez donc cours, et sport après le déjeuner, et si vous me faisiez une petite faveur, maintenant ?
Cédric, tout sourire, descendit des genoux du directeur et me fit les quitter aussi, le directeur se leva et Cédric défit sa ceinture en me disant de l'aider, et comme un automate, je l'ai aidé à débarrasser le directeur de son pantalon et de son slip, il avait une queue, on ne peut plus appeler ça un petit zizi, glabre, très belle et très douce, c'était la première queue d'adulte que je voyais en érection. Cédric n'hésita pas à la prendre en bouche, poussant dans mon dos pour que j'approche ma bouche, je compris qu'on allait lui faire donner son lait de « grand adulte », on s'y est mis à deux, avalant et suçant son beau sucre d'orge, jouant avec ses grosses boules, et on a bu à deux tout ce qu'il nous a donné, chacun voulant en avoir le plus possible. Il nous fit ensuite nous lever et nous embrasser devant lui pour partager le goût de son lait. On le rhabilla alors nous-mêmes, puis il nous embrassa chacun sur les lèvres, nous laissant quartier libre jusqu'au déjeuner.
Nous filâmes dans notre chambre en passant par un WC, ayant tous deux un gros besoin, Cédric me laissa commencer mais quand j'eus fini, il voulut m'essuyer lui-même, j'étais surpris mais me suis laissé faire comme un petit garçon ne sachant pas le faire lui-même, puis, pris par le jeu, j'essuyai méticuleusement son petit trou à mon tour. On se fit un bisou et dans la chambre, on s'embrassa à n'en plus finir, pleurant de joie de savoir qu'on allait continuer nos études ensemble à St Joseph. On exécuta alors nos exercices de décalottage, et avec le petit zizi bien mouillé dans la bouche, ça ne faisait pas trop mal, et puis, il le fallait bien et peu à peu on apprenait où était le seuil de douleur de l'autre à ne pas dépasser, et en cela aussi, l'un et l'autre faisions l'effort de supporter le plus possible. On se donna bien sûr un orgasme.
– J'en reviens pas que j'aie léché le caca de ton petit trou, heureusement qu'il n'y en avait quasiment pas.
– Pour moi, les premières fois, ce ne fut pas facile non plus, mais j'ai appris à aimer et puis, on le fait plus facilement avec celui qu'on aime.
– C'est parce que je t'aime, que j'ai pu le faire, je ne pourrais le faire à personne d'autre.
– Il n'y a qu'avec moi que tu le feras encore, t'inquiète.
– Ça veut dire qu'on le refera ?
– Oui, sauf si tu veux vraiment pas.
– Tu aimes ça ?
– Oui, me répondit Cédric timidement.
Je plongeai mon doigt dans son petit trou, l'y fis tourner, le ressortis et le pris en bouche en le fixant ans les yeux, il m'a souri, a pris mon doigt, l'a pris dans sa bouche puis l'a remis dans la mienne, puis il plongea deux doigts dans mon petit trou et nous fîmes la même chose avant de nous embrasser.
– On fera des choses avec notre pipi aussi, me susurra-t-il.
– Tu m'apprendras ?
– Oui, t'inquiète, mais là, on devrait se laver les mains et se passer un gant sur les petits trous, il est temps de descendre manger.
On le fit dans le petit lavabo de la chambre et on entra dans le réfectoire. Patrick, le puni en short orange, dut manger debout sur le tabouret, le short baissé aux chevilles, on pouvait voir à travers la grille de la cage que son petit zizi était rouge d'avoir voulu bander et il devait se tourner pour nous montrer le cylindre toujours dans son derrière, Cédric m'apprit que ça s'appelait un « plug ». Un garçon de 7 ans, parlant un peu trop fort, fut fessé sur les genoux d'un moniteur qui ne s'arrêta que quand le petit garçon accepta sa punition sans tenter de se débattre et protéger ses fesses.
L'après-midi de notre groupe fut dédié à la natation. La séance commença comme celle de sport d'hier, debout sur un banc, manipulation par le moniteur, attouchement par nous, et deux photos de groupe.
Les exercices étaient fatigants, mais je retrouvais mes forces et mon souffle perdus par trop de temps devant un ordinateur, et j'arrivais à faire les longueurs demandées, à force d'efforts et de volonté.
Il y eut d'autres exercices qui nous plurent à nous, mais pas à d'autres garçons, nous devions nous embrasser à pleine bouche et descendre l'un collé à l'autre le plus longtemps possible en apnée, Cédric et moi avions vite compris que celui qui avait le plus de réserve d'air devait en donner à l'autre. En revanche, plusieurs des garçons partageant la même chambre mais n'étant pas amoureux, refusèrent de s'embrasser sur la bouche, il eurent droit à une fessée d'équipe, le moniteur prévenant que la fessée ne s'arrêterait que quand il verrait les langues se lécher et pénétrer la bouche de l'autre, et il n'y avait pas moyen de tricher, il voulait voir le bout de la langue de l'un appuyer sur l'intérieur de la joue de l'autre ... visiblement.
Ceux qui avaient, comme nous, réussi le test, pouvaient batifoler dans l'eau et nous n'étions pas les seuls à nous embrasser et caresser, on vit même du lait en filaments dans l'eau. Finalement, tous les couples de garçons ont fini par s'embrasser et on put voir un sourire orner le visage de la plupart d'entre eux, ils firent ensuite leur test d'apnée et purent venir jouer avec nous, quelques-uns essayèrent de reproduire ce premier baiser complet qu'ils venaient de découvrir, et quelques mains osaient s'aventurer sur le corps de leur copain de chambre.
Pour le dernier test, qui ne fut pas le moins difficile, Richard, le moniteur ôta son maillot, nous laissant voir à tous son beau zizi d'adulte et il plongea dans l'eau, nous devions lui nager derrière et le gagnant serait celui qui arriverait à lui faire donner son lait de grand adulte, les garçons qui se montreraient peu actifs dans ce jeu seraient fessés en fin de cours. Tous pensaient que ça allait être facile, vu que nous étions dix, mais Richard était un nageur hors-pair, un vrai poisson dans l'eau, et nous étions essoufflés bien avant lui, on dut donc nous mettre d'accord pour trouver une technique, et ce fut Yvon, un petit bonhomme de six ans qui nous donna la solution, il fallait coincer Richard dans un coin de la piscine, et il s'est fait avoir, seul contre dix il ne pouvait plus s'enfuir et quand on l'eut bloqué en lui tenant les bras, les jambes et le torse, on laissa Yvon s'occuper de son zizi de grand adulte, et il fut aussi doué en travaux pratiques qu'en stratégie, il eut besoin de ses deux petites mains pour effectuer les va-et-vient sur ce beau zizi et il cria autant que Richard en voyant sortir les jets de sperme dans l'eau. Richard le prit alors dans ses bras et l'embrassa sur la bouche, mais selon moi, avec la langue. Yvon allait avoir droit à un superbe dessert ce soir.
Ce fut l'heure de la douche où de plus en plus garçons se tripotaient le petit zizi et Cédric et moi nous lavâmes mutuellement très consciencieusement, avant de passer au réfectoire.
Comme c'était le début de leur séjour à St Joseph, les punis furent débarrassés de leur cage debout sur le tabouret. Le moniteur enduisit leur petit zizi meurtri et fit aller leur petite peau jusqu'à ce qu'ils jouissent, donnant beaucoup de leur lait, le plug fut retiré à Patrick aussi, mais remplacé par plusieurs doigts d'un moniteur tandis que l'autre ôtait sa cage et lui faisait donner son lait comme les premiers. Les punis remercièrent les moniteurs en les embrassant pour avoir écourté la punition.
Comme hier, nous sommes remontés à la chambre, voulant être rien qu'à deux. On fonça sur le lit, s'embrassant, se caressant, se léchant sur tout le corps, enfin presque. Il me vint l'idée de goûter à son petit trou, mais je n'osais pas le lui proposer.
– Tu peux me lécher là aussi, si tu veux, j'adore ça.
– Comment sais-tu que je pensais à ça.
– Ici, à St Joseph, on nous apprend aussi à deviner les envies de l'autre, tu veux que je lèche le tien d'abord ?
– Non, laisse-moi faire, je dois apprendre à réaliser ce que je veux, mets-toi à quatre pattes sur le lit.
Il me présenta ses jolies fesses en écartant bien les genoux, je pouvais voir son petit trou rose, je me rendis compte qu'il me montrait une partie très intime de lui et qu'après, ç'allait être à moi de lui montrer le mien, Je mouillai d'abord un doigt pour caresser les petits replis de peau, puis l'entrée du trou dont je pouvais observer les réactions. Parfois il s'ouvrait tellement fort que je pouvais presque voir à l'intérieur, à d'autres moments, il se refermait complètement au point de ne presque plus voir les petits plis. Il fallait que je me décide à lécher pour la première fois de ma vie un petit trou et j'approchai ma langue qui remplaça mon doigt, Cédric sentit immédiatement la différence et m'encourageait « vas-y, mon bébé, lèche le petit trou de ton petit amour ».
Je n'ai plus hésité, ma langue en a léché les moindres replis et son petit trou s'ouvrait de plus en plus, je commençai à pousser ma langue vers l'intérieur, la pointe entrant en lui, je n'avais ni honte ni gêne à faire ça, le goût était celui de mon Cédric à moi, je pus fouiller de plus en plus l'entrée, j'avais bien écarté ses fesses et mes lèvres étaient collées à lui, il gémissait de plaisir. Par moments, je m'écartai, lui entrais un doigt et même deux, puis ma bouche et ma langue retournaient continuer leur exploration. Son petit trou m'excitait tellement que j'avais envie d'y entrer toute ma langue, sachant bien que ce n'était pas possible, mais je trouvai un système pour gagner au moins un centimètre ; une fois ma langue bien entrée, j'entourais bien ses petits muscles de mes lèvres et j'aspirais pour l'ouvrir encore mieux, et ça a fonctionné, j'ai gagné presque deux centimètres et la pointe pouvait tourner à l'intérieur, il gémit de plus en plus fort et prit son petit zizi entre deux doigt et fit glisser sa petite peau très vite, il ne tarda pas à crier de plaisir, malheureusement sans donner de lait. Il s'écroula sur le lit, et moi aussi, essoufflé et ayant mal aux mâchoires et aux muscles de ma langue.
– C'était trop bon, mon bébé.
– J'ai fait ça pas trop mal ?
– J'ai été déjà léché souvent, mais là, t'as battu tous les records.
– Tu as été léché par plusieurs garçons ?
– Oui, mon ami et des moniteurs, mais ça, je t'expliquerai plus tard, allez, mon bébé, à quatre pattes !
Je me suis positionné, n'ayant aucune honte à lui montrer mon petit trou, il ne tarda pas à me lécher des petites boules jusqu'en haut de ma fente, s'attardant sur ma petite entrée appuyant sa langue de plus en plus, d'une main, il jouait avec mon petit zizi et je me détendais de plus en plus, il mit lui aussi ses doigts par moments, mais je préférais de loin sa langue qu'il avait très musclée, ça, je le savais par sa façon de m'embrasser. Elle forçait vraiment mon petit trou à s'ouvrir et je la sentais aller de plus en plus profondément, je n'avais jamais vécu un truc pareil, et je ne tardai pas à donner mon lait que je récupérai in extrémis dans la paume de ma main. Il me dit de le garder, et une fois revenu près de moi, il me demanda d'en barbouiller son visage et je compris qu'il avait envie que je le lèche sur les paupières, les joues, le nez et la bouche et nous partîmes dans un énorme gros baiser jusqu'à épuisement.
– Alors, me demanda-t-il ?
– Merveilleux, mon amour, j'espère qu'on le refera souvent.
– Très souvent, j'adore ça.
– Lécher ou être léché ?
– Les deux.
– Tu disais que les moniteurs ...
– Oui, tu dois savoir que, s'ils sont parfois très sévères, ils savent être très câlins avec les enfants. Quand ils sont contents de nous, ils nous font des choses très agréables, car ils s'y connaissent.
– Et on doit le leur faire aussi ?
– C'est pas beau d'être égoïste, me dit-il en rigolant.
– Ça va, j'ai compris, dis-je en faisant la moue.
Il me sauta dessus et on se remit à se rouler sur le lit, touchant et embrassant maintenant toutes les parties du corps, il jouit encore une fois et me fit donner mon lait dans sa bouche.
– Je n'en reviens pas d'être excité aussi souvent et de pouvoir donner mon lait plusieurs fois de suite.
– Ce sont les piqûres qui font ça, tu verras, dans quelques jours, ton petit zizi et le mien auront grandi un peu.
– Tu vas encore demander une piqûre ?
– Oui, si tu le fais aussi.
– Tope-là, même si ça fait horriblement mal.
– Bon, on va aux WC, ça va être l'heure.
– O.K.
Après s'être vidés et essuyés l'un l'autre, chacun vérifia la propreté de l'autre avec la langue, nous nous amusions à faire ça, et nous sommes repartis vers la chambre, toujours nus et main dans la main. Comme il restait dix minutes, on refit un exercice de décalottage, je donnai encore un peu de mon petit lait, mais lui me donna autre chose : un jet de pipi.
– Pardon, Floflo, je voulais pas.
– Pas grave, ton pipi n'est pas mauvais, j'ai bien aimé ?
– C'est vrai ?
– Ben oui.
– Je t'adore, mon bébé.
– Moi aussi, mon petit amour.
Draps aux pieds et doigts sur les petits zizis, nous avons attendu le passage du moniteur pour nous souhaiter bonne soirée. Il était content de nous voir comme ça et il insista plus longuement avec ses lèvres et sa langue, nous donnant à chacun un nouvel orgasme alors que le dernier datait d'il y avait quelques minutes à peine.
– Tu n'as pas donné beaucoup de lait, petit Florian, mais il est très bon, un jour, je te ferai goûter le mien.
– Je veux bien, Richard, me suis-je entendu lui répondre. Cédric et Richard partirent en fou rire.
– Je t'aime bien, toi, mon petit bonhomme, me dit Richard tendrement. Allez, bonne nuit, les enfants.
– Bonne nuit, Richard, avons-nous répondu en chœur.
On a encore prononcé quelques mots tendres avant de nous endormir bien serrés.
Le lendemain et les jours suivants jusqu'au samedi, les cours ont commencé avec toujours du sport l'après-midi, j'avais pas mal de difficultés à suivre, mais l'espoir d'être dans la même classe que Cédric à la rentrée me faisait me surpasser et le soir on s'encourageait l'un l'autre à étudier.
A part quelques fessées dont une à laquelle j'eus droit parce que j'avais laissé passer un « merde ! » en renversant un verre, il n'y en eut qu'une grave, la plus terrible, celle à l'électricité. Kevin, un garçon de 15 ans, imbu de sa personne, avait traité Cédric de sale lopette, ce qui avait fait pleurer mon petit amour. Un moniteur l'avait entendu et avait envoyé Kevin chez le directeur. Quand une cage en verre sur roulettes fut amenée au centre de la cour de récré, Cédric m'expliqua que Kevin n'allait pas aimer du tout. Dans cette cage, un banc d'examen en métal où Kevin était attaché, nu, les bras en croix, il avait des fils partout, sur le gros orteil de chaque pied, sur le petit doigt de chaque main, des pinces sur le bout de ses tétons, deux fils sur son petit zizi et un autre qui sortait de ses fesses. Tout le monde pouvait et devait assister à la punition. Ce fut atroce, cela dura une heure pendant laquelle différents courants étaient envoyés sans ordre bien précis dans chaque partie de son corps, il ne savait donc où arriverait le suivant. Il hurlait, décollait les fesses de la table, écartait les doigts des mains et des pieds en éventail, il pleurait, appelait sa maman, il se fit plusieurs fois pipi dessus, il fit même caca sur la table, ses fesses marinant dedans, on lui laissait parfois un peu de répit mais au moment où il s'y attendait le moins, les courants reprenaient. Ce qu'il endurait devait être atroce.
Quand la punition fut terminée, la cage en verre fut rentrée et nous pûmes vaquer à nos occupations, mais personne n'avait le cœur à rire ou à jouer, chacun sachant que la même punition pouvait lui être infligée en cas de transgression grave.
Le dimanche, nous avions quartier libre toute la journée, et comme il faisait beau, Cédric et moi sommes allés dans le parc où de plus en plus de garçons nus comme nous s'embrassaient et se caressaient, certains se suçaient même devant tout le monde, c'est là que je vis pour la première fois deux garçons faire l'amour, c'était beau, tendre, mais puissant en même temps, je tenais Cédric collé à mon ventre, caressant le sien, sa poitrine et son petit zizi tout dur, le mien l'étant tout autant entre ses fesses.
– J'en ai envie, tu sais, me dit-il.
– Moi aussi, mon amour.
– Mais on ne pourra pas le faire tant que les petites peaux ne coulisseront pas complètement et facilement sur nos petits zizis.
– On devrait s'entraîner plus, tu ne crois pas ?
– Oui, il faut qu'on y arrive, même si ça fait mal.
On s'éloigna dans un coin éloigné du parc pour nous entraîner, mais nous n'étions pas les seuls à avoir eu cette idée, d'autres enfants avaient le même problème et s'essayaient à faire descendre les petites peaux. A chaque fois on entendait un long cri de supplication, disant que ça faisait trop mal, mais ils forçaient plus que nous, alors on décida d'y aller plus fort, et toujours avec notre technique. Quand je le faisais à Cédric, je le voyais avoir très mal, des larmes lui coulaient, mais il voulait que je continue, c'était dur à supporter pour moi. Puis on faisait l'inverse, allant le plus loin possible, et comme lui et les autres garçons, je pleurais et criais. On avait tous les deux la petite peau très serrée. Dans l'après-midi, deux des garçons ont pu faire coulisser leur petite peau complètement, on allait voir bien sûr et ça nous encourageait à continuer, mais en fin de journée, ça nous faisait trop mal, les petits zizis étaient tout rouges.
Après la douche et le dîner, nous n'avons fait que de tendres câlins, évitant de toucher les petits zizis avec les doigts, mais apaisant la douleur avec la bouche et aucun de nous n'a eu d'orgasme ce soir-là. Nous avons même demandé au moniteur de ne pas les toucher, nous savions aussi que le lendemain, nous allions voir le médecin.
Celui-ci nous reçut à la première heure, au moment où les cours commençaient pour les autres.
– Bonjour, les enfants, comment allez-vous ?
– Bonjour, Docteur, fut notre réponse commune.
– Alors vos petites peaux, elles glissent bien ?
– Elle descend plus bas chez tous les deux, mais on arrive pas à aller jusqu'au bout.
– Allez-vous installer sur les tables, que je vous examine.
– Vous allez nous examiner comme la fois passée, Docteur, lui ai-je demandé, inquiet.
– Je ne pense pas, je vais regarder où vous en êtes.
On s'est installés comme la dernière fois, nous tenant les doigts entrelacés, et il nous lia poignets et chevilles, en expliquant que c'était la règle d'attacher tous les enfants pour n'importe quel examen.
Il baissa la petite peau de Cédric tout doucement, s'arrêtant dès qu'il lança un petit cri.
– Tu as fait de beaux progrès, petit Cédric, à toi, Maintenant, petit Florian. C'est très bien aussi, quelle méthode avez-vous utilisée ?
– En prenant les petits zizis en bouche, Docteur, lui répondit Cédric.
– Tous les deux ?
– Oui, lui dis-je.
– Donc, Cédric a avalé ton lait ?
– Oui, Docteur, et quand il en aura, je boirai le sien aussi.
– C'est très bien, les enfants, on m'a dit que vous vous entendiez bien, tous les deux, est-ce le cas ?
– Oh oui, Docteur, avons-nous répondu spontanément.
– Qu'avez-vous déjà fait à deux ?
– S'embrasser avec la langue dans la bouche et se lécher tout partout, on aime se mettre les doigts dans le petit trou.
– Vous les léchez après ?
– Oui, Docteur.
– Et quoi encore ?
– Mettre la langue dans le petit trou de l'autre, ajoutai-je, honteux de dévoiler nos activités intimes, ce qu'il vit
– Tu ne dois pas être gêné, petit Florian, tout ça est bien naturel entre petits garçons comme vous.
– Oui, Docteur, dis-je, mais pourquoi vous nous dites toujours petits garçons ou mes enfants ?
– Pour que vous ne perdiez pas votre cœur d'enfant. Pensais-tu, avant d'arriver ici, être capable d'aimer un autre petit garçon ? N'es-tu pas heureux de profiter de ta jeunesse avec petit Cédric ?
– Si, Docteur, je n'ai jamais été aussi heureux.
– Alors, qui a raison ?
– Vous, Docteur, et les autres aussi, le directeur et les moniteurs.
– C'est bien, mon petit Florian, maintenant, autre question : avez-vous envie de faire l'amour tous les deux ?
– Oh oui ! Avons-nous presque crié en chœur.
– Avez-vous déjà bu le pipi de l'autre ?
– Moi, juste une fois, répondis-je.
– Dommage que vous ne l'ayez pas fait tous les deux, j'aurais pris la décision de vous préparer à faire l'amour à deux.
– On peut le faire maintenant ? Demandai-je immédiatement ?
– Oui, je te détache, petit Cédric et tu t'occupes de ton ami.
– D'accord, Docteur.
– Laisse-toi, aller, petit Florian, ton ami veut tout connaître de toi.
– C'est pas facile, Docteur, mon petit zizi est tout dur.
Il me pinça les petites boules, me faisant crier, mon petit zizi retomba aussitôt et je pus faire pipi dans la bouche de Cédric, tout heureux de me boire.
– C'est bien, je te rattache et détache petit Florian. Vas-y, laisse-toi aller. Ne lâche pas tout d'un coup, il ne pourra pas suivre, comme ça, c'est bien ! Bois bien tout, petit Florian, et après, tu embrasses ton ami amoureusement.
Après cela, je fus rattaché au banc et on se reprit la main, le docteur vérifia de nouveau notre décalottage.
– Pour arriver à décalotter facilement, ce qui est préférable avant de faire l'amour pour éviter une déchirure de votre petite peau ou une rupture du frein de votre petit zizi, vous avez deux possibilités : soit vous continuez vos exercices, et ça prendra environ deux semaines, soit, je force un peu les choses et on y arrive aujourd'hui, et d'ici deux jours, vous pourrez vous aimer comme vous en aurez envie.
– Si vous le faites maintenant et qu'on doit attendre deux jours, ça veut dire qu'on va avoir très mal ? L'interrogeai-je.
– Dans un cas comme dans l'autre, ça vous fera mal, mais si on le fait maintenant, vous aurez mal une fois pour toutes et en plus, je le ferai médicalement, ce qui atténuera la douleur. Qu'en pensez-vous ?
On se regardera, un peu inquiets, puis Cédric fit oui de la tête, et je dis au médecin qu'on était d'accord, car on s'aimait trop.
– Je vais vous le faire en même temps, je vous mets une électrode gonflable dans votre petit trou et une autre à la base de votre petit zizi, la machine pourra ainsi les faire devenir tout dur et tout mou en fonction des réglages. Chaque fois qu'il sera tout mou, je descendrai un peu plus votre petite peau pour qu'elle soit étirée quand votre petit zizi durcira. Ne vous retenez pas de crier ou de pleurer, laissez-vous aller, ça rendra les choses plus faciles et moins douloureuses pour vous.
Il fit comme il avait dit, il plaça les électrodes et celle du petit trou entra facilement, et avant de commencer le décalottage, il fit quelques essais, rendant notre petit zizi tout dur, puis le faisant se ramollir complètement, c'était loin d'être désagréable et ça m'excitait très fort, je sentais aux pressions des doigts de Cédric qu'il trouvait ça aussi chouette que moi. Puis le vrai travail commença, il mit l'appareil en mode automatique et descendit très progressivement les petites peaux, millimètre par millimètre, au départ, cela tirait bien un peu mais nous n'avions pas trop mal, mais au fur et à mesure de l'avancement, nous nous serrions de plus en plus fort les mains, nous regardant l'un l'autre, les larmes finirent par couler, mais aucun de nous n'avait encore crié. Ça ne dura malheureusement pas, une douleur intense parcourut tout mon petit zizi et je hurlai, tout comme Cédric.
– C'est fini, les enfants, la douleur va passer.
– C'est vrai ? La petite peau a passé le petit bout ?
– Oui, regardez.
– Wouah ! C'est chouette, sommes-nous parvenus à dire entre deux sanglots.
– Mais pourquoi vous ne laissez pas retomber nos petits zizis ? Ai-je demandé.
– J'attends que la douleur se calme, attendez que je vaporise un anesthésiant, et je ferai ensuite coulisser vos petites peaux.
– On aura encore mal ?
– Presque pas si vous restez bien calmes et détendus.
Le produit qu'il a vaporisé a calmé instantanément la douleur, puis il s'est mis à faire des va-et-vient complets, cachant et découvrant entièrement les petits bouts. Il nous détacha et nous demanda de continuer nous-mêmes pendant dix minutes, et la petite peau coulissait de mieux en mieux. Cédric et moi en pleurions de joie.
Le docteur se pencha alors sur mon petit zizi et se mit à me sucer sur le bout démuni de petite peau, je ne tardai pas à lui donner mon lait qu'il avala. Il fit de même avec Cédric qui eut énormément de plaisir.
– Je les laisse redescendre, mais vous devez continuer plusieurs fois par jour, à chaque temps libre, même pendant les récrés.
– Devant tout le monde ?
– Bien sûr, rien de plus normal ici. Alors, contents ?
– Oui, Docteur, merci.
– Et si vous me faisiez une petite faveur ?
On a compris ce qu'il attendait de nous et nous avons fait comme avec le directeur, le déshabillant et lui faisant nous donner son lait.
– Revenez demain pour la piqûre, vous avez assez souffert aujourd'hui.
– Vous pouvez me la faire, maintenant, Docteur, autant en être quitte. Lui affirmai-je.
– À moi aussi, Docteur.
– Je dois vous rattacher, alors.
– On ne bougera pas, c'est promis.
– Je ferai une exception, mais ne le dites pas aux autres. Couchez-vous, alors.
Nous avons bien sûr crié et pleuré quand l'aiguille a pénétré chacune de nos petites boules, mais nous étions fiers de n'avoir pas bougé.
– Allez, les enfants, regagnez vos classes.
– Au revoir, Docteur, avons-nous dit en l'embrassant sur la joue, il nous a dit « mieux que ça », et nous lui avons donné un chaste baiser sur les lèvres avant de repartir tout heureux vers nos classes respectives.
Dès mon arrivée en classe, le prof s'adressa à moi.
– Petit Florian, le décalottage par la médecin a-t-il réussi ?
– Oui, Monsieur.
– Tu as l'autorisation de continuer tes exercices pendant les cours, pour autant bien sûr que tu restes calme et concentré, si jamais tu allais jusqu'à donner du lait, tu serais puni, on est bien d'accord ?
– Oui, Monsieur, merci, Monsieur.
D'autres garçons furent appelés chez le médecin ce matin, et ceux qui avaient le même problème que moi et s'étaient fait soigner par le docteur purent aussi faire glisser leur petite peau. À la récré, mon amour me dit que dans sa classe il avait eu le droit de faire glisser sa petite peau aussi. Nous avons passé toute la récré à nous exercer selon notre méthode habituelle, ce que voyant, d'autres garçons firent aussi, même si ce n'était que pour le plaisir.
Cédric et moi appréciions de sentir les langues jouer avec la base du petit bout et titiller le frein, c'était tout nouveau pour nous et nous étions heureux d'avoir été aidés par le médecin.
Au réfectoire le midi, nous fûmes surpris de voir qu'à nos places sur le banc, deux petites plaques avaient été posées avec un faux petit zizi, Hubert, le moniteur, mit du produit glissant sur ces faux zizis et entre nos fesses, nous comprenions que c'était pour habituer notre petit trou pour notre future première pénétration, Hubert nous dit qu'à chaque repas, le faux zizi serait un peu plus gros, et qu'après le repas, nous pouvions emporter ces zizis avec nous pour les utiliser quand nous le pouvions et bien sûr, veiller à les laver si besoin était.
Cédric n'eut pas de difficulté à s'empaler sur le sien, pour moi, ce fut un peu plus pénible, ça n'avait rien à voir avec un ou deux doigts de mon Cédric, j'y réussis cependant après une minute d'efforts. Nous n'étions d'ailleurs pas les seuls à pratiquer cet exercice. Au dîner, nous avons rendu les faux zizis bien nettoyés et deux autres nous attendaient, un peu plus épais. Cédric, qui avait déjà pratiqué cet exercice durant l'année put s'asseoir sans trop de mal, moi, par contre, j'ai eu les larmes aux yeux, et Cédric m'encourageait, me faisant penser que, bientôt, ce serait son petit zizi qui viendrait rendre visite à mon petit trou.
Le soir, peu avant l'extinction des feux, nous avons eu la visite du médecin qui vérifia, non seulement le décalottage, mais aussi l'assouplissement des petits trous. Pour la nuit, il nous plaça un plug pas très gros, mais qui, vibrait agréablement et régulièrement se gonflait et se dégonflait, il le régla pour que ça ne nous fasse pas mal et que nous puissions nous endormir, malgré sa présence.
– Tu verras, bébé, c'est très agréable.
– Tu l'as déjà eu ?
– Oui, l'an passé pour pouvoir faire l'amour avec mon ami.
– Et pourquoi, tu dois refaire les mêmes exercices maintenant ?
– Parce que ton petit zizi est plus gros, et le médecin veut que pour notre première fois à deux, nous ne ressentions que du plaisir et bien sûr aucune douleur.
– Vivement demain soir, mon petit amour.
– Tu verras, c'est merveilleux de faire l'amour à deux.
Bercés par les vibrations entre nos petites fesses, nous nous sommes rapidement endormis dans les bras l'un de l'autre, nos petits zizis se caressant indépendamment de notre volonté.
C'est le docteur qui vint nous réveiller le lendemain en nous embrassant sur les lèvres. Il nous demanda de nous mettre à quatre pattes sur le lit et commença à nous caresser les fesses tendrement.
– Alors, les enfants, vous avez bien supporté mon plug automatique ?
– Oui, Docteur, c'était super, ai-je répondu.
– Je vous le retire et vois où vous en êtes. ... Parfait, tout ça, nous dit-il en introduisant plusieurs doigts en même temps dans chaque petit trou.
...
– Voyons vos petits zizis.... Les petites peaux coulissent pas mal du tout, ça ne vous fait pas mal ?
– Non, Docteur, avons-nous répondu conjointement.
– Pour que vous soyez prêts pour votre grand soir, deux solutions : soit les plugs sur vos bancs pendant les repas, soit, vous gardez celui-ci et je le règle plus fort, sachant que, si vous criez pendant la journée, vous risquez d'être punis.
– T'en penses quoi, bébé ?
– Décide, Cédric, je ferai comme toi.
– OK pour le gonflable pendant la journée.
– Allez vite aux WC vider vos petits culs, et je vous le remets.
– Viens, Bébé, on y va vite.
Dès notre retour, il vérifia notre propreté, et nous demanda de nous lécher le petit trou pour qu'il soit impeccablement propre, ça m'ennuyait de faire ça devant un adulte, mais il était tellement gentil avec nous que je l'ai fait spontanément. Il remit les deux plugs et les régla. Ils restaient un minimum gonflés dans notre petit trou pour ne pas en sortir et il ajusta les réglages pour le gonflement maximal, à la limite de la douleur. Il sortit de sa poche une ceinture assez spéciale, à l'arrière, une bande pour éviter que le plug s'échappe et devant, un « V » passant de chaque côté du petit zizi. Nos petits zizis étaient devenus tout durs et il nous coucha sur le dos pour nous sucer l'un après l'autre, il apprécia mon lait et fit beaucoup de plaisir à Cédric.
Il se redressa et baissa jeans et boxer et nous avons foncé pour lui faire donner son petit lait.
– Ne le dites pas aux autres, les enfants, mais j'ai un petit faible pour vous deux, vous êtes si mignons, mais ne le dites surtout pas aux autres enfants.
– Vous êtes gentil, Docteur, nous boirons votre lait chaque fois que vous en aurez envie.
– Allez, debout, les enfants, il est l'heure. Je reviendrai ce soir après le dîner.
.La journée ne fut pas facile pour moi, quand le plug se gonflait, il appuyait sur l'avant de mon ventre et mon petit zizi se redressait immédiatement, j'avais peur que mon lait sorte et que je me fasse punir. Heureusement, à la récré, je pus le donner à Cédric, et quand je pris son petit zizi en bouche pour le décalotter, je sentis quelque chose en sortir qui n'était pas du pipi, mais comme je pouvais m'être trompé, je ne lui dis rien.
Nous fûmes exemptés de sport l'après-midi, à la demande du médecin, et heureusement, car le plug devenait de plus en plus gros dans notre petit trou, et j'avais de plus en plus de problèmes à ne pas crier quand il se gonflait. Nous avons donc passé l'après-midi dans notre chambre, continuant les exercices de décalottage, mais en évitant de jouir, nous voulions être en pleine forme pour le soir.
Après la douche et le dîner, nous sommes remontés à la chambre, le docteur nous y attendait déjà, tout souriant de nous voir arriver, nous l'avons embrassé sur les lèvres, mais il sortit sa langue, je l'ai donc bien embrassé et Cédric a fait de même. Il nous mit à quatre pattes après avoir retiré les ceintures spéciales, et arrêta le mécanisme, le plug se rétrécissait dans notre petit trou et il put le retirer, il nous demanda de rester comme ça et est parti nettoyer les deux objets.
Quand il revint, il examina les petits trous en ayant enduit ses doigts d'un liquide sorti d'un flacon qu'il avait emporté, il était satisfait. Il vérifia alors le décalottage et constata que nos petits zizis étaient légèrement plus larges et longs que la semaine passée, il tâta nos petites boules, les faisant rouler sous ses doigts, ce qui nous fit gémir et durcir tous les deux.
– Voilà, les enfants, je vous laisse le flacon, mettez-en dans le petit trou et sur le zizi, ce sera plus facile amusez-vous bien tous les deux, je vais vous laisser à vos amours.
– Bébé, j'ai envie qu'il reste.
– Moi aussi, vous voulez bien, Docteur ?
– Je suis content que vous me le demandiez, j'en avais envie mais je n'osais pas.
– On vous aime bien, Docteur.
– Je reste avec vous jusqu'au couvre-feu, mais pour que vous soyez plus à l'aise, je vais me mettre tout nu comme vous.
– Vous êtes vraiment formidable.
On le regarda retirer vêtement après vêtement, il enleva même ses chaussettes, ce jeune médecin était vraiment magnifique, bien proportionné, pas un poil de ventre, et pas un poil sur le corps non plus, en plus il s'était parfumé, je me suis dit alors qu'il espérait qu'on l'invite à rester près de nous. Il s'assit sur une chaise près du lit et nous sourit très gentiment.
Cédric et moi nous sommes regardés, nos bouches se sont approchées et nos langues se sont battues entre nos lèvres, le grand moment allait arriver et nous étions excités comme des puces, nous nous sommes léché tout le corps, nous suçant chaque orteil, nous suçant le petit zizi.
– Je veux ton petit zizi dans mon petit trou, bébé, m'implora mon petit amour.
– Prépare-moi, je te donne le flacon.
– Hmmm, ça sent bon, comme le docteur.
– Fais bien durcir mon petit zizi.
– Le docteur a raison, il a grandi depuis que tu es arrivé à St Joseph. Je me mets à quatre pattes ?
– Oui, mon petit amour.
Je me mis à lécher son petit trou comme j'adorais le faire, il s'ouvrait tout seul, beaucoup plus qu'il ne l'avait jamais fait, je pouvais presque voir l'intérieur et je pus y pousser le maximum de ma langue pour faire la tourner, Cédric poussait son derrière vers cette langue qui était à l'intérieur de lui et il commença à faire des va-et-vient sur son petit zizi, je l'en empêchai, lui disant qu'il devait rester prêt pour moi, ce qu'il comprit de suite.
Avec le liquide du flacon, je pus entrer facilement trois doigts dans son petit trou, que je remplaçai par mon petit bout avec lequel je caressais l'entrée de son petit trou, il me suppliait d'entrer mon petit zizi en entier.
Je poussai un peu et mon zizi entier fut aspiré dans son petit trou, il gémit longuement de plaisir, il n'avait pas eu mal du tout, et d'instinct je fis aller mon pubis vers lui jusqu'à ce que mon ventre soit contre ses fesses. Je commençai instinctivement à avancer et reculer, et de sa bouche sortaient des petits cris aigus comme ceux d'un bébé. Je regardai le docteur qui nous souriait en faisant monter et descendre sa petite peau, du bout de son zizi, coulaient de petites gouttes de son lait qu'il récupérait avec un doigt pour le sucer, cela m'excita encore plus, et mes mouvements se firent plus rapides. Cédric s'abandonnait à moi et j'osai des mots interdits à St Joseph, mais le docteur souriait toujours.
– Qu'est-ce qui se passe avec mon petit zizi ? Il coule blanc.
– Tu as du lait, mon petit amour, tu es devenu un grand garçon.
– Continue, ça fait du bien.
Tout son corps se tordit de plaisir et du lait s'échappa de son petit zizi pour tomber sur les draps, je continuai mes mouvements, je voulais lui donner mon lait à mon tour, ce qui ne tarda pas. On s'affala sur le lit et le docteur vint glisser son doigt sur les draps.
– C'est vrai, petit Cédric, c'est ton lait qui est sorti de ton petit zizi. Je suis fier de toi.
– Merci, Docteur, c'est grâce à vous.
– C'est surtout grâce à mes piqûres dans tes petites boules qui t'ont fait si mal.
– Je suis content que vous les ayez faites, Docteur, et vous pourrez encore m'en faire pour que mon petit zizi devienne plus grand.
– Il est déjà assez grand pour faire plaisir à ton bébé, c'est ton tour.
Cédric ne mit pas longtemps à comprendre, il me poussa pour que je me mette à quatre pattes, écartant avec force mes genoux pour bien avoir accès à mon petit trou dans lequel il plongea sa langue qui est allée beaucoup plus loin que d'habitude, je frémissais sous ses coups de langue, c'était vraiment trop bon. Trop excité, il ne prit pas la peine de mettre un ou plusieurs doigts, il positionna son petit bout et entra tout son petit zizi d'un seul coup, ce qui me fit crier.
– Je t'ai fait mal ?
– Non, mon petit amour, j'ai été seulement surpris, vas-y, fais-nous du bien.
Je me mis à couiner comme il l'avait fait, avec ma voix d'il y a quelques années, son petit zizi, bien qu'encore mince me faisait un bien fou, je l'encourageai à y aller à fond et il devint sauvage, mon petit trou était à sa disposition et il en a profité, son ventre tapait sur mes fesses, il me tenait par les hanches pour s'enfoncer chaque fois à fond, il touchait ce point sensible à l'intérieur et je sentis mon lait sortir de mon petit zizi, je criai de plaisir, lui continuait, n'étant pas encore arrivé au sien, son petit zizi allait maintenant à toute vitesse, sortant et rentrant, c'était une grande première pour moi et je trouvais ça fabuleux. C'est lui maintenant qui criait des mots interdits, et quand il jouit, je sentis un jet de liquide chaud frapper l'intérieur de mon petit trou. Il lâcha un grand soupir, comme s'il était triste que ce soit fini.
On se coucha sur le lit dans nos traces de lait, et le docteur vint nous caresser tendrement. Sans nous concerter, nous avons joué avec son zizi tous les deux, il était dur comme du béton. Je fis un clin d'œil à Cédric, auquel il répondit en souriant.
– Docteur, c'est à toi, maintenant. Lui avons-nous dit en souriant et en nous mettant à quatre pattes, lui exposant bien nos petits trous.
– Mes enfants, mes enfants, fut tout ce qu'il trouva à dire.
Il nous fit nous coucher sur le bord du lit, tenant nos jambes en l'air. Il mit du produit du flacon sur son zizi, puis, prudemment, il me pénétra sans douleur, il fit de même chez Cédric. Puis, il alla d'un petit trou à l'autre, c'était phénoménal de sentir son zizi d'adulte entrer au fond de moi et Cédric gémissait autant que moi quand il l'enfonçait chez lui.
C'est chez moi qu'il envoya son premier jet de lait, je le sentis bien, il se retira en toute vitesse, le deuxième jet atterrit sur les draps, et il s'enfonça en Cédric pour lui envoyer les derniers, puis il se coucha sur le lit, nous attirant de chaque côté de lui et nous serrant contre lui.
– Merci, mes enfants, je vous adore.
– Nous aussi, on t'aime, Docteur, merci pour tout, et on est prêts à recommencer avec toi, lança Cédric, parlant pour nous deux.
– L'heure du couvre-feu est passée, venez dans ma chambre pour prendre une douche.
– D'acc, Docteur.
On se partagea ses vêtements à porter et, nus tous les trois, nous sommes allés chez lui. Dans sa grande douche italienne, il nous lava tous les deux tendrement à mains nues. J'aimais ses mains d'adultes que je sentais amoureuses de mon corps, je fis la comparaison avec mon père, dur et froid dans sa tête qui ne m'avait jamais lavé, ni touché mon corps de ses mains.
– Petit Florian, pourquoi viens-tu de dire « papa, je te hais » ? Me demanda le docteur.
– J'ai dit ça, moi ?
– Oui, bébé, tu ne t'en es pas rendu compte.
– Moi aussi, mon père était un salaud, ajouta Cédric, les larmes aux yeux.
– Je connais vos dossiers, je sais que vous avez beaucoup souffert, nous dit-il, les yeux humides et nous serrant contre lui sous les flots d'eau chaude.
Nous pleurions tous les trois, cet adulte nous aimait vraiment, c'était tout nouveau tant pour Cédric que pour moi, pour ma part, je me sentais tout perdu, découvrant l'amour qu'un adulte qui n'était pas mon père pouvait éprouver pour moi.
– Comment tu t'appelles, Docteur ? Osai-je lui demander.
– Fabien, mon petit poussin.
– Je peux t'appeler comme ça ?
– Oui, tant qu'on est que nous trois.
– Moi aussi, je peux ?
– Bien sûr, mon petit Cédric, je vous aime tous les deux, comme si vous étiez les enfants que je n'ai jamais eus.
– Tu nous aimes tant que ça ?
– Oui, vous êtes mes enfants, si vous le voulez bien.
– On peut t'appeler papa, alors ? Demanda Cédric.
– Oui, mes enfants, je voudrais être le papa tel que vous en rêvez.
– Papaaaaa ! Avons-nous sorti en même temps, nous pendant à son cou.
– A votre tour de me laver, puis nous irons dormir tous les trois dans mon lit, et faites pipi tout de suite pour ne pas oublier.
– Ici, dans la douche ?
– Bien sûr, l'eau rincera les petits zizis et le corps, allez, on fait pipi ensemble, une, deux trois.
Chacun a visé le corps des deux autres en se marrant, puis on a lavé Fabien, notre nouveau papa à deux, intérieur comme extérieur avec beaucoup d'amour, caressant tout son corps, nos bouches se sont emparées de son zizi et nos doigts de ses grosses boules. Nos mains se sont retrouvées sans nous être concertés sur ses fesses, il nous encouragea à faire de lui ce que nous voulions, et bien vite, nous avons rempli son petit trou de plusieurs de nos doigts.
– Continuez, mes enfants, mon petit trou est à vous comme les vôtres sont à moi, si vous êtes d'accord.
– Il est vraiment à nous, Papa ?
– Oui, mes petits enfants adorés, et au lit, vous pourrez même y mettre vos petits zizis.
– Je t'aime, Papa.
– Moi aussi, Papa, ajouta Cédric.
– Venez, je vous sèche et on va se coucher tous les trois.
– Dans ton lit, avec toi ? Lui ai-je demandé, assez surpris.
– Oui, Florian, tous les trois l'un contre l'autre.
Je me remis à pleurer, c'était trop beau, Cédric et papa m'entourèrent de leurs bras pour calmer mes larmes.
Notre nouveau papa nous entraîna vers son lit où il avait trois oreillers.
– Papa, tu avais prévu qu'on vienne dormir avec toi, lui demandai-je.
– Je l'espérais, petit Florian, de tout mon cœur, j'aurais été malheureux si vous n'étiez pas venus.
– Tu nous aimes tant que ça ?
– Plus que vous ne pourriez imaginer.
– Tu risques pas d'avoir des ennuis avec le directeur ?
– Pas du tout, vous n'êtes et ne serez pas les seuls à partager le lit d'un moniteur, d'un professeur, ou celui du directeur, même si vous êtes parmi les premiers à le faire cette année.
– Pourquoi tu m'as pas pris l'an passé ?
– Parce que tu n'avais que dix ans, je ne pouvais pas.
– Ah d'accord !
– Mais maintenant, tu en as onze et je vais te manger tout cru, dit-il en chatouillant Cédric le plus qu'il pouvait.
– Non, arrête, je ris trop, je vais faire pipi.
– Fais pipi, mon petit Cédric, dit-il en embouchant son petit zizi, tandis qu'il continuait à le chatouiller tout partout.
– Attention, Papa, ça vient.
– Fais, mon petit, dans la bouche de papa. Hmm c'est bon, Florian, viens près de moi, donne-moi ton pipi aussi.
Je le fis, un peu surpris quand même. Papa positionna ensuite Cédric sur le dos au bord du lit, lui releva les jambes et lécha son petit trou.
– Oui, Papa, encore, mets ton zizi en moi.
– Et toi, mon petit Florian, tu veux bien mettre ton petit zizi dans mon petit trou ?
– Oh oui, Papa.
Il plaça Cédric au bout du lit à quatre pattes, le souleva par le dessous des genoux pour l'amener à hauteur de son zizi et il le pénétra lentement mais en une seule fois, Cédric n'émettait que des gémissements de bonheur. Une fois entré à fond, il m'invita à me mettre debout derrière lui, je ne pus m'empêcher de mouiller son petit trou avec ma langue et je m'introduisis en lui complètement. Il proposa alors à Cédric de donner des coups de rein en arrière et à moi, des coups en avant, après une dizaine de va-et-vient, nous avons trouvé le rythme. Papa était entre nous, il partageait tout son corps avec nous. Des gémissements et des cris tant graves qu'aigus emplirent la pièce. C'était irréel, je faisais l'amour avec cet homme devenu il y a quelques minutes celui que je considérais comme un vrai papa aimant, et lui faisait l'amour à mon petit Cédric de 11 ans qui suppliait papa d'y aller plus fort, plus à fond, plus vite. Celui-ci bougea de moins en moins et, tournant la tête vers moi, me dit « Je ne fais plus rien, à toi de donner de bons coups pour que ton amour les sente bien. Il me laissait être le maître du jeu, je perçus ça comme une marque d'humilité de sa part et surtout de confiance en moi, mot que mon père ne connaissait pas. Je me mis à donner de grands coups de rein, je voulais entrer tout entier dans ce nouveau papa, et Cédric gémissait à chaque fois. Papa fut le premier à jouir, resserrant ses muscles sur mon petit zizi, ce qui me fit lui donner mon lait en longs jets.
Cédric n'avait pas donné le sien, je voulais qu'il le voie sortir, alors, nous l'avons mis sur le dos, la tête relevée par les trois oreillers empilés et on se mit à le caresser à quatre mains et deux langues, il était bien sûr aux anges et ne tarda pas à envoyer deux jets de lait presque transparent. Il regardait ça avec des yeux émerveillés. Nous l'avons léché à deux puis embrassé tour à tour, avant de nous coucher, blottis les uns contre les autres.
– Papa, je peux te poser une question délicate ?
– Vas-y, mon petit Florian, tu peux tout me demander.
– Pendant combien de temps vas-tu nous considérer comme tes enfants ?
– Aussi longtemps que vous resterez à St Joseph et que vous le voudrez, as-tu peur que je t'abandonne ?
– Tu sais, Papa, je ne connaissais rien à l'amour il y a une semaine, alors, je ne sais pas trop ce que c'est.
– Je le sais, mon poussin, sache simplement que je regrette de ne pas être ton vrai père, comme j'aurais aimé être celui de ton petit frère.
– Mon petit frère ? ? ?
– Ben oui, hein, vu qu'on a le même papa, rétorqua Cédric en sautant sur moi pour me chatouiller, accompagné de papa.
– Stop, vous allez me faire faire pipiiiiii.
– C'est ça qu'on veut, ajouta Cédric en rigolant et enrobant mon petit zizi de sa bouche que je ne pus que remplir.
– Mes enfants, il se fait tard, on se prend une petite douche et on dort. On se rinça simplement avant de revenir sur le lit
– Dis, Papa, devant les autres, on doit toujours dire docteur ?
– Non, vous pouvez parler de moi comme votre papa et m'appeler comme tel.
– Chouette, lui dit Cédric.
– Et pour dormir, on devra retourner dans notre chambre ?
– C'est vous qui choisissez, mes enfants.
– T'en penses quoi, mon petit amour ?
– J'ai jamais eu de vrai papa aussi gentil, alors je préférerais être avec toi et aussi avec lui.
– Moi aussi, tu veux bien de nous, Papa ?
Il se mit à pleurer et nous étreignit à nous en faire mal, mes larmes coulèrent ainsi que celles de mon petit amour.
– Ne pleure pas, Papa.
– Je suis trop heureux d'avoir trouvé deux fils comme vous, et j'en pleure de joie.
– C'est la première fois que je vois un adulte qui pleure, toi au moins, tu es humain, osai-je lui dire.
– Demain, il faudra que vous alliez voir le directeur et lui demander s'il est d'accord.
– Tu seras là aussi ?
– Non, il pense que vous devez pouvoir parler en toute liberté sans ma présence.
– Je comprends, Papa.
– Assez discuté, mes poussins, au dodo.
– Je peux me mettre entre vous ? Demanda timidement mon petit amour.
Papa et moi nous sommes fait un clin d'œil.
– Non, tu dors par terre !
– Rhooooo ! Vous êtes vilains, c'est pas vrai !
– Mais non, installe-toi qu'on t'écrase tous les deux, a conclu papa.
Je n'ai jamais aussi bien dormi de ma vie, papa avait sa main sur mes hanches et m'attirait tout contre Cédric, nous nous sommes endormis aussitôt, et le matin, papa, déjà debout, nous réveilla par un énorme bisou avec la langue, puis Cédric et moi nous sommes embrassés très, très fort, puis papa nous a pris les petits zizis en bouche pour boire notre lait, et nous nous sommes partagé le sien.
– Allez rejoindre les autres après avoir pris vos cours dans votre chambre, le directeur vous appellera pendant la journée.
– Oui, Papa, à tout à l'heure.
– Bisous, les enfants, et soyez sages.