Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : La voisine - Chapitre 3
Auteur : farahdib
Personnages : 1 homme, 1 adolescente
La plus jeune fille a 15 ans
Pénétration vaginale
Pénétration anale
Texte envoyé le 23/04/2012
Texte publié le 23/04/2012
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Résumé :
Mariane,ma voisine vient pour prendre des leçons d'informatique qui s'est transformé en leçon de baise effrénée
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
La voisine
Marianne est repartie chez elle attendre ses parents qui devaient en principe arriver dans l'après midi.
Je suis resté chez moi à débarrasser, faire un peu d'ordre.
Ma conscience a commencé à me tourmenter, je me demandais ce que j'ai fait, est ce que Marianne parlera ? ses parents remarqueront un changement sur elle ? j'étais tourmenté, je me suis dit il valait mieux que je disparaisse un certain moment pour être loin en cas de pépin.
Prendre un congé et partir quelque part, ce serait le mieux à faire.
J'étais dans mon tourbillon de pensées vaguant dans les risque cela me ferait courir en dépucelant une mineurs, les peines de prison, le scandale chez ma famille, mes collègues du boulot, eh bien merde je n'aurais pas du céder à la tentation.
La fille est belle d'accord, mais elle est mineure, je me voyais déjà embarqué par les flics, « sale pédophile »
Et devant le juge, la salle pleine à craquer, les gens me montrant du doigt et hop la sentence x années de prison.
J'étais déjà en prison dans ma conscience quand soudain j'entends sonner, je n'ai pas répondu, on a insisté,comment faire ça y est tout est fichu, ouvres c'est moi Marianne, c'est elle encore, qu'est ce qu'elle veut, j'ouvre, elle était là tout sourires, accompagné de son père
– Vous ne voulez pas ouvrir à vos voisins
– Si mais je n'ai pas entendu sonner,j'étais entrain de nettoyer ma salle de bains
– Voilà, je suis venu vous remercier
– Pourquoi ?
– Merci d'avoir pris soin de ma fille
– Oh vous savez,je n'ai fais que mon devoir
– Peu de gens le font si bien
– Comment
– Ne soyez pas modeste, elle nous a tout raconté
– Ah bon
– Même la nuit vous vous êtes occupé d'elle
J'étais abasourdi, elle leur a tout raconté, non je ne vais pas avouer tout de suite
– Oui j'ai tout raconté
– Quoi ?
– Le téléphone, la bouffe et même que tu étais inquiet tu m'avais demandé si j'avais peur de rester seule dans l'appartement.
– Ah bon
– Que tu es venu le matin me réveiller et que tu m'a apporté mon petit déjeuner et que tu m'as demandé si j'avais besoin d'argent pour manger
– Oh ce n'est rien entre voisins
J'étais soulagé, ah s'ils savaient
Là mon voisin m'invita à diner chez lui, j'ai refusé alléguant que j'étais occupé, il a insisté, Marianne aussi,
– Vous n'allez pas refuser une invitation
– Oh je ne sais pas, vous êtes fatigués du voyage
– Allez viens manger avec nous, me dit Marianne
– D'accord, je m'habille et je viens
Je me suis habillé et je suis allé chez les parents de Marianne. On me mit à côté d'elle à sa gauche, les parents nous faisaient face, sa mère était occupé à servir, le père me racontait leur mésaventure avec la voiture et un peu sur leur voyage, pendant que son père parlait Marianne avait la main gauche appuyée sur ma bosse, je n'arrivais même pas à écouter ce que me disait le père, je ne pouvais pas non plus faire de gestes brusques pour lui ôter à la fille ma main de mon entrejambe,quelle vicieuse.
Son père me demanda ce que je fais je lui dis que je suis dans l'entretien du matériel informatique, il me demanda si je pourrais jeter un coup d'œil sur son ordinateur après le repas.
Justement après le repas il m'amena à son bureau, il avait un vieil ordinateur qui démarrait difficilement, je lui dis que c'est vieux comme matériel, il m'a demandé conseil, je lui dis que le lendemain je lui trouverai une bonne machine, il me demanda d'initier sa fille à l'informatique, j'ai accepté mais dans la limite de mon temps libre, il était d'accord.
Le lendemain au boulot je lui ai bricolé une machine plus rapide que j'ai ramené le soir, il m'a dit tu la gardes et que Marianne viendra de temps en temps apprendre chez moi. Oh le gâteau sur la cerise,
Le lendemain Marianne m'attendait, elle portait encore son uniforme scolaire
– Me voilà, elle me dit,je viens pour le cours d'informatique
– Attends que je me prépare
– Je me change et je viens
– Amènes avec toi un cahier et de quoi écrire
J'aménage un coin et j'installe le PC.
Marianne est venue, elle portait toujours sa tenue scolaire,elle s'installe sur une chaise, j'ai commencé à lui expliquer ce que c'est qu'un ordinateur,comment il fonctionne, elle prenait des notes,tout en lui expliquant je lui montrai les pièces concernées, elle voulait apprendre.
Je lui ai posé quelques questions,elle arrivait à assimiler vite, elle me pose des questions je lui réponds.
Elle me demande d'arrêter parce qu'elle trouvait que cela suffisait pour ce jour là.
Elle jette son cahier et vient s'installer sur mes genoux
– Tu ne penses pas qu'on devrait prendre une recréation
– Oh non, et tes parents
– Mon père ne revient que demain, et ma mère est partie chez ma tante la voir à l'hôpital,elle ne pourra pas rentrer avant une vingt heures
Elle entoure mon cou avec ses bras et commence à m'embrasser, je lui rends son baiser, mes mains ont commencé à caresser ses cuisses, je suis remonté jusqu'à sa fente, surprise, elle ne portait pas de culotte et c'était humide, chaud et humide.
Mon doigt s'inséra dans cet antre le titillant doucement, le chatouillant à peine, Marianne m'etreignait de plus en plus et gémissait,
– Baise-moi, je te veux en moi
– Tout de suite
J'ai baissé mon pantalon et slip et j'ai retourné Marianne face à moi, elle s'est ouverte des jambes et s'est assise sur ma pine, et elle a commencé à me chevaucher en se tenant à mes épaules, elle gémissait, tout en s'empalant en entier,
– Oui, c'est bon, elle répétait
– Oui c'est bon je répétais moi aussi
Je lui ai ouvert sa chemise et j'ai attaqué ses seins, je les léchais les mordillait, et elle gémissait, sentant que j'allais jouir, je me suis retiré d'elle en la relevant et la posant sur le tapis, je l'ai retourné pour la mettre à quatre pattes, elle a compris ce que je voulais et elle a relevé son cul, je lui ai craché sur la rondelle et j'ai commencé à l'enculer, son trou avait repris les proportions normales il était serré, j'ai engagé le gland, ça lui a fait un peu mal, mais elle elle a résisté, petit à petit les centimètres de ma verge disparaissait dans ce fourreau de chair, et quand c'est arrivé jusqu'aux couilles je me suis arrêté un peu pour lui donner le temps de s'habituer au morceau de chair.
J'ai commencé des allers et venus lents, c'était un plaisir inégalables pour les deux,je gémissais à chaque mouvement, Marianne m'imitait, nous étions imbriqués l'un dans l'autre, le plaisir était mutuel, cela donnait à notre acte une situation solennelle
– Plus vite, plus vite, elle disait
Je me suis mis à la ramoner de plus en plus vite, à la fin on est arrivé au même moment à un orgasme paroxysmique, elle gueulait sa jouissance
– Oh que c'est bon, oh que je suis contente
– Moi aussi ma puce,
Quand j'ai fini de me vider les couilles dans ses entrailles je suis tombé à la renverse, tout en sueurs et elle s'est étendue de tout son long sur la moquette.
On est resté le temps de reprendre haleine, elle a pris un mouchoir en papier que je lui tendais, s'est bouché le trou du cul et est partie à la salle de bains faire sa toilette.
– La leçon d'aujourd'hui a été bénéfique
– Quelle leçon
– D'informatique
– Et de baise
– Ça c'est une leçon à réviser demain, elle me dit
Et elle est repartie chez elle.
Mon aventure avec Marianne va continuer tant qu'on sera discret,je l'aime ben cette pute