Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : Une culotte par semaine - Chapitre 4
Auteur : Emilie
Email : tite.emilie[_at_]yahoo.com
Personnages : 1 homme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 6 ans
Inceste
Pénétration anale
Urine
Scatophilie
Non-consensuel
Texte envoyé le 27/04/2012
Texte publié le 27/04/2012
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Résumé :
Emilie continue de faire la cochonne. Papa lui dit que désormais, elle n'aura plus droit qu'à une seule culotte par semaine.
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
Jeudi
Tu es venu t'allonger dans mon lit la nuit dernière. Tu le fais parfois depuis que je suis toute petite. Tu avais été si bizarre après la scène de la salle de bain, comme si tu avais envie de pleurer, comme si tu voulais te faire pardonner ce moment que tu m'avais donnée, que je comprenais pas non plus mais que je ne voulais pas oublier, que je pouvais pas balayer d'un revers de main comme tu m'y invitais. Tu m'avais mis mon petit pyjama, après la douche, puis m'avais préparée le repas, puis bordée dans ma petite couette rose comme si j'étais ta petite fille chérie, comme tu faisais lorsque tu étais un papa "normal", quand tu étais avec moi comme tous les papa du monde, comme s'il ne s'était rien passé, comme si tu ne voulais plus en parler du tout. Il y avait la grande histoire de Pomme d'Api, puis les bisous d'eskimos sur le nez, juste sur le nez, rien de plus. Juste un peu de douceur, de tendresse, et tu étais parti en laissant la porte entre-ouverte, en me faisant promettre de ne faire que des beaux rêves, des rêves de princesse uniquement.
Je m'étais endormie lorsque j'ai su que tu étais là de nouveau. Tu le fais parfois, c'est vrai, et je ne sais jamais comment réagir. Alors je fais semblant de dormir, je fais semblant de ne pas m'apercevoir que tu es là. Parfois, tu m'observes juste, ou bien tu passes tout doucement ta main sur mon corps, le long de mon pyjama. Parfois tu ne viens que pour ça. Et parfois, comme la nuit dernière, tu viens t'allonger à côté de moi. Tout doucement, tu te glisses dans mon lit de princesse, mon grand lit blanc dont je suis si fière, avec un petit baldaquin rose et blanc au dessus. Tu te glisses dans ma couette rose en prenant garde de ne pas faire de bruit, pas de gestes brusques. Je dors en chien de fusil, allongée sur le côté, le nez contre le mur, le nez dans mes doudous ou bien, parfois, rarement, encore dans une petite culotte, dans cette odeur de pipi ou de caca qui est la mienne et qui me rassure. Je dors en suçant mon pouce, en chien de fusil sur le côté, et je te sens te glisser contre moi, te glisser dans mon lit. Je sens ton corps chaud contre le mien, ton corps se lover, s'imbriquer contre le mien, comme une pièce de puzzle qui s'emboite tout doucement, mon dos contre ton torse, mes petites fesses callées contre ton zizi et le haut de ma tête contre ton cou. Je fais semblant de dormir, alors. Je m'efforce de garder à mon souffle son caractère un peu régulier et bruyant, je suce mon pouce, toujours, un peu fébrilement et tu dois entendre ces bruits de suscions intenses, saccadés, qui te rassures et t'amuses si souvent. Parfois, tu restes comme ça juste une minute, et puis tu t'en vas.
Parfois, comme la nuit dernière, tu t'attardes un peu plus longtemps. Je sens ton zizi tout dur contre mes fesses, à travers le coton de mon pyjama éponge. Je sais que c'est lui depuis toute petite. Je sens cette barre dure qui pulse un peu, cette barre brulante contre mes fesses, se lover dans la raie de mes fesses pendant que tu te serres contre moi, que tu m'embrasses tout doucement les cheveux, tout en haut de la tête, que ton souffle se repend sur mon visage, sur mon petit pouce que je suce toujours intensément. Parfois, ta main remonte le long de mes cuisses repliées, le long de mon ventre. Parfois, elle pénètre tout doucement dans le haut de ma culotte de pyjama, passe l'élastique et vient se poser là, légère comme une plume, sur ma zézette un peu humide de mon pipi de la nuit. Je sens ta main, ton doigt le long de ma zézette, ton doigt s'enfoncer un tout petit peu dans ma zézette, en prenant garde toujours de ne pas me réveiller, d'y aller le plus doucement possible, pendant que tu te serres toujours plus fort contre moi, que je sens ton zizi aller et venir tout doucement à travers le coton du pyjama le long de mes fesses, cette barre un peu dure dans la raie de mes fesses que je serre contre toi, que je blottis contre toi pendant que tu me caresses, que je suce encore un peu plus fort mon pouce.
Et puis il y a ce moment ou je sens le mouillé contre mes fesses. Je sais que ce n'est pas du pipi. Lorsque je touche après, lorsque je touche ma culotte de pyjama après que tu es parti tout doucement, ce n'est pas du pipi, c'est tout froid, un peu gluant comme du liquide pour laver la vaisselle. Ça fait une marque un peu sèche le lendemain, une marque un peu durcie dans le coton du pyjama, un peu désagréable. Et lorsque ce pipi sort de ton zizi, tu te serres contre moi, tu te serres si fort, ta main contre ma zézette, ton doigt parfois qui me fait mal dans ma zézette, et tes bisous tout doux sur le haut de mes cheveux. J'ai l'impression que tu pleures parfois, que tu me dis "pardon, Emilie, pardon ma Milie, dors ma Milie, pardon ma toute petite, il faut dormir, ce n'est rien", comme si tu sentais que je n'étais pas tout à fait endormie, comme si tu pleurais pour de bon, avant de sortir de mon lit, de reposer la couette sur mon corps et de quitter tout doucement ma chambre. Et je pleure aussi parfois. Je pleure parce que j'ai eu peur, parce que j'ai peur lorsque tu es comme ça, pas peur de toi vraiment, peur pour toi aussi peut être. J'ai honte aussi, j'ai honte d'avoir menti, d'avoir éprouvé du plaisir aussi, et en même temps d'être salie par ça, de sentir confusément que ce n'est pas bien, que tu ne devrais pas, que tu en souffres aussi. Alors je pleure tout doucement avant de m'endormir pour de bon, la trace mouillée et déjà froide sur mes fesses, imprégnant le coton du pyjama, et qui parfois a disparu au petit matin parce que j'ai fait pipi au lit.
Ce matin, tu étais comme tous les matins lorsque ça c'est passé dans la nuit. Tout gentil, tout doux avec moi. Je sais qu'il ne faut pas que j'en parle. Je sais qu'il faut que je fasse comme si j'avais dormi, comme si rien ne s'était passé. Tu m'as fait mes tartines de nutella, tu m'as servi mon chocolat et essuyé les moustaches que je laisse le long de mes lèvres après avoir happé goulument le bol, comme je faisais bébé avec le biberon. Tu dis que je continue de boire mon chocolat comme je faisais bébé, comme dans une panique de manquer, dans une avidité insatiable, et tu en rigoles souvent. Et puis tu m'as habillée. J'ai vu que tu étais un peu gêné de m'enfiler pour le quatrième jour la petite culotte déjà raide d'urine et noircie de mes cacas successifs, mais tu ne veux pas céder. Tu m'as dit tout doucement que c'était l'avant dernier jour. Que si je restais propre aujourd'hui, peut être que demain j'aurais le droit d'en mettre une neuve, peut être que j'aurais compris et que tu arrêterais là la punition, comme si tu en étais désolé à ton tour, comme si tu avais un peu honte aussi de me laisser partir à l'école dans cet état là. Tu m'as enfilée ma jolie robe en velours gris clair, celle dans laquelle je me sens belle, comme pour me consoler, comme pour me faire oublier l'état de mon petit sous vêtement. Peut être aussi parce que tu te dis que sous une robe, la peau respirera mieux, que moins d'odeurs s'en échappera, que la culotte déjà bien salle ne risquera pas de laisser les marques qu'elle peut laisser sur un pantalon.
J'ai jurée que je serai propre aujourd'hui et je tiens parole. Je me force, à la récréation de la cantine, à aller aux toilettes, bien que je répugne à ce moment. Je prends tellement sur moi pour m'enfermer dans la petite cabine dont la porte ne ferme jamais, pour baisser ma culotte en prenant bien soin de ramener ma robe sur le devant, pour si jamais la porte s'ouvrait, pour qu'on ne me surprenne pas dans cette position humiliante, cette position que je ne supporte pas moi même, assise sur la cuvette un peu sale, le visage un peu rouge et contracté de pousser, l'odeur de mon caca qui sort. Je déteste tellement ce moment. Mais je pousse, je sens comme une victoire mon gros boudin sortir de mon ventre et s'abattre dans l'eau en un "plotsch" qui me dégoute alors. J'ai pris du papier avec moi et je m'essuie tant bien que mal. Je déteste ça aussi, le papier contre mes fesses, les marques de caca qui restent sur mes doigts, mais je suis si heureuse d'y être parvenue, de m'être forcée et d'y être parvenue. J'ai fait mon caca dans les toilettes, tout mon gros pipi aussi, et je rentre légère comme une plume en classe, après la cantine. C'est à peine si un tout petit peu de pipi sort dans ma culotte pendant les cours de l'après midi. Juste un petit filet qui imprègne le coton et me rassure, humecte ma zézette sans mouiller la robe, sans mouiller vraiment la culotte, j'espère. Et je regarde à l'horloge 4h30 approcher.
Ilan s'est assis à côté de moi pour le cours de dessin. On change toujours de place pour le cours de dessin, parce que l'on va dans la salle d'art, où les tables sont plus grandes, où l'on peut étaler nos feuilles. Et Ilan est à côté de moi. C'est la dernière heure, celle que j'aime bien, j'aime tellement faire de la peinture et du dessin, je suis bonne en dessins, c'est une matière où je suis bonne et où la maitresse me félicite. Ça me fait du bien de me sentir bonne dans quelque chose. Mais je n'aime pas Ilan. Ilan ne m'aime pas non plus. Il est dissipé, dessine mal, fait toujours des bêtises. Et il m'embête. Il n'aime pas les filles, et moi moins encore. Il regarde mon dessin, fait "beurk" et se penche vers moi, vers mon oreille. Il me dit juste que je sens le caca. Juste comme ça. Il me dit que j'ai encore fait caca dans ma culotte, que je suis bien « l'Emilie caca », comme les autres m'appellent. Et je fais non de la tête. Je suis révoltée. Je fais non, c'est pas vrai. Il me demande alors pourquoi ça pue comme ça, et c'est vrai que ça ne sent pas bon. C'est vrai, que ma culotte sent fort, lorsque je bouge les jambes sous ma robe, que je j'ai remonté machinalement ma jambe sous mes fesses, sur ma chaise, pour me concentrer, une forte odeur est sorti de sous la robe.
Je sais que je sens la petite fille sale et je trouve ça tellement injuste, alors que je suis restée propre toute la journée. Ilan appelle la maîtresse. Il dit tout fort "Emilie a encore fait caca, ça sent trop mauvais ici". Alors la maîtresse s'approche de moi, s'agenouille devant moi et me demande si c'est vrai. J'ai les larmes aux yeux. Je balbutie que je n'ai pas fait dans ma culotte, que ce n'est pas vrai. La maîtresse est troublée. Elle passe la main sous mes fesses, à travers ma robe, puis la glisse tout doucement sous ma robe, dans ce geste tellement humiliant, ce geste qui fait rire tout le monde dans la classe. Elle tâte juste ma petite culotte et constate qu'elle est propre, en tous les cas qu'elle ne contient pas cette masse chaude et gluante qu'elle a l'habitude d'y trouver si souvent. Elle a senti l'odeur, elle aussi. Et elle me dit juste "il faut mieux t'essuyer Emilie, tu sais". Et cette parole fait rire tout le monde. Je suis rouge de honte, une larme me monte aux yeux tandis que je me mords les lèvres pour ne pas pleurer.
Lorsque la sonnerie retentit, je me souviens que je dois t'attendre jusqu'à cinq heures aujourd'hui. Je dois rester jusqu'à cinq heures dans la cours, avec ceux qui rentreront à l'étude ensuite, que leurs parents ne viendront chercher qu'à six heures ou six heures et demie. Je déteste ces jours où tu arrives un peu plus tard, où je suis obligée d'attendre dans la cours avec les enfants de l'étude. Je voudrais rentrer à la maison, te montrer que j'ai été propre, prendre le bain, sentir enfin le propre, sentir enfin tes bras, ton câlin lorsque tu es fière de moi. Mais je dois attendre encore et lorsque je descends dans la cour, il y a Ilan qui m'attend. Il est avec son frère, Kévin, un grand de CM2. Kévin est la terreur de l'école, comme Ilan est celle de notre classe. C'est le grand qui fait tout le temps des bêtises, le grand dont on a peur parce que lorsqu'il Ilan vient dire qu'on lui a fait du mal, il nous frappe parfois, il nous frappe pour venger son petit frère.
C'est moi qu'ils attendent tous les deux. Kévin a un sourire mauvais et me demande pourquoi j'ai dis à son frère que c'était un menteur. J'ai les larmes aux yeux, déjà. Je balbutie encore que je n'ai rien dit, mais Kévin m'a attrapé par le bras. Kévin m'a attrapé par le bras et me dit que je vais le payer, d'avoir traité son petit frère de menteur, qu'il sait bien lui qu'il n'a pas menti, qu'il sait bien que je suis « Emilie caca », que tout l'école le sait. Kévin m'entraîne dans les toilettes des garçons, il a la clé du local de la femme de ménage. Je ne sais pas comme il l'a eue, mais c'est dedans qu'il me pousse. Je tombe en trébuchant contre un balais, contre un sceau resté en travers, mais je n'ose pas pleurer, je n'ose pas crier, je suis tétanisée par la peur. Ilan a suivi son grand frère et chuchote surexcité ; "si, elle a fait caca dans sa culotte, elle pue Emilie, elle a fait caca dans sa culotte". Je sanglote de peur, toujours allongée par terre, alors que Kévin soulève ma robe, la remonte jusqu'à ma taille, dévoilant ma petite culotte jaune et marron de crasse. Les deux frères s'exclament. Ils crient devant moi que je suis dégoutante, qu'on dirait que j'ai fait déjà dix fois dans ma culotte. Ils rigolent tous les deux et je pleure, je ne sais plus quoi faire. J'aimerais qu'on vienne me délivrer, mais personne ne vient, aucune maîtresse ne m'a entendue, aucune maîtresse ne nous a vu entrer dans le local.
Kévin m'a relevée, il a baissé ma culotte et ma forcée à la retirer. Je suis toute nue sous ma robe, et il brandit ma culotte sous mon nez, la passant à Ilan, avant de la reprendre et de me la mettre sous le nez. Il me dit que je suis vraiment dégoutante. Il me demande de la garder sous le nez pour voir comme elle pue. Et puis il soulève ma robe de nouveau. Il dévoile ma zézette mes fesses et me dit qu'il va sentir pour voir si je suis sale. Je le vois se baisser, s'agenouiller devant moi et mettre son nez dans ma zézette. Il dit qu'elle pue, que je pue le pipi et que même ma zézette sent le caca. Il me demande pourquoi j'ai traité son frère de menteur alors que suis une sale cochonne. Et il m'agite de nouveau ma culotte sale sous le nez. Ilan joue avec ma culotte à son tour. Il a mis sa main sur ma zézette aussi, et il s'amuse avec son doigt, il me fait mal. Kévin a baissé son pantalon, son slip, et je vois son petit zizi long et tendu, pas comme le tien, mais long et tendu quand même, même s'il est beaucoup moins gros. Il me dit de me mettre à genoux et de sentir à mon tour. Son zizi sent le pipi, j'ai un haut le cœur. Je pleure de nouveau. Il me dit de le mettre dans ma bouche et je refuse. Alors Ilan presse son doigt dans ma zézette, la douleur me brule, il me dit qu'il va enfoncer jusqu'au ventre si je n'obéis pas à son grand frère, alors je prends ce long zizi tout dur et pisseux dans ma bouche, et je suce un tout petit peu sans savoir quoi faire. J'ai des hauts le cœur, son odeur, sa texture me dégoute. J'ai tellement honte. Kévin aussi sans doute parce qu'il s'arrête tout de suite. Il s'arrête, se relève et me traite de cochonne de nouveau. Et puis il fait ce truc incroyable. Il reprend ma culotte sale et l'étale par terre. Il s'agenouille au dessus, la tête au niveau de ma zézette de nouveau. Il me dit que je sens tellement mauvais que je ne mérite que ça. Je ne comprends pas qu'il fait caca dans ma petite culotte. Je sens l'odeur à un moment, et lorsqu'il se relève, je vois son boudin dans le fond de ma culotte et je ne sais pas quoi dire; je hoquète de terreur. Je suis tétanisée devant cette image de son caca dans ma culotte. Il dit à Ilan de faire à son tour. Il dit "chier", comme les grands, et ça fait marrer son petit frère. Son petit frère s'agenouille à son tour, et j'entends son caca sortir dans ma culotte, son caca s'empiler sur le boudin de son frère, en une masse qui me semble énorme dans le fond de ma culotte, une masse qui sent si fort, si mauvais, de l'odeur de leur caca de garçon.
Kévin me dit de remettre ma culotte, mais je reste paralysée. Alors il met son doigt dans mes fesses et j'ai envie de crier de douleur. Il dit qu'il n'arrêtera pas tant que je ne l'aurais pas remise. Qu'il remettra son zizi dans ma bouche, si je n'obéie pas. Je pleure, des larmes et de la morve plein mon visage à présent. Je saisi maladroitement la culotte pleine. Elle est lourde, elle sent si mauvais. J'ai peur de la renverser. Peur de ce que dira la femme de ménage, si elle trouve ce caca au milieu du local. Je passe une jambe puis l'autre, je remonte cette culotte si lourde, qui sent si mauvais. Je manque de vomir pour de bon lorsque je sens la masse des deux cacas de Kévin et d'Ilan entrer en contact avec mes fesses, la masse de ces cacas tièdes à présent contre ma peau, s'écraser un peu au contact de ma raie. Kévin et Ilan se sont enfuis en courant et je reste seule dans le local.
Je sors péniblement des toilettes. Je sais qu'il est 17h à présent, je sais que tu m'attends dans le préau. Je traverse la cour en larme, à tout petit pas, la masse du caca tiède jouant contre mes fesses, s'étalant doucement à mesure que j'avance. Je te vois dans le préau. Tu m'attends, tu me fixe, tu t'agenouilles vers moi lorsque j'arrive et je sais immédiatement que tu as deviné, à ma démarche, à mon visage ravagé par les larmes plus encore qu'à mon odeur. Je sais aussi que tu ne me crois pas lorsqu'à travers mes sanglots je prononce ces mots qui me semblent à moi-même absurdes "c'est pas mon caca, c'est pas moi qu'ai fait caca dans ma culotte". Je sais que tu ne peux pas me croire et que tu vas me punir, que tu vas me punir si fort parce que jamais il n'y a eu autant de caca dans ma culotte depuis que tu me nettoies les fesses. J'ai tellement peur de la punition.
Je sens ta colère instinctive, tellement forte aujourd'hui que je sais immédiatement que tu voudrais me punir ici, dans le hall de l'école. Tu me demande d'une voix forte, d'une voix qui me fait honte parce que tout le monde entend, ce que j'ai encore fait, et sans même attendre ma réponse me prend par la main vivement en m'assénant une grande claque sur les fesses. C'est la première fois que tu me fesses en public et je sais que tout le monde nous regarde. Ilan et Kevin sont là et n'ont rien perdu du spectacle. Ils ricanent et se moquent de moi en me désignant du doigt. Tu me traines par le bras pour sortir de l'école. Tu ouvres la portière de la voiture et lorsque tu me pousses vers le siège, je sais que tu vois pour la première fois ma petite culotte remplie à ras bord sous ma robe. Cette vision renforce ta colère. Tu me dis que tu as l'impression que je me suis retenue toute la semaine, rien que pour le plaisir de me donner en spectacle, pour le plaisir de jouer à la petite fille la plus sale de la terre.
J'ai balbutie de nouveau que ce n'est pas mon caca, mais tu ne m'écoutes pas, tu ne m'écoutes plus ; comment me croirais-tu de toute façon. Tu me demandes de me taire. Tu as glissé une serviette sur mon rehausseur et tu m'asseoies brutalement dessus. Je sens la masse énorme du caca de Kévin et d'Ilan s'étaler partout, déborder de ma culotte pour maculer la serviette et ma robe. Lorsque tu m'attaches, tu soulèves ma robe pour évaluer les dégâts et cette vision te provoque un frisson. Tu as plaqué ta main contre ma culotte, pendant que tu m'attaches et tu écrases à présent brutalement la masse de caca contre ma zézette, à travers la culotte, dans un geste que tu n'as jamais fait. Pendant quelques secondes, je sens ta main glissée sous ma robe plaquer mon caca contre ma zézette, tes doigts tourner comme pour la pénétrer à travers le coton maculé. J'ai mal et honte à la fois.
Tu m'otes ma robe souillée immédiatement, une fois la porte de l'appartement refermée derrière nous. Le caca a débordé partout. Il macule mes cuisses et le bas de mon dos. Lorsque tu passes ta main de nouveau, elle ressort toute brunie et cette vision te met hors de toi. Tu m'attrapes par les cheveux et me plaque ta main sale et grasse sous le nez en me criant « regarde dans quel état tu m'as mis, Emilie, dans quel état tu t'es mise. Tu me mets le nez dans la main maculée du caca d'Ilan et de Kévin et me frotte longuement le visage dedans, étalant la matière contre ma bouche, contre mon nez. Tu cries à présent « tu sens Emilie, comme il pue ton caca ? tu le sens ? je vais te corriger, maintenant, comme tu le mérites.
Tu as essuyé ta main contre ma robe de velours. Tu me tires par le bras jusque dans ma chambre. D'un geste violent, tu m'as prise par les aisselles et m'a jeté sur mon lit, sur ma petite couette rose de princesse. Je sanglotte, je balbutie à travers mes larmes que je veux prendre la douche, que je ne veux pas salir mon lit et mes doudous. Tu me réponds fermement qu'il fallait y penser avant, que je n'ai que ce que je mérite, que mes doudous connaissent mon odeur d'Emilie caca, de toute façon, qu'ils n'en peuvent plus eux non plus. Tu m'obliges à m'allonger sur le ventre, pendant que je me débats. Tu as plaqué mon visage tout gras de caca contre mon oreiller et je sens la matière infecte se mêler à mes larmes sur le coton rose. De l'autre main, tu as soulevé ma robe et tu me fesses à présent, je sens ta main s'abattre sur ma culotte pleine. Tu me fesses longuement, puis ta main se fait caresse, progressivement, caresses sur mes fesses toutes barbouillée de la matière brune et grasse. Je sais que l'on ne peut plus distinguer le coton de ma culotte, tant il est noirci, impreigné de caca.
Je sens que tu écartes doucement ma culotte pourtant, dévoilant par le côté mon petit trou pâteux, mon petit cucul. La raie de mes fesses est totalement remplie de matière, le bas de mon dos enduit de cette même pate nauséabonde.
Tu dis que papa va vérifier si Emilie la cochonne a encore envie de faire caca. Je sens l'un de tes doigts fouiller dans mon caca, à présent, dans la raie de mes fesses au niveau de mon petit trou. Je sens ton doigt au bord de mon petit trou. Je cesse de bouger, je m'abandonne, je sais qu'il n'est plus même la peine de résister. Tu me dis de pousser à présent, de pousser de toutes mes forces, pendant que mon petit trou s'ouvre à ton doigt qui s'y glisse doucement. Je sens qu'en poussant, mon caca est sorti à présent, en un long boudin mou et chaud. Je sais que mon caca a enrobé ton doigt, pendant que tu poussais plus fort dans mon petit anus, à mesure que je me vidais encore.
J'ai entendu la boucle de la ceinture de ton jean, puis ton pantalon s'abattre sur le sol. Je sais, la tête toujours noyée dans mon oreiller, ce qui va se passer à présent. Je sais qu'il est inutile de résister. Tu t'es allongé sur mon dos, appuyé sur tes avants bras. Je sens à présent ton zizi dur, tendu, contre la raie de mes fesses, aller et venir dans mon caca, creuser mon caca jusqu'à atteindre de nouveau mon petit trou. Je sens ton zizi appuyer sur le petit trou, appuyer sur la rondelle maculée d'une pression toujours plus forte, plus douloureuse. Tu me demandes de pousser, de pousser fort encore, comme si je voulais faire tout mon caca, et je sens ton sexe qui s'enfonce, qui se fraye son passage dans mon trou étroit mais si gras, si plein.
Ton sexe s'est enfoncé en moi à présent. La douleur est moins forte, mais j'ai peur, tellement peur de ce corps dans mon corps, dans mon corps que je ne contrôle plus. Tu vas et viens doucement. Tu as glissé ton visage dans mon cou à présent, et tu me murmures que tu m'aimes plus que tout au monde, que tu m'aimes tellement. Je sens ton souffle qui s'accélère, puis ce spasme soudain, cette décharge chaude à l'intérieur de moi et ton sexe qui se retire doucement, qui libère mon tout petit trou que je ne parviens pendant de longues minutes, ensuite, à maintenir fermé.
Tu t'es allongé à côté de moi, à présent, et je sais que tu pleures. Je sais que tu pleures comme souvent, en me disant que tu es désolé, que tu as hontes, que tu n'aurais pas du faire ça, que tu m'aimes tellement. Tes mains sont sur moi de nouveau, mais plus comme avant, ce sont des mains de tendresse, de compassion, des mains de papa, celle que j'aiment tellement sur mon corps, pendant que tu mis de nouveau que tu m'aimes, que tout ça ne se reproduira plus. Je te dis tout doucement que je t'aime aussi, et pour la première fois tu me souris.