Ceci est une nouvelle histoire complète.
Titre : Le monsieur - Texte complet
Auteur : cornelius
Email : nico.walker-8qhqhuk[_at_]yopmail.com
Personnages : 2 hommes, 1 petit garçon
Le plus jeune garçon a 9 ans
Exhibitionisme
Première fois
Inceste
Pénétration anale
Homosexualité masculine
Texte envoyé le 22/06/2012
Texte publié le 23/06/2012
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Résumé :
un souvenir d'enfance
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
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Quel âge avais-je la première fois ?
9 ans ? 10 ans ?
Je ne me souviens pas mais je me souviens très bien de cette fois si spéciale.
Papa m'avait emmené voir un monsieur que je ne connaissais pas dans un endroit de la ville que je connaissais encore moins. Quand le monsieur a ouvert la porte, je l'ai regardé et j'ai remarqué qu'il devait avoir plus ou moins l'âge de papa. Il était souriant et il avait un air gentil alors quand il m'a offert un jus d'orange et des gâteaux, je les ai acceptés en lui donnant en retour un sourire. Le monsieur, sans doute ravi de me faire plaisir, m'a passé la main dans les cheveux. Je me souviens avoir été surpris de ce geste, il ne me connaissait pas et pourtant il était déjà familier avec moi. Pourtant, cette main dans mes cheveux, je l'ai trouvé agréable, elle m'a fait penser à toutes les fois où papa le faisait avec moi depuis aussi longtemps que je me souvienne.
Papa m'a demandé de me mettre debout et je n'ai pas compris pourquoi il m'a demandé cela mais je l'ai fait, parce que j'aimais faire plaisir à papa. Le monsieur s'est mis à genoux devant moi et a commencé à défaire les boutons de ma petite chemisette blanche en me parlant, et si je ne me souviens pas de ce qu'il a dit, je me souviens qu'il avait une voix très douce. Je n'étais pas gêné d'être ainsi déshabillé par un monsieur, mon papa me déshabillait comme ça tous les soirs, et quand le monsieur a posé ses mains sur ma peau, j'ai constaté qu'il avait les mains très chaudes.
Quand le monsieur a enlevé mes petites chaussures et mes chaussettes, il a remonté ses mains le long de mes jambes jusqu'à la ceinture de mon pantalon qu'il a défait doucement. C'était curieux, le monsieur avait les mains qui tremblaient un peu en défaisant le bouton de mon pantalon, et j'étais moi-même un peu anxieux parce que je ne comprenais pas ce qu'il voulait ni pourquoi ce gentil monsieur tremblait. Quand je me suis retrouvé en petite culotte devant le monsieur, il a reculé un petit peu pour me regarder et il m'a souri. C'est curieux, ce simple sourire m'a rassuré et quand papa a demandé au monsieur de baisser ma petite culotte, j'étais déjà plus à l'aise.
J'avais l'habitude d'être tout nu devant papa, je savais qu'il aimait bien que je sois comme ça dans la maison et moi, j'aimais faire plaisir à mon papa. Et puis, je savais bien qu'en me mettant tout nu devant papa, j'aurai droit à une petite caresse sur l'épaule ou sur mes fesses et je me disais que c'était ainsi que mon papa m'aimait et me le montrait. Le monsieur a glissé ses mains chaudes sur mes hanches et a baissé ma petite culotte jusqu'à mes chevilles puis j'ai levé les pieds un à un pour pouvoir retirer complètement mon petit slip. J'étais tout nu devant le monsieur. Ca me faisait drôle d'être comme ça devant un monsieur que je ne connaissais pas mais papa me regardait en me souriant, et ça suffisait pour me rendre heureux.
Le monsieur ne me regardait plus dans les yeux, mais il regardait entre mes jambes. J'ai baissé la tête aussi pour regarder ce qui le fascinait tant, c'était mon zizi. Il était petit, lisse et juste en dessous, il y avait mes petites boules qui pendaient un peu et le monsieur regardait tout ça en se mordant un peu la langue et ça m'a fait penser à mon petit chien quand papa lui donnait un os à manger. Après s'être relevé, le monsieur s'est assis dans le canapé et m'a attiré doucement vers lui pour que je m'asseye sur ses genoux. C'était bizarre parce que j'étais souvent assis tout nu sur les genoux de papa, mais là, c'était sur les genoux d'un monsieur que je ne connaissais pas, et pourtant, c'était confortable.
De ses mains chaudes, le monsieur m'a fait appuyer mon dos sur son ventre, il était dur et je me suis dit qu'il devait faire du sport comme papa. Les deux mains ont ensuite écarté mes petites cuisses imberbes et ont commencé à les caresser. Papa, assis en face de nous, nous regardait et je me souviens que j'ai vu sa main bouger dans la poche de son pantalon. La main droite du monsieur est remontée vers le haut de ma jambe et elle a frôlé mes petites boules et mon petit zizi puis a continué jusqu'à trouver un de mes petits tétons qu'elle a caressé un peu puis la main est redescendue entre mes jambes.
Le monsieur a pris mon zizi dans sa main pour le cajoler un peu, et c'était la première fois que ce n'était pas la main de mon papa qui me touchait le zizi. Pourtant, le monsieur a fait comme papa, il a caressé mon zizi jusqu'à ce qu'il devienne tout dur et tout droit puis il a tiré doucement sur la peau pour sortir mon petit gland rose, que papa appelait ma petite fraise, de son écrin de chair. Le monsieur a fait monter et descendre sa main sur mon zizi tout droit et ça m'a fait le même plaisir qu'avec papa, ça m'a chatouillé et je me suis senti bien. Le monsieur m'a embrassé dans le cou comme s'il me connaissait depuis toujours, et je ne me souviens plus de ce que m'a dit le monsieur, mais c'était, je crois des petits mots doux.
Quand le monsieur s'est mis tout nu, papa a fait pareil et je ne savais pas qui regarder. J'aimais voir mon papa retirer ses vêtements et se mettre tout nu, mais j'étais aussi curieux de voir si le monsieur avait le même zizi que mon papa, et, effectivement, ils étaient pareils, tout droits et tout dressés tous les deux, et le petit garçon que j'étais était impressionné parce que si je voyais souvent papa avec le zizi dur, c'était la première fois que j'en voyais un autre, et en même temps. Le monsieur s'est rassis dans le canapé et m'a repris sur ses genoux. Je pouvais sentir son zizi tout dur juste sur la raie de mes petites fesses et je me suis souvenu de ce que papa me demandait toujours à ce moment là, de bouger un peu. J'ai ondulé comme papa me l'avait appris et j'ai senti le souffle du monsieur plus fort à l'arrière de mon cou.
Le monsieur a repris mon zizi dans ses doigts et l'a caressé mais je regardais papa devant nous qui se caressait aussi le zizi en nous regardant. J'aimais bien voir papa se câliner le zizi, il avait toujours un visage doux quand il faisait ça devant moi et il me disait des mots d'amour. Le monsieur sur lequel j'étais assis bougeait aussi un peu et j'ai senti son zizi devenir humide et glisser sur mon petit derrière et de temps en temps, je pouvais voir son zizi surgir entre mes jambes, je trouvais ça rigolo.
Le monsieur m'a allongé sur le canapé et il a voulu se coucher sur moi. J'ai eu peur qu'il ne m'écrase mais non, il se retenait avec ses bras musclés et il m'a fait des bisous partout, sur mon ventre, mes tétons qu'il a léchés, mon cou et un petit bisou sur mes lèvres. J'ai senti sa langue sur mes lèvres et je me suis dit qu'il faisait comme papa quand il me faisait des bisous, alors j'ai ouvert ma bouche et j'ai senti la langue du monsieur y entrer. J'ai fait comme avec papa, j'ai cherché à jouer avec la langue du monsieur avec la mienne et c'était un jeu qui me faisait du bien.
Le monsieur a ensuite embrassé mon cou, mes tétons, mon petit ventre, faisant dans l'autre sens ce qu'il avait fait quelques minutes plus tôt, mais après mon ventre, il a continué à descendre vers mon zizi tout droit. Le monsieur a fait un bisou juste en haut de mon zizi, et j'ai eu un petit frisson comme à chaque fois que papa le faisait. J'aimais bien les bisous de papa sur mon zizi, et celui du monsieur était aussi doux. Papa s'est levé de son fauteuil et s'est assis juste devant nous, par terre, et c'est à ce moment là qu'il a dit quelque chose au monsieur, il a parlé de pompe et je me suis demandé pourquoi il parlait de la pompe de mon vélo.
Le monsieur a ouvert la bouche et il a avalé mon zizi, d'un seul coup, et il a refermé ses lèvres dessus puis il s'est mis à aspirer mon zizi comme pour le mettre le plus possible dans sa bouche. Mon papa me faisait ça presque tous les jours, alors je savais que ça faisait du bien, et j'ai laissé faire le monsieur pendant que papa nous regardait en se caressant le zizi et je me souviens qu'il a dit quelques gros mots. La bouche du monsieur était très douce sur mon zizi, et à chaque fois qu'il repassait les lèvres du monsieur, mon zizi était de plus en plus mouillé et rentrait plus facilement à chaque fois dans la bouche qui me câlinait. Le monsieur grognait un peu comme papa quand il me faisait les mêmes câlins, et ses mains me caressaient partout à la fois, mais quand il a pris dans sa bouche en même temps mon zizi et mes petites boules, j'ai senti mon corps de petit garçon gigoter et trembler à tel point que papa a dû poser sa main sur l'épaule du monsieur pour lui demander d'arrêter parce que c'était trop tôt.
Le monsieur a arrêté d'embrasser mon zizi et il s'est redressé dans le canapé. J'ai regardé son zizi, il était tout droit et le monsieur le caressait de haut en bas en me regardant. Papa s'est relevé du sol et s'est assis à coté du monsieur et c'est à ce moment là qu'il a fait quelque chose de bizarre. Papa a pris dans sa bouche le zizi du monsieur et ça m'a fait tout drôle de voir papa comme ça parce que moi, je croyais que les papas ne prenaient dans la bouche que le zizi de leurs fils et que tous les papas faisaient ça mais qu'il ne fallait jamais en parler. Ben non ! Les papas pouvaient aussi embrasser d'autres zizis, je ne le savais pas. Il était beau mon papa, malgré tous ses muscles il faisait très doux quand il avait le zizi du monsieur dans sa bouche et qu'il lui faisait des bisous. Je ne sais pas si c'est ça, mais mon zizi est devenu encore plus dur et plus droit quand j'ai regardé papa et le monsieur.
La main de papa s'est tendue vers moi et je l'ai senti me caresser le zizi et ça m'a fait la même chose qu'à chaque fois parce que sa main un peu rugueuse me faisait du bien et me chatouillait mon zizi. Après, la main de papa a caressé mon petit derrière et en même temps, il m'attirait plus près de lui et du monsieur, si près que j'ai eu mon zizi tout droit juste devant la bouche de papa. Il a arrêté d'embrasser le zizi du monsieur et j'ai senti la langue de papa me faire des chatouilles sur le bout de mon petit zizi, et puis il a mis tout mon zizi dans sa bouche pour le téter comme je tétais mon pouce il n'y avait pas si longtemps. Moi, je voulais toujours que papa prenne mon zizi dans sa bouche, c'était trop bon quand il jouait avec sa langue et qu'il essayait de mettre mon zizi le plus possible dans sa bouche en l'aspirant. En plus, ça me faisait des chatouilles partout dans mon petit corps et ça faisait tellement plaisir à papa.
Le monsieur nous regardait et disait à papa que c'était beau de voir mon petit zizi dans la bouche de papa. Le monsieur s'est caressé le zizi un moment puis il m'a contourné pour aller se placer entre les jambes de papa et il lui a embrassé le zizi aussi. J'ai vu le monsieur ouvrir très grand la bouche et mettre tout le zizi de papa dedans, et j'étais étonné parce que papa avait un gros zizi et moi je n'y arrivais pas. J'étais un peu jaloux de voir le monsieur faire ça, c'était le zizi de mon papa et je croyais qu'il n'y avait que moi pour l'embrasser, mais je me trompais encore. Pourtant, plus le monsieur prenait le zizi de papa dans sa bouche, plus papa prenait le mien dans la sienne et c'était très bon, tellement bon que j'ai encore commencé à trembler alors papa a arrêté d'embrasser mon zizi, et le monsieur a aussi arrêté d'embrasser celui de papa.
Quand papa s'est redressé, j'ai vu que son zizi était tout mouillé de la salive du monsieur et ça rendait son zizi encore plus beau, il brillait. Papa m'a demandé si je voulais m'occuper de son zizi maintenant et j'ai dit oui bien sûr, parce que je voulais faire plaisir à papa mais surtout parce que j'adorais jouer avec son zizi, il avait toujours été mon jouet préféré. Même quand j'étais plus petit, j'essayais toujours de l'attraper et quand je l'avais dans ma petite main, je trouvais toujours rigolo de le voir changer de taille rien qu'en jouant avec. Quand j'avais découvert avec l'aide de papa qu'on pouvait lui faire des bisous, ça a été encore plus amusant parce que je pouvais en faire autant que je voulais. Puis quand papa m'avait dit que ce joujou pouvait se mettre dans la bouche, je n'avais pas hésité et je l'avais emmené entre mes lèvres pour le gouter, et comme j'avais aimé ça, je n'ai jamais arrêté depuis.
Je me suis mis à genoux entre les jambes de papa et j'ai attrapé son zizi. Le monsieur l'avait bien mouillé alors le zizi de papa glissait tout seul dans ma petite main et j'ai pu faire monter et descendre la peau plus facilement et de plus en plus vite comme papa aimait. Quand j'ai ralenti la vitesse, je me suis penché vers le zizi de papa et je l'ai embrassé pour lui montrer que je l'aimais puis j'ai fait plein de petits bisous dessus. Tout en tenant le zizi de papa dans ma petite main, j'ai posé mes lèvres sur le sommet de son zizi et j'ai ouvert la bouche petit à petit en descendant pour avaler le plus possible. Le monsieur à coté de nous se caressait le zizi en disant que c'était beau, et j'ai voulu lui montrer que je pouvais faire aussi bien que lui, alors j'ai mis le zizi de papa le plus profond possible dans ma bouche de petit garçon.
Moi aussi j'avais le zizi tout dur, et c'était parce que j'étais content d'avoir encore le zizi de papa dans la bouche alors je me suis caressé tout en jouant avec le zizi de papa avec mon autre main, et aussi avec ma langue. J'ai fait entrer et sortir de beau zizi de papa de ma bouche en salivant beaucoup comme il me l'avait appris, et en aspirant aussi doucement que possible tout en faisant assez fort pour que papa le ressente. Ca paraissait compliqué au début, mais maintenant, j'ai plutôt bon à ce jeu là, et c'est papa qui me disait que c'était bon. Quand j'avais le zizi de papa tout dans ma bouche, j'avais l'impression que papa était à moi, tout à moi son petit garçon. Papa a commencé à pousser des petits cris, et je savais que ça voulait dire que je faisais plaisir à papa, mais il a posé sa main sur mes cheveux pour me faire aller moins vite, alors j'ai ralenti pour être gentil avec papa.
Doucement, papa a retiré ma main qui tenait son zizi et il a mis mes doigts dans sa bouche pour les mouiller puis il a léché le creux de ma main. Je me suis demandé pourquoi il faisait ça, il ne l'avait jamais fait avant, et puis il a guidé ma main vers le zizi tout droit du monsieur assis à coté de nous. Papa m'a fait attraper le zizi et a serré doucement mes petits doigts tout mouillés dessus puis a fait bouger ma main de haut en bas et de bas en haut, comme je savais le faire sur le zizi de papa. Ca m'a fait tout drôle d'avoir un autre zizi dans la main, mais passé la surprise, je me suis rendu compte que c'était comme le zizi de papa, dur et beau à la fois. Quand papa a lâché ma main, j'ai continué à faire bouger ma main sur le zizi du monsieur tout en continuant à embrasser le zizi de papa.
Quand papa a sorti son zizi de ma petite bouche, ça m'a chagriné un peu parce que j'aimais beaucoup avoir le zizi de papa sur ma langue, mais papa s'est levé et m'a mis à genoux entre les jambes du monsieur. Papa s'est assis à coté de moi et a attrapé le zizi du monsieur en me disant que c'était aussi un beau zizi. C'est vrai que le zizi du monsieur était joli, mais moins que celui de mon papa pourtant papa m'a dit que ce zizi aussi méritait un bisou. J'ai réfléchi et je me suis dit que papa avait raison alors je me suis approché du zizi du monsieur que papa tenait toujours pour lui faire un petit bisou tout en haut. Quand mes lèvres ont touché le zizi, papa l'a frotté sur ma bouche fermée et elles se sont mouillées de quelque chose qui avait un gout un peu fort mais c'était bon.
Plus papa frottait le zizi sur ma bouche, plus mes lèvres s'écartaient toutes seules et petit à petit, papa mettait un peu plus du zizi du monsieur dans ma bouche. Finalement, quand tout le haut du zizi a été dans ma bouche, papa l'a lâché et j'ai eu le choix de le faire ressortir ou de l'avaler. J'ai voulu faire plaisir à papa, mais aussi au gentil monsieur qui m'avait fait des câlins, alors j'ai décidé d'avaler son zizi et de le mettre le plus possible dans ma bouche. Le monsieur a été très content et il m'a dit que j'étais un gentil petit garçon qui lui faisait bien plaisir. J'étais content que le monsieur me trouve gentil alors j'ai fait comme avec papa, j'ai joué avec son zizi dans ma bouche avec ma petite langue en l'avalant et en le faisant sortir, en l'aspirant le plus possible et en le mouillant avec mes lèvres. Ce n'était pas le zizi de papa mais il était quand même bon à embrasser et je voyais bien en regardant papa à coté de moi qu'il était fier de moi. Il me caressait les cheveux en me disant que j'étais son fils chéri et un petit garçon généreux.
J'ai fait des câlins au zizi du monsieur le plus longtemps possible et par moment, c'était le monsieur qui se soulevait du canapé pour mettre son zizi le plus profond possible dans ma bouche, mais comme j'avais l'habitude avec papa, ça ne me faisait plus tousser comme avant. Quand papa s'est relevé pour mettre son zizi à coté de celui du monsieur que j'avais dans ma bouche, j'ai été content, j'avais deux zizis pour jouer et je me suis dit que j'étais un enfant gâté. J'ai caressé le zizi de papa pendant que je prenais celui du monsieur dans ma bouche, et puis j'ai échangé les zizis. Le monsieur et papa étaient contents, ils se faisaient des bisous sur la bouche au dessus de moi en me caressant la tête tous les deux. J'étais content d'avoir les deux zizis dans la bouche, et d'être un gentil fils pour mon papa et un gentil petit garçon pour le monsieur.
Après, papa m'a mis à quatre pattes sur le canapé et il a relevé mon petit derrière en écartant mes fesses pour montrer mon petit trou au monsieur qui a dit qu'il était très joli. Papa a dû être d'accord parce qu'il a commencé à embrasser mon petit derrière, d'abord sur les fesses et puis juste sur mon petit trou. C'était quand la première fois que papa m'avait embrassé le derrière ? L'année dernière ? L'année d'avant ? Je ne sais plus mais je me souviens que ça m'avait fait tout drôle et là, ça faisait toujours pareil. Je sentais la langue chaude et mouillée de papa sur mon petit trou et quand il tirait sa langue dessus, je sentais l'entrée de mon derrière s'ouvrir, et ça me faisait comme de l'électricité dans tout mon corps et ça me chatouillait bien.
Papa a remplacé ensuite sa langue par son doigt et il a caressé en appuyant un peu sur mon petit trou et son doigt est rentré dans mon derrière. Ca faisait comme quand il prenait ma température quand j'étais malade, juste en un peu plus gros et le thermomètre, il le laissait dans mon derrière alors que là, il faisait entrer et sortir son doigt de mon petit trou en le tournant un peu. Je sentais le bout du doigt de papa gratter à l'intérieur de mes fesses, et je ne sais pas si c'est ça, mais à chaque fois, je respirais plus vite et je me sentais bien. Je ne voyais pas le monsieur qui était à coté de papa, mais il parlait de mon petit trou qui était ouvert ou offert, je ne sais plus. Le monsieur est passé à coté de moi et quand il est revenu, il tenait un tube dans sa main, et j'ai remarqué que c'était le même que celui que papa avait dans sa table de nuit dans sa chambre. J'ai entendu papa dire que c'était froid sur son zizi, et j'ai senti à mon tour du froid sur mon petit trou.
Le bras de papa m'a relevé et avec ses deux grandes mains, il m'a accroupi au dessus de son zizi, le dos tourné à lui. Je connaissais ce jeu là aussi, papa me le faisait depuis un moment et au début, c'est vrai que ce n'était pas un jeu amusant. Papa faisait très attention mais ça faisait un peu mal et pourtant pas plus que quand je tombais de mon vélo. Après, ça a arrêté de faire un peu mal et c'est devenu amusant. D'une main, papa a appuyé un peu sur une de mes épaules et de l'autre, il tenait son zizi droit au dessous de mon petit trou et je suis descendu doucement jusqu'à sentir son zizi à l'entrée de mon derrière. Je connaissais le truc pour que ça rentre facilement, il suffisait que je monte et que je descende sur le zizi de papa en poussant un peu dans mon derrière comme quand j'étais aux toilettes. J'ai senti le zizi de papa entrer dans mon ventre sans que ça ne me fasse mal, et petit à petit, il est complètement rentré dans mon derrière. J'étais emboité à mon papa comme mes legos quand j'étais petit.
Avec ses deux mains qu'il a glissé sous mes fesses, papa m'a soulevé et j'ai senti son zizi glisser vers la sortie de mon petit trou, mais juste qu'il ne sorte, papa m'a rassis sur son zizi qui était à nouveau au fond de mon derrière. Il a fait ça plusieurs fois et à chaque fois, ça faisait comme une pression dans mon ventre et ça me chatouillait de l'intérieur, pas seulement mon petit trou mais tout mon corps de ma tête à mes pieds. Je sentais le souffle de papa derrière moi sur mon cou, il était chaud et ca picotait mes petits cheveux en haut de mon cou, c'était rigolo. Quand papa a retiré ses mains, c'est moi, en bon petit garçon, qui suis monté et descendu sur le zizi de papa. Heureusement, je faisais du sport avec lui, ça m'avait donné un peu de muscles aux jambes, et du coup, c'était plus facile de monter et descendre mon petit trou sur le zizi de papa. Le monsieur devant moi me regardait, et il avait une tête drôle, il avait les yeux grands ouverts, la bouche ouverte aussi et il tirait un peu la langue, on aurait dit qu'il jouait à faire le manga et quand il m'a dit que j'étais un beau petit enculé, j'ai souri, même si je ne connaissais pas le dernier mot mais j'ai cru que c'était un compliment.
Pendant que papa prenait mon derrière et que le monsieur nous regardait, j'ai attrapé mon zizi tout droit pour le caresser, parce que je savais bien qu'avec le zizi de papa dans mon derrière, mon zizi à moi devenait plus sensible et plus facile à chatouiller. Comme j'étais assis sur le zizi de papa, il m'a demandé de mettre mes pieds sur ses genoux alors j'ai relevé mes jambes et j'ai fait ce qu'il m'a demandé et ça a écarté encore plus l'entrée de mon petit trou et papa a pu mettre son zizi encore plus profond dans mon derrière. Là, c'est papa qui a bougé ses hanches et qui a contrôlé le jeu, mais j'aimais bien aussi quand c'était papa qui bougeait en moi. Mon papa était fort et musclé, alors il m'a soulevé avec lui en se levant, sans sortir son zizi de mon derrière et il m'a mis à quatre pattes par terre. Là, il m'a attrapé les hanches et a continué à m'enfoncer son zizi et moi, mon corps a commencé à trembler et à gigoter comme si je ne le contrôlais plus.
Papa a retiré son zizi de mon derrière et m'a demandé de ne pas bouger. Il a écarté mes petites fesses et à montré au monsieur l'entrée de mon derrière tout ouvert. Papa a demandé au monsieur s'il voulait entrer dedans et il a dit oui. Moi, ça m'a fait un peu peur parce que je me disais que le monsieur avait moins l'habitude que papa et il pouvait me faire mal. Papa m'a rassuré et m'a caressé le dos et le ventre en me disant que le monsieur ferait attention, alors j'ai dit que j'étais d'accord, mais c'était surtout pour faire plaisir à papa.
Le monsieur a mis son zizi sur l'entrée de mon derrière et il l'a enfoncé tout doucement. J'ai laissé faire et je me suis senti rassuré parce que le monsieur faisait attention, et quand son zizi a été entièrement dans mon derrière ouvert, il a soupiré et je crois me souvenir qu'il a dit des gros mots en plus de dire que c'était bon. Le monsieur a fait entrer et sortir son zizi de mon derrière en me tenant les hanches pendant que papa me caressait le ventre et parfois sa main touchait mon petit zizi tendu comme il ne l'avait jamais été. Alors que le monsieur prenait mon petit trou, papa s'est mis à genoux devant moi et j'avais sous les yeux le zizi que j'aimais tant. Papa a frotté un peu le bout de son zizi sur ma bouche et j'ai ouvert les lèvres pour laisser papa mettre son zizi dedans. Le zizi de papa avait le goût de mon derrière et ça me faisait drôle de me gouter moi-même, mais c'était amusant. J'ai laissé papa balancer ses hanches pour me prendre la bouche parce que je ne pouvais pas en même temps embrasser le zizi de papa et avancer et reculer sur le zizi du monsieur derrière moi.
Le monsieur a continué à rentrer et sortir son zizi de mon petit trou, et j'ai senti son zizi devenir encore plus dur et le monsieur a commencé à pousser des petits cris de plus en plus rapides, et quand j'ai senti un liquide chaud envahir l'intérieur de mon petit derrière, j'ai su que le monsieur avait eu un grand plaisir. Ca faisait comme avec papa quand il déposait son liquide chaud dans mon derrière, et après, le zizi sortait tout seul, curieusement redevenu plus petit. Papa a enfoncé encore plus son zizi dans ma bouche et il a tenu ma tête bien droite, et il m'a dit de faire attention parce qu'il allait jouir. Je connaissais ce mot, ça voulait dire qu'il allait mettre son liquide chaud dans ma bouche et effectivement, j'ai senti des jets sur l'intérieur de mes joues. J'ai avalé un peu de liquide chaud mais il y en avait trop et un peu est sorti par le coin de ma bouche. Au début, j'appelais ça le lait de papa car je croyais que les papas faisaient du lait comme ça et papa me disait de le boire parce que ça aidait les petits garçons à grandir. Je savais bien maintenant que ce n'était pas vrai mais je continuais à le boire quand même parce que je m'étais habitué au gout et surtout ça faisait tellement plaisir à papa.
Comme j'avais été un gentil garçon pour le monsieur et mon papa, ils m'ont tous les deux caressé et embrassé le zizi à tour de rôle mais parfois en même temps, et ça me chatouillait beaucoup. J'ai senti mon corps de petit garçon s'agiter, gigoter dans tous les sens et j'ai respiré plus vite. Tout à coup, j'ai senti comme si une vague tombait sur moi et une sensation au bas de mon ventre, tous mes muscles se sont tendus et j'ai manqué d'air alors que je tressautais comme un diable sur un ressort. Je savais bien comment papa appelait ça, il disait que je jouissais à sec.
Après que papa et le monsieur se soient reposés, nous avons encore bu un jus de fruit en restant tous nus, et après nous sommes rentrés à la maison. Dans la voiture, papa m'a dit qu'il était très fier de moi et qu'il m'aimait plus que jamais. J'ai parfois revu le monsieur et quelques fois, il y avait un autre papa avec lui et son petit garçon de mon âge. Avec le petit garçon, on est devenu des bons copains et on jouait à l'amour sur le lit du monsieur alors que son papa, le mien et le monsieur nous prenaient en photos ou nous filmaient, et parfois, ils venaient tous jouer avec nous.
Perdu dans mes merveilleux souvenirs d'enfance, j'ai failli rater la route qui m'emmenait à ma destination. Quand je me suis garé devant la maison, j'ai regardé mon fils à coté de moi, il avait le même âge que moi quand j'ai rencontré le monsieur la première fois, et il avait reçu la même éducation que moi également, sauf que j'avais bénéficié de l'aide de papa pour son éducation sexuelle. Mon petit garçon était prêt pour l'étape suivante que j'avais moi-même connue, rencontrer un monsieur, celui qui nous attendait dans la maison.