Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : A la pêche - Chapitre 1
Auteur : cokinou
Personnages : 1 homme, 1 petit garçon
Le plus jeune garçon a 7 ans
Romantique
Première fois
Inceste
Masturbation
Homosexualité masculine

Texte envoyé le 16/09/2012
Texte publié le 16/09/2012

Creative Commons 2012 - cokinou. Certains droits réservés.

Ce texte est mis à disposition sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Vous avez l'autorisation de le reproduire et de le diffuser librement à condition de respecter la paternité du texte et de conserver les en-têtes de l'histoire. Vous n'êtes pas autorisé à faire un usage commercial de ce texte, toute modification du texte doit être distribuée sous licence identique.

Résumé :
L'initiation d'un jeune garçon aux plaisirs du sexe par son oncle

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/

A la pêche

par cokinou

Chapitre 1

A la pêche

« Tiens, je bande »

C'est comme ça que tout a commencé. En ce dimanche de printemps, j'étais parti à la pêche avec mon oncle Gérard. J'avais alors 7 ans et lui une bonne cinquantaine. Nous venions de passer quelques heures plus ou moins fructueuses au bord de l'eau et nous apprêtions à nous changer lorsqu'il a dit cela. Comme je le regardais d'un air interrogateur, il a baissé son short et m'a dit :

« Regarde ! »

Waouh ! Son sexe était à la verticale et il était très impressionnant à mes yeux d'enfant.

« Tonton, qu'est qu'il a ton zizi ? Il est tout droit.

– Et bien je bande, c'est pour ça qu'il est comme ça. Ca ne t'arrive jamais à toi ?

– Des fois quand je me réveille les matins, mais c'est parce que j'ai envie de faire pipi !

– Et ben, en fait, quand le zizi des garçons et tout dur comme ça, ça veut dire qu'ils ont envie d'avoir du plaisir ! »

Pendant qu'il me parlait, il avait pris son sexe dans sa main droite et la faisait aller et venir tout le long.

« Et là, tu fais quoi, tonton ?

– Mon garçon, c'est comme ça qu'on fait pour avoir du plaisir. Ça s'appelle se branler. Humm, c'est bon ! ! »

Les allers-retours de sa main étaient lents, je pouvais voir le bout de son sexe disparaître et réapparaître sous la peau qui le recouvrait. Son corps semblait se crisper régulièrement et, à chaque fois, il poussait un gémissement. La scène qui se déroulait sous mes yeux semblait irréelle. Mon oncle était là, adossé à sa voiture, en marcel et avec le short aux genoux, sa main se promenant le long de son sexe, et moi face à lui en train de regarder ce qu'il était en train de faire.

« Ça fait du bien ! Hou, ça va bientôt venir ! ! !

– De quoi ? »

Je n'avais pas fini de poser ma question que de longs jets blancs sortir de son sexe et qu'il fut agité de spasmes.

« C'est quoi ça, tonton ?

– Ah, ah, c'est mon jus, dit-il en haletant. C'est le résultat du plaisir qu'on a quand on se branle. »

Je ne comprenais pas, mais je pouvais lire du soulagement sur son visage .Je pouvais voir que la taille de son zizi était en train de diminuer. Puis, il fit comme si de rien était et finit de se changer. Automatiquement, je lui emboitais le pas et fis de même. Mais je voyais qu'il ne cessait de guetter mes réactions du coin de l'œil.

Nous chargeâmes les cannes à pêche et le reste du matériel dans le coffre de la voiture et partîmes. En route, il affichait un sourire de satisfaction. Peu avant d'arriver chez mes parents, il me dit :

« Tu sais, ce que j'ai fait tout à l'heure, il ne faut pas en parler, ça doit rester un secret entre homme. »

Ma fierté gonflée d'être considéré comme un homme par mon oncle, je lui répondis que je ne dirais jamais rien.

***

Le soir, quand j'allais me coucher, je repensais aux évènements de l'après-midi. Machinalement je pris mon zizi dans ma main. Je le serrais et fis aller et venir ma main le long et là, je le sentis durcir. Dans ma tête de jeune garçon innocent, je pensais :

« Le plaisir c'est quand on est content, comme à Noël avec les cadeaux, mais comment on peut avoir du plaisir avec son zizi ? »

Je m'endormis ainsi, en me disant que la prochaine fois que je serais avec mon oncle, je lui poserais la question.

***

Malheureusement, la pluie nous empêcha d'aller à la pêche le dimanche suivant et je fus condamné à attendre une semaine de plus avant de pouvoir avoir des réponses. En attendant, tous les soirs, je m'endormais avec mon zizi tout dur dans la main. Je pinçais le bout entre mon pouce et mon index en le faisant rouler sous la peau qui l'entourait et petit à petit, la notion de plaisir qui entourait ce geste commençait à faire sa place dans ma jeune tête de petit garçon.

***

Le dimanche suivant, le trajet se fit sans un mot. Je cherchais comment aborder le sujet alors que mon oncle conduisait sans rien dire, abhorrant un visage plutôt crispé. J'avais insisté pour venir à la pêche et il était devenu tout rouge, comme si les quinze jours passés depuis notre première « parie de pêche » lui avaient donné à réfléchir. Discrètement je passais ma main dans mon short, histoire de mettre mon sexe en érection. Je devais être prudent car, assis à côté de lui, je ne voulais pas qu'il puisse voir ce que j'étais en train de faire.

Après 20 minutes de trajets sans un bruit, il se gara et descendit très rapidement de la voiture. Au moment de se changer je lui dis :

« Tiens, je bande. »

Mon oncle me regarda, le rouge aux joues et balbutia :

« Tu sais, je n'aurais pas dû faire ce que j'ai fait l'autre fois.

– Ben pourquoi ?

– Parce que c'est interdit !

– Mais tu m'as dit que c'était un secret entre homme et moi, j'ai rien dit à personne !

– Je sais, mais....

– En plus, tous les soirs, j'ai fait comme toi avec mon zizi, et je comprends maintenant comment on prend du plaisir !

– Mais je n'avais pas le droit de faire ça devant toi !

– Mais moi j'aime bien faire comme tu m'as fait voir ! »

Et sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, je baissais mon short et lui montrais mon petit sexe dressé.

« Regarde moi aussi je bande ! »

Je commençais à jouer avec mon prépuce en lui montrant le jeu auquel je m'étais adonné tous les soirs depuis 15 jours.

« C'est vrai que ça donne du plaisir, ça me chatouille tout partout dans mon zizi.

– Mais...

– Maintenant, je m'endors tous les soirs en le tenant comme ça ! »

Il semblait décontenancé par mon attitude et je pouvais voir son bermuda en train de se tendre.

« Tonton, toi aussi tu bandes ! Allez montres-moi ton zizi. Il a l'air tout dur ! »

Gérard, décontenancé, baissa son short.

« Waouh, il est vraiment gros ton zizi ! Je peux le toucher ? »

Visiblement, il était dépassé par les évènements. Avant même qu'il n'eut le temps de réagir, je saisissais à pleine main ce gros sexe qui palpitait et semblait sur le point d'exploser. Il soupirait et je lui dis :

« Il est vraiment gros ton zizi, on dirait qu'il tremble dans ma main ! »

En effet, son sexe était agité de soubresauts et une grosse goutte perlait au bout.

« Tonton, dis-je solennellement, j'ai fait comme tu m'as fait voir tous les soirs, mais je n'ai pas eu de jus qui sortait de mon zizi comme toi. »

Il reprenait petit à petit ses esprits et me dit :

« Ça va venir quand tu seras plus grand ! Dis-moi tu as aimé quand tu as secoué ton zizi ?

– Oh oui, c'était super bon ! Ça me faisait comme des petites piques dans mes boules et mon zizi !

– C'est pour ça que les hommes se branlent, c'est ce qu'on appelle le plaisir !

– Je crois que j'ai compris !

Viens on va se mettre à l'aise ! »

Mon tonton avait repris le dessus et sortit un plaid du coffre de la voiture. En dessous je vis qu'il y avait des livres.

« Dis Tonton, c'est quoi ces livres ?

– Prends en un si tu veux. »

J'attrapais le premier de la pile et je rejoignais sur la couverture. Il se mit nu, et, sans hésiter j'en fis de même. Je regardais la couverture la première page du livre sur laquelle on pouvait voir un homme et une femme nus et lu le titre : Melissa et sa première anale. Ma mère m'ayant initié à la lecture dès mon plus jeune âge, je lisais très bien pour un garçon de 7 ans. Je dévorais des yeux les photos d'une femme ayant la minette très poilue de la femme se faisant défoncer par la grosse bite de l'homme tout en lisant les images. Je m'imprégnais du vocabulaire au fur et à mesure de ma lecture du texte. De temps à autre je jetais un œil à mon oncle qui branlait sa grosse queue en se délectant de la vision de mon jeune corps nu. Pendant ce temps ma main s'était posée sur mon petit sexe juvénile et avait entamé un délicieux mouvement de masturbation dont je commençais à connaître les secrets. Mes yeux alternaient entre le livre et la queue de mon oncle, qui se branlait de plus en plus vite. Bientôt, sa jouissance arriva et se répandit sur mon corps au moment où je sentais une vague de chaleur partir de mes couilles et monter jusque dans ma tête. Mon corps tremblait et je fus pris de panique, ne comprenant pas ce qu'il m'arrivait.

« -c'est normal, tu as eu un orgasme, me dit mon oncle. Même si tu n'as pas encore de jus ton corps apprécie la jouissance ! »

Tout pantelant, je compris alors pourquoi les hommes se branlaient et ce qu'était le plaisir qu'ils recherchaient.

Bientôt la suite, accompagnée d'actes plus concrets. J'espère que cela vous a plu et continuera à vous plaire.