A la plage

La petite excursion familiale du week-end à la plage a été très divertissante. Le papa de Corinne a fait l'amour avec elle, au milieu des vagues. Sa mère, étendue sur les coudes, lunettes de soleil sur le nez, se faisait du bien à les observer se coller, s'embrasser, se peloter comme des morts de faim dans l'eau salée jusqu'à la taille. Elle sait combien sa petite chérie gâtée et son époux s'entendent à merveille. C'est une famille soudée, au sens propre du terme, qui se laisse aller aux pires turpitudes et se donne volontiers en spectacle, au grand air marin, le temps des vacances d'été.

L'épisode avec Monsieur Gérard y a beaucoup contribué et, (voir "Quelques jours à la plage") n'a fait que renforcer les liens indéfectibles et pervers qui les unissent tous les trois désormais. Maman et papa ont cessé de baiser quand ce vieux salaud a déchargé sa copieuse purée en râlant comme une bête après avoir fait longtemps souffrir de bonheur leur gamine transie et tétanisée par des séries de spasmes incontrôlées. La jouissance parentale était, durant ces moments d'érotisme intense, à son comble. Papa n'avait pu s'interdire de faire des commentaires salaces à sa femme en les regardant faire. La mère de Corinne était, elle aussi, fascinée et totalement absorbée. Elle se caressait les mamelles sans même s'en rendre compte, la chatte ruisselante de cyprine. Elle était, emportée par des émotions fortes incomparables, capable d'atteindre à son tour l'orgasme en se touchant à peine. Les effleurements digitaux de son mari la firent partir vers les sommets du plaisir, comme une vraie salope déchaînée.

Encore vibrante de désir, le clitoris sensible, maman était venue presque aussitôt embrasser Corinne avec fougue, comme pour la remercier du spectacle formidable qu'elle venait de donner à ses parents par son absence manifeste de conduite. Monsieur Gérard,repu et contenté à souhait, s'était retiré du con béant et visqueux de la petite. Sa grosse pine gluante suintait encore. Un filet de foutre coula alors sur le ventre de Corinne lorsque qu'il serra la main énergique du papa qui le félicitait pour sa prestation :

– C'était super bandant, bravo ! Monsieur.. ?

Les présentations furent brèves, car le père de Corinne avait déjà tiré sa gosse de l' état larvaire où elle se trouvait, vautrée sur sa serviette, pour l'entrainer joyeusement vers le bain de mer. Le désir pour sa fille était si violent qu'il en éprouvait des douleurs aux testicules. Papa tenait absolument à passer derrière monsieur Gérard. Baiser sa putain de gamine encore toute pleine du produit de couilles d'un autre que lui. Corinne s'était accrochée au ventre de son père qui la pénétra en l'insultant et en la câlinant chaudement. Il la tenait par ses petites fesses si ardentes, fermement plaquée contre son torse. Grisés, tous deux enlacés, par le soleil et la tièdeur des vagues,ils firent l'amour comme de fougueux amants.

Ils nagèrent ensuite un peu avant de regagner la plage. Maman somnolait après s'être donné une seconde fois du plaisir manuellement. Le couple des Gérard s'était permis, entre temps, de rapprocher son matériel de plage pour faire la conversation avec madame et attendre le retour des deux autres. Les adultes sympathisèrent. Corinne, allongée sur le ventre, au milieu des deux obsédés, était agréablement caressée par le soleil et les mains baladeuses de monsieur et madame. Elle écoutait son père et monsieur Gérard parler d'elle de façon très crue et directe. Papa fut d'accord pour que Corinne fasse la sieste avec eux dans leur camping-car après un apéritif et le déjeuner qu'ils prirent en commun.

Le soir venu, le couple proposa aux parents de Corinne de les héberger pour la nuit. On aménagea l'étroitesse du lieu pour la circonstance. Ses parents dormirent sur les banquettes parallèles dans des sacs de couchage et la gamine due se frayer une place entre monsieur et madame Gérard,après une mémorable partouze à 5, un méga et torride méli-mélo d'une rare sensualité non conformiste qu'il me faudrait, un jour, vous raconter...

par CérébroX

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