Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : Monsieur Albert! - Chapitre 1
Auteur : Aramis
Personnages : 1 homme, 1 petit garçon
Le plus jeune garçon a 10 ans
Romantique
Première fois
Oral
Pénétration anale
Texte envoyé le 11/07/2012
Texte publié le 11/07/2012
©2012 - Aramis. Tous droits réservés.
Toute reproduction de cet écrit est interdite sans autorisation de son auteur.
Résumé :
Absence du père, manque d'affection, comment un enfant de 10 ans trouve un remplaçant à celui qui ne sait pas être démonstratif en tendresse. Un voisin, un monsieur, qui deviendra bien plus qu'un second papa...
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
J'avais 10 ans environs et nous habitions mes parents et moi une résidence en Région Parisienne. Mon père était souvent en voyage pour son travail et je dois dire qu'en plus de son absence, je ne le connaissais pas bien. Les fois où il revenait de mission, il passait tout son temps à discuter avec ma mère tandis que ma sœur et moi, nous étions assis sur le tapis, à l'écouter raconter son dernier séjour. Mais on n'existait pas vraiment à ses yeux. Mon père n'a jamais manifesté la tendresse et l'affection que j'aurais voulu. Il était froid, distant et nous aimait pourtant, mais à sa manière, sans démonstration. Et moi, p'tit bonhomme, j'en souffrais. Je souffrais de ce manque d'amour paternel, masculin si bien que lorsque je me promenais avec ma mère, que ce soit en course ou ailleurs, je regardais souvent les « messieurs ». Très souvent même. Et puis j'ai découvert l'existence d'un de nos voisins : Mr Albert !
Mr Albert était un homme d'une quarantaine d'année, dégarni avec très souvent une barbe de trois jours, un visage plutôt rond qui faisait plisser ses petits yeux noisette que je trouvais assez coquins d'ailleurs. Un corps plutôt bien charpenté même si il était un peu enrobé, surtout au niveau du ventre. Et si ses mains paraissaient massives, ses doigts n'étaient pas très longs. On ne peut pas dire que Mr Albert était très grand, environs 1m69 mais comparé à moi du haut de mes 10 ans, il faisait un peu géant. J'ai pris l'habitude de guetter Mr Albert chaque fois qu'il revenait de son travail, étant donné que la fenêtre de ma chambre donnait sur le parking. Je l'observais à travers les volets et chaque fois, je sentais comme un petit chatouillement dans mon bas ventre. Mr Albert me plaisait beaucoup et je crois que j'en étais amoureux ! Pendant les repas organisés entre voisins, je ne pouvais pas cesser de le regarder, j'étais comme en admiration et très souvent, j'imaginais qu'il me prenait dans ses bras et qu'il me serrait très très fort. Et à chaque fin de repas ou de soirées, au moment où tout le monde se disait au revoir, je n'aurais manqué pour rien au monde la bise de Mr Albert. Ses lèvres un peu charnues qui se pose sur ma joue tandis que sa grosse main se pose sur ma tête. Ha ! Comme j'aurais aimé coller ma tête tout contre son ventre et sentir ses bras me serrer. Et à chaque fois, je sentais mon zizi qui montait. Et pourtant, lorsque j'étais en sa présence, je me sentais intimidé tout en étant attiré. Sans doute que mon manque d'amour paternel m'avait dirigé vers cet homme qui lui, n'avait aucune difficulté à afficher son affection pour son jeune fils. D'ailleurs, qu'un homme me fasse la bise, je trouvais ça génial ! Mon père lui me serrait la main, prétextant que j'étais un « homme » et que les hommes, ça ne s'embrasse pas !
Les jours passèrent et l'été s'installa. Un été que je n'étais pas prêts d'oublier puisque ce désir, ce rêve que je faisais depuis de nombreux mois, allait enfin voir le jour...
C'était un Samedi matin de Juillet. Les voisins avaient pris l'habitude de nommer un chaperon qui déposerait les enfants à la piscine et qui repasserait les chercher un peu avant midi. En général, nous étions 5, dont le fils de Mr Albert. Et puis ce jour là, ce fut justement Mr Albert qui se dévoua pour nous emmener. Mon sang ne fit qu'un tour quand j'appris que c'était lui qui nous accompagnait. Sur le parking, avant de monter en voiture, il s'adressa à moi :
– « Laurent, c'est pas toi qui est malade à l'arrière en voiture ? » me demanda-t-il de sa voix à la fois grave et douce.
– « Heu.. Oui ! M'sieur Albert ! J'aime pas trop mais bon... »
– « Bon, c'est pas grave, tu vas monter devant avec moi. »
J'ai crus que j'allais m'évanouir ! « Avec moi.. » ces deux seuls mots me faisaient tourner la tête. En plus, il était vêtu d'un short en Jean qui mettait en valeur ses grosses cuisses ainsi que d'un tea-shirt sans manches, un peu court, qui faisait apparaître le bas de son ventre qui débordait un peu sur son short. C'est à ce moment que je me suis rendu compte qu'il était très poilu. Et je sentais mon zizi qui durcissait, sans savoir vraiment pourquoi. Puis nous sommes tous montés en voiture. A l'arrière, ça chahutait pas mal mais moi, discrètement, je regardais du coin de l'œil les cuisses de Mr Albert, ses gros mollets velus, la bosse aussi que formait son short entre ses cuisses. Je n'avais qu'une envie à ce moment là, c'était de m'asseoir sur ses genoux. Je me souviens que je transpirais beaucoup. Arrivé à la piscine, et après avoir payé notre billet, Mr Albert nous accompagna au vestiaire. Je pris une cabine tout seul et je commençais à me déshabiller pour enfiler mon maillot de bain. Mais dans la cabine d'à côté, je reconnus la voix de Mr Albert. Il était là, à côté de moi, séparé par une cloison. D'un moment à l'autre il allait devoir se déshabiller lui aussi pour mettre son maillot de bain. A cette pensée, je me suis accroupi sur le sol et j'ai passé discrètement ma tête. Les cloisons ne touchaient pas complètement le sol aussi, il était facile de voir ce qui s'y passait. Et là, ce fut le choc !
Mr Albert, tout nu, fouillant dans son sac pour en sortir son maillot de bain, me tournant son dos velus, tout comme ses puissantes fesses, ses grosses cuisses et ses mollets. Je le voyais de bas en haut. Et puis il s'est retourné et j'ai vu son gros sexe, qui pourtant était au repos, ainsi que ses deux grosses couilles. J'ai rentré ma tête avant qu'il ne me voit et lorsque je me suis assis sur le banc de ma cabine, je croyais que me mon zizi allait exploser tellement il était dur ! ! ! ! Une partie de la matinée s'écoule et tous les enfants jouent dans l'eau. Mr Albert s'amuse à nous prendre sous les bras et à nous jeter dans le bassin. Ses mains sous mes épaules, sa chaleur, son sourire, et mes jambes qui frôlent son gros ventre poilu, c'est trop ! Et c'est encore pire quand il nous fait chacun notre tour plonger afin de passer entre ses cuisses sous l'eau. J'en profite pour poser mes mains sur ses gros mollets, pour m'aider à passer. Je ne sais pas si j'étais le seul à le faire mais Mr Albert me regardait de plus en plus avec un petit air curieux, comme amusé. Quel bonheur aussi lorsque je me suis retrouvé sur ses épaules, avant qu'il ne me fasse tomber en arrière. J'avais mes mains sur son crâne dégarni, ses mains massives reposaient sur mes petits genoux. Chaque jeu dans l'eau était pour moi un prétexte de le toucher ou de me faire toucher.
Puis, un autre voisin, Mr Donario, est arrivé à la piscine alors que ce n'était pas prévu. Il est venu discuter avec Mr Albert et quelques minutes après, Mr Albert nous expliquait que ce serait Mr Donario qui nous raccompagnerait car lui devait partir. Normalement, Mr Albert ne devait même pas venir se baigner, il devait juste nous accompagner. Et je ne sais pas ce qui m'a prit mais j'ai aussitôt dit :
– « Mr Albert. J'peux repartir avec vous ? »
– « Quoi ? Mais ça ne fait qu'une heure que tu te baignes avec tes copains ? Ca va pas ? »
– « ..Oh.. si ! si ! C'est juste que je me sens pas très bien c'est tout » Quel menteur je faisais.
– « Qu'est ce que tu as bonhomme ? »
– « Oh, c'est sans doute rien, j'ai la tête qui tourne un peu, c'est tout. »
– « Bon, ben dans ce cas allons-y alors. »
Et en sortant de la piscine, il a posé sa main sur mon épaule jusqu'au vestiaire. J'étais aux anges. Il m'a demandé si je voulais prendre une douche avant mais je lui ai dis que non, je la prendrais plus tard. Il a répondu que lui aussi.
Nous sommes monté dans sa voiture puis nous sommes reparti. Plusieurs fois pendant le trajet, il a passé sa main dans mes cheveux, en me demandant si ça allait. J'étais super heureux. Mr Albert s'intéressait à moi ! Il a même posé sa main sur ma petite cuisse, un geste d'affection banal pour lui, mais si intense pour moi. Par contre, lorsque nous sommes arrivés, je me suis rendu compte que ma mère n'était pas rentré. Elle faisait les magasins avec quelques voisines, dont la femme de Mr Albert. Et je n'avais pas les clés de la maison ! J'ai fais demi tour et je suis allé sonner chez... Mr Albert ! Lorsque la porte s'ouvrit, je vu le torse poilu, ainsi que le ventre, de Mr Albert. Il avait commencé à se déshabiller. Et je ne rêvais pas, il était en slip ! Un slip blanc qui dessinait son gros sexe et qui le mettait en valeur. J'ai bien cru que j'allais tomber à la renverse :
– « Qu'est ce qui t'arrives Laurent ? »
– « Ben, Maman est pas là, elle est pas rentré de courses »
– « J'imagine ! Toutes ces dames se font une journée magasins de vêtements ! Mais dis moi, elle ne t'a pas laissé de double ? »
– « ..Non, c'est ma sœur qui a le double. Et elle est sortie aussi.. »
– « Bon ben écoute, tu vas pas rester dehors. Entre. »
– « Merci Mr Albert ! »
– « Tu veux boire quelque chose ? Grignoter un truc en attendant ? »
– « Merci oui !Un jus d'orange si vous avez. »
Je m'étais assis dans le grand canapé et j'observais Mr Albert qui se rendait à la cuisine. Je devinais ses grosses fesses sous son slip blanc, on pouvait même vois les poils à travers. Je sentais mon zizi qui redevenait tout dur. Quelques instants après, Mr Albert est revenu de la cuisine, a posé mon verre sur la table basse, ainsi que des chips et quelques gâteaux puis il s'est assis à côté de moi. Il a allumé la TV et a allongé ses jambes sur le coin de la table basse. Moi, tout timide, je restais immobile, contemplant discrètement ses grosses jambes et son ventre. Et je ne sais pas pourquoi j'ai fais ça, mais j'ai soudainement posé ma petite tête dans le creux de son épaule.
– « Qu'est ce qu'il t'arrive Laurent, ça va pas ? » me demanda-t-il d'une voix inquiète.
– « J'vous aime beaucoup Mr Albert. »
– « Oh, c'est gentil ça mon p'tit gars, moi aussi j't'aime bien. Mais qu'est-ce qui ne va pas ? »
– « Il a de la chance votre fils. »
– « Comment ça de la chance ? »
– « Vous êtes un gentil papa. »
– « Ben et le tiens, il est pas gentil ? »
– « Je sais pas, il est jamais là, alors je peux pas juger.. »
Et là, il y eu un silence. Mr Albert reposa son avant bras un peu plus sur ma petite épaule et me fit un bisou sur la tête tout en me serrant un peu contre lui. Je sentais sa chaleur. Je posais ma petite main contre sa poitrine et je ne pus retenir quelques larmes.
– « Faut pas pleurer p'tit bonhomme, tu sais, on choisi pas ses parents. »
– « ..snif... je sais...snif... et c'est dommage... »
– « Mais tu sais Laurent, je vais te dire quelque chose : on choisi pas non plus ses enfants. On les aime parce que ce sont les nôtres, mais parfois, on arrive pas à les suivre. »
– « Qu'est ce que vous voulez dire Mr Albert ? »
– « Hé bien.... Cyril ne m'a jamais dis que j'étais un gentil Papa par exemple... »
– « C'est vrai ? ? ? ! ! ! Mais pourquoi ? ? ? »
– « Sans doute parce que pour lui c'est naturel, et qu'il n'a pas besoin de le dire, tu comprends ? Et c'est sans doute pareil pour ton papa, il t'aime à sa façon mais il ne ressent pas le besoin de le dire. »
– « Oui mais moi j'ai besoin de l'entendre, et de le dire aussi. Mais comment je pourrais dire ça à mon papa si lui non plus il me dit pas ? »
– « Ha, c'est pas simple tout ça tu sais. En tout cas, je trouve que tu es un gentil petit gars et sache que moi aussi je t'aime bien. »
– « C'..c'est vrai Mr Albert ? »
– « Oui ! Et j'ajouterais que j'aimerais bien que mon propre fils soit un peu comme toi, gentil et câlin comme tu l'es en ce moment. »
– « Mais je croyais en vous voyant.... »
– « ...qu'il l'était ? Ben non ! C'est moi qui suis le câlin des deux. Il l'est plus avec sa mère, pas avec moi, c'est comme ça ! »
– « Ben moi si j'étais lui... » Et je n'ai pas le temps finir ma phrase que Mr Albert me prend dans ses bras, m'assoit face à lui, mes cuisses s'écartant de chaque côté pour venir se plaquer contre ses flancs, et de ses deux mains massives, il me colle tout contre lui. Je met ma tête de côté, tout contre sa poitrine, tandis qu'il me donne quelques baisers dans les cheveux :
– « Je sais p'tit chaton, je sais que toi tu serais bien plus câlin. Tu sais pourquoi je le sais ? »
– « .....Nnon ! » répondis-je difficilement tellement j'étais bien dans cette position.
– « Parce que tu es comme moi, c'est tout. »
Et il me serra encore un peu plus fort contre lui en continuant de me donner des bisous sur la joue et dans les cheveux. Je me sentais tellement bien que c'est comme si le temps venait de s'arrêter. Mr Albert me tenait dans ses bras, contre sa poitrine velu. Il me câlinait ! Je l'avais rêvé ce moment et je ne pensais pas qu'il surviendrait un jour, tout comme le reste...
– « Mais dis moi p'tit chaton, tu n'as pas prit de douche du coup ? »
– « Heu.. Ben non ! »
– « Moi non plus quand j'y repense. Tu veux qu'on la prenne ensemble ? »
Je ne savais pas quoi répondre, surtout que je ne m'attendais absolument pas à cela de la part d'un homme déjà, et qui en plus n'est pas de ma famille. Et soudain je me suis dit que cela impliquait que j'allais voir Mr Albert tout... nu, en face de moi, sans avoir besoin de me cacher. Je me sentais tout idiot d'un seul coup !
– « Heu... je sais pas ! J'ai jamais vu... de monsieur tout nu avant »
– « Vraiment ? Dit-il étonné. Mais tu n'as jamais vu ton père tout nu un jour ? »
– « Non, les fois où papa est à la maison, il porte toujours un slip en sortant de la salle de bain. »
– « Ha ! Oui, en effet ! Et... ça te choquerait de voir un monsieur tout nu ? »
A cette question je suis devenu tout rouge ! ! Que pouvais-je répondre tout en sachant que je l'avais maté dans la cabine de la piscine. J'étais intimidé tout en étant excité et impatient à la fois. Pas facile ! Mais il a ajouté :
– « Surtout que tu as du en voir un y a pas si longtemps, hein ? Petit cachotier ! » dit-il en souriant. Je n'ai pas pu répondre, alors il m'a assis sur le côté du canapé puis il s'est levé pour se tenir debout face à moi. J'avais son slip en face des yeux, à une trentaine de centimètre de pense.
– « Laurent, tu as envie de me voir tout nu, sans te cacher ? »
– « ....ou..oui... »
Il m'a sourit puis ses mains ont glissés le long de ses hanches, écartant l'élastique de son slip pour le faire descendre le long de ses cuisses. Et j'ai vu son sexe, le sexe d'un homme en face de moi, pour la première fois ! Mon zizi était tout raide et je transpirais comme un petit fou. Il est resté un petit moment tantôt à me regarder, tantôt à regarder son sexe. Et soudain :
– « Tu veux me toucher, p'tit chaton ? Tu le peux si tu veux. J'suis sur que tu n'as jamais touché le zizi d'un monsieur. »
– « Non !...Jamais...heu.... »
Et de ma petite main tremblante, je saisi doucement ce gros gland qui s'offrait à moi. C'était doux et j'étais surpris de voir que son zizi bougeait au fur et à mesure que je le touchais. Et il s'est mit à grandir. J'ai levé les yeux vers ceux de Mr Albert avec un air étonné et il a répondu simplement :
– « Tu te demande pourquoi mon zizi grandi ? Simple, c'est parce que tu me fais du bien. »
– « C'est vrai ? »
– « Oui, y a pas que le tiens qui devient tout dur » dit-il en ayant remarqué ma petite bosse derrière mon short.
J'étais fasciné, attiré, je me trouvais dans un autre monde. L'homme dont je rêvais tous les soirs était là, devant moi, tout nu, et je pouvais le toucher, le caresser, et il aimait ça. J'ai repensé à ce qui se disait sur les adultes qui font des choses, tous nus avec des enfants, et je ne comprenais pas pourquoi on disait que c'était mal ! Mr Albert ne me faisait pas de mal, et moi non plus !
– « On va la prendre cette douche, p'tit chat ? Tu veux ? » J'acquiesçais d'un mouvement de tête. Puis, nous nous sommes dirigés vers la salle de bain. Il me tenait la main tendrement. Sur place, il m'a déshabillé doucement sans rien me demander car je crois qu'il avait compris que je n'attendais que ça. Au bout d'une minute, je me suis retrouvé tout nu avec Mr Albert dans sa salle de bain. Il était accroupis, juste à ma hauteur, ses yeux dans les miens. Une de ses mains caressait ma joue et allait se perdre dans mes cheveux, tandis que ses yeux se promenaient sur mon visage, ma bouche, mon front :
– « Tu es mignon comme tout, tu sais ça Laurent ? »
– « Merci... Mr Albert... vous êtes mignon aussi, et gentil... » Je n'ai jamais pu le tutoyer, je ne sais pas pourquoi mais il n'a jamais insisté.
Je me suis jeté dans ses bras et j'ai collé ma tête contre son épaule. Ses mains se sont resserrées autour de moi, me caressant le dos. A un moment, une de ses mains est descendu en haut de mes petites fesses et il m'a dit :
– « J'ai envie de te faire tout plein de câlin mon p'tit ange. En plus, je sens que tu en as envie, pas vrai ? »
– « Très envie oui ! Vous avez les mains si douces... »
Puis nous sommes rentrés sous la douche et il a commencé à nous savonner tous les deux. Ses mains se promenaient partout sur mon petit corps, comme si elles me massaient, et je me sentais partir, comme si je volais. J'étais en transe. Bien entendu, j'avais le zizi toujours aussi dur et lorsqu'il l'a saisi pour le malaxer, je me suis senti tout bizarre. C'est la première fois qu'un monsieur me touche le sexe. Et je viens de découvrir que ça me plaît. Il l'a senti je pense puisque je gémissais par moment.
Je me suis retourné, j'ai pris du gel douche et j'ai voulu lui faire pareil. Il m'a fait un clin d'œil et puis il s'est laissé faire. Son zizi devenait de plus en plus gros et dur, je n'avais jamais vu un sexe d'homme aussi gros. Enfin, en érection je veux dire ! Machinalement, j'effectuais des mouvements de va et viens et je voyais Mr Albert qui fermait les yeux, tout en poussant des petits bruits étranges.
– « Hannn... rrrrrr...humm c'est bon chaton, c'est bon ça....hummmm »
Soudain, il me fit arrêter mon mouvement et je n'ai pas compris pourquoi. Je lui faisais mal ? Ou alors il en avait assez ? A ma tête, il a rapidement prit la décision de me rassurer.
– « Non, rassure toi Laurent. C'était très bon, mais tu as failli me faire jouir.. »
– « Jouir ? C'est quoi Mr Albert ? »
– « Ha merde ! ! Tu ne sais pas ce que c'est ? ! Tes parents ne t'ont jamais parlé de ça ? »
– « Mais de quoi Mr Albert ? Si ça un rapport avec le zizi, non, Maman aime pas en parler et papa, ben vous le savez, il est jamais là »
Mr Albert semblait embarrassé. Il prit la décision de nous laver tout les deux, de nous sécher, avec beaucoup de tendresse et qu'ensuite, nous irions dans le salon pour discuter un peu.
– « Il faut que je t'apprennes quelque chose mon p'tit ange. C'est important. Et je ne comprends pas pourquoi tes parents ne t'en ont jamais parlé.. »
– « Mais vous, vous allez me le dire ? »
– « Parfaitement. Et même mieux, te le montrer, qu'en pense-tu ? »
– « Ho oui ! Mais je sais pas ce que c'est. Ca fait mal ? » « Non, rassure toi chaton, pas du tout, bien au contraire. » « Et ça se fait à deux ? » « Entre autre oui, mais on peut se le faire tout seul aussi. Mais d'abord, il faut que ton zizi soit tout dur... comme maintenant ! » Répondit-il un peu surprit en constatant que je n'avais pas dégonflé.
– « Je te fais beaucoup d'effet p'tit cœur, dis moi ? »
– « Heu... oui. Faut pas ? »
– « Au contraire, en plus, je suis content que ce soit moi qui te fasse dresser le zizi, petit coquin ! » me dit-il en me passant son index sur le bout du nez, d'un air taquin.
Il a entreprit de me masturber après m'avoir longuement caressé, sans doute pour me mettre en condition. Mais il n'avait pas à faire grand chose puisque le simple contact de sa peau ou de ses poils me rendait fou. Cela me faisait bizarre ! ! Au début un peu de mal puis, comme il y allait doucement, je fini par prendre du plaisir à sentir cette grosse main qui tripotait mon petit zizi. Et puis il s'est mit à accélérer progressivement. J'étais allongé sur le dos, la tête contre son ventre, en travers, une de mes mains qui se cramponnait à sa cuisse tandis que son autre main me caressait la tête. Soudain, je sentais quelque chose.... Et j'ai crié !
– « Haaaaaa ! ! ! ! ! ffffff ! ! !Hummmmm ! Ohhhhhh...... C'est bon, c'est bon, c'est... »
Et je venais de « jouir » pour la première fois ! La main de Mr Albert était couverte d'un liquide transparent, ainsi que mon bas ventre. Je suais, je respirais rapidement, je planais aussi. Je ne savais plus où j'étais...
– « C'était bon, hein, mon p'tit chat ? Ca t'as plus dis donc... »
– « ....Qu'est ce... qu'est ce que vous m'avez fait..... C'était trop bon..... »
– « Disons simplement que tu as jouis mon p'tit cœur. C'est ça que ça fait. »
– « ...C'est... c'est toujours comme ça ? »
– « Oui, et parfois plus fort, ça dépend. »
– « De quoi ? »
– « D'avec qui on est, et ce qu'on nous fait. »
Curieux, je trempais mes doigts dans ce liquide et je voulais le gouter. J'avais pris soin de demander à Mr Albert si je pouvais faire ça, si ce n'était pas sale.
– « Bien sur que tu peux, c'est le tiens, c'est à toi. » Je goutais et je trouvais ça bizarre. En plus, c'était froid ! Mais Mr Albert m'a dit que c'est normal, ça ne reste pas chaud longtemps.
– « Et vous Mr Albert, votre lait est pareil ? Il a le même gout que le mien ? »
– « Je sais pas, faudrait y gouter ! Tu en as envie ? »
– « Ha bon ? on peut aussi gouter le lait d'un autre ? »
– « Bien sur, enfin, quelqu'un que tu connais bien, c'est mieux. »
– « Allez-y alors, je veux goutter le votre. Il sera chaud ? ? »
– « Oui mon p'tit chat, tout chaud, que pour toi... »
Et Mr Albert se met à genoux sur le canapé, face à moi qui suit assis au plus bas, la tête reposant sur le dossier. Je vois Mr Albert au dessus de moi, ses cuisses m'encerclant, ses cuisses puissantes, épaisses et poilus, ses deux grosses boules qui s'agitent sur mon petit torse tandis que d'une main il fait des va et vient avec son zizi alors que de l'autre, il me tient la tête. Son zizi et juste au bord de ma petite bouche et je sens par moment comme un peu de mouillé, c'est amusant, c'est un peu salé.
– « Papa va te donner du lait mon p'tit chéri, tu vas voir, du lait bien chaud... »
J'ai adoré que Mr Albert se prenne pour mon papa à ce moment là. Je le regardais de toute sa hauteur car même à genoux, pour moi, il semblait immense. Il me dominait et j'aimais ça. Je ne pouvais pas m'empêcher de toucher mon zizi qui était redevenu tout dur et qui me chatouillait... Mes jambes se raidissaient elles aussi, je croisais mes orteils, bougeant mes pieds dans tous les sens. Quand soudain :
– « Haaa... je..je vais jouir mon p'tit chéri....ouvre bien grand la bouche...ça vient...hann.. »
A ces mots, j'ai sentis mon bas ventre qui me chatouillait, comme tout à l'heure, et puis Mr Albert a lancé des jets de son lait sur mon visage et sur mes lèvres. C'était chaud. Et moi je sentais aussi que j'avais encore du lait qui était sorti, presque en même temps que Mr Albert.
Je tremblais de tout mon corps tellement c'était bon et Mr Albert aussi finissait de pousser des soupirs de soulagements. Comme sa main tenait toujours son zizi, il s'en servit pour étaler son lait sur mon petit visage et m'en mettre dans la bouche. J'avalais au fur et à mesure. Il était bon son lait...
Mr Albert était resté à genoux mais il s'est plié en deux pour venir me donner des bisous sur le front, les joues et... sur la bouche. Hésitant un peu, il a fini par mettre sa langue dans ma bouche. J'ai trouvé ça bizarre mais c'était drôle, c'étais bon. Et ma langue a fini par rencontrer la sienne. J'avais vu ça à la TV, ça s'appelle s'embrasser. Et je croyais que seules les grandes personnes pouvaient le faire. Mais non. Mr Albert et moi on s'embrassait. Comme il avait eu chaud, je sentais des gouttes de sueur couler le long de ses poils pour venir tomber sur moi, me recouvrir. Même ça c'était agréable. Il s'est un peu relevé et ma regardé droit dans les yeux :
– « Tu me plaît beaucoup mon p'tit chéri... Je crois que je t'aime vraiment beaucoup... »
– « ...M..moi aussi, Mr Albert..... »
Et je me suis mit à pleurer, de joie essentiellement. Jamais mon papa ne m'avait dit cela en face, jamais avec des mots, jamais en me regardant comme le fait Mr Albert. Il m'a consolé en essuyant mes larmes avec ses grosses mains.
Nous avons repris une douche ensuite, pour nous nettoyer mais cette fois-ci, en s'amusant et en riant. Une incroyable complicité venait de naître entre moi et celui que je considérais désormais comme... mon deuxième papa ! Bien sur, on a convenu qu'il fallait qu'on garde cette amitié secrète, je ne voulais pas que des gens me privent de Mr Albert, et l'inverse était vrai. Surtout qu'il m'a promis pas mal de chose :
– « Si tu le veux mon p'tit chat, je te montrerais plein de chose pour se faire du bien, tout les deux. Je pense que tu aimeras. »
– « J'attends que ça Mr Albert. En plus, je suis bientôt en vacance mais on ne part pas longtemps cet été. Je serais souvent à la maison. »
– « Normalement, je serais souvent tout seul aussi, alors on va se programmer ça mon p'tit cœur, des moments que tous les deux. Tu verras, on sera bien. »
Je rentrais chez moi quelques heures plus tard. Ma mère et ma sœur étaient rentrées. J'allais dans ma chambre, je m'allongeais sur mon lit et, le regard dans le vide, je pensais à Mr Albert, à cet homme dont j'étais tombé amoureux. Mais à 10 ans, on ne sait pas trop, on sait juste qu'on tient à quelqu'un. Et je tenais à lui très fort maintenant.
Je n'avais plus qu'une chose en tête : revenir de ma semaine de vacance à la campagne pour pouvoir passer des moments avec Mr Albert et découvrir avec hâte ce qu'il appelle « les choses pour se faire du bien »...