Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : Mon oncle, mon amour - Chapitre 2
Auteur : aramis91
Email : thepigshow[_at_]yahoo.fr
Personnages : 1 homme, 1 petit garçon
Le plus jeune garçon a 11 ans
Romantique
Première fois
Inceste
Pénétration anale
Homosexualité masculine

Texte envoyé le 28/07/2012
Texte publié le 28/07/2012

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Résumé :
C'est le grand moment, celui où Tonton va enfin me faire connaître les plaisirs qu'il réservait uniquement à ses amis, les plaisirs après lesquels j'espérais....

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
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Mon oncle, mon amour

par aramis91

Chapitre 2

La journée fut merveilleuse et le soleil était présent. Glaces, tour de manège, passage dans un magasin de jouet et... de High-tech. Connaissant maintenant mon penchant pour la vidéo, tonton a décidé de m'offrir ma propre caméra numérique. En plus d'avoir un écran amovible, on peut la connecter sur la TV.

« Je crois que celle-ci va te plaire, non ? » Me dit-il. « Oui tonton, elle est géniale ! ! J'ai hâte de l'essayer... » « Mouais ! Et je crois savoir comment, hein ? » Répondit-il en souriant. « T'es sur ? » lui dis-je en rigolant.

Il me serra contre lui en m'embrassant les cheveux et me traita de petite canaille. Puis, nous sommes rentré à la maison. Comme c'était l'heure du gouter, il me prépara des tartines de pate à tartiner. On a discuté un petit moment et puis, comme nous avons un peu « sué » après cette sortie, il me proposa d'aller prendre un bain.

« Dis moi chaton, ça serait peut-être bien d'aller prendre un bain non ? » « Oui ! Je suis tout collant tonton ! Dans ta grande baignoire ? » « Bien sur.. » « Avec plein de mousse qui sent bon, tu sais, celle que j'aime bien. » « Mais oui, si tu veux. On va en mettre plein ! » « Ho oui ! Tout plein ! J'adore ! » « Aller, ouste, à l'étage crapule ! » « Mais dis moi tonton, tu le prends avec moi le bain, hein ? » « Oui, si tu veux ! »

Et puis nous sommes montés à l'étage. Il a commencé à faire couler l'eau tandis que je finissais de me déshabiller. J'ai d'ailleurs été le premier à entrer dans la grande baignoire d'angle. Elle était géniale, avec des jets, des spots qui faisaient changer la couleur de l'eau. Une vraie baignoire de luxe ! Moi qui plus jeune détestait les bains, là, je les adorais. Mais Tonton allait venir me rejoindre, c'était encore mieux.

Lorsque je fus dans l'eau, je le regardais se dévêtir à son tour tandis qu'il me souriait. Il était beau mon tonton, un gros nounours en quelque sorte, MON gros nounours. Il est entré dans l'eau et s'est adossé contre le rebord en forme de siège. Je me suis rapproché de lui, reposant sur mes talons, entre ses cuisses ouvertes et j'ai commencé à jouer avec les poils de son torse, que j'entortillais n'importe comment. Par jeu, je l'aspergeais avec la grosse éponge et de temps en temps, je lui éclaboussais le visage. Ca le faisait rire et moi aussi. Puis, il entreprit de me laver le dos aussi, il me demanda de me retourner. Je fis un mouvement circulaire et je me trouvais maintenant dos à lui, le bas de mon dos collé contre son sexe, ses cuisses massives de chaque côté contre lesquelles je posais mes mains. Il prit du gel douche dans une sorte de gant en éponge et commença à me frictionner doucement le dos. Tandis que sa main droite qui portait le gant me lavait, sa main gauche passait aussitôt derrière, comme pour étaler le gel douche, me caresser. J'étais aux anges ! Au fur et à mesure, il me rapprochait un peu plus de lui si bien qu'à un moment, mon dos entier était collé tout contre son ventre et le bas de sa poitrine. Ses bras se sont refermés sur moi et j'ai senti un baiser sur ma nuque puis sur le côté de mon cou.

Je sentais son souffle sur mes épaules, un de ses bras autour de mon abdomen et l'autre par dessus l'une de mes épaules. Il me serrait contre lui, il était tendre, très tendre. Je sentais aussi son sexe qui grossissait dans le bas de mon dos. J'étais tellement en transe que je me suis étalé de mon long contre lui, toujours de dos et cette fois, il m'embrassait les épaules et le côté du cou. J'ai fini par me retourner car je voulais le voir en face, avoir sa grosse bouille qui me souriait, ses yeux qui me parlaient.

Ses deux mains se sont posées sur mes joues, tout en les caressant, alors que ses yeux m'exploraient, de bas en haut. Je le fixais, je ne baissais pas les miens, subjugué. Ses caresses étaient comme une douce brise, comme une peluche en coton si doux qu'on aurait pu se laisser toucher sans jamais s'arrêter, sans jamais dire stop. Puis, il se figea, ses mains, qui étaient toujours posées sur mes joues, ne bougeaient plus. Il me regardait droit dans les yeux, avec toujours autant de douceur.

« Tu sais, tu es ma p'tite crapule. Et je suis heureux que tu sois là. » « ...moi...moi aussi tonton, je t'aime si fort... » je commençais à avoir les yeux mouillés, mais pas à cause du bain. « Pleure pas ! Tu n'es pas bien ? » « Si...si...au contraire tonton, je suis trop bien. Tu es si gentil, papa n'a jamais été comme ça avec moi, ni maman » Et je m'écroulais dans ses bras, ma tête tout contre son coup. « Je sais p'tit cœur, je sais. Mais c'est fini. Je suis là maintenant, tu sais ? Et je serais toujours là pour toi. »

Comment peut-on réagir à ce genre de parole si ce n'est en pleurant de joie, à moins d'être insensible, ce qui n'est pas mon cas. Oui, un amour naissait entre lui et moi, un amour interdit par les autres, par la société, puisque c'est incompris, c'est jugé négatif et pervers. Mais bon sang, tous les hommes qui ont une attirance pour les enfants comme moi ne sont pas des pervers, ce ne sont pas tous des criminels qui tentent de nous abuser contre notre gré. Non, ils en est qui nous aiment, qui éprouvent des sentiments pour nous, des sentiments qu'on s'acharne à dire que seuls les adultes ressentent. Et pourquoi un homme n'aurait-il pas le droit d'éprouver ces mêmes sentiments pour un enfant qui les éprouve aussi ? Un jour un ami psy m'a dit que ce que j'ai connu n'était pas vraiment quelque chose que je désirais, j'étais seulement en manque de tendresse, tellement en manque que j'étais prêt à tout accepter pour en recevoir, même le sexe. En gros, mon tonton aurait profité de cette carence pour assouvir ses perversions sur moi. Ha bon ? ! Pour ce que je me souvienne, c'est moi qui suis venu vers lui, moi qui ai fait ce qu'il fallait pour que cette « relation » prenne son envol, non ? Et me dire que je n'étais pas mûr ou que je ne savais pas ce que c'était, je rigole intérieurement. Je vis aujourd'hui avec un homme plus âgé que moi et je suis bien dans ma peau. Oui, je suis gay et sans doute l'ai-je toujours été, depuis ma naissance. Je me cherchais et c'est mon tonton qui m'a aidé à me trouver. Il l'étais lui aussi mais ignorait totalement qu'un jour il aurait cette relation avec son neveu, était incapable d'imaginer qu'un jour il s'enverrait en l'air avec ce dernier. Comme quoi, certaine chose nous tombe dessus alors qu'on ne les avait jamais envisagé.

Oui, il a été mon père, mon oncle, mon frère, mon copain, mon amant. Il a été capable d'être tout cela avec moi. Et ce n'est pas parce que nous avions des jeux « interdits » qu'il n'était pas en mesure de se comporter en « papa » avec moi. Il m'est arrivé de faire des bêtises, de mal travailler à l'école et alors, il savait comment me réprimander, me gronder ou me punir. Après tout, ce n'est pas parce qu'on faisait des jeux sexuels que cela me dispensait d'être un garçon studieux, bien élevé et correct. Ce que pensent d'ailleurs beaucoup de gens, que ce genre de « perversité » ne peut que détraquer un gosse et lui faire perdre ses repères. Pour moi, il n'en est rien. Au contraire.

Le soir est venu. Nous avons fini de dîner et il savait que je n'attendais qu'une chose : qu'on aille dans la chambre et qu'il me fasse ce qu'il faisait aux autres. Il devinait mon impatience. Mais comme s'il faisait exprès, il prenait son temps pour débarrasser. Grrr ! j'en pouvais plus et je lui faisais comprendre. Ca l'amusait ! Et finalement, nous sommes montés dans... ma chambre ! Ouah ! Je croyais qu'on irait dans la sienne mais il avait une autre idée en tête.

« Dans ma chambre tonton ? » « Oui, je me disais que ce serait sympa pour une première fois, non ? Tu veux pas ? » « ho si, ça peut être drôle ! ! » « Oui, je pense aussi. J'ai bien envie de te faire ça au milieu de toutes tes peluches, comme un gros tonton...cochon ! Ca te dit ? » « T'es pas un cochon tonton, t'es mon gros nounours ! » « T'es mignon ! Ha oui, autre chose : elle est où ta caméra ? »

Je me suis mit à sourire soudainement. J'avais tellement en tête de faire des bêtises avec tonton que j'en avais oublié ma nouvelle passion de filmer. Tonton avait une idée derrière la tête, une idée qui allait me faire planer encore plus !

« Elle est là. On va filmer ? ? ? Chouette ! ! ! » « Oui, mais pas comme tu le crois chaton. Tu vas voir... »

Je le regardais connecter la caméra à ma TV, la mettre sur un petit trépied. Il fit les derniers réglages puis revient s'asseoir sur le bord du lit.

« Tu as envie que je t'encule je sais, mais... t'as pas envie de voir quand mon zizi va rentrer dans tes fesses ? »

A ces mots, le miens de zizi s'est mit à gonfler instantanément ! Je n'avais pas pensé à ça et j'étais tout excité. J'allais voir sur grand écran le sexe de mon oncle entrer en moi, en gros plan ! Je me suis immédiatement mit à quatre patte, les jambes écartées et je me tortillais, face à la TV.

« Ha quand même, j'ai l'impression que mon idée te plaît. Tu vois, on peut faire plein de chose avec une caméra. » « Vas-y tonton, je suis prêt, j'ai envie... »

Et un spectacle s'offrait à moi. Je voyais ce qu'on était en train de me faire. Je voyais mon tonton me titiller l'anus avec sa grosse langue, ça me chatouillait, c'était bon. Et puis il l'a glissé en entier dans mon petit cul, ça m'a fait tout drôle mais je crois me souvenir qu'il m'a dit que j'étais tout ouvert. Je devais vachement avoir envie ! Et puis je l'ai vu/senti mettre un de ses doigts et l'enfoncer. Ca faisait bizarre, je me sentais ailleurs, comme si je flottais. Je me laissais faire. C'est comme si j'avais fumé de la matière illicite. Je planais. Puis, je l'ai vu se mettre à genoux, j'ai vu ses grosses fesses massives poilues se positionner devant les miennes, mes petites fesses imberbes. Je voyais aussi ses couilles. Comme il avait orienté la caméra vers le haut depuis le sol, je voyais tout ! J'ai vu/senti son gros sexe qui forçait peu à peu l'entrée de mon petit anus. Et j'étais ouvert, incroyablement ouvert...

« On va y aller mon petit chéri, tu es prêt ? Tu veux toujours ? » « ...oui...oui...tonton....vas-y....oui... » j'étais comme un drogué de l'image.

Et il a commencé à enfoncer son gros sexe. C'est d'abord le gland qui est entré et ça m'a fait drôle, mais à aucun moment je n'ai eu mal. Comme si j'avais toujours été préparé à cet instant. C'était chaud, dur et gros. J'ai tout senti, absolument tout. Et je voyais, je voyais. Inutile de dire que tonton n'a pas trop attendu pour me poignarder jusqu'à la garde, avec un délicieux et lent coup de reins. J'ai poussé un petit cri, mais de jouissance, je me sentais rempli mais ça me faisait du bien. Et ses grosses mains ont cramponnés mes hanches. Je voyais tout et c'était excitant.

Tonton a accéléré rapidement ses coups de reins et je sentais son ventre me taper les fesses, je voyais ses couilles énormes se balancer et frapper les miennes à l'occasion, je voyais ses cuisses et, je voyais mon petit cul avec cet énorme sexe qui entrait et qui sortait de plus en plus vite. Tonton a commencé à grogner, signe qu'il allait décharger son sperme.

Il se retira, agita son sexe avec une de ses mains et soudain, il lâcha son sperme sur mes petites fesses. Il m'en mit partout, ça coulait à flot.

« Remet ton zizi tonton, remet ton zizi...s'te plaît ! ! ! ! » J'étais en train de me toucher comme il m'avait appris.

Après m'avoir badigeonné les fesses et les reins, il remit son sexe dans mon cul, je voyais tout. Et je me suis vu jouir, je me suis vu lâcher moi aussi mon sperme et quelle jouissance. Je n'avais jamais connu cela ! Jouir pendant que j'avais un sexe dans les fesses, ça faisait comme une pression à l'intérieur de moi mais c'était incroyablement bon...

Quand nous avons terminé, je lui ai posé une question tout de même.

« Tonton... ? » « ...Pfff...pffff...oui chaton ?..Pfff.... » « Tu me lâchera ton sperme dans la bouche et sur le visage ? »

Il me regarda, surprit de ma question !

« Mais.. je te l'ai déjà fait ça ? Non ? » « Oui, mais pas après m'avoir enculé... » « ...Canaille ! T'es une vraie canaille, mais je t'aime. » « Je sais tonton, moi aussi je t'aime. D'accord ? ? » « Oui, promit, et même quand tu t'y attendra pas... » « Oh ouais ! ! ! ! »

Il nous a essuyé, nettoyé délicatement et nous nous sommes endormi dans mon lit. C'était super tendre puisqu'il m'a enserré dans ses bras protecteurs. Je ne pensais qu'à son sexe en moi, j'avais encore le bord de mon petit anus qui « battait », comme s'il était toujours en moi, mais je n'avais pas mal.

Tonton venait de commencer mon éducation sexuelle, et je n'ai jamais eu un aussi bon professeur. Mais j'allais demander encore plus, aller plus loin, et j'allais faire mal au seul être que j'aimais le plus sur terre....

A suivre...

Je voulais vous remercier pour vos messages concernant ce récit, car ils me confortent dans le fait que je ne suis pas le seul à avoir eu une enfance constituée de moments rares et secrets, des moments qu'on n'oubliera jamais.

Si vous avez aimé ce texte, remerciez aramis91, c'est une motivation pour continuer d'écrire.

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