Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : Pipi en classe - Chapitre 1
Auteur : Enguerrand
Personnages : 1 homme, 1 femme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 9 ans
Voyeurisme
Première fois
Lesbianisme
Urine
Non-consensuel
Viol
Torture
Texte envoyé le 24/01/2012
Texte publié le 24/01/2012
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Résumé :
La pauvre Agnès va payer cher son pipi en classe de CE2
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
1984. Monsieur Paul, instituteur en CE2 dans cette petite école de l'est de la France, prenait un malin plaisir à rabaisser et ridiculiser les enfants de la classe, spécialement les petites filles. Le summum de son art, il l'exerçait sur les élèves qu'il appelait au tableau.
Se retrouver au tableau signifiait, une heure de brimades, moqueries et quolibets.
Comme il était par ailleurs excellent enseignant et qu'il avait des protections, il était toujours en poste, malgré la fameuse année scolaire 1981-82. Galvanisé par ce qui s'était passé un peu plus tôt, se sentant invulnérable et nanti d'une mission de « justicier », il avait mis en œuvre un mélange de convictions et de fantasmes. Cette année-là, les brimades s'étaient essentiellement concentrées sur les fillettes « bourgeoises ». De beaux habits, des parents repérés comme mal-pensants, une croix autour du cou ou tout simplement un air timide, valait à l'enfant un traitement particulier.
Il eut beaucoup de chance avec la petite Jeanne-Marie. Dès le début de l'année scolaire, il avait pris en grippe cette fillette de 9 ans qui montrait un peu trop – mais sans le vouloir – qu'elle était très croyante. Petite rousse timide, elle avait les plus adorables, les plus petits petons que l'on puisse imaginer. Aussi, Monsieur Paul exigeait-elle de la fillette qu'elle allât au tableau les pieds nus. Plusieurs fois, il s'amusait à passer derrière et à lui relever sa jupe, dévoilant sa culotte Petit Bateau toute blanche... Un jour, il lui baissa même sa culotte, découvrant deux mignonnes petites fesses toutes blanches. Après la classe de neige, Jeanne-Marie fut retirée de l'école par ses parents. Elle n'a jamais osé révéler ce qui s'était passé, mais le soir, dans son petit lit, elle pleurait. Elle avait appris un nouveau mot dans ces 3 semaines de classe de neige : masturbation...
Donc, en cette journée de 1984, c'est la petite Agnès qui était au supplice. Seulement cette fois, après une bonne demi-heure, les yeux rougis, elle cessa tout à coup de réagir, et devint toute pale. Devant l'absence de réaction, le maître daigna quitter son bureau et se dirigea vers sa victime du jour. Il s'arrêta net, pour pousser un beuglement. « Mais, elle se fait pipi dessus » Les remarques désobligeantes fusaient, alors qu'une trentaine de paires d'yeux, constataient avec stupeur la flaque jaune qui se formait aux pieds de la malheureuse.
Il ordonna que l'on aille chercher sa femme, qui exerçait dans l'école la profession d'infirmière. Elle était très douce, très gentille... mais aussi perverse et portée sur les petites filles que son mari. Elle arriva avec un sachet en plastique. Elle fit lever les jambes à Agnès, l'une après l'autre, enlevant les chaussures et les chaussettes trempées d'urine. « Oh, mais elles sont pleines de pipi les petites chaussures et les petites chaussettes de ce gros bébé... On va retirer tout ça, et on aller à l'infirmerie jusqu'à ce que tu te conduises autrement que comme un bébé.
Le sachet à la main, l'enfant en larmes marchait pieds nus. On voyait sur le carrelage froid l'empreinte mouillée de ses petons. L'infirmière lui disait : « Oh, mais tu dois avoir froid aux petits petons, que c'est joli pourtant de te voir marcher pieds nus ma petite Agnès... ». La femme se montra rassurante et pleine de fausse compassion. L'infirmière commença par lui enlever sa robe, une rapide inspection, elle la rassura quelques minutes sur le radiateur suffiraient. Il en était de même pour son maillot de corps, qui rejoignit lui aussi le radiateur. Pour la culotte, il était visiblement évident que ça ne serait pas aussi simple.
La pauvre Agnès, qui pleurait toujours, soulevait alternativement les pieds, laissant sa petite culotte aux mains de la soignante qui l'emporta immédiatement avec le sachet au lavabo.
Chaussettes et culotte furent rincées à grande eau, essorées et posées sur le porte serviette.
Les chaussures essuyées rejoignirent la jupe sur le radiateur.
Pendant ses opérations, elle était immobile, les bras le long du corps, toute nue.
La femme de l'instituteur la dévorait des yeux, et une fois la petite lessive terminée, Agnès eu droit à un savonnage tout en douceur. A genoux devant elle, la femme commença à renifler. « Oh, mais ça sent le pipi, le pipi de petite fille qui a fait dans sa culotte... » l'infirmière après lui avoir légèrement écarté les jambes, pris une éponge savonneuse... « C'est plein de pipi dans la classe Agnès... tu aurais du baisser ta culotte... tu sais, mon mari et moi on aime regarder les petites filles qui font pipi... ». La femme savonna la merveilleuse petite fente. « Hmmm, on va le laver... Il faut bien laver ce tout petit sexe ! » Elle descendit le long des jambes jusqu'au bout des doigts de pieds.
Assise sur le lavabo, Agnès dût subir un long savonnage de ses pieds minuscules. « Voilà, des petits petons tout propres... Ils sont tout doux... Oh les petits orteils, on dirait des petits bonbons à sucer... ». Enfin elle lui fit faire demi-tour et remonta jusqu'aux jolies fesses rondes et blanches, fesses, qu'elle savonna copieusement et méticuleusement. Elle les écarta et admira le tout petit anus serré qu'elle se permit d'embrasser. Le glissa le long des deux globes et s'insinua dans la raie pour descendre jusqu'à l'entrejambe...
Agnès fut ramenée toute nue dans la salle de classe. Il y avait encore bien en évidence la flaque de pipi. Les enfants étaient sorts en récréation. Quand la femme et la fillette entrèrent dans la salle de classe, Monsieur Paul était assis à son bureau. Son pantalon était déboutonné, fermeture-éclair baissée, et de son slip, sortait le gland d'un sexe énorme. L'instituteur bandait...
Quels supplices le couple infernal va inventer sur la pauvre petite Agnès ? Et si, terrorisée, une fois suivante, elle faisait caca dans sa culotte ? Que se passerait-il ? Voulez-vous en savoir plus sur Jeanne-Marie ? A vous de déterminer le sort d'Agnès... Idées et demandes sont les bienvenues...