Ceci est une nouvelle histoire complète.
Titre : Visite médicale - Texte complet
Auteur : MasterandSlave
Email : tussilago[_at_]hotmail.fr
Personnages : 2 hommes, 1 petit garçon
Le plus jeune garçon a 12 ans
Première fois
Viol

Texte envoyé le 08/02/2011
Texte publié le 08/02/2011

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Visite médicale

par MasterandSlave

Texte complet

Fait chier, je vais louper mon dessin animé préféré. On est vendredi soir et bien sûr je vais être le dernier élève du collège à passer sa visite médicale. Le toubib a pris du retard et comme ma mère est la principale du collège j'ai eu droit au « privilège » de passer en dernier. Normalement l'ordre est alphabétique, mais quand au milieu de l'après-midi « ils » se sont rendu compte du retard, « ils » ont avisés. Ceux qui n'habitent pas trop loin du collège passent en dernier et comme j'habite sur place... devinez ? Ben oui, j'ai eu droit à la dernière place. En plus, j'aime pas les visites médicales le toubib, plutôt la toubib, c'est une vieille qui pue de la gueule avec les mains froides. Depuis le CP, je la subis. À chaque fois elle me demande si je fais bien caca, depuis le temps, elle devrait savoir que oui. Ça fini toujours de la même manière avec la descente du slip pour voir si mes boules sont bien là où elles devraient être et si je décalotte bien. Rien que d'y penser ma quéquette se recroqueville au fond de son slip ! Elle verra une petite nouveauté, j'ai deux poils qui sont apparus, il y a une semaine ! Déjà qu'à 12 ans la cinquième, ce n'est pas facile, mais en plus il faut se coltiner ces conneries...

Il est déjà cinq heure et quart et je suis le dernier dans la salle de l'infirmerie assis en slip et chaussette sur une chaise comme un con. Y'a Maud, la meilleure élève de ma classe, dans la pièce à côté avec la toubib depuis bien 10 minutes. L'infirmière du bahut m'a pesé, mesuré, fait passé le test de vision et fait le test avec la bandelette dans le pot de pisse. Je suis toujours un petit peu en dessous de la taille moyenne, mais je compense par une carrure sportive et un torse qui commence à se tailler avec des petits abdos bien nets. J'ai les cheveux noirs coupés courts.

– Bon, Nicolas (c'est mon prénom, mes potes m'appellent Nico) tu connais les lieux. Je pars, j'ai déjà largement dépassé mon horaire. Tu connais les lieux et comme tu es le dernier, tu fermes en partant et tu donnes les clefs à ta mère.

– D'accord Mademoiselle Gaillard, bonsoir.

Elle se barre sans même prendre le temps de me dire bonsoir ! Moi aussi j'ai largement dépassé mon horaire. Putain, mais elle fait quoi la toubib là ! Va bientôt être la demi. La porte s'ouvre enfin et Maud en sort, en me toisant (on n'est pas trop copain),

– C'est ton tour, Nicolas.

Je rentre rapidement dans la pièce, pressé d'en finir. Cool, il fait chaud pour une fois, d'habitude c'est glaciale. Ça sent toujours l'alcool à brûler et les médocs, mais c'est plus agréable avec cette température. La lumière aussi a été changée, fini les néons crus, place à une lumière plus tamisée. Et le plus gros changement, ce n'est plus la vieille ! On a droit à un toubib maintenant, au moins 50 ans, mais l'air assez sympa. Il me sourit d'emblé. C'est un barraqué, style rugbyman, un peu barbu.

– Bonsoir Nicolas, désolé de t'avoir fait attendre. On va régler ça assez vite.

– Ce n'est pas grave monsieur.

Ma réplique le fait rigoler. Je suis très poli avec les adultes, fils de Principal oblige. Il est impressionnant quand même, même s'il a l'air sympa.

– Viens par là mon garçon.

Il me fait les exams habituels, postures, gorges, ganglions... Je suppose qu'il va finir par regarder dans mon slip aussi comme la vieille... Ben, non. Il regarde pas. Tant mieux.

– Monte sur la table d'examen, s'il te plait.

Bon, là, je sais qu'il va m'appuyer sur le bide et me demander si je fais caca tous les jours et ensuite ça sera terminé. Je pourrai peut-être voir la fin du dessin animé si je ne traîne pas trop.

Il me palpe le bide, comme prévu, ça va, il a les mains chaudes ce n'est pas trop désagréable. Il arrête, ouf terminé. Je commence à me redresser pour descendre...

– Attends Nicolas, l'examen n'est pas terminé, il faut que je te fasse encore un examen génital et un anal. Je vais mettre des gants pour t'examiner.

C'est quoi ce charabia ? Un examen génital, ça veut sûrement dire qu'il va me tâter les roustons, mais un examen anal ? Il va me toucher le cul aussi ? Dans quoi je suis tombé...

Il revient vers moi toujours souriant, il a mis des gants types chirurgiens. Il chope mon slip et le tire vers le bas et me l'enlève complètement ! Jamais on ne m'avait fait ça.

– Détends toi Nicolas, je vais peut-être te faire un peu mal, mais ça va aller. Écarte les jambes que je vois bien ta petite bitte et tes couilles.

Il parle bizarrement pour un toubib, en plus il place ses deux mains à l'intérieur de mes jambes et me force à les écarter. Il attrape mes roustons et commence à les palper et à tirer dessus et de son autre main, il me tire sur le bout vers l'arrière. La toubib elle faisait ça doucement ! Lui il tire dessus comme un malade en me regardant droit dans les yeux en souriant. Putain ça fait mal ! Je commence à flipper, je suis avec un malabar qui doit peser plus de trois fois mon poids et qui a visiblement décidé d'aller jusqu'au bout. Du coup, je ne bouge plus un cil. Il prend ça comme un encouragement et commence à me la branler en passant son doigt, qu'il mouille avec sa salive, sur mon gland, ça me fait bien bander quand même...

– Ça va ? Ça te plait ?

– Heu, oui docteur.

– Ça te dérange si je fais quelques photos ? J'ai une présentation à faire bientôt à quelques collègues sur la manière de faire passer une visite médicale aux petits garçons ?

– Non, non, ça me dérange pas...

Il a préparé son coup et sort un gros appareil photo d'un sac posé à côté de lui et commence à prendre des photos de moi à poil en plan plus ou moins rapproché surtout entre mes cuisses.

– Ecarte bien les jambes, voilà, c'est bien ! Maintenant, tire sur ta petite tige qu'on voit bien ton gland, ouai, super ! Bon, il faudrait que je te fasse les examens mais je ne peux pas prendre les photos en même temps. Mon assistant est à côté, ça te poserait un problème si je lui demandais de prendre les photos pendant que je t'examine ? C'est pour la science, bien sûr...

– N..., non, docteur, y'a pas de problème...

Il se lève et se dirige vers une porte au fond que je n'avais jamais remarqué. Je pensais qu'il s'agissait d'un débarras. Il l'ouvre et je l'entends discuter. Un type en sort, jamais vu, plutôt vieux, en tout cas ces cheveux sont blancs. Il a les yeux très clairs et son visage étroit et dur me fiche la frousse.

– Je te présente Marc qui est spécialisé... Dans les films scientifiques.

Ma tête commence à tourner, il m'a parlé de photos, pas de film ! Effectivement, le vieux à une caméra dans les mains et la lumière tamisée à fait brusquement place à des lumières plus intenses dirigées vers la table d'examen. Je me retrouve en pleine lumière, tout nu, la quéquette à moitié raide, devant deux types qui ont l'âge d'être mes grands-pères ! Marc semble prendre le contrôle des opérations.

– Ok, on a pas toute la journée. Toi, le mioche, tu vas faire exactement comme on te dit et tout ira bien, t'es d'accord ?

– Ou..., oui, m'sieur.

– Très bien, on y va alors, action !

– Je suis Serge, médecin scolaire, et je vais pratiquer l'examen génital et anal de Nicolas, petit garçon prépubère de 12 ans. Dis un mot à la caméra Nicolas...

– Heu...

– Mais encore ?

– Bonjour

– Voilà qui est bien, Nicolas est un petit garçon poli. Nous allons maintenant observer ses organes génitaux de prés.

Serge m'écarte les cuisses au maximum pendant que Marc zoom sur mes parties génitales. Serge passe un doigt derrière mes boules afin de les montrer à la caméra.

– Vous pouvez constater que les deux petites couilles de Nicolas sont descendues et sont bien en place dans le scrotum. Remarquez également que la stimulation de cette région le fait réagir et entrer en érection. En l'aidant un peu, nous pouvons constater que Nicolas décalotte très bien et que la muqueuse de son gland est très douce au touché. Nous allons en profiter pour mesurer la taille de sa petite quéquette. 9 cm, pas trop mal pour un garçon de 12 ans. Remarquez également la présence de quelques poils sur le pubis, annonciateur de sa puberté. Nicolas doit donc déjà pouvoir éjaculer quelques gouttes de liquide séminal, ce que nous contrôlerons plus tard. Est-ce que tu te branles souvent Nicolas ?

– Heu, non, non, docteur.

– Très bien, tu es un petit menteur donc ?

– Ben, une fois de temps en temps peut-être, le soir...

– D'accord, c'est mieux. Nous allons maintenant passer à l'examen anal de Nicolas. S'il te plait mets toi à quatre pattes, sur les avants bras et le cul bien relevé.

Je m'exécute, j'ai honte et le visage en feu d'être ainsi exposé, mais je n'ai pas vraiment le choix. Le médecin poursuit sa démonstration.

– Noter que dans cette position, les organes sexuels du petit garçon sont également très visibles, surtout ses testicules, mais également son pénis surtout si on prend la peine de le ramener vers l'arrière, comme ceci. Dans cette position on distingue mieux le frein du gland que l'on peut alors aisément stimuler avec le doigt comme cela ou même avec la langue, même si ceci dépasse, bien sûr, le cadre strictement médical.

Serge a saisi ma queue bien bandée et la tire vers l'arrière pour en montrer le maximum à la caméra et, il joint le geste à la parole en passant doucement sa langue sur mon bout pendant que j'entends Marc se rapprocher de la scène et zoomer au maximum, les futurs médecins vont en prendre plein les yeux.

– Bien, continuons cet examen approfondi. Voyons maintenant l'anus de ce jeune sujet.

Je sens les deux mains de Marc me saisir les fesses et les écarter.

– Comme nous pouvons le constater, nous avons affaire à un jeune homme à l'hygiène irréprochable, son anus est parfaitement propre. Observez sa couleur rose vif et son élasticité. Visiblement il est encore vierge, n'est-ce pas Nicolas ?

– Je sais pas, ça veut dire quoi vierge ?

– Que tu ne t'es jamais fait enculer, par exemple.

On emploie en permanence ce terme avec les copains mais sans vraiment savoir ce qu'il veut dire réellement, mais, là, j'ai comme une intuition de ce qu'il signifie réellement. Bien sûr que ne me suis jamais fait enculer ! ! Il me prend pour qui ce type ! !

– Ben non, jamais !

– Un doigt, quand tu te branles peut-être ?

Mais, il est vraiment pas bien, il est complètement taré...

– Non, non, je me touche pas le cul ! !

– Génial, une petite chatte totalement vierge ça faisait longtemps qu'on en avait eu, hein Marc ?

– C'est sûr ! À croire qu'ils sont tous PD ces petits connards... On a de la chance, la vidéo se vendra plus cher.

De quoi il parle, lui ? C'est pas une vidéo scientifique ? ! Ils font quoi alors ? Je commence à me sentir mal... Marc poursuit sa « démonstration ».

– Bien, il est donc temps de voir ce qu'il se passe dans ce futur trou à bitte en l'explorant plus profondément. Je vais lui faire un toucher rectal, pour commencer... D'abord, il faut lubrifier le conduit avec un produit adapté, ici du gel siliconé. L'objectif étant avant tout d'empêcher toute résistance à la pénétration et non d'éviter la douleur... Puis, il suffit d'appuyer le doigt plus ou moins fortement et de l'enfoncer dans le rectum suivant la résistance, d'une seule traite, comme ceci... Voilà, ça rentre presque comme dans du beurre et pourtant, j'ai des gros doigts. Là, je suis bien au fond de son petit cul et je sens le bourgeon de sa prostate naissante sous mon doigt, je la fais rouler un peu. Ça te plait petite pédale ?

Putain, j'ai failli tourner de l'oeil quand il m'a mis son doigt, et maintenant ça me fait une sensation vachement bizarre dans le ventre, mais c'est pas si horrible que ça... D'ailleurs, j'ai presque pas débandé, faut dire qu'il n'arrête pas de me branler et de me triturer les couilles quand il a une main de libre...

– Je suis pas une pédale !

– Pas encore tout à fait mon chéri, mais ça ne va pas tarder, t'inquiète pas ! Bien continuons notre exploration par un examen assez douloureux et spectaculaire mais parfaitement inutile d'un point de vue médical : le spéculum. Nous allons utiliser un modèle classique, type Pederson, que j'insère, après lubrification, comme ceci dans son rectum jusqu'au bout soit 9 bon cm. Marc, tu peux constater que le petit n'a toujours pas débandé, surtout pense à bien zoomer sur sa petite queue...

– Ouai, c'est bon Serge, t'inquiète pas, j'ai l'habitude. Vas-y maintenant écarte lui bien le cul à fond et fait le un peu crier, tu sais bien qu'on a des clients qui aiment ça et pour l'instant il n'a encore rien dit, à croire qu'il aime ça ce sale petit bâtard.

J'ai senti le métal froid et humide rentrer dans mon cul, mais j'ai plus peur de Marc que mal, c'est un vrai malade celui-là. J'ai mis du temps (on est naïf à 12 ans !) mais j'ai fini par comprendre que j'étais l'acteur principal d'un film pédo et que la visite médicale n'était qu'un prétexte, mais ils ne perdent rien pour attendre, quand ma mère va être au courant ça ne va pas se passer comme ça... D'ailleurs, elle devrait commencer à s'inquiéter car ça fait déjà un moment que je devrais être rentré.

– Bien, donc à la demande général on va faire couiner un peu ce petit morveux en lui écartant les sphincters, de toute façon y'a plus que sa mère dans le bâtiment et vu le fric qu'on lui a filé pour payer ces dettes de jeux, y'a guère de chance pour qu'elle vienne voir de près ce qu'on lui fait subir, on a juste promis de lui rendre vivant, mais on a pas précisé dans quel état, j'espère qu'elle à garder quelques paquets de couches, il risque d'en avoir besoin au moins pendant quelques jours !

– Ha, Serge, là tu vois je pense que la petite pute n'était pas au courant vue les larmes qui commencent à couler sur ses joues, là c'est bien mon mignon, laisse moi faire un gros plan...

Le monde s'écroule autour de moi, ma mère m'a vendu à ces sales pervers... Aïe, je sens le métal commencer à m'écarter le trou, ça fait mal...

– Vas-y Marc zoom bien sur son cul pendant que je lui dilate bien à fond. Voilà, chers spectateurs, vous pouvez maintenant commencer à contempler l'intérieur de ses tripes et si vous tendez l'oreille vous pouvez entendre également le début de ses gémissements et de ses pleurs qui vont s'accroître pour votre plus grand plaisir au fur et à mesure de l'ouverture de son fion ! Alors Nico ! t'as une déclaration à faire avant que je t'éclate ta jolie petite chatte ?

J'ai mal et j'ai peur, qu'est ce qui vont me faire... Je sens de l'air froid qui rentre dans mes fesses et ils rigolent tous les deux comme des malades

– J'ai l'impression que notre jeune sujet a perdu la parole ! Le principal c'est qu'il puisse crier, n'est-ce pas Marc ?

– Tu m'étonnes, vas-y ouvre le encore, t'as de la marge...

– Très bien, je m'exécute ! Et voilà je tourne la vis. J'espère que vous avez autant de plaisir que moi à voir ce petit cul se dilater cher spectateur, admirez ces muqueuses rouges gorgées de sang donc bien irriguées significatives d'une bonne santé. Je suis au bout de la vis, il est ouvert au maximum, 8 cm de diamètre. Constatez que le sujet à cesser ses cries et sanglotte maintenant doucement. Je crois qu'il est prêt pour d'autres expériences et sensations nouvelles, qu'en penses-tu Marc ?

– Ouai, il est grand temps de passer aux choses sérieuses mon cher Serge !

Une suite est possible

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