Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : Matheo - Chapitre 2
Auteur : Petite Tige
Email : petitetige[_at_]fastmail.fm
Personnages : 1 homme, 1 petit garçon
Le plus jeune garçon a 4 ans
Oral
Pénétration anale
Non-consensuel

Texte envoyé le 16/12/2011
Texte publié le 17/12/2011

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Résumé :
Une soirée qui s'annonce longue et difficile pour le petit Matheo.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/

Matheo

par Petite Tige

Chapitre 2

– Allez, mon poussin, je sais que tu peux en prendre plus, dis-je en appuyant sur sa tête.

Il s'étouffe, toussote. Je le laisse un instant respirer, puis je force à nouveau ma queue dans sa bouche. Je lui souris comme si tout ça était la plus naturelle des choses, comme si tous les petits garçons de son âge prenaient régulièrement des sexes d'hommes dans leurs bouches.

Il fait des efforts pour me satisfaire, je le vois. Il veut tellement que je sois content de lui. La moitié de ma queue glisse entre ses lèvres tendues et moites et sur sa petite langue que je sens palpiter.

Je vais jouir. Parfois, je jouis dans sa bouche, mais le plus souvent, j'éjacule sur son visage. Je ressors, lui fait lever la tête et commence à me branler sur son menton. Ses yeux humides plongent dans les miens. Il a la bouche entrouverte. Son torse maigre se soulève rapidement.

Je me mords les lèvres et crache le contenu de mes couilles sur son joli visage. Il n'a même pas un mouvement de recul. Il se contente de fermer les yeux et de grimacer. Je lui arrose le menton, les lèvres, les joues, son joli petit nez, même son front. J'essuie mon gland sur sa joue puis je m'assois en bord du lit. Je regarde son visage innocent que j'ai poissé de foutre. Ca lui coule sur le torse. Il sait qu'il n'a pas le droit de s'essuyer. Il reste les bras ballants, quelques larmes coulent de ses yeux et se mêlent à mon sperme. Il est beau, mon Matheo, mon merveilleux petit jouet.

D'une main douce, je commence à étale ma semence sur son visage et son torse. J'en mets sur ses épaules, ses bras. Puis je m'essuie les doigts dans ses cheveux. J'aime laisser mon foutre sécher sur sa peau. C'est ma manière de le marquer, de dire qu'il est ma propriété.

Je lui susurre  : tu est mon petit amour. Il esquisse un sourire. Il veut tellement que je l'aime, il a tellement peur que je cesse de l'aimer s'il ne fait pas ce que je veux.

Tout à l'heure, je lui ai donné une fessée, parce qu'il n'arrivait pas à retirer tout seul son tee-shirt. Autant dire, sans raison valable, juste parce que j'avais envie de faire rougir son petit cul magnifique. J'y suis allé de bon coeur. Il aura sans doute des bleus. Un autre gosse aurait trouvé ça injuste. Pas Matheo. Parce qu'il sait qu'après la fessée, je lui fais toujours un gros câlin, que je le sers très fort dans mes bras.

Ma main vient tapoter gentiment ses petites fesses endolories sous son short rouge.

– Tu as faim  ?

Il hoche la tête. Je le prends par la main et l'emmène à la cuisine. Ma queue à moitié débandée pend entre mes cuisses. Mais je sens déjà le sang affluer. Avec Matheo, je ne débande jamais bien longtemps. Il a une grimace de douleur en s'asseyant sur sa chaise que j'ai pourtant rehaussée avec des coussins. Je lui sers un reste de purée avec une saucisse coupée en morceau et je le regarde manger avec tout mon sperme sur sa peau. Ça y est, je me remets déjà à bander. Le gosse s'en aperçoit, et entre deux bouchées, il me demande d'un air soucieux  :

– On va jouer encore, ce soir  ?

Entre nous, le terme jouer a un sens bien particulier.

– Bien sûr, Matheo.

– On va jouer à quoi  ?

– A mon jeu préféré. Et tu vas voir, j'ai une surprise pour toi.

Je le laisse finir de manger en me branlant lentement face à lui. Il ne quitte pas des yeux ma queue. Parfois, à la fin du repas, je la lui fais sucer en guise de dessert. Mais pas ce soir. J'ai d'autres projets en tête.

Quand il a fini, je débarrasse la table. Puis je prends le gosse dans mes bras. Il passe ses petits bras maigres autour de mon cou et niche sa tête sur mon épaule. Je le câline un moment, lui disant combien je l'aime. Je ne lui mens pas. Je l'aime passionnément. C'est juste que j'ai une manière spéciale de lui montrer.

Je le porte jusqu'au salon et le repose sur ses pieds.

– Retire ton short et ton slip, lui dis-je.

Pendant qu'il s'exécute maladroitement, je sors d'un tiroir le sac qui contient les ustensiles nécessaires à notre prochain jeu. Un tube de vaseline, une bougie à l'extrémité arrondie et un joujou que j'ai acquis ce matin-même  : un godemiché de petite taille (mais plus gros que la bougie) pourvu d'un manche. L'anus de Matheo est terriblement étroit. Il n'est pas encore en mesure d'accueillir ma queue. J'ai commencé à le travailler avec un doigt, et ce fut déjà difficile la première fois, puis je suis passé à la bougie et maintenant qu'il commence à l'accepter avec moins de peine, je veux essayer quelque chose de plus imposant.

J'aimerais être en mesure de l'enculer pour son cinquième anniversaire qui aura lieu dans un mois. Ce serait un beau cadeau à lui faire. Je doigte son mignon petit trou aussi souvent que possible, chez moi, à l'extérieur, je me risque même à le faire en public, discrètement bien sûr. Matheo sait que dans ces cas-là, il ne doit pas crier.

Quand je me retourne, mon Matheo est nu. Il a même ramassé ses vêtements et les a posés avec les miens sur le canapé. Brave petit. Tout en souriant, je lui montre le godemiché que j'ai acheté pour lui. Il n'a pas besoin que je lui explique ce que je compte en faire. Une expression de frayeur se peint sur son visage et il pose ses mains sur ses fesses.

– C'est trop gros, soupire-t-il.

– Je suis sûr que tu vas y arriver.

Il fait non de la tête en ravalant un sanglot.

– Allons, Matheo. Je t'ai dit ce que je veux faire pour tes cinq ans.

Il hoche la tête.

– Je voudrais te l'entendre me le répéter.

– Tu veux... m'en...culer avec ta... bite.

Même les plus vilains mots sonnent innocemment quand ils sortent de la bouche de Matheo.

– C'est exactement ça, mon chéri. Et je ne veux pas te faire trop mal. C'est pour ça que je dois t'entraîner, tu comprends  ?

Il ne dit rien. Que pourrait-il répondre à ça  ?

– Mets-toi en position.

Il la connaît par coeur. Je n'ai plus rien besoin de lui dire. Il prend un oreiller sur le canapé, le pose sur la table basse, puis il se met à quatre pattes sur celle-ci. Il s'incline jusqu'à ce que sa tête repose sur l'oreiller. Enfin, il écarte avec ses mains ses fesses ravissantes rougies par la fessée que je lui ai donnée tout à l'heure. Son anus ainsi que le pourtour sont irrités par toutes les pénétrations que je lui inflige régulièrement. Cela le rend encore plus appétissant à mes yeux. Je m'agenouille face à ce minuscule orifice dans lequel on hésiterait même à enfoncer un thermomètre. Quand je pense que c'est ma queue que j'envisage d'y enfoncer d'ici quelques semaines.

Je me penche et me mets à le lécher. J'en profite aussi pour lécher le sac si tendre de ses petites couilles. Ses fesses sont brûlantes.

Je caresse son dos cambré. Je sens un frisson parcourir sa peau. Il a peur et étouffe un sanglot contre l'oreiller. Brave petit Matheo. On va pouvoir commencer.

Vos encouragements et remarques sont toujours les bienvenus.

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