Ma première jeune fille

Note de l'auteur : Ce texte est que pur fantasme. Il ne faut jamais vivre en vrai les faits qui sont décrits dans cet exposé. Abuser d'une enfant est interdit par la loi. Lire les récits sur le site des HT vous permettra de vous défoulez sans aucune atteinte à une mineure. Bonne lecture.

***

A mon retour du travail ce lundi, je vais prendre ma douche et ensuite je me fais à manger. Pas des sandwiches cette fois-ci ! Mais de la pizza.

Pendant que celle-ci cuit, je repense aux bons moments que j'ai eus avec Valérie hier. Que du plaisir ! Je ne croyais jamais que ma jeune nièce était aussi chaude. Rien ne la répugne et elle est d'accord pour essayer tout concernant le sexe. Même la sodomie. J'en viens à me demander si Élodie est aussi chaude que sa grande sœur ?

Enfin, la pizza est prête. Je mange comme un fou tout en pensant que je mange la petite fente d'une de mes deux jeunes filles avec qui j'ai eus des rapports sexuels. Autant l'une que l'autre goûte aussi bonne du sexe. J'ai un début d'érection juste à penser à ce que j'ai fais avec mes deux jeunes filles ce weekend.

Mon repas fini, je vais au salon écouter la télé. Il n'y a pas vraiment de bonne émission à écouter. Juste des reprises. J'aimerais bien appeler Olivia ou Valérie, mais je ne suis jamais certain que ce soit une d'elle qui répond au téléphone. Mon souhait se réalise et Olivia m'appelle peu de temps après.

– Allô !

– Salut Robert.

– Comment vas-tu Olivia ? Tu es seule à la maison ?

– Oui, mes parents sont sortit et ne reviennent que vers 22 heures. Et oui je vais très bien. Je n'ai même plus mal au vagin. Mais que tu es gros !

– Je sais. Tu as été très bonne pour notre première fois.

– Je compte bien recommencer. J'ai trop aimé avoir ton gros pénis dans moi.

– Pour ma part, ce n'est pas facile de t'expliquer comment j'ai aimé prendre ton petit sexe. Surtout que tu étais vierge. Tu ne regrette pas de ne plus l'être ?

– Pas du tout Robert. Je me suis donné à toi en toute conscience sachant que par la suite, je ne serais plus vierge.

– Je suis si heureux de l'avoir fait avec toi ma chérie.

– Moi aussi. Ha oui ! Comment ça été avec Valérie ?

– Hum ! Je pourrais te dire que cela a été au-delà de mes espérances.

– Raconte-moi.

– Hé bien ! Je l'ai prise sur la balançoire peu de temps après son arrivée.

– Elle a aimé ?

– Oui, tout comme moi.

– Est-ce qu'elle est aussi belle que tu le croyais ?

– Oui, elle est très belle. Elle est comme toi, elle n'hésite pas à se montrer nue.

– J'étais gênée au début, mais à présent, je dois te dire que j'aime me montrer à toi. J'aime t'exciter.

– Et moi j'aime te voir ma puce.

– Elle est comment au juste ?

– Un peu plus grande que toi, avec des cheveux aussi long et de la même couleur que toi. Elle a des belles petites fesses comme toi. Ces seins sont juste un peu, vraiment juste peu plus gros que les tient.

– Tu dois vraiment l'aimer ?

– Oui Olivia. Mais je t'aime tout autant.

– Ne pense pas que je suis jalouse. Je suis simplement contente pour toi. Tu es si tendre et doux avec moi, alors j'ai donc de la difficulté à croire que tu n'es pas aussi gentil avec elle.

– Tu as raison. Vous êtes toutes les deux des amours pour moi.

– Et comment c'est passé le reste de la journée ?

– Je lui ai bouffé la chatte et elle m'a sucé. Nous avons eut du plaisir tous les deux.

– Je n'en doute pas un instant.

– Et tu veux savoir une autre chose ?

– Oui, raconte moi !

– Je l'ai même sodomisé. Et elle n'a pas eut mal. Mais j'ai tellement jouis dans son petit cul.

– Pas croyable ! Tu es si gros. Et elle a été capable de te prendre au complet ?

– Oui. Je l'ai préparée un moment et ensuite je me suis glissé dans son rectum avec une facilité incroyable.

– J'imagine dont que tu vas vouloir me le faire aussi ?

– Seulement si tu te sens prête à le faire.

– Tu es vraiment gentil Robert. Tu attends toujours que je sois prête pour faire une chose avec moi.

– Tout simplement parce que je t'aime Olivia et que je te respecte.

– Je ne regrette vraiment pas de t'avoir connu.

– Je vais te faire une autre confidence Olivia.

– Laquelle ?

– Valérie a deux autres sœurs. Et la deuxième, Élodie a 10 ans et demie. J'ai demandé à Valérie d'essayer de l'emmener vers moi en secret de ces parents.

– Ayoye ! Toute une nouvelle ça !

– Je ne sais pas encore ce que je vais faire avec elle si jamais elle vient chez moi. Mais je pourrais certainement me faire sucer par elle.

– Juste cela ?

– Je rêve de faire plus. Mais elle est encore très jeune. Tout va dépendre de ce qu'elle sera prête à recevoir de moi.

– Je suis confiante que tu ne lui feras pas de mal.

– Je n'en ai aucunement l'intention. Je vous aime trop les petites filles pour vous faire du mal.

– Tu crois que Valérie et moi nous allons se rencontrer ?

– Si tu es d'accord, je pourrais demander à Valérie de venir en même temps que toi.

– J'aimerais beaucoup la connaître ta nièce. Elle semble si gentille selon ce que tu me dis.

– Tu serais disponible pour samedi ?

– Oui.

– Dès qu'elle m'appelle, je lui propose cette rencontre entre nous trois. Ça te convient ?

– Je dois dire que j'ai hâte de la voir plus longtemps que lorsqu'elle nous a surprit en sortant de la douche.

– Je vais faire mon possible. Mais dit moi, comment je pourrais t'appeler sans que tes parents le sachent ?

– Cache ton numéro et sonne une fois. Je vais savoir que c'est toi et je vais te rappeler dès que possible.

– Tu es vraiment un petit génie toi !

– Je sais. J'ai juste 12 ans, mais je suis très intelligente.

– Tu me surprendras toujours toi.

– Je dois te laisser car il me reste des devoirs à faire pour demain.

– On se reparle ma petite Olivia.

– Oui. Je vais t'appeler dès que possible. Et je n'oublie pas notre possible rencontre avec Valérie samedi.

– Je vais te tenir au courant de la situation. Bonne nuit ma petite chatte.

– Bonne nuit à toi aussi Robert.

La ligne se coupa. J'étais bien content d'avoir reçu son appel. J'aimais aussi le fait que Olivia veuille rencontrer Valérie. Je vais tout faire pour que cette rencontre se passe entre nous trois. Si jamais cela se produit, je suis certain que cela sera un grand moment dans ma vie. L'homme aimant les jeunes filles sera comblé par la présence des deux filles.

Comme il n'était pas tard, j'eus la belle surprise de recevoir l'appelle de Valérie. Elle me raconte comment elle a aimé notre première rencontre et je lui propose samedi matin. Je l'avertis aussi que très possiblement, Olivia sera présente.

– Cool tout ça ! J'ai tellement hâte de la rencontrer dans des meilleures conditions.

– Elle aussi souhaite te rencontrer.

– Alors ça ne peut arriver que dans un meilleur moment.

– Tout à fait d'accord avec toi. Tu es disponible pour vers 9 heures samedi matin, et pour toute la journée ?

– Je vais m'arranger en mentant juste un petit peu à maman.

– Je vais donc annoncer la nouvelle à Olivia. Tu sais autre chose, elle m'a apprit comment je pourrais l'appeler sans que ces parents le sachent.

– Et comment ?

– Je cache mon numéro et sonne juste une fois. Et si elle est capable, elle me rappelle.

– Excellente idée qu'elle a eut ce petit génie. Tu pourrais faire de même avec moi.

– Je comptais bien t'en avertir.

– Robert, assis toi bien car je vais te dire une chose assez incroyable.

– Alors attends moi, je vais me chercher une bière.

– J'attends.

Je me demandais bien ce que Valérie avait de si incroyable à me raconter. Rapidement, je vais reprendre place dans mon fauteuil, pas avec une mais deux bières car je m'attendais bien que la conversation aille durer un bon moment.

– Je suis de retour Valérie. Raconte moi tout !

– Tu te rappelle ta demande hier au sujet de Élodie ?

– Parfaitement. Tu ne lui as surtout pas dit pour nous deux ?

– Je n'avais pas complètement le choix de lui en parler un peu.

– Et que lui as-tu dit au juste ?

– Assied toi bien. Tu vas être vraiment surprit !

– Je t'écoute et arrête de me faire languir.

– Quand je suis arrivé à la maison, je n'ai pas croisé mes parents. Je suis monter à ma chambre prendre ma robe de chambre pour aller prendre une autre douche pour relaxer. Et qui voilà qui entre dans ma chambre ? Ma jeune sœur Élodie. Elle a bien vu que je m'apprêtais à aller prendre ma douche.

– Juste que là, rien d'anormal.

– Ecoute la suite.

– Je suis toute oreille.

– Comme je voulais aussi prendre ma douche et en même temps lui parler de toi, je l'invite à prendre sa douche avec moi. Il nous arrive de la prendre ensemble, et ceci ne surprends et ne dérange pas nos parents. Maman n'en fait pas attention car nous sommes deux sœurs et nous nous entendons somme tout assez bien.

– Je commence à voir la suite.

Valérie me raconte que sa sœur est allée prendre sa chemise de nuit et elle est revenue la rejoindre dans la salle de bain. Valérie ouvre l'eau tandis qu'elle débute à se dévêtir et Élodie en fait pareil. Et elle fait l'affirmation suivante :

– Dit donc toi, tu commence à avoir vraiment des beaux seins !

– Je pourrais te dire que toi aussi tu commence à avoir plus que des boutons.

– Ne rie pas de moi !

– Pas du tout. Je voulais juste dire que tes vraiment petits seins commençaient vraiment à prendre une belle forme. J'aime bien tes mamelons. Ça doit se voir nettement quand tu porte un t-shirt.

– Effectivement. Tu n'as jamais remarqué ?

– Pas vraiment. J'avais la tête ailleurs.

– Tu les trouves vraiment beaux mes petits seins ? Moi j'aimerais bien les avoirs comme toi.

– Ça va venir, laisse le temps passer.

Valérie continua à me raconter comment elles se détaillaient et Élodie lui dit :

– Tu as plus de poils que moi.

– C'est vrai. Mais je n'en vraiment pas beaucoup si je me compare à certaines de mes amies. J'ai juste un petit duvet de jeune fille.

– Et moi juste des petits poils épars sur mon pubis.

– Ça aussi viendra avec le temps.

Valérie poursuit son récit en me disant qu'il était temps qu'elles entrent sous l'eau de la douche. Chacune passait sous l'eau et toutes les deux se voyaient nus et trempes et encore plus excitant selon moi. Élodie ne se gêna même pas de toucher les seins de sa grande sœur.

– Dit petite sœur, tu n'as aucune gêne toi ?

– Désolé. Je voulais juste savoir ce qu'était de toucher des seins plus gros que les miens.

– Ne te gêne pas, je te laisse faire. Explore-moi !

Valérie me raconta que sa jeune sœur Élodie lui avait palper longuement les seins. La suite ne fut pas banale. Les deux filles se sont misent à se mettre les doigts dans la chatte de chacune. Valérie a même jouie sous les caresses de sa sœur. Élodie a aussi jouie presque sur-le-champ tellement elle était chaude. A en entendre parler, Élodie est vraiment une petite bête de sexe tellement elle est réceptive aux caresses vaginales et clitoridiennes. Tout ceci m'excitait au plus haut point.

Je souhaitais vraiment une rencontre avec Valérie et sa jeune sœur Élodie. Mais il fallait que Valérie arrange la rencontre. C'est à ce moment que j'appris certaine chose.

– Tu sais Robert, ma sœur n'est pas niaiseuse. Elle m'a demandé comment ça faisait de temps que je n'avais pas de copain.

– Et tu lui as répondu quoi ?

– Que j'avais rencontrer un homme ! Un vrai ! Ceci suite à ma séparation d'avec mon ancien copain.

– Elle a du être surprise par ta réponse ?

– Exactement. Elle me demanda des détails.

– Tu lui as certainement parlé de moi ?

– Oui. Je lui ai dis que cet homme me faisait jouir comme aucun gamin. Et c'est toi sans lui dire encore ton nom.

Par la suite, Valérie et sa sœur Élodie sortirent de la douche. En se séchant, Élodie demanda à Valérie qui était cet homme mystérieux qui l'avait tant fait jouir. Valérie me dit qu'elle était un peu embêtée de dévoiler mon nom. Mais comme je voulais que sa sœur vienne faire rencontre sexe avec moi, Valérie lui donna le prénom de cet homme qui était moi.

– Élodie, tu me promets de ne jamais dire ce que je vais te dire. Et aussi, de garder secret ce qui suivra par la suite avec cet homme ?

– Tu me connais assez bien pour savoir que je ne suis pas une cafteuse.

– Je sais que nous avons eut beaucoup de secret toutes les deux. Mais cette fois-ci, c'est encore plus que plus à garder secret.

– Je te donne ma parole Valérie.

– Il s'agit de notre oncle Robert.

– Non !

– Oui.

– Tu as couché avec lui ?

– Oui. Et il est un bon baiseur, Il souhaite même te rencontrer en privé avec moi.

– Et tu voudrais que je couche avec lui, moi qui suis vierge ?

– Tout dépendra de ce que tu es prête à faire.

– Tu ne crois pas qu'il va me violer ?

– Non Élodie ! Il aime trop les jeunes filles pour leur faire du mal.

– Tu me rassure. Et c'est quand que je vais aller le voir avec toi ?

– Je vais en discuter avec lui et je vais te dire quand nous allons aller le voir.

– Tu crois qu'il voudra me voir nu ?

– Certainement Élodie. Il le souhaite même. Il te trouve vraiment belle et attirante.

– Même si je suis jeune ?

– Oui petite sœur. Robert aime les petits fruits encore verts.

– Je brûle d'impatience.

Valérie me dit que la douche se termina ainsi et que Élodie partit dans sa chambre. Elle se doutait bien qu'elle se fasse plaisir toute seule sachant que je la désirais.

– J'ai vraiment hâte de rencontrer Élodie avec toi Valérie. Mais il faut d'abord satisfaire le désir de Olivia pour samedi matin.

– Tu as raison. Elle peut attendre une semaine, à moins que nous puissions nous voir dimanche.

– Ça va dépendre comment vous allez m'épuiser avec votre énergie.

– Tu ne seras certainement pas déçu de nous.

– J'en suis certain.

– Je dois te laisser car mes parents arrivent.

– A samedi Valérie.

– Oui. Salut !

Le reste de ma soirée se passa en rêvant de mes petites amoureuses. Vers 22 heures trente, juste après les nouvelles à la télé, je vais me coucher.

Mon travail reprit mes esprits et j'ai eus une bonne semaine de travail. J'ai même eus la chance de voir mercredi une belle jeune fille d'environ 12 ou 13 ans qui me regarda un moment travailler. Moi, je la détaillais des pieds à la tête et mon attention se porta sur sa jeune poitrine. Elle ne resta pas longtemps, mais suffisamment pour que je puisse distinguer nettement sa jeune poitrine dont les mamelons étaient rigides sous son t-shirt. Et ces belles jambes car elle était en jupe.

Elle m'a vraiment fais bander cette petite fleur malgré son court passage devant moi. Et c'est en cachette derrière un arbre que je suis aller me masturber en repensant à son si magnifique petit corps.

C'est jeudi soir après le souper que je reçus l'appelle de Olivia concernant notre possible rencontre à trois avec Valérie. Je lui mentionne l'accord de Valérie pour venir se joindre à nous pour samedi vers 9 heures. Olivia est d'accord et elle doit couper la ligne rapidement car ces parents entrent dans la maison. Mais elle me dit qu'elle sera au rendez-vous.

Je jubile à savoir que je vais avoir sous les mains mes deux jeunes amoureuses. Valérie ma nièce et ma petite inconnue Olivia. Toutes les deux avec moi et nues. Je n'arrive pas à croire à la chance que j'ai en ce moment. Et dire qu'il y a si peu de temps, je rêvais en secret de rencontrer une belle jeune fille. J'en ai maintenant deux justes pour moi. Quel bonheur !

Je repense aussi à ce que Valérie m'a dit au sujet de Élodie. Malgré qu'elle ait seulement 10 ans et demie, je pourrais regarder et toucher son beau petit corps et certainement me faire sucer par elle. Juste lui toucher et sucer ces très petits seins me comblerais énormément. Mais à la condition qu'elle le veule bien. Car je ne force jamais la jeune fille à faire des choses contre sa volonté.

Vendredi. Dernier jour avant que je rencontre mes deux amours. Ma journée se passe très bien et mon travail est agrémenté par la présence d'une adorable jeune fille qui vient souvent me voir travailler après avoir fait trempette dans la piscine familiale. J'apprends qu'elle se nomme Josée et qu'elle vient tout juste d'avoir 13 ans il y a deux jours. J'en profite pour enlever mes gants et je me lève pour aller près d'elle. Je pose mes mains sur ces épaules tout en lui caressant le cou et je lui souhaite bonne fête en retard tout en lui donnant un doux et tendre baiser sur chaque joue. Josée se dandine visiblement surprise par mon action. Moi, j'ai eus la chance que pouvoir toucher la douce peau de ses épaules et de son cou. Ce n'est rien de bien extraordinaire, mais pour moi c'est beaucoup. Et je reprends mon travail. Josée viendra souvent me voir tout en me montrant involontairement son jeune corps avec son maillot deux pièces. Je suis resté en érection une bonne partie de la journée grâce à sa présence.

A la fin de la journée, mon travail est terminé et je remballe mon équipement. Sa mère vient alors me voir pour constater mon travail et elle me paie avec un généreux pourboire pour le beau travail que j'ai accompli. Ce qui arrive que très rarement avoir un pourboire. Si elle savait que mon pourboire est d'avoir eut la présence de sa belle jeune fille ! Elle me demande :

– Monsieur Robert, j'espère que ma fille ne vous a pas trop déranger en venant tout le temps vous regarder et vous parler ?

– Aucunement Madame. Votre fille est vraiment gentille et très polie.

– Je suis vraiment satisfaite de votre travail. Et je n'hésiterai pas à vous recommander.

– Merci Madame ! C'est très aimable de votre part.

Et je quitte pour me rendre chez moi et profiter de ma fin de semaine. J'ai comme l'impression que celle-ci sera chargée en sexe et émotion forte avec mes jeunes amoureuses.

Je prends une rapide douche et ensuite je soupe. Par la suite, je regarde le courrier de la semaine et règle les comptes sur Internet. Par la suite, je passe mon temps devant la télé jusqu'à ce que je reçoive l'appelle de Olivia.

– Allô !

– C'est moi Olivia.

– Je t'avais reconnue. Tu vas bien ?

– Oui. Je suis juste un peu anxieuse pour demain matin.

– Reste toi-même et tout va bien se dérouler.

– Je te crois. Mais ça va être ma première fois que je vais me montrer nue devant une autre fille avec toi.

– Valérie va être aussi contente que toi de te voir. Elle est un peu comme toi. C'est à dire un peu exhibitionniste.

– Car tu crois que j'aime me montrer ?

– Ne joue pas la petite mijaurée. Tu le sais trop bien que tu aime me faire voir ton adorable petit corps que j'aime depuis la toute première fois.

– Je n'aime pas le terme, mais je dois dire que tu as encore une fois raison. J'aime te montrer mon petit corps et t'exciter avec.

– Et je t'adore ainsi. Ne change pas ma tendre Olivia.

– Depuis que je t'ai connu, j'ai comme l'impression que je mature plus rapidement que mes copines. C'est normal, tu crois ?

– Fort probable. Ce n'est pas toutes les jeunes filles de ton âge qui ont une relation secrète avec un homme de mon âge.

– Et je dois dire que j'aime être avec toi Robert. Jusqu'à maintenant, je ne regrette rien de ce qui s'est passé entre nous deux.

– Je pourrais te dire que je suis extrêmement heureux de t'avoir connu ma petite Olivia.

– Je dois te laisser car mes parents arriveront dans peu de temps. Mais je vais être chez toi demain matin. Je vais avoir à mentir un peu à maman, mais il le faut pour garder secret notre relation.

– Je te fais confiance et passe une belle nuit mon amour.

– Je t'embrasse Robert. Et à demain.

La ligne se coupa et je repris l'émission à la télé. Je n'attendais pas d'appel de Valérie car je lui avais dit que Olivia viendrait nous voir. Je téléphone par contre à ma sœur pour savoir son horaire de la fin de semaine. Je ne voulais surtout pas qu'elle débarque à l'improviste et me surprenne avec sa fille et Olivia. Virginie me dit qu'elle va aller voir nos parents et coucher chez eux samedi soir. Elle me dit être un peu inquiète pour Valérie qui ne veux pas y aller prétextant aller voir une amie. C'est alors que je saisis la balle.

– Tu sais Virginie, si cela t'inquiète autant, tu n'as qu'à dire à Valérie de venir coucher chez moi samedi soir.

– Comment je pourrais me passer de toi, grand frère !

– L'idée est bonne, non ?

– Je vais en faire part à Valérie dès son retour tout à l'heure.

– Valérie m'aime bien. Alors je ne crois pas qu'elle refuse. Et ainsi, tu auras l'esprit tranquille.

– Tu as raison. Je te laisse car il me reste à faire les valises de Élodie et Julie.

– Vers quelle heure tu penses revenir dimanche ?

– A 16 heures au plus tard.

– Alors je vais aller reconduire Valérie vers 17 heures pour être certain que tu seras revenu et nous allons commander de la pizza pour manger tout ensemble. Tu fournis la bière et moi la pizza pour toute la famille.

– J'ai vraiment de la chance d'avoir un frère comme toi.

– Tu peux dire à Valérie que je vais l'attendre.

– D'accord. Bonne fin de semaine.

– A toi aussi Virginie. Et salut nos parents de ma part.

– Je n'y manquerai pas.

Mes plans pour le weekend venaient de changer. Je ne savais pas que ma sœur allait voir nos parents. Ce qui fait qu'en plus d'avoir mes deux amours pour toute la journée de samedi, j'aurais aussi la chaude présence de Valérie avec moi pour toute la nuit de samedi. Et qui sait si j'aurai la visite de Olivia dimanche durant la journée.

Je ne pouvais demander plus ! Je vais devoir avoir beaucoup d'énergie pour satisfaire mes amoureuses.

Après les nouvelles, je vais me coucher en attendant la visite de Valérie et Olivia demain samedi.

Ma première jeune fille

par Pourkoipas12

Chapitre 5