Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : Ma première jeune fille - Chapitre 2
Auteur : Pourkoipas12
Email : pourkoipas12[_at_]yahoo.ca
Personnages : 1 homme, 2 adolescentes
La plus jeune fille a 12 ans
Romantique
Exhibitionisme
Voyeurisme
Oral
Masturbation
Urine

Texte envoyé le 22/08/2011
Texte publié le 25/08/2011

©2011 - Pourkoipas12. Tous droits réservés.

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Résumé :
Ma petite Olivia m'en donne encore plus. Et ma nièce Valérie entre dans ma vie d'homme aimant les jeunes filles.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
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Ma première jeune fille

par Pourkoipas12

Chapitre 2

Note de l'auteur : Ce texte est que pur fantasme. Il ne faut jamais vivre en vrai les faits qui sont décrits dans cet exposé. Abuser d'une enfant est interdit par la loi. Lire les récits sur le site des HT vous permettra de vous défoulez sans aucune atteinte à une mineure. Bonne lecture.

***

Après le départ de Olivia en cette fin de journée ce samedi, je me suis senti vraiment seul. C'était réellement la première fois que j'avais la chance d'avoir un contact sexuel avec une jeune file de seulement 12 ans. Il me restait une longue semaine à attendre avant de la revoir. J'avais vraiment passé du bon temps avec ma jeune amoureuse de 12 ans. J'avais été en sa présence pourtant que quelques heures, mais déjà j'avais des envies de faire plus avec Olivia. De plus, elle me promettait de revenir me voir le weekend prochain. Samedi ou dimanche ? Je ne le savais pas encore. Mais il était certain qu'elle reviendrait me voir. L'entrée dans ma vie de Olivia sortait presque du miracle pour moi. J'en rêvais depuis si longtemps de pouvoir toucher le corps d'une si jeune fille, de plus très jolie et aimable. Et ceci avec sa complicité. Car il faut bien dire que Olivia est venu me voir et reviendra me voir sans en avoir été forcée par moi. Elle avait tout simplement aimé ma présence et les actes commit ensemble.

Comme je n'avais aucunement fait de mal à Olivia, et j'avais même renoncé à lui prendre sa virginité à cause que je sentais en elle un certain doute, j'étais certain que Olivia allait tenir sa promesse et reviendrait me voir. J'avais aussi sa promesse qu'elle ne parlerait jamais de moi, ni de notre relation si spéciale. Je me sentais plus en sécurité de possible recourt contre moi.

Entre-temps, durant cette longue semaine à attendre de la revoir, je me soulageais comme un jeune adolescent en attendant la venue de ma belle petite princesse aux bruns cheveux et au corps si appétissant. Malgré juste ces 12 ans, je trouvais en Olivia une attirance encore jamais ressentit en aucune femme adulte que j'ai pus connaître dans ma vie.

Durant ces moments de cette longue semaine à attendre la venue de ma belle Olivia, je me soulageais en pensant au moment où j'ai eus mon gland juste à l'entrée de son si petit vagin. Il n'aurait fallut qu'une simple poussée afin de lui prendre son pucelage. Cependant, je ne voulais pas agir au contraire de ces volontés. Je fis la même chose sur la balançoire. Je la respectais trop pour la forcer à faire une chose dont elle n'était pas encore prête ou consentante. Je savais par contre une chose, elle me donnerait le plaisir de lui prendre sa virginité. Et j'en étais certains.

Ma dure et longue semaine de travail me permis ne pas trop penser à Olivia durant les journées. C'est le soir que j'attendais le plus sa prochaine visite. Ce fut la journée du mercredi ou j'avais obtenu un contrat faisable en une seule journée, que je pensais le plus à Olivia. Ce fut lorsque je vis une belle jeune fille vêtue en maillot de bain d'une seule pièce d'environ 10 ans venir vers moi. Je la détaille en premier surtout au niveau de sa petite poitrine, et je vois deux petits embryons de sein. Elle est blonde et possède un corps très mince. Son prénom que j'appris plus tard est Sophie. Elle parla avec moi durant un long moment tandis que je poursuivais mes travaux. Je ne manquais pas pour autant de regarder son petit corps.

Sophie avec son maillot une pièce me cachait son petit ventre dont j'aurais bien voulu voir. Elle avait des belles jambes toutes petites et bien dessinées. Pieds nus, je regardais aussi ces petits pieds parfaits. Mon regard remonta plus haut tout en travaillant et ne faisant aucunement paraître que je la détaillais des pieds à la tête. Je dois avouer que je bandais dur face à cette petite beauté. Qui heureusement ne le vit pas !

L'exploration visuelle de son petit corps se poursuivit par un arrêt de mes yeux à l'emplacement de ces futurs seins. Sophie n'avait qu'un simple embryonnaire de sein. Malgré tout, cela m'excitait au plus au point. J'avais envie d'y poser ma bouche et de téter cette petite poitrine pas encore en formation. C'est l'appelle de sa mère qui fit que je dus reprendre correctement mes travaux en me privant de la présence de sa belle jeune fille.

A 16 heures, je terminais et recevais mon salaire. J'allais par la suite m'occuper de mon propre emplacement de fleur. Peu de temps après, ma sœur arriva et vint me faire un brin de jasette sur ma fin de semaine et de ma semaine. Elle était en compagnie de ces trois filles. Il est rare que je voie son mari car il travaille dur sur la construction et il entre à la maison que presque pour dormir. Élodie me sauta au cou et m'embrasa comme jamais. Je sentais le début de sa poitrine contre la mienne. Mais je devais absolument me retenir de faire plus que des câlins à Élodie. Et ce malgré que j'aie mes mains sous ces tendres petites fesses pour la supporter.

Ma sœur Virginie voulait me montrer son jardin et la pousse de ces variétés. Alors je la suivit tout en ayant Élodie dans mes bras. Elle voulait vraiment que je la porte. Sentir ces tous petits seins contre moi me faisaient bander comme jamais. Mais je ne devais aucunement faire aucun acte à caractère sexuel sur elle. Valérie était aussi très belle à voir. Son corps était encore mince et arborait encore des petits seins que j'avais plaisir à regarder sans pouvoir y toucher. Elle portait à présent un soutient. Ce que je vis pour la première fois par la forme sous son t-shirt. Jamais auparavant elle n'en portait un. Je me contentais de voir ces belles jambes, dont j'aurais bien aimé caresser. Son petit derrière me faisait à présent envie, mais je ne pouvais le toucher.

Pour la petite Julie, elle se plaignait qu'elle ne soit pas dans mes bras au lieu de Élodie. Mais je dois avouer que j'avais une préférence pour Élodie qui commençait à avoir des tous petits seins tout comme Olivia. A la différence que Élodie n'en avait pas beaucoup. Beaucoup moins que Olivia. Mais ce début de formation de sa poitrine m'excitais comme un fou dans une cage. Je devais me retenir de lui soulever son t-shirt pour les prendre dans ma bouche.

C'était presque un supplice pour moi de voir les filles de ma sœur devant moi sans pouvoir les toucher à des endroits très intimes. Pour ce qui est de Valérie, il n'y a pas à dire que je me serais volontairement enfoncé dans son petit vagin que je sais plus vierge. En secret, malgré sa puberté, je rêvais de m'enfoncer dans son petit vagin en la tenant par les hanches et de la pénétrer profondément en jouissant au fond d'elle. C'était quand même presque un rêve qui n'aboutirait jamais à sa concrétisation.

Ma retenue envers mes nièces est pour ne pas briser le lien familial qui nous unis ma sœur et moi. Mais si jamais je sentais un quelconque intérêt de la part d'une des filles, je n'hésiterais pas une seconde.

Ma sœur me quitta avec ces filles car le temps du souper était passé. Je retournai dans ma maison, seul en attente de ma petite Olivia pour samedi ou dimanche. J'avais vraiment hâte de revoir Olivia et de passer du bon temps avec cette jeune fille débarquée dans ma vie par un pur hasard. Je me voyais faire l'amour avec elle sans aucune retenue. Mais en serait-il ainsi ?

Vendredi soir dès mon entrée à la maison, le téléphone sonne. Je ne m'empresse pas d'aller répondre sachant que c'est probablement ma sœur qui appelle et je file sous la douche. Je verrai à ma sortie de la douche qui a appelé puisque j'ai l'afficheur. A ma grande surprise, l'appel provient du numéro des parents de Olivia.

Je n'ose rappeler ne sachant pas si c'est un des parents ou Olivia qui vient de m'appeler. Je le saurai au prochain appelle si jamais la personne rapplique. Je ne voyais pas pourquoi les parents de Olivia m'appelleraient, puisque j'ai très bien accompli mon travail. Il ne restait que Olivia. Mais elle m'appelait pourquoi ? Bien entendu si c'était elle. Je le sut dès que je pris place dans mon fauteuil pour manger mes sandwiches en écoutant les nouvelles du soir. Le téléphone sonne tandis que j'avais la bouche pleine.

– Un instant s'il vous plaît ?

Je voulais me vider la bouche.

– Oui allô ! J'étais en train de manger.

– C'est moi Olivia ! Tu veux que je te rappelle plus tard ?

– Non, pas du tout. Ça me fait vraiment plaisir d'entendre ta voix.

– A moi aussi.

– Que me vaut cet appel comme une surprise ?

– J'étais seule à la maison pour quelques heures et je m'ennuyais de toi.

– Mais tu pourras venir me voir dès demain si tu veux !

– Oui. Je vais aller te voir dès demain matin. Vers 9 heures. Nous aurons ainsi plus de temps ensemble.

– Tu es vraiment ingénieuse toi !

– J'avais quand même une autre idée en tête !

– Et laquelle ?

– Aller te voir dès ce soir.

– Tu es sérieuse ?

– Tu ne veux pas de moi ? Tu as des choses à faire ?

– Aucunement rien à faire. Et ta visite ce soir me ferait vraiment plaisir. Tu es encore plus géniale Olivia.

– Ca m'arrive parfois. Je pourrais même aller te voir ce soir puisque mes parents reviennent seulement vers 23 heures.

– Si tu viens ce soir, je vais te reconduire non loin de chez toi. Je ne voudrais pas te laisser aller seule tard le soir sur la rue.

– Pas de problème. Alors, je peux aller te voir tout de suite.

– Ferme vite le téléphone et efface mon numéro et je t'attends mon amour.

– Alors j'arrive Robert. 5 minutes à peine en vélo.

– Je suis impatient de te revoir. A tout de suite.

Et la ligne se ferma sur mes derniers mots. Olivia n'avait même pas prit le temps de me dire salut et que déjà je la savais sur son vélo. Comment sera vêtue Olivia ce soir ? Qu'allons nous faire pendant environ quatre heures ? Tout ceci demeurait en hypothèses. Mais la revoir à l'avance me donnais un énorme plaisir au cœur, et aussi juste un peu plus bas. Je ne termine même pas mes sandwiches et les places au réfrigérateur. Je vais aussi rapidement me brosser les dents pour avoir une bonne haleine. A peine finie, j'entends la première sonnerie de la porte, que j'entendais la porte s'ouvrir et je vois venir à moi par le grand miroir du passage ma belle Olivia pour venir me rejoindre dans la salle de bain ou je finissais à peine mon brossage de dents. J'aimais vraiment cette familiarité soudaine de sa part suite à seulement sa deuxième visite chez moi. Comme si elle se sentait comme chez elle et n'avait pas besoin que j'aille lui ouvrir la porte ! Mais les jeunes enfants ne sont t-ils pas tous comme çà ? Les jeunes filles sont si spontanées. Encore plus une jeune fille aimant faire une surprise à son amoureux ? Dont moi !

Elle me salue sans dire un mot et un long baiser débute ou nos langues se mélangent longtemps. Olivia se tient sur mes pieds pour atteindre ma bouche. Dire que je ne bande pas serait comme dire que je suis fais de bois, c'est tout le contraire. Car j'aime énormément embrasser ma jeune et jolie Olivia. Durant ce temps, je passe mes mains sous son t-shirt et je lui caresses les seins. Tout petits comme j'aime. Ma tendre Olivia possède exactement les belles formes de seins juvéniles comme je les aimes. Et une belle petite chatte comme j'aime aussi. Les quelques poils qui ornent ces grandes lèvres est très excitant pour moi. Car je la sais encore non pubère, malgré son lent développement. Je n'aimerais qu'elle devienne avec des gros seins ou avec une forte pilosité au sexe. Probablement, je lui offrirais de la raser pour qu'elle redevienne une toute jeune fille.

A la fin de notre baiser, elle finit enfin par me parler.

– Salut Robert ! Que tu embrasse bien ! J'ai appris avec toi samedi dernier comment embrasser un homme viril comme toi. Je vois que tu bande encore en ma présence, c'est vraiment flatteur pour moi qui te cause ces grands émois ?

Olivia me disait ça tout en me tâtant le paquet avec sa petite main. Ce qui ne fit que durcir encore plus ma queue.

– Hum ! Tu en apprends des mots nouveaux à ce que je constate.

– Probablement un peu à cause de toi mon amour.

– Et je vais t'en apprendre d'autre si tu reviens encore me voir.

– J'ai pris une décision Robert. Je veux te revoir le plus souvent possible. Bien entendu si tu veux toujours de moi.

– Jamais je ne vais me lasser de toi ma petite surprise sur deux jambes toujours aussi si belle.

– Tu as vraiment toujours les mots pour me faire plaisir toi !

– Que veux-tu que je te dise ? Tu es une petite merveille entrée dans ma vie. Et tu satisfais tous mes fantasmes.

– Je suis vraiment désolé de ne pas t'avoir permis de me prendre le vagin samedi dernier.

– Tu n'étais simplement pas prête, et j'ai respecté ton choix.

– Je te crois Robert.

– Parce que je t'aime Olivia. Je respecte ta personne et ton petit corps.

– J'y ai pensé beaucoup cette semaine en me donnant du plaisir le soir seul dans mon lit. J'ai quand même juste 12 ans, mais je commence à savoir comment me donner du plaisir grâce à toi.

– Et tu en as eut ?

– A chaque soir. Je mouille aussi facilement que mes amies plus vieilles. Une d'elle me racontait comment elle se faisait plaisir le soir dans son lit ou sous la douche.

– Tu ne lui as pas parlé de moi ?

– Jamais. Tu le sais trop bien.

– Et à quoi tu pense maintenant ?

– Que tu entre ta grosse chose dans mon ventre !

– Tu te sens vraiment prête à franchir ce pas ?

– Exactement Robert. Je me suis même entré une grosse carotte dans le vagin cette semaine. Un peu de la même grosseur que ton pénis.

– Vraiment ?

– Oui.

– Alors, adieu le pucelage !

– Non. Je ne me suis pas rendu à ce point. Je me réserve pour toi. Mais je sais déjà à présent comment sera ton gros sexe dans le mien lorsque tu prendras ma virginité.

– Tu me dis vraiment la vérité ?

– 100 pourcent vrai Robert.

– Tu es un amour dont je ne veux jamais me départir Olivia.

– Moi non plus Robert. Et mes parents ne savent pas notre relation secrète tous les deux. Ni mes amies. C'est secret entre nous.

– Merci de bien garder le secret Olivia.

– Je t'ai promis au début, et je ne reviens pas sur ma parole.

J'embrasse ma petite jeune de 12 ans à nouveau. J'aime vraiment d'un amour fou Olivia. La suite me surprendra beaucoup tout en m'excitant beaucoup.

– Robert, j'ai envie de faire pipi.

– Tu es dans la bonne pièce ma chérie.

Se tenant devant le lavabo avec moi, aussitôt Olivia exécute un geste qui me surprend beaucoup. Elle prend place sur le siège de la toilette et enlève ces tennis ainsi que son jeans qu'elle pose sur le comptoir. Elle était pied nu dans ces tennis. J'ai alors la belle surprise de constater qu'elle ne porte pas de petite culotte sous son jeans. Vous auriez du voir son petit sourire coquin face à mon étonnement.

– Et bien Robert, je te vois bien surpris ?

– Je ne pensais jamais que tu viendrais me voir sans petite culotte.

– Ça m'arrive quelques fois de ne pas en mettre. Surtout quand je vais à vélo. Ça m'excite de sentir la couture de mon jeans entre mes grandes lèvres. Touche par toi-même comment je mouille !

Ainsi assise sur le couvercle de la toilette, j'ai une superbe belle vue de son petit minou. Je serais passé pour un dingue de ne pas me mettre à ces pieds et toucher son petit sexe dégoulinant de cyprine. Olivia était assise sur le siège de la toilette avec les jambes bien écartées me dévoilant une nouvelle fois son beau petit vagin. Et moi j'étais à genou devant elle. La petite Olivia ne me mentait pas. Après avoir fait courser mes doigts entre ces grandes lèvres, je constatais que ma jeune partenaire mouillait comme une grande. Je la fis écarter ces cuisses encore plus pour avoir un meilleur accès à sa petite chatte pratiquement sans poil. Je portais aussi mes doigts à ma bouche pour la goûter à plusieurs reprises. Ceci m'excitait encore plus. Même sans l'avoir touché, Olivia mouillait comme une grande. Je lui aurais donné 15 ans tellement elle mouillait du vagin, et ce malgré ces petits 12 ans. Je ne pus résister à lui passer la langue sur sa petite chatte et la savourer comme jamais auparavant. Olivia gouttait vraiment bonne et je dus cesser mon léchage lorsqu'elle me dit qu'elle allait jouir trop rapidement. Je lui dis alors :

– Prends ton plaisir mon amour.

Et je reprends mon léchage de sa petite chatte tout en insérant un doigt dans son vagin. Je ne manquais pas de lui chatouiller le clitoris pour la faire jouir. Ma jeune amoureuse jouie rapidement en émettant des sons qui signifiait sa grande jouissance. Je la laisse revenir à la réalité tandis que je pense.

Ceci me ramenait à penser à ma nièce Valérie qui avait 15 ans. Elle aussi devait goûter très bonne, et bonne à prendre malgré qu'elle ne soit plus vierge. Je commençais vraiment à avoir envie de faire plus connaissance avec elle. Il va falloir que je puisse l'avoir toute seule avec moi un jour très prochain. Tandis que je rêvais d'elle, je me demandais si elle goûtait aussi bon que Olivia. Il ne me manquait que la petite Élodie de 2 ans plus jeune que Olivia. J'avais du travail à faire pour amener mes 2 nièces à faire des choses avec moi.

– Alors petite princesse, tu as aimé ?

– Tu es toujours le meilleur. Mais j'ai encore envie de faire mon pipi.

– Je sais. Mais tu me donne un petit plaisir ?

Comme j'avais sorti mon sexe de mon pantalon, et qu'il était dans sa plus grande magnificence, Olivia savait à quoi je m'attendais. Debout face à elle, elle savait certainement à quoi je m'attendais de sa part.

– Tu es toujours aussi cochon toi ?

– Je dois le prendre comme un compliment ou un défaut ?

– Comme un compliment ! J'aime trop voir ton gros sexe depuis la première fois. Ton pénis semble tellement me vouloir. Et toi aussi.

– Oui je suis un cochon qui t'aime énormément. Et mon sexe demande ta petite bouche en ce moment.

– D'accord. Je vais te sucer. Tu veux que j'avale ou bien tu envoie ton sperme sur moi ?

– Enlève ton t-shirt que je vois tes beaux petits seins.

– Tu veux envoyer ton sperme sur ma petite poitrine ?

– Oui. C'est un fantasme que j'ai de jouir sur une toute petite poitrine. Tu veux me faire ce plaisir ?

– Çà ne me dérange pas que tu jouisses sur mes petits seins.

C'est à ce moment que Olivia devint flambant nue devant moi. Elle venait de poser son t-shirt sur ces jeans sur le comptoir. J'avais de la difficulté à croire que Olivia satisfaisait mes fantasmes les plus fous. Mais elle réagissait positivement à tout ce que je lui demandais.

Sans en faire la demande, elle saisit mon sexe et le porta à sa douce petite bouche. Son expérience avec sa grosse carotte lui avait certainement servit à plus que de l'insérer dans son vagin. Elle prenait une plus grande portion de mon sexe dans sa bouche. J'aimais encore plus ma jeune amoureuse. Elle me suçait comme une reine et me masturbait très bien. Le moment de mon éjaculation ne tardait et je la prévins.

– Olivia, ça arrive. Arrose tes petits seins de mon sperme.

Olivia ne pouvait parler car elle avait encore mon sexe en bouche. Mais elle savait très bien ce que je voulait.

Le moment du plaisir final arriva et Olivia dirigea le bout de mon pénis vers ces petits seins. Je lui macule copieusement les seins de mon sperme. Je regarde son visage et elle sourie face à mon plaisir de lui déposer mon sperme sur les seins. Tout a une fin, et je finis mon éjaculation sur sa poitrine.

– Olivia, tu as été la meilleure. J'adore de m'avoir permit ce fantasme.

– Robert, on ne voit presque plus mes seins tellement ton sperme les recouvre.

– Je peux faire quelque chose pour ça.

– Ha oui !

Et je commence à lécher mon sperme sur ces seins. La bouche pleine de mon sperme, j'approche ma bouche de la sienne pour l'embrasser. Olivia accepte ce baiser et prends dans sa bouche mon sperme fraîchement cueillit sur ces petits seins. Après 3 fois, ces seins sont comme neufs et plus aucune trace de mon sperme n'est présente.

– Gros cochon ! Je ne pensais pas que tu m'aurais fait avaler ton sperme de cette façon.

– Pourtant Olivia, tu ne semblais pas détester ?

– Non. Mais tu m'as vraiment surprise.

– Et toi, tu m'as donné un plaisir que je ne pensais jamais avoir.

– Le plaisir, ça se partage. Non ?

– Tu as raison petite princesse de mes rêves les plus secrets.

– Mais là, je ne suis plus capable de me retenir de faire pipi.

– Écarte bien tes jambes afin que je puisse bien voir.

– Je n'en revient pas comment tu es cochon. Tu veux tout voir de moi.

– J'ai trop longtemps attendu pour me priver de ce que j'ai sous la main en ce moment.

– Il n'y a pas à dire, toi, tu m'aime vraiment beaucoup.

– Plus que toute autre chose dans ce bas monde ma belle Olivia.

– Tu veux me regarder faire pipi, alors regarde moi car je ne suis plus capable de me retenir.

– Vas-y ma puce. Je te regarde.

– C'est quand même la première fois que je fais pipi devant un homme.

– Ce n'est peut être pas la dernière fois ma chérie.

Ainsi, je pus pour la première fois de ma vie regarder une jeune de 12 ans faire son petit pipi devant moi. Olivia gardait les jambes bien ouvertes afin que je puisse correctement voir sortir son jet d'urine de sa petite partie si intime. J'osai même la caresser avec mon doigt mouillé de son urine. J'avais la main complètement trempe de son urine à présent. Et je me faisais plaisir à la caresser. A la fin, plus que quelques gouttes sortirent avant d'atterrir sur mes doigts. Je ne cessai pas pour autant à lui toucher les grandes lèvres et l'entrée de son vagin. Je me suis même penché pour lui lécher la fente durant un bon moment. Au début, ca goûtait l'urine, mais très rapidement, je reçus sa douce saveur de jeune fille sous la langue. Voir Olivia uriner m'avait donné aussi envie de le faire. Elle allait certainement encore me traiter de cochon avec la proposition que j'allais lui faire.

– Tu sais Olivia, c'était très beau de te voir faire ton pipi.

– Tu trouves ?

– Oui. Tu as déjà vu un homme le faire ? Peut-être ton père ?

– Non, jamais. Papa est bien trop prude pour ne pas se cacher quand il va à la toilette.

– Tu voudrais me voir uriner ?

– Tu veux dire que je pourrais te regarder uriner ?

– Exactement. Mais d'une façon bien particulière.

– Qu'entend tu par ça ?

– Et bien, j'aimerais le faire sur ta petite chatte. Regarde comment tu es bien ouverte en ce moment. Je pourrais diriger mon jet d'urine directement sur ton clitoris.

– Là vraiment, tu es encore plus cochon que je ne le croyais.

– Je sais. Ça peut te surprendre, mais j'aimerais tellement le faire sur toi.

– Au point ou nous en somme, pourquoi pas !

– Alors, tu es d'accord ?

– Oui mon gros cochon. Soulage toi sur ma petite chatte.

– Je t'aime tellement Olivia.

En lui disant ces mots, je me penche pour l'embrasser. Elle est si belle et tentante ainsi assise et les jambes bien écartées. J'ai une parfaite vue sur son beau petit minou pratiquement sans poil. La poitrine nue, me donne une grande envie de lui sucer les seins. Mais pour le moment, mon envie à moi grandit et je commence à avoir de la difficulté à me retenir.

– Olivia, tu es si belle. Je suis si heureux de t'avoir rencontrer.

– Moi aussi Robert, mon cochon.

– Prépare toi à recevoir ta douche d'urine sur toi ma puce.

– Je n'en attends pas moins de toi.

Ma miction débute lentement. Je dégage mon prépuce et dirige mon jet sur sa divine petite chatte. Je vise adroitement son clitoris et à présent, la force d'évacuation de mon urine lui chatouille habillement son petit bouton aux milles plaisirs. Je n'en finis pas d'uriner et je me laisse aller à lui arroser la poitrine qu'elle tente de cacher avec ces toutes petites mains. Olivia demeure sans voix et me laisse faire, abasourdie par mon audace. Je pousse même mon action odieuse en lui arrosant le visage de mon liquide doré. Elle ferme les yeux et moi je continue à lui faire pipi sur le visage. Même ces beaux cheveux en prennent tout un lot.

Comme je termine ma miction, je pose mon gland sur ces lèvres qu'elle ouvre et avale le dernier jet et les dernières gouttes qui sortent de mon pénis. Je tends la main pour attraper la serviette sur le comptoir pour lui essuyer le visage encore dégoulinant de mon urine. Olivia peut maintenant ouvrir ces yeux et me regarder.

– Ça Robert, c'est vraiment cochon ce que tu viens de faire. Je ne croyais pas que tu m'aurais aspergé au complet avec ton urine.

– Tu n'as pas aimé ?

– Oui et non. Je suis demeuré si surprise. Surtout au moment où tu me pissais sur le visage.

– Désolé ma puce. Je suis sans doute allé trop loin.

– Ce n'est pas cela. Mais tu aurais du me prévenir.

– Je vais te prévenir la prochaine fois.

– Car tu comptes le faire encore ?

– Je ne sais pas. Je dis des bêtises.

– Tu vas comprendre que j'ai besoin d'une bonne douche maintenant ! Tu me verrais revenir chez moi sentant la pisse ?

– Pas vraiment. Et moi aussi j'ai besoin d'une douche.

– Tu veux que je la prenne avec toi ?

– Il n'est pas question de faire autrement ma chérie.

Sur ces belles paroles, j'ouvre l'eau de la douche et je me déshabille devant ma tendre et chère Olivia. Mon pénis tente de relever la tête et nous entrons sous l'eau bienfaisante. Je la lave tandis qu'elle en fait de même avec mon corps. Je l'aurais bien prise sous la douche, mais je voulais un endroit plus adéquat et plus romantique pour sa première fois.

A la sortie de la douche, nous remettons nos vêtements et Olivia se sèchent les cheveux avec mon séchoir. A vrai dire, nous le partageons. A la fin, nous sortons de la chambre de bain pour aller au salon.

Quelle ne fut pas ma grande surprise de voir ma nièce Valérie entrer au même moment par la porte patio ! Je venais de me faire prendre en compagnie de Olivia. Je devais être blême comme un drap. Je présentais bien des questions de Valérie sur la présence d'une jeune fille de 12 ans chez moi.

Comme il ne faisait pas encore trop noir, je pouvais laisser Olivia retourner chez elle en vélo. Je fis l'hypocrite et remercia Olivia de sa visite pour être venu voir mon jardin de fleurs. Elle me quitta sans même avoir la possibilité de l'embrasser avant son départ. Je devais me préparer aux questions de ma nièce.

– Alors Valérie, que me vaut cette visite surprise ?

– Je suis venu ramasser des tomates à la demande de maman. Et comme j'avais une envie, je me suis dis que je pourrais utiliser ta salle de bain.

– Tu as raison. Tu connais la maison, vas-y.

– Merci Robert.

Malgré le fait que je me sois fait surprendre en compagnie de Olivia, il demeure un fait. J'ai eus le temps de bien admirer le beau petit cul de Valérie tandis qu'elle marchait dans le passage menant à la salle de bain. Et quel beau petit derrière elle possède ma nièce ! Je commence à me foutre qu'elle soit pubère et j'admire encore avec plus de plaisir son petit corps. Je suis à même de dire que ce soir, elle ne porte pas de soutient. J'imagine qu'elle en porte que parfois. De toute façon, elle possède encore des si petits seins qu'elle n'en a pas vraiment besoin. Mais que j'aimerais bien voir et sucer.

Je l'entends revenir vers moi qui suis assis dans mon fauteuil au salon. Valérie prend place sur le divan tout en me faisant face. Je la sens songeuse et en manque de me poser des questions. C'est moi qui entame la conversation.

– Et bien Valérie, c'est bien la première fois que tu viens me voir seule.

– Je t'ai dis tantôt la raison.

– D'accord. Et ta mère sait que tu es avec moi en ce moment ?

– Non. J'étais juste supposé ramasser des tomates. Et tu sais la suite.

– Oui. Une envie soudaine.

– Exact.

– Je suis bien content de te voir Valérie. Ton copain ne voulait pas venir avec toi ?

– Je ne suis plus avec lui. C'est fini. Il était trop jaloux. Imagine toi que je ne pouvais même pas parler avec des amis gars, qu'il me piquait une crise.

– Hum ! Je vois un peu la situation. Tu dois te sentir un peu seul à présent ?

– Ça m'arrive. Mais j'aime mieux que d'être avec un gars aussi jaloux.

– Tu as toute la vie devant toi pour choisir l'homme qui te conviendras.

– Je crois que tu as raison. Mais, je peux te poser une question Robert ?

Je sentais venir la soupe chaude. Cependant, il était difficile pour moi de ne pas répondre à sa ou plutôt ces questions.

– Quelle est ta question Valérie ?

– Que faisais tu sous la douche avec une jeune fille aussi jeune ? Olivia, c'est bien son prénom ?

– Oui elle se nomme Olivia.

– Et la douche ?

– Olivia est la fille d'un client qui est venu voir mon jardin. Et elle s'est salie et voulait prendre sa douche. Rien de plus.

– Tout comme toi ?

– Tu m'espionne maintenant ?

– Non. Mais j'ai bien entendu un bout de conversation entre vous deux.

– Ou veux-tu en venir Valérie ?

– Je veux savoir la vérité. Tu aimes les jeunes filles à présent ?

Je n'en menais pas long dans mon pantalon. Je savais que Valérie ne lâcherait pas prise avant de savoir tout. Lui avouer tout, signifiait aussi lui dire que je la désirais depuis très longtemps.

– Tu me promet de ne pas parler de ces choses à tes parents ?

– Oui. Mais je veux la vérité.

– Cela risque de te choquer Valérie.

– Je suis prête à prendre ce risque.

– OK ! Oui j'aime maintenant les jeunes filles.

– Tu en as eus combien avant Olivia ?

– Elle est la première. Et je l'aime vraiment.

– Tu veux me dire si tu as toucher à mes sœurs ?

– Non. Jamais. Je ne voulais pas briser le lien familial.

– Et Olivia, elle a quel âge ?

– Elle vient d'avoir 12 ans.

– C'est très jeune. Et tu as couché avec elle ?

– Tu deviens de plus en plus indiscrète.

– Ca te gêne de me le dire ?

– Oui et non Valérie. Nous étions supposés le faire ce soir. Mais tu es arrivé.

– Désolé Robert.

– Tu ne pouvais savoir. Mais garde tout ça entre toi et moi.

– Je t'en fais la promesse.

– Merci Valérie. Tu m'aime encore comme oncle ?

– Peut-être encore plus !

– Que veux tu dire par ça ?

– Tu pense à quoi quand tu me vois ?

– C'est très difficile à dire Valérie.

– Je suis prête à l'entendre.

– Vraiment ?

– Oui.

Je voyais ma nièce Valérie très concentrée sur mes paroles. Je m'apprêtais à lui dire que je l'aimais depuis qu'elle avait commencer à avoir des petits seins. Que j'aimais la voir en maillot ou bien en jeans, moulant très bien ces petites fesses. Et surtout que j'aimais la voir quand elle ne portait pas de soutient. Je lui dis aussi que j'avais le désir de voir ces petits seins et sa petite chatte. Et finalement, je lui avoue que j'aimerais bien faire l'amour avec elle. Même si elle n'était plus vierge. Valérie était figée à mes paroles, et souvent, je la vis prendre sa lèvre inférieure entre ces dents. Signe que ma confidence ne la laissait pas indifférente. Moi-même, je bandais en lui narrant ces faits.

J'imagine que de lui raconter que je l'aimais ne la laissait pas indifférente. Valérie devait certainement avoir le vagin comme une fontaine suite à ma déclaration de mon amour pour elle. Elle prit enfin la parole.

– Robert, je ne m'étais jamais rendu compte que tu m'aimais comme une femme. J'ai été bien innocente depuis tout ce temps.

– Ne t'en fais pas Valérie. C'est la vie.

– Tu crois que je pourrais rattraper le temps perdu ?

– C'est à toi de décider.

– Je dois quitter, sinon maman va se poser des questions. Mais je vais revenir te voir.

– Tu seras toujours bien accueillie ma chère Valérie.

Valérie me quitta par la même place ou elle était entrée chez moi. J'avais juste un poids de moins sur ma conscience et je savais qu'elle reviendrait me voir avec des intentions bien précises.

Pour Olivia, je m'attendais à un appel de sa part le samedi ou dimanche. Elle ne me laisserait pas comme ça sans rien dire. Je la savais maintenant trop accro à moi pour qu'elle ne revienne pas me voir pour avoir du plaisir avec moi.

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