Ceci est une nouvelle histoire complète.
Titre : Le week end d'Emilie - Texte complet
Auteur : Emilie
Personnages : 1 homme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 6 ans
Inceste
Pénétration anale
Urine
Scatophilie

Texte envoyé le 16/07/2011
Texte publié le 17/07/2011

Creative Commons 2011 - Emilie. Certains droits réservés.

Ce texte est mis à disposition sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Vous avez l'autorisation de le reproduire et de le diffuser librement à condition de respecter la paternité du texte et de conserver les en-têtes de l'histoire. Vous n'êtes pas autorisé à faire un usage commercial de ce texte, toute modification du texte doit être distribuée sous licence identique.

Résumé :
Emilie passe le week end avec son papa adoré. Il ne peut s'empêcher de l'aimer trop, même lorsqu'elle se salit.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/

Le week end d'Emilie

par Emilie

Texte complet

Hier, nous étions vendredi. Je suis encore rentrée à la maison avec une culotte sale. Pas très sale, mais quand même, juste un peu de caca qui était sorti dans la culotte à la fin et que j'ai découvert quand je suis allée aux toilettes en rentrant à la maison.

J'avais fait à l'école ce que je fais si régulièrement depuis que je suis toute petite. J'avais poussé juste un tout petit peu, juste pour voir, j'avais poussé juste ce qu'il faut pour laisser sortir une toute petite boule de caca, sans même m'en rendre compte, juste pour le plaisir de pousser ; pas par volonté de me salir, mais juste pour le plaisir de pousser un petit peu.

Je suis devenue une experte à ce petit jeu là, dont il existe plusieurs variantes. Parfois, lorsque j'ai poussé, je pose discrètement ma main sur mes fesses afin d'écraser le tout petit boudin le long de ma raie, à travers le tissu de mon pantalon. A d'autres moments, lorsque je suis en jupe ou en robe, je m'accroupis dans un coin tranquille de la cour pour glisser ma main à l'intérieur de ma culotte, juste pour le plaisir de sentir cette petite boule chaude et collante. Il arrive parfois que je glisse mon doigt dans mon petit trou, que je sente mon caca en préparation dans mon intimité. Il arrive que je pousse un peu afin de sentir mon caca brûlant enrober doucement mon doigt, qui devient au final le seul rempart entre mon caca et ma culotte, avant qu'il ne sorte doucement, toujours accompagné d'un petit peu de caca, d'un petit serpentin gras à qui je fais une place dans ma culotte, le long de ma raie, juste de quoi salir ma peau sans trop se faire remarquer, en évitant au maximum tout contact avec le coton blanc ou rose pâle de ma culotte. J'ai honte de moi, à chaque fois que je fais ça. J'ai honte et de moi et la peur au ventre lorsque je rentre à la maison. La peur d'avoir été un peu trop loin, la peur d'être immédiatement démasquée à l'heure du bain.

C'est ça que j'avais fait, ce vendredi soir là, sortant en pleurant des toilettes sans savoir comment gérer les conséquence de mon après midi cochon, comment me nettoyer toute seule. Je savais que tu enlèverais la culotte pour le bain et que tu verrais la grosse trace, que tu me punirais encore, que tu me dirais que je sens le caca, que tu ne connais aucune petite fille qui sente le caca sans arrêt comme ça, que je ne mérite plus de vivre dans cette maison parce que tout sent toujours mon odeur, dans ma chambre, la salle de bain, le salon et la cuisine quand je ne sais pas me retenir. Et que tu m'obligerais à passer de nouveau la soirée dans mes vêtements salis, jusqu'à l'heure du coucher.

Alors ce samedi matin, j'avais décidée d'être toute propre. Tu m'avais mise ma petite robe bleu et attachée les cheveux, tu m'avais mise ma petite culotte étoiles, celle que j'avais déjà salie si souvent. Mais je t'ai juré que je la garderai propre et quand j'ai eu envie de faire mon caca, je t'ai pris par la main et je t'ai dis que je voulais que tu ailles avec moi aux toilettes, que tu vois comment Milie pouvait être aussi une petite fille propre. Je me suis assise sur le siège, la petite culottes aux chevilles, et j'ai poussé devant toi, mon visage tourné vers toi, rayonnant de plaisir et de fiereté, tellement fière de faire devant toi, de savoir qu'aujourd'hui je ne salirais pas ma culotte, que tu pourrais être fier de ta petite princesse. Je voulais tellement que tu m'aimes ce matin, que tu me prenne dans tes bras pour me dire que tu ne m'abandonnerais pas, que tu ne pensais pas vraiment ce que tu m'avais dit hier, que lorsque j'étais toute propre, tu n'aimais que moi.

Tu me dis que tu es fier de moi, en effet. Tu me regardes pousser avec un grand sourire et tu me dis que tu es tellement fier, que tu veux voir tout ça de plus près. Alors tu t'agenouilles à mes pieds et tu te penche vers moi, tu glisse ta tête entre mes cuisses entreouvertes. Tu vois ma petite zézette écartée d'où s'écoules les dernières gouttes de mon pipi. Tu as posé tes mains sur mon ventre, comme si tu voulais accompagner doucement la contraction de mes abdominaux. Je sens ta tête qui se rapproche de mon intimité, ta langue soudain lécher ma petite fente, comme pour en hâper la dernière goutte de pipi. Je sens ta langue aller et venir entre ma petite fente humide et écartée et c'est tellement bon ce que tu me fais. Je sens ton nez caresser la petite boule de chair rose tout en haut de ma zézette, caresser lentement, avant que tu ne me demandes de me relever, de me retourner, d'écarter mes petites fesses pour que tu puisses m'essuyer. Mon gros caca n'a fait que très peu salir ma petite rondelle. Tu poses ta main sur mes petites fesses, tu les écartes et c'est ta langue que je sens soudain le long de ma raie, jusqu'à mon petit trou, ta langue qui lèche, qui goutte l'acreté des petites traces de caca restée autour de mon anus. Puis tu relèves doucement ma petite culotte, mon goût encore sur ton visage et dans ta bouche.

Je suis si fière d'avoir été digne de toi, ce matin, si heureuse de ce moment de complicité incroyable dans les toilettes. Tu m'as enfilée ma robe bleu pâle, sur ma peau déjà un peu bronzée par cet été précoce. Tu m'as fait deux petites tresses qui font ressortir sur mon visage les quelques tâches de rousseur que le soleil a dessiné sur ma peau. Tu m'as dit que j'étais ta princesse et je me suis blottie de nouveau dans tes bras, alors que je sentais encore entre mes fesses l'humidité de ta salive, l'humidité chaude et troublante que ta langue avait laissé autour de mon petit trou, jusque dans l'intérieur de ma petite fente aussi.

Tu m'as dis que nous allions faire quelques courses ce matin et j'ai sauté de joie à l'idée de t'accompagner, à l'idée que tu me tiennes par la main sur le trottoir, dans les magasins, que les commerçants te complimentent en me donnant parfois un petit bonbon. J'aime tellement voir la fièreté sur ton visage lorsque l'on te complimente sur ta petite fille, que l'on s'agenouille vers moi pour me dire que je suis mignonne. J'aime être ta princesse à ces moments là, ton sourire vers le boulanger, la bouchère ou le marchand de légume, ma peau nette dans ma petite culotte propre, dans ma petite robe qui sent bon la lessive, ma peau qui sent le savon et l'eau de cologne, comme la petite fille que tu rêves d'avoir. Mes bras qui entourent tes cuisses musclées, dans la queue du Franprix, pour manifester que tu es à moi, que tu es mon papa et que le monde entier peut s'écrouler dans ces moments là.

Tu as filé déposé les courses à la maison et tu m'as proposé que nous allions directement déjeuner à la pizzéria, sur la terrasse au pied de notre immeuble. J'étais tellement heureuse que tu me proposes ça, que tu m'autorises à t'attendre toute seule à la petite table que tu avais réservée pour nous deux, au soleil, pendant que tu montait rapidement déposer les sacs dans l'entrée de notre appartement. J'avais fait un tout petit pipi dans ma culotte, à ce moment là. Je n'étais pas allé faire pipi depuis ce matin et j'avais laissé filer un tout petit peu d'urine dans le coton blanc fleuri de ma petite culotte, moins pour me soulager que pour sentir encore un peu le mouillé à cet endroit, pour sentir l'humidité de nouveau, après ta salive qui avait depuis longtemps séché. Et lorsque tu es redescendu, nous avons commandé rapidement, ma pizza préférée avec beaucoup de fromage dessus, et un puis un grand jus d'orange parce qu'il faisait chaud.

J'étais tellement fière que tu sois à côté de moi, heureux, à plaisanter et à rire avec moi. J'étais assises à côté de toi, sur la petite chaise de la pizzéria et j'avais, comme souvent, glissé une jambe sous moi, écartant large mes petites cuisses, laissant apparaître bien visible, au dessous de ma robe bleue pâle déjà un peu courte, ma petite culotte blanche. C'est une position à moitié consciente, souvent. Au début, je ne le fais pas exprès. Ce sont des positions de petites filles qui ne pensent pas à mal, des impudeurs qu'une maman repère tout de suite et fait disparaître d'une petite tape discrète sur la jambe, mais qu'un papa laisse souvent s'installer car il ne la remarque pas. Ou peut être, comme toi, parce qu'elles le trouble aussi. Parfois, lorsque je m'en aperçois, je capte le regard d'un passant, d'un client attablé. Je capte son regard qui glisse sous ma robe ou sous ma jupe. Son regard insistant vers ma petite culotte. Et je suis gênée, souvent, gênée par cette insistance que je ne comprends pas bien ; gênée aussi par ce qu'il a pu voir, parfois, souvent, des marques trop visibles de mes négligences, une petite trace brune dans l'entrefesses, une auréole humide ou jaunie sur le blanc du coton.

Mais aujourd'hui je le fais consciemment, un peu coquinement. J'ai entrouvert mes cuisses et je sais que tu regardes. Je sais que tu as vu la petite tâche humide dans le fonds de ma culotte, la petite tâche que j'ai très délicatement agrandie pendant le déjeuner, la petite tâche que j'exhibe, comme anesthésiée de toute pudeur par l'amour que tu me renvoies, par mon bonheur d'être avec toi. Et tu me caresses les cheveux doucement, après m'avoir fixé un long instant, après avoir fixé comme ces hommes qui me troublent, le haut de mes cuisses nues jusqu'à la commissure de mes fesses, de la toute petite colline fendue au milieu, le carré de coton qui dissimule mon intimité en en dévoilant néanmoins, comme imprimée dans le coton, tous les contours ; et les négligences aussi.

Puis tu me dis que je devrais passer aux toilettes avant que nous ne quittions le restaurant et je te souris, comme retombant sur terre. Tu me le dis d'un petit air coquin, toi aussi. Et je sais que tu as vu que j'avais fait un peu de mon pipi. Je sais que tu l'as vu, que ça t'a troublé toi aussi, mais que je ne dois pas aller plus loin, qu'il faut maintenant revenir sur terre, remettre sagement mes pieds sous ma chaise, puis me lever pour aller déverser dans la cuvette des toilettes du restaurant un long filet d'urine jaune clair, ma petite culotte sagement baissée aux chevilles, ma robe bleu relevée.

Je sens ma culotte mouillée pendant que nous marchons, le fond de ma culotte un peu trempé entre mes cuisses, qui laissera peut être une petite marque rouge irritée ; une petite marque piquante que tu soignes avec du Mytosil parfois le soir, en une épaisse couche blanche odorante que tu étales sur ma zézette avant que j'enfile mon pyjama. Je sens ma culotte humide pendant que nous marchons vers le parc, que nous nous promenons dans les allées déjà fleuries, que je me balance et que je saute d'agrès en agrès pendant que tu me regardes avec ton grand sourire, assis sur un banc.

Nous restons une heure ou deux. Je n'ai plus envie de faire pipi mais j'ai un peu mal au ventre. La pizza était bien trop grosse pour moi et j'ai de nouveau envie d'aller aux toilettes. Alors je reviens vers toi et je te dis doucement dans l'oreille que je veux aller aux toilettes, que j'ai un peu envie de faire caca. Tu me demande un peu grondeur si j'ai envie ou s'il est déjà trop tard et je te regarde scandalisée. J'ai envie, c'est tout. Je veux aller aux toilettes avec toi, je veux être ta princesse jusqu'au bout, je veux te rendre fier de moi.

Il y a la queue aux toilettes, dix ou quinze parents qui attendent devant la petite cahutes, des petites filles et des petits garçons pressée, après le goûter, une petite fille qui se dandine à deux ou trois rangs de nous et qui ne tiendra sans doute pas. Alors tu me dis qu'il y a trop de monde. Tu me demandes si je peux tenir jusqu'à la maison et je te dis que je le crois, que je vais essayer. Tu me prends par la main et nous sortons du parc. Il y a dix minutes à pied jusqu'à la maison, dix minutes dans des petites rues calmes, qui passent devant mon école.

Je te demande si tu peux me porter et tu acceptes avec un grand sourire. Tu me prends dans tes bras, ton avant bras sous ma robe bleue pâle, ta main droite plaquée sur mes fesses, sur ma petite culotte chaude et un peu humide, pendant que je blottis mon visage dans ton cou, que je ferme les yeux en respirant ton odeur et me laissant bercer par ta marche. J'ai envie de faire caca et je te le dis. Mais tu préfères essayer de rentrer. Je te dis que je pourrais faire là, derrière une voiture, que je préfèrerais plutôt que de risquer de faire caca dans ma culotte, mais tu ne veux pas, tu ne veux pas m'exhiber derrière une voiture, et puis tu n'as rien pour m'essuyer. Et tu me murmures que tu sais que j'ai très envie et que tu essayes de te dépêcher, tu me murmures de ne pas m'inquièter, que tu sais que j'ai très envie et que tu es fier que j'ai demandé à temps. Tu me dis tout ça comme si je pouvais me permettre un petit accident. Alors pour en être certaine, je te répètes que je ne peux plus vraiment me retenir et tu me dis juste de faire ce que je peux, en glissant un petit bisou sur ma joue, ta main toujours plaquée fermement contre mes fesses chaudes.

Alors je me laisse aller, un tout petit peu, et cette sensation est à la fois irréelle et d'une incroyable intensité. Je pousse un tout petit peu et je sais qu'un peu de caca pointe de mes fesses, qu'un peu de caca est sorti dans ma culotte pendant que tu marches, contre ta main appuyée contre mes fesses. Je sais que tu l'as sentie toi aussi, parce que tu me fais un bisou et que tu me dis que tu te dépèches, que ce n'est pas grave, que c'est de ta faute car c'est toi qui a voulu rentrer à la maison. Je pousse encore un peu et un petit boudin sort dans ma culotte, directement dans ta main. Je dois pousser car la paume de ta main contraint la matière, l'étale immédiatement à mesure qu'elle sort de mon petit trou, dans ma raie, jusqu'à la commissure de ma zézette. Tu sens cette matière, forcément. C'est brûlant, un peu humide et pateux, et je sens ta main qui joue sur mes fesses, je sens tes doigts qui tatent à travers ma culotte, dissimulés sous ma robe, dans un non dit incroyable, pendant que je blottis toujours mon visage dans ton cou, que je ferme les yeux en poussant dans ma petite culotte encore un peu plus de cette pate chaude que je sens à présent sur mes fesses, qui s'étalent contre ta main dans ma culotte.

Je sens, même là, dehors, dans la rue, mon odeur monter jusqu'à mes narines, un peu génée dans cette rue presque déserte, gênée qu'un passant devine que cette petite fille, dans les bras de son papa, vient de remplir sa culotte, que la main de son papa est pressée contre une culotte grasse et malodorante déjà. Mon caca est sorti presque entièrement et tu continues à marcher en me faisant des bisous sur les cheveux, en me murmurant qu'on est presque arrivé, pendant que ta main joue contre ma culotte, que ta paume caresse la masse un peu chaude qui a dû transpercer le coton, l'étale tout doucement contre la peau douce de mes fesses en une couche épaisse et grasse. J'ai ce vague souvenir de mes deux ou trois ans, lorsque je portais encore une couche et que je m'abandonnais dans tes bras au petit matin, la couche pleine, que je sentais ta main contre ma couche pleine et que, déjà, j'en éprouvais un plaisir indiscible.

J'ai porté instinctivement mon pouce dans ma bouche et je ferme les yeux, ballotée dans tes bras, pendant que tu franchis la porte de l'immeuble, que tu montes l'escalier tout doucement, ta main contre ma culotte pleine, mon odeur si forte à présent, et que tu ouvres la porte de l'appartement pour me poser tout doucement par terre dans le hall. Je te regarde un instant, les yeux remplis de larmes à présent, et tu t'agenouilles devant moi.

Il fait chaud dans l'appartement. Le soleil a frappé toute la journée contre les vitres fermées. Je reste debout devant toi, paniquée soudain par la situation, désespérée un peu aussi par ce qui vient de se produire, alors que je rêvais tant de te prouver ma force, de te prouver que je pouvais être propre pour toi, sentir bon la petite fille dont tu rêves. Tu t'es agenouillé devant moi et sans un mot, tu as passé ta main sur mon visage pour sècher mes quelques larmes, me caresser tout doucement les joues. Puis tu m'a fait un bisou sur le front, sur le nez, sur les lèvres, ces bisous d'amoureux que je désire tant et que tu évites si souvent de faire, même lorsque je fais volontairement dévier ma joue lorsque tu m'embrasse le soir, pour sentir une seconde tes lèvres contre les miennes.

Tu me fais un bisou sur les lèvres, tout doux, tout léger, et tu me murmures que ce n'est rien, tu me dis que c'est de ta faute et que ce n'est rien. Tu me dis que tu es fière de moi quand même, tu me murmures ces mots qui me rassurent. Tu me dis que je suis ta princesse et que tu m'aimeras toujours. Tu me dis que même les princesses ont des accidents, que ce n'est pas comme lorsque je le fais exprès, lorsque je me salis exprès ou que je refuses de m'essuyer. Là, c'est un vrai accident, un accident de princesse et tu m'aimes.

Tu restes agenouillé devant moi et tout doucement, tu relèves ma petite robe bleue, tu la passes par dessus ma tête pour me la retirer, me laissant devant toi, torse nue, ma petite culotte humide et chargée collant sur mes fesses. Et tu me serres un tout petit moment dans tes bras, laissant tes mains caresser mon dos, s'attarder au bas de mon dos sur le fond de ma culotte sale. Puis tu me refais des bisous, sur le nez, sur les lèvres, dans le cou, puis sur mes petits boutons de poitrine, et sur le ventre, là où ça me chatouille tant, des bisous de nombril, ceux que tu me faisais bébé quand tu me changeais et qui me faisaient hurler de rire. Tu descends sous mon nombril et tu embrasse le haut de ma petite culotte, puis le milieu, puis un peu plus bas, là ou ma zézette forme une petite bosse dans le coton fendue en son milieu, là où mon pipi a laissé une tâche un peu plus sombre, humide et odorante.

Tu m'embrasses longuement à cet endroit là et je ferme les yeux, toujours debout devant toi. Tu sens mon odeur à travers le coton, l'odeur forte et un peu sucrée de mon pipi malgré la présence forte du caca. Tu embrasses un peu fort, tu presses ta bouche contre le coton et je sens ta langue sur ma culotte, ta langue qui longe à travers l'étoffe humide le petit sillon de ma petite fente. Tu caresses toujours mon dos, tout doucement. Puis tu tournes autour de moi, toujours agenouillé et je reste, les bras ballants, les yeux fermés, guettant tes gestes sans rien dire. Je sens ta bouche dans le bas de mon dos, dans le bas de ma colonne vertébrale, tes petits bisous, pendant que tes mains sont sur mon ventre à présent, caressent mon ventre en cercles réguliers. Ton visage est tout contre mes fesses, à présent, contre ma culotte chargée, contre la masse écrasée de mon caca dont je sais qu'il a dû traverser le coton blanc fleuri, laisser une auréole un peu brune et irrégulière.

Je sens ton visage appuyer un peu fort contre le fond de ma culotte, ta bouche qui m'embrasse là, sur les fesses, sur mon caca, à travers le coton de la culotte, ta langue peut être qui lèche le fond de ma culotte pendant que tes mains caressent mon ventre, s'attardent parfois un tout petit peu plus bas, vers le haut de ma zézette. Je sens ton nez dans mon caca, dans ma culotte souillée, ton visage qui doit être un peu bruni à présent, même s'il reste protéger de mes fesses souillées par le coton fin de la petite culotte. Tu me dis que je sens quand même la princesse, que je suis ta princesse et que je ne dois pas pleurer. Que tu me prouves, comme ça, que tu m'aimes même lorsque j'ai un petit accident, un petit accident qui ne mérites pas la fessée comme lorsque je fais la cochonne, comme lorsque je fais la vilaine petite fille qui pousse exprès dans sa culotte.

Lorsque tu te relèves, tu as en effet une petite marque brune sur le bout du nez, sur le haut de tes lèvres aussi, une marque de mon caca et je suis un peu génée par cette vision, un peu honteuse aussi que tu ais mon caca sur ton visage, mon odeur forte. Je me dis que tu vas être dégoutté, forcément. Mais tu me fais un petit bisou sur la bouche, de nouveau, et je peux sentir cette odeur, la mienne, sur ta peau. C'est troublant. A la fois un peu écoeurant et très troublant pourtant, mon odeur de caca sur ta peau, sur tes lèvres contre les miennes.

Tu me reprends dans tes bras, ta main droite positionnée de nouveau contre mes fesses sales, contre ma culotte pleine, et tu me dis que tu vas me nettoyer comme une princesse. Que tu vas faire ça sur ton lit. Tu me portes dans la chambre et tu fermes le rideau sur la fenêtre ensoleillée. Tu disposes rapidement une serviette éponge sur la couette, et tu m'allonges sur le ventre, ma petite tête inclinée contre le drap. Je me laisses faire, je me laisse porter puis allonger, je me détends et reste comme ça, allongée sur le ventre, les jambes légèrement écartée pendant que tu me caresses sur tout le corps à présent, tes mains descendant du haut de mon cou jusqu'à la plante de mes petites pieds nus, s'attadant parfois un peu plus longuement sur ma culotte sale. Tu m'embrasses également de nouveau, la plante des pieds, les mollets, les cuisses, mes fesses souillées, puis le dos et le cou.

Tu sens de nouveau à travers ma culotte et tu me dis qu'il faut la retirer. Alors tu la baisses tout doucement, tandis que je soulève très légrement une jambe puis l'autre, tu la basses et la fais passer précautionneusement par mes pieds. Je suis sur le ventre toujours et j'ai fermé les yeux. J'ai remis comme tout à l'heure mon pouce dans ma bouche. Mon autre main s'est glissée presque inconsciemment sous moi, et je serre dans ma paume ma zézette humide, comme je le fais si souvent pour me rassurer. Je sens l'air un peu plus frais caresser la peau de mes fesses nues à présent, caresser la couche grasse qui les recouvre, la couche brune et grasse et malodorante que tu dois regarder, qui me fait un peu honte de nouveau, comme des fesses de bébé à qui l'on vient de retirer sa couche, sauf que je ne suis plus un bébé, je suis une petite fille, je suis ta princesse.

Tu me dis que tu vas me nettoyer comme une princesse. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu m'aimes tellement que tu veux me nettoyer comme les princes charmant font à leur petite princesse. Alors tu retires ton jean et ton boxer et tu t'agenouilles tout doucement sur le haut de mes jambes, je sens tes fesses nues peser sur le haut de mes cuisses. C'est un peu lourd et tu me demandes si je te fais mal, mais je te réponds que non, que j'aime te sentir comme ça contre moi. J'ai eu le temps d'apercevoir, lorsque tu t'es agenouillé, ton zizi tout gros, tout tendu, qui me trouble. Je sais que ton zizi grossi lorsque tu es heureux, lorsque tu es content de moi. Je le sais et ça me fait un peu peur en même temps. Je sens ton zizi contre mes fesses, à présent. Tu le tiens à la main et tu le fais passer contre mes fesses, comme un baton qui caresserait le sol, tu le fais passer contre la raie de mes fesses, le long de ma raie et je sais que mon caca doit se mettre dessus, que ton zizi à présent doit être plein de mon caca.

Tu as pris ma petite culotte pleine dans ton autre main et tu la fais aller et venir depuis ton nez jusqu'à sur mes fesses. Tu colles ma culotte sale contre le haut de ton zizi tandis qu'il continue d'aller et venir le long de ma raie. Ta main le positionne tout en bas, contre ma zézette. Je sens le bout de ton zizi sale de mon caca tout contre ma zézette, forcer un peu comme s'il voulait y entrer, frotter tout le long de ma fente avant de remonter contre mes fesses, de s'attarder un peu contre mon petit trou, de forcer là encore. Tu me dis doucement que je peux pousser, que je peux finir mon caca, pendant que ton zizi est tout contre mon trou, que le haut de mon zizi force un peu comme s'il voulait y entrer, écarte tout doucement mon trou comme quand je fais un gros caca, avant de continuer sa route vers le haut de mes fesses.

Tes vas et viens deviennent plus rapide, alors que tu as collé ma culotte sale contre le haut de mes fesses, contre le bas de mon dos, que je sens les traînées grasses contre ma peau. C'est doux, chaud, gras, à la fois génant et un peu excitant, très cochon. Ton zizi rentre de nouveau dans le haut de ma zézette, puis dans le petit trou de mes fesses. Ta main est restée sur ma zézette et elle la malaxe, tes doigts rentrent un peu dedans, écartes mes petites lèvres en faisant un peu mal, comme s'ils cherchaient mon petit bouton rose caché tout au fond, rentrent entre mes lèvres mouillées de mon pipi et salies aussi un peu de mon caca. Ton zizi est sur mon petit trou. Il rentre plus fort, un peu plus loin, tu me dis de pousser, comme si je faisais un très gros caca, tu me dis de pousser mais ce n'est pas mon caca qui sort, juste ton zizi qui rentre encore un tout petit peu plus dans mon petit trou, et tu te tends brusquement, tu pousses un cri comme si tu avais mal et j'ai peur soudain, j'ai peur quand je sens le liquide chaud dans mes fesses, de ton cri, de ton zizi qui me fait mal dans mes fesses parce que tu pousses trop fort, que le trou est trop petit.

Alors tu te retires et tu m'étreints, tu t'allonges tout doucement contre moi, ton zizi toujours dans ma raie, moins gros, moins dur, ta bouche dans mon cou qui m'embrasse, l'odeur de mon caca partout, ton bas ventre sur le haut de mon dos, dans ma culotte pleine de caca. Tu me redis que tu m'aimes tellement, que tu es désolé de m'avoir fait un peu mal, un peu peur, que tu vas finir de nettoyer, maintenant. Et nous restons longtemps comme ça, ton corps allongé sur le mien, ton zizi redevenu tout mou dans mes fesses grasses, ton corps chaud sur le mien et ma main contre ma zézette, ma main qui caresse ma zézette un peu grasse de mon caca à présent, mon propre frisson, mes propres tremblements tandis que je pleure de nouveau, peut être de bonheur, de peur, de honte, je ne sais jamais dans ces moments là, de honte et d'envie que celà ne cesse jamais, de la peur que tu recommences et que tu t'en ailles à la fois.