Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : La prof de sport - Chapitre 9
Auteur : Solitaire
Email : sooolitaire[_at_]gmail.com
Personnages : 1 femme, 1 adolescente
La plus jeune fille a 12 ans
Première fois
Oral
Masturbation
Pénétration vaginale
Pénétration anale
Lesbianisme
Urine

Texte envoyé le 07/05/2011
Texte publié le 09/05/2011

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Résumé :
Chantal, une prof de sport, s'est engagée à s'occuper d'une de ses élèves, Lucie, pendant l'absence de ses parents.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
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La prof de sport

par Solitaire

Chapitre 9

Bref rappel de la situation : Agée de trente cinq ans, une maman m'a demandé de garder leur fille durant deux jours à leur domicile, suite à leur départ précipité pour raisons professionnelles. Etant la prof de sport de Lucie, une gentille gamine de douze ans, je la connaissais bien et donc je n'ai pas hésité une seconde.

Alors que le film à la TV allait se terminer, je me remémorai l'après midi que nous venions de passer, Lucie et moi dans leur propriété. Un simple bain de soleil en maillot s'est terminé pour moi et Lucie en jeux plus ou moins interdits et ceci en tenue d'Eve.

– Lucie, il est l'heure que tu ailles te coucher, ma puce !

– Chantal, on pourra dormir dans le même lit. Ce serait amusant !

– Ma chérie, tu te rends si tes parents apprennent cela ? Je suis bonne pour la prison ! répondis-je aussitôt, en espérant que la gamine insisterait

– Ils le sauront jamais puisque je t'ai promis cet après midi de garder le secret. Tu as envie de dormir toute seule Chantal ?

Je rougis à la question précise de Lucie. La réponse était évidente pour moi. Devais-je lui mentir ou non ? Bien sûr que c'est interdit. Mais de toute façon, j'avais déjà commis l'irréparable. Alors un peu plus ou un peu moins, pourquoi ne pas en profiter, d'autant plus que je ne force jamais cette gamine, c'est elle qui demande.

– Oui, tu as promis ma chérie et je te fais confiance. Nous dormirons ensembles cette nuit, comme deux amoureuses. Ca va me faire vachement bizarre de dormir avec une femme. Cela ne m'est jamais arrivé.

– Moi non plus, répondit la fillette naïvement, sauf avec maman quand j'avais des cauchemars la nuit.

– Tu as un grand lit ou un petit lit, Lucie ?

– Un petit lit.

– Bon, on va être obligées de dormir dans celui de tes parents.

– Bah oui, on sera mieux

– Oui Lucie, mais euh, à la maison euh, j'ai l'habitude de dormir nue. C'est un peu gênant !

– Pourquoi c'est gênant ? J'ai bien vu ta nénette cet après midi ! Même que j'y ai fait un super bisou. Tu te rappelles plus ?

– Si bien sûr, même que c'était très bon, mais interdit !

Je ne sais pourquoi mais mon défaut principal est de ne pas savoir dire non mais lorsque c'était nécessaire. Logiquement, j'aurai dû refuser catégoriquement la demande de cette gosse. Mais la pensée de cette fillette à mes côtés dans le lit était pour moi un vrai rêve, un rêve interdit, mais à portée de main.

– Tu peux me déshabiller, Chantal ? J'aimerai dormir toute nue moi aussi. Jamais maman ne voudrait normalement, alors je profite de son absence.

– Euh, je oui, si tu veux.

Je m'approchai de Lucie vêtue simplement d'un short et d'un tee-shirt. Je pensai en moi-même que cela serait rapide. La pensée de ce jeune corps encore vierge commençait déjà à m'exciter. Pas facile de penser à autre chose.

Elle leva les bras en l'air. Bien entendu, elle ne portait pas de soutien-gorge. Il ne semblait pas encore indispensable. J'eu aucun mal à faire passer son tee-shirt par la tête. Aussitôt, mes yeux retrouvèrent ces petits cônes déjà assez développés, bien fermes. Je pensai que ces seins seront plus tard caressés comme il se doit et probablement allaiteraient un enfant. Mais ce n'était pas encore le moment. Je constatai que ses tétons ne pointaient pas contrairement à cet après-midi.

Je m'accroupis devant Lucie. Rapidement, je baissai le short. J'avais devant moi une petite culotte blanche avec des dessins de canard dessus. C'était vraiment mimi. Un peu petite, la culotte collait à la peau de Lucie et laissait deviner un abricot bien sympathique. J'avais honte des pensées lesbiennes qui envahissaient mon esprit. Mais je ne songeai pas à les éviter.

Je baissai tout doucement la petite culotte de la fillette. A nouveau mes yeux fixèrent cet abricot aux poils épars. Pourquoi étais-je fascinée par cette vulve, qui n'avait rien d'original et qui ressemblait à la mienne alors que j'avais son âge ? Probablement le côté interdit de cette exhibition m'excitait beaucoup.

– Eh bien, ma nénette a l'air vachement de te plaire, Chantal, tu as les yeux bloqués dessus !

– Oui, elle est mimi ! En plus, ça fait un moment que je n'en ai pas vu.

– Bon, je te déshabille, Chantal ?

– Oh, tu te rends compte de ce que tu me demandes là ? Je suis ta prof tout de même.

– Oui, je sais, et alors ? En plus, tu es trop jolie et j'ai envie de te voir euh toute nue aussi.

– Merci pour le compliment ma puce. Tu es adorable !

Pour toute réponse, je levai mes bras en l'air pour l'aider à retirer mon tee-shirt. Pendant ce temps, je la fixai dans les yeux. Un regard intense mêlant à la fois culpabilité et soif d'aller plus loin. Une fois de plus, je me laissai embarquer par les caprices d'un enfant.

J'apparu en soutien-gorge 85b à balconnets. J'étais fière de me présenter ainsi à cette gamine alors en pleine croissance. Dans son regard, je sentais un léger sentiment de jalousie. Nous sommes toutes passées par là.

– Tu es très jolie ainsi Chantal en soutien-gorge. J'espère que j'aurai une aussi belle poitrine que toi !

– Ne te fais pas de souci, j'en suis certaine !

Elle passa derrière moi et dégrafa mon attache. Elle me retira ensuite mon soutif. Quelle impression que celle d'être déshabillée par une fillette. Peu après, son regard se posa sur ma poitrine.

– Oh, chérie, tes tétons sont encore tout tendus ! Décidemment !

– Oui, tu as raison, Lucie.

– Ca veut dire que tu es excitée, Chantal ?

– Oui, ma puce, je crois que je le suis

– C'est parce que tu vois ma nénette ?

– C'est tout, ta nudité, la situation et je suis si bien avec toi aussi.

– Moi aussi Chantal !

Lucie s'accroupit devant moi, jambes serrées afin de retirer le dernier rempart de mon intimité.

– Ouvre tes jambes ma chérie, j'aime bien

– Oh, toi, tu veux encore regarder l'intérieur de ma nénette, pas vrai ? On est des coquines toutes les deux !

– Oui, je le crois ! répondis-je mon regard fixé sur son entrejambe qui s'ouvrait. Ouvre bien à fond, comme cela, il prendra l'air ! dis-je en rigolant

A nouveau, la vision de cet hymen me transportait. Je n'en croyais pas mes yeux, alors que mon élève baissait mon short. J'apparus en mini slip noir. Elle posa un baiser sur le tissu ce qui me fit sursauter.

Rapidement, elle retira ma culotte. J'étais une nouvelle fois offerte à ses yeux d'enfant. De voir ce regard innocent sur ma fente de femme m'émerveillait. A nouveau, je sentais mes tétons me faire mal, témoins de mon excitation.

– Tu vas d'abord faire pipi avant d'aller au lit, Lucie

– Oui, euh, tu as aussi envie de faire pipi, Chantal ?

– Euh oui, répondis-je, surprise de la spontanéité de la question.

– On va aller faire pipi dehors sur la pelouse

– Ah oui et on peut savoir pourquoi ?

– Bah, comme cela, on pourra faire face à face et ensembles !

– Ohh ! Tu te rends compte, Lucie ?

– Tu n'as jamais vu une fille faire pipi ?

– Non, jamais

– Et euh je suis certaine que tu aimerais en voir une, pas vrai, Chantal ?

– Bah euh, oui, bien que ce n'est pas du tout correct.

– Viens, suis-moi, Chantal

Une fois de plus, cette gamine me menait par le bout du nez. Dans le couloir de sa maison, je regardais ses petites fesses s'agiter devant moi. C'était mimi. J'étais fascinée de me balader nue dans la maison d'une inconnue avec une gamine tout aussi nue que moi. J'allai de surprise en surprise.

Lucie nous conduit jusque sur la pelouse. Là, elle s'accroupit, jambes écartées. Elle me montra en face d'elle où je devais faire pareil. Ecarlate, je m'accroupis, tout en veillant à bien écarter les jambes. Je savais que ma vulve était bien visible. Hyper gênée, je tirai ma vulve vers le haut afin que le jet soit bien visible. La petite fit pareil.

Puis nous urinâmes en même temps. Je regardai son jet innocent. Cela me faisait vraiment bizarre. Je sentais son regard sur mon intimité, sur mon jet d'urine. D'ailleurs, mon intimité il y a belle lurette que cette gosse me l'avait prise. Je me soulageai, à la fois honteuse de me montrer dans cette position à la fois humiliante et excitante.

Peu après, nous retournâmes dans la chambre des parents pour aller nous coucher. Nues, nous nous étendîmes dans un lit beaucoup trop grand. La pensée de savoir que ce lit était utilisé par ses parents poursuivait mon excitation. Je les imaginai en train de faire l'amour, là où se trouvaient actuellement leur fille et sa prof de sport.

– Bonne nuit ma chérie,

– Bonne nuit, Chantal dit la gamine, en se collant à moi

Nous n'avions pas encore éteint la lumière. Au lieu d'un classique bisou, elle posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue se glissa peu après. La nuit commença ainsi par un baiser d'adulte qui dura quelques minutes. Je sentais mon sexe s'humidifier au fur et à mesure. La petite caressa gentiment ma poitrine et joua avec mes tétons qui n'en pouvaient plus. Ma main se posa en retour sur sa petite poitrine. Sentir au creux de ma main ces petits cônes bien fermes était particulièrement excitant.

Notre caresse se poursuivit un moment mais ne me suffisait plus. Je voulais découvrir d'autres sensations. Même si ma vie sexuelle après une pause de plusieurs mois avait repris un bon rythme, j'étais insatiable. Tout en mêlant nos langues, ma main libéra le petit cône et commença à descendre lentement.

Je sentais la respiration de Lucie accélérer. La petite jouait avec mes tétons durs comme du béton. Mon doigt titilla son nombril d'enfant. Sensation très particulière. Nouvelle descente vers le bas. Rencontre de quelques poils clairsemés. Mon doigt était sur le mont de Vénus d'une gamine de douze ans à l'orée d'une zone interdite.

Quelques instants plus tard, mon doigt rencontra le petit clitounet de la fillette que j'étais censée garder et qui me débauchait. La petite poussa un soupir attestant de la sensibilité de la zone atteinte. Délicatement, je masturbais son petit bouton. Le ventre de la gamine ondulait. Visiblement, elle n'était pas insensible à ma caresse.

Je lâchai son clitounet. Mon doigt se glissa dans sa petite fente vierge. Bien évidemment, elle était déjà archi trempée et cela ne me surprenait pas. Mon doigt atteint l'hymen que je frôlai délicatement. Je ne voulais surtout pas le rompre. Ce n'était pas à moi de prendre sa virginité. Ma main remonta titiller le clitoris pour donner à mon élève le maximum de plaisir.

A mon grand étonnement Lucie libéra mon sein. Sa main descendit lentement vers mon ventre. Je fermai les yeux pour mieux apprécier ce qui m'arrivait. Son doigt heurta mon clitounet. Je poussai un cri malgré moi. La petite joua un moment avec le bouton d'amour de sa prof de sport. Ensuite, son doigt se glissa dans ma fente gonflée et pénétra sans mal dans mon vagin trempé. Je savais que Lucie découvrait le corps d'une femme. Je la laissai faire car la sensation était exquise.

– Lucie, tu as aimé mon bisou sur ta nénette cet après midi ?

– J'ai pas aimé, j'ai adoré. On le refait ?

– Euh oui, ma chérie, tu vas t'accroupir sur la bouche tout en me présentant tes fesses

– Trop cool !

Je vis la petite m'enjamber, placer une jambe de chaque côté de ma tête puis de s'accroupir tout doucement. J'avais une vision parfaite sur cet abricot qui s'approchait de moi, sur cet anus qui avait dû travailler pas mal de fois.

Je m'agrippais aux fesses de Lucie pour la guider. Je les écartai bien pour avoir une bonne vue sur son petit trou dépourvu de poils. Je constatai que son abricot était bien ouvert et surtout bien gonflé témoignant de son excitation. Excitation également visible par sa vulvette toute mouillée.

Ma langue se glissa en elle. Je goutais aussitôt à la mouille de cette gamine de douze ans. Je ne pensai pas qu'à cet âge, on puisse être autant excitée. J'étais fascinée par la vue de son hymen. Un jour, elle l'offrirait à un garçon bien chanceux. En attendant, je buvais cette fillette qui se tortillait au dessus de ma langue qui alternait entre vagin et clitounet. Je souris en voyant la petite caresser au dessus de moi ses petits cônes bien tendus.

– Chérie, lèche moi les fesses, j'ai beaucoup aimé aujourd'hui !

– Ton trou du c euh ton trou à caca ?

– Oui Chantal

Je ne me fis pas prier et ma langue pris possession de son petit anus. Je lapais consciencieusement les lèvres de son rectum. Julie se souvenait des conseils de l'après-midi. Elle relâcha les sphincters de son anus. Ma langue se glissa dans le fondement de cette enfant. Je retrouvai le goût légèrement amer que j'avais apprécié auparavant. La petite gloussait. Trop excitée tout en la léchant, j'ouvris mes jambes et je commençai à me masturber, sous le regard surpris de Lucie.

Ma surprise fut encore plus grande lorsque je vis le doigt de Lucie descendre et commencer à titiller son propre clitoris. La petite se masturbait sous mes yeux alors que je léchais son petit trou. Elle poussait des gémissements assez forts. Nul doute que sa jouissance était imminente. En attendant je me délectais avec ma langue.

Soudain, elle se pâma sous mes yeux. Je regardai le petit sexe qui devait probablement profiter de sa première jouissance. Elle se crispa, surprise. Passé cet orgasme, elle se retourna et vint de bloquer contre moi, contre sa prof.

– Oh, Chantal, tu aurais vu, c'était trop bon. J'ai vu des étoiles !

– Oui, tu as joui ma chérie, comme une grande ! Tu es une petite femme maintenant !

– Mais tu n'as pas joui toi, Chantal ?

– Non, mais ce n'est pas gênant.

– Attends, j'ai une idée !

Lucie, toujours nue, se leva et alla ouvrir l'armoire située dans la chambre des parents. Je la vis fouiller parmi la pile de draps. Peu après, je failli m'évanouir en voyant ce qu'elle ramenait. Un sexe d'homme en plastique, monté sur une ceinture. Aussitôt mon cerveau comprit que le couple utilisait un godemichet pour améliorer l'ordinaire et la fillette avait découvert la cachette familiale.

– Tu as vu Chantal, on dirait un gros zizi d'homme ! Ca marche comment ce truc là ?

– Euh, bah, oui ça remplace euh, le zizi du papa par exemple quand il n'est pas là.

– Trop cool ! Il n'est pas là, Papa !

– Oh Lucie, tu ne crois tout de même pas que nous allons utiliser ce truc ?

– Pourquoi pas ? J'ai vu des étoiles, toi tu en as pas vu, alors ce n'est pas juste. Je suis certaine qu'avec cela, tu vas en voir, pas vrai ?

J'étais stupéfaite du tac au tac de cette gamine. Je regardais le phallus en plastique et m'imaginait cet objet dans le vagin de la maman à Lucie. Cette pensée m'excitait au plus haut point. Après tout, au point où nous en étions, pourquoi ne pas essayer. Nous ne risquons plus rien ... et je pourrai jouir comme me le propose la petite

– Tu veux mettre ce truc sur toi et me faire l'amour, Lucie, c'est cela ?

– Bah oui, ça doit être vachement rigolo !

Terriblement excitée, j'équipais Lucie de cet objet. Fort heureusement, je trouvais un tube de lubrifiant dans un chevet et j'enduis le faux sexe pour faciliter la pénétration.

– Tu fais quoi, Chantal ?

– Je mets du produit pour que cela glisse mieux et pour ne pas faire mal !

– Ah d'accord ! Ca va me faire bizarre de sauter ma prof !

– Oh Lucie, ne parle pas ainsi, STP !

– Excuse-moi, c'était pour rigoler !

– Allonge toi maintenant sur le lit ma puce et tiens ton zizi bien vertical.

Je regardai Lucie s'allonger. Le faux sexe semblait démesuré par rapport au corps menu de cette enfant. Puis je me plaçais debout, face à elle. Je commençais à m'accroupir tout doucement. La petite ne lâchait pas de vue mon sexe qui se rapprochait du faux zizi.

Ce fut Lucie qui guida le sexe vers mon vagin. Je descendais doucement. La sensation du sexe qui me pénétrait était divine. Probablement à cause du fait que Lucie ne loupait pas une miette de l'opération. Même, s'il s'agissait d'un faux sexe, cela faisait des mois que je n'avais pas ressenti cela. Bientôt je fus totalement empalée sur ce sexe. Lucie n'en revenait pas. Elle caressait ses petits cônes.

Je commençais alors mes allers retours sur ce faux zizi. Je trouvai la sensation extra tout en regardant la petite se caresser ses petits seins. Je décidais d'en faire autant. La gosse regardait sa prof qui s'empalait et se caressait en même temps.

– Chantal, tu crois qu'on peut mettre ce zizi dans tes fesses ?

– Dans mon trou à caca ?

– Oui

– Oh, tu veux euh enculer ta prof, ma puce ?

– Ca doit être marrant ! Tu ne veux pas essayer Chantal ?

– Et dis moi, comment tu sais qu'on peut mettre le zizi dans le derrière ?

– Bah, une fois, j'ai entendu crier, j'ai regardé par le trou de la serrure. J'ai vu maman qui portait ce truc et qui a mis le zizi dans les fesses à papa

J'étais particulièrement excitée par les propos de cette petite. J'imaginai la maman sodomiser le papa. J'étais partie dans mon délire et je me demandai ce qui pourrait m'arrêter.

– Oh, chérie, tu sais, ça peut être vachement gênant, par exemple si mon derrière euh, enfin, n'est pas totalement vide !

– C'est rien Chantal, tu prendras la douche ensuite, mais j'aimerai tant que tu voies les étoiles comme moi !

Je me levai pour libérer le sexe de ma vulve. Je rajoutai un peu de produit sur le faux sexe pour faciliter l'opération. Aussitôt, la petite dévia le sexe vers mon anus. C'était à la fois terriblement humiliant de montrer mon derrière à cette gamine, mais terriblement excitant aussi.

Je me rabaissai très lentement tout en écartant mes fesses pour faciliter la sodomie. Je sentais le sexe pénétrer mon petit trou. C'était divin. La fillette ne loupait rien ! Je continuai ma descente très lentement. Je savais que les lèvres de mon anus glissaient sur le faux sexe. Cela devait être très excitant pour Lucie de voir cela.

Je commençais mes allers retours tout en me masturbant devant les yeux de mon élève. J'adorais le sentiment de possession que cela donnait. Je sentais ma vulve fuir. Un filet tomba sur le ventre à Lucie. L'excitation aidant, je me mis à pousser de petits cris de plaisir, à la satisfaction de Lucie.

Après quelques minutes un orgasme fulgurant m'emporta sous le regard étonné et amusé de Lucie. Elle venait de faire jouir sa prof et en étais très fière. J'attendis un moment, empalée sur le faux sexe. Puis je le libérai. Un rapide coup d'œil me rassura. Il n'était pas souillé.

Je m'allongeai alors contre mon élève, pour la remercier de la jouissance qu'elle m'avait donnée. Nous nous embrassâmes comme deux amoureuses.

– Chantal, euh tu aimerais euh m'enculer, ma chérie ?

– Oh Lucie ! Ca va pas ?

– Juste pour voir comment ça fait !

– Mais ce zizi, il est bien trop gros pour ton trou du euh pour ton derrière ma puce !

– On peut toujours essayer !

En deux minutes, Lucie avait retiré la ceinture et m'avait équipé de cet accoutrement. Je n'étais pas fière ainsi harnachée.

– Tu vas te mettre à quatre pattes sur le lit, les fesses en l'air. Ce sera plus facile

– D'accord Chantal

– Tu écartes bien tes fesses avec tes mains pour pas que je me trompe de trou

– Voilà !

Je regardais fascinée cette fillette dont la position était particulièrement excitante. Son petit trou imberbe semblait me regarder. Je rajoutai du produit sur le faux sexe.

Je posai le gland sur l'anus. Elle sursauta. Je poussai légèrement. La petite me fit comprendre sa douleur. Je lui conseillai de pousser comme pour faire caca. Elle obéit aussitôt. Je commençais alors la pénétration anale. Je regardais fascinée l'anus s'écarter pour laisse entrer le faux zizi. Millimètre par millimètre, le sexe entrait. J'entends un clapotis bien caractéristique m'indiquant de Lucie avait commencé à se masturber.

Après quelques minutes, la totalité du sexe était en elle. La vision était exquise. Je commençai les allers retours qui semblaient plaire à la petite. Cela me faisait tout bizarre de sodomiser une fille. Une fille de douze ans. Mon élève. Je voulais m'assurer que Lucie ne souffrait pas de cette intrusion dans son derrière. Elle me confirma que c'était une sensation étrange et qu'elle aimait bien, sauf au début où cela avait été un peu difficile.

La sodomie dura bien cinq minutes. Ce n'était plus moi qui bougeait mais la puce qui gérait la cadence au rythme de ses empalements. Le flic floc de sa masturbation devenait bruyant. J'adorais. Peu après, elle atteint un orgasme bien mérité. C'était fascinant à voir.

Je laissai la petite reprendre ses esprits, puis je libérai son anus bien accueillant. Celui-ci ne se referma pas aussitôt et je profitai de la vue qui m'était offerte. Je retirai la ceinture qui m'encombrait.

Nous profitâmes de la grande salle de bains pour prendre notre douche en commun. Nous nous lavâmes mutuellement. J'étais offerte à cette gamine.

Après un baiser d'adulte, nous nous couchâmes pour un repos bien mérité.

***

N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ... Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle est un crime qui mérite la prison !

***

Si vous appréciez ce texte, n'hésitez pas à me le faire savoir pour m'encourager pour la suite de cette histoire .... virtuelle bien sûr

Si vous avez aimé ce texte, remerciez Solitaire, c'est une motivation pour continuer d'écrire.

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