Ceci est la suite d'une histoire.
Titre : La prof de sport - Chapitre 8
Auteur : Solitaire
Email : sooolitaire[_at_]gmail.com
Personnages : 1 femme, 1 adolescente
La plus jeune fille a 12 ans
Première fois
Oral
Lesbianisme

Texte envoyé le 04/05/2011
Texte publié le 04/05/2011

Creative Commons 2011 - Solitaire. Certains droits réservés.

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Résumé :
Chantal, une prof de sport, s'est engagée à s'occuper d'une de ses élèves, Lucie, pendant l'absence de ses parents.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
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La prof de sport

par Solitaire

Chapitre 8

Agée de trente cinq ans et divorcée depuis quelques mois, je pensais m'ennuyer durant cet été, moment de l'année où l'on est censé se ressourcer. Une fois de plus, le destin en avait décidé autrement.

La maman de Lucie, une de mes élèves, vint me voir un soir à la sortie des cours pour me demander un service : ils devaient s'absenter deux jours pour raison professionnelles du père et ne pouvaient emmener leur fille Lucie, âgée de douze ans. Ne disposant d'aucune famille dans la région, la maman me demanda gentiment si je pouvais m'occuper de Lucie durant leur absence.

– Je comprends votre souci, madame, dis-je à la maman visiblement embêtée de me demander ce service. Cela ne posera aucun problème ! En plus, Lucie est une fille pas compliquée.

– Merci, vous êtes très gentille madame. Bien sûr, vous pourrez profiter de notre piscine durant ces deux jours. Ils annoncent un temps superbe !

Le lendemain, j'étais en maillot de bain, allongée dans un transat à profiter du soleil. Les parents de Lucie disposaient d'une magnifique propriété, arborée et entourée d'un mur en pierre assez haut. Ainsi, personne ne pouvait voir l'intérieur de la propriété. Cela me convenait parfaitement pour être tranquille.

Je regardais la petite jouer dans le bassin. La gamine était assez grande pour son âge, et mince. Bref, une asperge. On voyait très bien qu'elle était en pleine croissance. Je remarquai les deux petites bosses sur son haut de maillot qui trahissaient que la transformation de ce corps était en cours.

Je tentai de m'assoupir pour me reposer. Force était de reconnaître que c'était impossible car la vision de cette petite me revenait sans cesse à l'esprit.

« Ma vieille, tu ne vas tout de même pas remettre cela ! » me dis-je en moi-même, honteuse. « Tu as déjà dévergondé un de tes élèves, Cédric, puis sa mère, tu ne vas quand même pas faire pareil avec cette gamine de douze ans ! ». Bien que ce ne soit pas facile, je me jurai de penser à autre chose.

– Madame ?

– Oui, Lucie ?

– Je voudrai faire le poirier, vous pouvez me tenir les pieds ?

– D'accord Lucie, mais à la condition que tu arrêtes de m'appeler Madame. Moi, c'est Chantal, d'accord ma puce ?

– Promis, euh, Chantal !

– Par contre, tu devras m'appeler Madame au retour de tes parents !

– Oui, Chantal !

Je me levai et me plaçai sur la pelouse. Lucie posa sa tête contre l'herbe et leva d'un coup sec ses jambes longues et fines. Aussitôt, j'attrapais ses chevilles pour la stabiliser. La gamine resta ainsi quelques secondes

– Tu vois ma puce, tu tiens bien !

– Oui, c'est vrai

– Lucie, tu veux que je te lâche, pour essayer ?

– Oui Ma... euh Chantal !

Je lâchais ses pieds. La petite tenait toute seule. Elle avait un bon sens de l'équilibre. Soudain, je vis qu'elle ouvrait ses jambes pour s'amuser. Mon regard se porta aussitôt sur cette partie du corps qui différencie hommes et femmes. Son maillot encore mouillé épousait parfaitement ses formes féminines.

Je distinguai parfaitement le tissu humide qui entrait en elle. Je trouvai cela très mimi ... et très érotique aussi. Cependant, je culpabilisais un maximum de regarder ainsi cette partie du corps d'une gamine de douze ans.

Lucie continua à ouvrir ses jambes, pratiquement en ligne droite. Son maillot avait du mal à suivre. Hélas, je ne pouvais en voir plus. J'étais honteuse de vouloir voir le petit abricot de mon élève.

– Tu regardes ma nénette, Chantal ? dit la petite en rigolant

– Oh non, Lucie, répondis-je étonnée de ce tutoiement et de sa franchise. D'ailleurs je ne la vois pas. Tu as ton maillot

Puis Lucie reprit une position normale, assise face à moi. J'étais encore toute rouge de sa question.

– C'est cool qu'on soit seules toutes les deux, tu ne trouves pas Chantal ?

– Oui, c'est cool, comme tu dis, c'est reposant ce silence, j'aime beaucoup.

– Tout à l'heure quand j'ai fait le poirier, tu aurais aimé voir ma nénette, Chantal ?

– Ohh ! C'est une obsession ! Pourquoi tu dis cela ?

– Tu crois que je n'ai pas vu où tu regardais quand j'avais la tête en bas ?

– Je, je euh. Oui c'est vrai, j'ai regardé, mais je te jure que je n'ai rien vu.

– Tu aimerais que je te la montre, ma nénette, Chantal ?

Je devins écarlate, à la fois par l'aplomb de cette gamine et par la réponse que je devrais lui donner si j'étais sincère.

– Lucie, tu sais que je n'ai pas d'enfant. Donc, je, euh, je n'ai jamais vu d'autre nénette, comme tu dis, que la mienne. Voilà pourquoi j'ai regardé ton maillot, un peu par curiosité !

– Tu veux que je te la montre, Chantal, ma nénette ?

– Euh oui, Lucie, j'aimerais beaucoup, je crois

– D'accord, mais tu me montreras ta nénette ensuite. Comme ça, on sera à égalité

– Oh Lucie, tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Je suis ta prof et j'ai trente cinq ans ! C'est intime cela !

– Alors tu ne veux pas, Chantal ?

– Non, ça ne se fait pas !

– Ok, alors je te montre pas la mienne !

En moi-même, je réfléchis comme un éclair. La gamine me proposait un deal. J'avais vraiment envie de voir son petit abricot, savoir s'il y avait beaucoup de duvet. D'autre part, lui montrer le mien n'était pas gênant, voire même plutôt excitant. Fallait cependant que je sois certaine qu'elle garde bien le secret.

– Bon, Lucie, je suis d'accord mais faut d'abord que tu me jures que tu n'en parleras à personne, pas même à tes parents.

– Je te le jure, Chantal, répondit-elle dans la foulée

– Lucie, euh, tu veux bien, euh, que ce soit moi qui te le retire ton bas ? dis-je honteuse de montrer mon envie de déshabiller cette petite.

– Oh oui, Chantal, ce sera amusant !

Je m'accroupis, jambes négligemment ouvertes, devant mon élève. Je remarquai qu'elle observait mon entrecuisse, mais je ne dis rien, car ce regard me plaisait beaucoup. De mon côté, je détaillai son maillot, notamment le renflement cachant son mont de Vénus.

Je posai avec hésitation ma main sur son maillot que je fis ensuite descendre très doucement. Le pubis de mon élève apparut, garni de quelques poils épars. Je continuai lentement. Le petit abricot était désormais visible à mes yeux. Il était mimi, bien fermé. Je m'imaginai ce qu'il aurait à subir durant toute la vie de cette future femme. Je finis de baisser son maillot. Lucie leva jambe après jambe pour libérer ce vêtement inutile.

– Alors, tu la trouves comment ma nénette, Chantal ? demanda la gosse, son regard toujours dirigé vers mon entrejambe.

– Hum ! Elle est mimi. Il aura bien de la chance ton mari plus tard !

– Ca me fait bizarre que tu la regardes ainsi. Personne ne l'a encore vue, sauf papa et maman et encore, il y a bien longtemps.

– Ah bon, dis-je contente de savoir que personne d'autre que moi n'avait vu récemment cet abricot, depuis la transformation de ce petit corps de femme.

– Oh Chantal, regarde, ton maillot est tâché ! Tu as fait pipi ?

– Aussitôt, mon regard plongea entre mes jambes. Effectivement, une belle tâche d'humidité était visible sur mon maillot sombre. La logique aurait voulu que je referme aussitôt mes jambes. Mais prise dans mon délire, je laissai mes jambes ouvertes, offerte à cette gamine de douze ans.

– Euh, non ma chérie, euh, Lucie, ce n'est pas du pipi. Tu sais, nous les femmes, notre vul euh, notre nénette a parfois des fuites

– C'est parce que tu es excitée de voir ma petite nénette devant tes yeux, c'est cela ?

– Oui ma chérie, c'est cela. Elle est tellement mimi ta petite nénette !

– Lucie ?

– J'ai vu que tes nénés commençaient à pousser sérieusement. Tu aimerais me les faire voir ?

– Oh dis donc, Chantal, tu es vachement curieuse !

– STP

– D'accord si tu me montres les tiens après !

J'étais effarée de la tournure des évènements. Je me sentais prise au piège, tout comme je l'ai été à l'hôtel avec Cédric, mon élève, lors de son tournoi de natation.

« Chantal, au point où tu en es, pourquoi pas ? » me dis je en moi-même. « En plus, entre filles, ce n'est pas grave » me dis-je pour me rassurer

– Oui, ma chérie, je te montrerai ma poitrine si tu le veux. Euh je peux te retirer ton haut ?

– Oh dis donc, tout cela ne va pas arranger la tache sur ta culotte !

En faisant celle qui n'avait pas entendu, je m'approchais d'elle. La gamine leva ses bras et je retirai sans problème ce minuscule soutien-gorge pas vraiment indispensable. J'avais devant moi deux magnifiques cônes, bien fermes, à croquer. Le plus impressionnant de tout cela était les tétons archi tendus. La gosse était aussi excitée que moi de cette situation.

Je me reculai de quelques pas pour admirer la nudité de mon élève, une fillette de douze ans. Elle était superbe. Avec son sourire d'enfant, elle s'approcha de moi. En quelques secondes, elle avait réussi à retirer mon haut. Je ne songeai même pas à cacher ma poitrine 85b, ferme, tant j'avais envie de me montrer, de montrer à cet enfant comment elle serait plus tard.

– Bah, dis donc Chantal, ils sont super tes nichons, pas minuscules comme les miens !

– Tu verras, ça va pousser assez rapidement.

– C'est vachement marrant comme tes tétons sont tout droits ! C'est normal ?

– Euh, oui c'est normal, répondis-je en rougissant. En fait, euh, c'est parce que je suis excitée. Sinon d'habitude, ils ne sont pas comme cela !

– C'est de voir une élève toute nue devant toi qui t'excite ainsi Chantal ?

– Oui, confessai-je, une jolie élève. D'ailleurs je te ferai remarquer que toi aussi, tu as tes tétons qui pointent, regarde !

– Ah oui, c'est vrai ! Alors ça veut dire que je suis excitée aussi, Chantal ?

– Oui ma puce, je crois que tu es aussi excitée que ta prof !

– Bon, je peux te retirer ta culotte ?

– Oui, vas-y, Lucie

La gamine s'accroupit devant moi. La vue de ses tétons qui pointaient m'émoustillait au plus haut point. Je la regardais faire. Mon pubis lisse apparut. Je voyais ces yeux surpris. Puis ce fut au tour de ma vulve, toute aussi lisse. La gosse n'en revenait pas !

– Chantal, tu n'as pas de poils à ta nénette, toi ? Je pensai que toutes les femmes en avaient !

– Non, je les rase. Tu n'aimes pas ainsi ?

– Oh, si ! J'aime beaucoup. On voit vachement mieux comme ça !

– Tu la trouves comment ta prof quand elle est toute nue ?

– Trop jolie ! Dommage que tu es une femme, sinon on aurait pu coucher ensembles.

Troublée par les paroles que venait de prononcer Lucie, je m'avançais vers elle. Je posai mes lèvres sur les siennes. Celle-ci ne recula pas et nous restâmes ainsi soudées quelques secondes. On se regarda ensuite, aussi rouge l'une que l'autre avec un sourire un peu gêné.

Peu après, Lucie se rapprocha de moi et m'embrassa à nouveau. Apparemment notre baiser lui avait bien plu. A ma grande surprise, sa langue se glissa entre mes lèvres et joua avec ma propre langue. Notre baiser d'adulte dura une éternité, une éternité pendant laquelle j'étais sur un nuage, comme en plein rêve.

Je sentais les pointes de Lucie toucher mes tétons aussi tendus. C'était délicieux. Je posai mes mains sur ses petites fesses afin de rapprocher nos ventres. Lucie se colla bien contre moi. Savoir que nos pubis étaient en contact me ravissait.

– Chantal, je peux refaire le poirier ?

– Euh, oui ma chérie, mais pourquoi ? Tu viens juste de le faire !

– Tu n'as pas envie que je le refasse ?

– Si, ma puce. Refais-le si tu veux. Je vais te tenir les pieds

La gosse s'exécuta et réalisa un poirier parfait. Son corps était bien droit. Je relâchais ensuite ses pieds dans l'espoir de ... Soudain je vis la gosse desserrer très lentement ses jambes. Bien entendu, mon regard se pose sur son entrejambe. J'avais une vision parfaite sur sa petite vulve encore bien fermée.

Au fur et à mesure que ses jambes s'ouvraient, le petit coquillage en faisait autant. Les jambes finirent pratiquement à l'horizontal. La vulve était entièrement ouverte, offerte. Je me penchai légèrement pour mieux voir. Jamais je n'avais vu un sexe de gamine d'aussi près. Le petit clitoris était bien visible. Je remarquai également le méat urinaire, puis le vagin proprement dit. En fait ce dernier était peu visible, car bien évidemment encore protégé par le fragile hymen. La vision de ce témoin d'innocence m'excita beaucoup. J'étais honteuse de regarder ainsi l'intimité de cette gamine de douze ans.

– Tu regardes quoi, Chantal ? me demanda Lucie, la tête en bas

– Je, euh, ta nénette, ma puce. Elle est trop mimi !

– Merci mais je crois qu'elle aimerait bien un bisou !

– Oh Lucie ! Tu te rends compte de ce que tu me demandes là ?

– Si tu la trouves si jolie, elle mérite bien un bisou

Je ne pus résister plus longtemps à cet appel. Je me penchai vers ce petit sexe accueillant et posai mes lèvres sur le mont de Vénus de l'enfant. Je restai ainsi quelques secondes tout en m'enivrant de l'odeur de cette zone

– Non, plus bas, Chantal, STP

– Ohhh !

Mes tétons me faisaient mal tellement je pointais. Mes lèvres descendirent doucement et coiffèrent délicatement le bouton d'amour. Inutile de préciser qu'il était dur comme du béton. « La petite est super excitée ! » pensai-je en moi-même. Un soupir de Lucie me confirma la chose. Je restai collée un instant sur son clitounet.

Je sortis délicatement ma langue pour continuer mon exploration. Elle se posa sur le voile qui protégeait son entrée intime. Avec d'infinies précautions, je léchais ce coin de paradis. Lucie gémissait. Je retrouvai le même goût que lorsque j'avais léché la vulve à la maman de Cédric il y a quelques jours. J'avais encore la preuve du niveau d'excitation de Lucie.

Ma langue termina sa mission sur le petit trou de mon élève. Là encore, surprise de l'intéressée car elle poussa un petit cri. Je sentais son anus palpiter sous la langue. Le goût était poivré, tout à fait acceptable et agréable. Hélas, il était fermé et je ne pouvais aller plus loin dans mon exploration.

– Ma chérie, pousse un peu pour ouvrir ton petit trou, STP

– Tu veux mettre ta langue dans mon trou des fesses, c'est cela ?

– Oui, ma chérie, j'en ai envie, pas toi ?

– Oh si, Chantal, pour voir comment ça fait !

Peu après, je voyais l'anus se relâcher doucement, se détendre puis s'ouvrir légèrement. Aussitôt ma langue se faufila dans le minuscule orifice qui semblait bien accueillant. Je pénétrai ce petit trou d'environ deux centimètres. Une fois de plus, Lucie répondit à ma caresse par un long gémissement. L'odeur était un peu plus amère, mais bien supportable.

Cela faisait un moment que Lucie était tête en bas. Voulant éviter tout problème, je me retirai et libérai la gosse, qui se remit en position normale. Nous nous regardâmes un moment, conscientes de ce que nous venions de faire, puis nous éclatâmes d'un fou rire.

J'étais fascinée de voir combien les tétons de Lucie pointaient... tout comme les miens.

– Chantal, tu sais faire le poirier ?

– Oh ! Lucie !

– Tu sais le faire ?

– Oui bien sûr, mais ...

– Tu le fais ? Moi je te tiens les pieds à mon tour.

En moi-même, je savais pertinemment où voulait en venir Lucie. Voir mon intimité. La raison aurait voulu que je dise non. Mais je ne sais pourquoi, je souhaitais lui montrer le plus profond de moi, sa prof, âgée de trente-cinq ans, tout le contraire de la raison.

Je posai ma tête au sol et réalisai un superbe poirier. Mes jambes bien droites que tenait bien inutilement Lucie. J'avais une superbe vue sur son petit abricot, à l'envers, mais c'était quand même bien mimi.

– Voilà, Lucie, tu vois que je sais le faire aussi, m'attendant aussitôt à une autre demande de sa part.

– Tu es cap de mettre tes jambes à plat, comme j'ai pu le faire tout à l'heure ?

– Oh Lucie, tu es sûre ?

– Oui Chantal, j'aimerai bien !

– Mais je suis ta prof Lucie !

– Justement, comme ça je pourrai comparer ! Hihihi !

Soumise à cette gamine, je m'exécutais. Je sentais mon sexe s'ouvrir tout doucement. Je savais pertinemment que je mouillais comme une folle depuis un bon moment. Sur que la petite le remarquerait. D'un autre côté, j'avais tant envie de montrer mon intimité, tellement j'étais fière de mon corps.

Je vis les yeux de Lucie s'écarquiller lorsque ma vulve s'ouvrit. Evidemment, c'est la première fois qu'elle voyait l'intérieur d'un sexe féminin. Cet étonnement me ravit énormément. J'avais désormais les jambes alignées, parallèles au sol.

– Tu vois, Lucie. Il n'y a pas que toi qui es capable de faire cette figure !

La petite ne m'écoutait pas. Je voyais son regard figé sur mon sexe, ouvert, béant, trempé d'excitation. Malgré ma position, j'aurais voulu que cet instant se prolonge éternellement.

– Alors tu en dis quoi, ma petite Lucie ?

– J'adore. Ta nénette est toute ouverte. On voit bien à l'intérieur, même !

– Tu aimes ?

– Oui, c'est très joli !

– Tu, euh, tu peux me décrire, ma puce ?

– D'accord ! Donc, je vois comme un petit pois qui dépasse d'un bout de peau. Il est tout rouge.

– C'est mon clitoris, ma puce. Il donne à la femme beaucoup de plaisir quand on le touche !

– Oui, j'ai vu cela tout à l'heure quand tu l'as embrassé !

– En dessous, je vois ton petit trou à pipi. Ca me fait tout bizarre de voir le trou avec lequel tu fais pipi !

– Une prof, c'est une femme comme une autre !

– En dessous, il y a un grand trou, énorme. En plus, ça a l'air vachement mouillé !

– C'est le vagin. Comme je te l'ai dit auparavant, le vagin d'une femme qui est excitée mouille beaucoup ! Tu m'excites beaucoup, ma puce !

– C'est vrai que le papa, il met son zizi dedans quand il fait l'amour ?

– Oui, c'est vrai. Il dépose son petit lait d'amour, le sperme. Peu après, la femme tombe enceinte. Le bébé sort neuf mois plus tard par le vagin.

– En dessous, je vois aussi ton trou du c... enfin le trou qui te permet de faire euh caca. Ca s'appelle comment ?

– C'est l'anus, ma chérie.

– Il est mimi ton anus, Chantal !

– Merci ma chérie !

– Je peux poser un baiser, euh comme tu m'as fait tout à l'air ?

– Oh Lucie, tu sais qu'on n'a pas le droit de faire ça, car tu es encore une enfant !

– Ouais, mais si personne le sait ?

– Je peux aller en prison ! C'est très grave !

– Aller, STP, ce sera notre secret Chantal !

– Bon d'accord, si tu me promets.

– Je promets !

En moi-même, j'avais trop envie que cette gamine fasse les mêmes caresses que je lui avais faites auparavant. Je fermais alors les yeux pour déguster ce moment intense. Lucie refit exactement comme j'avais fait. Ses lèvres sur mon pubis fut un vrai régal. L'extase fut quand elle posa ses lèvres sur mon clito. Il était archi dur. La petite s'attarda un moment sur cet incomparable outil de bonheur comme disait un poète. Je sentais que je mouillais beaucoup. J'étais gênée de montrer à cette gamine combien j'étais excitée.

Sa langue pénétra mon vagin. Je constatai que l'humidité ne la gênait pas le moins du monde, car elle lapait au fur et à mesure. Ma respiration devenait bruyante. Cette caresse dura un moment. Puis je sentis sa langue frôler mon anus. La sensation était exquise, malgré la honte que je ressentais. A sa façon d'insister, je voyais bien qu'elle souhaitait faire pénétrer sa langue. Je poussai un peu et sentis sa langue se glisser dans mon petit trou.

Elle s'amusa un moment à léchouiller le derrière de sa prof qui gémissait. Je savais que l'endroit était désert, aussi je me laissai aller à mon plaisir. Peu après, je décidai de reprendre une posture plus normale, car le sang me montait à la tête. Je remerciai alors Lucie de ses caresses par un baiser d'amoureux. Je reconnu au passage l'odeur particulière mais supportable de mon derrière.

Nous nous étendîmes dans l'herbe, l'une contre l'autre. Après ces ébats interdits, nous nous assoupîmes rapidement. Le vent qui commençait à se lever gentiment, nous réveilla. Toujours aussi nues, nous plongeâmes dans la piscine. Cette nudité commune était particulièrement agréable. J'étais devenue amoureuse de Lucie. Le problème est qu'elle n'avait que douze ans.

Vers 19h00, nous sortîmes de l'eau. Lucie alla prendre sa douche. Ensuite ce fut mon tour. Puis, je commençai à préparer le repas. Nous étions toujours entièrement nues toutes les deux et la soirée était loin d'être terminée.

***

N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ... Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle est un crime qui mérite la prison !

***

Si vous appréciez ce texte, n'hésitez pas à me le faire savoir pour m'encourager pour la suite de cette histoire .... virtuelle bien sûr

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