Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : La prof de sport - Chapitre 1
Auteur : Solitaire
Personnages : 1 femme, 1 petit garçon
Le plus jeune garçon a 11 ans
Première fois
Oral
Texte envoyé le 23/02/2011
Texte publié le 23/02/2011
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Résumé :
En déplacement sportif, une prof de sport et son élève sont confrontés à une situation non prévue...
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
En descendant du train, je m'assurai que Cédric n'avait pas oublié son sac de sport. Agé de onze ans, il était tête en l'air, comme souvent les gamins de son âge. Les voyageurs étaient nombreux sur le quai et je tenais Cédric bien par la main pour ne pas nous perdre dans la cohue.
J'étais très contente de cette escapade sportive qui me permettrait de me changer les idées. Il faut dire que mon divorce, bien que prononcé voilà 3 mois, me tracassait de temps en temps. Mais je n'avais que trente cinq ans, et la vie devant moi.
Pendant le trajet en taxi, je pensai à la journée de demain. Cédric devait participer à un tournoi de natation, prévu de longue date. J'étais sa prof de sport et je l'avais préparé le mieux possible. Cédric avait perdu son père alors qu'il n'avait que 5 ans. Sa mère s'occupait de son fils unique de manière très convenable. D'ailleurs, tous mes collègues du collège étaient satisfaits des résultats scolaires de Cédric.
Hélas, sa maman se fit une entorse la semaine précédent le départ. Très embêtée, elle m'appela pour annuler la participation de Cédric au tournoi. Je pensais aussitôt aux heures de préparation de Cédric et je trouvais cela injuste pour le gamin. Je lui proposai de m'occuper de Cédric pour l'accompagner afin qu'il puisse participer malgré tout à ce tournoi. La maman trouva ce geste fort sympathique et accepta aussitôt.
Arrivés à l'hôtel, nous nous dirigeâmes vers l'accueil.
– Bonjour Monsieur, je suis Madame Guyon, j'ai réservé 2 chambres pour 2 nuits.
– Oui, un instant SVP, Madame, je regarde.
– Oui, je vois votre nom, Madame Guyon. Mais euh...
– Il y a un problème, Monsieur ?
Je commençais à stresser, d'autant que nous étions fatigués par le trajet.
– Euh, enfin, je vois une chambre, Madame. Oui, c'est bien cela, il n'y a qu'une seule chambre non fumeur réservée à votre nom, Madame.
– Mais Monsieur, voila 2 mois que j'ai réservé ces 2 chambres, ce n'est pas possible quand même !
– Je suis désolé Madame, d'autant plus que toutes les autres chambres sont occupées. Il y a une manifestation au parc des expositions et notre établissement est complet.
Je regardais Cédric, je commençais à rougir en pensant à cette situation confuse.
– Madame, euh comment on va faire ? Je suis fatigué avec ce voyage.
– Je je, euh la chambre réservée, euh, elle est comment, Monsieur ?
– Il y a un grand lit Madame et un canapé également.
– Bon euh,
A nouveau, je regardais le gamin tout en rougissant, indécise.
– Bon en fait, nous n'avons pas vraiment le choix. Nous allons nous arranger et prendre cette chambre.
– Cool Madame, car je suis mort de fatigue.
En montant l'escalier, je maudissais cet hôtel qui chamboulait tous mes plans. En effet, comme tous les soirs, j'avais prévu ma petite séance câline ... en solitaire, .... histoire de faire passer mon divorce. Eh bien, tout cela est raté, à cause de ce gamin qui n'y était en fait vraiment pour rien.
Nous entrâmes dans la pièce. La chambre était claire, agréable. Au moins, je n'ai pas choisi un hôtel minable et douteux. Le lit avait l'air confortable. Quant au canapé, il était idéal pour regarder la TV, mais pour y passer une nuit, ce serait une autre affaire. Moi qui aimais bien confort, c'était raté !
– Madame, vous préférez dormir à droite ou à gauche ?
Je devins écarlate en entendant cette question.
– Je, je, euh comment ça, Cédric ?
– Bah oui Madame, d'habitude vous dormez à droite ou à gauche dans votre lit ?
J'étais stupéfaite par l'aplomb ce Cédric.
– Je, je, je vais plutôt dormir dans le canapé Cédric, ce sera préférable.
– Vous vous rendez compte, Madame !, avec un canapé comme cela, demain, vous serez cassée en deux !
A nouveau, je regardai le canapé et je reconnaissais alors que Cédric n'avait pas tort.
– Euh, tu sais Cédric, que je n'ai pas le droit de dormir avec un de mes élèves, tu sais. C'est strictement interdit par l'école !
– Oui peut-être Madame, et vous croyez que la police regarde tous les jours avec qui les clients de cet hôtel dorment ?
Je souris de la remarque pertinente de Cédric.
– Tu te rends compte si cela se savait ? Je peux aller direct en prison, Cédric, tu te rends compte ?
– Bah Madame, on n'est pas obligé de le raconter à tout le monde. Et comme cela, demain, vous serez en pleine forme, tout comme moi.
– Bon euh d'accord Cédric, mais jure moi que tu n'en parleras jamais à personne, jamais !
– C'est juré Madame. Ca sera notre secret à tous les deux !
Malgré cette situation gênante, je regrettais à moitié ce loupé au niveau des chambres. Le côté plutôt secret de la chose me plaisait assez en fait.
« Mon dieu ! Dormir dans le même lit qu'un gamin de onze ans, on aura tout vu ! Pourvu qu'il n'en parle à personne ! Je pense qu'il est sincère et qu'il gardera le secret »
– Bon, euh Cédric, d'habitude, je dors à droite euh, euh enfin du moins quand j'étais marié.
Je rougissais tout en dévoilant ce côté très personnel de ma vie à Cédric.
– D'accord Madame, alors je dormirai à gauche !
J'étais effarée du tac au tac de ce gamin. Mes pensées étaient alors très loin du tournoi de demain !
– Bon, tu vas filer à la douche, puis au lit. Moi, je prendrai la mienne ensuite.
Je commençais à défaire mon sac de sport pour les ranger dans l'armoire près du lit. Ce faisant, j'observais Cédric, du coin de l'oeil qui se préparait pour la douche.
– Madame, Madame !
– Quoi, Cédric ?
– Madame, venez voir, je crois qu'il y a pas de rideau ni de porte à la douche !
Je me levais aussitôt persuadée que le gamin avait mal vu comment se fermait la douche. Effectivement, il y avait bien une tringle au dessus de la douche mais point de rideau. Je jetai un coup d'oeil dans les armoires. Rien. Je devins écarlate en pensant que j'avais ma douche à prendre ensuite, indispensable après ce voyage éprouvant. Je commençais à bafouiller un peu :
– Je, je, bon euh tu la prends quand même mais tache de ne pas mettre de l'eau partout !
– Mais euh, Madame, vous vous allez me voir tout nu !
Le gamin me regardait, aussi rouge que moi
– Je ne regarderai pas, promis !
Je me plongeai alors dans une revue achetée avant de partir. Mon esprit était ailleurs, je n'arrivais pas à me concentrer sur ma lecture. En effet, malgré moi, je surveillais discrètement Cédric. Il était assez grand pour son âge, mince mais pas maigre. Cheveux châtain, pas de duvet encore visible sur le visage. "Il ne doit pas encore avoir de poils non plus sur son sexe" je pensai en moi-même. "Tu es folle, ma pauvre Chantal, d'avoir de telles pensées concernant un gamin de cet âge ! Tu es vraiment folle !"
Cédric était maintenant torse nu. Bien sûr aucun poil sur le torse. Je le trouvai joli mais j'essayais de me concentrer sur ma lecture. Il quitta alors son short. J'étais troublée de le voir ainsi avec son petit slip blanc qui lui allait fort bien. Toujours aussi discrètement, au passage je ne remarquai pas de bosse significative sur le devant de son sous-vêtement.
Il se tourna et quitte son slip.
Mon regard se porta toujours malgré moi, sur ses petites fesses blanches. "Il est si mimi ce gamin" je pensai, honteuse.
La douche coulait depuis un moment. J'avais réussi à me plonger dans ma lecture puis soudain :
– Madame !
– Oui Cédric ?
Je levai la tête et vis Cédric, nu, sur le bord de la douche.
– Qu'y a-t-il, Cédric, dis-je, toute rouge devant la nudité de mon élève.
– Je, je j'ai oublié ma serviette Madame, euh et mon slip propre aussi Madame ! Vous pouvez mes les amener ?
Toute rouge, je me levai et aller chercher dans le sac de Cédric. Je trouvais facilement la serviette rouge mais pas le slip recherché.
– Il est où, mon ch.., euh Cédric, ton slip ?
– Il doit être dans la poche de côté
– Ah oui, je le vois
Je souris en voyant ce petit bout de tissu. Il faut dire qu'avec mon mari, nous n'avons jamais eu d'enfant et donc je ne suis pas habituée à un sous-vêtement de cette taille. Toujours aussi gênée, je me relevai et m'approchais de la douche pour tendre à Cédric ses affaires
– Tiens, Cédric, voilà ce que tu m'as demandé
Troublée par la situation, les affaires m'échappèrent des mains et finirent au sol. Honteuse de ma maladresse, je m'accroupis aussitôt pour ramasser les affaires. En relevant la tête, je constatai avec stupeur que mes yeux étaient au niveau de son petit sexe. Je devins rouge comme une pivoine. Pas un poil sur son sexe. Au moins, j'étais fixée ! C'était la première fois que je voyais un sexe d'enfant d'aussi près. J'étais à la fois morte de honte mais si curieuse ! Les deux petites sacoches pendaient gentiment, le pénis bien au repos, le gland recouvert par le prépuce. Je n'en revenais pas de cette situation si singulière.
– Je, je, euh, tu le prends ton slip Cédric ? dis-je en bafouillant, les yeux toujours fixés sur ce petit sexe
– Madame ?
– Oui, Cédric ?
– Vous, euh, vous pouvez me l'enfiler, mon slip, svp ?
– Mais Cédric, ça ne va pas ?
– Allez Madame, SVP, ça sera plus pratique !
– Mais, mais, tu, tu as onze ans, Cédric !
– Je sais Madame, allez Madame, SVP !
– Tu me jures que tu n'en parleras à personne ?
Tout en discutant, je constatai avec effroi que le petit bout rouge commençait à être visible. "Mon Dieu, c'est pas possible ! Il bande ! Je fais bander un gamin de onze ans !"
– Oui Madame, j'ai déjà promis, tout à l'heure !
Je remarquai aussi que le pénis qui tout à l'heure visait le sol était désormais presque à l'horizontal
– Cédric ?
– Oui Madame ?
– Ton zizi, regarde, tu, tu ne serais pas par hasard, euh, en train de, de bander ?
Le gamin baissa la tête et regarda, gêné, son sexe désormais entièrement décalotté.
Je regardais, fascinée, le petit gland tout rouge, juste devant mon visage. Il n'était bien sûr pas comparable au sexe de mon ex, mais tellement mimi !
– Dis-moi Cédric, je peux savoir ce qui te fait bander ainsi ?
Tout en parlant, mes yeux restaient fixés sur le sexe en érection.
– Euh, euh je, je euh, ce sont vos jambes, Madame !
Dans la confusion, je me suis accroupie sans même penser que j'étais en jupe, une jupe qui m'arrivait à mi cuisse.
– Oh Cédric, tu, tu n'as pas honte de regarder sous la jupe de ta prof ?
– Madame, vous vous regardez bien mon zizi, là, pas vrai ?
Maintenant son sexe était presque vertical. Je n'en revenais pas. Je me penchais pour m'apercevoir qu'on distinguait très bien ma petite culotte bleu clair. « Oh mon Dieu, dans quel pétrin je me suis fourrée ! »
– Vous vous avez de très jolies jambes, Madame ! Je, je, j'aime beaucoup !
– Oh, tu n'as pas honte de parler ainsi ?
– Si, si, c'est vrai ! Même que c'est dommage, euh, de cacher de si jolies jambes ! Vous savez Madame, on n'est pas à l'école, là. On, on peut se relâcher un peu !
– Et ça veut dire quoi çà ?
– Vous, vous, euh, vous pouvez, euh, les ouvrir un peu plus, Madame ?
– Ouvrir quoi ?
– Vos jambes, Madame !
Tout en continuant à regarder le petit bâton devant mes yeux, je desserrai doucement mes jambes. Aussitôt, je vis le regard de Cédric plonger sur les jambes de sa prof.
– Tu te rends compte Cédric, ce que tu me fais faire ? Tu sais que je pourrai être ta maman !
– Oui, mais vous n'êtes pas ma maman ! Cool !
Moi qui pensais passer une soirée ennuyeuse compte tenu du problème de chambre, j'avais tout faux. J'étais comme sur un nuage, hypnotisée, passive, soumise .... face à un gamin de onze ans !
– Regardez Madame ! C'est rigolo, on dirait que votre culotte, elle rentre dans votre nénette !
Aussitôt, je me penchais pour regarder entre mes jambes mi-ouvertes. Un peu de tissu disparaissait en moi, et ce gamin qui regardait, plus vraiment gêné. Je ne me reconnaissais plus, moi la prof si timide d'habitude ! Tout cela à cause d'une cheville cassée au départ !
– Oui, tu as raison Cédric, ça le fait parfois à nous les filles quand nos culottes sont trop serrées !
– Vous, vous, vous pouvez, Chantal, euh Madame, euh, ouvrir vos jambes à fond ?
– Euh, euh, oui, tu as raison, appelle moi Chantal. Oh Chéri, tu te rends ce que tu me demandes ?
– Allez Chantal, SVP, pour notre secret !
Toujours en regardant mon entre jambes, j'ouvris alors mes jambes lentement mais à fond. Mes lèvres dépassaient de chaque côté. Heureusement que je me suis épilée avant de partir. J'étais fascinée de ce que je montrai à mon élève !
– Ça te plait ce que je te montre, mon chéri ?
– Oh Oui, Chantal chérie, vous, euh, tu es si jolie ainsi !
– Tu as vu dans quel état tu es maintenant, lui dis-je en montrant son zizi tout vertical et tendu ?
– Oui, parfois le matin, il est un peu dur, mais jamais comme aujourd'hui ! Cool !
Je n'en revenais pas cette situation, surtout après une période d'abstinence de quelques mois. Ce petit gland tout rouge, si gonflé, si proche, mais tellement jeune !
En tremblant, j'avançais mes lèvres. Je n'étais plus la même. L'envie avait dépassé la raison. Quand mes lèvres entourèrent ce petit bâton, je n'étais plus la prof mais une femme, accroupie devant un sexe tendu, gorgé de sang. Un petit gout subtil, nouveau pour moi. Bien loin de celui du sexe de mon Ex !
Je commençai alors à faire courir mes lèvres sur le petit bâton, tout en remarquant la respiration plus accentuée de Cédric. Mes gestes étaient lents, très lents pour faire durer le plaisir, ce plaisir interdit. Je savais que les jeunes ne peuvent se retenir bien longtemps. Sûrement que c'était la première fellation de Cédric. Il fallait que cela reste un bon souvenir pour cet enfant.
Mes lèvres allaient et venaient sur ce petit bâton qui continuait à durcir. La respiration de Cédric devenait plus forte. Il pose sa main sur mes cheveux, comme pour me guider, pour guider sa prof...
Il poussa un petit cri. Je le sentis frémir. J'étais prête à aller jusqu'au bout avec mon élève. Un dernier sursaut et ma bouche s'emplit d'une petite quantité de liquide. Bien sûr, sa décharge n'était pas comparable à celle d'un homme. Mais malgré tout, je me doutais que ce n'était pas sa première éjaculation. Je me promettais de lui demandais plus d'explications sur ce point plus tard.
Une fois son plaisir pris, mes lèvres nettoyèrent le petit bâton qui reprit une taille plus raisonnable, tandis que je resserrai mes cuisses. Je lui enfilai enfin son petit slip lequel laissait apparaître malgré tout une bosse bien visible. Je me relevais, consciente de ce que j'avais fait. Au passage, je posai un baiser furtif sur ses lèvres.
– C'était bien, mon chéri ?
– Trop bien, Chantal, même que j'ai vu des étoiles !
– Allez mon chéri, finis de t'habiller et au lit !